L'appart de Chiodaro

<==== Un repas en bonne compagnie

La belle asiatique arriva en bas de l'imposant immeuble abritant l'appartement de son amante, sa respiration était haletante, s'appuyant sur le mur de la batiste elle reprit son souffle, le chemisier de la jeune femme était humide tout comme son pantalon en toile, tout son corps était en sueur ayant courut depuis les limites du quartiers chinois jusqu'ici. Une demi heure de course dans le quartier italien l'avait totalement épuisée Mei mais la simple idée de revoir Chiodaro depuis tant de temps lui avait donnée des ailes même si celles-ci à mi course s'étaient semble t il évaporées mais l'important était qu'elle avait tout de même réussi à venir ici rapidement. Elle serrait dans sa main le mot du mystérieux inconnu portant sur le même bras sa veste qu'elle n'avait pas pris la peine d'enfiler qui couvrait son sac à main contenant la clé de l'appartement de son amante.

Après quelques minutes à essayer en vain de reprendre son souffle la chinoise entra dans le bel immeuble sortant la clé qui débloquerai l'ascenseur montant jusqu'à la pointe du building lui laissant à la porte d'entrée de l'appartement. Une fois l'ascenseur ouvert elle s'y engagea appuyant sur le bouton menant au dernier étage. Jamais elle n'eut trouvée le temps aussi long que cette fois ci l'aiguille indiquant les étages ne bougeant pas assez vite à son goût, mais enfin le petit "ting" se fit entendre indiquant l'ouverture des portes. La jeune tatouée sortit rapidement de l'ascenseur et se précipita vers la porte de l'appartement appuyant sur la sonnette longuement avant de relâcher celle-ci. Alors qu'elle attendait l'ouverture de la porte sur la femme de ses rêves Mei enfila sa veste pour cacher quelque peu les traces de transpirations maculant totalement son chemisier. Les minutes s’écoulèrent sans aucune réponse, la jeune femme sonna à nouveau avant de passer sa clé dans la serrure et d’ouvrir la porte dévoilant l’appartement de son amante.

"Chio’… Tu es là…"

La voix de Mei était peu certaine, la jeune femme s’avança dans le large appartement qu’elle connaissait par cœur et se dirigea presque immédiatement vers la chambre de son amante posant son regard à droite et à gauche pour voir si la moindre chose avait pu changer si les chaise avaient bougées, s’il y avait des valises ou autre. Mais elle fut fixée au moment où elle poussa la porte de la chambre de Chiodaro se trouvant face au large lit à baldaquin totalement défait. Les yeux de la jeune femme s’emplir de larmes on ne lui avait pas mentie son amante était bien de retour. Mei entra alors dans chaque pièce ouvrit chaque porte pour s’assurer que Chio’ n’était pas là, chose qui fut confirmée après une poignées de minutes. La belle tatouée retourna dans la chambre de l’italienne quittant lentement la veste qu’elle posa sur une des chaises de la chambre, elle quitta aussi ses chaussures qu’elle posa à coté de la chaise. Puis délicatement la se dirigea vers le lit et se glissa dans les draps les sentant comme pour y retrouver l’odeur de la belle brune qui venait d’y passer la nuit, elle passait ici suffisamment souvent pour avoir remarqué cette fraîcheur cette petite chose qui manqué à l’appartement depuis si longtemps, combien de temps allait elle devoir attendre avant de la revoir passerait elle manger ici a midi ou pas…

Mei décida donc de rester là à attendre sa petite amie se demandant comme elle prendrait le fait de la trouver ici à son retour, enfin du moins si elle rentrait avant que Mei ne doivent repartir pour se trouver aux perles pour travailler… C’est ainsi que la chinoise se mit à somnoler dans le lit de la femme de sa vie.

<== devant-le-plus-haut-batiment-du-quartier


Ce fut une Alessia exaspérer par son entrevue avec son nouveaux subordonner qui rentra dans son immeuble par la porte de service et qu'elle bloqua à l'aide d'une barre de fer pour s'assurer que personne ne l'empreinterait derrière elle pour la suivre et ainsi connaitre son havre de paix, avant elle n'en avait jamais eu besoin de sa vie pour la simple et bonne raison qu'elle n'avait personne à rencontrer de façon régulière mais depuis qu'elle partageait sa vie avec cette belle asiatique qui avait su ce frayer un chemin au travers de sa carapace pour atteindre son coeur, l'espionne avait du ce construire une vie et une couverture uniquement à cette effet, trouver un domicile digne de sa fonction, faire jouer ses relation pour obtenir un boulot dans les affaires quoi tout du moins un bureau ou l'on était sensser la trouver et surtout un poste qui pouvait justifier ses nombreuse absence au pieds lever, bref Chiodaro aimait Mei et lui fessait confiance mais sa ne l'empêchait pas de la faire surveiller afin de tous savoir sur elle et ainsi mieux la protéger ou tout du moins faire de son possible pour sa mais en revanche elle ne révélait rien sur elle et sur sa véritable carrière professionnel pour la simple et bonne raison que si cela s'apprenait que la reine du renseignement avait une femme dans sa vie nombre de personne profiterait de l'occasion qui leurs étaient offerte pour s'assurer les services de Chiodaro ou tout simplement s'en débarrasser car elle était trop gênante. Chiodaro était maintenant dans l'ascenseur qui était en train de monter pour atteindre le dernier étage du haut building dans lequel elle vivait après quelque minute à monter les étages les portes de l'ascenseur s'ouvrir en émettant ce ding si caractéristique de ces engins.

