Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis |
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| La glande ça craint | |
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+2Violet Vélasquez Johanna Beck 6 participants | Auteur | Message |
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Johanna Beck Détective sexuellement refoulée
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (9/9) Dollars: 20$ (80$)
| Sujet: La glande ça craint Jeu 10 Juil - 1:50 | |
| Entre deux feuilles griffonnées au crayon à mine de plomb, une tasse de café froid et un Sandwich de pain de mie agrémenté de poulet et de salade, dégoulinant de mayonnaise. Plus loin, suivant comme un Petit Poucet de fortune des miettes de Donut menaient à un tas de bouquins encombrés de photographies au teint sépia en marque-pages. Le Chicago Times du jour, quelques coupons publicitaires, un pot de crayon... sans crayon. Juste à côté d'une note fripée portant la marque caractéristique d'un rond de café et couverte de dessins sans intérêt, une enveloppe envoyée par AirMail, avec la fameuse bordure bleue et rouge. Un vrai foutoir que le bureau de Johanna Beck, la patronne de la Chase Agency. La poubelle non loin débordait depuis le début de la semaine de papiers roulés en boule ayant servis de Mémento durant ses précédentes enquêtes, et il se dégageait de la pièce une vieille odeur de cendre froide, s'évaporant d'un cendrier tout aussi rempli que la poubelle, si pas plus. Même le ventilateur plafonaire qui marchait en plein Janvier pour évacuer l'odeur n'y parvenait pas. C'était que notre garçonne était une fumeuse compulsive, comme le prouvait sa voix grave et profonde, quelques peu touchée par son tabagisme.
Assise sur sa chaise, les pieds sur le bureau, la jeune femme s'ennuyait, regardant d'un air critique le bouts de ses mocassins de cuir noir et brillant parfaitement ciré sous un pantalon cintré droit. Encore une journée sans boulot, la poisse pour elle qui haïssait l'inactivité. Et toujours la même vue depuis deux heures : ce putain de bureau encombré comme un bordel polonais et ces putains de chaussures cirées. Perdant patience, Johanna se redressa sur sa chaise pour saisir le journal et son paquet de cigarette, se saisissant d'un tube de nicotine avant de le glisser dans son porte-cigarette pour finalement l'allumer et commencer à fumer, se remettant affalée sur sa chaise, les pieds sur le bureaux, à se balancer. La clope au bec, le journal sur les cuisses, la jeune femme refit le nœud de sa cravate qu'elle avait dénoué, pour passer le temps, avant de lisser les cheveux qui lui couvrait les tempes, formant de petite mèches de cheveux en forme de boucle, collée sur la tempe que l'on appelle "accroche-cœur", très en vogue il y avait une dizaine d'années.
Bouffée après bouffée aux bords de lèvres, tiré de son porte-cigarette, Johanna remplissait la pièce de fumée, croisant les jambes dans un nouvel angle, pour déplier le journal. Le Chicago Times, elle le lisait toujours, principalement pour les articles écrits par son amie, une petite japonaise du nom de Soejima Chiyoko, une vraie fouille-merde à l'affut du moindre Scoop. Les initiales "S.C" ne la laissèrent pas indifférente à la fin d'un article plus qu'intriguant. Cette fille savait se vendre et ménager le suspens, y'avait pas à dire. Chiyoko, dans quoi tu te fourres encore... la privée garçonne eut un sourire intéressé : peut-être qu'une petite visite à "La Fouine" comme elle aimait à l'appeller serait de bon ton... Mais plus tard.
Pour le moment Johanna termina son Chicago Times en même temps que sa cigarette, avant que l'un ne rejoigne une pile de vieux journaux, et l'autre le sommet des mégots moribond du cendrier, et comme lire lui donnait faim, elle saisit le reste du Dandwich pour le gober en une bouchée, avant de saisir la tasse de café du bout des doigts, reposant ses pieds croisés sur le bureau, se rebalancant sur sa chaise. Elle porta la tasse à ses lèvres pour grimacer, crachotant dedans en se rendant compte que son café était froid. La dèche.
Et le boulot qui ne venait pas. Avec un npeu de malchance, elle passerait sa journée à se faire chier."Pffff..." | |
| | | Violet Vélasquez pin up fragile et empoisonnée
| Sujet: Re: La glande ça craint Jeu 10 Juil - 23:06 | |
| - Vi… Je …je sais pas, tu sais s’il apprend que je t’ai laissée y aller seule, je vais avoir des problèmes, bredouilla le gros homme comme un enfant boudeur.
Violet s’approcha lentement de celui qui la suivait comme son ombre pour rapporter à leur patron commun ses moindres faits et gestes et posa ses mains parfaitement gantées de part et d’autre de son visage boursouflé par des années de nourriture trop riche. Elle pouvait sentir le frisson lui secouer sa vieille échine, il en pinçait pour elle, depuis des années. C’était si touchant de voir cet homme, au bout de sa route, si fatigué, si lassé par cette vie de violence, avoir des mimiques d’adolescent impressionné quand elle s’approchait un peu trop près de lui. Vitto était dans le milieu depuis maintenant près de trente ans, une véritable antiquité sur patte. Il n’avait jamais fait de vagues, avait toujours été un bon exécutant, sans toutefois montrer d’ambition particulière, ce qui expliquait qu’il en était resté à ce niveau là de l’échelle maffieuse. La majeure partie de son temps était consacré à l’escorte de Violet, dont il rapportait l’emploi du temps dans le moindre détail. Evidemment, ça laissait peu de marge de manœuvre à Violet qui espérait pouvoir mettre en œuvre le plan qu’elle échafaudait patiemment depuis des années.
- Allons, Vitto…susurra-t-elle de sa voix claire et fine, Que veux-tu qu’il m’arrive, je vais juste au bout de la rue… Reste dans la voiture, mon ami, tu as l’air si fatigué…
Elle caressait distraitement l’extrémité du menton de Vitto, son visage de beauté glacée si près du sien qu’il pouvait sentir son parfum d’épices d’orient mêlé de patchouli. Il soupira. Bien sûr, il savait qu’il ne pourrait rien lui refuser. Ses yeux de chatte ronronnante sur un toit brûlant valaient bien tous les risques. Il soupira et se recala dans le fauteuil en cuir de la voiture. Il se ramollissait avec le temps, bientôt il ne se relèverait plus du sol de pierres.
- Entendu, Vi… Je reste là.
Elle sourit et lui fit un petit signe gracieux de la main avant de tourner les talons. Elle traversa la rue, roulant ses hanches sensuelles de façon proprement prohibitive et se dirigea vers la rue d’en face dans laquelle elle s’engouffra rapidement. Elle accéléra le pas, car ce qu’elle allait faire risquait d’être très dangereux. Quand on veut survivre dans le milieu, il fallait toujours avoir plusieurs coups d’avance et des munitions. Or Violet n’était rien et n’avait rien, tout au plus une pin up versée dans l’espionnage, bref pas grand-chose en sommes. Peu d’appui, pas de puissance et si peu de choix. Elle dépassa le salon de coiffure dans lequel elle était censée faire entretenir son superbe blond platine et se faufila entre les quelques passants pour parvenir devant une devanture d’une toute autre nature. Elle respira un grand coup et réajusta ses cheveux légèrement ondulés à la monde des actrices de cinéma.
Elle finit par s’arrêter devant une porte dont elle ne prit pas la peine de lire les lettres peintes dessus. Elle savait ce qu’elle cherchait, elle espérait juste que la personne soit un vrai professionnel. Elle toqua à la porte et croyant avoir entendu un « entrez » ouvrit lentement. Sa silhouette enchâssée dans un tailleur chic et aussi rouge que ses lèvres glissa dans la pièce en faisant claquer ses talons aguilles. Elle baissa son visage parfait voilé d’un tulle léger, échappé d’un canotier, vers la personne qui se trouvait en face d’elle. Son cœur fit un bond dans sa poitrine et se gela. Une femme ! Elle n’avait pas prévu ce cas de figure. Il n’y avait aucune chance pour qu’elle puisse se servir de son charme à son grand désespoir d’ailleurs dans ce monde. La partie allait être plus difficile, comme si elle ne l’était déjà pas assez ! Est-ce que pour une fois tout ne pourrait pas être plus simple ? Elle serait juste une femme comme les autres et serait juste libre de pouvoir compter sur une autre, particulièrement si celle-ci était aussi jolie que ce qu’elle avait devant elle.
Elle serra ses doigts sur la pochette qui lui servait de sac et avança un peu plus avec un geste digne d’une prise cinématographique.
- Bonjour, coula-t-elle d’une voix fine et frissonnante comme si elle avait été un animal traqué. Pouvez-vous m’aider ? | |
| | | Johanna Beck Détective sexuellement refoulée
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| Sujet: Re: La glande ça craint Jeu 10 Juil - 23:25 | |
| Johanna, trop absorbée par son café froid, n'entendit pas le grincement caractéristique de la porte de son bureau, mais eut juste le temps de se rattraper quand une jeune femme au physique plus qu'avenant entra, moulée dans un élégant tailleur qui lui donnait une allure de guêpe à la taille fine. la privée avait manqué de tomber de sa chaise, posant la tasse de café qu'elle avait en main sur un meuble à côté du bureau, avant de se relever d'un bond énergique. Un cliente? Ca tombait bien, elle s'ennuyait sec. Johanna la regarda un moment sans rien dire, avec son habituel air farouche et un peu malpoli, avant de retirer sa chaise pour se rassoir correctement et ranger su bureau encombré de ses dernières heure de travail. Mieux valait que personne ne foutte le nez dans ses affaires... et elle ne savait pas qui était cette femme.
En entendant le timbre frissonnant de sa voix, elle avait tout de la biche traqué, jusqu'aux cils papillonnants. "Ca commence toujours par une femme", un bon vieux classique du roman noir. La belle blonde en rouge avait l'allure de ce genre de femme qui rentre chez le héros en lui disant, d'un soupir lascif : "Oh... mon mari a disparu". Que de clichés, mais Johanna était une femme assez pleine de préjugés, et surtout extrêmement méfiante. Elle invita la femme fatale à s'assoir en face d'elle, devant son bureau déjà plus regardable.
"Bonjour, asseyez-vous je vous pries. Quant à vous aidez, ça dépend de ce que vous voulez et de combien j'y gagne."
La garçonne s'était exprimé d'un ton neutre, invitant Violet à s'assoir d'un geste simple de la main, sans perte de temps en politesses inutiles. La patronne de la Chase Agency regarda encore un coup sur son bureau pour être sûre que rien de particulier n'y trainait. La seule chose de compromettante qu'elle pouvait encore avoir à vue était une petit boite de Cookies qu'elle avait acheté à des Janet's (Scouts filles qui vendent les fameux Cookies pour financer des sorties). Après avoir, en un tic qui révélait qu'elle était une grande nerveuse, relissé un de ses accroche-cœur sur sa tempe, Johanna reprit son porte-cigarette pour y remettre une clope et recommencer à fumer. Gageons que la dame ne soit pas dérangée par la fumée.
