Mafia war's
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Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis
 
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MessageSujet: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeLun 13 Oct - 21:40

Six Polonais. Cinq hommes et une femmes. Tous avec une gueule patibulaire sauf la nana qui se contentait d'avoir l'air froide et cruelle. Et oui, faut savoir que dans la mafia vaut mieux en imposer dés qu'on y rentre sinon on se fait bouffer par ceux qui sont déja moche comme des cul. bref cette belle bande était armé jusqu'au dent, du moins dans le non visible. Deux voitures lambda, deux grenades, Six Thomson et autant de chargeur avec en bonus de quoi fabriquer des coktail maison. C'est nerveusement que al belle rousse qui jouait les chefs de tout ce beau monde tournaient en rond.

"Bordel de merde, qu'est ce qu'il fout ce con, déja 20 minutes qu'on devrait avoir eu des nouvelles!"

Un des hommes adossé au mur du garage, fermé tôt aujourd'hui, sortit des rangs et s'approcha de la demoiselle lui faisant des grands gestes malgré la proximité plus que visible.

"Reste calme Anna, il va arriver avec ce salaud dans pas longtemps. faut laisser le temps au temps et..."

"Rhâ ta gueule, tu m'as calmé avec tes sermons de merde. Il est déja 17h40 et personne n'est là. J'attends encore un peu et je fais lancer un nouvel avis de recherche sur celui qu'on a vu traquer cette sous merde. En attendant si on le tient..."

Un large sourire se dessina sur la magnifique faciés alors même que la demoiselle imaginait mille et une torture pour celui qui avait tué l'un des leurs, un polonais. D'ailleurs ici, qui aurait pu se douter de l'origine de ces hommes. Plus aucun n'avait d'accent, tus était bien intégré dans le rêve américain et chacun avait un minimum d'expérience dans ce qui allait suivre. Anna, la patronne de ce beau monde avait été chargé de récupérer puis de torturer pour la forme celui qui nuisait au Polak. Ah ça il allait en prendre pour son matricule le petit salaud.Les voitures avait été mise en route, le matériel était prêt, on n'attendait plus que l'invité d'honneur...

"Sortez les batteries vous autres, que tout soit prêt pour lui."

Et les cinq autres se mirent en branle pour terminer les préparatifs.


Dernière édition par PNJ/MJ le Ven 17 Oct - 0:38, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeLun 13 Oct - 22:51

En attente d'une livraison Pnj1cy9

~~PNJ – Bruce~~

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~


<=== Comment attraper un italien?

Bruce avait roulé à travers toute la ville en direction du quartier irlando-polonais avec Lucio dans la malle de sa voiture. Il n'avait que peu d'indice sur l'endroit où il devait déposer son colis mais le groupe de voleur semblait avoir une très bonne organisation vu la vitesse à laquelle les portraits de Lucio avaient été distribués et la somme à la clé de sa capture l'américain ne douté pas qu'il aurait de nombreux indices sur sa destination future. La voiture s'engagea ainsi dans le quartier en lui même, rapidement Bruce se mit à observer sur les murs de plusieurs bâtiments le même type d'annonce qu'il avait pu voir dans le Lucky Number mais en bien plus grand nombre, après avoir tourné un nombre assez conséquent dans les rues sans plus d'indice sur sa destination Bruce stoppa son véhicule sur le bord d'un trottoir avant d'en sortir. La blessure à sa jambe ne saignait plus mais la douleur était toujours bel et bien là, l'américain se dirigea vers l'affiche avec la description de Lucio et l'arracha puis regarda longuement autour de lui avant de se diriger à nouveau vers son véhicule.

A peine fut il installé sur le siège qu'un gamin accouru à coté de sa voiture et tapa plusieurs fois contre la vitre. Bruce la descendit lentement et le môme se mit a dicter à voix basse un texte qu'il semblait avoir apprit par coeur.


"Si vous êtes perdu le garage des Mac Coy pourrait vous aider, adressez vous au grand blond il connais bien le quartier lui, il aide des personnes comme vous assez souvent."

Aussitôt dit et aussitôt disparu avec la pièce que venait de lui lancer Bruce pour le remercier de son aide. Le garage des Mac Coy il était passé devant une ou deux fois depuis qu'il tournée dans le quartier. La voiture repartit lentement en direction de celui-ci enfin il allait toucher l'argent pour lequel il avait prit une balle. Une petite 10ene de minutes plus tard l'américain arrivait devant le garage, un homme assit non loin s'approcha lorsqu'il vu la voiture se stopper devant le garage.

"Vous venez pour les objets perdus?"

"Oui vous savez ou je dois me présenter? Le colis et dans le coffre."


Alors qu'il répondait Bruce décala la tête pour laisser bien en vue l'avis de recherche avec le portrait robot de Lucio.

"Je vous ouvre."

Et voilà comment les 10.000 $ allait bientôt être à lui. La voiture s'avança doucement dans le garage et la lourde porte se referma derrière Bruce. L'américain stoppa la voiture devant le groupe de personne attendant apparemment son arrivée, cinq hommes et une femme qui semblait tous assez énervé. Le brun sortit de sa voiture attrapant le portait robot de Lucio et traînant la jambe se rapprocha d'eux lançant le portrait sur le sol.

"Il est dans le coffre si vous voulez vérifier, il a prit quelques coups mais vous l'avez toujours en assez bon état."
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeMar 28 Oct - 19:49

La demoiselle rousse, visiblement chef de cette cours des miracles, eu une sorte de lueur dans l'oeil lorsqu'entra le "colis" dans le garage. Pour ceux qui la connaissait, c'était mauvais, tres mauvais. Cela signifiat que pour tout ce qui allait suivre, elle allait prendre un malin plaisir à exécuter ses plus bas instinct, le mieux étant quand ça se produit avant une nuit d'amour, ici c'est à de l'amour vache qu'il faudrait attendre. Avant même que le nouveau venut n'est pu penser à parler, la jeune femme bougeait mécaniquement les bras, en un ballet désordonné, les seuls son en ressortant étant le léger froissement du tissu de son imperméable marron. A ce discours muet répondaient ses cinq comparses, l'un s'affairant à préparer les batterie, tandis qu'un autre s'était mit à consciencieusement à dérouler un tuyau d'incendie accroché au mur tout en réglant le débit alors même que deux complices ramenait une voiture d'un coin sombre du garage. Le dernier enfin, terminait de fermer les portes du garage apres l'entrée de l'inconnus pour finalement aller ouvrir une sortie dérobé donnant sur une ruelle où la lumiére n'avait que peu d'accés. Apres quoi, chacun mis gants et cagoule sauf l'amazone qui coiffa un masque vénitien d'un blanc immaculé à lévre noir, cela contrastant avec sa chevelure de feu ainsi que ses vêtement, apres quoi elle partit à la rencontre du livreur. La polonaise tira de la poche intérieur de son manteau, une sorte d'enveloppe marron légérement bombé, avant de la tendre fermement de sa main ganté de cuir à celui qui lui faisait maintenant face, l'oeil mauvais.

"5.000 dollars là dedans, le reste dans la boite à gant de la bagnole que tu vas prendre pour te barrer d'ici, quand on sera sûr que le colis a été livré. Apres quoi tu vas te casser et si jamais on te revoit dans le coin avant 100 ans je me chargerai moi même de te trouer le cul, c'est déja bien beau qu'on te saigne pas sur place alors t'as plutôt interêt à fermer ta gueule si tu veux pas que ça se fasse."

Alors qu'elle expliquait à l'anonyme ce qui allait se dérouler, la troupes de "joyeux lascars" rapprochait une de leur bagnole de celle de l'arrivant, les mettant coffre à coffre, laissant assez d'espace pour que deux hommes puissent avancer de front. Soudainement chacun se mit en place. le coffre de la caisse polonaise fut ouvert en grand, son contenus vidé à une vitesse ahurissante sur la banquette arriére où il disparut dans une sorte de renfoncement aménagé comme cache d'arme, un des hommes prit place entre les deux véhicules, au juste milieu avant d'être encadré de deux autres lourdement équipé de gant de caoutchou indien ainsi que de sorte de sur-chaussure de la même matiére, l'un tenant fermement un couteau de silex tandis que son compagnon de jeu faisait apparaître de léger arc entre les pinces crocodile qu'il tenait, vérifiant ainsi une derniére fois le fait que les batteries soient chargé. Deux autre équipé de corde et portant le même acoutrement se mirent en place avant que la patronne elle-même ne les rejoignent en sortant son Mauser, chargé de bien étranges munitions à ogive de caoutchou ainsi qu'a faible charge de poudre. En un souffle tout débuta.

Un de ceux ayant une corde ouvrit brusquement le coffre alors même que le pompier en herbe bonbardait celui qui s'y trouvait d'un jet puissant, d'abord dans les jambes puis à la tête, à une petite cinquantaine de bars, suffisant pour assomer un peu quiconque prendrait de face un tel projectile acqueux. Ne perdant pas de temps, les deux compagnons encadrant l'homme au jet se mirent consiencieusement à faire leur travail. Le premier découpa de son arme en silex le pantalon de sa victime ainsi que tout ce qui s'y trouvait comme tissu avant que son acolyte ne se saisissent des parties tendre et fragile chez tout homme pour envoyer une décharge électrique pendant 30 longues secondes, rien de létal mais de douleureux oui. Cette opération quasi-castratrice fut répété trois fois, le temps que ceux à la corde ne termine de réattacher la pourriture d'assassin par dessus les anciens cordages maintenant un peu humide afin qu'ils tiennent jusqu'au lieu de détention, et de tel maniére que si l'attaché bougeait de trop, il se verrait étrangler par ses propres mouvements. Lorsque que tout fut terminé, on balança cette raclure à moitié à poil et attaqué dans sa virilité au fond du coffre du véhicule polonais, avec autant de précaution qu'on aurait prit pour un sac de patate à 2¢ le kilos. La rousse tira de sa poche des clés qu'elle jeta sur l'inconnus qui avait ramené sa future victime.

"Maintenant casse toi et si je te revois dans le coin , je te retire les boyaux en passant par le trou qui te sert de vide-merde."

Apres quoi elle se planta devant le coffre et de sa face pâle et figé, le contempla presque amoureusement, comme un gamin devant son jouet préféré qu'il venait de retrouver apres des mois de recherche. Mais un de ses hommes s'approcha d'elle, un léger sourire au lévre.

"On a fait renforcer le coffre, si quelqu'un devait sortir par l'intérieur, ce serait à la grenade, je sais que c'est le genre de détail que tumf.."

Un doigt recouvert de cuir venait de se poser sur les lévres du parleur, pour le faire taire; le regard de la donzelle derriére son masque changea et elle parla en un souffle, entre le ton impératif et séducteur.

"On verra ça ce soir. J'ai de la merde à nettoyer."

Savoir se comporter en femme tout en causant à pied égal avec ses hommes devait sans doute jouer dans le fait qu'ils lui fassent confiance et obéissent à ses directives sans trop broncher, mais cela rentrait souvent dans le domaine du privé. Celui lui faisant fasse lui tendit également une lame. Apparement cette espéce de brosse à chiotte avait pu garder une arme sur elle, mais il allait devoir apprendre à jouer dans la cour des grands. Sans doute la marque de la lame devait être imprimé sur sa peau, là où avait été découvert le couteau, c'était bien connus que le métal et le courant ne faisait pas bon ménage, tant pis pour ce plouc, ce n'était qu'un avant goût de ce qu'il allait prendre, oh oui. Elle s'éloigna de la voiture et d'un geste rapide et précis elle cala l'arme entre les barreaux d'un des pylones soutenant le toit et imprima séchement tout son poid sur le manche avant qu'un claquement n'indique que le couteau n'était plus. Apres quoi elle montra du doigt deux de ses acolytes avant de désigner le véhicule de "livraison".

"Rappelez ceux qui bossent ici. Dites leur de virer cette merde avant ce soir minuit, je veux plus une trace de ce mic-mac, rincez les sols à l'acide si il le faut je veux que même une blatte n'en réchappe pas, pareil pour le gadget cassé recouvert de barbak, plus rien. Apres quoi vous nous rejoignez au lieu dit. Oubliez pas d'envoyer nos "flics" nettoyer les rues."

Apres quoi la jeune femme monta dans la véhicule-prison avant que le moteur ne se mette à ronronner bruyament, si bien qu'il était dur de s'entendre parler. Tant mieux, l'autre pourrait gueuler s'il le voulait, ça ne changerait rien. Apres que leur hôte n'est vidé les lieux, les polonais firent de même rejoignant rapidement la sortie de la ville.
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Lucio Gonzolini
L'italien gradé et traqué à petite saucisse.
Lucio Gonzolini



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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeLun 3 Nov - 2:20

<== devant le lucky

Lucio était dans le coffre de la voiture, toujours vaseux, il commençait tout doucement a se réveiller en sentant les rebondissements de la voiture quand elle passait sur un ni de poule. Il ne savait pas ou il se trouvait, il retrouvait ses esprits mais la douleur de son bras et de son menton l'empêchait de réfléchir normalement. Une fine lumière passait par une ouverture du coffre, c'était une lumière orange de réverbères de la route, surement que la nuit était tombé mais en tout cas le froid était toujours là. Tout à coup, la voiture se stoppa.

