Sortie à la recherche d'un Italien.

Premier post Rp

Il avait parcouru a pied les quelques mètres qui séparaient son bureau de celui de son supérieur. Erwin avait envie de profiter du doux soleil hivernal et, entre les volutes bleutées qui s'échappaient de son cigare pour se perdre dans le rebord de son galure, il regardaient les flocons de neige descendre doucement le long des réverbères avant de s'écraser sur le sol. Une fois de plus, il tira sur son Havane et s'arrêta un instant le temps d'en secouer la cendre. Près de la porte, il remarqua le jeune prétentieux qui sortait, suivant de près un des membres des forces d'intervention... Leur embrassade au milieu d'une rue américaine fit briller l'œil du directeur des services spéciaux, mais son visage ne laissa rien transparaitre. Au contraire, il s'efforça de se recomposer un visage neutre et innocent, comme il aurait pu l'être si, perdu dans ses pensées, il n'avait rien remarqué.

*Ce minable semble gagner le soutien des brigades musclées...à moins que l'embrassade soit plus sentimentale. A observer. . .*

Il venait de prendre dix jours de vacances pour aller fêter la nouvelle année en compagnie de son père dans le Connecticut et il n'aurait espérer dans ses rêves les plus fous trouver son chef en pleine expansion sentimentale avec un autre homme !! et sur la voie publique en plus. Décidément, il avait bien fait de s'abstenir de se rendre au bureau pour aller tout d'abord souhaiter la nouvelle année à cette bande de gagne petit qui lui servait de camarades de travail. Et puis, il fallait bien qu'il prenne la liste des objectifs à atteindre pour cette nouvelle année de la bouche même de celui qui était le seul à trôner au dessus de sa tête. S'approchant des deux hommes avant qu'ils ne quittent les lieux, il fit un léger effort de mémoire pour se souvenir du nom du sergent des forces spéciales qui était avec Allen. Un nom de ville du Sud... Dallas? Vegas? Phoenix?...oui, Phoenix.

"Bonjour sergent Phoenix, je vous souhaite une agréable année !!"

Il sourit aimablement au musclor sans cervelle avant de se tourner vers Lawson.

"Une bonne année également Allen. Que cette période vous soit propice à vous et à l'ensemble des services. Je souhaitais vous retrouver ce matin pour un petit briefing de ce qui s'est déroulé pendant mon absence. Si vous le souhaitez, peut être pourrions nous discuter pendant votre voyage."

Il baissa lentement la tête sur le côté le bout de cendres de son cigare s'illuminant rapidement alors qu'il prenait une nouvelle bouffée. Il ne savait pas où se rendait le directeur mais peu lui importait, après tout, cette nouvelle année promettais d'être riche d'expérience; et la minime différence de grade qui les opposait lui permettait se genre d'accroc à l'étiquette hiérarchique. Etiquette que le directeur du F.B.I se faisait une joie de contourner aussi souvent que possible...

Après avoir quitté le "Lucky" en "territoire" Américain, Andrea conduisit le Capo jusqu'au Commissariat. Il n'avait pas eu le temps de déguster une bonne arancina préparée par sa logeuse, la plantureuse Giovanna. Etre à sa table, c'est comme aller au Paradis, je suis sûr que même les Anges du Bon Dieu, doivent s'arrêter pour humer les bonnes odeurs de sa cuisine !

Une pensée lubrique frôla son esprit en pensant à la fois à Giovanna en train de lui présenter un grand plat rempli d'arancine toutes chaudes d'où se dégageait un délicieux fumet de chapelure, de riz, de beurre et de fromage fondu. Il la voyait lui présentant le plat, comme s'offrant à sa gourmandise et en petite tenue...

Andrea prit une grande inspiration puis s'obligea à se reconcentrer sur la route, le trafic et d'éventuels imprévus. Ils arrivèrent, au bout d'une bonne trentaine de minutes, devant le bâtiment officiel de la Police.

