presque midi au lucky

<== la gare américaine

11h30

Les rues étaient assez étranges dans le quartier américain. Lucio ne les aimait pas. il préférait la convivialitée des rues italiennes. Ici les gens passaient sans se regarder. Il arriva devant le lucky number, un bar fort sobre en apparence. Un homme en costume noir devant régularisait les entrée. Lucio s'avança vers lui et l'homme lui bloqua l'entrée.

excusez moi monsieur mais l'accès est réservé vous n'êtes pas sur la liste

mmmh y dois y avoir un problème je suis venu de little italy juste pour venir boire un verre et écouter du jazz, little italy vous comprennez.

Le sorteur soupira un instant puis se retira du chemin de Lucio et le fit entrer. Il regarda en entrant dans la salle le monde qu'il y avait. Un homme et une femme profitant de la musique jouée par un groupe de jazz. lucio regarda le groupe un instant profitant lui aussi de la musique, il aimait bien ce genre d'ambiance et il avait une meilleure impression, maintenant, du quartier ricain. Il avança vers le comptoire et s'instala sur un tabouret de bois foncé avec un cousin pourpre. Une fois instalé il regardat ce que le club pouvait lui offrir comme remontant. Le manque de grappa ne lui plaisait pas mais bon c'était surement un principe de la maison, alors il obtat pour un Coca Cola. En attendant son verre il reposa ses yeux sur le groupe de jazz avec une certaine admiration.


(hrp: un peu court je sais je ferait mieux pour le prochain je trouverai un truc /hrp)

Tirant sur sa cigarette le barbu resta perplexe après ce qu'il venait d'entendre, c'était quoi cette merde. Cette pensée était tellement puissante qu'il aurait bien aimé le crier à plein poumon, cette musique n'était vraiment pas ce qu'il avait l'habitude d'entendre dans ce club. Mais sa bouche resta clause pour une simple et bonne raison il avait vu la personne ayant demandé ce morceau, monsieur Lynch. Il n'était autre que le parrain de la mafia américaine donc il était le roi ici s'il voulait entendre cette musique pourquoi pas...

Bruce se leva écrasant sa clope sur le cendrier posait sur le bar une petite 20 ene de minutes plus tard décidant de quitter l'endroit avant que ses oreilles ne soit à nouveau agressées pas des sons sortit d'on ne sait où. L'homme se dirigea vers l'entrée du club pour récupérer sa veste mais lorsqu'il se trouva devant l'accueil il eut l'agréable déplaisir de n'y trouver personne ce club devenait vraiment n'importe quoi. Cherchant du regard le jeune homme qui s'était occupé de ses affaires il l'aperçu à quelques mètres de là devant un large tableau, celui-ci était entrain d'afficher de la paperasse, se dirigeant vers lui Bruce passablement remontée par les 3 $ gâchés qu'il avait du payer pour entendre ce qu'il avait précédemment décrit comme de la merde s'apprenait à brusquer "gentiment" le jeune homme lorsque celui-ci se retournant le heurta.

"Excusez moi monsieur je ne vous avez pas vu j'avais la tête ailleurs."

"Au lieu de t'excuser inutilement, donne moi mon manteau que je quitte cet...."

Le brun se stoppa en plein phrase lorsqu'il aperçu le portrait robot affiché sur le mur ou plus précisément la somme que cette homme représentée, 10 000 $. C'était une montagne de pognon pour lui, certes il gagnait bien sa vie par rapport à d'autre qui menait une vie de força dans les boites pourris payé à coup de lance pierre. Bruce interpella le jeune employé pour avoir quelques renseignements sur cet homme qui valait de l'or.

"Dis moi c'est qui ce type?"

"J'allais chercher l'autre affichette je l'ai laissé sur le comptoir... C'est une homme qui à apparemment agressé un voleur en pleine rue, sa bande offre 10 000 $ à quiconque le ramène dans le quartier Irlando-Polonais. Comme j'aimerai le trouver ce blondinet..."

Blondinet, à ce mot le regard de bruce s'illumina, se retournant d'un coup il fixa le siége à coté du sien, celui où il avait siroté son coca. A coté de celui-ci se trouvait un homme, un blondinet ressemblant grandement au portrait sur le mur. Bruce le dévisagea de loin pour s'assurer de la chose, plus de doute l'homme assit là bas était bien ce blondinet que le gang recherché. Les 10 000$ était là devant lui, bien qu'assez musclé Bruce ne voulais pas rater son coup une somme comme ça on ne la touche qu'une fois dans sa vie.

*1,2,3,4,5, 6, 7, 8. On est 8 si l'on ne compte pas les musiciens les deux barman et monsieur Lynch ainsi que sa compagne. ça devrait aller même si juste la moiter bouge, il a beau être baraqué le blondinet je suis pas un poids plume non plus.*

Notre bel américain se rapprocha de Lucio se plaçant à un bon mètre cinquante pour pouvoir anticiper plus facilement ses mouvements, et il se mit a crier.

"Ce mec là, il vaut 10 000 $, je partage avec toute les personnes qui sont prête à m'aider. 10 000$."

Alors qu'il criait il montra Lucio de la main, presque immédiatement 5 personnes se levèrent s'approchant de l'italien se stoppant a la même distance que Bruce l'encadrant. les poings commencèrent a craquer les manches des chemises furent remontées a mi-bras. Les 5 personnes avide d'argent était prête à gagner leur journée de belle façon...