"Si vous êtes perdu le garage des Mac Coy pourrait vous aider, adressez vous au grand blond il connais bien le quartier lui, il aide des personnes comme vous assez souvent."

Oui, les pensée revenaient enfin, il ne comprenait pas ce qu'y se disait, mais il savait qu'il y avait une discussion. Tout revenait un peu maintenant, la douleur au bras et au menton: Les balles qu'il avait reçu par un sniper. Ses deux amis morts par ce même sniper. Cet enfoiré de Bruce gisant au sol la main sur sa jambe. Mais alors qu'est-ce qu'il foutait là ? Encore une question sans réponse pour le moment... Il regarda où il se trouvait, à en juger c'était un coffre mais la faible lumière ne lui permettait pas de voir autre chose que ses liens qui l'empêchait de bouger. Il entendit une nouvelle voix.

"Vous venez pour les objets perdus?"

"Oui vous savez ou je dois me présenter? Le colis et dans le coffre."

"Je vous ouvre."

Un homme cette fois-ci, et la voix de Bruce, cet enfoiré. Après cet arrêt la voiture redémarra et pris un dos d'âne. Et le bruit de la voiture avait changé, comme si il résonnait, comme si elle était rentrée dans un bâtiment. Elle se stoppa une dernière fois et Lucio put distinguer la portière qui s'ouvra ainsi que des pas dans le bâtiment. Bruce pris la parole et après cela beaucoup de gens se mirent en mouvement avant qu'une dame pris la parole. Impossible de dire combien de personne se trouvaient présente, et non plus dire ou ils se trouvaient.

(bruce)"Il est dans le coffre si vous voulez vérifier, il a prit quelques coups mais vous l'avez toujours en assez bon état."

(polonaise)"5.000 dollars là dedans, le reste dans la boite à gant de la bagnole que tu vas prendre pour te barrer d'ici, quand on sera sûr que le colis a été livré. Apres quoi tu vas te casser et si jamais on te revoit dans le coin avant 100 ans je me chargerai moi même de te trouer le cul, c'est déja bien beau qu'on te saigne pas sur place alors t'as plutôt interêt à fermer ta gueule si tu veux pas que ça se fasse."

Alors Lucio était un colis, un morceau de viande, et Bruce avait gagné 10.000 dollards en livrant l'italien, c'était pas juste ça. Lucio n'avait jamais entendut la voix de cette femme et elle n'avait pas d'accent distinc. Ce moment, Lucio frappa sur le coffre et répliqua.

Hey, je veut ma part aussi moi je me suis amené ici quand même je rêve pas . Pourquoi ce petit con devrait rafler le pactole.

Après quoi, les bruits dans le garage se firent plus pressés, des ouvertures métalliques des déplacements d'objets, et toutes sortes de choses, il ne savait pas ce qui se passait, mais allait bientôt le savoir. Le coffre de la voiture de Bruce s'ouvrit brusquement et aussitôt, avant même qu'il put ouvrir la bouche, il reçut un jet d'eau digne d'une lance de pompier sur tout le corps de bas en haut. Au moment ou le jet arriva au niveau de sa figure, il tourna celle-ci par réflexe évitant un peu le coup assommant qu'il se serait pris, il était sonné mais pas comme tout à l'heur. Il pouvais encore réfléchir plus ou moins bien et encore parler de façon audible mais pas trop. Il lança une réplique et cracha sur le l'eau qu'il avait dans la bouche puis un homme avec un couteau en silex le mit a nu et avant de se faire électrocuté, il lança une nouvelle réplique.

(avant nu)Beurk, j'aurais plus apprécié de la grappa.

(nu)si la rousse voulait me voir nu, il suffisait de le demander. J'aime pas les délirs avec des couteau quand je fait l'amour a une femme. En plus les plan a plusieurs avec d'autre homme non plus.

Après ça, un homme arriva devant lui avec des pinces crocodiles aux mains. Sur le coup,Lucio eu de grand yeux se demandant ce qu'il allait faire avec ça mais toujours ligoté, il ne pouvais rien faire et ses parties génitales furent grillées proprement dit. Tout les muscles de Lucio ce contractèrent puis se relâchèrent 30 secondes plus tard. Et le tout 3 fois de suite. Ce n'était pas un cris de douleur comme si on lui perforait le ventre que Lucio fit, mais un cris serré et étouffé comme une électrocution qu'un homme recevait. On fit sortir lucio du coffre pour le mettre sur des cordage et dans la quasi-incapacité de bouger. D là, il distingua vaguement les gens qui se trouvais là. Bruce, 5 hommes cagoulés, et la polonaise avec un masque. Il ne fallut que quelque seconde avant d'être jetté dans le coffre d'une voiture et d'entendre la rousse parler a Bruce.

"Maintenant casse toi et si je te revois dans le coin , je te retire les boyaux en passant par le trou qui te sert de vide-merde."

"On a fait renforcer le coffre, si quelqu'un devait sortir par l'intérieur, ce serait à la grenade, je sais que c'est le genre de détail que tumf.."

"On verra ça ce soir. J'ai de la merde à nettoyer."

Lucio était plus dans les vapes dans son coffre, mais il commençais a aimer cette position, c'était mieux qu'un taxi ou que le métro au moins on allait pas lui voler son portefeuille, bien qu'il n'en avait plus maintenant. Avant que Bruce ne parte et que l'on ferme le coffre, Il prit la parole comme il peut.

Hey!... Bruce... Tu lui as parlé du mec qui est censé suivre la voiture pour me filer ? Tu leur as dit qu'ils étaient pas vraiment en sécurité avec une balance comme toi... Les mecs faisant n'importe quoi pour un petit paquet de pognon que je gagne en 1 mois ne sont pas digne de confiance. Comment la petite pute n'a pas pensé a ça ? ... j'ai enfin compris, c'est pour ce con de gamin dans le quartier italien... bah fallait pas s'attaquer a un des plus haut gradé de la mafia . Quand on est con on est con. Sais-tu seulement que les flics ont mis moins de temps a savoir ce qu'il lui ai arrivé, et combien d'argent en plus ils donneraient pour me retrouver? Réfléchis avant de le laisser partir. C'est mieux de gagner l'argent des braqueurs du dimanche et des flics que seulement le leur.

Arg arg arg


Il s'arrêta de parler avec un petit sourire narquois en direction de bruce puis s'installa dans le coffre plus confortablement attendant la réaction des polonais


Dernière édition par Lucio Gonzolini le Mer 5 Nov - 17:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeMar 4 Nov - 2:39

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~~PNJ – Bruce~~

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Bruce avait fait son travail l'italien était à destination voulu et il allait enfin pouvoir toucher sa prime cinq mille dollars pour lui et cinq mille autres pour son acolyte. Devant ses yeux toute une mécanique c'était mise en place, les hommes devant lui travaillaient comme un seul homme préparant toutes sortes d'instruments. Cette vision fit sourire Bruce car il s'imaginait sans peine toute les souffrances que l'on pouvait infliger a un être humain avec tout cela. Tout cela lui fit penser à une autre chose il passa sa main dans la poche de sa veste ou se trouvait le pendentif qu'il devait remettre à cette femme sur la demande de l'homme grâce à qui tout avait était possible mais comment procéder il ne faudrait pas que ces polacks pense qu'il était ce fameux tueur cela pourrait lui poser des soucis par la suite. La rousse enfila un marque d'un blanc immaculé pendant que les autres passèrent des cagoule simple sans aucun agrément, puis passant la main dans sa veste la jeune femme en sortit une enveloppe assez imposante avant de prendre la parole.

"5.000 dollars là dedans, le reste dans la boite à gant de la bagnole que tu vas prendre pour te barrer d'ici, quand on sera sûr que le colis a été livré. Apres quoi tu vas te casser et si jamais on te revoit dans le coin avant 100 ans je me chargerai moi même de te trouer le cul, c'est déjà bien beau qu'on te saigne pas sur place alors t'as plutôt intérêt à fermer ta gueule si tu veux pas que ça se fasse."

Bruce sourit intérieurement le saigner alors qu'il venait de leur apporter ce pourquoi ils voulaient le payer, s'il n'avaient pas eut peur de travailler eux même ils auraient pu l'attraper eux même plutôt que de lui balancer une prime sur la tête, enfin cela étant dit elle allait maintenant pouvoir vérifier que Lucio était bien dans le coffre ce qui lui permettrait de sortir de ce garage riche comme un dieu. L’américain ouvrit vérifiant que la somme semblait correcte mais sans compter il n’avait pas envie de manquer de respect à ses « obligés ». Mais c'était sans compter sur l'italien, apparemment il était réveillé et semblait assez amer d'avoir était trimbalé ici dans le coffre.

« Hey, je veux ma part aussi moi je me suis amené ici quand même je rêve pas. Pourquoi ce petit con devrait rafler le pactole. »

Toujours aussi poli... Après tout il n’avait que ce qu’il méritait si seulement il s’était comporté comme un gentil petit il n’aurait pas eut à subir tout cela. Il semblait aussi ne pas savoir tenir sa langue en fin de compte que ce soit une situation dangereuse ou non et pour tout dire la situation était bien plus dangereuse qu'avant pour lui, ici personne ne pouvait venir lui sauver la peau comme au Lucky Number et même ici Bruce lui même n'avait pas à se retenir car son patron n'était pas dans les lieux. Mais tout commença avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit les hommes s’approchèrent de la voiture de Bruce d’autres placèrent une des leurs à ses cotés et la danse put commencer. Un des hommes ouvrit le coffre de la voiture de l’américain et au même instant un autre armé d’une lance à incendie déversa un flot continu d’eau dans le coffre submergent complètement son occupant ce qui devait très certainement être très désagréable pour la personne subissant un tel traitement, des que le jet d’eau fut coupé deux autres se mirent au travail découpant consciencieusement les vêtements de Lucio. La jeune femme surveillait tout cela d’un œil appliqué Une fois qu’il fut nu comme un vers Elle donna la suite de ses ordres mais en toute bonne grande gueule l’italien ne pu s’empêcher de l’ouvrir à nouveau.

« Si la rousse voulait me voir nu, il suffisait de le demander. J'aime pas les délires avec des couteaux quand je fais l'amour à une femme. En plus les plan a plusieurs avec d'autre homme non plus. »

Les grandes gueules personnes n’aiment ça et les polonais ne faisaient pas exceptions bien que Bruce ne serait jamais si les paroles de Lucio avait contribué a son traitement mais celui-ci fut assez « humiliant » se faire électrocuter n’avait déjà rien de plaisant mais lorsque c’était nos parties génitales qui servait de catalyseur cela devenait encore moins plaisant… Pendant qu’il subissait ce doux traitement qui fit sourire Bruce d’autres personnes le ligoté entre chaque choc. La rousse se rapprocha de Bruce lui lançant un trousseau de clé pendant que l’ont jetait l’italien ben ligoté dans l’autre voiture. Bruce attrapa les clés et sans un mot se dirigea vers sa nouvelle voiture pour vérifier la présence de la voiture

"Maintenant casse toi et si je te revois dans le coin, je te retire les boyaux en passant par le trou qui te sert de vide-merde."

"Pas de souci ma belle j’ai ma thune et tu le fait souffrir je m’aurais aucune raison de revenir par ici. "


Bruce s’appétait à partir lorsque Lucio prit la parole ouvrant son clape merde une nouvelle fois mais cette fois ci ce n’était pas pour lancer une énième provocation mais pour essayer d’enfoncer Bruce ce qui était bien joué pour une fois. Faire douter ses tortionnaire était bien joué et même rusé bien que logique mais cela ne li sauverais pas la vie tout au plus le laiserais en vie un moment.