Chiodaro sortit du ventre de la bête métallique tout en commençant à retirer sa perruque d'un blond vénitiens révélant sa belle et longue chevelure brune emprisonner proprement dans un filet à cheveux ce qui ne les mettait pas à son avantage puis elle fit tourner la clé dans la serrure et rentra ce débarrassant de la dite perruque au fond du vestibule sans aucun ménagement, puis ce fut au tour de son manteau de rejoindre un cintre pour être accrocher au porte manteau et ses talons finirent par eux aussi par la quitter pour être jeter en vrac à coté d'une commode et Chiodaro ce dirigea vers le salon pour finalement déposer son sac sur une table et en ressortir son arbalète qui était démonter. L'espionne n'aimait pas voir son arme ainsi et elle prit donc quelque minute pour le remonter entièrement hormis la corde de celle-ci afin de ne pas la laisser constamment en tension et ainsi réduire sa duré de vie. Finalement Chiodaro ce dirigea vers sa chambre connaissant son appartement par coeur elle ce dirigea directement vers la coiffeuse qui trônait dans cette pièce dont le miroir était partiellement recouvert par un peignoir en soie rouge, la jeune femme prit place sur une chaise qui ce trouvait juste devant et commença à retirer les long cils qu'elle c'était rajouter ainsi que tout le maquillage qui avait servit à blanchir plus que la normal sa peaux et elle finit par porté la main à ses lèvre et tira quelque chose qui ressemblait fort à de la peaux mais qui était bien trop élastique pour que ce soit sa mais sa eut pour effet de réduire de façon conséquente la largeur de ses lèvres. Chiodaro finit par ce mettre debout et porta la main dans son dos pour faire glisser la fermeture éclair de sa robe et s'en débarrasser sur le sol, la robe glissa le long de son corps pour aller tomber sur le sol sans le moindre son et enfin elle retira son filet à cheveux et libéra la masse brune emprisonner, après avoir secouer une deux fois la tète pour les déplier correctement elle prit le peignoir de soie et le passa sur son corps en grande partie dénudé s'apprêtant à ce doucher pour aller rejoindre Mei aux perles de chines voir si les rapports qu'elle avait reçut était bien réel ce dont elle était quasiment sur après tout Julian était un homme de confiance et qui lui avait prouver que la gente masculine n'était pas uniquement des incapable, qu'elle ne fut pas la surprise de la jeune femme lorsqu'elle vit une forme dans son lit.

Effectivement il y avait quelqu'un dans son lit et c'était Mei son coeur fut immédiatement transporter par le bonheur de la revoir après six mois de longue et difficile absence mais très vite elle retomba dans la réalité elle n'était pas présentable donc elle passa rapidement plusieurs coup de brosse dans ses cheveux pour les lisser et faire disparaitre les mèches rebelle, un brin de rouge à lèvre et du fard à paupière pour la forme et planquer tous les petits trucs de son déguisement dans le tiroirs de la coiffeuse qu'elle ferme à clé, clé qui finit derrière le miroir du meuble. Chiodaro prit ensuite une chaise qu'elle posa sans bruit à coté du lit le dos de la chaise face à celui-ci et dégagea du bout des doigts et tout en douceur une mèche de cheveux qui s'était mit en travers du visage de son aimée. Chiodaro prit ensuite place sur la chaise les bras croisé sur le dossier et le menton posé sur ceux-ci et regarda Mei si paisible et si belle en train de dormir un spectacle qui lui avait bien manquer.

Chiodaro était la assit sur sa chaise à regarder sa douce et tendre moitié endormit dans ses draps de mousseline et au visage si paisible et elle fut même toucher quand elle entendit Mei parler en dormant, en effet celle ci murmurai quelque mots qui avait tous un attrait plus ou moins proche envers la jeune espionne et elle en fut toucher à croire que leur amour c'était mit sur pause lorsqu'elle avait du partir et que maintenant qu'elle était revenue il repartait de plus belle comme si jamais elle ne fut partit, c'était beau tout de même de ce sentir aimé autant qu'on aime, de voir que sa relation n'était pas à sens unique mais qu'elle était à double sens et qu'aucun ne donnait plus d'amour que l'autre n'en donnait, puis elle vit Mei commencer à s'agiter dans son sommeil ce tournant et ce retournant dans tous les sens apparament sont rêves commençait à tourner au cauchemar et Chiodaro aurait bien voulut savoir de quoi il en retournait et elle ne tarda pas à avoir sa réponse car la belle asiatique tatouer continuer à parler dans son sommeil sanglotant légèrement et suppliant une certaines Chinyu de ne pas emmener sa belle italienne puis les mots disparurent comme il avait commencer laissant Chiodaro perplexe quand à ces paroles, elle ce demandait bien qui pouvait être cette femme et commença à fouiller dans sa mémoire. Chiodaro finit par trouver de quoi il en ressortait en ce remémorant l'un des premiers rapport de Julian et pour lequel il avait faillit griller sa couverture pour aller au secours de sa belle, il parlait d'une femme du même nom qui avait entailler le visage de sa bien aimé et si celle-ci allait jusqu'à la poursuivre dans ces rêves et bien il faudrait mettre un termes à la vie de cette horrible mégère et dans les plus bref délais mais elle fut couper dans ses réflexions et ses envies de vengeance par la voie cristalline de Mei qui avait le pouvoir de la faire fondre et de l'apaiser à chaque fois qu'elle l'entendait mais en six mois elle avait changer elle produisait toujours le même effet mais elle était différentes plus craintive peut être ou moins emplit d'assurance oui elle dirait sa et alors que Chiodaro ce fessait enlacer par une Mei incertaine elle parla d'un ton doux :

