presque midi au lucky

Césaré attendait tranquillement tout en fumant le plus tranquillement du monde écoutant les notes de musique qui ce propageait dans l'air, opérant comme un calmant sur toutes les personnes présente dans ce bar, enfin presque toutes les personnes Lucio qui devait surement mal digérer le ton sans appel de James qui lui avait confisquer son armes, celle-ci semblait d'ailleurs avoir une certaine valeur à ses yeux d'ailleurs. Cesaré voyait lui pour sa part qu'un simple morceaux de métal qui servait à rependre la mort autour de soit, une arme similaire à tant d'autres dont il avait les caisses remplit dans ses granges de campagne, bref il n'y en avait pas de quoi faire une histoire non plus et ceci rajouté au faites que James le virai de son bar comme le dernier des roturiers devait surement passablement l'énéver d'ailleurs il ce mettait à l'insulter en Italien et le Don de la mafia Italienne n'apprécia guère ce point la mais n'en dit rien au moins James ne comprit pas ce qui lui était adresser mais ce n'était pas le cas de la serveuse. La jeune femme qui ce trouvait derrière le comptoir semblait tout à fait comprendre l'italien et surtout elle savait le parler même si son accent d'ammerloc ne lui plaisait guère Cesaré remarqua qu'il c'était peut être tromper sur son et qu'elle n'était peut être pas la que pour servir et divertir, mais dans tous les cas pour un conservateur des traditions comme Cesaré utilisé sa langue natal sans la maitriser parfaitement et en avoir l'accent surtout que la mignonette ce m'était à répliquer à Lucio et ce fut un poing qui fusa sur le comptoir et une voie puissante qui s'éleva :



Cesaré ne voulait pas que cette belle langue serve à s'insulter à tord et à travers et ce fut un regard inquisiteur et bestial qui tomba sur les deux protagonistes qui semblaient oublier devant qui ils étaient en présence, Cesaré ne détailla pas sa phrase plus que nécessaire le ton utiliser était amplement suffisant pour leur faire comprendre que leur chamaillerie de gosse dans sa langue natal devait devait immédiatement cesser, si il voulait régler leurs affaires qu'il est le courage de leur opinion et qui les règle en anglais que tout le monde comprennent. Cesaré tira une longue bouffer sur la cigarette tout en échangeant son verre avec celui de James, cette femme ne lui inspirait pas confiance et de toutes façon il appliquait à la lettre l'un des dictons d'un de ses grand philosophe celui-ci était nommer platon : "L'homme prudent et celui qui est méfiant même lorsque qu'il est en sécurité et non celui qui ce repose sur ses allier. " donc même si il risquait d'insulter James en agissant ainsi, mais sa sécurité passait avant tout. James était d'ailleurs pour le moment bien trop occuper à ce dépatouiller avec son asiatique, il tentait désespérément de reprendre la situation en main, Cesaré ne savait pas ce que lui avait fait cette Chinyu mais aparament ça devait être du lourd pour qu'il ne trouve que si de peut de chose à dire et d'ailleurs devant la réplique qu'il avait lancer il lui avait instamment demander de laisser couler ce qu'il comptai bien faire du moment que l'asiatique ne vienne pas lui adresser la parole, chose qu'il savait comme parfaitement impossible et il ce contentait donc de déguster son Irish Coffe le plus tranquillement du monde en attendant que les hostilité ce déclenche et il ne put qu'être peiner devant le peut de réplique d'on fessait preuve James et surtout devant sa pitoyable réplique pour jouer au docteur avec la jeune femme, parfois Cesaré ce demandait vraiment comment un homme comme lui avait put attérir au pouvoir fort heureusement il le connaissait sur un autre angle aussi, celui d'un homme qui ne pardonnait pas et s'imposait à grand coup de revolver lorsque cela était nécessaire et dans un sens cela le rassurait, car sans ça Cesaré savait parfaitement que James ne resterait pas longtemps au pouvoir, dans la mafia un pouvoir sans peur ne peut pas avoir une longue il y a bien trop de requins et de loup qui rêves de ce faire les crocs.

