Staff Only

<=== Appart' d'Angela

La petite louve marchait bon train, et s’arrêta à hauteur d’un minot, gueulant à qui voulait l’entendre qu’il vendait le journal de Chicago pour moins d’un dollar. Elle fouilla dans son sac et en sortit deux piécettes. Le garçon la regarda avec un grand sourire et lui tendit la feuille de chou.

Vot’ journal m’dame !

Merci mon grand, garde la monnaie.

Angela se saisit du journal et jeta rapidement un œil aux gros titres puis le fourra dans son sac. Elle le lirait plus tard, lors d’une pause au Lucky peut être, avec un bon café, préparé par Mitchell. La jeune femme s’approcha du bord du trottoir pour traverser et remarqua la voiture garée face à l’entrée du club. Ca devait parler affaires à l’intérieur, pas de doute ! Encore pour l’alcool surement… Elle vérifia de chaque coté de la route puis s’engagea. Passant devant le videur elle lui adressa un bonjour accompagné d’un sourire et remarqua son air un peu palot.

Un souci ?

Passe par derrière Angie, ca remue là dedans.

Des soucis avec les italiens ? C’était nouveau ! On leur avait vendu de l’alcool de patate par inadvertance ? Elle souleva un sourcil interrogateur et passa dans la ruelle annexe pour rejoindre la porte de derrière, noire, sur laquelle on pouvait lire l’inscription « Staff Only » en blanc. La brune ouvrit son sac et en sortit son trousseau de clef. Bien sur que cette porte était fermée à clef, vous pensez ! Un tour, puis deux et la porte était déverrouillée mais elle fut ouverte brusquement à la grande surprise de l’américaine, qui allait la pousser et en trébucha.

Mark ? Mais ca va pas enfin ? Qu’est ce…

Elle se tut quand il mit son doigt sur sa bouche en signe de silence. Décidément, l’alcool de patate c’est aussi mauvais de goût que pour les relations entre clans… Elle passa rapidement dans le vestiaire se changer et passa au casino clandestin où rien ne semblait fonctionner de travers. Quelques sourires à des habitués, et elle repartit dans les couloirs du personnel où elle croisa Kelly. L’habituelle petite femme enjouée qui reçoit les clients dès leur arrivée, semblait plutôt paniquée avec son petit verre d’eau. Angela la secoua un peu pour qu’elle redescende de ses émotions et cette dernière lui expliqua rapidement qu’une tête mise à prix, un petit pactole même, était ici et que ca commençait à sentir le sapin sérieusement. Au fil de l’énumération des personnes présentes, la jeune brune perdit le petit sourire réconfortant qu’elle adressait à Kelly. Il y avait du beau monde et ca chauffait… La poisse ! Elle presa le bras de la jeune femme.

Ne t'inquiètes pas, ce n’est pas si grave. Tout ira bien dans quelques minutes. Tiens prends une clope et va la griller avec Mark derrière. D’ici là ce se sera calmé, allez, tiens.

Mais...

Allez!

Elle lui tendit une cigarette tout en essayant de paraître le plus optimiste dans sa façon de parler. Angie savait très biens qu'elle n'était pas quelqu'un du genre capable de réconforter les gens, mais elle fit de son mieux pour cette fois. Elle l’accompagna sur quelques mètres puis suivit le couloir jusqu’à l’ouverture qui débouchait derrière le bar.

Presque midi au Lucky =====>

-Premier post rp-

A peine Don carissimo leur laissa vaquer à leur occupation qu’Andréo sortit du club, il y avait bien trop de monde dans cette pièce. Il aurait facilement pu se placer dans un coin sombre comme il le faisait souvent mais ce club avait vu bien trop d’agitation pour que l’asocial y reste et surtout il y avait Giovano. Il avait encore fait preuve de zèle, comme toujours il aimait en faire trop surtout lorsqu’il s’agissait de combat, montrer aux gens qu’il était tout puissant du haut de ses deux mètres ce qui le rendait encore plus désagréable. L’italien se dirigea vers la voiture qu’il avait utiliser pour se rendre ici avec les autres, bien qu’il aime sa winchester celle-ci n’était pas vraiment discrète et sa prochaine destination étant dans le quartier adjacent il aller s’y rendre à pied, autant ne pas s’encombrer avec cet arme un peu de marche ne faisait pas de mal et au moins il n’aurait pas à écouter un de ses chauffeur de taxi plein d’entrain et de discours.

