Comment attraper un Italien.

dans le club

Comme il l’avait prévu, elle s’était lassée de le voir encore une fois devant elle, mais elle accepta, sans doute pour se débarrasser une fois pour toute de lui car quand il aurait son taxi, il repartirait et dès qu’il repartirait les gorilles de James ne le laisseraient plus rentrer. Elle eu un regard bizarre aux réactions de Lucio, comme si elle ne savait plus à quoi s’attendre de lui, comme si elle ne savait pas anticiper ses réactions comme elle croyait pouvoir le faire. Elle s’avança pour partir du comptoir et regarder en direction de la cabine téléphonique après avoir remballé, bien que gentiment, le videur qui s’apprêtait à sortir le jeune italien.

* jolies jambes…* Lucio venait des les apercevoir quand l’américaine s’était avancée vers la cabine. En plus de lui tenir tête et d’être jolie, elle avait un corps très sexy que l’impertinent admirait et appréciait. Elle commençait sans doute sans le vouloir à lui taper dans l’œil. Elle se retourna et Lucio détourna le regard de ses formes qu’après un court instant. Nul doute, elle avait remarqué que Lucio avait profité du moment qu’elle ne faisait pas attention, mais elle n’avait pas tilté sur le moment même. Elle lui lança un signe de la main qui avait dépassé le stade de l’indifférence, maintenant ça en était aux gestes gracieux et le mafioso appréciait aussi. Il arriva devant elle et la regarda un instant tout en marchant.

La cabine est là, planquée derrière. Je te laisse quelques minutes. Si tu as besoin de change pour la monnaie, j’ai ce qu’il faut.

Maintenant qu’il savait qu’il pouvait téléphoner à son « taxi », il était concentré et écouta d’une oreille ce qu’Angela lui dit. Il répondit négativement de la tête sans la regarder et passa à côté d’elle. Ce n’était pas une méprise mais juste que maintenant, les choses sérieuses pouvaient commencer. Il arriva devant le téléphone « moderne » pour l’époque, pouvoir téléphoner de partout c’était une chance, une avancé technologique même si la premier cabine avait déjà 45 ans. Elle était simple posé contre le mur avec une petite table pour écrire ou poser un objet, le métal du téléphone était noire et sobre et les numéros pour appeler se tournaient. Lucio pris le combiné et le mit à son oreille avant de tourner les chiffre pour avoir le numéro qu’il voulait. La sonnerie qui signifiait que l’appel était en cours retentit 2 fois avant qu’une voix avec un fort accent italien se fasse entendre.

Allo, qui est à l’appareil ?
(italien) Giovani, c’est moi Lucio. J’aurais besoin que tu me rendes un service toi et ton frère.
(italien) Pas de problème capo on ne fait rien pour le moment. On doit tuer qui ?
(italien) Personne, personne. Tout ce que je vous demande c’est de venir me chercher au Lucky Number, chez les amerloques. J’ai un coup à régler et j’ai besoin de vous.
(italien) Très bien, on démarre tout de suite.
(italien) D’abord je t’explique. Y’a un type qu’il faut kidnapper, un mec qui m’a cherché et a qui il faut faire payer. C’est un mec pas trop grand, mal rasé avec les cheveux foncé, une veste noire et chemise blanche. Il m’attend devant le Lucky pour se battre, mais une baston se serait pas assez marrant comme punition alors j’ai une meilleur idée
(italien) Ca consiste en quoi ?
(italien) Alors voila… (pas d’explications pour garder le suspens du RP)
(italien)on sera là dans 10 minutes

Après avoir racrocher le téléphone, il se mis acroupi et regarda autour de lui. Un main au niveau du pied, puis dans la poche, et son arme était prète. Il retourna en direction de la sortie. Il passa devant Angela qui servait des clients et se retourna sur son passage. Le petit sourire enjôleur et le clin d’œil lui disait qu’il avait fini et allait partir pour de bon, dommage car sa jupe allait lui manquer. Il arriva devant la porte et dit au sorteur qu’il attendait le taxi à côté de lui sans dire un mot pour ne pas geler sur place et il accepta, uniquement parce qu’Angela l’avait autorisé. Lucio alluma une clope en attendant les deux frères Calzoni, il tira dessus et regardait par moment en direction de la salle pour apercevoir la belle serveuse. L’italien sentait les nerfs du sorteur monter plus le temps passait. On toqua à la porte et le sorteur partit ouvrir, il n’avait qu’à contourner Lucio qui était à côté de celle-ci.

Vous êtes qui ?
On a demandé un taxi?