Chinyu prit enfin la parole d'un ton fort désagréable d'ailleurs, elle ce sentait en terrain conquis ou quoi, ce n'était pas parce qu'elle était l'inviter de James qu'elle pouvait ce donner de grand air, Cesaré ce pencherait un peut plus sur le dossier de cette demoiselle pleine de morgue lorsqu'il retournerait à l'ambassade pour savoir d'où lui venait t'en d'assurance, pour le moment tous ce qu'il ce rappelait c'était qu'elle avait en charge l'établissement de joie appeler les perles de chines et que celui-ci ce trouvait être sous le contrôle de la Triade, bref elle n'était pas une ennemi mais pourtant ce n'était pas une amie pour autant disons que le clan auquel la jeune femme appartenait était sur la ligne invisible séparant la guerre de la paix et lorsqu'elle prit la parole ce ne fut pour ne rien raconter de beau ni même de passionnent, pour Cesaré elle ce donnait tous simplement des airs qu'elle n'avait pas et lorsqu'il l'entendit dire que sa personne qui avait un si haut rang ne devrai pas trouver ici, Cesaré ne ce retint pas il éclata de rire à gorge déployer un rire sec et glacial et si il n'avait pas été aussi spontanée on aurait put croire qu'il avait été forcer. Don Carissimo mit un peut de temps à maitriser ce fou rire impromptue avant de ce tourner sur son tabouret de comptoir pour faire face à la demoiselle pour la regarder dans les yeux, il ne pouvait pas rester en dehors de ça et ce malgré la demande qu'avait émis James, Cesaré tira une bouffée sur sa clope et prit la parole :

" Chinyu dirigeante d'un établissement de prostitution si je me souvient bien un métier guère reluisant que de frapper sur des femmes qui ce font la malle ou de ce faire payer pour assouvir les bas instinct du genre humain donc je pense que te retrouver dans un lieu aussi sélectif que ce club est plus valorisant que dévalorisant te donner des airs de princesse ne sert à rien surtout ici, redescent sur terre tu n'es plus aux perles ici tu ne mène pas la danse, ici tu es comme les filles sous tes ordres de ton établissement c'est à dire rien du tout le boss c'est celui qui t'as inviter et qui pourrais aussi bien te tuer sans que personne ici ne s'y oppose. Tu n'es pas sur ton territoire et tu es seule alors fais profil bas. "

Puis il ce tourna vers James et dit :

" C'est plus fort que moi mais je te laisse continuer, pour ta serveuse même si je puis me tromper maintenant tu dois te douter que sa ne dureras pas longtemps comme à mon habitude et si quelque chose cloche tu en seras le premier informer. "

Cesaré signifiait par ce sous entendu qu'il ferait mener comme à son habitude une enquête sur la serveuse qu'il ne connaissait pas encore, une vielle habitude plutot tenace qu'il avait été d'enquêter sur tous ceux qui l'approchait de trop pret et par cela il entendait d'assez près pour le plomber et comme elle appartenait au clans américains si le rapport montrait une possibilité de traitrise il en préviendrai James pour qu'il épure son clan. Cesaré s'alluma une nouvelle clope et ce concentra sur sa boisson plutot que sur la conversation qui ne le regardait pas pour le moment.

Lucio ne s’attedais pas a ce que cette femme lui répondent en italien, elle faisait quoi dans ce vieux club, elle serais mieux dans le bar de little italy. Il voulais en savoir plus d’un coup sur elle sur son passé car il n’appréciait pas trop le fait qu’elle connaisse cette langue alors qu’elle n’avait rien d’italien. En écoutant sa réponse il fut un peu étonné ,encore une fois, Elle se prennais pour qui c’elle là ? il avança son pied pour lui répondre quand le Don élèva la voix leur disant à tous deux de se taire. Il retourna son regarde vers lui et lui dit.