<==== Arrivée au club

Avançant de manière silencieuse, James regardait la scène qui se déroulait sous yeux. Parker tentait de calmer le jeu de façon quelque peu hasardeuse, mais il avait raison sur un point, le Boss n'avait pas envie que son mobilier doit recouvert de bout de matière cérébrale. L'italien semblait s'être un peu calmé, mais gardé son ton hautain. James se demandait pourquoi le jeune blond ne s'était pas encore écraser, il devait avoir quelque cases en moins, ou bien de graves problèmes existentiel. En tout cas, la situation étais quelque peu tendue. Heureusement que Bruce avais désarmer le blond.

Et puis Bruce perdit son self-contrôle , et une majestueuse droite atterrit dans la figure du jeune homme.

"Tu as pas encore compris toi, on s’en moque que tu te la péte, ici t’es pas chez toi alors ferme là, alors tu attend que monsieur Lynch arrive et en silence. Et toi Parker n’espère pas avoir quoi que ce soit sur les 10.000 dollars. "

James posa une main sur l'épaule de Bruce.

"ça va aller, on se calme"

Le chef des wolves fit signe à l'homme qui avait récupéré l'arme de Lucio de la lui envoyée. Un mauser, sympathique. Retirant le chargeur, James mit l'arme dans sa poche et s'agenouilla au niveau de l'italien. Fesant sauter une a une les balles du chargeur, il s'adressa au jeune homme.

"Alors comme ça monsieur fait sa forte tête ? Alors je vais t'expliquer quelque truc mon ami. Premièrement, on ne sort pas d'armes a feu dans mon Club, et on ne menace pas mes hommes en ma présence. Tu gagne le droit d'être déclaré persona non grata au Lucky. Si jamais tu sort d'içi vivant..."

James promena son regard sur l'assemblé en face de lui. Ils crevaient tous d'une seule envie, pas le tuer mais le livrer et récupérer la prime. Mais il était plus improbable que le gang des pickpockets le laisse en vie.

"Ce qui, vu ton comportement, n'a rien de sur. Tu ne rentra plus jamais dans ce club."

Le chefs de Wolves se releva.

"Tu vois, que tu soit Italien j'en est rien a faire, tu pourrais être saint pierre en personne que sa serais pareil, tu à foutu la merde dans mon club, et crois moi, tu va le regretter. Tout les hommes que tu vois son obnubiler par une seule chose, les 10 000 $. Je peut leur payer cette somme, même le double à chacun, ce qui les dissuadera de te livrer à je sais pas qui. Seulement, j'ai pas trop envie, j'ai plus envie de les laisser se défouler sur toi. Qu'est tu prés a offrir pour que je te fasse cette faveur mon ami ?"

James s'assit sur un des tabourets avant de continuer.

"Et ravale moi cette arrogance petit, tu n'est pas dans ton quartier"

Le Boss commanda un café au barman, et regarda le truc par terre, attendant avec un plaisir certain sa réponse.

Cesaré avait passer un petit moment à régler quelque problème ou affaire qui réclamait son attention immédiate comme par exemple prévenir la personne qu'était son officier supérieur du renseignement qu'elle avait un nouveau subordonné sous ses ordres et qu'elle devait le mettre au parfum, d'ailleurs ce gars allait passer un mauvais quart d'heure entre les griffes de Chiodaro car elle ne pouvait pas saquer les hommes enfin la plus part et ce n'était pas un secret, Cesaré savait qu'au final elle aurait beau pester ou même le rabaisser plus bas que terre elle finirait par lui donner une mission même si c'était un truc complétement secondaire car la femme n'aimait pas avoir d'inactif dans sa division tous ses subordonnés était en permanence en train de fouiner à droite ou à gauche. Cesaré rejoignit ensuite l'ambassade pour faire un état des stock de ses armes et de la liquidité d'on il pouvait disposer dans un avenir proche tous ceci était bien sur consigner sur papier personne n'était assez intelligent pour tout retenir et bien entendu le Don en hommes prudent qu'il était avait mit ceux-ci dans le seul endroit qui ne pouvait pas être perquisitionner par la police et qui était d'ailleurs unique dans toutes la ville et qui n'était autre que l'endroit ou il vivait, l'ambassade d'Italie une véritable épine dans le pieds de la police et surtout de ce bouffon de préfet de police qu'était Allen Lawson, bien sur si ce flic venait à être trop encombrant il subirait le même sort que son père c'est à dire quatre kilos de plomb en plus en moins de trente seconde. Cesaré comptait bien allez passer commande de quelque alcool bien couteux et qu'il appréciait énormément aux américain et il espérait bien rencontrer James plutot qu'un sous fifre pour discuter affaire afin de remplir sa cave personnel sur le comptes des liquidités du clan.