Lucio se leva d’un bond pour sortir du Lucky Number, il fit un signe d’au revoir puis passa devant le sorteur et Giovani, un italien petit et peu costaud habillé d’un gilet de costume gris, une chemise blanche, un béret comme Lucio et un imper marron clair par-dessus, lui emboitât le pas. Il faisait aussi froid que le matin et Lucio sentit le vent et la neige lui piquer les joues rien que dans les dix première secondes qu’il était sortit. Bruce était bien là, tout était parfait.Il regardait dans sa direction, comme si il épiais le moindre geste de la porte. Il devait encore plus la regarder depuis que Giovani lui était passé devant. Lucio avança dans sa direction, il devait être à 5 m de lui tout au plus. Il mis sa main dans sa poche en marchant lentementpour en sortir son Derringer qu’il pointa sur Bruce. PAN, un coup retentit dans la rue du Lucky Number, des gens tournèrent la tête en direction de coup de feu mais personne ne put distinguer qui avait tiré. Les plus vifs auraient pu le voir mais l’arme était trop petite pour bien la voir du premier coup, les plus lents sont arrivés trop tard, l’arme était déjà tombée dans la poche de Lucio. Cette balle dont tout le monde se demandait d’où elle venait, et où elle avait été, était fichée dans le genou gauche de Bruce, en pleine rotule, tout ce qu’il faut pour gêner une personne dans ses mouvement sans le tuer pour autant. A ce moment là, ce fut le top départ pour les deux amis de Lucio. Tout deux s’avancèrent vers l’américain. Le premier, Salvatore, dans son dos, qui était adossé à la voiture qu’ils avaient pris pour venir. Et l’autre, Giovani, de face, accompagné de Lucio, c’était lui qui avait répondu au téléphone précédemment. Bruce est dans une mauvaise position cette fois-ci, Lucio venait de renverser la vapeur.

<==== Staff only

Les choses semblait ce dérouler comme prévu pour le moment du moins, le « gamin » américain c'était mit en place dans la rue. Le « partenaire » de Shaka campait littéralement en plein centre de la rue histoire d'être sur d'être vu par la cible qu'il convoitait, un homme prêt à tous pour montrer qu'il méritait la moitié de sa récompense, ah mais si seulement il savait ce qui l'attendait en ce jour il n'aurait pas eu la hardis de sortir de son lit, bien que ce ne soit pas une choses des plus certaine, l'argent à toujours un facteur important à la folie des hommes et ce à toutes les époques et en tous lieu. Shaka lui même avait déjà entreprit des contrats où il avait faillit y laisser sa peaux car on lui proposait un très fort taux de rémunération. On raconte que les hommes finissent par perdre leur ame lorsqu'ils recherchent la richesse, Shaka quand à lui maintenant il venait à ce demander si il en avait vraiment posséder une un jour, âme et conscience deux choses que tous le monde possèdent en ce monde lorsqu'il nait et que l'on peut perdre au fur et à mesure du temps qui s'écoule. Shaka quand à lui ne ce rapellait plus quand il les avait perdu, des questions auquel il ne cherchait même plus de réponse et ce même en ces instant de longue attente ou il fixait le vide en attendant une quelconque victime qui ce terrait dans un lieu où elle ne craignait pas grand choses.

Après plusieurs heures d'attente allonger dans sur un toit neigeux et détremper, à laisser l'eau s'infiltrer doucement mais surement dans ses habits, sans même pouvoir s'allumer une clope pour ce détendre ou patienter de peur d'être repérer et d'avoir perdu du temps pour rien les choses ce mirent enfin à bouger. Shaka cligna rapidement de l'oeil pour ce le reposer rapidement afin d'ajuster son tir et de ne pas perdre de temps durant sa visé. L'homme qui recherchait venait de sortir de son trou à rat ou tout du moins il ressemblait grandement au portrait robot qui avait été fournit. Cet homme affichait cette même coupe de brosse à chiotte que sur le dessin que le vieux militaire avait tenu entre les mains quelque heures auparavant et sa lui suffisait. Shaka n'était pas homme à s'encombrer de ce genre de petit agrément que l'on nomme communément « dommage collatéral » et si cet homme n'était pas celui qu'il recherchai et bien tant pis pour lui, il ramasserai à la place de l'autre. Shaka était déjà en train d'ajuster sa viser et la croix de son viseur ce promenait sur la tète de sa cible et la respiration du vieil homme ce fit plus régulière à mesure qu'elle diminuait pour finalement ce bloquer tandis que son doigts pressait lentement la gachette pour réaliser ce que Shaka appelait un tir parfait. Cependant si les choses ce passait tous le temps comme on le souhaitait, un coup de feu venait de retentir.

Tous ce qui avait entreprit par le tireur d'élite fut immédiatement stopper, son doigts relâcha la gâchette et sa respiration fut de nouveau présente tandis qu'il observait la scène depuis sa position au travers de sa lunette. Son « collègue » de travail venait de tomber un genoux à terre tandis que son autre jambe était tendu et son pantalon commençait à ce teinter de rouge, il était donc toucher décidément il n'avait pas miser sur le bon cheval, si jamais cet homme n'était pas en mesure de ramener la cible une celle-ci au sol, il l'abattrai comme un chien, Shaka ne s'encombrait pas de personne inutile à ses objectifs surtout si celle-ci avait vu son visage comme dans le cas présent. Après une rapide analyse Shaka dénombra deux hommes supplémentaire qui c'était mêlé à l'affaire sans invitation, vu la façon dont l'un deux était adosser à la voiture nul doute que celle-ci était la leur et peut être même qu'un larron supplémentaire était cacher à l'intérieur de la guimbarde bref une situation épineuse qu'on ne pouvait régler avec de simple balle prévu pour plus assommer que tuer, il fallait donc modifier quelque peut le plan initial et Shaka ne put s'empêcher de de penser.

