Une petite visite de ... ... ... Courtoisie

La nuit commençait à s'installer depuis peut de temps lorsqu'une voiture vint ce garer le plus tranquillement du monde devant le perron du commissariat central de la ville. La voiture était un coupé de luxe de couleur blanc cassé et le petit crissement qu'émir les roues en ce bloquant tendait à prouver que ce véhicule était vraiment neuf. Le chauffeur ce dépêcha de s'extirper de l'automobile pour faire le tour par l'arrière et venir ouvrir la portière coté passager. Un homme finit par sortir du monstre d'acier, une taille moyenne, une carrure au dessus de la moyenne sans pour autant être celle d'un déménageur, mais surtout une classe et un maintien qui prouvait sans trop de difficulté que le bougre n'appartenait pas à la classe ouvrière. Le prix de son chapeaux aurait put suffir à nourrir une bande de cinquante immigré pendant plusieurs jour, le contraste de cette ville incarner en un seul et unique homme, il avait plus de richesse que tous les marauds qui étaient en train de le fixer avec envie, mais il n'en donnait pas pour autant.

L'homme ce dirigea vers l'entré du poste de police d'un pas lent regardant les divers impacts de balle qui crépissait le mur, les vitres brisées et le divers marre de sang sécher qui trônait sur le pavé. Autant de preuves qui tendait vers une fusillade sauvage plus tôt dans la journée, une fusillade qui avait sans nul doute faucher plein de ses petits fonctionnaire charger de faire respecter la loi mais pour la plus part corrompue par le pouvoir de l'argent. Pourtant on pouvais venir à ce demandé qui aurait été assez fou pour commettre n tel acte sur ce qui représentait la loi. Les forces de l'ordre avait beau être corrompue elle n'en restait pas moins puissante et capable de faire des actes de vengeance pour laver leur honneur et leur morts. Cet homme qui avait fomenté tous sa était le même qui ce présentait au commissariat central. Certain le croiront fou, d'autre complètement irresponsable et les restant comme sacrément culoter pour ce permettre un tel acte. Cependant quoi qu'on en pense il était bel et bien la, entrain d s'allumer un cigare importer les pieds sur une flaque de sang plus importante que les autres, mais il fallait bien entendu tous savoir de lui, c'était un homme à deux visages L'un de ses visage étaient celui d'un homme froid sans aucun scrupule qui tenait d'une main de fer l'une des plus grande organisation mafieuse de la ville, quand à son autre visage c'était celui de l'ambassadeur d'Italie, un homme bon et généreux avec les classes inférieur qu'il arrosait de nombreuse donation, tous sa pour les épauler dans leur arrivée sur le nouveaux monde. La raison de cette générosité était tous autre que la simple envie de faire de bonne actions, ses raisons étaient d'ailleurs totalement inconnue mais on pouvait aisément imaginer qu'il profitait de cette proximité vers les nouveaux arrivant pour recruter ses hommes de mains à la source et dans ce qu'on pourrait appeler un entrepôt aux stocks inépuisable.

Bref cet homme était loin d'être ce que l'on pourrait appeler communément un abruti finit, mais plutôt un de ces génies du crime qui en avait assez vu dans sa vie pour écraser comme une punaise les gens assez courageux ou idiots pour ce mettre sur sa route. Son regard pouvais surement glacer le sang de quiconque le soutenant mais on ne pouvait s'en assurer qu'en essayant et dans la situation actuel des choses peut de personne avait envie d'essayer, surtout quand on constatait que malgré la quantité des gens dans la rue personne ne le frôlaient. Le regard de prédateur et la confiance qu'il avait en lui devant un tel spectacle suffisait à prouver même au plus grand des ignares que l’on devait pas s'amuser à le provoquer. L'ambassadeur italien finit par faire un geste non chaland de la main à son chauffeur qui regagna sa voiture et repartit calmement, quand à l'ambassadeur, lui il resta sur place le temps de tirer une bouffée de plus sur son cigare à trois cent dollars et d'en laisser tomber la cendre au sol, sur le sang qui commençait à s'écailler, de la cendre qui fut fouler du pieds avec insistance alors que quelques heures auparavant il ce trouvait à cet endroit précis un homme agonisant voir peut être même un cadavre à coté de cette moto transformer en écumoire et bon pour la casse. L'homme aurait surement cracher par terre si il avait put ce le permettre mais son public n'aurait surement pas apprécier ce genre de spectacle.