Cesaré donc quitta pour la seconde fois de la journée l'ambassade après avoir récupérer une bonne somme en liquide et fait réunir ses quatre garde du corps comme à l'accoutumer lorsqu'il sortait de son territoire et ce même si c'était pour aller en territoire allier, une fois tout le monde installer dans la voiture au plaques diplomatique du Don celle-ci fut mise en marche et le moteur ronflant ce fit entendre avant de démarrer tout doucement puis de prendre petit à petit de la vitesse et de ce dirigé vers le quartier américain et plus précisément au Lucky un endroit qu'affectionnait le Don pour sa musique que l'on appelait le Jazz, musique qui avait un certain rythme et qui racontait générallement une histoire mais qui cependant ne valait pas les opéras de sa mère patrie mais qui avait tout de même son charme. Le voyage ce déroula plutot silencieusement du coté de Cesaré qui ce contentait de scruter les rues qui défillait sous ses yeux le long du voyage, il n'y voyait pas de simple passant les bondés mais des frères d'armes de future pigeon, les prochaines victimes, de possible ennemis c'était son territoire et il aimait que tous s'y déroule sans anicroche et c'est sa qu'il cherchait si il n'y avait pas des problème pouvant entacher son pouvoir qui couvait mais bon il ne semblait rien trouver pour le moment si ce n'est des flics, ah ceux il ne pouvait vraiment pas les saquer c'est un peut comme une guêpes elle tourne autour de quelqu'un pour l'emmerder et quand celui-ci deviens trop agressif elle le pique certes la personne ne meurt pas loin de la mais c'est tout de même désagréable et lorsqu'elle devenait trop nombreuse la devenant dangereux et c'est pour sa qu'il voulait en voir disparaitre un maximum, sur les autres siège de la voiture ses gardes du corps parlait entre eux de chose et d'autre comme les vieux amis qu'il était espérant un peut d'action ou comparant leur conquête seul Andréo sur le siège passager avant restait totalement silencieux comme à son habitude. La voiture finit par arriver devant le club privée ralentissant petit à petit pour finalement ce garer devant l'entrée et laissé les cinq hommes descendre, aussitôt le videur du club qui avait reconnu la voiture vient les accueillir :

" Je suis désoler Mr Carissimo mais je doit vous refuser l'entrée pour le moment, y a du grabuge un homme qui vaut 10 000 dollars m'en voulez pas s'il vous plait j'obéis aux ordres moi. "

A peine sa phrase finit que l'homme recula de quelque pas sous les regard que lui lançait le Don, lui qui c'était jamais vu refuser quelque chose sans le prendre de force directement derrière dans des flots de sang bouillonant mais il aurait été mal vu d'un coté diplomatique de descendre un américain donc il ce contenta de faire signe à ses gardes du corps qui ce dirigèrent vers la voiture pour enfiler de long imperméable noir et récupérer leur arme qu'il avait pour la plus part laisser dans le coffre pour ce plier au coutume de ce lieu puis avec un rictus sur les lèvres il ce mit à parler :

" Moi ? me refuser y a pas comme une contradiction la non ? aller moi aussi je vais participer à cette chasse dix milles dollars c'est tout de même dix milles dollars même pour moi, c'est qui le type ? "

" Le mec j'en sais rien mais il est dans une belle merde, j'ai son avis de recherche la c'est un mec d'un petit gang de pickpocket qui l'a amener. "

Le videur n'avait pas fait le malin longtemps et avait surement tenter sa chance en espérant que Cesaré serait conciliant et toutes masses de muscles qu'il était il c'était vite écraser devant l'homme qu'il avait en face de lui et il lui tendit rapidement le croquis qu'il avait récupéré et quel ne fut pas la stupeur de Cesaré de reconnaitre Lucio sur celui-ci et il ce demandait ce qu'il avait bien put inventer pour avoir un tel truc sur sa tète surtout qu'il n'avait pas eu énormément de temps entre leur rencontre et maintenant et Cesaré ce rua dans le club avant que l'irréparable ne soit commis Lucio n'était pas connu pour son tact et il était plutot un impulsif et il fut suivit par ses hommes en rentrant il vit un bien triste spectacle Lucio seul en tète à tète avec 7 canon prêt à tirer et tandis qu'un homme le sommait de déposer son arme et de s'allonger au sol, la tout homme du clan normalement constituer aurait dégainer pour préter main forte mais pourtant nul dans le groupe sortit son arme, Césaré prit son temps il retira tout d'abord son veston comme à son habitude puis son chapeau fut retirer de sa tète pour rejoindre le comptoir de l'accueil ou la réceptionniste derrière était en trembler comme une feuille, le parrain des Italiens aurait put certes ce presser mais son officier était vivant et avait surement du commettre une belle bourde pour ce retrouver dans une tel situation, même le barman avait sortit son fusil à pompe c'est pour dire donc il pouvait bien attendre quelque seconde de plus et James approchait donc il allait attendre que le maitre des lieux ce soit exprimer pour enchainer derrière. Cesaré qui voyait que sa bougeait encore que des armes commençait petit à petit à retrouver leur place dans leur holster et bientôt il n'eut plus que celle du barman mais cependant la plus dangereuse de sortit et toujours braquer sur Lucio, le Don connaissant cet homme depuis le temps qu'il venait ici savait qu'il n'était pas du genre à tirer à tord et à travers donc plus rien ne préssait et il resta donc dans l'ombre de l'entrée et sortit son paquets de clope et s'en alluma une puis ce qui devait arriver arriva, lorsque l'on est pas en position de force et face à mec fort patient des droites commence à voler et le meneur venait de mettre à terre Lucio après lui avoir retirer son arme en lui collant une magnifique droite. Don mit tout de suite une main devant le géant qu'était Giovano pour l'empêcher de ce ruer dans la bataille, il voulait voir la suite, mais cependant il ce rapprocha de lui et lui murmura quelque mot dans un souffle et la masse qu'il était sembla ce calmer et reprendre sa place.