* Mais pourquoi les gens ne peuvent t'ils pas tous simplement ce laisser crever gentiment plus de m'emmerder, c'est fou sa tout de même. *

Shaka était plutôt un homme calme mais qui appliquait des mesures plus que drastique lorsqu'il avait un quelconque problème et qui si parfois s'avérait comme inutile ou possible d'être contourner elle avait toutes deux choses sur et certaines, elles étaient rapide et efficace et elles ce terminaient toutes généralement dans un bain de sang et sa expliquait pourquoi le vieillard avait ouvert sa culasse et commençait à remplir tranquillement son magasin avec ses petit bijou qu'il aimait temps, qui était pour lui ce qui ce rapprochait le plus de ce que l'on appelle ami, des munitions de guerre d'un calibre 7.62 qu'il avait lui même limer pour en gommer chaque aspiriter qui pouvait la déformer pour que celle-ci soit parfaitement lisse et qu'elle traverse le crane d'un homme comme une flèche traverserait une bulle de savon et tandis qu'à chaque cliquetis emis par une balle rentrant dans le magasin Shaka sussurait à l'intention de celle-ci, « ne me déçoit pas ». Shaka prenait ensuite la suivante l'embrassait et l'insérait dans la chambre pour recommencer son manège la cinquième balle à être insérer fut celle chemiser en laiton à destination de sa cible mais trois autres furent introduite par dessus et enfin la chambre fut refermer lentement et la visée fut repris.

Shaka voyait parfaitement les lèvres de son « camarade » de besogne remuer tandis qu'il lancait un regard haineux en direction du blondinet à la coiffure ridicule. Le militaire jaugea des écart qu'il y avait entre chacun des protagonistes pour ne pas perdre de temps à les chercher, une fois ses repères prit Shaka ce mit à parler d'un ton heureux :

« La mort est une puissance crainte par tous même des dieux et bien sot et celui qui pense qu'il ne la craint pas et j'en suis son ambassadeur ... bang ... je fait traverser le styx ... bang ... à toutes ses personne inutile ... bang ... et ce par simple plaisirs ... bang ... je suis le juge ... bang ... le bourreau ... bang ... je met fin à la vie sans soucie ... bang ... ... bang ... car c'est ma façon de prendre mon pieds. »

Les coups de feu avait été étouffer par la peaux de mouton mais vu la quantité tirer même un sourd aurait finit par les entendre et l'action c'était passer ainsi la première fut pour la tète de l'homme adosser à la voiture la crépissant de sa cervelle et son corps n'avait pas encore toucher le sol que le second coup partait pour taper dans la gorge de celui qui fessait face à l'américain. Shaka n'attendit pas de voir la suite que la troisième partait pour frapper le bras de sa cible avant que celle chemiser en laiton frappait son menton avec une rapidité presque démentiel permis uniquement par l'habileté au tir du vieux. La cinquième fut pour l'homme déjà toucher à la gorge maintenant étendu au sol et qui frappa sa nuque histoire d'être certain qu'il crève, le moteur fut toucher histoire d'éviter que la voiture démarre pour ce barrer trop loin avec sa cible si par miracle il réussisse à rentrer dedans et les deux dernière frappèrent les vitres de la voiture avant comme arrière pour s'assurer que personne ne ce soit planquer dedans.

Shaka n'attendit pas de voir les résultat de son carton il avait déjà commencer à faire demi tour en rampant pour quitter possition rangeant son barda de façon rapide et après avoir ramasser ses huit douilles fumante sur le sol qu'il fourra dans sa poche.

Hrp/ dsl pour le retard mais j'ai un PC en carton pate qui arrète pas de me lacher. \Hrp

17h30

Non loin du Lucky, se trouvait Josh. C'était un petit fonctionnaire. Il buvait tranquillement son café sur les marches de sa maisonette, ou plutôt de son entresol. Tout se passait bien. La neige s'annonçait épaisse en cette fin d'apres midi, et c'est d'un regard torve du travailleur en fin de cariére que l'américain de souche contemplait la rue. Rien de bien inhabituel ne c'était déroulé aujourd'hui, c'était un quartier plutôt chaud d'habitude mais là, les flic était passé, signe que rien de bien méchant n'avait eu lieu récement, car c'est bien connus, on met un flic quand c'est pas dangereux. Pourtant un truc bizare allait se passer, c'était sûr. Pour la simple et bonne raison qu'un habitué de la boite se trouvait au beau milieu de la rue sembant attendre quelques chose...ou plutôt quelqu'un. Et cela fut confirmé un temps apres, un bon moment apres en fait. Une voiture s'arréta et deux hommes en descendirent, avant qu'un type à la coiffure ridicule coiffé d'un béret assez moche n'émerge du sacro-saint établissement. Sans doute Josh aurait-il dû se rentrer mais il était plus curieux qu'une pie voleuse, c'était un fait avéré.