"Johanna Beck, patronne de la Chase Agency. Bon, à qui aie-je l'honneur et que désirez-vous, miss?" Dit la jeune femme d'une voix méfiante, les sourcils froncés. | |
| | | Chiodaro Aléssia Belle espionne au sale caractère
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| Sujet: Re: La glande ça craint Jeu 10 Juil - 23:28 | |
| Mon appartementCette après midi la ce fut une femme qui vint s'engouffrer dans les bureau de la directrice de la Chase Agency, celle-ci jettait des regard furtif à droite à gauche comme si elle craignait quelques choses avant de s'y engouffrer. La femme était plutôt de grande taille et arborait une longue chevelure couleur feux, une chevelure bouclé, soigneusement coiffé parsemer de petit ruban rouge pour la maintenir et qui lui tombais dans le dos en cascade jusqu'au bas reins. La jeune femme arborait une beauté certaine et son teint pale accentuer par le fard blanc qui tapissait son visage ne fessait qu'accentuer cette impression de chose fragile, de poupée de porcelaine. La belle inconnue portait une très longue robe trainant presque sur le sol, une robe en satin noire de grand standing parsemer de brodure cousu avec du fils rouge, tout en bas il y avait des fanfreluches en soie rouge qui ne servait qu'à rendre encore plus profond le noir de la robe et accessoirement augmenter le prix de la robe. Le haut de la robe était un bustier qui collait au plus prêt les formes généreuse de la jeune inconnue et affichait par la même occasion sa taille de guêpe. Le visage de la demoiselle était emprunt de grâce, les traits étaient fin et harmonieux, ses yeux agréablement maquiller et le coup de crayon ajouter au fard à paupière de couleur pale ne servait qu'à agrandir son regard de biche de couleur vert écume, un regard tel qu'un simple battement de cil aurait suffit à faire tomber un homme dans ses bras et enfin ses lèvres pulpeuse arborait un rouge à lèvres d'une couleur rouge vif envoutant au milieu de la paleur du visage. Cette femme ce déplaçait avec une certaine classe non dissimuler et aucun geste futile ne venait gacher ce spectacle, n'importe qui aurait put croire que cette femme appartenait aux grand de ce monde, sauf si bien sur cette personne connaissait ce milieux car bien entendu tous ceci n'était qu'apparence et cette femme était tous sauf aussi fragile qu'elle voulait bien le laisser croire. Alessia, Chiodaro Alessia était son nom, une femme de pouvoir de cette ville dont tout le monde ignorait son vrai nom, son visage et surtout son véritable but et pour cause elle était devenu une experte en maquillage et en déguisement et chacune de ses apparitions était parfaitement calculer et orchestrer dans les moindre détails. On était en droit de ce demander ce que la dirigeante de la plus grande section de renseignement de cette ville pouvait venir faire dans une agence de détective et bien elle seule en possédait la réponse. Chiodaro était venu voir l'une des personnes qui avait profiter de son absence pour toucher son aimée et surtout utiliser ses compétence pour une petite mission sans avoir à impliquer ses hommes ce qu'elle fessait un petit peut trop en ce moment. La jeune espionne pour l'occasion avait prévu une couverture en utilisant le nom d'une morte après avoir payer la morgue pour la rendre inidentifiable et surtout avait passer un long moment à parfaire son déguisement. Chiodaro avait légèrement grossit ses fossettes grâce à de petit moulage de latex qu'elle possédait et le fard était la pour les dissimuler une longue perruque était venue dissimuler sa chevelure brune et de faux sourcil plus épais dissimuler les siens. Un postiche en latex était venu modifier le sien quelque peut pointu, le corset était serrer à l'extrême pour la faire paraitre plus mince que d'origine. La jeune femme avait pousser le vice jusqu'à enfiler une paire d'escarpin au semelle et aux talons fait sur mesure pour lui faire gagner une dizaine de centimètre et pour finir son déguisement de long gants noire remontant jusqu'au milieu de ses biceps pour cacher ses doigts jauni par la cigarette car une femme du monde n'avait pas à fumer ses cigarette comme les roturiers, elle utilisait une rallonge en bois et que cette femme aimait pousser ses tenue dans le moindre détails. Chiodaro attarda son regard sur la femme enfin le garçon manquer à l'autre bout de la pièce viser à son fauteuil les pieds sur la table et qui ce fichait royalement du désordre environnant. Chiodaro eut grand mal à ce retenir d'avoir une expression mauvaise lorsqu'elle croisa le regard de cette perverse qui avait balader ses mains sur le corps de son amante mais cependant elle ce maitrisa et repris sa progression en direction du bureau ou une autre femme d'une grande beauté ce trouvait déjà la et en conversation avec la détective, une fois arriver au niveaux du bureau Chiodaro prit place sur une chaise lissant proprement sa robe et attendant de voir si elle pourrait débuter la conversation. HRP : j'avais déjà écrit mon post et j'ai un peut édité pour la présence de Violet mais j'avait dit que je viendrai donc je suis la quitte à me faire refouler Edit 2 : ah sa va trop vite xd | |
| | | Violet Vélasquez pin up fragile et empoisonnée
| Sujet: Re: La glande ça craint Jeu 10 Juil - 23:57 | |
| [ HRP voilà je m'éclipse ^^ bon RP !]
Violet leva lentement les bras et ses mains s’accrochèrent au tulle léger de son chapeau pour dévoiler en douceur son visage. Ses traits étaient lisses, presque prévisibles de féminité, mais son regard d’encre noire avait l’air tellement perdu, comme s’il tentait de se raccrocher à quelque chose qui demeurait introuvable. Elle vint s’asseoir sur la chaise en face de Johanna et exhala de ses lèvres couleur sang un soupir vibrant.
- Violet Giometti, mentit-elle en attendant de savoir si elle pouvait s’en remettre à la femme qui se trouvait en face d’elle. Mais tout le monde m’appelle Vi.
Elle croisa ses jambes fines qui dévoilèrent à peine la naissante de ses genoux. Elle ouvrit sa pochette d’un geste visiblement saccadé.
- Pardonnez-moi, dit-elle presque sur le souffle, je suis un peu nerveuse. C’est …C’est la première fois, vous comprenez ? C…Ca vous dérange si je fume ?
Elle avait posé la question sur un ton étrangement enfantin, comme une petite fille qui demanderait à prendre un bonbon avant le repas du soir.
- L’argent n’a pas d’importance… Je…
Violet s’interrompit quand une autre femme pénétra dans la pièce et n’avait pas l’air spécialement commode si elle en jugeait par ce qu’elle lisait dans le fond de ses pupilles. Combien y avait-il de chances pour qu’elle tombe sur une agence gérée par une femme et la plus en vogue de surcroît ? Décidément, tout allait de travers pour elle. Elle essaya de penser positif, ce qui n’était absolument pas naturel chez elle. Elle pourrait toujours revenir, plus tard…Mais quand ? Avec Macimo qui la faisait surveiller tout le temps, il fallait la jouer fine. Ses plans partaient mal… Très mal. Violet était toujours celle qu’on mettait à l’écart, elle était l’accessoire du principal, le négligeable de l’important et le sacrifiable du saint dogme. Bref, celle dont on appréciait la compagnie quand on avait rien de mieux à faire. Elle referma sa pochette, s’apprêtant à prendre congé des personnes et rabattit sa voilette par une sorte de réflexe de défense.
Elle se redressa, défroissant avec élégance le tissu de sa jupe de tailleur et s'inclina vers Johanna en lui laissant deviner la profondeur de son regard de chatte sauvage.
- Veuillez m'excusez, j'aurai...j'aurai dû prendre rendez-vous. Je vais vous laissez et je reviendrai plus tard, sur rendez-vous.
Elle contourna la chaise, passant juste à côté de la femme qu'elle salua discrètement et avec la plus grande courtoisie, puis ouvrit la porte. Elle se retourna un instant, pour jeter un oeil étrange à la détective, puis sortit en la saluant encore.
--- > l'hôpital. | |
| | | Johanna Beck Détective sexuellement refoulée
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| Sujet: Re: La glande ça craint Ven 11 Juil - 0:34 | |
| "Ca commence toujours par une femme"... le hic c'était que là, pour le coup, il y en avait deux. Deux femmes fatales loin de ressembler à une à des tonneaux. Deux beautés très différentes dont le seules point commun était des lèvres d'un rouge vif très à la mode ces derniers temps. La jeune femme qui venait d'entrer était une flamboyante rousse aux longs gants de velours et à la robe de satin, tout aussi avenante que Violet Giometti, puisque c'est ainsi que disait se nommer la belle blonde. Se sentant quelque peu observée par la nouvelle venue, la garçonne aux accroche-cœur la fixa un long moment sans rien dire, l'air de demander si elle avait un soucis, expirant la fumée de sa cigarette par le nez en faisant rouler son porte-clope entre ses lèvres fine, en une moue boudeuse.
- Veuillez m'excusez, j'aurai...j'aurai dû prendre rendez-vous. Je vais vous laissez et je reviendrai plus tard, sur rendez-vous.
"Y'a pas de problème, m'dame, vous pouviez pas savoir."
Johanna regarda Violet défroisser sa robe et refermer sa pochette avec une certaine nervosité, avant de se lever pour prendre congé. Elle aurait pu rester, mais Johanna se rappela qu'elle avait rendez-vous avez une immigrée irlandaise du nom de Sarah Dwyken, surement la rousse qui venait d'arriver. C'était dingue, quelques secondes avant elle se faisait chier à mourir, et voilà qu'elle avait deux clientes en même temps! Si elle avait eut plus d'effectifs, Violet n'aurait pas eut à partir. a privée la regarda s'en aller, surprise du regard que la jeune femme lui envoya, comme un appel au secours. Cette femme semblait vraiment avoir besoin d'elle. Rah ses salariés, jamais là quand il fallait!
"Revenez dans une heure, Miss Giometti!" Lanca Johanna d'une voix forte pour bien se faire entendre.
Quel bordel... la brune toussa un instant en écrasant sa cigarette dans le cendrier, le vidant rapidement dans la poubelle. Une chose après l'autre, et les choses sont bien réglés. Elle se rassit correctement et regarda la nouvelle venue avec son habituelle air un peu morgue.
"Sarah Dwyken, je suppose, on avait rendez-vous. Que puis-je faire pour votre service?"
(HRP : désolé c'est court, mais c'est un post de transition.) | |
| | | Chiodaro Aléssia Belle espionne au sale caractère
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| Sujet: Re: La glande ça craint Ven 11 Juil - 18:36 | |
| Chiodaro était quelque peut étonner par le spectacle qui ce déroulait devant ses yeux la jeune femme qui était arriver avant elle semblait avoir perdu tous ses moyens en la voyant rentrer, l'espionne n'était pas déranger le moins du monde par cet état de faites loin de là, elle n'aimait pas attendre mais cependant d'un certain coté elle aurait aimé percer à jour cet obscur, la raison correspondait surement à une vilaine déformation professionnelle. Chiodaro adressa donc un polie geste de la tète pour dire au revoir à la demoiselle qui partait d'un pas presser, ses talons martelant le parquet du bureau, l'Italienne prenant grand soin de mémoriser le visage de cette inconnu au cas ou sa puisse lui servir dans un avenir plus ou moins proche et enfin elle reporta son attention sur la détective. Chiodaro grava aussi ce visage, qui en ce moment était plutôt renfermer et impatient, elle même voulut allé jusqu'à dire calculateur mais surtout elle ce l'imaginait dans les bras de Mei et la elle le voyait plutot réjouit et calculateur, pour chasser cette pensée la jeune femme ce décida à fumer. L'italienne dans un geste lent et calculer plongea la main dans son sac à main et en ressortit un étui à cigarette en argent ainsi qu'un porte cigarette en noyer. La jeune femme était d'une nature à ce donner elle même les permissions qu'elle voulaient, ce qui était surement du à son passée et donc une fois qu'elle eut placer le tube de nicotine dans le porte cigarette elle porta le tout à ses lèvre et alluma la cigarette, elle laissa la nicotine envahir son corps tandis que la détective parlait. Chiodaro dans un pincement distinguer des lèvres ce mit à recracher la fumée dans un fin trait et prit la parole d'un ton très calme et poser ou un vilain viel accent anglais des hilland transparaissait :
" Je suis bien Sarah mais Sarah McDwyken, et je viens effectivement pour avoir recours à vos service Mademoiselle Beck. "
Ce que Chiodaro ne pouvait pas supporter lorsqu'elle jouai l'interprétation d'un femme avec une certaine classe c'était qu'elle ne pouvait mettre un mot plus haut que l'autre et surtout elle devait ce montrer polit même si elle ne pouvait pas encadrer la personne qui lui fessait face. Chiodaro constatant le cendrier plus que plein poser sur le bureau ce décida à tendre d'un geste polit son étuit à cigarette pour en proposer une à la détective mais comme elle ne souhaitait pas rester le bras tendu pendant cent ans elle le déposa tous simplement où elle put sur le bureau. Chiodaro fixa un bref instant d'un regard polit le garçon manquer avant de baisser le regard pour simuler ne certaine gène et enfin elle reprit la parole en parlant d'un voie plutôt basse :
" Voilà je suis venu vous voir sur les conseils d'une amie qui m'a affirmer que aucune enquète ne vous inquiétait ... ... ... et étant donner que vous êtes une personne de la gente féminine vous seriez ... ... vous seriez à même de me comprendre. Je sais ce que je vais vous demander et je sais que c'est dangereux mais ... mais pour le moment c'est tous ce que je vous dirais et si vous accepter de traiter mon affaire je vous serrai gré et vous en dirais plus. "
Une interprétation digne du grand théâtre, décidément elle avait rater sa vocation et elle aurait du être actrice surtout avec toutes ses hésitations et cette main qui tenait son porte cigarette agiter de tremblement, il ne manquait plus que les larmes mais en attendant une quelconque réponse de la part de Johanna, elle resterai ainsi prostrée la tète basse, position qui ne lui plaisait guère d'ailleurs mais bon comme on dit souvent la faim justifie les moyens.