(italien) Je ne vais quand même pas laisser une mégère m’insulter de cette façon. C’est contraire a mes principes.

[i]Il lui lança un regard noir maintenant qu’il savait qu’elle pouvais le comprendre. Il avança vers elle voyant que le Don était occupé avec James et l’ autre chinoise pour arrivers devant Angela. Il aurais bien voulu rétorquer à la responçable des pêrles pour encore se mêler de ce qui ne le regardait pas, mais était bien trop occupé avec la « serveuse ». Il l’avait vu, quand la chinoise s’était faite remarquer auprès de james, tenir son couteau avec une certaine hostilité. Comme ci celle-ci s’était sentie pousser des parties masculine en un instant. Ca l’avait fait sourir sur le moment.


ne monte pas sur tes grands cheveaux ce n’est pas de ta faute si tu n’as rien à offrir je suis sur que tu serais bien plus doué avec des breuvages dignes de ce nom. Et range moi ce couteau, sers toi en pour couper des citrons, tu vas te faire mal à l’utiliser pour une autre raison. Je laisse l’alcool aux hommes comme tu dis, alors laisses les armes à ceux qui savent s’en servir.

[i] Il savait qu’elle ne resterais pas comme ça sans rien dire et il jubilais d’avance de sa réponse ça l’amusait et en même temps il trouvais là, à cette femme qui ne manquait pas de culot, quelque chose d’attirant . ce serait bète qu’il se prenne un couteau de cette femme dans le bide mais bon C’est là la routine de sa vie, provoquer et récolter ce qu’il sème.[i]

" faccia tacere "

La poussée de testostérone accompagnée par un coup de poing sur le comptoir jaillit du Don comme si deux mioches étaient en train de lui mâchouiller le bout de ses chaussures de cuir importées directement d'Italie et dont le prix en aurait surement fait pâlir plus d'un. Elle le regarda, mais ne baissa pas le regard. Certes il état puissant et c'était un ami du boss, mais il n'était pas chez lui. James avait l'air content qu'elle ait tout de même rétorqué en italien, et cela la réconfortait dans son idée.

(italien) Je ne vais quand même pas laisser une mégère m’insulter de cette façon. C’est contraire a mes principes.

Ah? Voilà qu'il a des principes lui maintenant? La jeune femme se tut, il y a des moments où il fut savoir se taire et agir plutôt. Elle réglerait bien ça avec lui, un jour ou l'autre, elle avait tout son temps. Tout en lui faisant un sourire en coin du genre "t'inquiètes pas, ça va se régler, je te montrerai quelle mégère je suis", elle reposa son couteau de jet sur le plan de travail derrière le comptoir. La chinoise alors reprit la parole avec son ton capable de ramener une ère polaire sur la surface du globe. La Wolf n'aimait pas ce que cette personne dégageait et souhaitait aussi que celle-ci ne revienne plus ici. Ce qui allait certainement être le cas puisque la répartie du boss laissait un peu à désirer...

"ne monte pas sur tes grands chevaux ce n’est pas de ta faute si tu n’as rien à offrir je suis sur que tu serais bien plus doué avec des breuvages dignes de ce nom. Et range moi ce couteau, sers toi en pour couper des citrons, tu vas te faire mal à l’utiliser pour une autre raison. Je laisse l’alcool aux hommes comme tu dis, alors laisses les armes à ceux qui savent s’en servir."

Trop c'était trop. Il n'obéissait même pas a son Don qui lui avait demandé de la fermer. C'était qui ce trou duc, un gradé? Mais comment avait-il pu atteindre ne serait-ce même qu'un échelon dans le clan Italien? Et c'était quoi son problème? Il avait que ça à foutre, emmerder son monde? La réaction d'Angie ne se fit pas attendre, elle attrapa de nouveau la lame et dans un geste rapide et souple l'envoya voler au dessus de sa tête avant de se planter dans le mur derrière lui.