Andréo vérifia les personnes autour de lui pour s’assurer que personne ne s’intéresserait a ce qu’il allait faire. L’italien ouvrit le coffre de la voiture, il sortit son fusil du large imper qu’il avait enfilé peu avant et le déposa dans le coffre, il quitta par la même occasion le large imper et le déposa sur l’arme plaçant le tour sur le coté gauche de la voiture. Il referma le coffre remontant sur le trottoir, il portait une maintenant une simple veste noire de bon goût entrouverte laissant apparaître une chemise noire dans une matière semblable à de la soie ou du velours, il portait un pantalon de toile dans les même ton ainsi que des chaussure de bon goût. Andréo sortit de sa veste un paquet de cigarette, en portant une vers ses lèvres il l’éclaira avec le zipo sortit de la même poche. La faible flamme vint réchauffer son visage, la neige tombait lentement commençant à blanchir sa veste le soleil semblait se faire de plus en plus rare, il replaça le briquet et la paquet dans sa poche se mettant à la bri de la neige sous l’avancé de toit du club non loin d'une entrée pour le personel.

L’italien avait décidé de finir sa cigarette avant de se rendre à l’armurerie où son sabre avait du arriver. Le garde du corps passa sa main dans sa veste pour vérifier que son porte feuille était bien là avec l’argent qu’il lui faudrait pour payer le transport de l’arme jusque ici.

<==== Presque midi au lucky

~~PNJ – Bruce~~

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Le verre fini assez rapidement, l’américain s’était levé pour quitter la salle principalement à cause de la présence de Lucio à ses cotés mais aussi pour éviter de faire un acte qu’il pourrait regretter, bien qu’il ait décidé de ne plus prendre part à la discussion l’envie de démonter la tête de l’italien n’avait pas diminuée. Il fallait dire qu’il n’avait rien fait pour calmer les nerfs de Bruce avec sa petite remarque des plus inutile.

"Cela ne sert même à rien que je réponde à ce que tu m'expose là tu n'es qu'un petit soldat voulant faire du zèle devant ton boss tu vas dire que je me sens pousser des ailles dès que le Don est présent à mes côtés mais tu le fait pire que moi et sans discrétion."

En plus d’être stupide, arrogant et bien d’autres choses, il était imbu de sa personne, comme s’il valait mieux que Bruce. Lui au moins savait quand il était dans une situation désavantageuse et savait se taire, certes l’américain n’était pas gradé mais la présence de James n’avait en aucun cas encouragé l’homme dans ses actions, il aurait agit comme cela que son patron soit là ou non. En fait si James n’avait pas était là il aurait peur être fait pire… Bruce s’engagea dans la partie arrière du club après avoir salué monsieur Lynch, il passa devant une asiatique plutôt attirante se retournant sur son passage admirant la belle qui se dirigeait vers le bar et plus précisément vers James, il les avait vu entrer ensemble. Ne s’en occupant pas plus Bruce se retourna à nouveau vers le couloir des employer pour sortir par la porte arrière, il n’était pas un employé mais il en avait la permission aidant de temps à autre le videur du Lucky. Il poussa la porte en métal pour se retrouver dehors. Refermant la porte il commença à vociférer à voix haute.

"Bordel, mais quel enfoiré. Il se permet de se foutre de la gueule de n’importe qui avec 10.000$ sur la tête et on doit le laisser se pavaner car c’est un Rital de…."