Cesaré finit par reprendre sa route grimpant les quelque marche du perron pour enfin atteindre la porte où il marqua un arrêt attendant qu'un des policier en uniforme prenne le temps de l'ouvrir. Il n'était pas n'importe qui et ce n'était pas l'humilité qui l'étouffait surtout quand il s'agissait d'emmerder le fic par tous les moyens possible. Enfin il pénétra à l'intérieur, un lieux qui même si il n'était pas aussi chaotique que l'extérieur avait sa certaine par de désordre, entre les impact des balles qui c'était faufiler par la fenêtre, les morceaux de verre brisés et les divers meuble renverser pour ce mettre à l'abri on était bien loin de ce que devrait être un commissariat charger de régir toutes les forces de l’ordre de la ville. L’homme finit par arriver au comptoir de l’accueil de ces lieux pour finalement s’adressé à la personne qui en avait la charge :

« Je suis la pour voir votre Chef, Allen Lawson.»

Le Don prit ensuite une bonne bouffé sur son cigare dont le bout rougit pour la recracher aussitôt en direction de l’homme qui lui fessait face, il n’avait jamais vraiment aimer les flics quand les tourmentant et même dans un lieux comme celui-ci il ne pouvait s’en empêcher.

« Si jamais vous m’avez pas reconnu, annoncer Don Carissimo Cesaré, Ambassadeur d’Italie. »

===> Bureau du lieutenant.

Adam traversa les divers bureaux par le couloir menant vers l'accueil, il devait s'entretenir avec l'homme dont tous ici n'osait parler bien qu'il n'y ait que des présomption sur son role dans de nombreuses affaires. Il n'avait encore jamais eut à s'entretenir avec lui, bien entendu il savait tout ce qu'il y avait à savoir sur cet homme et en particulier les accusations de son patron Allen Lawson. C'était d'ailleurs pour cela qu'il s'était porté volontaire pour aller parler avec cet homme , Allen ayant disparu juste après la fusillade il devait avoir autre chose en tête et très probablement aucune envie de parler avec cet italien. En tant que chef de la communication il se devait de parler avec ce genre de personne.

Le policier marchait toujours en direction de l'entrée la tête emplie de questions, question sur la présence de cet homme ici d'une part car il fallait bien avouer que l'arrivée du supposé de la mafia italienne ici juste après l'attaque qu'il venait de subir, mais une autre question torturé l'esprit du blondinet comment sa femme s'en était sortit. Depuis l'attaque personne ne semblait l'avoir revu ce qui commençait à l'inquiéter assez fortement. Une poignet de minutes plus tard ayant finalement traversait la totalité du poste de police Adam arriva dans l'entrée, l'homme se tenait ici, fumant un cigare Don Carissimo Cesaré, ambassadeur d'italie, ou plutôt en façade, personne n'osait trop bavasser sur le rôle de cet homme devant le nombre d'action gratifiante qu'il offrait à la ville, si seulement celui-ci n'avait pas cet immunité diplomatique il y a ben longtemps qu'il serait sous les verrous du moins c'était l'avis de beaucoup ici. S'avançant Adam lui tendit la main.

"Bonsoir Monsieur Carissimo, je m'appelle Adam Pierce je suis chargé des relations sociale. Monsieur Lawson n'est pas au poste pour le moment, je me ferais un plaisir de m'entretenir avec vous."

Le jeune homme était souriant comme à son habitude malgré la personne en face de lui et tout ce qu'il pouvait penser de lui, pensées qui n'étaient pas vraiment flatteuse par ailleurs.