" Et bien Mei te voilà bien émotive. Tu me pardonne mon absence je n'ai pas eu d'autres choix ? "

Et comme certain gestes valait plus que toutes les paroles Chiodaro caressa tendrement la joue gauche de Mei avant de rapprocher ses lèvres des siennes et de les éfleurer pour enfin y déposer un doux baiser qui ce prolongea quelque peut l'Italienne retrouvant la fraicheur de la douce asiatique et sentant son souffle chaud et apaisant qui venait caresser son visage si elle avait réussit à tenir c'était uniquement pour ce moment magique où elle retrouverait sa moitié, celui ci était bien supérieur à tous ce que Chiodaro avait put imaginer retrouver l'être aimé était toujours un moment de bonheur et qui s'intensifiait au fur et à mesure ou l'absence ce prolongeait et même si elle aurait voulut rester ainsi transporter par ce petit nuage de satisfaction qui semblait hors du temps elle devait ce résigner par finir par l'arrêter et ses lèvres finir donc par ce décoller afin qu'elle puisse respirer, mais Chiodaro était faible quand elle ce trouvait avec Mei et elle ne put ce résigner à entrer directement dans le vif du sujet quand aux conseils qu'elle avait donner à son amour qui ne l'avait pas écouter et ce trouvait maintenant piéger et elle raprocha donc ses lèvres pour l'embrasser de nouveaux tandis que le bout de ces doigts descendait lentement le long de la joue de Mei pour finalement aller ce perdre dans sa belle chevelure et lorsque ce second moment ou même le travail que fessai Chiodaro lui semblait futile ce termina elle finit par prendre la parole :

" Raconte moi tout Mei parle moi de ton travail ... tes clients ne t'embête plus ? sinon je vais leur expliquer moi tu sais rien n'est plus important à mes yeux que ton bien être et maintenant que je suis revenue je vais me consacrer à notre relation, dis moi ce que signifie ce tatouage qui vient ce marier à ton visage, il doit avoir une grande signification pour toi à moins que je me trompe j'était persuader que tu souhaitais laisser ce si beau visage intacte, mais d'abord tu es en nage je vais te chercher un verre d'eau fraiche tu es en nage mon aimé. "

Et sur ces mots et avec contre coeur Chiodaro brisa cette étreinte et cela devait être plus que visible sur son visage mais après un court instant elle était de retour avec un verre d'eau fraiche à la main et le tandis à Mei pour qu'elle ce rafraichisse et elle put l'enlacer de nouveaux et reprendre la conversation comme il c'était coutume dans un couple qui ne c'était pas vu depuis longtemps :

" Moi mon patron est une vraie peaux de vache il ne m'a pas lâcher pendant six mois et à même absorber mon service une horreur je n'ai pas arréter de penser à toi, je me demandai si tout ce passai bien pour toi, si tu te fessai des amis mais j'était persuader que tu m'oublierais pas enfin du moins je l'espérai et j'avais raison (mine réjouit) bien que j'ai parfois penser que tu me voudrais d'avoir disparut ainsi mais apparament y a une certaine Chinyu qui a du t'épauler tu prononçai son nom en dormant. "