Bruce arrêta sa phrase avant la fin se retrouvant nez à nez avec Andréo, il avait remarqué que l’homme était une des 4 personnes étant entrées avec le Don, sûrement un de ses gardes du corps. L’américain le dévisagea quelques instants avant de continuer son chemin lui passant devant reprenant de plus belle ses paroles. Il fallait dire qu’il avait très mal prit le fait de voir lui passer sous le nez 30.000$. Quelques mètres de plus et sa voix se refit entendre aux oreilles d’Andréo mais aussi a toute personne le croisant.

"Si je le tenait ce sale rital je lui ferai cracher ses 10.000 $, avec ses grands air à croire que parce qu’il est gradé il peut tout se permettre ce mec, il a de la chance d’avoir une bonne étoile mais d’autres lui montreront qu’il est rien avec 10.000$ sur la tête. "

Les paroles de Bruce était pleine de remords et de frustration il était si proche de toucher cette récompense, si proche de changer sa vie une nouvelle fois, sa vie mais aussi celle de sa famille.

Alors qu’il fumait se tube de nicotine se délectant de la douce fumée qui emplissait ses poumons une porte sur sa gauche s’ouvrir assez violement accompagnée par des gémissements d’une personne apparemment un homme à sa voix. Le garde du corps tourna sa tête sur le coté pour constater que la nouveau venu était cet homme qui avait subit l’attaque de Giovani. Il semblait assez énervé pour une raison qui semblait évidente bien que trouble pour l’italien malgré qu’il ne parle pas anglais.

"Bordel, mais quel enfoiré. Il se permet de se foutre de la gueule de n’importe qui avec 10.000$ sur la tête et on doit le laisser se pavaner car c’est un Rital de…."

Tout ce qu’il en avait compris était les deux ou trois insultes ainsi que quelques mots isolés, "Bordel…enfoiré….gueule…10.000$...Rital de…." Il parlait donc forcement de Lucio l’un des hommes de confiance de Cesare présent dans le club les 10.000$ que l’américain avait dit dans la phrase appuyant ce fait, Andréo se demandait ce qu’il avait bien pu faire pour se retrouver avec 10.000$ sur la tête le portrait à l’entré du club l’ayant renseigné sur la personne ciblé par tout ce beau monde. Une personne ayant le post de Lucio avait du tomber sur une chose assez difficile pour ne pas avoir pu faire jouer sa place dans le clan. Bruce s’était tu venant de se rendre compte de la présence du garde du corps celui-ci ne pouvant être au courant que l’italien ne parlait pas sa langue et donc ne comprenait presque rien… L’américain le dépassa de plusieurs mètres avant de reprendre son monologue.

"Si je le tenait ce sale rital je lui ferai cracher ses 10.000 $, avec ses grands air à croire que parce qu’il est gradé il peut tout se permettre ce mec, il a de la chance d’avoir une bonne étoile mais d’autres lui montreront qu’il est rien avec 10.000$ sur la tête. "

Quelques mots prient à la volé une nouvelle fois "sale rital…10.000 $...gradé…Mec…10.000 $" Apparemment cet homme semblait aimer l’argent ce qu’Andréo ne pouvait comprendre lui vivant plus qu’aisément avec ce qu’il avait, il gagnait peut être 425$ par semaine mais ) la fin de cette même semaine il lui en restait souvent plus des ¾ sauf si comme aujourd’hui il avait un gros achat à faire, un achat qui allait changer les prochains jours de son existence car pour lui récupérer son sabre lui permettrais à nouveau de provoquer Giovano.

Lançant sa cigarette dans la ruelle Andréo se mit en route vers l’armurerie du clan pour aller payer la jeune femme qui la tenait et prendre son bien. Il n’avait pour le moment jamais rencontré cette jeune femme n’ayant pas eut à se déplacer pour passer sa commande, tout ce qu’il en savait c’était qu’il devrait bien s’entendre avec elle d’après Don Carrissimo… Dépassant l’américain sans même lui adresser la parole.

Une petite comande ====>

>>> caserne militaire

Hrp/ Je poste ici car y a quelqu'un susceptible de m'intéresser\Hrp.