HRP : désolé j'avais pas grand chose à raconter sur ce post. | |
| | | Johanna Beck Détective sexuellement refoulée
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| Sujet: Re: La glande ça craint Ven 11 Juil - 19:00 | |
| " Je suis bien Sarah mais Sarah McDwyken, et je viens effectivement pour avoir recours à vos service Mademoiselle Beck."
"Hmm... désolée Miss. Moi et les noms..."
Dwyken, McDwykn... elle ne se souvenait jamais des noms correctement, mais elle gravait les visages dans sa cervelle mieux que quiconque. Johanna ne dit rien lorsque Sarah se décida à ouvrir un bel étui d'argent pour en sortir un porte-cigarette et se mettre à fumer avec une grande classe. C'était une femme plutôt élégante, que la détective se plut à observer dans tout ses gestes. Déformation professionnelle peut-être? En tout cas la garçonne ne se gêna pas pour regarder clairement la jeune femme. Elle avait toujours ce petit côté "je fais ce que je veux chez moi".
" Voilà je suis venu vous voir sur les conseils d'une amie qui m'a affirmer que aucune enquête ne vous inquiétait ... ... ... et étant donner que vous êtes une personne de la gente féminine vous seriez ... ... vous seriez à même de me comprendre. Je sais ce que je vais vous demander et je sais que c'est dangereux mais ... mais pour le moment c'est tous ce que je vous dirais et si vous accepter de traiter mon affaire je vous serrai gré et vous en dirais plus. "
Johanna ne répondit pas immédiatement, écoutant silencieusement les dires de Miss McDwyken. Les "conseils d'une amie" hein? C'était bien, au moins ses clients lui faisait de la pub, et cette idée la détendit quelque peu, bien qu'elle n'en fit pas montre. Elle se contenta de prendre la cigarette offerte par la belle plante en la remerciant d'un simple signe de la tête rapide, avant de l'enfoncer dans son propre porte-cigarette. "Une personne de la gent féminine"? En quoi cela pouvait-il l'intéresser? Surement une histoire de cul, somme toute. Johanna soupira.
"Ca ne m'inquiète pas si on me paye bien, Miss. Je vous écoute donc."
Aller, au boulot.
(HRP : pas de soucis, moi c'était pareil là.) | |
| | | Chiodaro Aléssia Belle espionne au sale caractère
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| Sujet: Re: La glande ça craint Ven 11 Juil - 19:50 | |
| Chiodaro entendit les excuses de Johanna à propos de sa faute de prononciation en évoquant son nom et elle fit un petit geste gracieux de la main pour lui signifier que ce n'était pas grave, de toutes façon pour l'italienne écorcher son nom du moment était réellement le dernier de ses soucies car dans trois heures elle porterait surement déjà un autre le plus gros de ses problème était de ne pas mélanger ses différentes identité durant une conversation. Chiodaro sentit en revenche le regard lourd et insistant sur ses courbes de la part de la détective, s'en était limite génant, le jeune femme n'était pas du genre à apprécier qu'on la déshabille du regard ainsi donc elle ce contenta de relever la tète et de plonger son regard dans celui de la personne assit de l'autre coté du bureau, affichant un air interrogateur sous entendant largement y aurai t'il un problème. Chiodaro risquait de vite perdre son calme si elle ce rendait compte que cette planche à pain était une coureuse de jupon. Enfin la phrase salvatrice arrivait : "Ca ne m'inquiète pas si on me paye bien, Miss. Je vous écoute donc." Voilà l'appât avait été lancer et le poisson avait mordu, peut de personne pouvait dans cette ville s'enorgueillir de pouvoir échapper au pouvoir de l'argent dans cette ville, les dollars avait un taux de destruction bien plus important à cette époque que la meilleur des sulfateuse, une preuve venait encore d'en être donner. La détective était prêt à aller droit dans en enfer du moment que l'on la rénumérait suffisamment. L'espionne en était presque déçut elle pensai devoir lutter un peut plus que ça pour pouvoir la convaincre mais soit si elle voulait être payer elle aurait ce qui lui faudrait et Chiodaro obtiendrai ce dont elle avait besoin. Chiodaro tira une fois de plus sur sa cigarette lentement et enfin prit une grande inspiration comme si ce qu'elle s'apprêtait à dire allait être très pénible : " Voilà je suis une dame de compagnie de grand standing, une pute de luxe pour user d'un language commun et cette vie ma jamais plut. J'ai tenter de m'en sortir sans grand succès mais il y a peut de temps j'ai entrevue une lueur d'espoir. Voilà je me suis dit qu'il me faudrait un moyen de pression sur ma patronne, qui si je fuyait préférait rien tenter pour me rattraper de peur que ses secrets soit éventer. "Chiodaro avait parler à toutes vitesse comme si parler de ce sujet la peinai et surtout la dérangeait d'étaler sa honte au grand jour, une chose qu'elle ne connaissait pas mais qu'elle estimai que sa ce passerai ainsi si cela devrait arriver et elle repris son souffle avant de repartir dans sa conversation de plus belle : " Ma patronne est la maitresse des perles Chinryu et je ne vous cache pas que ce bâtiment est affilier à l'une des Mafias de cette ville, une enquête serait des plus dangereuse et c'est pour cette raison que je me présente son mon nom de batème et non celui qui m'a été octroyer la bas pour exciter la libido des pervers. Je suis cependant pret à payer ... ... ... à payer ce que vous me demanderez sans tenter de discuter de vos honoraires, car à mes yeux ma liberté n'a pas de prix. "Chiodaro ferait ainsi d'une pierre deux coup au cas ou sa déraperait, elle aurait obtenue certaine information par une source indépendante de sa section et si cette perverse devait venir à mourir sa ne pourrait que lui faire le plus grand bien et surtout sa lui éviterai de le faire elle même tout en accusant les chinois car elle prendrait bien sur un malin plaisirs à faire remonter les preuves. Elle avait plus qu'à étudiez maintenant les reaction qu'allait produire cette planche à pain pour cerner le personnage qui lui fesait face ainsi ne jamais être prit de court. | |
| | | Johanna Beck Détective sexuellement refoulée
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| Sujet: Re: La glande ça craint Ven 11 Juil - 21:02 | |
| Johanna eut l'impression que le fait de regarder fixement Miss McDwyken la dérangeait, aussi arrêta t'elle rapidement, en faisait claquer sa langue sur son palais par réflexe. Elle se justifia même si c'était inutile, sa peur refoulée de se faire catégorifier "femme appréciant son propre sexe" reprenant le dessus. Sale habitude.
"Pardon, je regarde toujours les clients comme ça, j'étudie les cas, déformation professionnelle."
La jeune femme tira une bouffée de sa cigarette en étant des plus silencieuses. Un malentendu d'écarté, une bonne chose, du moins le pensait t'elle naïvement. Johanna avait beau être une privée consciencieuse et talentueuse, professionnelle, tout ce qui touchait à son attirance sexuelle devenait épineux et problématique, succession de fautes. Elle décida de ne plus rien dire, écoutant l'histoire de sa nouvelle cliente. Une prostituée de luxe hein? Drôle d'histoire pourtant malheureusement courante. Confondre sa patronne pour mieux pouvoir tirer son épingle du jeu et mieux fuir? Pas mal comme idée, et la place d'un privé dans l'affaire était toute tracée. Chercher les petits secrets des gens, non pas que cela lui plaisait mais c'était son travail, était la spécialité de Johanna. Avec un peu de chance, elle arriverait à chopper quelques informations grâce à ce chacal puant de Weelky, l'homme à l'unique sous-vêtement, mais son meilleur fouille-merde.
" Ma patronne est la maitresse des perles Chinyu et je ne vous cache pas que ce bâtiment est affilier à l'une des Mafias de cette ville, une enquête serait des plus dangereuse et c'est pour cette raison que je me présente son mon nom de batème et non celui qui m'a été octroyer la bas pour exciter la libido des pervers. Je suis cependant prêt à payer ... ... ... à payer ce que vous me demanderez sans tenter de discuter de vos honoraires, car à mes yeux ma liberté n'a pas de prix. "
Chinyu, la patronne des Perles de Chine? On tapait pas dans le petit en effet, ni dans la sécurité, puisque Johanna savait pertinemment que cet établissement était affilié à la Triade. Et elle connaissait cet établissement. Sur le moment, elle fut troublée à l'écoute du nom, mais arriva à ne rien laisser paraitre. C'était là où, à deux reprises, elle avait lâché le frein et avait commis des actes coupable avec une jeune femme qui y travaillait. "Prostituée" était un terme que la jeune femme ne voulait pas utiliser, sans trop savoir pourquoi. Elle soupira. Ainsi Miss McDwyken travaillait dans le même établissement que Chin Mei. Décidément, cette histoire lui collait à la peau...
"Miss McDwyken." Commença Johanna.
Avant d'aller plus loin, la privé chercha un calepin et un crayon pour prendre des notes, écrasant son dernier mégot pour passer du mode relax à celui de la cadence de travail, le visage fermé, sans émotion. On pouvait pas se permettre de se montrer émotif ou compatissant dans son domaine d'activité, sinon on se retrouvait les pieds devant ou dans du ciment au fond de la flotte. Pour cette raison Johanna resta distante, bien que cette affaire l'arrangeait. Avec de la chance, sa cliente serait libre, mais Chin Mei pourrait également profiter de cette opportunité. Une idée à creuser plus tard, sa cliente était prioritaire.
"Okay, je prend l'affaire, j'ai des comptes à régler en même temps. Pour l'argent on verra plus tard, une fois que j'aurais toutes les informations pour commencer. Va falloir m'aider Miss McDwyken, vous me demander pas de ferrer de la friture là, mais du gros poisson. Si vous avez des informations je suis toute ouïe"
Johanna sourit avec entrain, son visage changeant du tout au tout. Se frotter à la Triade était considéré comme suicidaire, mais peu importait, pour elle, c'était le paradis. Sans risque la vie était face, et la privée aux accroche-cœurs voyait là un moyen de se faire pardonner... Se pardonner elle-même d'avoir fauté deux fois. Ce boulot était une occasion inespérée d'aider Chin Mei à sortir, comme Sarah de sa condition. Si toutefois elle le voulait, car Johanna se rappelait de la soumission aveugle de la chinoise pour la maison des Perles... cependant, pour le moment, elle devait se contenter de se focaliser sur la patronne, pour la mettre à mal. Elle savait qu'elle risquant gros sur ce coup, mais gagnerait pas mal de fric... et pourtant, le fric n'était pas son principal moteur.
"Dites-moi ce que vous savez Miss, et je ferais tout pour que vous soyez satisfaite et libre."