"Hey!... Bruce... Tu lui as parlé du mec qui est censé suivre la voiture pour me filer ? Tu leur as dit qu'ils étaient pas vraiment en sécurité avec une balance comme toi... Les mecs faisant n'importe quoi pour un petit paquet de pognon que je gagne en 1 mois ne sont pas digne de confiance. Comment la petite pute n'a pas pensé a ça ? ... j'ai enfin compris, c'est pour ce con de gamin dans le quartier italien... bah fallait pas s'attaquer a un des plus haut gradé de la mafia . Quand on est con on est con. Sais-tu seulement que les flics ont mis moins de temps a savoir ce qu'il lui ai arrivé, et combien d'argent en plus ils donneraient pour me retrouver? Réfléchis avant de le laisser partir. C'est mieux de gagner l'argent des braqueurs du dimanche et des flics que seulement le leur. "

"Tu en as pas marre de l’ouvrir ton clape merde toi ? Tu es tout seul ici mon grand tu as plus personne pour t’aider et leur raconter des conneries aussi grosses que toi ne t’aidera pas. Tu penses vraiment qu’ils vont croire tout ça ? Je suis pas gourment et dix mille dollars c’est bien plus qu’il n’en faut pour que je vive heureux avec ma famille pendant longtemps et puis ça m’avancerais a quoi d’avoir demandé à quelqu’un de me suivre dis moi sale rital surtout des flics ? Les flics débarque je suis dans une merde sans nom comme toi et comme eux, on est tous des hors la loi mon grand, ton histoire a un souci dans l’énoncé "


Alors qu’il parlait Bruce semblait de plus en plus heureux de la situation car plus Lucio parlait plus il devait agasser ses tortionnaires et tout le monde sait que ce n’était pas une bonne chose. Se retournant vers la jeune femme Bruce reprit la parole.

"Si vous pensait qu’il y a une once de vérité dans ses paroles je vous laisser autant de temps qu’il vous faut pour ratisser tout le quartier mais je pense que ce sera inutile non ? vous etes surement assez organisé pour avoir des personnes surveillant ce lieux comme le gosse tout à l’heure ? Si j’avais voulu vous doubler vous le seriez déjà non ? "
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeVen 28 Nov - 0:14

Si seulement les souris en cage pouvaient cesser de couiner, le monde se porterait mieux, surtout lorsque ladite souris venait de prendre un court-jus dans le fondement de l'Hommeet se coiffait comme une brosse à chiotte. De ce qu'avait à dire la raclure, les polonais n'en avait cure, c'est pourquoi aucun ne prit l'initiative de parler au futur paquet de viande froide qui allait tres vite découvrir les joie de la grillade et autre sympathie. Cependant, si il tenait à continuer de chanter, il se pourrait que l'on retrouve des morceaux de lui dans les divers restaurant de la ville, les boui-boui glauque ne manquaient pas à Chicago, c'est du moins ce que ce disaient tout les Polonais en présence, chacun ayant la soudaine envie de bourrer de plomb le coffre de la voiture avant de l'envoyer s'écraser dans la rue principale du quartier Italien, tous sauf leur chef, posé et habitué à ce genre de babillage à peine plus digne et crédible que ceux d'un ivrogne un soir de St patrick. Son masque d'albâtre ne laissait filtrer aucune émotion, la rendant presque inhumaine pour ceux la contemplant ainsi, on aurait presque pu la rapprocher de ces Golem des temps ancien, à la forme humaine mais ni faient de chair ou de sang, sa peau n'étant plus visible ou presque. D'un pas détendu mais pourtant ferme elle s'avança vers un petit meuble du garage et fouilla un des nombreux tiroir pour en ressortir un épais tournevis cruciformeainsi qu'une grosse bombe aérosol à buse. Au même rythme qu'à l'arrivée, pour finalement revenir devant le coffre de la voiture dont le moteur ronronnait paraillement à un moteur d'avion. Apres une seconde, son bras fin s'éleva avant de s'abbatre sur la carroserie, percée d'un coup de tournevis, d'un trois si fin que l'on aurait à peine pu y passer un demi-ongle. Le trou ne davait pas se trouver loin de la tête du bouffeur de pâte, et d'un geste brusque mais assuré elle passa la buse de la bombe avant d'en envoyer plusieurs giclée tres courte dans l'habitâcle du coffre, un bon petit coup de gaz lacrymogéne fairait du bien à l'invité.

"J'aime travailler dans le calme pelle à merde, et c'est pas la ficelle de contre-bande que t'as entre les jambes qui me donnera envie de te voir à poil à part pour te les faire bouffer."

Bien qu'en plein travail, la rousse écoutait d'une oreille le livreur, qui commençait à abuser de son temps dans ce saint lieux. Les gens sont vraiment con, à qui croyaient-ils avoir à faire ces deux là? franchement on parlait d'une mafia, certes petite mais loin d'être le genre de tocard à se faire avoir comme des bleus. Apres avoir redéposé ses outils à leur place, Hanna se rapprocha du Yankee passablement amoché avant de poser un doigt ganté sur son torse, avant d'en battre légérement la surface avec insistance, elle prit la parole d'une voix calme.

"Je peux te garantir que si t'es pas partie dans les minutes qui viennent, les dix milles dollard que tu viens de gagner serviront à ta famille pour enterrer un plat de hachis parmentier plus riche en ferraille qu'un plat de lentille alors dégage tout de suite. Quant à savoir ce qu'on a à craindre je m'en ferais plus pour ma propre santé à ta place. Bon tu m'excusera d'écourter l'échange mais j'aimerais pas faire frire mes pâtes à deux heures du mat' si tu vois ce que je veux dire...Rownie, Maka' vous restez ici et je veux que rien ne reste d'un passage quelconque, demandez aux employé du restaurant de vous aider au pire."

Bien sûr ces deux nom étaient purement factice, tout comme cette histoire de restaurant mais on ne sait jamais dans le Milieu, mieux valait faire gaffe. Deux hommes se détachérent du groupe, faisant claquer leurs armes en engageant une balle dans la chambre tout en se campant devant le fameux parmentier tandis que leur chef montait en voiture, quittant les lieux dans le calme relatif d'une piste d'atterissage un jour de défilé aérien, le chauffeur savait qu'il devait être prudent jusqu'a atteindre le nouveau lieux. Au même instant des nouveaux hommes apparement travaillant ici arrivérent, sachant visiblement ce qu'ils avaient à faire puisqu'ils entamaient le rangement des lieux et le démantellement complet du véhicule du livreur blessé, non loin des hommes armé attendant fermement campé sur leurs jambes, arme en joue pour l'un, le départ dudit amoché.
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Lucio Gonzolini
L'italien gradé et traqué à petite saucisse.
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeLun 8 Déc - 15:23

Encore un coffre, bah franchement Lucio en avait vu des belles dans cette journée, une journée comme il les aimait. Au moins, il n'était pas assis dans le bar a siroté une grappa et à ne rien foutre de sa journée que d'attendre la réunion du Don. Oh une grappa, qu'est-ce qu'il en avait envie, une bonne grappa en sicile au soleil de midi. Ce sera pour après. Ce nouveau coffre était un peu plus petit que celui dont bruce avait conduit la voiture, mais au moins il était vide, Lucio n'avait pas des encombrement lui rentrant dans les jambes où les bras. Il pouvais se mettre à l'aise là au moins. Son plan avait foiré, Bruce s'en était sortit et les polonais n'avait pas cru le bluf de l'italien si bien coiffé. Tant pis ça ne coute rien de tenter le coup. Que lui restait t'il a faire? Un petit roupillion ne serait pas de refus, Lucio se mis bien en place tranquilement avant de lacher à la polonaise.

chauffeur, veuillez conduire correctement durant le trajet. Mon ancien chauffeur prenais les nid de poules exprès et ce n'est pas bon pour mon dos.

il ricana au fond de son cofre, mais la petit prostitué de bas étages polonaise n'aimait pas ça, elle fit un trou dans le coffre qui se perça a une bonne dixaine de centimetre de la figure de lucio, elle y glissa la buse d'une bombe aérosole pour en envoyer une giglée a lucio. La garce, il ne l'avais pas vu venir celui là elle l'avait bien eu sur ce coup. Lucio tenta en vint de metre quelque chose devant son visage si parfait, mais les effet de la bombe avait déjà commencé et les yeux et la gorge de Lucio commençèrent déjà a piquer de plus belle. Lucio toussa a s'en faire cracher les poumons, il tenta de frotter les yeux mais ça ne servait à rien, il n'y avait rien à faire sur ce coup là

(italien) Garce!!!!

"J'aime travailler dans le calme pelle à merde, et c'est pas la ficelle de contre-bande que t'as entre les jambes qui me donnera envie de te voir à poil à part pour te les faire bouffer."

par la suite, elle laissa Lucio tranquil pour s'occuper de Bruce et de lui demander de partir, ça avait au moins l'avantage d'amuser lucio dans son coffre, voir comment Bruce se faisait mener par le bout du nez et qu'il tentait de garder un air hautain sans que ça ai un effet car la femme savait qu'il était mort de peur à l'idée de rester dans ce garage, tant pis au moins, il aurais la cicatrice de lucio sur la jambe pour léternité.
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeMar 9 Déc - 13:49

En attente d'une livraison Pnj1cy9

~~PNJ – Bruce~~

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~


Bruce attendait la réponse de la polonaise, il avait été à son goût convaincant bien qu'il ait en effet un complice il aurait était très con de se faire suivre par celui-ci puisque les dix mille dollars lui était acquis avec la tête de l'italien. Il n'avait aucune raison d'être donc soupçonné de quoi que ce soit.

"chauffeur, veuillez conduire correctement durant le trajet. Mon ancien chauffeur prenais les nid de poules exprès et ce n'est pas bon pour mon dos. "

Encore une fois il l'ouvrait, c'était bien son genre ne jamais savoir quand la fermer. La rousse se dirigea vers un établi à quelques pas de là sans un mot. Comment avait elle prit ce qu'il venait de lui dire, il n'en avait aucune idée, ce masque cachant son visage était bien vu en plus de cacher son identité il lui permettait de cacher toute ses émotions ce qui était assez désagréable pour Bruce. Il n'aimait pas ne pas savoir ce qu'il se passait et encore moins lorsqu'il venait tout juste de poser une question qu'il jugeait comme importante. Après avoir fouillée dans le meuble la jeune femme revient près de Bruce se rapprochant de la voiture ou elle avait fait enfermer Lucio, puis frappant méticuleusement contre la carrosserie elle fit un trou dans celle-ci avant d'y introduire la bombe qu'elle venait de trouver. Sur le moment l'américain se demanda ce qu'elle pouvait bien contenir, du gaz bien entendu mais de quel type, lacrymogène, soporifique ou bien simplement du gaz carbonique pour que le rital apprenne à économiser son air à moins que ce ne soit de la peinture.

(italien) Garce!!!!

"J'aime travailler dans le calme pelle à merde, et c'est pas la ficelle de contre-bande que t'as entre les jambes qui me donnera envie de te voir à poil à part pour te les faire bouffer."

Vu la réaction de l'italien ce devait etre du gaz lacrymogène, celui-ci crachait ses poumons ce qui fit sourire Bruce peut être qu'il allait enfin apprendre à rester à sa place. La tortionnaire reposa les objets qu'elle venait d'utiliser avant de se retourner vers Bruce et d'entamer un monologue tout aussi long qu'ennuyeux, tapotant sur le torse de l'américain avec sa main gantée. Bien qu'il n'appréciait guère tout cela il se laissa faire ne voulant pas remettre en cause les petites saute d'autorité de la jeune femme.

"Je peux te garantir que si t'es pas partie dans les minutes qui viennent, les dix milles dollard que tu viens de gagner serviront à ta famille pour enterrer un plat de hachis parmentier plus riche en ferraille qu'un plat de lentille alors dégage tout de suite. Quant à savoir ce qu'on a à craindre je m'en ferais plus pour ma propre santé à ta place. Bon tu m'excusera d'écourter l'échange mais j'aimerais pas faire frire mes pâtes à deux heures du mat' si tu vois ce que je veux dire...Rownie, Maka' vous restez ici et je veux que rien ne reste d'un passage quelconque, demandez aux employé du restaurant de vous aider au pire."

Et voilà une histoire pliait de belle façon, ou comment gagner dix milles dollars sans trop d'effort. Bruce se dirigea vers la voiture qui lui avait été préparé et s'y installa le sourire au lèvres il était un homme riche mais il lui restait encore une chose a faire. Démarrant le bolide il se rangea à coté de l'autre voiture contenant l'italien s'arrêtant au niveau de la portière de la rousse et sortit de sa poche le pendentif que lui avait remit Shaka.

"Avant que vous ne partiez mon collaborateur sur cette prise voulait que je vous remette cela, sa marque de fabrique si je puis dire. Si vous comptez tuer le rital dans le coffre il aimerait que vous laissiez cela sur son cadavre, et si ce n'est pas le cas, je parle de la mort bien sur, je ne doute pas que vous trouverez une autre façon pour que cela laisser une marque sur le blondinet."