Shaka avait quitter la caserne en trombe avec la Jeep qu'on lui avait proposer, Steven le connaissait bien et il savait que si il prenait la peine de lui poser des questions sur une affaire c'était qu'il comptait s'y intéresser et ce quoi qu'il lui réponde, le vieux militaire n'avait répondu négativement à sa question que pour ce couvrir de quelconque témoins qui pourrait affirmer que Shaka était partie à la recherche du type, si cela ce produisait il était évident qu'il viendrait lui poser des questions si jamais le cadavre de ce pauvre type venait à être retrouver et cela il en voulait pas. Shaka n'aurait pas trop de mal à ce disculper bien entendu mais cela entrainerai de longue heures d'interrogatoire qui l'ennuierai vraiment et du temps il en avait pas à perdre surement pas pour de pauvre petit bureaucrate qui manierai plus la plume et l'encre que la poudre et les flingues. Shaka n'eut que peut de difficulté à expliquer à la sentinelle le but de sa sortit et armer en plus, il lui avait suffit de lui expliquer qu'il devait ce rendre au QG de la police pour aider à une affaire et ce fut chose faites, son grade et son assurance suffire à faire le reste. Shaka en faite ne ce dirigeait pas vers le quartier général de police, bien sur il finirai par y mettre les pieds pour rendre véridique son histoire mais pour le moment en faites il ne savait pas vraiment où est ce qu'il devait ce rendre pour retrouver la trace de ce gros tas de pognon et il espérait que le dossier qu'il avait récupérer l'aiderai à s'orienter dans ses recherches, car la ville était grande et la ratissé dans tous les sens lui prendrait des jours peut être même des semaines et il n'avait pas de temps à perdre. Shaka était parfaitement conscient que son plus grand adversaire dans cette affaire était le temps, n'importe qui pouvait tomber sur cette tète primer et le devancer et pour le moment il avait un train de retard, du temps qu'il avait utiliser pour ce préparer comme il faut, pour monter un plan au point et surtout pour récolter quelque information qui ne serait pas négligeable pour son enquête. Shaka roula donc quelque instant pour s'éloigner de la caserne qu'on ne s'aperçoive pas en train de ce garer, il longea l'aéroport international de la ville qui était comme à chaque en pleine effervescence, des gens attendait pour partir d'autre arrivait par charter complet, il ne fallait pas oublier aussi les immense avion qui apportait leur marchandise et d'ailleurs il ce pouvait même qu'un de ses avions de marchandise apporte quelque marchandise illégal pour la Triade, mais en ce jour de chasse c'était le dernier de ses soucie.