Soudain une détonation retentie. Le fonctionnaire avait vu une flamme partir de la main du gars au béret moche et le type qui lui faisait face s'était affaissé. Sous le coup de la panique, l'américain avait reculé d'un pas, ratant une marche et s'envoyant la gueule dans sa porte, situé en bas des escalier même. Si il était resté au niveau de la rue il aurait pu voir un des gorilles autour de la voiture redécorer cette derniére de sa matiére grise avant que son collégue ne soit brusquement prit de mot de gorge. Ce qui se déroula par la suite, nul ne le su. En effet dés que le second tir s'était fait entendre, un mouvement de panique c'était abatus sur la foule environante de passant. Une femme avait lâché son cabas de course tandis qu'un maris ne récupére sa douce évanouis avant que ses propres nerf ne l'abandonnent et que tout deux aillent s'écraser dans le caniveau où coulait déja le sang épais d'une des victimes. Des cris de toutes octaves se firent entendre tandis qu'une calvacade démarait sur le trottoir, un pickpocket restant même accroché à la poche de sa victime tant celle-ci s'enfuyait à toute jambes. Un vieux pooilus Ricain de la Premiére guerre sortie sur le trottoir en robe de chambre, fusil en main, en arrosant de plomb la porte du Lucky avant que sa bergére ne le rentre à l'intérieur en beuglant tandis que le vieux soldat la traitait de tout les nom d'oiseau tout en lui balançant de petit coup de chausson, il en perdit d'ailleurs au beau milieu du trottoir, lieu de déroulement de l'apocalypse. Les piétons n'étaient pas les seuls à fuir les lieux ou a y mette de l'ambiance. Deux voitures firent crisser le caoutchou de leur pneu. Celle arrivant à la gauche du lucky sembla être tout à fais hord de contrôle, zigzaguant entre d'invisible obstacle avant de faire exploser l'une de ses roue contre un morceau de trottoir plus traître que les autres, le tas de boue évita de justesse les deux homme se trouvant encore au beau milieu du chemin avant de quitter la rue en roulant sur le cadavre du malheureux à la nuque éclaté par balle, réduisant son crâne en un amas sanglant méconaissable, pour finalement se payer une borne incendie au coin opposé de son arrivée. L'eau pruficatrice arrosa les âmes noire qui se trouvait non loin, faisant fondre la neige présente sur le goudron. Tout aurait pu s'arréter là, mais ce serait oublié qu'une seconde bagnole arrivait face à la premiére faisant rugir son moteur puissant pour l'époque. Cependant, le conducteur avait été lui aussi pris d'une folie furieuse l'incitant à fuir à tout prix. Le chauffeur évita son homologue lui faisant face en jouant lui aussi du volant.

C'est d'un tête à queue magistrale qu'il monta sur le bas côté, envoyant l'arriére dans le corps du gorille à la cervelle éparpillé, ce dernier décola du sol pour aller s'écraser sur les murs du lucky, le transformant en un macabre pantin désarticulé dénué de front. La voiture folle reprit sa course effreiné, retrouvant la voie de l'alsphalte pour finalement quitter les lieux pour finalement se payer une caisse qui passait par là. La malheureuse percuté dévia de sa route et manqua d'écraser un policeman qui par malchance passait par là...elle ne rata pas le poteau téléphonique, qui émis un craquement puissant avant de s'écraser au bout milieu de la rue maintenant presque déserte. Un nouveau probléme se posa car non contente d'être encastré dans un pilône, la tas de boue se révélait à appartenir à la mafia Irlandaise, en maraude pour aller casser du Polak. par manque d'expérience, il avait rangé leur explosif et les munition dans le coffre et le choc fit qu'une des grenade qu'ils transportaient eut un dysfonctionnement avant d'exploser dans une gerbe de flamme, projetant ça et là les munition de tout type que les mafieux conservaient pour nourrir leurs machines de mort.


Un Chaos digne des pires Tartare mythologique venait de se créer ici, en plein quartier Américain.

Lucio avait un sourire satisfait, son plant était parfaitement mit en place et tout se déroulait comme prévu. Cette petite frappe de bas étage avait enfin compris pourquoi il ne fallait pas s’attaque au gradé italien. Il était là un genoux à terre devant Lucio gémissant des petit bruit de douleur le regardant droit dans les yeux. Quoiqu’il fasse ou quoiqu’il dise, Lucio avait l’avantage et l’americain ne pouvais plus rien faire. Les flocont tombait sur sa tête, mais Bruce ne s’en souciait pas. On était a un point ou le froid hivernale de chicago passait comme une lettre à la poste. Même si il faisait froid , on s’y habituait assez rapidement. C’était comme jouissif de voir le mageur de hot dog, Bruce, pas Lucio, dans cette position. Il venait de perdre la balle et se faisait maintenant marqué au score.