Sur ce, Bruce après avoir remit le médaillon sortit du garage en direction de son appartement pour que sa femme prépare leurs valise pour leur nouvelle vie.
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Chiodaro Aléssia
Belle espionne au sale caractère
Chiodaro Aléssia



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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeMar 6 Jan - 1:08

Chicago, début de soirée de ce dix janvier 1932, la neige c’était enfin calmer tandis que le soleil couchant faisait place à l’obscurité dans une dernière teinte rougeâtre, tous comme les pavés qui trônait devant le garage des Mac Coy’s d’ailleurs. Un bien triste spectacle auquel était habituée cette ville maintenant, le sang de trois hommes était tranquillement en train de ce déversé suite à des blessures faites par des carreaux d’arbalète. Une arme peut courante vous en conviendrez mais qui avait l’avantage d’être discrète. Des hommes avaient prit place de par et d’autres de la lourde porte d’acier qui barrait l’accès à l’intérieur du bâtiment. Cette fichue porte qui était la seule chose qui empêchait le groupe de rentrer en force immédiatement, si ils ne voulaient pas laisser le temps aux personnes à l’intérieur le temps de s’organiser.

Au milieu de cette vingtaines d’homme lourdement armée qui n’attendait qu’une occasion d’en découdre ce trouvait une femme qui était franchement comme une tache noire sur un drap blanc. Elle était complètement décalé de par sa beauté et sa façon tranquille et détacher de ce conduire, mais il ne faut pas aller jusqu’à croire que cette frêle créature à la plastique capable de faire baver plus d’un homme dans cette ville était d’une quelconque manière une « otage » des mafieux qui entourait le bâtiment. Des preuves ? Ce n’est pas sa qui manque, mais prenez déjà le simple faite que la belle jeune femme était assit sur les trois cadavres ruisselant de sang en train de fumer tranquillement sa cigarette devrais vous suffir. Je vais tous de même vous la présenter, Chiodaro Alesia, une gangster qui est un métier bien étrange pour ce genre de fleur, mais après tous on dit que les plus belle roses sont aussi les plus piquante, la rumeur veut que ce soit une haute dirigeante du clan italien mais rien ne tendait à le prouver, car personnes acceptaient de lever le voile sur cette fameuse espionne aux nombreux visage.

L’Italienne s’ennuyait ferme et sa ne faisait aucun doute quand on regardait, son regard un peut vague, les nombreux mégots trainant à coté de ses jambes élégamment entrecroiser et bien sur au flagrant pffff d’ennuie qu’elle poussait régulièrement, qui venait répondre en rythme au ronronnement discret du moteur du camion qui avait amener tous les mafieux ici.

*Quel sale journée décidément je devrais être avec ma femme et finalement je suis entouré d’homme et pour sauvé un autre homme d’une femme. Le Don m’a bien pourrit sur ce coup là *

Les ennuis de Chiodaro avait commencer en même temps qu’une pseudo fusillade devant le Lucky, qui avait engendrer la disparition soudaine d’un haut gradé. Lucio avait encore une fois fait des vagues pour finir avec une prime sur la couenne, il faudrait qu’il apprenne un jour à ce faire discret celui-là. Bien sur le Don en fut vite avisé par mes services d’indicateurs qui l’avait vu ce faire embarquer et ce fut Chiodaro qui fut chargé de lui annoncer la superbe nouvelle par téléphone. Une chose dont elle ce serai bien passer surtout vu la crise de nerf qu’il a piquer à l’évocation de cette nouvelle et bien entendu ce fut à elle de le retrouver, quand on dit que c’est toujours les messager qui prennent et bien c’est pas des histoires. La jeune femme avait déjà du réussir à obtenir un nom celui du kidnappeur qui avait été aperçut, fort heureusement le loustic était assez connue dans les parages du Lucky Number et une fois son nom obtenue tous s’enchaina plus rapidement.

Chiodaro en bonne professionnelle qui respecte les ordres rendit donc visite à une personne susceptible de la renseigner quand au véhicule qu’utilisai ce fameux Bruce Schertifler, le travail ne fut pas long mais pénible, mais toujours selon les ordres cette brave personne passa dans l’autre monde. Le tous après fut de faire jouer toutes ses connections de la ville pour retrouver une voiture dans toutes la ville, comme s’elle du fugitif ce qui revenait à chercher une aiguille dans une botte de paille. Cependant l’espionne était la meilleur dans sa partie car elle connaissait presque chaque fouille merde et fouine de cette bondieuserie de ville et quand on propose une récompense tous de suite tous le monde est plus motiver. Ce genre d’information circule très vite en ville même si sa prit quelques heures à le localiser.

Pendant ce temps la jeune femme n’avait pas perdu son temps et fait armer des hommes de confiance prêter par la division attaque et c’était procurer un lourd camion pour transporter le tous. Les préparatifs n’était pas tous à fait prêt lorsqu’un petit gamin vint la prévenir que Stevy le rat musqué avait retrouvé le véhicule de ses convoitises, mais il ne dit la fin qu’après avoir reçut son salaire de coursier. La voiture était rentré dans le garage des Mac Coy’s en plein quartier irlando polonais. La jeune femme aurait d’eu jouer la prudence bien sur et demander des renforts supplémentaire au cas où le quartier ne serait pas heureux de la visite qui leur était rendu, mais non elle n’en fit absolument rien. L’italienne était presser, elle avait une femme à serrer dans ses bras et à cajoler, elle avait aussi suffisamment confiance en la réputation de son clan qui ne c’était que renforcer ses derniers temps et pas en distribuant des dons d’espèce mais plutôt de plomb, pour elle c’était la meilleur des protections. Très rapidement l’énorme bahut ce mit en marche pour traverser la ville des hommes armée jusqu’aux dents à l’arrière.

Le voyage fut plus que rapide car un engin de cette taille les gens ont plutôt tendance a ce mettre sur le bas de coté et à plus forte raison quand celui-ci ne semble pas vouloir ralentir sur les carrefours et divers embranchements. Une fois sur place ce fut Chiodaro qui partit négocier avec Stevy le rat musqué pour avoir un maximum d’information sur les lieux et autant dire qu’il ne savait rien si ce n’est que la voiture était dans le garage avec un colis important. De cette information Stevy n’en retira qu’un salaire de dix dollars mais la femme fatale n’aurait jamais accepté de dépenser plus pour des informations lui servant à sauver un homme, aussi important soit t’il. Une chose était sur avec si peut d’information il ne pouvait pas passer à l’attaque immédiatement il fallait déblayer la zone d’abord, notamment des trois gardes qui surveillait la cours du garage.

Cet exercice ne fut pas bien difficile pour quelqu’un de l’habileté d’Alésia à l’arbalète et les pauvres bougre y passèrent tous très rapidement et les troupes d’attaques purent prendre place dans la cour de part et d’autre de la seul sortie possible pour un véhicule. Le lourd camion quand à lui ce mit sur la route nez vers la porte d’acier et prêt à foncer comme un diable hors de sa boite quand la porte s’ouvrirai et voilà comment commençant l’attente. Le quartier ou tous du moins le paté de maison c’était vider de tous passant, les ballots savaient parfaitement ce qui ce tramait pas besoin d’être un génie pour sa. Le lourd battant en fer s’ouvrit enfin.

Le moteur du camion vrombit et celui-ci fonça comme une balle de fusil, il enfonça d’abord une première voiture de grande standing dans un assourdissant bruit de tôle qui ce froisse propulsant le conducteur du bahut à travers le pare brise, mais le camion était lancer et il poussa la berline dans une seconde voiture qui lui emboitait le pas dans un fracas horrible. Les hommes en armes ce ruèrent à l’intérieur arrosant de plomb tous ce qui présentait comme menaçant, pendant ce temps l’italienne restait assisse comme si de rien n’était quand quelque minute après les coup de feu ce turent elle ce décida enfin à ce lever pour aller voir de quoi il en retournait tous en lançant d’un ton sarcastique :

« Ces petits clan ont leur laisse un peut de liberté parce qu’on est gentil, et qu’est ce qui ce passe hein ? Vous vous prenez pour les roi du pétrole. Kidnapper un Italien mais quel connerie, un haut gradé en plus la ils vous manquent carrément le cerveau. Tous sa pour quoi ? Un pauvre petit voleur mort, mais bordel réfléchissez un peut, vous n’êtes rien on est tous vous tuer un officier supérieur de la mafia Italienne nous on fait quoi ? on vous tue tous pour faire un compte équilibrer et vos famille au passage pour dissuader ceux qui serait galvaniser par votre action. Bref … »

Un rapide coup d’œil aux alentour lui permit de voir l’étendu des dégâts de cet assaut, quelque italiens blessé voir mort, des cadavres et le peut de survivant rassembler dans un coin sous la garde de cinq Thompson. Chiodaro ce déplaça dans ce carnage ambulant portant une nouvelle cigarette en s’approchant des voiture esquinter. Une splendide rousse était sous la banquette arrière de la première des voitures et l’Italienne l’attrapa par ses cheveux pour l’extirper de la voiture tandis qu’elle émettait un long râle de douleur avant d’être relâcher sur le bitume du garage. L’espionne alla porter ensuite son attention sur l’homme de la seconde voiture qui lui avait été littéralement éjecté et ce trouvait dans un piteux état à croire qu’il était sans vie. En bonne professionnel qu’elle était Chiodaro marcha dessus pour sans assurer jusqu’à ce que l’un de ses talon aiguille lui perfore l’œil gauche déversant un flot de sang et ce fut un râle d’agonie horrible qui raisonna dans le garage.

« Ouuppps t’es vivant, me pardonne pas c’était totalement fait exprès. Nous avons donc la un magnifique américain qui trahit ses alliés. Mr Schertifler, Bruce de son prénom de baptême, né à Chicago, appartenant aux Wolves et qui cherche de l’argent pour partir, comme c’est gentil. Tu m’en voudras pas je me suis un peut renseigner sur toi hein ? mais FAUT .. ME .. COMPRENDRE .. TU AS .. GACHER .. MA JOURNEE AVEC TES CONNERIES . »

Tous en parlant Chiodaro avait sortit un sortit l’un de ses couteaux et agrémenter de coup ce qui servait de bijoux de famille à l’américain pour finalement le ranger et s’essuyer les main dans un pan de la veste de Bruce, alors que tous les italiens la dévisageait avec une certaine crainte apparente.

« Donc je disait reprenons, Marié à Monica Schertifler et père d’un enfant Tomselk Schertifler âgé de six ans domicilier au 213 rue de la libération Chicago quartier américain, une jolie famille que tu as là. Je me suis permis de lui rendre visite accompagné de quelque hommes avant de passer te voir son corps nourrit surement les rats des égouts, ton fils fera une bonne recrue une fois formé dans sa nouvelle famille, je ne suis pas un monstre tous de même, je l’ai laissé en vie. »

L’espionne partie ensuite vers l’avant du camion pour en ressortir un sac de toile ensanglanté et une fois au dessus de Bruce elle en sortie la tète d’une brune à l’expression figer dans la terreur.

« Le Don à insister pour que l’on te ramène sa tète il voulais pas que tu meurt sans lui dire au revoir. . . »

Ce fut à ce moment la qu’elle fut interrompue par le cri de l’un des Italiens il avait trouver Lucio dans un coffre d’une des voitures stationner ici et Chiodaro ce dirigea donc vers ce fameux coffre évitant les divers cadavres dans une démarche féline pour finalement exploser de rire devant le spectacle qui lui était offert, un rire sonore qui mit plusieurs minute à disparaitre et quand elle eut retrouver son calme elle ce mit à prendre la parole :

« Lucio le macho du clan t’en a une toute petite en faite quand ta division va le savoir sa va être l’information du siècle, à moins qu’elle soit rétrécit par la peur ? mais dans tous les cas te voir comme sa me fera de bon souvenirs et une superbe anecdote à raconter à tous les gradé du clan, tu t’es déjà pas pisser dessus c’est pas mal. J’aurai peut être du attendre encore un peut mais je donnerai ma division complète pour un appareil photo. Allez sortez le de la et couvrez le parce que d’un autre coté sa me dégoute de le voir ainsi. »

Chiodaro repartit ensuite vers la rousse ensuite entreprenant de la fouiller pour enfin mettre la main sur un médaillon qui lui était pas inconnu loin de la .