Puis le grand manitou du club arriva normal en même temps quand on savait à qu'elle point il tenait à cette endroit et surtout les règles qu'il avait instaurer et d'après ce que Cesaré avait apprit depuis son arriver Lucio en avait enfreint plusieurs et pas les plus bénigne genre relever la lunette pour pisser non il avait choisit d'enfreindre celle de tètes de liste. James en chef qui ce respecte calma immédiatement le jeu par juste quelque mots, on pouvait dire ce qu'on voulait certes il était plutôt excentrique mais quand on devait relever ses manches il change du tout au tout et n'hésite pas à y mettre de sa personne pour calmer ou attiser les flammes de sont clan et la ils calmait aussi bien ses hommes qu'il montrait à l'homme qu'il avait face à lui qui était le patron bref du grand art même si une fois de plus il embarquait l'arme du types décidément il ce referai pas.

Cesaré voyant que tout le monde avait finit aparament de parler s'avança tranquillement au milieux de la salle tout en applaudissant devant tant de violence et de maitrise de soit, une vrai démonstration de force et de réflexion du pur mafieux obnibulé par l'argent pour dix milles dollars beaucoup de gens était pret à tout et il finit par lancer d'un ton cinglant :

" On ne m'avait pas prévenu que maintenant ce club respectable préférait jouer de la gâchette et de la castagne plutôt que de la trompette et du saxophone mais bon je m'y adapterai sans mal après tout c'est l'un de mes orchestre favori. "

La fin de sa phrase fut accompagné de Klu klux klang (c'est la winchester qui s'arme pas le groupe raciste), tchac clac (thompson), clac clac (pompe) et le doux bruit d'une lame désenclaver de son fourreau ses hommes derrière lui sans sortir leur arme de sous leur imperméable les avait tous armer dans un mouvement commun pour accompagné ses dires et le Don repris la paroles d'un ton glacial et lourd de menace :

" Certes des conneries ont été commise mais maintenant que les instruments de mes hommes sont accorder la mienne l'es toujours vous en faites pas, sa me peinerai d'avoir à les utiliser car cet homme n'est pas le premier venue ni le premier traine semelle, je pense que si ils vous l'avez dit tous ce serait vite régler donc je vais le faire pour lui bien que ce ne soit pas mon rôles, l'homme affaler au sol est Lucio Gonzolini un des plus haut gradé de mon clan et vous avouerez que sa ferai plus que déssorde qu'une si vieille alliance ce TERMINE dans un long et terrible BAIN DE SANG à l'italienne et bien sur il commencerai tous de suite vous avez l'avantage du nombre nous celui de l'armement et entre une Thompson qui vide son chargeur en 40 seconde et un six coup je pense que le problème du nombre serait vite régler, m'en veut pas James mais tu me connais tout mes hommes aussi idiot soit t'il je n'aime guère les voir mourir et surtout de la main de ceux que je considère comme étant de la famille mais un traitre quelque soit ses motifs reste un traitre et plus je l'aimai et plus je le fait souffrir en retour. Je sais que tous le monde est à peut prêt civiliser et saura ce tenir et enterrer cet incident au fin fond de sa mémoire, même l'autre nerveux la bas (Bruce), on ne devient des bète sauvage que lorsque l'on s'attaque à l'un de nos proche ou à nos affaire. Trêves de bavardage la questions à laquelle il vous faut répondre maintenant c'est est ce que vaut vos vies valent 1125 dollars et je compte que les 8 qui tente de ce partager 10 000 $ là les autres seront ce qu'on appelle communément des dommage collatéraux donc la vie vaut 15 cents le prix d'une balle quoi, alors qu'en penser vous ? moi sa me semble un deal inéquitable mais je suis joueur et prêt à prendre le risque. "

Un sourire sadique apparut sur le visage du Don et la fumée qu'il recrachait par ses narines ne fessait que le rendre encore plus sadique, il provenait surement de l'adrénaline qui envahissait son corps devant cette situation mais pourtant hormis le sourire il restait d'un calme olympien car il n'avait que trop connue ce genre de situation et même si il engageait un bluff dangereux, il était prêt à prendre le risque pour montrer que nul pas même des allier touchaient un membre de son clan et générallement l'annonciation de la mort calmait pas mal de monde surtout quand il voyait face à eux un homme sans grand scrupule face à eux ce qui fessait qu'il n'avait pas l'avantage psychologique puis il fit signe à Giovano de rejoindre Lucio et lorsque celui-ci passa au niveau du Don il lui fit un bref signe de la tète signifiant oui.

Giovano surplombant la masse de gens ici présent de deux tètes facilement avançait de son pas lourd mais pourtant souple malgré sa taille en direction de Lucio tout à fait détendu aucune arme à feu n'étant présente ou plutot visible il respectait les règles de ce lieu pour le moment et pour sa main gauche ce trouvait sous son imperméable au niveau de son flanc gauche mais aucune bosse ne semblait montrer une quelconque crosse d'arme sous son manteau. Le géant avançait vers le groupe et marqua une pause devant le gérant des lieux pour lever son chapeaux en signe de bonjour, après tout le tension n'empêchait pas d'être polit et lui il était parfaitement détendu, Giovano reprit sa route et la il arriva vers Bruce et lui adressa un sourire polit et le dépassa mais sitôt dans l'angle mort de l'homme celui-ci fit volte face et lança son poing droit comme un coup de marteau en direction du visage de Bruce tandis que la Gauche dégainait un Saï qui fusai vers la gorge de celui-ci, le poing cependant s'arrêta à quelque minimètres du menton de l'homme, tandis que l'arme remonta pour froler les yeux de celui-ci et il s'exprima de voie rauque pour dire :