Don Cesare, nous y sommes ! Mais il y a eu la guerre ou quoi ? La façade avait été criblée de balles, toutes les vitres du rez-de-chaussée brisées, des personnes gisaient encore au sol...Bref...Un bel casino ! (b..del !) Sans vouloir vous contredire, Capo, vous êtes sûr que c'est le bon moment de vous montrer à un pareil moment ? La presse, les macchie-carte (scribouillards) c'est des requins, il ne manquerait pas une occasion de vous salir ! Je suis sûr que l'un de ces charognards doit être sur place, y'a même des petits malins qui sont branchés sur les fréquences des tout-nouveaux emetteurs de la police, comme ça, ils ratent aucun scoop !

Je savais que le Chef ne tiendrait absolument pas compte de mon opinion sinon les rôles auraient été inversés mais il fallait que je lui dise, faire preuve de prudence peut être parfois utile...

Brian ne prit pas compte du salut de l'autre agent. Lorsque que notre homme rencontrait quelqu'un qu'il n'aimait pas son habitude était d'ignorer la personne. De plus la personne qui lui avait parlé était un agent du FBI, peut être un haut gradé. Ces mecs là n'avaient aucune idée à qui ils avaient à faire. Brian Phoenix n'est pas un homme à faire dans la dentelle, mais cette fois ci il s'est retenue de dire le fond de sa pensée à ce guignol, il avait de la chance que son chef soit là. Donc en guise de réponse il le regarda dans les yeux et lui sourit avec un air 'Faux Cul Va'. Puis il se mit à califourchon sur sa bécane, et attendit que le chef lui réponde. Ceci fait ils partirent en direction de cet italien.

Au moment de démarrer se moto Brian fit bien attention aux voitures, tel un jeune conducteur. Il n'était pas bon de se laisser aller avec le chef à côté, sinon il allait le sermonner durant le reste de la journée. Alors il prit une conduite calme. Lorsqu'il commença à démarrer il aperçut quelque chose de suspect. Dans Chicago, lorsqu'une voiture passe devant vous à contre sens, les vitres teintées et noires qui plus est, la première pensée que vous avez c'est de voir la mort en face de vous. C'est ce que ressentit Brian quand il vit la vitre s'abaisser au ralentit. Par réflexe il fit une chose. Connaissant les habitudes des mafieux, il prit le jeune Allen dans ses bras et il le prit en sorte de telle façon qu'il soit protégé. Lorsque Brian aperçut plus d'un canon de fusil sortir de la voiture il eut une pensée pour Marvyn, et dit au jeune Lawson :

- Désolé Allen ...

Le sergent prit la majorité des balles en lui, mais certaines atteignirent le jeune chef. Après avoir encaissé la série de balles, le sergent laissa tomber Allen. Il eut un dernier soupir, comme une dernière taf de cigarette, puis il ferma les yeux. Il se laissa tomber les genoux en premier, puis son corps s'abattit sur le sol comme une pierre sur les jambes du gamin. Ainsi fut la fin du Charismatique Brian Phoenix, lui qui voulait détruire la mafia avec ses poings, ce coup ci c'est l'acier des balles qui est plus fort ...