La rude Johanna sourit à cet instant de manière plus sincère. Elle était plus détendu qu'avant, bien que ce fut bref, plongeant le nez dans son calepin en bonne professionnelle. C'était un boulot de suicidaire. Tant mieux. De toute façon personne n'irait la sortir de là, alors elle prenait ses responsabilités. C'est ça le métier de privé. | |
| | | Chiodaro Aléssia Belle espionne au sale caractère
Feuille de personnage Points de vie: (60/60) Munitions: (0/0) Dollars: 45 (270) [345/semaine]
| Sujet: Re: La glande ça craint Ven 11 Juil - 23:18 | |
| Chiodaro qui n'était plus très enclinte à excepter des excuses en faites elle ne l'avait jamais été lorsqu'on lui en présentait soit elle s'en foutait, soit elle ce révoltait contre, son amante étant un cas à part. Lorsque Johanna lui en présenta de nouveaux sur sa façon de la dévisager autant vous dire qu'elle avait été très mal perçut. Chiodaro savait que cette femme ne regardait surement pas tous ses clients ainsi à s'attarder sur ses moindre gestes et pour cause elle était pareil elle décortiquait tous. La façon prompte à prendre la parole en raison du regard interrogateur qu'elle lui avait lancer montrait qu'elle avait quelque chose à cacher ou alors qu'elle tentait de cacher mais pour le moment il ne savait pas de quoi il en retournait et en faite elle s'en moquait, elle n'était pas là pour percer les obscurs secret d'une détective de quartier. Chiodaro ce contenta donc de laisser ce perdre ses réflexions désobligeante dans son esprit torturer et émit un simple petit battement de paupière avec son regard de biche apeurer et compréhensive pour signifier que cela ne la dérangeait guère, après tout elle était dans la peau d'une prostitué donc elle devait être habituer au regard lourdement insistant.
Et voilà qu'enfin le moment crucial commençait l'espionne avait énoncer sa demande et les choses commençaient à ce mettre ne place et la belle espionne Italienne comptait bien utiliser son regard acérer pour décortiquer toutes les expression faciale de son interlocutrice et ne pas perdre une miette de ce délicieux spectacle afin de comprendre comment pouvais bien fonctionner cette détective même si pour le moment elle n'y décelait rien de bien particulier, enfin plutot rien de bien intéressant s'en était même troublant. Chiodaro avait l'impression d'être face à un miroir, la femme qui lui fesait face ne montrait rien, même pas une petite expression de surprise à l'évocation du nom du lieu de travail dont elle prétendais être issu, mais pour la moment sa ne pouvais vouloir dire que deux choses : soit elle avait un self-control de ses émotions frisant la perfection, soit elle ce fichait tous simplement de sa vie sexuelle. Chiodaro espérait pour elle que la première solution était la bonne sinon elle risquait de mettre fin à ses services de façon prématurer. La détective repris la parole s'affairant à la recherche de quelque choses qui s'avéra être un calepin et un crayon pour ensuite ce lancer dans une longue tirade :
"Okay, je prend l'affaire, j'ai des comptes à régler en même temps. Pour l'argent on verra plus tard, une fois que j'aurais toutes les informations pour commencer. Va falloir m'aider Miss McDwyken, vous me demander pas de ferrer de la friture là, mais du gros poisson. Si vous avez des informations je suis toute ouïe"
Des comptes à régler voilà des mots bien étrange que pouvait t'elle bien avoir comme problème à régler la bas, c'était une chose qui ne servait qu'à attiser la curiosité de l'Italienne et ce au plus haut point peut être ce chargerai tel tous simplement d'enquêter elle même histoire de dénicher quelque secret inavouable autre que le faites qu'elle couchait la bas. Ensuite bien évidement des informations elle en avait, elle en avait même des dossiers complet mais rien qui pourrais l'intéresser et surtout cela ne la regardait pas le moins du monde et comment expliquer qu'une prostituer des perles connaisse l'intégralité de leur système de sécurité ou leur revenu brut à l'année donc elle préféra continuer sur le plan qu'elle avait planifier. Chiodaro ouvrit une fois de plus son sac et en retira une petite liasse de billet fixer par une épingle en argent qu'elle fit glisser tout doucement sur le bureau en direction de Johanna.
" Miss Beck pour l'argent je préfère prendre mes précautions et donner un acompte tous de suite, et je vous serai gré de ne pas la refuser il y a la 45 $ qui devrons j'espère suffire à vous lancer dans cette enquête périlleuse,j'estime qu'une base de 10$ par jour qui devront vous permettre pour les quatre premier jour mais dites moi si je me trompe. Ensuite je suis terriblement confuse mais je me doit de poser des conditions pour ma propre sureté, ma simple présence ici me met en danger, j'aprécierai que jamais mon nom ne ressorte ni même écrit et que vous ne cherchiez plus à me rencontrer sans mon accord. Je suis vraiment désolé si je me montre si méfiante mais c'est la seule façon que j'ai de rester vivante, d'ailleurs si un quelconque drame devait m'arriver une de mes connaissance prendrait la relève histoire que ceci ne soit pas fait en vain, je vous serai reconnaissante donc de continuer dans la limite de l'argent versé car je ne suis pas la seul à y être contre mon gré. "
Chiodaro c'était exprimer d'une voie timide et faible et passait son temps à frotter ses doigts les un contre les autre pour mettre en scène sa nervosité et sa peur de tenter une action aussi téméraire et après avoir écraser sa cigarette et ranger son étui en argent dans son sac elle reprit la parole pour le sujet des informations et passer ainsi pour une bonne inculte :
" Après pour des informations je ne sait que vous dire, je ne sait pas ce qui pourrai intéresser quelqu'un comme vous peut être pourriez vous m'aiguiller sur ce qui pourrais vous intéresser. " | |
| | | Johanna Beck Détective sexuellement refoulée
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (9/9) Dollars: 20$ (80$)
| Sujet: Re: La glande ça craint Sam 12 Juil - 1:07 | |
| Johanna regarda la jeune femme faire glisser sur son bureau une petites liasses de dollars épinglés. Ca faisait une somme ça dit donc... autant de pognon à la fois avait rarement glissé sur son bureau, à vrai dire, et la garçonne se dit que Miss McDwyken devait soit avoir les moyens, soit être vraiment désemparée. Ou alors ne pas avoir la notion de l'argent, au choix. Ou peut-être bien les trois mais c n'était plus très important en fait. t encore... ce n'était visiblement selon les dires de la belles rousses qu'un acompte. Mazette aujourd'hui c'est jour de paye.
" Miss Beck pour l'argent je préfère prendre mes précautions et donner un acompte tous de suite, et je vous serai gré de ne pas la refuser il y a la 45 $ qui devrons j'espère suffire à vous lancer dans cette enquête périlleuse,j'estime qu'une base de 10$ par jour qui devront vous permettre pour les quatre premier jour mais dites moi si je me trompe. Ensuite je suis terriblement confuse mais je me doit de poser des conditions pour ma propre sureté, ma simple présence ici me met en danger, j'apprécierai que jamais mon nom ne ressorte ni même écrit et que vous ne cherchiez plus à me rencontrer sans mon accord. Je suis vraiment désolé si je me montre si méfiante mais c'est la seule façon que j'ai de rester vivante, d'ailleurs si un quelconque drame devait m'arriver une de mes connaissance prendrait la relève histoire que ceci ne soit pas fait en vain, je vous serai reconnaissante donc de continuer dans la limite de l'argent versé car je ne suis pas la seul à y être contre mon gré. "
"C'est une fouttue somme Miss que vous me donnez là. Ca me va largement. Pour vos conditions, je comprend, mais ça va compliquer grandement les choses vous voyez. M'enfin c'est promis. J'aimerais juste qu'on convienne d'un moyen de communication. Je comprend que vous vouliez préserver votre anonymat et votre vie, mais faut bien que je vous joigne, genre un numéro de cabine anonyme ou autre... "
Ca ne dérangeait pas Johanna de bosser pour une inconnue, car elle l'avait déjà fait même si elle était suspicieuse de nature. Mais celle-ci payait bien, alors elle serait moins curieuse... dans un premier temps. La privée remarqua alors l'attitude anxieuse de sa nouvelle cliente : visiblement elle avait peur, et quoi de plus normal quand on était l'objet de transaction de la Triade et qu'on voulait fuir. La brune se leva alors rapidement, d'un seul bond encore une fois, prouvant son comportement vif et agité, pour se rendre dans le fond de la pièce pour chercher une tasse de café chaud à Sarah. Une fois debout, le bras droit de la jeune femme semblant ballant le long de son flan, comme s'il était mort. Enfin il ne l'était pas, mais semblait manquer de souplesse. Une fois la tasse chercher, Johanna la posa sans rien dire devant "Sarah", avec une cuillère, cherchant dans sa poche deux sucres emballés, bien qu'elle-même boive son café serré comme un café italien sans sucre. Elle les posa à côté de la tasse avant de se rassoir, avec totue sa gentillesse malhabile du : nan mais, j'compatis pas là.
" Après pour des informations je ne sait que vous dire, je ne sait pas ce qui pourrai intéresser quelqu'un comme vous peut être pourriez vous m'aiguiller sur ce qui pourrais vous intéresser. "
"Il me faut des brèches si vous en avez, des choses que vous suspectez. Des pistes en somme, là nous sommes vraiment dans le vague. Etant une femme, à moins que je me travestisse, ce que je fais très bien, c'est pas dur, j'aurais du mal à entrer aux Perles, donc pour débuter mon enquêtes j'ai besoin de soupçons. Je me doutes que votre Patronne travaille avec la Triade, il me faut juste quelques preuves pour commencer. Vous avez-vous des choses suspects sur votre patronne? Ou vous avez des présomptions sur elle?" | |
| | | Chiodaro Aléssia Belle espionne au sale caractère
Feuille de personnage Points de vie: (60/60) Munitions: (0/0) Dollars: 45 (270) [345/semaine]
| Sujet: Re: La glande ça craint Lun 14 Juil - 23:29 | |
| "C'est une fouttue somme Miss que vous me donnez là. Ca me va largement. Pour vos conditions, je comprend, mais ça va compliquer grandement les choses vous voyez. M'enfin c'est promis. J'aimerais juste qu'on convienne d'un moyen de communication. Je comprend que vous vouliez préserver votre anonymat et votre vie, mais faut bien que je vous joigne, genre un numéro de cabine anonyme ou autre... "
Le ton était donner et la détectives acceptait de faire des concession que demander de plus et après tout le client était Roi, Chiodaro était d'ailleurs une cliente en ce jour et voulait être traiter comme tel. Chiodaro ne voulait surtout pas d'autre entrevue ni même de tentative de prise de contact avec elle pour une simple et bonne raison, la belle espionne ne comptait pas passer son temps à ce déguiser et à ce monter des alibi pour tel ou tel chose, elle n'avait pas que sa à faire et des responsabilité à assumer ainsi elle fixerait les lieux et les dates de leur rencontre quitte a les faire par téléphone. Chiodaro n'avait d'ailleurs que faire de compliquer la tache de Johanna loin de la, dans l'esprit de l'Italienne n'apparaissait en faite qu'une chose plus la perverse qui avait abuser de son être aimée galérerait mieux sa serait, car si elle devait aller flâner dans les méandre de la Triade et que par malheur elle ce fesait repérer tant pis pour elle, sa ne ferait que révéler son incompétence et par la même occasion elle deviendrai inutile. Chiodaro ne s'encombrait pas de gens inutile et ce désintéressait immédiatement de leur sort une fois qu'elle en avait plus besoin, un peut comme un emballage qu'on jette sur le trottoir parce qu'on ne sait qu'en faire. Chiodaro savait qu'elle ne pouvait pas décliner l'offre que lui fesait Johanna sans que sa paraisse suspect un client injoignable ce ne peut qu'être suspect et elle reprit donc sa petite voie de soi-disante timide et parla :
" Oui ... vous avez raison je ... ... ... je n'avais pas pensé à sa donc je ne sait quoi vous répondre ... ... mais peut être que ... peut être que si je prenais contact avec vous tout les jours par téléphone serait suffisant .... ça pourrais être envisageable ? ... ... enfin uniquement si cela vous convient je ne veut pas vous importuner. "
En faite si Chiodaro voulait l'importuner et de part la même occasion savoir où la trouver au moins une fois dans la journée et en même temps c'était nouveau pour elle d'avoir à payer pour des informations, générallement c'était le contraire qui ce produisait on la payait pour qu'elle ce renseigne donc elle ferait trimer cette détective à la petite semelle autant qu'elle avait trimer elle même lors de ses débuts. Chiodaro vit d'un coup bondir de son fauteuil tel un diable hors de sa boite Johanna de son fauteuil ce qui eut pour effet de lui faire produire un rapide mouvement de recul raclant les pieds de la chaise sur le sol. La peur non loin de la, la méfiance plutot, l'espionne n'appréciait que guère qu'on produise des geste brusque face à elle et elle espérait que ce geste malencontreux serait assimiler à de la peur plutot qu'autre chose et même si elle avait déjà discrètement rapprocher sa main de son sac prêt à sortir une arme de jet pour ce défendre. Chiodaro n'était pas quelqu'un qui avait la conscience tranquille certes, on ne pouvait pas la blamer cependant elle risquait sa vie pour des informations en permanence et donc elle savait parfaitement ce qu'elle risquait. Johanna quand à elle était simplement partie chercher un bras amorphe une tasse de café. Chiodaro n'omis d'ailleurs pas de noter ce curieux détails qui l'intriguait, puis elle rapprocha sa chaise en émettant un vague "autant pour moi" et elle porta son attention sur la tasse qu'elle ne toucha d'ailleurs pas. Le café était trop clair à son gout et surtout dieu seul sait ce qu'il y avait dans cette tasse et la prudence lui interdisait de s'en saisir. Johanna suite à sa repris la parole :
"Il me faut des brèches si vous en avez, des choses que vous suspectez. Des pistes en somme, là nous sommes vraiment dans le vague. Etant une femme, à moins que je me travestisse, ce que je fais très bien, c'est pas dur, j'aurais du mal à entrer aux Perles, donc pour débuter mon enquêtes j'ai besoin de soupçons. Je me doutes que votre Patronne travaille avec la Triade, il me faut juste quelques preuves pour commencer. Vous avez-vous des choses suspects sur votre patronne? Ou vous avez des présomptions sur elle?"