Maintenant barres toi... ou je te garantie que la prochaine pourrait faire mal...

Elle regarda un instant Lynch avant de changer le cendrier qui se trouvait devant lui et ajouta tout bas.

Désolée patron...

Elle avait horreur de réagir de cette façon, d'être sanguine, de laisser ses nerfs avoir le dessus. Il l'avait poussé à bout, pour pas grand chose, et la jeune louve n'était pas du genre à céder facilement mais devant tant d'arrogance et de toupet, comme il en avait montré depuis le début, que faire d'autre? Tous avait une dent contre lui, et elle ne dérogeait pas à la règle. Il était chez eux et se comportait comme un petit geignard péteux. Bruce était sorti par derrière, avec un peu de chance il ne le laisserait pas filer, et elle aimerait bien y jeter un œil. L'odeur du grabuge lui arrivait déjà aux narines lorsqu'elle se tourna vers un autre américain qui souhaitait un café.

Le feu dans la bouche de l'américain se calma grâce aux glaçons. Mais voilà que la chinoise en remettait une couche. James tiqua quand elle fit allusion a ses préférence sexuelle. Ainsi donc, cette demoiselle n'aimait pas les hommes, dans se cas, que cherchait elle en acceptant son invitation ? Le chef des wolves était un peu perdu. En réfléchissant il arrivait a cette conclusion on ne peut plus simple, elle était complètement barge et il s'était fait avoir en beauté. Et voilà qu'elle l'attaquait sur sa médiocre tentative de drague. Alors que le chef des américain retrouvait ses esprits, ce fut le patron des italiens qui répliqua à cette malade. Une réplique qui n'avait rien de tendre, en même quoi qu'elle est fait ou qu'elle que soit sa profession, italien et chinois n'ont jamais fait bon ménage.

" C'est plus fort que moi mais je te laisse continuer,"

Faux frère... aprés l'avoir bien titiller voilà qu'il lui refilait le chinoise qui devait avoir des envie de meurtres. James, ferma les yeux et réfléchit... cherchant au fond de sa mémoire... puis soudain les mots sortirent de sa bouche

"Mais doucement ! Quelle lumière jaillit par cette fenêtre ?
Voilà l'Orient, et Juliette est le soleil ! Lève-toi, belle aurore, et tue la lune jalouse, qui déjà languit et pâlit de douleur parce que toi, sa prêtresse, tu es plus belle qu'elle-même ! Ne sois plus sa prêtresse, puisqu'elle est jalouse de toi ; sa livrée de vestale est maladive et blême, et les folles seules la portent : rejette-la !... Voilà ma dame ! Oh ! voilà mon amour ! Oh ! si elle pouvait le savoir !... Que dit-elle ? Rien... Elle se tait... "

Un grand sourire apparut sur les lèvres de James, et porta son regard sur l'assemblé. Il venait de reprendre pied, il se sentait dans une humeur on ne peut plus Lynchéene

"Quoi ? C'était pas ça ? Ha zut, je me croyais en plein drame shakespearien... Et si vous vous dites que sa fait pas Roméo et Juliette, remplacez les Capluets et les Montaigu par les Américains et les Chinois... en fait on joue une version plus moderne de la pièce avec Chinyu..."

Mais voilà que le petit italien revenait dans la scène, toujours aussi arrogant, hautain et pénible. Heureusement, Angela veillait au grain et le remballa aussitôt.

Désolée patron...

"Désolé de quoi ? Tu fait ton boulot, c'est tout, si tu te laisse marcher sur les pieds par une petit gamin comme lui, là tu pourra être désolé. Par contre, évite de l'égorger dans le bar, ça part mal le sang..."

Jame se leva et regarda Don.

"Excuse moi, mais je doit y aller, non pas que je ne m'amuse pas, mais j'ai des affaires urgentes a faire, j'ai promis au gamin de l'orphelinat de leur apprendre a faire le chien au Yo-Yo"

Puis en regardant Angéla

"Tu me le mettra dehors, si il faut, fait toi aider de Mitchell... je parle de Lucio hein, pas le Don."