Chiodaro attendait la réponse de Mei avec impatience pour voir quel alternative allait tel choisir pour lui répondre, la belle espionne observait chacun des gestes de sa compagne, ses mimiques faciale et tout autre signe pouvant lui montrer une quelconque tentative d'occulter la vérité car sa elle le ferait sans nul doute pour la simple et bonne raison qu'elle connaissait bien Chiodaro, la belle asiatique savait que si l'italienne apprenait la vérité qu'elle s'emporterait pour la protéger. Chiodaro était quelqu'un d'assez emporté lorsque l'on marchait sur ses plates bandes et cela ce décuplait lorsque quelqu'un avait le malheur de toucher Mei, mais le problème restait qu'elle devait rester dans l'ombre et ne pouvait pas entreprendre tout et n'importe quoi au nom de leur amour si elle ne voulait pas avoir à révéler son véritable métier, la belle espionne ce refusait à le faire pour la simple et bonne raison qu'elle ne savait pas encore qu'elle serait la réaction de Mei à une tel nouvelle, après tout elle était Italienne et Mei chinoise deux clans qui était prêt à ce bouffer le nez pour quelque miette de territoire où juste pour s'assurer un marché juteux et même si pour le moment Cesaré semblait appliquer une politique plutôt calme envers les autres mafia Chiodaro était bien placer pour savoir que sa ne durerait pas et que bientôt la poudre ce mettrait à parler dans des démonstration de force chacune plus sanglante que la précédente. Mei prit aussitôt la parole lorsque Chiodaro lui en laissa le temps, probablement craignait t'elle que de nouveaux mots viennent rendre la tache plus ardue aux mensonge qu'elle avait du prendre le temps de répéter mainte et mainte fois en attendant que Chiodaro ressorte de l'anonymat. La première phrase de Mei fut emplis de passion et en même temps de tristesse que la douce masseuse avait du accumulé au cours de ces derniers mois, elle annonçait à Chiodaro combien elle lui avait manquer et qu'elle avait eu un grand besoin d'elle. Chiodaro ne pouvait que croire cette partie, les rapports parlait d'eux même son aimée avait du être plonger dans la plus grande détresse de ce monde quand au traitement qu'on lui avait infliger mais l'Italienne l'avait prévenue de façon détourné et Mei fière et naïve en même temps avait décider d'ignorer ses mises en gardes après sa elle ne pouvait plus rien y faire même si elle aurait préférer lui éviter ce petit désagrément.

La suite des mots prononcer par la chinoise déplut bien plus à Aléssia et ce même si elle s'y attendait son amour lui mentait et d'une façon assez habille pour une débutante comme Mei au lieux d'inventer une histoire de toutes pièce elle ce contentait de modifier les faits à sa convenance mais malheureusement pour elle Chiodaro avait un train d'avance sur elle et savait déjà tout mais elle écoutait tout d'une manière attentive poussant un beau "ooohhh ma pauvre" et serrant les poings tout en prenant une mines mi horrifier, mi énerver lorsque Mei lui contait son agression à sa manière puis ce radoucissant lorsqu'elle apprennait tout le "bien" et "l'aide" que lui avait soit disant apporter Chinyu et jouer à ce jeu était on ne peut plus difficile pour Chiodaro au fond d'elle, elle n'en voulait pas à Mei de lui mentir comment l'aurais t'elle put d'ailleurs c'était son aimée la seule qui pouvait lui mentir sans s'attirer ses foudres, mais d'un autres coté l'Italienne voulait ce lever et hurler sa haine contre Chinryu lui dire qu'elle allait lui faire subir dix fois ce qu'elle avait fait subir à Mei qu'elle ferai en sorte de la briser mentalement et physiquement jusqu'à ce qu'elle n'est plus gout à rien et qu'elle mette fin à ses jours d'elle même mais voilà elle ne le pouvait du moins pas tant que Mei ne lui demanderait pas l'aide nécessaire à la sortir de ce traquenard. Mei n'avait qu'à lui raconter ses malheurs sans aucune réserve et lui demander de l'aide même de fuir loin de cette ville et Chiodaro le ferai avec plaisir du moment que sa pouvait la rendre heureuse, mais voilà son aimée était tomber dans le monde de la peur et n'osait rien révéler car le simple mot représailles la fessait trembler comme une feuille et les corrections qu'on lui avait infliger et qui était imprimer dans son esprit bien plus profondément que dans sa chair l'en empêchait. Chiodaro commença à afficher un timides sourire compatissant au malheurs de Mei puis il disparut et Chiodaro ce mit à pleurer sur l'épaule de Mei qui c'était elle aussi mit à sangloter, Chiodaro ne pleurai pas pour les même raisons qu'elle mais juste parce qu'elle n'avait pas sut protéger le femme qu'elle aimait son seule et unique trésors dans cette ville tous le reste n'était que du vent, des trésors matérialiste qu'elle pouvait facilement remplacer même la petite section de renseignement qu'elle avait monter petit à petit aux prix de grand sacrifice, Chiodaro était prêt à la faire disparaitre pour Mei si le besoin s'en fessait resentir et lorsque Mei lui demandant où elle était durant tous ce temps qu'elle avait eu besoin d'elle, l'espionne que beaucoup craignait pour ses nerfs d'acier s'effondra définitivement et mouilla un peut plus la robe de Mei de ses larmes chaudes et salé, elle qui avait été au courant de tout et qui n'avait rien put faire, qui avait préférer revenir en vie devant sa bien aimée plutôt que de tenter le tout pour le tout et la sortir du bourbier dans lequel elle c'était plonger avant qu'il ne soit trop tard et petit à petit les larmes ce tarire et Chiodaro releva enfin la tète le visage gonfler par ses larmes et prit enfin la parole :