Shaka après avoir dépasser l'aéroport ce gara sur le bas de coté et attrapa le dossier que Steven lui avait remis il n'y a pas si longtemps que ça, le vieux borgne l'avait jeter sans guère de ménagement dans le véhicule et le retrouva sous le siège. Le militaire l'ouvra et ne regarda pas le portrait robot ou les divers information qu'on avait sur le lui au sein de la police il ce contenta de survoler rapidement les crimes dont il était coupable et surtout il ce reporta avec nettement plus d'attention sur les témoinage de témoins qui avait assister à la scène. Shaka fut tout d'abord étonner de voir autant de témoinage il y en avait bien une vingtaine comment un homme suspecter de trafic d'arme pouvait laisser autant de témoins derrière lui et toujours être en vie, c'était une bonne question et dont le vieux n'avait pas la réponse. Shaka lu donc les témoignage divers et tous semblait concorder, ou tout du moins il était tous d'accord sur le faites qu'une bagarre avait débuter entre les deux hommes à propos d'un portefeuille et que la victime c'était faite tuer suite à ce petit problème, Shaka ne savait pas combien pouvait contenir ce portefeuille mais surement pas l'équivalent d'une vie ou alors ce type était bourrer de thune jusqu'au cou, lui même ne tuait pas à moins de mille dollars, d'ailleurs si un homme était mort c'était la faute à pas de chance mais tant mieux pour lui il allait pouvoir ainsi s'enrichir nettement plus et préparer sa retraite de l'armée. Shaka après avoir lu quatre déposition voyant que celle-ci ne rapportait pas de grande différence ce décida à aller directement les conclusions de l'agent qui les avait interroger, ceci serrait certes moins détailler mais au moins sa aurait l'avantage de lui apporter toutes les information de l'affaire d'un seul bloc et après une lecture minutieuse Shaka obtenue enfin une information intéressante d'abord quatre des témoins l'homme aurait prit le tramway s'arrêtant dans le quartier Italien à proximités de la central téléphonique de la ville, voilà une information qui était des plus intéressante car cette arrêt ne menait qu'à un seul et unique endroit et c'était au terminus de la ligne qui ce trouvait dans le quartier américain qui s'arrêtait à quelque pâté de maison du Lucky Number. Shaka savait maintenant ou commencer à le rechercher, la piste commençait à ce réchauffer, bien entendu si il réfléchissait comme pour lui il chercherait partout sauf la bas car il serait descendu du Tramway pour en prendre un autre et aller à l'autre bout de la ville, mais cette proie n'était pas comme lui, elle laissait une cohorte de témoins tuais en plein jour donc elle ne pouvait qu'aller dans le quartier américain et lorsqu'on savait à quel point les amerlocs et les ritals s'entendait il n'était pas difficile de savoir pourquoi et surtout où le retrouver, ce n'était pas l'heure du crime donc il y allait surement pour ce descendre un ou deux godets ou discuter affaire mais l'un comme l'autre il n'y avait qu'un endroit qui pouvait s'adapter à ses situation et fournir une protection, le Lucky un club ultra sélectif où les flics éviter de poser les pieds sans de considérable renfort.

Shaka remit donc en route son véhicule et partit en direction du quartier américain et plus particulièrement pour le Lucky Number, le trajet ne fut pas long à peine une poignée de minutes générallement les gens fessait place net devant un flic des forces de l'ordre fonçant à toutes berzingue sur la route. Une fois arriver à quelque rue du Lucky Shaka s'engagea dans une ruelle sombre adjacente et coupa le moteur ce servant de sa lancer pour avancer silencieusement dans la ruelle et alors qu'il voyait l'un des murs de son lieu de destination il freina en silence et descendit de la jeep après avoir récupérer son arme dont il passa la sangle à l'épaule. Shaka connaissait parfaitement cet endroit car il l'avait déjà étudier au cas où un contrat ce présentait et il savait donc parfaitement où ce placer pour shooter quelqu'un sortant de bâtiment que ce soit par la grande porte ou l'entrée de service, cette position unique n'était autre que le coin du bâtiment qui lui était voisin. Shaka ce dirigea donc dans la ruelle sombre à pas feutré après avoir récupérer le reste de son matériel et laisser en évidence sur le rétroviseur un porte clé représentant l'intérieur d'une lunette de sniper et retirer les clés du contact. Seulement à quelque pas de l'échelle de secours qui lui aurait permis d'atteindre d'une seule traite le sommet de l'immeuble la porte de service s'ouvrit et un homme sortit en pestant.

"Si je le tenait ce sale rital je lui ferai cracher ses 10.000 $, avec ses grands air à croire que parce qu’il est gradé il peut tout se permettre ce mec, il a de la chance d’avoir une bonne étoile mais d’autres lui montreront qu’il est rien avec 10.000$ sur la tête. "

Voilà ce qu'entendit Shaka au moins sa lui confirmait ses déductions et surtout sa lui assurait peut être même un allier pour récupérer le type dans la rue sansqu'il est à s'exposer mais cet homme n'était pas seul un autre suivit et repartit quelque instant plus tard. Shaka attendit dans l'ombre quelque instant histoire d'être sur qu'il n'y avait face à lui qu'une seule personne et une fois ceci effectuer sa voie s'éleva de l'ombre, une voie froide et dans laquelle transparaissait le poids de l'age :