Un grand sourire au lèvres s'affichait toujours sur son visage quand il arriva a la hauteur de la Chinoise.

"Au fait, je suis le patron de ce club, donc l'addition je m'en fous un peu... Et on dit rougir comme une tomate pas comme un âne, qu'il soit bâté ou non"

Sur ces mots, James sortit de la piéce, puis après un petit instant, il rentra de nouveau et s'adressa a l'orchestre.

"Dites, vous pouvez me faire un hymne triomphant pour ma sortie s'il vous plait ?"

Les musiciens attaquèrent le morceau et james partit, les mains dans les poches, en hochant de la tête au rythme de la musique.


Ivory Tower ===>

Merde. Il était déjà tard. Chinyu s'était aperçu de cela en faisant balader son regard sur le bar. Elle y avait observé une horloge pour se rendre compte qu'elle manquait à son poste. Dire qu'elle attendait précédemment une de ses filles pour la sanctionner en cas de retard. Voilà que c'était la situation inverse. C'était clair, plus de sortie théâtrale, il fallait qu'elle se retire d'urgence. Au risque de manquer à son poste et de se faire allumer par le clan. Surtout si il découvre ce qu'elle faisait en attendant. Tout les émoins pourraient dire qu'elle se faisait draguer et qu'en plus elle avait déclencher un conflit entre elle, l'italien et l'américain. Et pas les moins gradés en plus. Quelle chance. La chinoise était vraiment une fouteuse de merde vraiment. Mais la personne la plus empêtrée dans ce bordel c'était elle. Seule contre tous. Mais ce n'était pas cela qui allait la décontenancée. On est jamais timbrée à moitié. Les triades pourront se vanter d'avoir dans leur rang une psychopathe qui n'a peur de rien si c'est dans l'intérêt du clan. Et tandis qu'elle se voyait déjà arriver aux perles et demander à voir sa fille "chérie", la voix du rital résonna. Elle baissa les yeux vers lui. Baissa? Elle qui était naine devait baisser les yeux? Oui, car en effet depuis un moment elle fixait un endroit du bar un peu plus haut que le petit groupe. Les yeux vides et un sourire sadique aux lèvres. Elle s'imaginait torturant quelqu'un. Qui? Pas de nom, ni de visage. Juste un faible jouet qui n'aller pas tarder à crever... Dans son rêve. A la remarque cinglante de Don, la patronne des Perles ne sembla rien ressentir. Elle le fixait avec un dédain certain. Bon, il la connaissait. Il connaissait aussi son statut et la véritable face des perles. Mais il n'était pas un danger. Après tout, tous les hauts gradés de chaque clans devaient être au courant de son trafic illégal. Et pourtant, elle n'avait jamais eut d'ennuis au niveau de son boulot. Bref elle le laissa parler. Pourtant, mais cela était invisible, une forte envie de meurtre était en train de se propager dans son être, comme un poison par ses veines. Chaque particule de son corps ne désirait qu'une chose: se jeter sur le rital et s'acharner sur lui. Même si elle devait en crever. Juste ses yeux étaient à ce moment expressifs. Brillant d'une lueur malsaine, sanguine. Si elle n'était pas entourée de tout ce beau monde... Si, elle ne possédait pas ce petit self contrôle, elle se serait déjà jetée sur lui telle une bête sauvage affamée. C'est pour cela qu'elle se dit qu'il valait mieux déguerpir au plus vite, avant que son masque froid ne tombe. Elle eut le reflex de guider sa main vers le pommeau de son arme, dans son dos. Elle caressa le manche avec douceur, ses yeux assassins braqués sur l'italien. Un mouvement d'épaule et son châle glissa de son bras droit. Découvrant une peau nue, blanche et belle. Si seulement il n'y avait pas toutes ces affreuses cicatrices. A peine une seconde et de nouveau elle était hors de vue. Elle reporta sa main en avant. Du calme, pas d'énervement ni de comportement dangereux. Et alors qu'elle s'apprêtait à rétorquer au rital, James déclama une pièce. Ce qui lui valut un regard de profond dégout de la chinoise. Ainsi qu'une expression qui signifiait bien qu'elle le prenait pour une abrutis finis. Chut, ne rien dire. Se taire pour éviter de perdre le contrôle. L'amerlock fit bien comprendre qu'ils jouaient une pièce de théâtre, ce à quoi l'asiatique répondit par un sourire forcé.