" Je m'en veut je n'était pas la lorsque tu as eu besoin de moins ma douce aimée et tu t'es fait agresser par un voyou à la petite semelle qui à osé abimer ton visage si pur j'espère qu'il à été exécuter pour un tel crime et moi qui travaillai pendant ce temps là même pas la pour t'épauler et t'aider à traverser ce cap .... *sanglot* ..... comme je m'en veut tu ne peut même pas imaginer et maintenant je te voit fumer toi qui avait toujours refuser avant de partager une cigarette avec moi, tout est de ma faute je te demande de me pardonner ..... *sanglot*.... J'ai voulut que tu me rejoigne mais quand j'ai appelez aux Perles de Chine on m'a dit qu'il n'y aucune Mei de profession Masseuse jama... *sanglots* ..... jamais je n'aurait du partir sans toi ma douce mais maintenant où que je j'aille je t'emmènerai avec moi je te le jure Mei et je tiens absolument à ce que tu me présente le femme qui a su t'épauler en mon absence pour le remercier, on pourrais l'inviter à manger avec nous un soir qu'en pense tu ? "

Les pleurs de Chiodaro au début avait été on ne peut plus sincère mais ensuite pour forcer Mei à lui dire la vérité il était petit à petit devenue moins sincère mais tout aussi réel car dans le fond Chiodaro regrettait vraiment la seule chose qui n'était que pure mensonge était les remerciement qu'elle réservait à Chinyu qui n'était rien d'autre qu'une vingtaine de carreau d'arbalète dans tout le corps.

Les paroles qu’elle venait de prononcer avaient grandement touchées Chiodaro, celle-ci ayant tout de suite compatie avec les malheurs de son amante elle la serra tendrement dans ses bras. L’italienne fondit en larme lorsque Mei se blottie dans ses bras lui demandant où elle était pendant tout ce temps. La belle chinoise pleurait pour plusieurs raisons la première étant d’avoir enfin retrouvée Chiodaro mais l’autre toute aussi puissante était le fait de lui mentir sur tout cela, ces mensonges faisait mal mais elle devait le faire, l’italienne ne devait pas être au courant de son véritable travail. Une petite séance de pleurs se mit en place dans la chambre, ce moment délicat d’auto consolations l’une essayant de se reprendre pour aider sa moitié prit fin lorsque Chio’ reprit la parole décollant son visage de l’épaule de Mei.

" Je m'en veux je n'étais pas là lorsque tu as eut besoin de moi ma douce aimée et tu t'es fait agresser par un voyou à la petite semelle qui à osé abîmer ton visage si pur j'espère qu'il à été exécuter pour un tel crime et moi qui travaillais pendant ce temps là même pas là pour t'épauler et t'aider à traverser ce cap .... *sanglot* ..... Comme je m'en veut tu ne peut même pas imaginer et maintenant je te voit fumer toi qui avait toujours refuser avant de partager une cigarette avec moi, tout est de ma faute je te demande de me pardonner ..... *sanglot*.... J'ai voulut que tu me rejoigne mais quand j'ai appelez aux Perles de Chine on m'a dit qu'il n'y aucune Mei de profession Masseuse jama... *sanglots* ..... Jamais je n'aurait du partir sans toi ma douce mais maintenant où que je j'aille je t'emmènerai avec moi je te le jure Mei et je tiens absolument à ce que tu me présente le femme qui a su t'épauler en mon absence pour la remercier, on pourraient l'inviter à manger avec nous un soir qu'en pense tu ? "

Les paroles qu’elle entendit lui firent mal bien plus qu’elle n’avait pu l’imaginer, pendant de nombreuses semaines elle s’était posée la questions qu’allait elle ressentir lorsque sa moitié lui parlerait, lui répondrait a ses questions, mais rien ne se passait comme elle l’avait imaginée, pourquoi Chiodaro se sentait si coupable elle n’avait pas à se sentir aussi coupable par pour les erreurs qu’elle avait elle-même commise. Mei ne pouvait supporter de voir la femme qu'elle aimait dans un tel état par sa faute, la chinoise passa doucement sa main contre le visage de sa belle compagne essuyant les larmes qui les recouvraient, son coeur la faisait affreusement souffrir comme si l'on était entrain de le poignarder mais ce ne fut rien à coté des phrases qui suivirent. Chiodaro commença à lui faire part du premier changement qu'elle avait remarquée Mei s'était mise à fumer elle qui n'avait jamais voulue toucher à une cigarette, elle n'en aurait très certainement jamais touchée si elle n'avait pas eut à se prostituer usant de ce moyen pour calmer ses nerfs à vifs à chaque fois... Mei regarda le paquet sur le sol et se baissa pour le ramasser elle reposa le paquet sur le lit avant de lui répondre sur un ton peu sur.

"Tu n'y es pour rien Chio' je ne veux pas... c'est pas de ta faute si je fume maintenant... Ne te sent pas coupable, même si tu as disparue tu n'avais pas le choix et puis je ne fume pas beaucoup uniquement en certaines occasions... Cela fera une chose de plus entre nous..."

Une chose de plus, qu'elle excuse stupide mais la belle brune ne pouvait lui donner la véritable raison de cette nouvelle habitude chez elle ni même comment elle en était arrivée à consommer cela, laissant croire que c'était l'agression qui avait tout déclenchée. La suite des paroles de son amante avaient été toute aussi dur pour Mei, Elle avait appelée pour lui parler, pour lui proposer de la revoir, de la rejoindre même et on lui avait dit qu'aucune Mei ne travaillait ici, pas comme masseuse. Elle avait définitivement disparue du système des perles elle était totalement considérait comme une fille de joie, mais la question la plus importante était qu'avait on dit de plus à son amante, que savait elle. Il était impossible qu'elle soit au courant sinon elle le saurait et elle ne voudrait très certainement pas continuer à la voir, qui voudrait s'enticher d'une prostituée.