HRP[Dsl pour le manque d'inspiration]HRP

Cesaré ne tarda pas à être accueillit par le dénommé Adam Pierce, un petit blondinet à l'air candide comme on pourrait croire tous droit sortit de l'école de la police et probablement mort demain, mais en faite non ce gringalet d'après les information que détenait le Don était déjà en place depuis quelque temps. Comment il avait survécu ce n'était guère difficile à savoir, c'était un planqué, un immonde rat qui ne ce mettait pas en danger et rien qu'à entendre sa fonction on pourrait croire que ce poste avait créer juste pour des mecs comme lui. Il commençait mal le blondinet qui lui avait permis de prononcer son illustre nom avec ses lèvres maudite, non décidément pour un préposer à la communication il manquait d'étique, ainsi que de plus ample connaissance du protocole, il s'adressait pas à un pauvre pecnot du coin qui était venu demander des explication il s'adressait à un représentant d'une nation étrangère et qui était dans l'ombre comme dans la lumière quelqu'un extrêmement influent,bien plus qui n'aurait put l'imaginer dans ce qui lui servait de cervelle. Le don tira une longue bouffer sur son cigare et laissa évacuer la fumée par ses narines la dirigeant "malencontreusement en direction de son interlocuteur qui lui tendait la main en guise de bienvenue. Après tous ce petit fonctionnaire ne devait pas avoir l'habitude de pouvoir savourer le doux arôme d'un bon barreau de chaise surtout si ceux-ci valaient deux mois de son pitoyable salaire de gradé des forces de l'ordre.Le chef de la mafia italienne finit donc par empoigner la main que lui tendait le flic pour la serrer fortement, tous en affichant un magnifique faux sourire qui dans un langage mafieux voulait sans nul doute possible clairement dire, toi je vais te tuer gamin si tu continue à te foutre de ma gueule. Le Don n'avait jamais apprécier depuis son arriver sur cette terre qu'on ne lui colle pas l'étiquette qui lui correspondait, bien entendu avant aussi dans son île natal il ne l'appréciait pas. Cependant ici il n'avait pour le moment personne au dessus de lui, personne à qui il devait montrer du respect, tous ceux qui l'entourait était inférieur à lui donc il devait s'en tenir à l'échelle social et surtout pas rater un barreaux si il ne voulait pas que sa soit Cesaré qui ne les rate pas et enfin il finit par prendre la parole d'un ton neutre tous en relâchant la main d'Adam de l'étau qui lui servait de poigne :

" Allons assez de civilité entre nous et laissons tomber les monsieur Lieutenant appelez moi excellence comme tous le monde sa sera moins fastidieux. "

Fallait pas croire que Cesaré laisserai passer sa et lui permettrait de l'appeler par son prénom, non il ce permettait juste de lui souligner adroitement qu'il avait pas affaire à un mangeur de pomme de terre, mais plutôt à quelqu'un capable de lui faire prendre le train direct de la mutation à destination des victime les plus nombreuse des malfrat, les surveillant de carrefour. Le flic ayant du potasser ses petites fiches avant de venir le voir devait sans nul doute savoir sur quel pente glissante il s'embarquait en venant le voir, ou alors c'était un grand naïf, car tous le monde y laissait des plumes surtout les flics pour une simple conversation avec lui, chaque mot prononcer devait être bien choisit car lui il faisait avec soin et avait de bonne prédisposition au mélodrame, ceux du genre d'accord joue au con avec moi et on en reparlera avec ta famille et un calibre douze une nuit prochaine, mais bre l'heure n'était pas encore au règlement de compte et il était temps pour l'ambassadeur dénoncer le but de sa visite :

"Allen est vivant quel joie, j'ai eu pendant un moment peur que les malfrats qui gangrène cette ville ai encore atteint leur but, en tuant l'un de ceux qui œuvre pour la paix."
*Merde ses incapable l'on rater faut décidément tous faire soit même*
"Quand j'ai apprit la nouvelle de cette horrible fusillade j'ai accourut immédiatement pour vous dire que vous avez toujours mon indéniable soutient."
*J''aurais du venir plus tôt pour contempler vos cadavre sur le bitume sa m'aurait mit de bonne humeur*
"Comme je ne suis rentrer en ville que depuis peut de temps je comptait présenter mes sincère condoléances au commissaire divisionnaire Lawson pour la mort de son père c'est une grande perte pour la ville."
*Oui la perte de plusieurs balle qui aurait put servir à tuer quelqu'un d'autre j'aurai dû prendre mon temps et le tuer à la batte de baseball*
"Je comptait mettre au point quelque point particulier pour l'inauguration de l'orphelinat de la police qui est presque finit de construire avec lui aussi, tous ses pauvres enfant désemparer qui ont perdu leur vaillant parent suite au assassinat ignoble de valeureux représentant de l'ordre."
*Assassinat par la plus part commander par mes soins, j'ai flinguer cette raclure, leur bambin une fois bien conditionner feront de splendide petit espion dans votre service*
"Je vais donc l'attendre, en votre compagnie"
*En attendant de le tourmenter un peut plus je m'occuperai de ton cas mon gaillard*