Elle était crispée, tellement qu'au moindre bruit elle était prête à balancer sa lame dans la gorge du sujet.

"Je ne ferais pas profil bas face à un rital pu... Pour lui faire croire qu'il est supérieur? Non merci. Quand aux américains, je plains leur pauvre manque de tact question séduction..."

Elle s'était tu pour ne pas l'insulter et n'écouta même pas ce que le patron de club lui dit. A peine eut elle fini qu'elle se détourna vivement. Au même instant elle cracha au sol. Du sang, elle s'était elle même fortement mordu la langue pour retenir ses injure. Il y avait maintenant, en plus des autres tâches, celle rouge de la patronne du bordel. Elle se rua dehors, marchant toujours fièrement. Siffla un taxi. En attendant qu'il arrive à elle, elle s'essuya la bouche et cracha encore sur le trottoir. Quand la porte s'ouvrit, elle s'assit avec le plus de dignité possible... Pourtant, quand la voiture tourna à l'angle de la rue, un cri de colère rugit.

==> Vers les Perles

Cesaré était poil las des la dispute opposant son officier supérieur à la barmaid, c'était en train de déraper une fois de plus, Lucio ce battait pour retrouver un honneur perdu dans ce bar et vu ses méthodes il n'était pas prêt de le retrouver. Cesaré n'appréciait guère qu'on lui tienne tète et a plus forte raison quand c'était l'un de ses hommes aussi important soit t'il, il en était même venu à ce demander si il avait été trop coulant ces derniers temps au point que ses hommes en avait oublié que nul n'était irremplaçable pour lui. Cesaré commençait à fortement envisager de remettre son imperméable pour une petite boucherie et leur rappeler qui était le patron. Il le rappellerait bien aussi à ses allier car si les petites souris de comptoir ce mettait à lui tenir tète ou allait le monde et qu'allait devenir sa réputation. Il était le Don, ses ordres avait valeur de commandement, on les acceptait et on ce la fermai, voilà comment il voulais voir les choses ce dérouler en sa présence et ce même chez ses alliés. Cesaré était justement chez ses alliés donc il laisserait couler pour cette fois mais comme le voulait le dicton ces deux fortes tètes venait de griller leur dernière cartouches et la prochaine fois il n'y aurai aucun passe droit. Cesaré laissa donc de coté ces disputes de gamin, oui de gamins c'est ce que c'était. Cesaré ce contenta de plonger son regard noir jais dans celui de la serveuse qui ne voulait pas baisser le sien, un regard qui en disait long sur l'homme qu'il était, perçant, insondable et qui montrait ce qu'il avait vécu dans sa vie. Cesaré n'était l'un de ses continentaux qui avait passer la guerre bien à l'abri derrière des centaines de kilomètre de mer, non lui avait vu l'horreur en face et il en était ressortit, il n'était pas dans son petit fauteuil à ce demander ce qui ce passait en Europe.