Des informations encore c'était un bien cruel dilemme qui ce présentait, l'aider pour qu'elle avance ou la laisser patauger et Chiodaro ce décida à prendre la parole pour l'aiguiller un minimum car c'était tout de même pour Mei :
" Votre attention me touche mais je ne bois pas de café sa me met sur les nerfs donc pardonnez moi si je la refuse. Des informations ... je ne sait que vous dire mademoiselle mais je pense que vous aiguiller vers sa vie en dehors des perles pourrait vous aider. Chin ... Ma patronne doit bien remettre la recette des perles à quelqu'un et vu son caractère elle doit bien faire des actes répréhensible mais je peut vous aider plus que sa c'est une personne que j'évite ses punitions ... *frison* ... ses punitions sont plutot horrible et sa façon ... sa façon .... *grande inspiration* sa façon de gérer les filles et de s'en servir me fait peur. " | |
| | | Johanna Beck Détective sexuellement refoulée
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (9/9) Dollars: 20$ (80$)
| Sujet: Re: La glande ça craint Mar 15 Juil - 16:21 | |
| " Oui ... vous avez raison je ... ... ... je n'avais pas pensé à sa donc je ne sait quoi vous répondre ... ... mais peut être que ... peut être que si je prenais contact avec vous tout les jours par téléphone serait suffisant .... ça pourrais être envisageable ? ... ... enfin uniquement si cela vous convient je ne veut pas vous importuner. "
"Bouarf."
Johanna ronchonna comme à son habitude. C'était une agence de privé, pas un self-service. On voyait bien que la femme en face d'elle n'avait jamais fait appel à une agence comme la sienne, sinon elle ne lui proposerait pas de l'appeler tout les jours. Comme si, durant son enquête, la privée allait être là tout les jours à attendre bien sagement le coup de fil de McDwyken. Pour Johanna, ce n'était pas possible. Elle allait vadrouiller et ne serait surement pas à l'agence. La jeune femme se mit alors à réfléchir, se frottant le menton de manière un peu masculine.
"Ecoutez Miss, j'vais vous dire... je serais pas vraiment dans mon agence, je vais vadrouiller pour vôtre affaire, alors pour me joindre ça va être casse-bonbon si vous voyez ce que je veux dire. Alors ce qu'on va faire c'est que vous aller me donner un numéro où je peux vous appeler aussi. Comme ça si vous me loupez à l'agence, moi j'ai la garantie de pouvoir vous rappeler."
Et oui, Johanna était une privée consciencieuse mais aussi très méfiante, qui planifiait toutes sortes de plans à l'avance, en bonne stratège qu'elle était. La jeune femme vit sa cliente bondir quand elle se leva, agrippant son sac. La privé la regarda un long moment, en haussant les sourcils, quelque peu étonnée. Elle avait vraiment pas l'esprit tranquille cette donzelle. La garçonne soupira avant de sembler commencer à chercher quelque chose dans ses affaires. Lorsque Sarah refusa le café, Johanna ne fit qu'hausser les épaules, en se penchant sur son bureau pour prendre la tasse et la boire, d'un seul trait, pour la poser sur le meuble à côté du bureau, où se trouvait déjà la boite de Donut's vides.
" Votre attention me touche mais je ne bois pas de café sa me met sur les nerfs donc pardonnez moi si je la refuse. Des informations ... je ne sait que vous dire mademoiselle mais je pense que vous aiguiller vers sa vie en dehors des perles pourrait vous aider. Chin ... Ma patronne doit bien remettre la recette des perles à quelqu'un et vu son caractère elle doit bien faire des actes répréhensible mais je peut vous aider plus que sa c'est une personne que j'évite ses punitions ... *frison* ... ses punitions sont plutot horrible et sa façon ... sa façon .... *grande inspiration* sa façon de gérer les filles et de s'en servir me fait peur. "
"C'est pas grave. Ouais, je me doute bien que votre patronne ne commerce pas avec les vendeurs de lessive. Je verrais déjà si ses supérieurs tolèrent qu'elle maltraite ses employées. Si ça tenais qu'à moi je l'aurais bien déboitée votre patronne, mais je suis juste idiote, pas suicidaire. Bah, je me débrouillerais pour les infos, après tout m'avez payée pour ça, Miss."
Johanna parlait vite, d'une voix colérique montrant qu'elle se sentait concernée par l'affaire, et que les traitements que Chinyu faisait subir à ses filles la mettaient hors d'elle. Preuve en était son poing serré sur la table à s'en faire blanchir les phalanges, et sa mâchoire crispée. On entendait même ses dents qui s'entrechoquaient si l'on était bien attentif. La privé croisa ses jambes sous le bureau d'un geste encore une fois aussi sec et nerveux que quand elle avait bondit chercher du café, avant de noter quelques détails sur son calepin. Mais son énervement était tel qu'elle cassa sa mine sur le carnet, poussant un soupir agacé. Elle pensait à la femme qu'elle avait croisé deux fois et qui avait eut l'obligation de coucher avec elle, se disant que sa patronne la maltraitait. Johanna n'était pas le genre de femme à s'enticher, mais elle avait du respect pour les prostituées, et encore plus pour Chin Mei qui avait accepté de la soulagée. Cette petite n'avait vraiment pas de chance, et la privée aurait bine aimer l'aider. Cette affaire était l'idéal. Pour un peu elle aurait remercier McDwyken. | |
| | | Jonas Weekly Emerson Future pièce de barback
Feuille de personnage Points de vie: (60/60) Munitions: (0/0) Dollars: 15$ (35$)
| Sujet: Re: La glande ça craint Mer 16 Juil - 22:42 | |
| La neige tombait en de gros flocons, paresseusement, ballottée par le vent léger de janvier. Elle recouvrait déjà le faîte des immeubles et les rebords de fenêtre et rendant glissant les trottoirs de la ville qui ne cessait de vivre pour autant. Weekly trembla de tout son corps, les mains dans les poches de sa veste en cuir de style aviateur et la casquette bien enfoncée sur le crâne. Ce n’était pas un frisson involontaire mais bien un ébrouage en bonne et dû forme pour affronter le froid du Chicago hivernal. Il souffla un nuage court qui se dispersa presque aussitôt et se lança, hardi, en direction de la première rame de tramway venue qui pouvait l’amener à destination voulu, l’attrapant en passage, d’une main, sautant lestement sur le marche pied. Il connaissait le trafic par cœur et aimait faire comme si la ville n’était en fait qu’une grande maison à son service. Il ne doutait pas que le chauffeur l’avait déjà remarqué, mais il ne lui demanderait aucun paiement. Il savait de longue date que Jonas travaillait pour le Chicago Times et que le journal payait déjà un abonnement pour ces reporters, leur donnant libre accès aux transport en commun. Ca, c’était la vrai liberté, parcourir la ville sur le bord du tram’ la niffle au vent et l’œil aux aguets !
Ca journée n’avait pas été des plus excitantes, ces deniers temps, les bons articles se faisaient rares et la vedette du journal n’était autre que la jeune Chiyoko, une petite débutante qui avait, paraît-il, eu l’insigne honneur d’interviewer Scarface himself dans sa cellule d’Alcatraz. Chose dont le jeune reporter doutait, le trajet n’étant pas donné et l’accès restreint…Enfin, chacun ses ficelles et ses bobards bon marché, pensa-t-il. Son sourire se fit moins joyeux à cette pensée. En effet, c’était un papier vendeur qu’il n’aurait jamais pensé faire et qu’elle allait faire traîner un petit moment, rien de bon pour ses affaires à moins qu’il ne trouve une parade…
C’est alors qu’une idée germa dans sa petite cervelle de fouille merde, une idée pour ainsi dire géniale, de son point de vu s’entend…Mais déjà l’immeuble de brique rouge la Chase Agency se fit montre et il dut remettre à plus tard ses réflexions, sautant en marche. Soudain, malgré son apparente assurance, son pied glissa dans une neige tamisée et brunâtre. Il n’eu pas le temps de sortir son autre main qu’il se mangeait déjà la boue froide et pénétrante, au sens propre comme au figuré. Jonas commençait finalement à détester cette journée…Il se releva, s’époussetant dignement en crachotant, sous les rires de trois gosses de rue. Il se figea alors, et, mue par un l’effroyable instinct de la survie, ouvrit frénétiquement son blouson et en extirpa son appareil photo qui, miracle parmi les miracles, était encore indemne. Il ne put s’empêcher de l’embrasser chaleureusement avant de le remettre à sa place et, retrouvant le sourire malgré la boue sur ses vêtements, il partit d’un bon pas vers l’entrée de l’agence de détective. Avec un peu de chance, cette vieille branche de Johanna aurait un petit job pour lui et, qui sait, quelques infos ou une piste de scoop.
Weekly connaissait parfaitement le chemin et constata avec bonheur que tous les hommes de Mademoiselle Beck étaient apparemment partis en chasse, jetant son œil et son sourire niais dans chaque bureau du trajet.
"Hello, y a quelqu’un ?", lança-t-il à la cantonade, le ton presque chantant.
D’un autre côte, il était possible que même la patronne du lieu soit en pleine action, ce qui n’aurait pas arrangé ses affaires. Qu’à cela ne tienne, l’agence étant ouverte, et le seul bureau fermé étant celui de Johanna, il ne se fit pas prier et entra en frappant, suivant de son corps le mouvement de la porte.