" J'ai crut comprendre en te voyant frapper cet homme que c'était d'usage chez vous pour saluer, m'en veut pas si je m'arrête ici je contrôle très mal ma force lorsque je frappe et je voudrais pas abimer un visage si agressif juste pour dire bonjour. "

Giovano éclata de rire et rangea son arme pour contourner Lucio et le choper par le col pour le remettre sur pieds. Pendant ce temps les autres garde du corps c'était écarter et Cesaré c'était accouder au comptoir pour fumer sa clope tranquillement, affichant toujours ce visage fermer et ce sourire inquiétant puis il prit de nouveau la parole :

" Bon après ce petit intermède au combien distrayant soyons sérieux James tu veut pas que nos rapport change n'est ce pas ? moi pas mais bon on fait pas ce qu'on veut dans la vie le 24 décembre je voulais pas tuer tous ses italiens mais c'était nécessaire donc je l'ai fait et le pire c'est que je regrette pas j'ai paumé mon coeur je pense, alors des hommes que j'apprécie mais qui sont pas mes frères tu te doutes que dans une semaines je me rappel plus de leur nom mais t'en que sa peut être éviter crois moi sa sera fait les cartes sont dans tes mains et les canons toujours sur le sol à toi de décider. "

Puis il ce tourna vers le barman et lança :

" Bon dieu mitchel je te l'ai déjà dit les armes c'est pas pour toi, t'y connais rien reste dans les coktails sans alcool la dedans t'es un dieu, alors range ce pompe tu trouve qu'il y a ssez de tension comme sa et surtout vu le rayon létal de cette arme en tirant tu risque d'allumer ton patron, chacun sa spécialisation moi je sais pas cuisiner et bas je m'approche pas de la cuisinière franchement sa rime à quoi. "

Puis il parla à l'ensemble :

" Et vous autres les vautours, vous voyez le signe dollars et vous foncer dans le tas s'en prendre le temps de réfléchir un seul instant bon allez 10 000 dollars de base doubler par James 20 000 moi j'en rajoute une couche 30 000 dollars pour lui foutre la paix et ce définitivement je pense que sa ira non ? après tout on est au states terres de toutes les liberté t'en qu'on a du pognon non ? "

Cesaré sortit à contre coeur l'argent mais bon les feuilles de papiers était parfois plus éfficace que les balles dans ce pays et enfin il ce tourna vers Bruce qui était aparament l'instigateur de la traque dans ce bar envers Lucio :

" Hé la teigne t'es palot je trouve, faut dire que t'as rencontrer un types qui porte ses couilles sans six potes derrière et au faite mon fric c'est pas pour toi on touche pas aux Italiens et si on les touche ont touche pas à leur frics questions de principes mais je suis pas un ingrat, tiens pour le psy t'en aura besoin je pense et si tu me le renvoie on sort et on en reparle t'es prévenu. "

Et sur ses mots il lança deux pièces en argent d'un dollars qui tombèrent dans un doux tintement aux pieds de bruce avant de reprendre envers le chef des américains :

" Toi James je sais bien que l'argent est le derniers de tes soucis donc garde le Mauser c'est une belle arme et si on règles sa de façon pacifique dis toi que je serrai honorer de reprendre mes loupes et mes outils pour la personnaliser uniquement à a ta main ton oeil et ta façon de tirer à l'occasion. "

Et Cesaré avait que trop parler et frappa sur le comptoir pour être servit comme si il venait de rentrer et que rien ne c'était passé, un jour banal parmis tant d'autre quoi.

Un nouvel homme débarqua dans le club, mais il était plus calme que les autres. Il ne dégaina pas son arme, si il en avait une, pour être le 8 eme a vouloir les 10.00$. C'était comme si il s'en foutait de Lucio, comme si il voulai juste faire partir tout le monde pour passer du bon temps au Lucky Number. C'était pas plus mal de toute façon, quoique un de plus un de moins ça ne changeais pas sa vie, il s'en foutait complètement. c'était pas ça qui allait le faire lecher les grolles de toutes les peronne lui braquant une arme sur la tempe, il en avait vu d'autres, d'armes.

je me mets par terre pour personne même pour Don carissimo.


Lucio jubilait de faire enrager Bruce, il aimait ça par dessus tout. Le voir arriver sur lui les poings serrés lui monta un petit sourir au coin de lèvres. puis la droite arriva sur sa joue comme une balle dans un morceau de barbak. Lucio tomba par terre et cracha du sang sur le sol, il avait bien sentit passé la droite qu'il venait de prendre.Lucio mis sa main sur son poignard caché au niveau de la taille caché dans son pantalon de costume. Il voulu se relever d'un coup et lui planter dans l'artère de sa corge mais la vois de Lynch rententit dans le club et ça le dissuada de commettre un meutre dans son club. Il préféra faire mine de rien et laisser son couteau là où il était. Il parlait des merdes qu'y se passaient dans son club et reprochait tout ce qui se tramait à Lucio

Monsieur Lynch, avec tout le respect que je vous dois en ce lieu, je ne suis pas responçable de ce foutoir .... Si ces énergumènes avides d'argent étaient filtrées à l'entrée je serais venu boire un verre bien tranquilement sans poser de problèmes pour écouter...