Cesaré écoutait plus qu'à moitié les discutions de la salle, la tension et l'adrénaline était redescendu pour tous le monde cela ne l'intéressait plus des masses, Don Carissimo attendait juste que James en es finit avec l'asiatique pour qu'il puisse commencer à parler affaire en faites, parler de choses sérieuse plutot que de participer aux petite conversation de bas niveau qui l'entourait, même la pique qu'il avait lancer envers cette chinoise qui n'avait en faites rien fait ne lui avait servit en faites à rien sinon à passer sa mauvaise humeur grandissante sur une tierce personne. James enchaina guère de temps après Cesaré usant de son humour quelque peut particulier pour ne pas qualifier d'unique dans cette ville. James c'était lancer dans une belle interprétation de Shakespeare qui ne collait pas des masses à la situation en faite mais qui avait au moins le but d'être complétement déplacer. Cesaré aurait même tenter de croire que le chef du crime organiser américain n'était pas conscient de ses dires et qu'il les sortait à l'instinct, mais voilà il le connaissait et surtout il n'était pas arriver à la place qui était la sienne en tuant ses ennemis avec des blagues de second ordre. Cesaré savait que James avait une part d'ombre plus que dangereuse c'était obliger, pourtant il ne la connaissait pas et il ne souhaitait pas la connaitre. Cesaré n'aurait pas put dire pourquoi il ne le désirai pas, la peur des conséquences qui en découlerait peut être, peut être était ce une simple appréhension qui lui disait que ce qu'il découvrirai mettrai James totalement hors de contrôle, voir peut être un homme à abattre. James qui apparament n'était pas enclin à parler affaire aujourd'hui comme souvent d'ailleurs et il annonçait son départ pour ....

Cesaré bloqua quelque peut sur la raison de son départ, James partait pour apprendre à jouer au yoyo à des mômes, la il avait fait fort quand même. Cesaré ce demandait comment un homme de la carrure de James pouvait ce montrer si désinvolte et insouciant que sa, il ce demandait vraiment comment un homme comme lui pouvait bien marcher et surtout comment il pouvait le snober lui ? lui le Don. Cesaré laissa donc tous de coté puisque c'était ainsi, il n'avait plus rien à faire dans ce bar et ainsi Lucio et la serveuse pourrons ce prendre la tète tranquillement et loin de sa présence surtout. Cesaré finit tranquillement son verre sans ce presser puis il ce décida à prendre la parole d'un ton complétement détacher :

" Bon je vais retourner à mes affaires moi alors j'ai des clients qui attende. "

Cesaré avait en effet une petite affaire à régler qui consistait à faire sauter l'orphelinat par des tierce personnes et ainsi récupérer le terrain pour bâtir l'une de ses annexes, James trouvera surement un autre endroit pour ses gosses vu qu'il les aimait tant. Cesaré qui s'apprêtait à partir eut l'agréable surprise de voir un chauffeur s'offrir à lui, il n'aurait ainsi pas le problème de chercher son chauffeur attitrer et surtout il pourrai ramener ses gardes du corps lorsqu'ils auraient finit de ce détendre dans ce bar. Cesaré ce leva et laissa ses instructions à deux de ses gorilles pour qu'il aiguille Andréo au poste de police lorsqu'il le recroiserai puis il ce tourna vers le nouveau venu et dis d'un ton autoritaire :

" Tu tombe bien direction le commissariat on parlera en route. "

Cesaré ce dirigea ensuite vers la sortie accompagné de Giovano et récupéra sa veste et son feutre attendant que le nouveau venu lui montre la direction de sa voiture.

Andrea découvrit donc de près son nouveau Chef dont la réputation n'était plus à faire. Très vite, un rapport hiérarchique s'établit entre les deux hommes, chose somme toute banale, d'un côté, il y a ceux qui se sont battus pour obtenir le pouvoir et...ceux qui vivent à l'ombre de celui-ci.

Il y avait bien longtemps qu'Andrea ne se posait plus de questions à ce sujet, il avait accepté son Destin et après tout, il ne s'en sortait pas trop mal, qui sait...Peut être qu'un jour, il pourrait sauver la vie de Don Césaré, cela lui permettrait de grimper dans la hiérarchie ?Mais... Chi va piano, va sano, lui disait son père.