Il tourna un moment en rond, essayant d'oublier la douleur qu'il avait dans l'épaule, au niveau de ses côtes et de sa cuisse... Les balles l'avaient seulement éraflé mais ça lui faisait affreusement mal tout de même... Il retourna un moment dans son bureau. Il prit un porte document vierge, Une feuille et un stylo et inscrivit quelques mots histoire de se rappeler certaine choses qui lui sera surement utile par la suite... Il voulait à tout pris s'occuper de l'enquête et il avait déjà commencé à s'organiser... Mais il lui manquait quelques choses: Des preuves! Et ça il ne savait pas encore où chercher... D'ailleurs il n'avait pas encore passé sa visite habituer et mensuelle à la Chase agency... Trop occuper à courir après d'autre trouble fête, d'ailleurs... Peut être qu'entre temps il y a eu une intervention de la Chase Agency contre la population Italienne dans le genre, petit arrestation de voleurs, agressions... De petites réprimandes... Allen attrapa avec lenteur une veste de rechange, la sienne qu'il avait laissée à l'accueil était encore couverte de sang... Sa chemise et son pantalon aussi d'ailleurs mais il n'avait pas le temps de s'en préoccuper... Il prit l'escalier, qu'il descendit le plus rapidement possible, mais ralentit par l'ensemble de son corps il glissa sur l'une d'elle et se rattrapa au morceau de métal qui orne le mur... Il fut obligé de descendre doucement par la suite... Une fois en bas il donna quelques indication aux deux femmes de l'accueil et sorti ensuite... Il prit sa voiture et alla directement à la Chase Agency, son porte document sur le siège à côté avec les informations qu'il comptait chercher, ainsi que quelques notes qu'il avait rajouté bien décidé a s'y lancer personnellement. Ne se doutant de rien vis à vis d'Erwin, l'ayant complètement oublié depuis l'incident... Ne se doutant nullement qu’Erwin allait lui prendre cette fois s’i l’enquête. Car sa lettre avait déjà fait le tour du service pendant qu’il était installé dans sa voiture…

====>(Chase Agency) La glande ça craint

Le trajet c'était dérouler sans encombre particulière, la circulation était plutôt fluide et Andrea avait un conduite plutot agréable qui était de circonstance, il n'appuyait pas comme un forcené sur l'accélérateur et savait ce faire passer pour un conducteur comme les autres. Cesaré l'appréciait à sa juste valeur étant donner que la ou il ce rendait, Cesaré ce passerait bien d'une publicité de fuyard. Le parrain de la famille Italienne avait distribuer des ordres et étant donner que le commissariat était sur sa route il préférait s'assurer que celui-ci soit bien fait. Il avait du faire disparaitre Mr.Lawson sénior pour l'écarter de ses affaires car il commençait à ce montrer trop entreprenant, bien évidement comme il s'y attendait son fils si prometteur n'avait pas tardé à reprendre le flambeau de la direction des forces de l'ordre de la ville du crime. Le petit Allen un homme qui était facilement discernable de par son caractère plutot unique, bien évidement il n'avait pas la carrure de son père mais d'un autre cotés avec le temps et entourer d'homme droit et incorruptible, il pourrait devenir une menace dans des temps futur plus ou moins proche. C'était pour cette raison que Cesaré avait préférer mettre immédiatement les choses au point par une petite démonstration de force à la façon Sicilienne. Bien entendu l'abattre maintenant n'apporterait pas grand choses, il serait rapidement remplacer par un autre, non il valait mieux attendre tranquillement qu'il fasse ses preuves grace à quelque coup de filet savamment diriger dans l'ombre par le clan Italien, tous sa serait orchestrer facillement grâce aux indic's qui était à la botte des Italiens et ce de façon plus ou moins éloigner. Cesaré voulait pour le moment implanter la peur et la haine dans le coeur de ce petit flic qui plongeait dans un monde de requins, tous cela pour obscurcir son jugement le poussé à la faute, le mettre sur les dents et allé jusqu'à le priver de son sommeil. Cesaré finirait par hanter jusqu'à ses rêves et lorsqu'il sera épuisé psychologiquement à ce moment là le bourreau fera son office et montrera une fois de plus que le gouvernement ne tiens pas cette ville, qu'importe leurs moyens ceux des différentes famille du crime organiser les surpasse plus que largement. Cesaré ce délectait d'avance en l'attente de ce jour, faire marcher ses méninge pour fabriquer une nasse digne de ce nom n'était pas à la portée de tous le monde, le Don quand à lui préférait construire sa nasse directement autour de sa proie doucement et surement sans qu'elle ne ce doute de rien.