"C’est comme ça que tu te venge, avec deux gros bras à tes cotés et un gun. Tu va donc t’insulter toi-même pour t’en prendre à un homme à 3 contre un ? J’adore tes petite baston le rital, toutes aussi truqués ?"

tu peux parler moustique, tu t’es mis à combien d’homme armé devant moi dans le club ? est-ce que mes hommes sont armé moi ? non ! alors tais-toi et subit ma colèr. Emmenez le !

au moment où les deux sbires de Lucio s’apprètèrent a attraper Bruce en vitesse pour le mettre dans la voiture, celui qui était adossé contre celle-ci se pris une bastos venue de nulle part en plaine tête qui gicla en arrière. Lucio ne le remarqua pas tout de suite, c’est au moment ou sont autre compagnon de forture se pris une balle dans la gorge qu’il prit conscience du problème. il n’eu pas vraiment le temps de réagir tout de suite, à peine le temps de se retourner pour voir d’où le coup venait que son bras gauche lui fit ressentir une atroce douleur. Il voulu tourner la tête, par réflex surtout, pour voir de quoi il s’aggisait qu’un projectile veint lui frapper au menton. On aurait pas dit une balle au début, mais comme si il avait reçu une droite du champion du monde poid lourd de boxe de l’époque. Toujours conscient mais bien sonné, il ne fit même plus attention aux autres balles perqutent la voiture et le rio total dans la rue du lucky number, il ne savait pas trop où il était et se dirrigea, dans un instinc de survie, en direction du coffre de la voiture, a couvert des coups de feu. Sont plant avait foirer totalement, Bruce était au milieu du trotoire seul alors qu’ild evrais déjà être sur la banquette arrière, rué de coups, de la voiture dont le capot perçé fumait doucement. Maintenant il ne savait plus quoi faire, personne ne pourrais l’aider maintenant, il lui fallait trouver une solution au plus vite pour se sortir de cette merde totale, mais il devait déjà résister au fait de ne pas tomber dans les pommes, chose pas facile.


(hrp: désolé pas corrigé les fautes d'ortho /hrp)

Apparemment l'effet voulu était bel et bien là et la réponse de Lucio n'en fut que plus équivoque. Il suffisait à Bruce de continuer à le pousser doucement en attendant que son complice fasse feu.

"tu peux parler moustique, tu t’es mis à combien d’homme armé devant moi dans le club ? est-ce que mes hommes sont armé moi ? non ! alors tais-toi et subit ma colère. Emmenez le !"

"Subir ta colère, arrête de me faire rire ça me fait mal à la jambe. Un type aussi stupide que toi ne peux rien faire de façon correct, regarde où l'on est en plein quartier américain tu pense que les gens vont laisser un rital comme toi m'embarquer sans rien faire? Tu crois que personne ne vois ce que tu fait en ce moment. Tu sait bien lécher les bottes de ton patron mais il sera pas toujours là pour te sauver ta peau."

Alors qu'il crachait son venin sur Lucio ses deux hommes s'approchèrent de lui obéissant aux ordres de leur patron. L'un d'eux se décolla de la voiture avant de se retrouver sur le sol une balle venant de lui traverser le crane laissant échapper le contenue de son crane sur le sol, presque aussi rapidement le deuxième homme s'effondra dans une marre de sang celui-ci giclant abondamment d'une blessure au niveau du cou. Shaka s'était mit en action, surprit d'une telle rapidité dans les actions de son complice Bruce recentra son visage sur leur cible commune, une balle vint se ficher dans son bras avant qu'il ne s'écrase sur le sol, d'autre coup de feu se mirent alors à se faire entendre au moins 4 voir plus l'américain n'avait pas véritablement le temps de les compter et il fallait bien avouer que l'ambiance qui régnait dans la rue ne lui le permettait pas. Les coups de feu avait fait naître dans le coeur des passants une peur incontrôlable de nombreux cris s'élevaient dans la rue, de nombreux coup de feu se firent entendre presque aussitôt comme pour répondre à ceux de Shaka. Bruce porta sa main vers son holster pour saisir fermement son colt 1911 gardant sa jambe blessée bien tendu sur le trottoir se traînant vers Lucio qui avait commencé à bouger pour se réfugier contre l'une des voitures, l'italien semblait assez sonné ce qui était plus que normal après la balle qu'il venait de recevoir en plein visage.