"Ils... Ils ont du se tromper, je suis très souvent prise, les clients aime bien que je m'occupe d'eux, je ne devait pas être disponible voilà tout. La personne que tu as eut devait penser que tu voulait un rendez vous avec moi..."

Plus elle mentait et plus son coeur mais aussi sa tête la faisait souffrir, elle n'était pas habituée à cela, comment mentir de telle sorte à la personne qu'elle aimait, c'était immoral. Mais la fin de la phrase qu'elle avait prononcer lui remit rapidement les idées en place Si elle parlait Chinyu la punirait une nouvelle fois et de façon bien moins douce elle lui avait promit. La chinoise venait tout juste de récupérer le droit d'avoir un appartement à elle, tout juste le droit de ne plus etre surveillée elle allait pouvoir vaquer a ses occupations en dehors des perles, sortir comme elle le voulait avec Chiodaro, il lui aurait était impossible de tout reperdre maintenant elle se devait de mentir... Mais le mensonge qui allait suivre serait très certainement le plus dur qu'elle allait devoir prononcer, mentir sur la réalité concernant Chinyu avait été difficile mais la faire venir à un dîner en présence de l'italienne et surtout pour la remercier, connaissant sa patronne elle devrait se montrer plus que persuasive pour qu'elle ne parle pas du nouveau travail de la belle tatouée pendant ce dîner... Mei prit la parole la voix assez peu sûre d'elle.

"Si tu veux... Je ne sais pas si elle pourra elle est très occupée au travail... et moi je travaille le soir aussi... Enfin, pas tout les soirs... ça dépend de Chi... Si tu veux... "

Plus elle parlait et plus elle s'enfonçait elle sentait sur sa peau de grosse goûte de sueurs perler les long de son anatomie, ses paroles dépassaient ses pensées elle avait voulu rester vague, ne pas entrer dans les détails, Chinyu devait entre occupée le soir comme elle qui devait se prostituer maintenant, mais elle ne devait pas travailler le soir en tant que masseuse, mais c'était compliquer Chiodaro se rendrait forcement compte qu'elle n'était pas toujours la le soir, pas là pour elle à moins quelle ne vienne aux perles. réfléchir à tout ça lui fit prendre conscience d'une autre chose ben plus grave quel heure était il? La jeune femme devait prendre son poste vers 13h, elle devait aussi repasser chez elle pour prendre ses affaires celle qu'elle portait n'étant pas du tout adaptés à son métier et ils étaient surtout maculée de transpiration. Mei sembla comme affolée à ce moment là, combien de temps avait elle dormit, était elle en retard. des tonnes de questions lui envahir l'esprit et dans toute le spectre de Chinyu l'attendant devant les perles était présent... Mei ramassa son paquet de cigarette se dirigeant vers son sac pour attraper sa petite montre et constater que les 13 heures était largement passées.

"Je.. Je dois y aller Chio'... Je dois rentrer chez moi, me changer, je vais prendre le métro pour aller plus vite... Je suis en retard..."

Mei était totalement paniquée cherchant ses mots, elle attrapa son sac se dirigeant vers Chiodaro, comment allait elle faire pour rentrer rapidement, si elle passait par chez elle, elle serait encore plus en retard, s'arrêtant devant son amante, la jeune chinoise lui saisit les mains et prit la parole.

"Chio' prête moi des vêtements s'il te plaît je te les rapporte demain à la première heure..."

Chiodaro voyait bien qu'elle mettais mal à l'aise Mei mais c'était pour son bien qu'elle fessait tous sa et qu'elle allait même jusqu'à la manipuler pour tenter de la mettre sur le chemin de la vérité et dans un sens cela la peinait, mais si son amante ne voulait pas lui confier ses problème comment pourrais t'elle lui apporter l'aide nécessaire pour la sortir de ce guêpier et surtout que ceci soit efficace, car agir efficacement dans un problème comme celui-ci était primordial et agir dans l'ombre ne servirai qu'à la protéger un minimum. Chiodaro était prête à tous accomplir pour Mei du moment que celle-ci était prête à lui demander son aide, probablement qu'elle ce le refusait de peur de faire fuir la belle italienne, mais l'asiatique ce trompait mais comment Chiodaro pourrait t'elle lui faire comprendre sans pour autant compromettre sa position et la vérité sur son travail donc elle ce contenterai pour le moment de descendre tousses porcs qui posait ses sales pattes avec trop de rudesse sur elle. La belle espionne aurait bien voulut tuer tous ceux qui s'en approchait d'un peut trop près, qui osait leur mains impur sur son corps d'albâtre, qui la forçait contre son gré à descendre à chaque fois un peut plus en enfer lorsqu'elle effectuait une passe, mais c'était un chose malheureusement irréalisable pour la simple et bonne raison que si tout ceux qui touchait Mei venait à disparaitre ou à mourrir d'une mort violente ou même si elles étaient considérer comme naturel cela attirait l'intention sur son amante. La situation était pour le moment insoluble du moins t'en que Mei ce déciderait pas à ce confier à elle, demander de l'aide lorsqu'on en a besoin est une chose nécessaire et l'on a pas en avoir honte mais comment le faire comprendre à Mei c'était la toute la question et Chiodaro ce le demandait aussi. la belle espionne sécha petit à petit ses larmes et elle fut d'ailleurs elle même la première étonner à voir qu'elle pouvais encore couler, pour elle cela fessait longtemps qu'elles s'étaient tarie pour ne laisser la place qu'à la haine et à son travail, mais voilà c'était avant qu'elle ne rencontre Mei, cette belle asiatique était pour elle bien plus qu'un corps ou une personne à conquérir, c'était une personne qui était devenue chère à son coeur et lier à son âme qu'elle ce devait de protéger envers et contre tous.