Enfin il fut en vue du commissariat principal de la ville et apparament il avait rater l'intégralité du spectacle, il était indéniable que ses hommes était déjà passer à l'attaque, cependant le spectacle d'après la séance de ball-trap n'était pas mal non plus. Cesaré baladait son regard froid et impassible sur la scène, des cadavres jonchant le sol, des vitres qui ont exploser sous les impacts de balles, des blessés hurlant à la mort pendant qu'il ce vidait de leur sang, le petit Allen avait survécu bien qu'il semblait blesser, il devait probablement pleurer ses hommes mort et ne tarderait pas à vouloir les venger en réunissant toutes les forces dont il disposait, ainsi il agirait comme Cesaré l'attendait. Il était bien trop facile de manipuler ses gamins qui avait vécu bien à l'abri aux milieux de leurs bouquins tandis que certaine personne ce battait et mourrait au front pour des valeurs qui leur était probablement inconnue. Allen si jamais émettait quelque réserve à rentrer en guerre contre le crime de façon plus virulente ne le serait plus quand il tomberait sur le petit mot qu'il avait décider de lui adresser, une petite pique sur la mort de son père qui ne manquerai pas de l'enflammer définitivement pour un petit moment, après bien sur il faudrait entretenir cette petite flamme. Cesaré pourrais ainsi le manipuler à son insu et toujours avoir l'initiative sur les forces de l'ordre ce qui lui conférai l'avantage non négligeable de jouer avec plusieurs coup d'avance. Cesaré remarqua aussi qu'Erwin avait été prit dans la fusillade et peut être était t'il aussi blésser mais bon il avait la peaux dur, le Don ne doutait pas qu'il ne manquerait pas de survivre pour venir lui faire des reproches pour avoir jouer avec sa vie, lui aussi quand il retomberai sur terre il ne manquerai pas de ce faire mal. Le chef du F.B.I lui avait demander un service mais en faite il avait signer un pacte avec le diable et il ne sortirait pas de son emprise avec facilité. Cesaré ne tarda pas à être tirer de ses pensées par une voie qui s'éleva dans l'automobile, celle du chauffeur, qui lui conseillait de pas sortir maintenant, chose qui tombait bien car il n'en avait pas l'attention, sortir maintenant ne salirait peut être pas son image de marque mais qui sait ce qu'il pouvait arriver avec un mister Lawson Junior qui venait de perdre une partie de ses effectifs et en même temps sa aurait vraiment parut louche et donc il prit tranquillement la parole :

" T'en fait pas pour sa mes actes sont tous réfléchit je ne suis la que pour le dernière actes d'une pièce qui est plutôt captivante et aussi pour relever les compteur. Un travaille bien accomplit ne peut être juger à sa juste valeur si personne n'est la pour l'apprécier Andrea tu ne croit pas ? moi j'en suis intimement persuader et maintenant que le travaille est effectuer j'ai des bases solide pour continuer mes affaires tranquille et croit moi que cette petite flicaille va finir par regretter d'avoir voulut choisir de défendre ce qu'il appelle la justice, Dans peut de temps un simple mon d'un quelconque Italien leur filera des cauchemar et notre clan n'aura plus qu'à jouer avec eux comme on joue avec des marionnettes. "

Cesaré riait d'un rire glacial en pensant à sa et ne tarda pas à tirer deux beau cigare d'une poche de son veston et en tandis un à son chauffeur provisoire pour qu'il partage avec lui le succès d'une des première bataille gagner depuis que la police avait été remagnier, la première d'une longue série qui ne manquerait pas de faire parler d'elle dans tous les canard du coin et faire une fois de plus la pub des criminel de cette ville ainsi que de leur puissance et de leur détermination et enfin Cesaré reprit la parole :

" Fume toi ce cigare et partage avec moi ce moment rare et pour la suite des opérations on ce rend dans le quartier Italien j'ai un rendez vous que je ne peut pas reporter. Tu peut aussi profiter du trajet pour me parler un peut de tes attentes dans le clan, de tes envies et ne me dit pas rien chaque personne en ce bas monde à des désirs secret et quel qu'il soit du moment que c'est pas de prendre ma place tu ne m'étonnera pas."