« Shikiyami ??? mais qu’est ce qu’il viens faire dans cette histoire ? »

Le médaillon fut ranger dans son soutien gorge bien à l’abri, la ou personne ne le prendrait. Ce fut d’un pas alerte qu’elle alla ensuite fouiller Bruce pour finalement en ressortir une enveloppe barder de billet, quelle coup de talons aiguille furent donner pour la forme et enfin elle lança :

« Tous s’explique … La rousse est à moi seul, balancer moi le traitre au lac et lucio chez lui quand au autre je veut plus les voir. »
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeJeu 8 Jan - 18:26

Pour un beau bordel, c'était un beau bordel. C'était pas avec le budget Polonais qu'Hannah arriverait à monter une opération d'une aussi belle envergure en aussi peu de temps. C'est dans ces moments là qu'on aime pas se retrouver du mauvais côté de la frontiére des territoires...boarf apres tout on avait joué et perdus. Comment l'avait -elle su? sans doute au moment où un camion avait défoncé la grande porte du garage pour percuter -envoyer voler serait l'expression la plus proche de la réalité- la premiére voiture sur son chemin, véhicule où la demoiselle se trouvait. Deux choc. Le siége avant d'abord, presque en pleine gueule, ça fait mal, ça oui...et le deuxiéme, si rapproché du premier que la Polack n'eut pas le temps de se rendre compte de sa douleur. La lunette arriére, où du moins ce qui se trouvait sur le chemin, derriére la tête, un miracle que ça ne ce soit pas finis comme une tomate trop mûre sur un muret en ciment. Soudainement, la jeune femme eut l'impression d'avoir bu trop d'ajer koniak. Le monde autour d'elle semblait s'êtres ralentis. On hurlait quelques chose en Polonais à l'extérieur, des détonations sourdes répondirent à ces interjections, ainsi que des gueulante dans une langue qu'elle ne pouvait comprendre pourtant, vaguement, la Polonaise sût que cela ne signifiat rien de bon pour eux tous. Ensuite, tout ne fut plus que détonation sourde. Une milliseconde supplémentaire passa et Hannah s'aperçut que quelques chose s'approchait d'elle, elle l'avait déja vu quelques part mais où...? Ah! Dans la voiture en montant...et elle s'écrasa sur la moquette de ce qui restait de la voiture.

Tout ce bruit, merde! et impossible d'ouvrir les yeux, cette journée avait pas trop mal commencé mais là ça virait au sport extrême. La jeune femme fut tiré de ses réflexions en même temps qu'on la tirait par les cheveux, ce pourquoi elle se permit d'émettre un râle douleureux avant de se retrouver sur le sol froid de ce qu'elle jugea être celui du garage, pour conclure le tout quelqu'un se permettait de tripoter son intimité en plus de ses poches avec une insistance qu'elle n'avait retrouvé que dans un Bordel perdus de la campagne, c'était du manque et pas autre chose...si elle n'avait pas été dans ce semi-coma, il y aurait eu un mort en plus d'elle. Ca chiait sec dans le coin vut que ça parlait sur un ton plutôt mauvais. Deux mains de forte épaisseur saisirent chacune un bras de la jeune femme, qui réagit au quart de tour, elle retrouva un semblant de vivacité alors même qu'elle rouvrit les yeux pour se défaire des mains qui la maintenaient pour se dégager énergiquement .

"Touchez moi pas sac à foutre, je suis assez grande pour macher seule."

Peut être ce geste lui coûterait cher, peut être pas, en attendant elle ne perdait pas la face. Faisant mine de rien, elle rejoignit le coin où était acculé les survivant polonais de la rapt italienne avant de s'appuyer contre le mur et de tâter sa poche ou du moins ce qu'il en restait. Un des hommes qui les surveillait mit son arme en joue quand elle y glissa sa main. La polonaise cessa son mouvement, elle n'allait pas se prendre un camembert de ferraille pour une faute de débutant

"Tout doux gunman, je sors mes clopes."

Et la jeune femme resta là, ne semblant pas prendre véritablement conscience de ce qui l'entourait, ignorant les Italiens l'encerclant, les ordres de celle qui semblait être la patronne, ainsi que le désir de cette derniére à lui parler. Sans doute qu'ils allaient la crever, et encore, avec de la chance mais c'était bien le cadet des soucis d'Hannah, son seul regret aura de ne pas avoir pu malmener un peu plus le tas de merde qui avait apparement survécus à l'impact dans son coffre renforcé. Apparement on voulait lui parler, ça risquait d'être intéressant voir même sportif. N'ayant pas de feu sous la main, pas plus que de cigarette d'ailleurs, et les gardes n'ayant pas l'air jouasse au point de lui en donner ou de la laisser chercher dans ses fringues, elle croisa ses bras et attendit, son visage toujours caché derriére son masque d'albâtre, fendus en divers endroits mais toujours en état de lui faire garder cet air de statut mouvante. Comme elle n'avait rien à faire d'autre qu'a écouter les Italiens s'envoyer des vannes, la polonaise décida de faire "l'état des lieux" . Elle abatit son chemisier d'un geste vif et sec, faisant sauter au passage quelques bouton, l'ensemble lui faisant maintenant uen ceinture de tissus blanc tâché rouge sang et de noir cambouis. ce retrait révéla une magnifique poitrine formé juste comme il faut et encore emprisonné dans un soutien-gorge des plus classique, malheureux objet qu'elle dégrapha hargneusement pour finalement libérer ses attributs féminin, mais aussi une grande écorchure ainsi qu'un gros bleu là où se trouvait auparavant l'armature. Bon dieu que ça faisait du bien, ça faisait une douleur en moins à gérer, pas que cétait insupportable, non, par contre gênant, oui. Décidant de de mettre un peu d'espace entre l'air et sa plaie, la demoiselle attrapa sa jupe longue pour en arracher une longue bande, en partant du bas jusqu'à la taille, transformant du même coup son vêtement en jupe fendus. Avec cette piéce de tissus elle commença à endiguer saignement et bleuissement, du moins aux yeux du monde en donnant des tour sous sa féminité frémissante avec ces mouvements avant finalement de saisir les deux excroissances comme elle l'aurait fait sous sa douche avant de pousser un soupir où filtrait ses pensées.

"Aaaah j'ai encore de belle années de fermeté devant moi, et rangez vos yeux dans vos poches les gars, regardez y si vous avez pas assez de flouze pour aller mater une pute qui se laisse tirer."

Elle avait plus parlé du ton d'une gamine moqueuse que de celui d'une femme jalouse de sa pudeur, apres quoi elle reprit son inspection. A part la blessures sous ses seins, son torse était plutôt intact, une chance pour qui aime le parcourir de ses mains habile, elle ne pouvait cependant pas en dire autant du bas de son corps. C'est en effet ce qu'elle révéla lorsqu'elle s'installa sur le béton en relevant sa jupe jusqu'à des hauteurs que la morale ne saurait toléré, la polonaise râla en voyant qu'elle s'était entaillé sévérement la cuisse droite et que la jambe gauche était parcourut d'entaille diverse. La suite serait délectable, surtout en sachant que la jeune femme avait entamé une tres grande partie de ce qui restait de sa jupe longue pour en faire une mini-jupe laissant d'ailleurs à découvert une grande zone des partie intact de ses jambes galbé. N'ayant pas véritablement conscience qu'elle était encore à moitié à poil et plus dévétus qu'une fille de joie sur son trottoir. C'est avec l'équivalent d'un pagne que la demoiselle se releva.

"Personne n'aurait une clope et du feu? J'en ai plus...par contre j'ai de quoi négocier si vraiment y a des fou parmis vous."
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Lucio Gonzolini
L'italien gradé et traqué à petite saucisse.
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeVen 16 Jan - 0:39

Lucio commençait à être dans un sale état, il ramassait comme pas possible et se demandait comment il allait s'en sortir. Bah, dans tous les cas il improviserai sur le moment pour pouvoir sortir de se pétrin. Il était dans le coffre de la nouvelle voiture, et attendait patiemment que celle-ci démarre. Patiemment, il n'avait pas trop le choix et brailler que l'on le laisse sortir était tout à fait inutile. Tout se qu'il pouvais faire c'était attendre de changer d'endroit et que le coffre s'ouvre, après on verra où il sera et peut être aura t'il l'occasion d'exploser tout le monde. Pour ça il lui faudrait une arme, un pantalon, et pas de liens à ses mains et pieds.

Le temps se faisait de plus en plus long, et Lucio en avait marre d'être dans ce merdier. Il ne s'attendait pas à ce qui allait se passer, et au moment où dans un vacarme infernale la voiture fut éjectée par un camion, l'italien fut secouer dans sa boite comme si Angela la serveuse du Lucky number faisait un cocktail au shaker. Q'est-ce qui se passait dehors. Par la suite, des coups de mitrailleuses et d'armes en tout genre résonnèrent dans le garage, on ne pouvait rien entendre tellement les bruits étaient forts, 9a commençait à faire peur tout ça, Lucio espérait que ce soit pour l'aider et non un autre gang rival voulant faire une petit surprise aux Polonais sans savoir qu'un italien était là. Il espérait aussi qu'une balle perdue ne transperce le coffre, ceux-ci n'était pas très solides même si le fait qu'il fut renforcé lui avait sauvé la vie. Après un moment où le dehors du coffre fut plus calme, et où on distinguait des voix sans les comprendre, Lucio put voir la lumière artificielle du garage.


« Lucio le macho du clan t’en a une toute petite en faite quand ta division va le savoir sa va être l’information du siècle, à moins qu’elle soit rétrécit par la peur ? mais dans tous les cas te voir comme sa me fera de bon souvenirs et une superbe anecdote à raconter à tous les gradé du clan, tu t’es déjà pas pisser dessus c’est pas mal. J’aurai peut être du attendre encore un peut mais je donnerai ma division complète pour un appareil photo. Allez sortez le de la et couvrez le parce que d’un autre coté sa me dégoute de le voir ainsi. »

C'était effectivement pour le sauver. Alésia chiodaro, l'officier supérieur des renseignement italiens. c'était une des meilleure dans son domaine et nul doute qu'elle n'avait pas mis longtemps pour retrouver Lucio. Sur le moment, celui-ci ne comprit pas tout ce qui se passait: Il avait encore mal aux parties génitales et sa gorge lui piquait toujours du lacrymogène qu'il avait reçu auparavant. Il se fit aider pour sortir du coffre, deux hommes du clan italien coupèrent ses liens et lui rendèrent sa liberté bien méritée. Il s'épousseta rapidement avant de regarder Alésia.

Alésia, tu es bien la dernière personne que je m'attendais voir me sauver.
Elle n'est pas petite, c'est juste qu'elle n'aime pas l'électricité.
Ne me prend pas de haut, j'ai rendu des services à Don Carissimo qui valent autant que ce que tu viens de faire, car je doute que tu es venue ici rien que pour mes beaux yeux,


Lucio regarda autour de lui, il commençai à reprendre totalement ses esprits. C'était un vrai carnage les polonais était presque tous morts, certains italiens avait morflé aussi, autant dire qu'Alésia ne faisait pas dans la finesse et c'était une chose qui le faisait rire quand il avaity l'occasion d'entendre ou de voir ses oevres. Au loin il vit Bruce allongé et agonisant sur le sol du garage, ni une ni deux il pris l'arme de la première personne à côté de lui pour aller envoyer une salve de balle dans toutes les partie du corp de son agresseur. Il ne visait pas, il se contentait de tirer à vue avec la Thompson qu'il avait dans les mains. Après quoi il désposa l'arme et prit la sorte de pantalon que lui tendit un des hommes de l'espionne. Il n'avait pas vu ce qu'elle avait fait ni dit concernant la rousse. Mais il avait bien vu les billets qu'elle avait pris, il avait put les voir dans sa main. Lucio se posa par terre le dos contre le mur et regarda Alésia. il pris une cigarette et l'alluma en tirant une grosse bouffée puis soupira et lança à Chiodaro

Alésia, tu n'aurait pas quelque billet à me donner je crois que mon portefeuille à été vidé dans le feu de l'action tout à l'heur. Et si tu avais un voiture à disposition et un mec pour me ramener dans le quartier italien. je sens qu'une bonne nuit de sommeil me fera du bien. Je ne sais pas ce que j'ai ce soir j'ai un coups de barre
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeDim 18 Jan - 23:26

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~~PNJ – Bruce~~

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~


C'était enfin fini, Bruce riche allait pouvoir rentrer chez lui, faire ses valises pour que sa femme et sa gamine vive enfin la grande vie qu'il leur avait promise. Cela faisait des années qu'il était entré dans la mafia pour mener la grande vie pour que sa famille puisse vivre sans aucun souci et ce soir c'était son soir enfin son rêve de richesse venait de se concrétiser. Alors qu'elle était entrain de penser à tout ce que ces cinq milles dollars allaient apporter à sa famille un bruit assourdissant fit son apparition dans le garage. Sans qu'il ne puisse réagir la voiture de la rousse s'encastra dans la sienne l'éjectant littéralement en dehors du véhicule pour finir sa course contre le mur du garage perdant connaissance un instant. Cette perte de conscience ne dira pas longtemps et ce fut bien dommage pour Bruce car son réveil fut des plus brutal. Dans un hurlement de douleur atroce l'américain revint à lui portant ses mains vers son visage couvrant son œil gauche. Un flot de sang continue coulait entre ses doigts alors que la coupable de cet etat commença à parler.