" 10 000 $ c'est une somme et je suis la pour sa voit tu, je t'en propose la moitié tu n'auras qu'à la ramasser dans la rue lorsqu'elle tombera sinon je la garde pour moi, mais tente pas de me doubler c'est un conseil, je saurai te retrouver. "

Le visage de Shaka ne tarda pas à apparaitre suite à ses mots à la lueur de la flamme de son briquet en train d'allumer une clope, le vieux n'attendit pas la moindre réponse il ce contenta de sortir de l'ombre et d'attraper l'échelle pour grimper jusqu'au sommet du petit immeuble avec agilité. Une fois au sommet Shaka jeta son mégot au sol et l'éteignit d'un coup de talon et rampa jusqu'à sa position, il prit de la neige sur le sol qu'il mit dans sa bouche pour éviter d'être découvert par la condensation de sa respiration et arma son arme dans un cliquetis discret. Shaka entoura ensuite le canon de son arme de sa peaux de mouton pour étouffer le bruit de la détonation et enfin il retourna son béret pour le poser sur sa lunette et ainsi éviter que le soleil ne s'y reflète, la guerre était un art où il fallait exceller ou périr et la discrétion y était primordial, on devait paufiner jusqu'au plus petit des détails, le vieux militaire n'avait plus qu'à attendre son tas de pognon.

Comment attraper un italien ===>

Bruce se dirigeait vers l’entreprise de rénovation des ponts et tunnels pour y attendre monsieur Lynch voulant lui faire par de sa façon de voir les choses, ils était peut être allier avec les italien mais ils n’avais pas pour autant a se faire rabaisser par un de ces ritals et encore moins par ce type qui ne respectait rien. L’homme qui se trouvait à ses coté il y a peu passa devant lui sans un mots continuant sa route dans le froid. Bruce aurait était une personne stupide il aurait fait payer à ce type les paroles de ce Lucio mais cela ne servirait a rien. Alors qu’il tourna dans une ruelle une voix l’interpella. Une voix qui était roque laissant imaginer assez facilement l’age de son propriétaire.

" 10 000 $ c'est une somme et je suis la pour sa voit tu, je t'en propose la moitié tu n'auras qu'à la ramasser dans la rue lorsqu'elle tombera sinon je la garde pour moi, mais tente pas de me doubler c'est un conseil, je saurai te retrouver. "

Une flamme s’éleva dans l’ombre laissant apparaître le visage d’une personne plutôt âgée, un œil caché par un bandeau fut la première chose qu’il distingua ainsi qu'un nombre non négligeable de cicatrice outre les traits âgés. L’homme n’attendit pas sa réponse et monta doucement sur le toit de l’immeuble ce qui permit à Bruce de mit le voir confirmant par la même occasion l’age assez élevé de cette personne, sa carrure était tout de même assez impressionnante pour son age qui devait se situer dans la 50ene passée, il portait aussi un treillis militaire, l'était il ou n'était-ce qu'un style.... Sur son épaule un fusil pouvait être facilement visible, celui-ci était équipé d’une lunette de grossissement qui permettrait à l’homme de cibler plus facilement l’italien. La question ne se posa pas plus d’une seconde dans la tête de l’américain 5000 $ c’était bien plus qu’il ne pourrait avoir même en discutant avec monsieur Lynch et dieu sais qu’il avait besoin de cette somme.

"Ok…."

Bruce leva les yeux mais le peu de temps qu’il avait mit à répondre avait déjà permis à l’inconnu de gravir la presque totalité de l’échelle. L’américain traversa la rue pour se placer bien en face de l’entré de cette façon Lucio ne pourrait le rater et cela permettrait à l’homme de le cibler plus facilement, de cette façon il espérait prouver à l’ancien son implication dans son plan… Bruce était presque persuadé que l’italien ne pourrait résister à l’envie de venir lui chercher une nouvelle fois des crosses même en dehors du Lucky et il pensait même que c’était encore plus intéressant puisque ce vantard avait à plusieurs fois proposé de sortir en un contre un…

Comment attraper un italien ===>