Continuant à se déplacer restant vers le sol pour ne pas prendre de balle perdue Bruce vit sous ses yeux une voiture le frôler emportant l'un des deux hommes de Lucio laissant une gerbe de sang sur le sol pour le traîner sur plusieurs mètres avant que sa course ne finisse sur un des murs du Lucky Number la voiture s'encrassant quand à elle contre une bouche à incendie avant de continuer péniblement sa course plus loin dans la ruelle. Les gens étaient tous devenu complètement fou mais ce n'était rien par rapport à l'ambiance qu'il allait y avoir dans quelques instants, l'eau s'écoula dans un énorme geyser commençant à faire fondre la neige rougie par le sang des divers protagonistes lorsqu'une forte explosion se fit entendre finissant de créer le Chaos total. Le souffle de celle-ci n'atteignit ni Bruce ni Lucio mais fit chuter de nombreux passant faisant par la même occasion exploser de nombreuses vitres. Bruce reposa rapidement son regard sur sa cible qui s'était plaqué péniblement contre la voiture, se rapprochant de lui l'américain s'appuya contre la tôle du véhicule braquant son arme sur le crâne de Lucio restant à une distance d'un bonne 20 ene de centimètres. Puis poussant doucement l'italien avec le canon de l'arme pour qu'il tourne la tête dans sa direction ou tout du moins pour capter son attention il posa sa main sur son pantalon rougi par la blessure qu'il avait reçu replaçant son arme à distance avant de prendre la parole.

"Alors tu t'attendais à ça toi? Évite de bouger gros con sinon je te mets une bastos en plein dans le crâne et crois moi avec tout le bordel qu'il y a ça passera inaperçu, j'aurais peut être pas mes 10,000 $ mais je compte bien en palper un peu quand même."

Le bras de Bruce était stable il n'y avait que peu de chance pour qu'il rate sa cible et le son de sa voix mais aussi son regard pouvait prouver à n'importe qui qu'il ne rigolait pas un instant au moindre mouvement de l'italien il lui logerais une balle en pleine tête. Il avait l'expérience de ce genre de situation et pour tout avouer il avait déjà commis l'erreur de ne pas presser la gâchette une fois et s'était promis que cela n'arriverais plus, jamais plus.

Bruce se mit à rire doucement au début mais ce petit rire se mit à monter au fond de sa gorge et devient un rire moqueur, vous savez ce genre de rire lorsque vous vous trouvez dans une situation grotesque au possible. Bruce venait tout juste de réaliser que Lucio était bien trop sonné pour ne serai-ce que lui répondre, avait il au moins conscience qu'il avait une arme sur la tempe?

"On va y aller mon petit bien sagement et sans faire d'histoire"

S'appuyant contre la carrosserie de la voiture et décollant sa main de sa jambe blessée l'américain se mit debout laissant son arme braquée sur le blond car même sonnée il pouvait toujours être capable d'une ânerie. C'est ensuite que tout cela allait se compliquer, Bruce attrapa Lucio par le col de sa veste et après lui avoir écrasé la main pour en faire tomber l'arme et par la même occasion le réveiller un minimum le tira vers lui tout en gardant le canon de l'arme bien en évidence au regard de son tas de billets sur pattes.

"Aller suis moi, on laisse ça la tu n'en aura plus besoin maintenant"

Bruce parlait du petit derringer qui lui avait fait cette blessure à la jambe, bien que l'os ou même l'articulation n'avait pas été touché cela lui faisait un mal de chien mais ne l'empêchait pas malgré tout de marcher. L'américain laissa son regard vagabonder quelques instants dans la rue pour apercevoir sa destination sa voiture à quelques pas de l'arrière sortie du Lucky Number, l'index toujours collé contre la détente de son arme au cas où le blond se décide à bouger de trop. L'explosion de la voiture avait mis une pagaille monstre il était temps d'en profiter poussant Lucio devant lui il se mit en marche vers sa voiture une main sur la nuque de l'homme pour le guider et son autre toujours cramponnée à son arme celle-ci à une bonne trentaine de centimètres du dos de l'italien de façon a se pas se la faire subtiliser bêtement de plus grâce à cette position s'il venait à l'idée à l'homme devant lui de lui agripper la main vers sa nuque le coup tartirait très facilement sans que l'arme n'est pu être touchée.

Guidant l'italien vers sa voiture Bruce gardait l'oeil bien ouvert sur les personnes autour de lui, même s'il n'y avait que peu de chance qu'il ait un souci avec le bordel ambiant. Lucio toujours apparemment grogi par la balle qu'il avait reçu avancé lentement ce qui était une chance pour Bruce qui ne s'en plaint pas. Personne ne semblait se soucier d'eux et une fois arrivé contre la voiture après avoir re-cadrer Lucio une à deux fois pendant le court trajet le brun lui écrasa la crosse de son arme sur l'arrière de la tête pour qu'il fasse de doux rêves. Le bruit du corps de l'italien tombant sur le sol fut un son qui emplie le coeur de Bruce d'une certaine gaieté non dissimulée. Fouillant le corps inanimé Bruce en extirpa un cran d'arrêt et deux chargeurs qu'il déposa sur le sol, dans ses poches un porte feuille ainsi qu'un zippo, il mit aussitôt dans sa poche ces deux dernière trouvailles, après tout il faudrait bien payer les frais médicaux pour cette balle.

"Bon plus rien de dangereux, à nous les 10,000$"

Ouvrant son coffre il se saisit d'une corde et ligota bien fermement le blond doublant chaque noeux, mains, cheville, coude et pour finir genoux, il en sortit ensuite la caisse à outils ainsi que le pneu à moitié à plat attendant que Shaka ne vienne l'aider à mettre la masse de leur prise dans ce même coffre.