[iLucio était en mauvaise posture, il pouvais e permettre de faire son Coq devant 7 type banales mais pas devant le chef des wolfs. Celui-ci le coupa dans son récit pour lui rappeler d'un tont autain les régles du club. L'officier était perplex: il pouvais encore ouvrir sa gueule devant Bruce même si il devait en ramasser une autre c'était pas bien grave, mais la punition serait bien plus sévère si elle venait de Lynch. Il restait par terre a écouter james lui parler, il avait récupéré le mauser et le déchargeaui balles par balles devant Lucio de plus en plus dégouté de voir un tel spectacle. Il ne pensais pas vraiment à comment sortir de cette situation vivant, il étaia t bien trop exité par tant d'action autour de lui tant de suspense, si proche de la mort. Il préréférais profiter de la situation. ][/i]

J'aurais pas à sortir mon arme si ils étaient pas venus me faire chier à six devant moi. de plus je n'ai rien à vous offrir pour sortir d'ici vivant, me prendre à plusieur c'est làche digne des petites frappes qui courent dans les rues comme celle de ce matin à la gare. Je dois sortir d'ici ? Vous vous en foutez de moi. Vous n'avez pas besoin de cet argent vous voudriez surtout que je quitte ce club et ne plus me revoir. alors qu'il se mette en file indienne et on va se faire des petites bastons jusqu'a la sortie. Vous en dites quoi de ça ?

Lucio ramassa sa clope qu'y était tombée par terre et la ralluma en recrachant du sang. Il entendit une voix nouvelle et familère: celle du Don qu'il n'avait pas remarqué avant qu'il ne parle. Le Don avait comme à son habitude le chic pour arriver au bon moment dans des situations difficile. arrivé comme ça, sans que on l'aperçois, avec cette touche d'ironie humoristique, il se la jouais grand manitou avec les 25 plumes sur la tête et en avait bien le droit. Le Don venait en un seul monologue, de calme tout le monde. Personne ne bougeait, c'était le calme plat. Lucio n'avait pas voulu révéler son poste au sein de la mafia italienne pour des raisons pratiques: il ne savait qui était dans la salle. Mais le Don n'eu aucun ml à le faire. L'officier ne s'avait pas trop qu'elle réaction cela allait avoir sur les autres personnes mai il pouvais être sur qu'il était maintenant a 99% de chances sauvéde la mort.

Lucio cherchait après sa clope tombé par terre dans la bagarre au moment ou un des garde du corp du Don passa près de lui. En un instant, Lucio se retrouva dans le noir total, l'amoir à glace cachais toutes les lumières. il trouva sa cigarette et fit éteinceler la pierre du sippo pour amener la chaude flamme vers son tube. L'armoir à glace fit une révérence masculine à james, puis se dirrigeat vers bruce pour lui lancer un coup de poing au visage ainsi que couteau sous la gorge, tout ça en arrêtant son mouvement juste quand il fallait avant d'éclater de rire en se foutant de sa gueule. Lucio ouvra grand les yeux de la droite que bruce venait de manquer. Il secoua la tête regardat un moment si toutes ses dents était là puis tenta de se lever avant dêtre tirré vers le haut par l'homme. Il épousseta son veston et posa son regarde sur bruce puis Cesare qui repris la parole.

Lucio était totalement d'accord avec Cesare et de tout façon il l'avait déjà dis à james que ses vautoures devrai être filtrés à l'avenir. Le Don avait beaucoup de classe quand il parlait il pouvais faire taire tout le monde d'une phrase voir même d'un mot, et Lucio était fière de travailler pour lui. Il eu un petit sourir dans Carissimo parla au barman: déjà pour son nom qu'il venait de découvrir et puis car c'est vrai que la façon dont il tennait on arme laissait à désirer. Quand le chef de la mafia italienne le venta sur le fait qu'il ne s'était pas mis à genoux devant 6 personnes toutes armées, Lucio le regardat étonné d'avoir un compliments de sa part, c'était une chose très rare et il fut déçu de ne pas avoir eu d'enregistreur. Après que son patron eu fini de parler, Le mafieu se retourna vers Bruce un peu déboussolé toujours sous le chox du garde du corp. Il le regardat et lui envoya son front violement dans son nez avant de se retourner vers James.

c'est un donné pour un rendut ne m'en voulez pas. Par contre Don carissimo je suis pas d'accord je veux bien lui payer son mausser mais cette arme est à mon père alors il ne l'aura jamais sauf si il l'arrache de mes mains froides et mortes.


Il regarda le Don d'un air fière même si il était désolé d'avoir faire autant de bordel sans le vouloir. Il tirrait sur sa clope de temps en temps espérant que Caesare demande à James de rendre l'arme.