"Toc, toc, toc, salut, salut, c’est m…"
Il ne finit pas sa phrase, le regard bloqué sur la ravissante créature qui reposait sur la chaise faisant face à la détective. Une superbe rousse, sans doute une irlandaise, aux yeux d’émeraude et à la plastique à en faire damné un saint. Weekly ne put s’empêcher de lâcher un long sifflement admiratif en remontant sa casquette, la détaillant de bas en haut, appréciant ses formes que soulignait remarquablement ses atours. En guise de politesse, il se permit un :
"Excusez-moi, M’dame, je ne savais pas que c’était occupé.", tout en lançant un regard interrogateur à Johanna, afin de savoir s’il dérangeait vraiment.
En fait, il s’en doutait, mais plus il resterait, plus longtemps il pourrait profiter de cette vu plongeante et très favorable à sa personne, arborant un insupportable sourire de satisfaction non feinte. | |
| | | Chiodaro Aléssia Belle espionne au sale caractère
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| Sujet: Re: La glande ça craint Sam 19 Juil - 13:33 | |
| "Ecoutez Miss, j'vais vous dire... je serais pas vraiment dans mon agence, je vais vadrouiller pour vôtre affaire, alors pour me joindre ça va être casse-bonbon si vous voyez ce que je veux dire. Alors ce qu'on va faire c'est que vous aller me donner un numéro où je peux vous appeler aussi. Comme ça si vous me loupez à l'agence, moi j'ai la garantie de pouvoir vous rappeler."
Bon apparemment la détective avait une certaine méfiance et voulais absolument un moyen de joindre sa cliente et l'espionne Italienne ne pourrais ce permettre d'insister même de façon maladroite pour ne pas lui en fournir sans éveiller des soupçon plus que flagrant et ce n'était pas ce qu'elle recherchait pour le moment du moins. Chiodaro recherchait un petit soldat bien dévouer qui obnibuler par sa mission éviterai de regarder ailleurs que dans les endroits qui concernait son enquête. En conséquence Chiodaro décida à lui donner ce qu'elle désirait et elle ce mit à réfléchir à ce qu'elle pourrait bien utiliser comme numéro. Il était hors de question qu'elle lui fournisse le numéro de son appartement, question de prudence et d'anonymat, ni celui du bar de la belle Sicile la sa serai trop louche pour une Pin Up de luxe, la jeune femme ce décida donc à donner un numéro de cabine téléphonique. Chiodaro prit un morceaux de papier sur le bureau et griffonna un numéro de téléphone (555-649) qu'elle tendit poliment à Johanna pour qu'elle puisse s'en saisir. Chiodaro était consciente que donner un moyen de la joindre l'obligerai à modifier ses plans mais fort heureusement elle avait déjà envisager cette possibilité et la parade pour sa, en bonne professionnel qu'elle était rien ne devait être laisser au hasard et elle ce devait d'avoir toujours plusieurs coup d'avance au cas ou elle serait dans une situation comme celle-ci. Cette situation n'était pas des plus périlleuse non plus mais c'était une question de principe et Chiodaro prit enfin la parole de sa voie toujours dénuer de sureté :
" Oui je comprend ... mais n'ayant pas de demeurre qui met propre je suis dans l'indisponibilité de vous fournir un numéro où vous pourriez me joindre en n'importe quel instant et je vous prie de m'en excusez. "
Chiodaro baissa la tète et le regard dans un geste de profonde excuse, une petite mimique que la jeune femme trouvait approprier à son personnage et à la situation même si cela lui en coutait de présenter des excuses toutes les cinq minutes, elle qui était si fière et qui ce refusait à plier l'échine devant quiconque en temps normal, cependant sa mission primait sur ses propres envies. Chiodaro savait aussi que tous ce paierai, un jour elle n'aurait pas besoin de s'armer d'un masque et de faux semblant, mais plutot de son arbalète et quelque carreaux court pour rencontrer cette femme dans une ruelle sombre plutot que son bureau. Chiodaro lui tirerait un carreau par fois ou elle aurait prit un peut d'innocence à son amante et un aussi pour toutes les excuses qu'elle aurait du prononcer aujourd'hui, elle la laisserait ensuite ce vider doucement mais surement de son sang sur le pavé afin qu'elle réfléchisse à ses actes. Chiodaro ce régalait déjà de cette vision et espérait qu'elle arrivait le plus rapidement possible, la vengeance était un plat qui ce mange froid et non pas glacer donc celle-ci ne tarderait pas à arriver dans les prochaine semaine et dès que Johanna ne présenterait plus aucune utilité elle lui révélerait qui elle était vraiment avant de l'envoyer traverser le Styx. Johanna qui ce remettait à converser sans ce douter de rien.
"C'est pas grave. Ouais, je me doute bien que votre patronne ne commerce pas avec les vendeurs de lessive. Je verrais déjà si ses supérieurs tolèrent qu'elle maltraite ses employées. Si ça tenais qu'à moi je l'aurais bien déboitée votre patronne, mais je suis juste idiote, pas suicidaire. Bah, je me débrouillerais pour les infos, après tout m'avez payée pour ça, Miss."
Un fort jolie laïusse mais si cela ce résumait à un simple crime cela ferrait un petit moment qu'elle s'en serait charger elle même, Johanna était certes bien stupide de parler de tel choses avec une si grande facilité, elle ne connaissait pour ainsi dire rien de la personne qui lui fessait face et elle aurait eu la plus grande des tentations de la balancer pour alléger sa charge si elle était vraiment ce qu'elle prétendait être. La jeune Italienne avait face à elle une véritable débutante, elle était certes très motiver mais manquait cruellement de prudence avec ses clients du moment que ceux-ci payait rubis sur l'ongle, une erreur qui finirait par lui attirer des bricoles si elle ne ce méfiait pas plus que cela et si jamais elle survivait alors elle changerait du tout au tout et virerait dans le parrano tout comme elle, peut être même que cela serait bien plus prononcer que pour elle. Chiodaro entendit ensuite que quelqu'un frappait à la porte du bureau et qui rentra dans la pièce et Chiodaro n'y prêta guère d'attention jusqu'à ce que retentisse un long sifflement admiratif. Chiodaro sans même avoir à ce tourner savait qu'un homme venait de faire irruption dans la pièce mais cependant elle lacha un regard haineux à son attention en tournant sa tète à la vitesse d'une balle de fusil regardant de bas en haut le présomptueux qui osait la siffler comme un chien puis elle reporta son attention sur Johanna alors que le mecs demandait si il dérangeait et la elle lacha :
" Pas le moins du monde j'en avais maintenant terminer et je vais pouvoir me retirer. "
Chiodaro ce leva ensuite dans un mouvement lent et plein de grâce et tourna les talons, en arrivant au niveau de l'homme Chiodaro lui caressa le visage d'un geste doux et du bout de ses doigts ganter le visage avant de dire d'une voie calme :
" Oubliez moi monsieur vous n'avez pas ce qu'il faut pour m'avoir dans votre lit et je vous ruinerai en seulement deux heures et si jamais vous aviez les moyens de me payer prenez un bon bain ne vous ferai pas le moindre mal. "
Chiodaro ce tourna ensuite vers Johanna et fit un signe polit de la tète pour lui dire au revoir en disant :
" Je vous souhaite une bonne journée mademoiselle Beck et vous remercie de bien vouloir traiter mon affaire, cependant vos employé ce devrai de savoir que si je viens c'est en temps que cliente et non pour élargir la mienne qui est déjà bien trop nombreuse à mon gout. "
Chiodaro partait un peut rapidement mais la présence d'un homme à la libido grandissante dans la pièce risquait de lui faire commettre l'irréparable et donc elle partie en jouant des hanche tandis que ses talons claquait sur le parquet et que sa jute de reins ce balançait au rythme de ses pas. | |
| | | Johanna Beck Détective sexuellement refoulée
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| Sujet: Re: La glande ça craint Mar 22 Juil - 19:52 | |
| " Oui je comprend ... mais n'ayant pas de demeure qui met propre je suis dans l'indisponibilité de vous fournir un numéro où vous pourriez me joindre en n'importe quel instant et je vous prie de m'en excusez. "
Johanna eut l'air gênée en regardant l'allure perturbée de sa cliente, semblant s'excuser de tout et de rien. Cet état de fait la troubla quelque peu, si bien que la détective regarda l'espace d'un instant ailleurs, le rouge aux joues. La privé avait l'air de ces petits cons qui ne supporte pas de voir une femme en détresse et font semblant de ne rien ressentir, mais qui finalement ont bon fond. C'était un peu ça, Johanna Beck. Même si elle ne savait pas que son bon cœur caché la perdrait.
"C'est rien, vous excusez pas."
C'est à ce moment là qu'un personnage incontournable de la Chase Agency arriva dans la pièce, comme à son habitude, comme un cheveux sur la soupe. Jonas Emerson, alias "Weekly", en rapport à son odeur corporel qui faisait dire aux gens qu'il ne devait pas souvent changer de vêtements. Johanna le regarda un moment sans rien dire, le visage rougeot, se remettant du trouble qu'avait instiller la belle Sarah en elle, faisant une vague grimace irrité qui ne cachait rien de ses émotion présente. Lorsque le jeune homme siffla sa cliente, elle réprima un grognement désapprobateur, en le fusillant du regard. Si son but caché était de faire fuir ses client, il avait la technique, y'avait pas à dire. La patronne de l'agence ouvrit la bouche pour sermonner le macho des bacs à sables, mais McDwyken lui souffla le beau rôle. Pas plus mal.
" Oubliez moi monsieur vous n'avez pas ce qu'il faut pour m'avoir dans votre lit et je vous ruinerai en seulement deux heures et si jamais vous aviez les moyens de me payer prenez un bon bain ne vous ferai pas le moindre mal. "
"Mwahahahaha, dans la gueule!"
Johanna s'était relever pour accompagner McDwyken jusqu'à la porte, mais sa remarque était tellement acerbe et bien troussé que la privé se laissa aller à son plus franche hilarité. Paf dans ta gueule, ça c'était une répartie féminine qui en jetait. Elle assurait pas mal la Miss McDwyken. Pour une fois que ce n'était pas elle qui se plaignait de l'odeur de Weekly... Puis il l'avait bien chercher, à siffler comme un butor en manque. Bien fait. On rit toujours plus du malheur des autres en fait, parce que ça parait plus drôle.
" Je vous souhaite une bonne journée mademoiselle Beck et vous remercie de bien vouloir traiter mon affaire, cependant vos employé ce devrai de savoir que si je viens c'est en temps que cliente et non pour élargir la mienne qui est déjà bien trop nombreuse à mon gout. "
"S'il bossais ici il serait déjà viré. Vous inquiétez pas Miss, j'comprend, allez, je ne vous retient pas."
Johanna regarda McDwyken partir dans un savant déhanché digne de la plus fatale des italiennes en talons hauts. D'une démarche si chaloupée qu'elle vous donnait mal au cœur, l'énigmatique cliente disparu, et Johanna ne put réprimer un regard insistant sur sa chute de rein vertigineuse, et son bas du dos.. ma fois fort bien proportionné, en déglutissant de manière sonore, le rouge au front. Mais lorsque son regard croisa celui du journaliste, la jeune femme se remit d'aplomb sur ses jambes et campa un air de fière pimbêche un peu exagéré.
"On peux savoir ce que tu mattes comme ça toi? Pervers."