« Ouuppps t’es vivant, me pardonne pas c’était totalement fait exprès. Nous avons donc la un magnifique américain qui trahit ses alliés. Mr Schertifler, Bruce de son prénom de baptême, né à Chicago, appartenant aux Wolves et qui cherche de l’argent pour partir, comme c’est gentil. Tu m’en voudras pas je me suis un peut renseigner sur toi hein ? mais FAUT .. ME .. COMPRENDRE .. TU AS .. GACHER .. MA JOURNEE AVEC TES CONNERIES . »

Nouvelle douleur, nouveau cris crevant le tympan de toute personne à proximité. La jeune femme venait de le planter a plusieurs reprise l'entre jambe de l'américain, celui-ci n'avait toujours pas levé les yeux pour regarder son bourreau la douleur qu'il ressentait l'en empêchement tout d'abord, mais les nouvelles paroles que Chiodaro lui laissa entendre changèrent tout cela. Bruce releva le visage tant bien que mal.

« Donc je disait reprenons, Marié à Monica Schertifler et père d’un enfant Tomselk Schertifler âgé de six ans domicilier au 213 rue de la libération Chicago quartier américain, une jolie famille que tu as là. Je me suis permis de lui rendre visite accompagné de quelque hommes avant de passer te voir son corps nourrit surement les rats des égouts, ton fils fera une bonne recrue une fois formé dans sa nouvelle famille, je ne suis pas un monstre tous de même, je l’ai laissé en vie. »

Sa vue troublée lui permit de voir le sac ensanglanté que la jeune femme agita devant elle. Comment tout cela avait pu arriver elle ne pouvait pas être morte c'était impossible. L'américain eut pourtant le loisir de constater que la tête dans ce sac était bien celui de sa femme... Bruce voulait se relever pour trucider cette femme en face de lui mais cet effort était impossible et ne fit que le porter lentement vers l'inconscience alors que Chiodaro finissait de parler la tête de sa femme dans les mains.


« Le Don à insister pour que l’on te ramène sa tète il voulais pas que tu meurt sans lui dire au revoir. . . »

Au revoir, Bruce n'en avait pas eut la possibilité, il aurait tant donné pour ne jamais avoir eut a rentrer dans ce cercle vicieux que l'argent avait mise en place autour de lui... Quelques minutes plus tard c'est le corps criblé de balles que la vie de Bruce fini de quitter son corps, quel mort pitoyable causé par un homme imbue de lui même ayant besoin d'une femme pour le sauver.
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Chiodaro Aléssia
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeMer 21 Jan - 16:20

"Alésia, tu es bien la dernière personne que je m'attendais voir me sauver.
Elle n'est pas petite, c'est juste qu'elle n'aime pas l'électricité.
Ne me prend pas de haut, j'ai rendu des services à Don Carissimo qui valent autant que ce que tu viens de faire, car je doute que tu es venue ici rien que pour mes beaux yeux."


L’électricité bien sur pourquoi n’y avait t’elle pas penser, en voilà une torture intéressante mais pourquoi n’y avait t’elle pas penser avant mais bref, il y avait mieux à faire pour le moment et ce fut dans une démarche souple qu’elle ce dirigea vers le chef de la section armement tous en réajustant soigneusement ses longs gant de velours. Chiodaro était belle de nature mais avec sa chute de reins ce déhanchant au rythme de ses pas accompagné d’un mouvement de langue lent sur ses lèvres elle attirait bien les regards des hommes présents dans cette pièce. L’espionne finit par arriver vers Lucio et ce plaça dans son dos pour venir glisser une main ganter lentement sur le torse nu de l’Italien, le caressant doucement avant de lancer d’une voie envoutante :

"C’est la où tu te trompe mon beau, il ne faut pas ce fier aux rumeurs que ma division lance, j’aime aussi le sexe fort. J’aime ceux qui savent faire preuve de virilité et comment dire sa, le récit de ta journée ma prouver que tu en était un, tuer un homme en pleine rue sans ce soucier des conséquences, oser braver les ordres du Don en tenant tète au chef du crime organisé américain quel courage, quel homme, avec tous sa tu m’as complètement exciter et j’espère que tu es prêt à en assumer les conséquences mon petit loup."

Alésia était maintenant en train de passer sa main sensuellement sur les abdominaux biens entretenus de Lucio tous en faisant remonter sa cuisse le long de celle de Lucio pour l’effleurer lentement, tandis que sa langue passait sur le visage du blond en partant de son menton pour finir vers son oreille et finalement l’envoutante jeune femme finit par lui mordiller le lob de l’oreille.

"Je ne compte pas te prendre de haut mais bien te prendre tout court et si il y avait pas un tel comité sa ferait longtemps que je t’aurais mit sur le sol froid de ce garage pour t’enfourcher sauvagement donc en attendant je joue la méchante. Pourtant c’est bien trop difficile j’arrive pas à dominer mes émotions donc autant ce lâcher. Avant je pensais que le seul qui pouvait être appeler un homme était Cesaré mais je constate que je me trompais et que on peut t’appeler toi aussi ainsi même si tu n’es pas encore de son gabarit."

Finalement la main de Chiodaro vint ce saisir du membre de virilité du bellâtre pour l’attraper doucement et enfin d’un seul coup elle le sera avec poigne pour infliger de la douleur plus que du plaisirs et enfin s’écarter rapidement de l’italien pour cracher à répétition sur le sol et retirer d’abord le gant qui avait caressé Lucio afin de le jeter au sol, puis l’autre. Avec le second gant elle s’essuya d’abord avec force la langue plusieurs fois puis la cuisse qui avait osé le frôler pour enfin le jeter au coté de l’autre, enfin elle regarda un des hommes de main et lança d’un ton autoritaire :

Bon on range ses yeux on rentre la langue maintenant avant d’être émasculer on chope ses gants contaminer et on les crame pour éviter la propagation. Quand à toi Lucio sache que ce n’est pas un service que je rend au Don mais bien un service que je te rend à toi et en l’occurrence je ne te dois rien te trompe pas de personne et j’attend qu’un jour il y ai un retour ou je me chargerai moi-même de me le procurer. La prochaine fois que tu m’obliges à me déplacer même involontairement souviens toi bien de ce moment car la prochaine fois je viens pour te castrer voir même te tuer, car tu ne rentre pas pour le moment dans la catégorie de ce qu’es un homme d’après mes critère mais plutôt comme un larbin.

Chiodaro aimait jouer et elle aimait surtout jouer avec ceux qui ce permettait de la dénigrer comme en ce moment, aucun respect même ni même une quelconque trace de remerciement, c’était à ce demander si elle ne devrait pas le remettre dans son coffre remballer les troupes et laisser ses tortionnaire reprendre les activités qu’ils avaient entreprit. Cependant la petite polonaise avait attiré son attention et il aurait été dommage de la voir mourir dans la minute, surtout pour une bête histoire de vengeances sur un homme alors qu’eux même était en train de faire la même chose. Chiodaro ce retrouva donc face à la polonaise à moitié dénuder. Chiodaro prit d’abord l’un des seins volumineux dans sa main pour l’examiner et finit par parler en russes.

Te rebiffe pas sa me plairait pas et je te refourguerai aux blondinet au petit membre de virilité pour qu’il ce venge de toi. Un sacré gâchis tout sa quand même mais le boulot d’abord.

Chiodaro ce prit une cigarette et en lance une à la polonaise avant de reprendre la conversation toujours en russe car ce qui allait ce dire ne les regardait qu’eux :

Je suis folle moi, folle des femmes qui on du caractère mais je ne négocie pas je donne et je prends selon mes envies et pour le moment je veut des réponse sur le médaillon que tu avais sur toi. Qui te la donner ? Etait t’il présent aujourd’hui ? Si oui à quoi il ressemble ? A-t-il eu son argent ? Et ou est ce que je peut le trouver ? Inutile de jouer les fortes tète avec moi je suis pas un mecs et je ne te laisserai pas marcher sur les pieds juste parce que t’as des informations, je me contenterai de frapper la où sa fait mal pour une femme et comme j’en suis une t’inquiète pas que je sais ce qu’il faut faire.

Le ton avait été dur et tranchant, l’espionne voulait montrer clairement que c’était elle qui dirigeai la danse et que l’énerver n’était pas une chose à faire. Lucio qui avait reprit de l’aplomb rapidement demandait maintenant une part de l’argent qu’elle avait trouvé la il ne fallait pas qu’il rêve trop le macho l’italienne n’était pas donneuse sur un claquement de doigts et un seul service suffisait amplement mais après tout une fois n’était coutume et Chiodaro sortit un billet de dix dollars qu’elle lança sur le sol.


Voilà achète toi une chemise sa devrait suffir quand à la voiture et les vêtements voit avec les hommes présent ce n’est pas sa qui manque.
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeDim 25 Jan - 15:16

Apparement ces enfoirés de gorilles Italiens n'avaient pas l'intention de dépanner un peu de tabac à la polonaise malgré une tenue légére...bande d'enfoiré. D'aileurs en ces lieux tout le monde semblait un peu se foutre de sa présence, elle le savait depuis qu'elle avait cessé d'être groggy, lorsque qu'une partie de son masque avait finis de se biser en deux pour ne laisser qu'une partie de son visage protégé. Même l'espéce de brosse à chiotte monté comme une souris ne semblait pas faire attention à elle. Maintenant c'était sûr il devait en avoir une fausse et être travestis pour ne pas regarder une femme à moitié nue, même sa tortionaire. Hannah aurait voulus le lui faire savoir mais plusieurs chose vinrent soudainement l'en empêcher. La premiére est non la moindre était qu'une cigarette venait de chuter de ce qui restait d'une poche pour aller se couper en deux à sa moitié, c'était vraiment une journée de merde, du moins cela venait de le devenir en cet instant. Ce qui allait rattraper cette merde était sans doute la scéne qui se déroulait entre les deux Italiens un peu plus important que les autres.

*Bah merde, elle en pince pour lui...elle a des goût de chiotte que ça en devient grave.*

D'un oeil intéressé et curieux, à la limite du voyeurisme, Hannah contemplait la belle inconnue caresser d'une main ganté son ancienne victime, son torse exactement et d'une maniére qui aurait pu en dire long à quiconque avait l'habitude de ce genre de scéne. On se serait cru dans un plumard, mais en moins confortable, et seulement au début quand ça chuchotte des conneries. Ici, l'italienne ne faisait pas que les murmurer, elle était carrément en train de faire l'apologie de toute les connerie du blondinet mal monté, soit elle était mauvaise en drague, soit con, soit il y en avait un qui allait en prendre plein la gueule dans pas longtemps. Si ça c'était arrété là, sans doute que ces questions seraient resté sans réponse mais là...ces coups de langue, ce mordillage d'oreille, cette enfurchement de cuisse, elle allait se le faire sur le béton maculé de sang, ça n'allait pas loupé. Une représentation de kamasutra avec démonstration précise, bordel on s'emmerdait pas chez les Ritals, faut le dire. Cependant quelques chose troublait Hannah, qui comme une étudiante prenant des notes se tenait en posture contemplative, un truc génant...oui mais quoi...? La demoiselle eut rapidement sa réponse. D'un mouvement agile l'Italienne venait de compresser la virilité de son compére avant de se retirer vivement comme pour se décontaminer.

Il n'en fallu pas plus à la polonaise pour s'écraser littéralement sur le sol et le marteler de poings, une larme à l'oeil et son rire cristalin et fort ne se répercutes dans tout le garage. Se faire avoir comme un gamin, là comme ça, c'était...trop...et elle repartis d'un nouveau fou rire en revoyant l'air douleureux de la brosse à chiotte à taille humaine, il en prenait décidement plein les roustons aujourd'hui celui là, et ça finirait par se savoir un truc comme ça. La vue troublé par ses larmes de rire, la polonaise sentie se soulever un de ses seins , l'apesenteur était louche dans ce garage. Mais rapidement le mystére fut résolus vu que plus rapide qu'une couloeuvre ayant une belette au cul, l'Italienne s'était approché pour s'en saisir et tandis que cette derniére lui parlait en russe, la polonaise se saisit alors de la poitrine adverse et tâta le terrain.

Russe:"Eh oh, non contente de venir essuyer les miasmes de la pine de ton pote sur mon sein tu te permets de venir me fouiller jusque là? Réponds pas que t'avais des gants avec ce genre de type ça suffit pas, alors hop, échange de bon procédé."

La polonaise prit un air pensif en continuant ses expérimentations tactiles en massant ou en serrant plus ou moins la poitrine de l'Italienne, sa mine changeant au fur et à mesure que les secondes s'écoulaient. Finalement Elle relecha sa légére étreinte non sans laisser glisser son doigt sur un téton détecté sous le tissu. D'un geste rapide elle prit la clope qu'on lui avait lancé et rangea ce qui restait de l'autre derriére son oreille, ses poches n'étant plus vraiment en état d'accueuillir quoique ce soit

Russe"Et bah ma fille, on peut dire que t'es bien lotie, ça faisait longtemps que j'avais pas tâté d'aussi beau coussin, oh et...bouge pas."