<===Couloirs du personnel

Non, elle n'allait pas entrée en faisant : "salut tout le monde! Je prends le service de Kate comme elle m'a remplacée hier soir!! bisous bisous!!!"... Vraiment, non... C'était pas une bonne idée et encore moins son genre... Elle attendait à côté de l'ouverture dans la tenture bordeaux qui décorait l'arrière du bar et permettait aux employés d'arriver et sortir sans déranger les clients dans la salle lors d'un live.
Elle écouta un peu et entendit quelqu'un s'adresser à Mitchell avec un fort accent italien. Cette voix... la voiture... les dires de Kelly... c'était le Don... cinglant, comme elle l'imaginait. Elle comprit qu'il offrait de l'argent pour ne pas toucher à la tête mise à prix. Cette dernière semblait d'ailleurs avoir une voix, masculine avec un accent aussi... C'est la foire aux ritals aujourd'hui? Portes ouvertes? Ou pure coïncidence?
Angie n'y pouvait rien, à part attendre que la pression retombe et prendre son service calmement au lieu de rentrer en criant "TADA!!" et de manquer de se prendre une balle d'un mec blindé d'adrénaline qui ne contrôlerait plus sa gachette, et elle connaissait assez les italiens pour les savoirs bouillants, ce qui lui rappela lorsque ses frères se battaient pour tout et n'importe quoi.
La brune attendit donc un moment propice pour passer derrière le comptoir aux côtés de mister cocktail, combien de temps cela allait prendre encore? aucune idée... et le rattrapage d'heure de travail, vous y avez pensé? Elle patienta encore et entendit un coup sur le comptoir. Un client! Presque comme une déformation professionnelle, elle bougea un côté de la tenture et souria au barman.

Ah tu t'en... elle regarda le fusil dans ses mains ... occupes, on dirait... ahem... bon... je te découpes quelques fruits si ces messieurs désirent des cocktails...

Elle arbora un léger sourire et sortit une planche et un couteau avant de prendre une pomme et de la trancher soigneusement.

Benjamin fut le premier à lui répondre, il se moquait complètement de l'argent, ce qui ne surpris que peu Bruce mais après tout il valait mieux s'en assurer. et ensuite ce fut au tout du rital de parler encore une phrase stupide, le poing parti pour s'abattre sur la mâchoire du petit présomptueux suite à cette phrase plein d'arrogance, il fallait qu'il apprenne à rester à sa place.

"je me mets par terre pour personne même pour Don carissimo"

Bruce admirait son travail, Lucio était à terre, un filet de sang s'écoulait lentement sur le sol, il l'avait bien cherché quand on avait autant d'argent sur la tête il fallait faire profil bas ou subir les conséquence de son arrogance. Le brun était tout près à recevoir la prochaine charge de l'italien son poing droit serré le long du corps prés à s'abattre à nouveau sur le belle gueule du blondinet lorsque la voix de James retentit mettant un terme à la monté en puissance de la violence près de ce bar. Les paroles du patron furent net et sans concession, pour avoir foutu la merde dans le club ce petit con ne pourrait jamais plus fouiller le sol du Lucky, chose des plus normal. Il s'en suivit d'une longue tirade sur la prime que l'homme avait sur la tête la seul chose qui avait provoqué toute cette situation monsieur Lynch lui laissait une chance de s'expliquer et de proposer une solution autre que la parole des coups, mais la phrase qui fit le plus plaisir à Bruce fut celle sur son arrogance sans limite.

"Et ravale moi cette arrogance petit, tu n'est pas dans ton quartier"

Il n'y avait pas a dire Bruce aurait tout donné pour pouvoir être du niveau de cette homme, leur nouveau boss depuis plusieurs mois maintenant. James s'était saisit de l'arme subtilisée par Bruce quelques instants avant alors qu'il lui parlait et avait commencer a vider les balles du chargeur comme si la vie de l'italien symbolisé par chacune des balles tombant sur le sol, à chaque tintement sur le sol l'espérance de vie de l'italien diminuée. Ce fut après quelques secondes que celui-ci appariement prenant conscience de la situation qu'il ouvrit la bouche pour s'expliquer, mais son discours fut une nouvelle fois plein d'amertume et de défi.

"J'aurais pas à sortir mon arme si ils étaient pas venus me faire chier à six devant moi. de plus je n'ai rien à vous offrir pour sortir d'ici vivant, me prendre à plusieurs c'est lâche digne des petites frappes qui courent dans les rues comme celle de ce matin à la gare. Je dois sortir d'ici ? Vous vous en foutez de moi. Vous n'avez pas besoin de cet argent vous voudriez surtout que je quitte ce club et ne plus me revoir. alors qu'il se mette en file indienne et on va se faire des petites bastons jusqu'à la sortie. Vous en dites quoi de ça ?"

Des petites bastons, il se prenait encore pour un roi ce mec, il avait du oublier qu'il n'était d'une petite frappe lui aussi ici, ce n'était pas Bruce ou les 5 hommes quoi s'étaient levés avec lui qui avaient 10,000 $ sur leur tête. Lucio en plus d'énerver le brun remettait en cause ses actions alors qu'il aurait mieux fait de se regarder dans une glace avant de l'ouvrir encore une fois, d'après ce qu'il en savait le blondinet avait agressé un type dans la rue et l'avait tué et tout ça pour un simple petit vol apparemment c'est cet action qui avait conduit à tout ça. Mais l'américain se tu ne voulant l'ouvrir devant James il avait bien trop de respect envers lui pour lui griller la priorité. Lucio ramassa sa clope la rallumant après avoir craché a nouveau une petite quantité de sang ce qui fit immédiatement sourire Bruce se disant qu'il aurait pu lui en mettre deux ou trois de plus. C'est à ce moment là que la voix d'un nouvel arrivant retentit.