Shaka était bien trop occupé à s'exfiltrer de sa position de tir plutot qu'à analyser le chaos que ses tirs avait du engendrer. Un Chaos certain Chicago avait beau être la ville du crime il n'était pas courant de voir des cervelle gicler à tous va, la population nombreuse de la ville n'était pas non plus des plus habituer à des fusillades, tous le monde en entendait parler bien évidement mais y assister et ce retrouver au centre était une autre paire de manche surtout quand n ne savait pas ou ce trouvait le tireur, sa ne permettait juste que d'augmenter la dose de terreur. Shaka n'avait beau pas assister au résultat de son tir de façon visuel il l'entendait cependant très bien, tel une douce musique digne des plus grand opéra les cris des pauvres mouton de la ville qui pensaient qu'on allait pas tardez à les abattre lui firent étirer les lèvres dans ce qu'on aurait put exprimer comme un sourire de contentement. Un sourire qui retomba très vite car il n'était pas dans les habitude du vieux de sourire loin de la même, ce sourire fugitif disparut en même qu'un bruit fracassant qui était sans nul doute celui de la tole qui venait ce froisser sur contre un mur. Les automobiliste commençait à paniquer eux aussi et sa ne présageait rien de bon le nombre de victime allait augmenter et ne manquerai pas d'attirer des flics, des flics qui ne manquerait pas d'appeler l'armée en renfort pour calmer ce Chaos et si on le demandait pour y participer il devait justifier son absence, bref une vieille explication ben chiante ce profilait à l'horizon, en même temps il enverrait paitre les curieux comme d'habitude.

Shaka ne mit guère de temps à rejoindre le plancher des vaches situer dans cette ruelle sombre, le fusil dans le dos et le couteau dans la main à guetter les environs pour s'assurer que les sa******e de civil en panique n'était pas venue ce réfugier dans la ruelle à la recherche d'un endroit sécuriser, fort heureusement aucun n'avait eu cette idée et donc aucun mort supplémentaire ne serait à déplorer aujourd'hui. Une fois que la ruelle fut sécuriser Shaka disparut immédiatement dans un quoi d'ombre situer à l'arrière d'un petit renfoncement d'un bâtiment et il ce mit à attendre que son "compagnon" de travaille du jour pointe le bout de son nez avec la cible du jour. Shaka aurait put bien évidemment accomplir le travail seul sa ne fessait aucun doute mais bon il y aurait eu plein de témoins qui l'aurait aperçut et avec son treillis nul doute qu'il lui aurait tenu la jambe pour qu'il les protège et comme un pigeon était la pour ce faire voir à sa place autant en profiter. Son "partenaire ne tarda pas à montrer le bout de son nez et en trainant la cible qui plus es ou plutot en la poussant devant lui et en la tenant en joue pour éviter toutes tentative de fuite. Shaka ne sortit de l'ombre qu'une fois le blond à la coupe de balai fut assommer, il n'avait pas besoin de connaitre le visage du tireur une seule personne était déjà de trop alors deux ce n'était même pas la peine.

Shaka arriva par derrière Bruce occuper à ligoter l'italien après l'avoir fouiller et vider de toutes ses affaires, prenant bien soin de doubler chaque noeuds et de le ficeler comme un saucisson, il avait surement que le paquet de pognon ne ce fasse la belle durant le trajet, après tout il était logique de ce méfier et si la cible ce sauvait il risquait de ce prendre lui aussi une balle bien placer dans le crane. Shaka n'était pas un homme à pardonner l'échec surtout quand il y avait du pognon en jeu comme à cette instant précis, Shaka avait même été tenter par faire passer l'acier froid de sa lame au travers de la gorge de Bruce pour faire disparaitre le seul témoins de son crime, mais bon il avait besoin de lui et c'est pour cette seule raison qu'il s'abstint de prendre sa vie pour le moment du moins. Shaka attendit que Bruce finisse ses noeuds avant de bouger pour finalement ce montrer à Bruce, farfouillant dans sa poche il finit par sortir une chainette au bout de laquelle il pendait un pendentif circulaire en argent représentant très nettement le viseur d'une lunette de tir. Le vieux militaire finit par jeter le tout à Bruce en lassant d'une voie un peut trop mécanique qui dénotait l'habitude du procéder :

" Tu laisserai à la coupe de balai ce souvenir de ma part après l'avoir livrer si il meurt autant que ce soit en voyant ma carte de visite et si il meurt je veut que nos amis les policeman le trouve sur son corps. En même temps si les commanditaire refuse de payer sa devrait les motiver. "