Johanna le blâma dans toute sa mauvaise foi comme pour se disculper d'un acte similaire, lui adressant un regard plein de reproches, avant de se rassoir à son bureau, prenant un air dur, et sans pitié. Mais il tombait plutôt bien, le Jonas, malgré son entrée Néanderthalienne. La jeune femme prit de sa main gauche son carnet sur la table, car son bras droit, ballant le long de son corps, la faisait à nouveau souffrir, et jeta un rapide coup d'œil à ses notes. Elle tendit le bloc-notes au fouille-merde avant de lui dire d'une voix forte et autoritaire, faussement agacée :
"T'es plus arrivée comme une pierre dans la soupe que comme un cheveu et pourtant tu tombes bien Weekly. M'enfin apprend à te tenir avec les dames ici, on est pas dans un bordel russe. J'vais avoir besoin de toi... enfin de tes compétences quoi, sur une affaire. Le résumé est là, prend une chaise, lis et ferme la si tu as rien d'intelligent à dire." | |
| | | Jonas Weekly Emerson Future pièce de barback
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| Sujet: Re: La glande ça craint Dim 27 Juil - 18:38 | |
| Le regard de la femme le transperça de toute part, entraînant un frison d’excitation et faisant briller les yeux du journaliste. C’était une femme de caractère, on ne devait certainement pas s’ennuyer avec elle au lit. Après avoir informé de son départ, la superbe femme se leva et lui caressa divinement le visage. Weekly en profita pour se noyer dans le vert limpide de ses yeux.
" Oubliez moi monsieur vous n'avez pas ce qu'il faut pour m'avoir dans votre lit et je vous ruinerai en seulement deux heures et si jamais vous aviez les moyens de me payer prenez un bon bain ne vous ferai pas le moindre mal. "
"Mwahahahaha, dans la gueule!"
Ce fut plus suite à la remarque bien lourde de Johanna que par le superbe phrasé de sa cliente que le visage de Jonas se renfrogna en une moue boudeuse. Non mais de quoi elle se mêlait celle-là…Il pourrait très bien se la payer d’ailleurs ! Pour une grande occasion, et en économisant sans doutes. Il était alors plongé dans ces pensées pleine d’amertume envers la privée quand son attention fut attirée par le magnifique déhanché de la femme fatale qui s’éloignait dans le couloir. Ouais, c’est ça, la prochaine fois, c’est avec celle-là qu’il aimerait aller. Il faudra qu’il se renseigne sur les tarifs et ce ne serait très certainement pas pour demain, sauf miracle, mais ouais, ce serait sans doutes celle-là, pas vrai ? La porte de l’agence se referma sur cette suave pensée et il se retourna alors instinctivement vers la détective d’un air idiot et embarrassé. Celle-ci se redressa d’un geste et lui lança brutalement :
"On peux savoir ce que tu mattes comme ça toi? Pervers."
"Hein, quoi ? Euh… Hé, Hé ! On se refait pas, Boss !" réagit-il avec le sourire le plus crétin qui puisse aller avec le rouge de ses joues, comme un véritable ados.
Johanna se dirigea alors vers son bureau, s’y asseyant, le regard dur, et relisant rapidement son bloc note avant de le lui tendre. Ca y était, Mlle Beck était branchée boulot et rien ne pourrait l’arrêter, sauf la fin du monde peut être…
"T'es plus arrivée comme une pierre dans la soupe que comme un cheveu et pourtant tu tombes bien Weekly. M'enfin apprend à te tenir avec les dames ici, on est pas dans un bordel russe. J'vais avoir besoin de toi... enfin de tes compétences quoi, sur une affaire. Le résumé est là, prend une chaise, lis et ferme la si tu as rien d'intelligent à dire."
Weekly resta un brin en attente, la fixant d’un air semi étonné, la main droite toujours sur la casquette et l’autre dans la poche de son blouson, puis il se remis a sourire, s’approchant vivement du bureau, prenant le carnet des mains de Johanna
"Allez, ça va, on va pas se faire la gueule pour une putain. Et puis, comme tu l’as très justement remarqué, je tombe toujours à pique, pas vrai ?"
En s’asseyant, il leva les deux jambes pour les faire reposer sur le bureau et lire tout à son aise. Il se plongea alors dans la lecture de ce début d’affaire. Rien de bien prometteur…Un pute des Triades qui souhaite se faire la malle en trouvant des choses compromettantes sur sa patronne, ça sentait à plein nez les biscuit pour les poissons…Par contre, niveau facilité, c’était loin d’être le Nirvanna, pas de piste précise, pas de moyen de joindre la fille et la cible, évidemment, du gros poisson, et du méchant. Par contre, l’acompte était éloquent et la première chose qui fit tiquer Jonas fut qu’une fille de joie allonge autant d’un coup sans assurance de succès. Sur cette impression, il releva un sourcil en fixant la jeune garçonne planche à pain impassible qui lui faisait face. Quelque chose puait dans cette affaire, quoi restait la question essentiel qui évidemment était absente de toute réponse pour l’heure, mais il semblait impossible à Weekly que sa patronne occasionnelle ai pu accepter de se lancer dans une telle affaire sans s’en être rendu compte. Dans tous les cas, elle avait choisit d’y donner suite, même si ç’avait pu être un piège des Triades, voir un règlement de comptes interne chez les Chinks, rien de bon pour ses fesses et les siennes…
Il était sur le point de lui soumettre sa réflexion quand la porte du bureau s’ouvrit. Un homme du F.B.I. en costume et insigne au buste, ne se négligeant que pour sa cigarette collée aux lèvres, entra dans la pièce et sorti une lettre dépliée qu’il posa sur le bureau, face à la détective, en lui lançant un regard grave. Il feignait d’ignorer Jonas, comme si le fait de partir du principe qu’il n’était finalement pas dans la pièce pouvait le protéger de toute souillure qui pourrait émaner du fouille merde. Il ressorti prestement, en lançant un petit salut officiel, sans piper le moindre mot, les laissant seuls avec l’étrange courrier. Le calepin toujours à la mains, gardant ses pieds où il les avait mis, Weekly se penchât et se tordit le cou afin de lire le précieux communiquer :
"Policiers, Indicateurs, camarades de travails, mes amis;
Vous êtes convoqué dans les bureaux du F.B.I immédiatement, avec vos hommes, pour une réunion de crise. Le commissariat central vient de faire l'objet d'une attaque et nous devons faire le point immédiatement. Laissez tomber toutes affaire séance tenant, que nous puissions réunir nos forces et tenter de trouver une ligne de défense à suivre. Le Commissaire en Chef Lawson semble très touché par les évènements et la mort de son ami, aussi vous demanderai je de bien vouloir faire avec diligence afin que nous puissions lui fournir une aide précieuse et un visage uni.
Erwin Zambero Directeur du Bureau des Investigations Mafieuses"
"Bordel de mer…"
Weekly ne finit pas sa phrase, il perdit lamentablement l’équilibre et se vautra devant le bureau. Se relevant avec des geste désordonné, il rangeât les note de la privée dans sa poche intérieur.
"Faut se grouiller, Johanna, on verra plus tard pour ta prostitué ! Grouille, il faut pas qu’on rate le tram !"
Il courrait dans le couloir, n’ayant qu’une chose en tête, le début d’une guerre des gangs impliquant les forces de l’ordre, attaquées dans le sacro-saint siège de la justice, l’explosion d’une ville entière qui fut jusqu’à maintenant vouées au vice, la fameuse fin du monde qui allait peut-être faire dévier les projets journalier de Johanna Beck, bref…le Scoop du Siècle qui allait faire passer une interview d’une ex-célébrité devenu taularde aux oubliettes ! | |
| | | Allen Lawson Chef de la police solitaire et négligé
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| Sujet: Re: La glande ça craint Jeu 31 Juil - 17:18 | |
| Sortie à la recherche d'un italien---------------> Allen avait pris sa voiture, Il avait un peu de mal pour se qui était de changer les vitesses, contrôler le volant. Dans ses vielles voitures tout est un peu dure a manipuler, surtout quand sa prend de l'âge. C'était la voiture de fonction de son père alors pour se qui était de l'usure, son était était plus qu'avancer!! Allen avait vraiment du mal à contrôler sa voiture, mais il faisait de son mieux. Après tout blessé comme il l'était, c'était pas facile pour lui... Il arriva au bout de 10 minutes à la Chase Agency. Il attrapa son porte document, son dossier, son stylo et ses notes, puis sorti de la voiture en vitesse, la verrouillant au passage. Il boita ensuite jusqu'à l'entrée de la Chase Agancy, et poussa la porte du plus fort qu'il pouvait ( pas la peine de vous préciser que vu son état et ses capacités physiques, la porte s'ouvrit avec une lenteur déconcertante...). Il entra alors rapidement, et se planta dans l'entrée. Il avait une tache rouge au niveau de sa cuisse ainsi qu'un bout de tissu arrachée, une autre sur sa chemise blanche au niveau de ses côtes et il avait du mal à marcher. Il ne fallait pas être devin pour savoir qu'il venait d'essuyer une fusillade ou d'une agression quelconque avec armes à feux... Il regarda la multitude de bureau qu'il y avait, ainsi que l'agitation qui régnait dans les bureau. Peut être que quelques choses d'important c'était passé, mais Allen était aveugler par son envie de coincer tout les italiens et rien de plus et ne faisant pas attention a cette agitation plus longtemps. ça faisait longtemps qu'il n'était pas revenu, il et avait bien l'intention de repartir avec tout les dossiers concernant les italiens, petite ou grande enquête! Il aperçu Jonas courir et l'interpella d'une vois légèrement irritée et grave. Une voix reconnaissable...
- Monsieur Weekly Emerson! Où est Johanna? J'ai à lui parler!
Il attendit la réponse de Jonas, les documents dans sa main droite, Il avait besoin de l'aide de sa collège et était bien décidé à ne pas la ménager... Ne sachant pas qu'Erwin avait déjà mit a exécution son plan en envoyant cet avis de réunion à tout les policiers... Brian avait raison de se méfier de tout les fédéraux... Bref, Allen regardait le fond de la salle attendant La patronne des lieux... ( pardonner les fautes et la longueur ridicule du poste mdr) Edit james : fautes corrigées | |
| | | Jonas Weekly Emerson Future pièce de barback
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| Sujet: Re: La glande ça craint Jeu 25 Sep - 21:37 | |
| Jonas courrait vers la sortie, maintenant sa casquette en place d’une main, les yeux pétillants de l’avenir que promettaient les nombreux articles qu’il pourrait tirer du funeste événement, un avenir parsemé de ces jolis billets verts qu’il aimait tant à dépenser. Mais alors qu’il allait atteindre la porte, celle-ci s’ouvrit soudainement. Le journaliste arrêta sa course. Ce qui le coupa dans son élan n’était autre qu’Allen Lawson, le chef de la police de Chicago en personne, qui maintenait sa posture stoïque habituelle à la chambranle de la porte. L’homme avait l’air perdu, comme perturber par les fantômes des bruits et des sons qui habitaient généralement le lieu maintenant vide de la Chase Agency. Le stoïque policier essayait de garder avec brio son air sérieux et efficace, mais quelque chose avait changé dans ses yeux. Un éclat, qui le maintenait debout, brillait aux fond de son âme. Cet éclat, c’était la haine. Jonas ne souriait plus, il ne pouvait plus, ne sachant que faire, il détailla un peu cette apparition à laquelle il ne s’attendait pas. C’est alors qu’il repéra la liasse de document que l’homme avait dans la main, et plus que cela, le sang qui s’écoulait de plusieurs blessures. "Fusillade" le mot percuta l’esprit de Weekly comme un chien percute une chambre de mise à feu. C’est alors que la voix encore très clair d’Allen raisonna dans le couloir.
"Monsieur Weekly Emerson! Où est Johanna? J'ai à lui parler!"
"Hein, euh…je…Oh mon Dieu…."
Jonas se précipita alors sur lui pour le maintenir. Lawson n’était pas homme à montrer ses faiblesses, mais Weekly en avait déjà vu de plus dur tomber pour moins que ça, la volonté avait certes le pouvoir de maintenir les gens alerte même dans les pires situations, mais le corps avait ses limites et savait vous le faire savoir trop souvent à vos dépends. Il pris son bras gauche et le plaça par dessus ses épaules qui s’affaissèrent de quelque centimètres, il pesait le bougre, et entreprit de l’amener au bureau de la cheftaine des lieux.