Cesaré était de mauvais humeur et ce petit flic de deux cents l'aiderai à passer sa frustration faute de mieux, l'un de ses officier supérieur déconnait et attirait trop l'attention, il n'aimait pas sa surtout que celui-ci manquait à l'appel maintenant. Lucio savait trop de chose pour finir entre les mains de la police et il ce devait donc de couvrir ses arrière à sa place mais il y aurait des retombées, mais pour le moment cet Adam lui servirait de défouloir en commençant par tester sa patience et ses nerfs. Après une longue bouffer qui repartit une fois de plus en direction des narines du flicard, Cesaré tapota son cigare de l'index laissant tomber à même le sol les cendres sans même un geste pour l'éviter. IL était chez lui et il le montrait et même Allen n'y pouvait rien mais pour le moment il attendait des réaction de la part de ce préposer au communication.

10/01/1932 -Soin d'urgence pour le Chef de la Police- (début de soirée)------->

Après trente minutes de route, Allen s’était relaxer, il était un peu plus calme et sentait les douleurs de son corps s’atténuer… Il allait mieux pour ainsi dire. Il avait pris un petit cachet d’antidouleurs. Une fois arriver devant le quartier générale de la police, Allen sorti de la voiture en regardant Jack qui avait vraiment l’air de s’inquiété à son sujet.


"Vous êtes sur de ne pas vouloir vous reposer?"

-Crois-tu que les criminels se reposent eux? Je ne peux pas me le permettre... Avec la perte de mes hommes, j'ai encore du travail! Je dois trouver ceux qui ont fait ça... Et au plus vite!


Allen avança d'un pas décidé vers le poste et poussa la porte avec un peu de mal. Les antidouleurs qu'il avait pris sur la route l'avait un peu engourdit. Le poste était dans un triste état. Des impactes de balle partout, quelques douilles restait encore, un coup de balais avait été passé mais sans plus... Les locaux de la police ne ressemblaient à rien. Allen grogna légèrement en constatant la cendre sur le sol. L'odeur du tabac qui sillonnait l'air de la salle lui était familier... C'était surement le Don italien. Certes il ne l'avait pas souvent vue, mais une odeur de tabac pareil était unique. Allen releva la tète et remarqua Adam qui pointait encore son bureau. Apparemment, il venait a peine d'arriver. Quel culot! Venir au poste après une attaque pareille!! C'était inadmissible... Allen grognait silencieusement mais la rage montait doucement... Il expira un peu et tenta de se calmer. "Il doit être là pour vois quand quel état ses hommes m'ont mit... Montrons lui qu'ils m'ont complètement louper"...Puis approcha des deux hommes avec un air déterminer et sans montrer sa douleur qui s'était atténuer depuis.


-Je m'en occupe Adam, tu peux rejoindre ton bureau à présent.


Allen se retourna vers l'homme. Il n'avait pas changé, toujours aussi... Du moins impossible à dire pour Allen. Le fait de le voir l'énervait au plus haut point, tellement qu'une description ne pourrai se faire sans l'utilisation de mot légèrement vulgaire... En tout cas, le reste du cigare qu'il tenait, il avait envie de le lui arracher ou alors de lui enfoncer dans la gorge...Allen s'efforça tout de même à resté calme et à refouler sa colère, bien que difficilement. Le problème c'est que l'italien avait tendance à s'amuser avec les nerfs des gens et Allen était son jouer préféré du moment...


-Bien le bonjour Monsieur Cesaré... Que me vaux cet visite? Je pensais qu'un homme aussi occupé que vous n'avait guère le temps de venir rendre visite à de simple fonctionnaire comme nous...


Allen se dirigea rapidement vers le comptoir qui se trouvait non loin et attrapa le cendrier qu'il tendit gentiment au Don, pour au moins y déposer les cendres. Et il le tenait tout de même assez fermement sans pour autant lui ordonner quoi que se soit par se geste.


-J'imagine que vous avez beaucoup de chose à me dire... Voulez vous monter dans mon bureau pour cela?

(Désolé pour la longueur, poste de transition =3)