Délicatement et apres s'être mise dans une position adéquate, Hannah saisit la jeune femme à la taille la rapprochant doucement, sa cigarette à offerte coincé dans le bec. Ses yeux verts profond plongérent dans ceux de l'officier Italienne avant qu'elle ne les fermes pour prendre une longue inspiration destiné à allumer s clope toute neuve. Cela se faisant, ses mains descendirent le long des hanches et l'une de ses jambes remonta lentement entre celle de la femme qui lui faisait face. Elle se retira aussi lentement qu'elle était arrivé, en glissant le long du corps de la belle jeune femme avant de remonter sur l'oreille qu'elle humecta tres légérement avant d'en mordiller tout aussi doucement le lobe, elle cessa cela pour prendre la parole, caressant d'une main le corps de l'Italienne jusqu'en des parties plus ou moins intime bien connut chez ceux et celle ayant un peu d'expérience en la matiére.

Russe"Tu me ferais du mal..? mais saurais-tu me faire du bien? Assure moi que les hommes du garage survivant à votre attaque n'auront rien à craindre de vous ou de quiconque suite au rapt du faux-hommes, et je deviendrai tres bavarde...j'ai appris à bien jouer de ma langue...quant au reste, peut être découvriras-tu ses capacités pendant les nuits les plus courte que tu ai jamais passé dans toute ta vie...Qu'en penses-tu...?"

Ses paroles avaient été chuchotté, susuré au creux d'une oreille appartenant à une personne charmante. Pendant cette proposition, Hannah était allé jusqu'à masser tres légérement la poitrine de son interlocutrice de telle maniére à ce que peu de personne puisse la voir, de sa main restante elle continuait de parcourir le corps magnifique de l'italienne tout en caresse, passant le long des hanches pour passer sur l'intérieur des cuisses et remontant vers là d'où elle étatit venus en prenant un chemin différent alors même que sa propre poitrine nue rencontrait parfois celle lui faisant face. Elle se retira aussi soudainement qu'elle était venue, indiquant qu'elle n'irait pas plus loin jusqu'à ce qu'une réponse lui ait été donné quant à sa proposition. Malgré son petit jeu, Hannah se dit qu'il valait mieux satisfaire en partie la brune plutôt que de ne lui laisser qu'une réponse qu'elle n'attendait pas forcément. Elle désigna d'un mouvement de tête ce qui ressemblait encore à peu prés au cadavre de Bruce:

Russe"C'est ce machin qui devait ramasser l'argent, je ne sais pas ce qu'il comptait en faire...mais maintenant il est mort."

Elle avait volontairement donné l'information la plus vague qu'elle possédait histoire de rester utile et éviter qu'on lui pouffe au nez par rapport à ce qu'elle avait dit peu avant. Lorsque celui qui semblait se nommer Lucio demanda de quoi se fringuer, la polonaise ne put s'empêcher une réflexion face à ce qu'elle considérait comme un rebus d'humanité assez chanceux pour avoir atteint une telle situation dans la mafia sans crever avant.

"Si tu veux mon avis brosse à chiotte, utilise le fric pour ta payer un masque! T'en auras besoin quand la moitié de la ville saura que t'as pas plus de virilité que feu mon arriére grand-mére, Mére supérieur au couvent de Varsovie!"
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Lucio Gonzolini
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeMer 11 Fév - 4:08

L'ambiance du garage avait changé du tout au tout maintenant, le sang avait remplacé la couleur grisâtre des murs et sols, les carcasses de voiture servaient de meubles, et les homes d'Alésia bloquaient l'entrée et par de se faite la sortie en formant un demi-cercle. Les polonais étaient regroupés au fond et on pouvoir sentir flotter dans l'air une odeur de trouille mélanger à un peu d'ammoniaque. Sans doute un du groupe qui n'avait pas osé demander la permission d'aller se vidanger la vessie.
Lucio tenta de se relever tant bien que mal de son mur, la clope au bec. Il avait retrouvé en partie les membres grogis des tortures subies. Il avait toujours mal dans la plus part des parties de son corps, mais c'était supportable il n'allait pas s'évanouir dans l'instant. Il tirai de temps à autre une bouffée de cigarette comme si celle-ci l'aidait à surmonter la douleur. Il n'avait pas vu Alésia s'approcher de lui avec un déhanchement sensuel pouvant faire tomber à ses pieds la plus part des hommes de ce monde. Il était dos à elle. Il sentit juste son corps se coller au sien, et eu un léger sursaut avant d'entendre sa voix et sentir ses caresses qui lui montrait que cette étreinte était loin d'être hostile. Elle lui susurra tous ses exploits en lui léchant le visage et lui mordillant l'oreille, elle avait des geste sensuels le long du corps de l'italien en lui proposant d'exprimer leur ébats ici même. Mais il était hors de question pour le gradé de montrer une quelconque réaction à ce qu'elle lui faisait. Se serait se rabaisser. Sur le moment il remercia dans sa tête la polonaise pour lui avoir électrocuté les parties génitales, il put éviter de cette façon une érection comme on a pas souvent, et ainsi garder cette posture du «  je m'en fou de tes caresses « .

Il était excité comme jamais et aurai voulu par dessus tout accéder à ces demandes en l'enfourchant contre tous les murs de ce garage, publique ou pas. Mais il se devait de rester comme ça et attendre qu'elle ai fini son petit jeu. Mais c'en était trop, il allait accélérer les choses car son sang commençait à bouillir. Il se détacha de l'emprise de la gardé aux renseignements en la repoussant gentillement et d'une façon déconcertée.


Non Alésia tu sais bien que tu ne me fait aucun effet. Je préfère les filles des perles.

Il avait dit ça sans savoir que Mei son amante travaillait là bas, il avait dit le premier truc qui lui passait par la tête pour qu'elle arrêtes. On pouvais déceler dans le tont de sa voix que c'était totalement faux, et nulle doute que les services de renseignement d'Alésia connaissaient les préférences de Lucio, de belle italien ou américaines. Et si les deux étaient réunni encore mieux. ( cf:Angela) Et au même moment Alésia se recula brusquement pour cracher toute la salive de sa bouche et frotter toutes les parties de son corps qui avait été en contact avec celui de Lucio. C'était couru d'avance cette réaction, Lucio la connaissait assez bien pour connaitre ses penchant sexuels et elle ne s'en cachait pas de toute façon. Elle se dirigea vers la polonaise tant dis que Lucio fuma sur son tube de cancer, quand un homme d'Alésia lui tant dis une veste qu'il s'empressa de mettre. C'est vrai qu'il ne faisait pas chaud ici encore moins à cette époque de l'année.
Il se retourna et regarda Alésia devant la polonaise à demi masquée. Il avança en secouant la veste qu'il avait reçu poussiéreuse de l'attaque dans le garage. Il tira une bouffé de sa cigarette sur les quelques mètre qu'il le séparait des deux femmes. Et en s'approchant il put les entendre discuter.


Je suis folle moi, folle des femmes qui on du caractère mais je ne négocie pas je donne et je prends selon mes envies et pour le moment je veut des réponse sur le médaillon que tu avais sur toi. Qui te la donner ? Était t’il présent aujourd’hui ? Si oui à quoi il ressemble ? A-t-il eu son argent ? Et ou est ce que je peut le trouver ? Inutile de jouer les fortes tète avec moi je suis pas un mecs et je ne te laisserai pas marcher sur les pieds juste parce que t’as des informations, je me contenterai de frapper la où sa fait mal pour une femme et comme j’en suis une t’inquiète pas que je sais ce qu’il faut faire.

En arrivant, il se réjouissa de n'avoir pas remarqué la polonaise a demi nue avant, elle était bien moins belle qu'elle ne le prétendait et la vue de son corps dégouta légèrement Lucio lui pourtant qui n'était pas difficile. Peut être était ce l'aura qu'Alésia dégageait qui faisait ça, c'est vrai qu'elle au moins était d'une beauté incomparable. La vue de ses deux femme se touchant mutuellement dégouta plus Lucio, lui qui ne comprenait pas et n'excusait pas ces comportement outrageant. Comment était-ce possible l'homosexualité ? Ce qu'avait dit Alésia le fit sortir de ses pensés et il s'empressa de lui répondre sans pour autant que la question lui soit adressée.

(italien) il y avait quelqu'un d'autre dans le coup ? Je sais que ici dans le garage je n'ai entendu que Bruce, mais deux de mes hommes sont mort par un sniper, c'est tout ce dont je me souviens devant le lucky number. J'avoue que maintenant que j'y repense, il sortait d'où se tireur.

"Si tu veux mon avis brosse à chiotte, utilise le fric pour ta payer un masque! T'en auras besoin quand la moitié de la ville saura que t'as pas plus de virilité que feu mon arrière grand-mère, Mère supérieur au couvent de Varsovie!"

C'en était trop, comment osait elle ouvrir sa gueule dans la position où elle était, seul Lucio avait la carure pour ça, l'insolence n'allait pas avec sa tête. Ni une ni deux, et sans l'accord d'Alésia, Lucio pris la polonaise par la gorge pour la soulever au mur. Cessant ainsi les atouchements des deux femmes. Il la regarda droit dans les yeux et lui planta le bout de sa cigarette au milieu du front avant de la jetter plus loin.

(russe)Ça te va comme assurance que tu restera en vie ? C'est bien plus distrayant de te voir vivre avec cette marque que te voir mourir. Maintenant ferme ta gueule tu me saoul.

Il se retourna ensuite vers Alésia en montrant du regard d'arrêter ces conneries de je te touche tu me touches et d'aller droit au but. Il est vrai que Lucio n'était pas une personne patiente de nature.

edit: le truc des perles pour qu'il n'y ai pas de quiproquos...
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Chiodaro Aléssia
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeVen 27 Fév - 18:51

Chiodaro était quelque peut déçut que son petit jeu ai laisser de marbre Lucio mais bon peut être qu’il s’attendait bien trop à un instant sadique malgré le faite qu’elle soit des deux bords et sa petite phrase comme quoi il préférait les filles des perles, il ne pouvait pas ce rendre compte à qu’elle point elle était dangereuse pour lui mais soit. L’Italienne lui fit un beau sourirre avant de prendre la parole :

« On fréquente les femmes de joie Lucio ? En voilà un scoop dis donc sa va faire fureur au prêt de tu sais qui ce genre d’information et ce même si on en a pas la véracité des témoins suffiront. Inutile de te rappeler que ce genre de femme nous est interdit. Il ne faut pas non plus avoir peur de dire que tu sauterais sur l’occasion de passer une nuit avec moi, tu sais je sais être douce avec ceux qui le mérite même les hommes, mais chacun ses choix toi tu préfère te mettre dans la panade. C’est ton choix. »

Chiodaro était maintenant avec la polonaise qui n’avait pas l’air d’apprécier son massage.

Russe: "Eh oh, non contente de venir essuyer les miasmes de la pine de ton pote sur mon sein tu te permets de venir me fouiller jusque là? Réponds pas que t'avais des gants avec ce genre de type ça suffit pas, alors hop, échange de bon procédé."

La petite polonaise suite à ses réflexion ce permit des gestes plutôt culoter, cette femme était complètement frapper pour agir de la sorte. Elle était dans la position de la vivante en sursie, elle ne le devait qu’à la présence d’Alésia, elle devrait le garder à l’esprit. Cependant ses caresses étaient douce et empreinte d’un certain savoir faire, mais elle était loin de valoir celle de Mei. Il manquait quelque chose. Puis son manège cessa pour finalement prendre la cigarette qui lui était offerte. Maintenant c’était à Chiodaro de jouer si on suivait la logique de ce jeu je te touche je me touche et surtout elle aimait avoir le dernier mot ou plutôt le dernier geste en l’occurrence. Sa main fusa empoignant un de ses tétons pour le titiller tandis que celle qui avait joué avec les parties génital de Lucio s’essuya sur son visage dans un aller retour sur les joues de la pauvresse.

Russe : « Voila si tu as autant peur de ce qui peut avoir sur cette main maintenant je suis sur de les avoir bien partagé. Maintenant tu as une raison pour me toucher comme tu le fait en oubliant que t’es sur la corde raide. »

La polonaise continuai cependant son petit jeu de drague, elle était pas conne la bougresse elle savait qu’elle pouvait finir comme souffre douleur de tout les hommes présent ici, elle jouait donc son jeu à fond avec la seule personne présente qui pouvait la faire sortir d’ici sans trop de dommage. Les mains de la belle jeune femme commençait à devenir trop hasardeuse au gout de l’italienne, mais elle ne fit rien cependant pour faire stopper tous ceci car elle appréciait, même si ses mains était loin d’être experte, pourtant son corps n’avait pas été parcourut depuis si longtemps et elle voulait en profiter. Chiodaro restait pourtant de marbre devant les assauts de la demoiselle, non pas qu’elle voulait rien faire mais devant tous ses hommes sa passerait surement pas. Les hommes serait à la limite de leur sauter dessus voir franchirait peut être même la limite si elle commençait à s’envoyer en l’air ici. Chiodaro avait de l’autorité et de la poigne mais il ne fallait pas pousser non plus.