Chiodaro regarda la jeune femme ce pencher pour ramasser son paquet de nicotine avant de prendre la parole, Mei tentait de réconforter Alessia en lui disant qu'elle ne devait pas s'en vouloir ce n'était pas de sa faute si elle c'était mit à fumer et si elle avait du partir. Chiodaro elle ne l'entendait pas de cette oreille, elle savait que ce simple fait de consommer des cigarette montrait que Mei avait du trouver un substitue à son amante pour ce calmer comme elle le pouvait et si elle était partie en coupant tous les ponts c'était uniquement parce qu'elle l'avait décider de son propre chef sachant parfaitement qu'elle ne réapparaitrai de si tot, elle avait préférer privilégier son boulot comme elle l'avait toujours fait plutôt que de déléguer et donc elle n'avait pas put être la pour protéger sa bien aimé des danger de la vie et de cette ville pus particulièrement et voilà pourquoi elle s'en voulait plus que tout au monde. L'espionne Italienne écouta ensuite attentivement sa tendre moitié tenter de ce dépatouiller des piège qu'elle lui avait tendue brodant des mensonge sans grande conviction à propos du faite que le standardiste avait du ce tromper et pensant qu'elle voulait un rendez vous, mais si cela avait été le cas il aurait put tous simplement lui proposer un autre moment pour la rencontrer même si cela était pour plusieurs semaines d'attente, ce genre d'établissement ne pouvait ce permettre de ce passer de client car il voulait ce faire passer pour un commerce modeste et que refuser des clients prouverait qu'il avait bien plus de ressources qu'il ne voulait bien le prétendre et ainsi attirer l'attention et même si Mei était vraiment over booké le standardiste aurait put par politesse lui proposer une autre masseuse, la belle asiatique n'avait donc que brièvement réfléchit avant de mentir, mais le pire pour l'Italienne était d'entendre de la bouche de Mei qu'elle était très demander et dans son esprit elle vit des tas et des tas d'homme abuser de son amie sans aucune pitié. Chiodaro fut bien plus troubler par cette pensé qu'elle n'aurait put l'imaginer et alla même jusqu'à ressentir la douleur que devait subir Mei d'une tel situation et elle fut rattraper par la réalité, elle devait cesser de jouer avec Mei qui ne craquerait pas ainsi et la laisser retourner travailler si elle ne voulait pas qui lui arrive des bricoles et donc elle hocha brièvement de la tète pour lui signifier qu'elle comprenait.

Chiodaro laissa Mei ce dépatouiller avec cette invitation à diner avec cette sale mégère de Chinyu dont elle ne souhaitait que tordre le coup avant de la plonger jusqu'à la taille dans un bain d'acide pour qu'elle crame un bon coup et lui faire endurer une douleur tel qu'elle ce mettrai à la craindre plutôt que de l'apprécier pour finalement la foutre dans une pièce hermétique et la regarder mourir de suffocation. Mei par contre qui ne déclinait pas l'invitation et allait même jusqu'à dire qu'elle ne s'y opposait pas montrait à quel point la belle asiatique avait du être conditionner et surtout terroriser. Chiodaro en avait mal au coeur de revoir ainsi sa douce et tendre ainsi briser alors que lorsqu'elle l'avait quitter elle était si fier, inflexible et libre sa lui en fessait mal au coeur, mais Chiodaro ferrait tous son possible pour la faire redevenir comme avant même si pour sa elle devait jouer de ses talents pour déclencher une guerre entre leurs clan respectif afin de faire exterminer les supérieur de Mei et raser les perles, elle aurait juste à lacher quelque bribes d'information aux asiatique pour qu'ils s'en prennent à quelque affaire du Don et vice versa pour que les armes soit sortit de leur ratellier et que la poudre laisse place au mot. Chiodaro prit enfin la parole en désignant son armoire lorsque Mei lui demanda des vêtements pour remplacer les siens, elle s'exprima d'une voie douce et compatissante :

" Mais sers toi ma douce tout ce qui es à moi est à toi, tu n'as pas besoin de me le demander, mes robes occidental ne valent pas les tiennes mais choisit celle qui te plait et pour le repas ne t'en fait pas je passerai aux perles pour mettre les choses aux points dès que j'aurai du temps libre et j'en profiterai pour venir confier mon dos à tes doigts de fée et tu peut garder mes vêtements aussi longtemps que tu le souhaite. "

Chiodaro laissa Mei ce diriger vers le placard et en profita pour glisser trente dollars dans son sac avec écrit rapidement sur l'un des billets pour le retard entourer de deux petit de coeur.