"Hé !….Doucement Boss. Mais enfin qu’est-ce qui vous est arrivé ? Ils ont déjà remis les couverts ou quoi ? Je pensait qu’on devait tous se retrouver au central."
Puis, en direction de la porte en verre :
"Johanna ! Johannaaaaaaaaaa ! Allen est ici, il est blessé !"
Poussant la porte encore entrebaîllée du pied, il entra dans le bureau et aida le big boss à se poser sur la chaise qui faisait face à la jeune détective dans un soupir de soulagement non feint.
[HRP Désolé pour l'attente, Boss, le temps sont dur...] | |
| | | Allen Lawson Chef de la police solitaire et négligé
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| Sujet: Re: La glande ça craint Ven 21 Nov - 19:09 | |
| "Hein, euh…je…Oh mon Dieu…."
Allen regardait en direction du jeune journaliste... mais qu'est ce qu'il faisait ici à une heure pareille... Puis ce n’était pas le moment des questions! Il le regarda se précipité sur lui pour l'aider à marcher. Allen fit une grimace lorsqu'il senti son bras se faire soulever pour arriver sur les épaules du petit jeune. En temps normal il aurait refusé de l'aide mais là, il n'avait ni la force ni le temps de faire passer ses douleurs en seconde position...
"Hé !….Doucement Boss. Mais enfin qu’est-ce qui vous est arrivé ? Ils ont déjà remis les couverts ou quoi ? Je pensait qu’on devait tous se retrouver au central."
Néanmoins, il répondit aux questions du jeune garçon, calmement, lui exposant les faits. Mais quelque chose l'intrigua dans les questions de Jonas: Une réunion au Central? Non ce n’était pas possible, personne pouvais donner un tel ordre a ses unité mis a part lui ... Et il ne l'avait pas fait, il fit une grimace et répondit alors avec sa rage... Chose qui était rare... Le Allen toujours calme et poser ne l’était pas, il était très agité et très en colère, tellement que sa se sentait dans ses mouvement, les battements de son cœur allait a un rythme affolant !
-Y'a eu une fusillade au post ... Brian est mort! Et il y a beaucoup de blessés... Les secours son sur place, j'ai pris les dispositifs nécessaire, mais le plus important n'est pas là! Et je n'ai pas donné l'ordre de se rejoindre au central! Qui l'a fait à ma place?? Je suis venu pour emprunter des dossiers à Johanna. Où est-elle?!?
"Johanna ! Johannaaaaaaaaaa ! Allen est ici, il est blessé !"
Il se laissa transporter jusqu'au bureau de la jeune femme, et se laissa installer par Jonas. Un bon bougre se jeune tout de même mais ce n’était pas le moment de faire des compliments ! Allen, se releva finalement et dit de sa voix grave, toujours avec une résonance d’amertume dans sa voix…
-Je te prends tout tes dossiers sur les ritals depuis qu’ils sont arrivés ici, dans Chicago … Tous ceux datant de la mort de Capone qui on était ranger et garder précieusement ici … Il y a de forte possibilité que ce soit eux qui ai tuer, est mon père et Brian ! Weekly ! Venez avec moi et expliquez moi un peu qui et comment avez-vous reçu l’ordre de vous réunir au central ?
Avant même que Johanna ai pu dire un mot, Allen tituba vers la porte, poussant doucement Jonas en le remerciant et se dirigea vers une autre salle dont il avait les clés, et ouvrit la porte des archives… Il entra à l’intérieur et feuilleta un grand nombre de dossiers. Tous concernant la mafia Italien, attendant que Jonas lui fasse un rapport bref des ordres reçus avant son arrivée. [HRP:Bon voilà, désolé de l'attente, mais je pensais que quelqu'un allait intervenir... De la longueur ridicule aussi, mais sur cet évènement y'a pas grand chose à dire... Bref, bon rp même si ça dort un peu...] | |
| | | PNJ/MJ Conteur sadique et invisible
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| Sujet: Re: La glande ça craint Dim 21 Déc - 3:32 | |
| ~~PNJ – Jack~~ ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Ce la faisait maintenant près d'une heure que Jack écumait la ville à la recherche de son patron, le chef de la police Allen Lawson. Depuis la fusillade personne n'avait de nouvelle de l'homme, plusieurs témoignages le situait aux cotés d'un des sergents mort lors de l'attaque il était fort possible qu'il soit blessé. Jack se considérait un peu comme le garde du corps d'Allen, il travaillait avec lui depuis très longtemps bien avant qu'il ne soit chef de la police à vrai dire et il avait un profond respect pour lui, le jour où il fut nommer chef de la police Jack se promis a lui même de faire ce qu'il pouvait pour qu'Allen soit la personne qui fasse changer les choses. Il ne restait plus qu'un endroit où il n'avait pas encore recherché son patron la Chase Agency, Jack n'y avait pratiquement jamais mit les pieds il n'était pas vraiment un des fan de cette agence. Jack bien que très bon flic était relativement sexiste et pour lui une femme ne pouvait pas faire le travail d'un homme et encore moins une petite mégroulette comme cette Johanna Beck Stoppant son véhicule devant l'agence le policier aperçu celle d'Allen, il était donc bien ici.
Jack se rangea devant la porte et pénétra dans l'agence. "Monsieur Lawson, vous êtes là..." Le policier s'avança un peu plus dans l'agence passant de pièce en pièce parlant toujours à voix haute répétant cette même phrase plusieurs fois jusqu'à moment ou il pénétra dans dans un bureau ou se trouvait Allen, Jonas ainsi que Johanna. Les deux membres de la chase était debout regardant Allen fouillant dans des dossiers comme un zombie. Jack passa devant les deux jeunes gens pour se retrouver au coté de son chef. Il constata immédiatement les diverses blessures couvrant le corps de son patron. "Johanna, Jonas il est blessé vous êtes aveugle ou quoi!! Vous contiez le laisser se vider de son sang sans bouger ou quoi!!! Bordel..."Le policier attrapa le chef de la police par le bras faisant tomber sur le sol le dossier qu'il tenait à ce moment là et passa sa tête sous le bras de celui-ci. Sans plus de mots le jeune homme se dirigea vers la sortie entrainant son patron vers sa propre voiture... | |
| | | Allen Lawson Chef de la police solitaire et négligé
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| Sujet: Re: La glande ça craint Dim 21 Déc - 22:23 | |
| Allen était donc revenu dans le bureau, une tonne de dossier en main... Il les feuilleté énergiquement en fasse de Johanna, cherchant un élément précise dans les dossiers, et cherchant encore et encore, en posant quelques un sur le bureau de Johanna, et gardant seulement els plus important, Jonas essayer de le raisonner et lui demandait de s'assoir mais Allen était trop occuper a feuilleté les dossiers, Johanna ne préférait rien dire, sachant que dans une situation pareil et vu comment Allen était agiter, elle ne pouvait rien faire... Ses plais se cicatrisait doucement mais les premiers soins qu'il s'était fait avant de sortir du quartier général de la police lui avait permit de ne pas trop perdre de sang en plus de ce qu'il avait perdu dans la fusillade. Il était des plus énerver et surtout enfermé dans sa bulle...
"Monsieur Lawson, vous êtes là..."
Une voix avait retenti dans la Chase Agency, mais Allen n'y faisait pas attention... La voix continuait de l'appeler et personne semblait vouloir bouger pour lui dire où était le chef de la police. Les portes des salles qu'il visitait se faisaient entendre, s'ouvrir puis se fermer doucement, la voix continuait d'appeler le chef de la police... Puis, la porte de la salle s'ouvrit, Allen se retourna quelques secondes et continua à fouiller dans les dossiers... Il y tenait à cœur. Voir même plus, il fouillait les dossiers comme si sa vie en dépendait...L'homme c'était avancer jusqu'à être à côté d'Allen.
"Johanna, Jonas il est blessé vous êtes aveugle ou quoi!! Vous contiez le laisser se vider de son sang sans bouger ou quoi!!! Bordel..."
Allen sursauta un moment et n'y pas vraiment le temps de réagir, Jack l'avait déjà prit par le bras et le trainait vers l'extérieur. Les dossiers étaient tombés au sol... Allen regarda alors le sol, il avait encore 4 dossiers dans les mains ainsi que quelques feuilles concernant les italiens: celui qu'il avait lui même amener, celui concernant son père et deux autre affaires sombre non résolu impliquant une petite parti des membres de la police et de la mafia italienne... Mais Allen chercha tout de même à se dégager pour aller récupérer les autres dossiers de la Chase... Mais sans succès, il n'avait pas assez de force pour échapper à l'homme... Allen soupira, ses blessures le faisaient souffrir, mais il souffrait en silence... Ne préférant pas inquiéter ses hommes inutilement... Il se laissa alors amener jusqu'a la voiture, mais il était un peu déçu de ne pas avoir put prendre les autres dossiers...
-Merci Jack d'être venu me chercher, mais rassure toi... Je vais bien... Je veux seulement récupéré tout les dossiers concernant les italiens... Ils ont tué mon père, et maintenant Le sergent... Et tu sais à quel point je tenais à eux... Mais dit moi? Es-tu au courant pour Erwin...Il a demandé a tout le monde de ce rassembler semble t'il et derrière mon dos en plus... Tu sais quelque chose?
Allen s'était installé sur le siège passager de la voiture, il avait l'air fatigué et son timbre de voix en disait long sur son état actuelle... Il n'en pouvait plus et avait besoin de plus de soin que les soins qu'il s'était fait lui même... Et surtout, il avait besoin de récupéré. Les litres de sang manquant l'avait beaucoup affaiblit ... Allen fermi un moment les yeux et tenait avec force les dossiers qu'il avait put garder. | |
| | | PNJ/MJ Conteur sadique et invisible
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| Sujet: Re: La glande ça craint Mer 24 Déc - 12:51 | |
| Bien qu'il essaya de résister un instant lorsque Jack le prit par l'épaule essayant de récupérer les dossier qui venaient de tomber au sol mais vu l'état dans lequel il se trouvait la poigne de son homme de main fut largement suffisante pour que le chef de la police se laisse finalement entrainer vers l'extérieur. Jack le porta jusqu'à la voiture et l'installa sur le siège avant coté passager.-Merci Jack d'être venu me chercher, mais rassure toi... Je vais bien... Je veux seulement récupéré tout les dossiers concernant les italiens... Ils ont tué mon père, et maintenant Le sergent... Et tu sais à quel point je tenais à eux... Mais dit moi? Es-tu au courant pour Erwin...Il a demandé a tout le monde de ce rassembler semble t'il et derrière mon dos en plus... Tu sais quelque chose? Jack monta coté conducteur écoutant les dires de son supérieur avant de répondre à ses diverses questions sur un ton conciliant. Jack savait tout ça mais il ne se doutait pas avant de venir chercher Allen que les ritals pouvaient être la cause de cet attaque, cela ne le surprit que peu dans un sens..."Je sais tout ça Allen... Mais ne t'en fait pas leur mort sera venger... On ne tue pas des officiers de police sans s'en mordre les doigts."Jack disait cela pour rassurer son patron car il savait très bien que tout cela ne serait pas aussi facile si c'était bel et bien une attaque des italiens ils auraient bien du mal à faire plonger le coupable. Don Carissimo... Cet homme était une vrai plaie une des seules façons de le stopper serait de lui tirer une balle en pleine tête..."Pour la réunion c'est bien le patron du F.B.I qui l'a organisé, J'étais trop occupé à te rechercher pour m'y rendre elle doit être fini à cette heure-ci... Mais il avait en effet bien demandé de ne pas te tenir au courant... Je me renseignerait sur ce qu'il s'y est passé ne t'en fait pas tu sera au courant de tout. Pour les dossier je passerais les prendre quand tu sera hors de danger ils ne sont pas perdu... On a pas mal de dossier nous même au poste..."Alors qu'il parlait le jeune homme démarra la voiture en direction de l'hopital. L'hopital ===> | |
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| Sujet: Re: La glande ça craint | |
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