Russe "Tu me ferais du mal..? Mais saurais-tu me faire du bien? Assure moi que les hommes du garage survivant à votre attaque n'auront rien à craindre de vous ou de quiconque suite au rapt du faux-hommes, et je deviendrai très bavarde...j'ai appris à bien jouer de ma langue...quant au reste, peut être découvriras-tu ses capacités pendant les nuits les plus courte que tu as jamais passé dans toute ta vie...Qu'en penses-tu...?"

Chiodaro pouffa de rire à l’évocation de cette phrase, voila que la petite sourie ce permettait de négociez. La main fusa un aller retour dans la tète qui n’était absolument pas un acte de douceur. L’Italienne avait une sainte horreur de ce faire dicter sa conduite ou qu’on commence à négocier avec elle. Les choses devait être remit à plat pour que la polonaise sache où était sa place. L’arbalète fut ensuite prise pour décocher un carreau dans la jambe d’un de ses polonais prisonnier.

Russe : « Le mal je sais faire quand à tes hommes je m’en branle comme de ma première paire de bas de tous les flinguer on ne négocie pas avec moi, tiens le toi pour dit. Si j’entends ce que je veux entendre tu augmente leur chances de survie, mais la décision finale m’appartient pas elle appartient au grand patron et je crois que tu as réussit à le faire sortir de ses gongs avec cette histoire. Un exploit en soit dont tu peux te vanter car pour le moment tu es encore en vie. Donc présente-toi en odeur de sainteté en répondant à toutes les questions de façon directe sa améliorera tes chance de survivre à sa rencontre. Je pense qu’il est inutile de préciser qu’il s’en fout que tu arriverais à me maintenir éveiller plusieurs jours grâce à tes performances ou plutôt à celle de ta langue même si je demande à voir. »

La fin de la réponse de la jeune avait été murmuré inutile que les Italiens présents sache qu’elle curieuse de ce l’envoyer pour connaitre l’étendu de ses connaissances, voir obtenir quelque confidence sur l’oreiller. La manière douce donnait souvent de bon résultat, même si la peur était aussi un excellent moteur à réponse. Les caresse furent enfin finit au grand désespoir de Chiodaro qui commençait à très nettement y prendre gout, ce qui dans un sens n’était pas plus mal car elle n’aurait pas réussi à marquer son détachement bien longtemps. Les femmes la faisait fondre il n’y pouvait rien, c’était comme sa un point c’est tout même si celle-ci était loin d’arriver à la cheville de son aimé.

(italien) : « Il y avait quelqu'un d'autre dans le coup ? Je sais que ici dans le garage je n'ai entendu que Bruce, mais deux de mes hommes sont mort par un sniper, c'est tout ce dont je me souviens devant le lucky number. J'avoue que maintenant que j'y repense, il sortait d'où se tireur ? »

Italien : « Mon pauvre si tu savais lâchais un peut tes armes pour te rendre compte que la force ne fait pas tout même dans cette ville tu aurais reconnu le médaillon à moins que tu ne l’es pas vue. Un de ses jours si je suis de bonne humeur je te passerai un de mes dossiers que tu saches à ce que tu as échappé, le problème c’est que sa t’apprendra pas grand-chose sa doit être le dossier le moins précis que j’ai. Ce sniper est une énigme ou un fantôme si tu préfère dans tout les gars tu as une veine de cocue mon gars. »

Chiodaro ce tâtait à joindre le nom qu’elle possédait à ce dossier car dans un sens sa donnerait une piste à Lucio pour le traquer, mais dans un autre sa risquait d’énerver la dites personne une chose qu’elle préférait éviter. Depuis qu’elle était dans le milieu de l’information elle en avait entendu parler et ce type généralement laissait des cadavres derrière lui pas possibilité de représailles. Elle devait par contre avouer une chose cependant ce type était vraiment prêt à tout pour de l’argent, il n’avait pas peur non plus, attaquer un haut membre de la mafia Italienne relevait de la démence.

Pendant son temps de réflexion Chiodaro n’avait pas percuté ce qui ce déroulait en ce moment même. Lucio venait d’attraper la polonaise à la gorge pour la décoller du sol et lui écraser sa clope entre les yeux. Une véritable brute sans aucun sang froid celui la alors qu’elle allait surement avoir des réponses, maintenant c’était trop tard y avait plus qu’à reprendre tout à zéro en d’autre lieu. Il venait de tout gâcher en un claquement de doigts, bref on verrait bien ce que sa solution radical donne niveau information.

« Décidément tu pense toujours avec tes muscles plutôt que te tète toi quand on s’en prend à toi bref moi j’ai rien d’autre à faire ici. Ramassez les survivants et la Chef et emmener les à l’ambassade. N’oubliez pas les corps de nos morts les autres reste sur place. Et n’abimez pas les prisonnier et encore moins la prisonnière stocker tous sa dans les sous sols de l’ambassade. Le Don à surement bien des choses à dire et faire. »

Chiodaro finit par ce rapproché de la polonaise et glissa une main discrète sous ce qui restait de sa robe pour venir titiller et faire rouler entre ses doigts expert le bouton de son buisson d’amour avant de lui susurrer à l’oreille d’un ton calme et taquin :

Russe «Si tu espère obtenir de ma part un quelconque appuie pour survivre il faudra autre chose que tes caresse et savoir être plus directe nous reprendrons donc notre conversation en privée, loin de ces regards libidineux. »

Ce fut sur ses mots que Chiodaro quitta le garage de sa démarche féline et envoutante accompagné par le bruit de ses talons heurtant le sol dur.
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeDim 29 Mar - 20:06

Sa situation n'était pas brillante mais elle avait espoir que toutes ses actions avaient pu lui faire marquer des points, espoir rapidement effacé lorsque la femme qu'elle venait de gratifier de doux attouchement se mit a pouffer de rire. La polonaise reçut immédiatement deux gifles violentes la remettant à sa place de dominée et c'est impuissante qu'elle regarda Chiodaro se saisir de son arme pour ficher un carreau d'arbalète dans le jambe d'un des ses hommes.

Russe : « Le mal je sais faire quand à tes hommes je m’en branle comme de ma première paire de bas de tous les flinguer on ne négocie pas avec moi, tiens le toi pour dit. Si j’entends ce que je veux entendre tu augmente leur chances de survie, mais la décision finale m’appartient pas elle appartient au grand patron et je crois que tu as réussit à le faire sortir de ses gongs avec cette histoire. Un exploit en soit dont tu peux te vanter car pour le moment tu es encore en vie. Donc présente-toi en odeur de sainteté en répondant à toutes les questions de façon directe sa améliorera tes chance de survivre à sa rencontre. Je pense qu’il est inutile de préciser qu’il s’en fout que tu arriverais à me maintenir éveiller plusieurs jours grâce à tes performances ou plutôt à celle de ta langue même si je demande à voir. »

C'était clair, il en faudrait bien plus pour qu'elle puisse sauver ses hommes d'une mort certaines elle se décida alors a s'en prendre à l'italien. La jeune russe avait apparemment bien cernée la personnalité de cet italien a peine avait elle fini d'énoncer sa phrase que celui-ci se raprocha a grand pas avant de la saisir à la gorge la soulevant littéralement du sol pour la plaquer contre le mur l'éloignant du même coup de Chiodaro dans un léger soupir de douleur lorsqu'elle heurta le mur.

(russe)Ça te va comme assurance que tu restera en vie ? C'est bien plus distrayant de te voir vivre avec cette marque que te voir mourir. Maintenant ferme ta gueule tu me saoul.

Alors qu'il parlait Lucio écrasa avec lenteur sa cigarette sur son front pour y laisser une marque a vie chose bien puéril mais Anna ne comptait pas lui faire le plaisir de crier serrant les dents. Une fois ce douloureux traitement effectué il la jeta au sol à quelques pas la jeune femme laissant entendre un râle de douleur lorsqu'elle heurta le sol, son visage frappant durement sur celui-ci faisant perler le long du visage un filer de sang alors que Chiodao reprit la parole.

« Décidément tu pense toujours avec tes muscles plutôt que te tète toi quand on s’en prend à toi bref moi j’ai rien d’autre à faire ici. Ramassez les survivants et la Chef et emmener les à l’ambassade. N’oubliez pas les corps de nos morts les autres reste sur place. Et n’abimez pas les prisonnier et encore moins la prisonnière stocker tous sa dans les sous sols de l’ambassade. Le Don à surement bien des choses à dire et faire. »

Un fois le petit discours achevé celle-ci vint aux coté d'elle glissant sa main contre la partie la plus intime de son anatomie lui susurrant une petite phrase.

Russe «Si tu espère obtenir de ma part un quelconque appuie pour survivre il faudra autre chose que tes caresse et savoir être plus directe nous reprendrons donc notre conversation en privée, loin de ces regards libidineux. »

Et c'est ainsi que la belle italienne disparue de ses yeux, il y avait donc encore un espoir pour qu'elle s'en sorte sans trop de mal... Anna regarda en direction de ses hommes leurs montrant qu'elle ferait ce qu'il faut pour que rien ne leur arrive par sa faute puis elle se releva posant ses mains contre ses formes attendant d'être conduite à cette ambassade.

(dsl pour l'attente....)
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L'italien gradé et traqué à petite saucisse.
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MessageSujet: Re: En attente d'une livraison   En attente d'une livraison Icon_minitimeLun 4 Mai - 22:55

Lucio en avait marre de cette histoire qui durait et durait. Bien sur il l'avait cherché. Même si au fond, si ce petit voleur à la sauvette avait mieux choisit sa cible, rien de tout cela ne serait arrivé.
L'italien gradé regarda Chiodaro parler avec la polonaise pendant qu'il réajustait ce qu'il lui restait de vêtements sur le dos. Il eu un instant pour réfléchir sans parraître trop perplexe pour ceux qui le regarderai. Comment cette journée allait se terminer. Il devrait voir le Don à l'ambassade et bien sur lui rendre des comptes pour tout ce tapage qu'il avait créer. Même si de son côté Don carissimo avait fait du bruit devant le comissariat, nul doute que c'était beaucoup plus important que de fricoter avec de simple réparateur de vélomoteur irlandais. Lucio sorti de ses pensées lorsque chiodaro s'en alla. Il glissa un regard rapide sur la silhouette de l'italienne chargé aux renseignements. Un beau corps certe mais un carractère que même un chien ne pourrait avoir. Il se tourna vers la polonaise toujours au sol ses hommes étaient eux entrain de se dirriger vers la sortie tous braqué par des thomsons et autres armes que Lucio possédait. Il l'attrapa par le col et la traina vers la sortie. Il n'avait pas envie de s'abaisser pour la lever car elle ne vallait pas la peine qu'il réveille les douleurs toujours présentes des traitements qu'il avait reçu avec tant d'amour.


Nous sommes parti accroche toi bien.

Il arriva devant une voiture noire typique des mafias italiennes. Un conducteur était déjà placé à l'avant et attendait l'ordre de démarrer. Lucio posa son regard sur un des hommes de Chiodaro et celui-ci lui tendit trois paires de menottes. Une pour les chevilles, une pour les poignets et une pour le dessus des coudes. Aucun risque n'était à prendre et les menottes n'étaient pas chère quand on savait à quel policier parler. Il plaça sans aucun précaution la Polonaise dans la voiture et deux hommes armés de colts se mirent à ses côtés et une fois que le gradé ai tapoté sur le toit de la voiture, il prit la route en direction du quartier italien.
Lucio prit lui la voiture qui précéda celle de la polonaise. En montant à l'avant, un des hommes qui se trouva derrière lui proposa en pantalon allant avec la veste qu'il avait. Cet homme avait le holster à droite et un colt placé dedans. La thomson sur le siège qui se trouvait à côté de lui. Il était tout à fait banal et sans doute que jamais on ne ferai attention à lui mais il avait vu juste en offrant son pantalon à l'oficier supérieur en armement.


(italien)S'il vous plait monsieur Gonzolini. Je suis navré pour vos hommes. Et ... votre virilité

(italien)Ne t'en fait pas ils ont été aussi brave qu'ils aurai du l'être Dieu est avec eux. Rentre chez toi une fois à l'ambassade tu n'as plus à travailler aujourd'hui.


Lucio se retourna et regarda la route qui le ramenait dans le quartier italien.
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