-----> Chase Agency

La jeune femme désigna l'armoire dans le coin de la pièce tout en prenant la parole:

" Mais sers toi ma douce tout ce qui es à moi est à toi, tu n'as pas besoin de me le demander, mes robes occidental ne valent pas les tiennes mais choisit celle qui te plaît et pour le repas ne t'en fait pas je passerai aux perles pour mettre les choses aux points dès que j'aurai du temps libre et j'en profiterai pour venir confier mon dos à tes doigts de fée et tu peut garder mes vêtements aussi longtemps que tu le souhaite. "

Mei sentit une nouvelle fois son coeur la faire souffrir lorsque Chiodaro lui dit qu'elle passerait aux perles pour voir avec Chinyu directement pour cette histoire de dîner. Il fallait à tout prix qu'elle puisse voir sa patronne avant que l'italienne ne puisse s'entretenir avec elle jamais le belle chinoise n'accepterait que l'on fasse part de son véritable métier à la femme de sa vie ayant trop peur qu'elle ne la quitte ce qui était assez paradoxale avec leurs retrouvaille mais que voulez vous depuis plusieurs mois Mei s'était mit en tête que personne ne pouvait aimer une fille de joie comme elle. La brune sourit à la fin de la phrase de son amie cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pas masser sa chère et tendre qu'elle serait prête à lui faire cela gratuitement pendant de longues heures et elle l'aurait commencée immédiatement si le spectre de Chinyu ne planait pas dans son esprit. Se dirigeant vers l'armoire la chinoise commença à regarder ce qu'elle pourrait prendre, par chance elle avait presque la même taille que son aimée ce qui allait lui permettre de mettre plus où moins ce qu'elle souhaitait. Rapidement elle tomba sur une belle robe, Chinoise plutôt longue avec des nombreux motif rouge laissant apparaître le dos, elle ressemblait beaucoup à une des siennes et décida de la prendre.

"Je t'emprunte celle-là Chio' elle ira parfaitement, je te la rendrait demain promis avant je te la laverai."

Mei avait tournée la tête pour lui adresser un sourire, une nouvelle façon de cacher son mal être, elle n'allait pas rendre une robe souillée par la semence de ses clients à la femme qu'elle aimait, cette simple idée lui donnait envie de vomir. Se retournant vers l’armoire elle déboutonna son chemisier le laissant tomber sur le lit laissant apparaître le somptueux tatouage présent dans son dos puis déboutonna son pantalon de toile pour le laisser glisser lentement sur ses jambes se retrouvant à demi nue. La belle chinoise prit la robe et commença à l’enfiler délicatement laissant le soin à son amante d’admirer ses courbes, la robe lui allait parfaitement très légèrement longues mais ce n’était rien. Mei se dirigea doucement vers son amante.

"Tu veux bien me faire le noeud s’il te plait Chio’ ?"

Une fois que ce fut réglée la chinoises enlaça son amante l’embrassant tendrement profitant des lèvres de celle-ci, depuis qu’elle était partie ses lèvres n’avaient croisées personne c’était la seule chose pure qu’il restait en elle tout son corps ayant subit les asseaux de ses clients et autres personnes. Après un temps plutôt court elle détacha doucement ses lèvres redéposant de légers baisés sur les lèvres de l’italienne. Mei fouilla dans la première poche de son sac en sortant un petit trousseau de clefs composée de deux clefs et d’une petite plaque, sur celle-ci se trouvait l’adresse de son appartement.

"Je dois y aller ma douce, tient c’est mon adresse avec la clé passe me voir quand tu veux, je… Je t’aime."

La belle asiatique se retourna vers le lit, enfilant ses chaussures elle passa ses mains sur son visage de petite larmes s’étant mise à couler le long de ses joues puis elle ramassa ses affaires, vêtements mais aussi sont sac et se retournant elle déposa un nouveau baiser sur les lèvres de son amante après avoir une nouvelle fois effacée les larmes naissante sur ses joues avant de quitter l’appartement.

"Je t’aime, Chio’ à toute à l’heure…"

Mei s’engouffra dans l’ascenseur ne laissant pas le temps à Chiodaro de la suivre appuyant frénétiquement sur le bouton rez de chaussé, des que les portes se refermèrent sur elle les larmes envahirent tout son visage. La douleur de laisser l’italienne pour s’abandonner dans les bras de pervers ne voulant qu’une seule chose d’elle était trop forte pour qu’elle ne laisse ses larmes sortir, les pleurs de la chinoise suivirent presque immédiatement les larmes qui ne prirent fin que lorsque les portes s’ouvrir à nouveau. La jeune femme sortit de l’immeuble se dirigeant vers le poste de gare avant de stopper un taxi qui la conduirait vers les perles de Chine, elle n’avait pas le choix elle déjà en retard ne pouvait se permettre plus et puis ajh elle avait gagnée 100 $ grâce monsieur Ching…

Les perles de chines