" Tu tombe bien direction le commissariat on parlera en route. "

Sans un mot, Andrea réouvrit la porte du "Lucky" avec plus d'énergie, jeta un oeil autour de lui puis avança pour prendre la voiture. Il l'amena jusqu à l'entrée, montant sur le trottoir pour que le Chef ne fasse que le minimum d'effort et lui ouvrit la porte depuis l'intérieur. Il avait bricolé ce système à ses heures perdues pour que d'un seul bouton les portes de la voiture puissent toutes s'ouvrir ou se verrouiller en même temps.

Le commissariat ? pas de problème, Capo, je connais le chemin !

Le véhicule repartit prudemment puis se faufila avec souplesse et élégance entre le traffic de cette journée bien entamée...

Lucio avait sentit le lame froller son crane, peut être même qu’il en avait perdu quelques cheveux. Ouais, sans doute que ceux coifés bien hauts devait être morts maintenant. Il se retourne pour regarde le couteau planté dans le mur, puis soufla un coup se disant qu’il l’avait échapé belle dans un sens, mais qu’il avait vu la mort passé plus près de lui que cette fois-ci. Il avança d’un pas décontracté vers le mur où l’arme blanche avait atterit , il avait eu un moment d’adrénaline qu’il n’avait pas pour autant tenté de caché, certe, mais maintenant tout allit bien et il pouvais reprendre son calme. Il prit le couteau, avec un peu de force car la bougre l’avait extrèment bien planté, puis retourna vers le comptoire.

Maintenant barres toi... ou je te garantie que la prochaine pourrait faire mal...

Il eu un petit sourir quand elle lui lança cette phrase comme si elle était énnervée comme jamais elle ne l’avait été. Il avait gagné dans un sens de la pousser à bout de nerf comme il adorait avec la plus part des gens, c’était comme un passe temps et quand il réussisait ça devenait une victoire. En avançant vers le bar du club, il lança en anglais à la jeune serveuse :

Je ne vais pas partir sans te rendre ton canif, c’est une arme bien trop faible pour moi, elle ne m’est d’aucune utilité.

Désolée patron...

Désolé de quoi ? Tu fait ton boulot, c'est tout, si tu te laisse marcher sur les pieds par une petit gamin comme lui, là tu pourra être désolé. Par contre, évite de l'égorger dans le bar, ça part mal le sang...

Au moment ou Lucio arriva a leur auteur, la serveuse parla a son chef qui lui répondit d’un façon a se moquer de l’italien dont il n’appréciait pas du tout. Comment pouvait ils faire comme si de rien n’était alors que Lucio était juste à côté. On pouvait parfois reprocher a Lucio de ne pas prendre en compte les conséquences de ses actes, mais James non plus. Pourquoi ça ? car il a des sbire près de lui ou alors qu’il et dans son quartier ? si c’était ça il ressemblait vraiment a une fillet… quoiqu’une fillette a plus de partie masculine que lui dans ce cas là.

Lucio ne fit pas attention publiquement de la remarque de James, comme si celui-ci n’existaitpas, comme si il était hors du plan. Il arriva avec le couteau et le posa devant Angela avec un petit sourir moqueur une fois que le chef des wolf fut sur le poing de partir.

Tu vois, je te l’avait dit que tu ne savait pas te servir d’une arme.

Quelques paroles de la chinoise, un aurevoir de james, puis la visite d’un italien que Lucio ne connaissait pas, et Angela mitchel et le jeune gradé se retrouvèrent seul dans le club. Mis à part les personne sans interet qui buvaient tranquilement a une table, dont certains qui voulait attraper Lucio au par avant, plus personne ne parlait. Il regardat un instant Angela dans les yeux puis lui dit d’une fois normal avec un petit sourir au coin de slèvres :

Bon poupée vu que plus personne n’est là je vais encore rester un peu pour profiter de tes beaux yeux. Alors avant que tu me sortes avec tes gros bras je veux bien un coktail s’il te plait