Ce pendentif en argent était autre que la signature de tous les crimes de Shaka et si peut de personne savait qui ce trouvait derrière cet insignifiant pendentif, tout ceux ayant un peut de renseignement sur le milieux ou lisant les journaux savait qu'il appartenait au numéro un des tueurs à gage de la ville et accessoirement qu'il avait tuer tous ceux qui avait tenter de le doubler, que ce soit sur un contrat ou en tentant de ne pas lui donner ce qui lui était du et bizarrement ses morts la était pas faite à l'aide de balle mais plutot par une lame dans un travail nettement moins propre tenant plus des actes d'une bête enrager, un couteaux comme le vioque avait dans la main à ce moment. Shaka finit par arriver au niveau de l'italien pour poser une de ses rangers sur sa nuque et ainsi éviter si il venait à ce réveiller à ce qu'il puisse voir son visage. Bruce pendant ce temps la semblait heureux du travail accomplit et de la prime qu'il allait bientôt toucher bien qu'il pissait le sang au niveau du genoux. Shaka ne prit la parole qu'une fois qu'il eut finit de rouler sa clope et après une bonne bouffé il relâcha la fumée en direction du visage de Bruce avant de dire d'un ton cassant :

" Ce soir ... 22H00 sur les quais ... avec le fric pour le partage ... Tu me double je ferai en sorte de te faire bouffer tes propres tripes avant de crever. "


Shaka commença à partir et voyant que Bruce semblait attendre quelque chose, comme une quelconque aide pour charger le corps inerte il s'arrêta et donna quelque petite tape sur la joue gauche de l'américain.

" T'es jeune tu devrais y arriver seul et n'oublie pas ce soir ... 22H00 sur les quais ... avec le pognon. "

Un ton qui avait commencer comme moqueur et finit comme lourd de menace puis passant dans le dos de Bruce il partit à reculons pour ne pas offrir son dos comme cible une déformation professionnel en quelque sorte et lorsqu'il fut disparut dans l'ombre comme il était apparut, le vieux repartit en avant en direction de son véhicule jetant de petit coup d'oeil furtif dans son dos pour s'assurer que l'amerloc ne soit pas soudain prit d'envie de meurtre et de cupidité.

Alors qu'il venait de finir de ligoter Lucio Shaka fit son apparition à ses cotés, il semblait calme et assez posé. L'homme jeta un objet à Bruce qui le rattrapa avant que celui-ci ne touche le sol, une chaînette avec un pendentif en bout, celui-ci représentait une lunette de fusil. Bruce releva les yeux vers l'homme comme interloqué par ce symbole.

" Tu laisserai à la coupe de balai ce souvenir de ma part après l'avoir livrer si il meurt autant que ce soit en voyant ma carte de visite et si il meurt je veut que nos amis les policeman le trouve sur son corps. En même temps si les commanditaire refuse de payer sa devrait les motiver. "

Sa carte de visite... Cet homme était il vraiment ce qu'il venait de prétendre ou simplement une vieux grincheux qui voulait se faire mousser sur le dos d'un autre ce fut la seule et unique question que l'américain se posa sur le moment car cela pouvait impliquer de nombreuses choses. Il n'avait jamais eut à faire a ce tueur car personne ne savait réellement qui il était, personne ne l'avait encore aperçu mais surtout personne ne l'avait vu à sa connaissance. Si ce vieil homme était véritablement ce tueur à gage Bruce avait du souci à se faire car lui connaissait son visage maintenant, un homme comme ce tueur laisserait il en vie une personne pouvant le décrire? Lorsque Shaka posa sa rangers sur la nuque de Lucio il remarqua aussi le couteau que celui-ci tenait en main mais ne s'en inquiéta pas à outrance car s'il avait voulu le tuer il l'aurait fait pendant qu'il ligoté leur proie ce qui montrait qu'il avait besoin de lui, ce qui fut confirmé par la suite des paroles du vieillard.

" Ce soir ... 22H00 sur les quais ... avec le fric pour le partage ... Tu me double je ferai en sorte de te faire bouffer tes propres tripes avant de crever. "

"Tu n'as rien à craindre sur ça, je compte doubler personne, j'aime pas me foutre dans les emmerdes alors autant rester réglo et 5,000 $ sont bien amplement suffisant."

Bruce le garda dans son champ de vision lui montrant clairement qu'il attendait que l'homme ne l'aide a poser Lucio dans la malle de sa voiture car sa jambe ne lui permettrait pas de le faire seul, tout du moins de le faire seul sans se blesser un peu plus.

" T'es jeune tu devrais y arriver seul et n'oublie pas ce soir ... 22H00 sur les quais ... avec le pognon. "

*Mais quel merde....*

Bruce se releva tenant sa jambe et après que son acolyte n'ait disparu il se dirigea vers les portières arrières, en ouvrant une il se saisit d'un morceau de tissus et confectionna rapidement un garrot pour éviter que sa blessure ne saigne plus qu'elle l'avait déjà fait. Puis l'américain se mit à la tache et chargea Lucio dans la malle prenant soin a bien refermer la malle et à la verrouiller ce ne fut pas des plus facile mais après quelques petite manœuvre Bruce réussi à s'en sortir tout seul et par acquis de conscience il assomma une nouvelle le rital pour que celui-ci n'est pas la mauvaise idée de se réveiller pendant le transport. Montant dans sa voiture Bruce prit la direction du quartier ou la transaction devait se faire.

En attente d'une livraison ====>