" On ne m'avait pas prévenu que maintenant ce club respectable préférait jouer de la gâchette et de la castagne plutôt que de la trompette et du saxophone mais bon je m'y adapterai sans mal après tout c'est l'un de mes orchestre favori. "

La phrase fut presque immédiatement accompagné par d'une multitudes de cliquetis tous facilement reconnaissable pour une personne ayant un peu vécu dans ce monde. Bruce porta son regard vers eux pour constater que malgré le nombre d'arme nouvellement présente dans la salle aucune d'elle ne fut exhibée à la vue de tous respectant plus ou moins les règle du club. L'homme qui venait de rentrer n'était autre que Don carissimo, le parrain de la mafia italienne, il était connue pour se déplacer constamment avec ses gardes du corps lorsqu'il sortait hors de son ambassade. Le parrain se lança dans une grande tirade sur la situation actuel et c'est ainsi que l'assemblée apprit que l'homme qui se traînait à terre n'était autre que Lucio Gonzolini un des hommes des confiance du Don un de ses plus haut gradé. Tout cela devenait risible, comment un haut gradé de la mafia italienne pouvait se comporter en petite frappe, mais ce n'était rien devant le fait qu'il se soit retrouvé avec une prime de 10,000 $ sur la tête, ce qui fit doucement rigoler Bruce, un des haut gradé de la mafia italienne allait se retrouver en cabane ou au fond du lac Michigan pour un simple meurtre, mais quel looser ce mec comment avait il fait pour monter aussi haut, même Bruce avait déjà tué plusieurs personnes et n'avait eut qu'a intimider les personnes présentent pour s'en sortir les pattes plus blanche que la neige. A ce moment là, un géant se plaça devant lui et lui envoya une puissante droite vers le visage, Bruce leva son point vers celui de son nouvel adversaire pour amortir un minimum le coup mais au même nomment il se retrouva avec un lame assez exotique sous la gorge, par chance les deux coup n'avaient pas étaient portés.

" J'ai crut comprendre en te voyant frapper cet homme que c'était d'usage chez vous pour saluer, m'en veut pas si je m'arrête ici je contrôle très mal ma force lorsque je frappe et je voudrais pas abimer un visage si agressif juste pour dire bonjour. "

L'homme se mit à rire avant de ranger son arme et de relever Lucio. Bruce savait qu'il n'aurait eut aucune chance de survie si la grosse brute avait porté le coup et donc se tut. La discution fut alors orientée et dirigée par Don carissimo celui-ci s'était décidé a sortir son homme de la merde dans laquelle il s'était plongée à gros coup de billet vert mais Bruce n'allait pas pouvoir profiter de ct argent ce qui en plus de l'énerver le rendit assez mauvais, mais ce m'est pas pour autant qu'il perdit son calme, il ne fessait pas le poids face au Don et il le savait très bien et puis de toute façon s'il s'en mêlait directement il ne ferait qu'offenser monsieur Lynch. C'est alors que Lucio non content d'être parvenu à s'en sortir avec un seul coup de poing se dirigea vers lui lui envoyant un violent coup de tête. Quel stupidité, comme si un coup de tête était la chose la plus sur à faire, on lui avait toujours enseigné de ne pas mettre de coup de boule à la légère car dans ce cas là il pourrait s'en mordre les doigts. La tête arrivant vers lui Bruce fit de même lancent son front vers celui de Lucio, c'était la seule chose à faire pour éviter de subir la pleine puissance de la frappe. Dans un bruit sourd les deux front se rencontrèrent causant une petit somme de dégâts aux deux hommes.

"c'est un donné pour un rendu ne m'en voulez pas. Par contre Don carissimo je suis pas d'accord je veux bien lui payer son mausser mais cette arme est à mon père alors il ne l'aura jamais sauf si il l'arrache de mes mains froides et mortes."

Bruce se frotta le crane écoutant d'une oreille attentive la fin de la conversation. puis passant devant Lucio il prit la parole bien décidé a laisser plus qu'une marque sur la mâchoire et le crane de ce petit con gradé ou non. Le fait qu'il se raccroche au Don pour récupérer son arme était tout aussi pitoyable et homme de sujet que Bruce en sourit.

"Parle à moi au lieu de t'adresser à mon patron il a rien à voir avec ce coup de poing que je t'ai mit c'était ma décision tu comprend au moins? Et Tient avec ça tu pourra te payer une baby-sitter et une conscience tu semble en avoir grandement besoin pour éviter de faire des conneries je pense pas que monsieur Carissimo soit toujours là pour te sortir de la merde."

Bruce lui lança les deux pièces que Don Carrissimo lui avait donné au préalable.

"Enfin pour la conscience il va te manquer pas mal de pognon..."

Le brun se dirigea vers Angela qui venait de prendre son service et s'assit en face d'elle sortant un billet il le déposa sur le comptoir.

"Sert moi ce que tu as ma belle."

voilà comment forcer à la consomation engager une belle serveuse qui soit très doué et qui ne se laisse pas démonter par une petite baston. Bruce attendit son verre ne comptant plus s'initier dans la conversation a moins qu'on ne vienne le solliciter.

Staf only ===>

Monsieur Lynch, avec tout le respect que je vous dois en ce lieu, je ne suis pas responsable de ce foutoir .... Si ces énergumènes avides d'argent étaient filtrées à l'entrée je serais venu boire un verre bien tranquillement sans poser de problèmes pour écouter...

James n'avait pas envie de rétorquer au petit italien, mais son ton arrogant commençait sérieusement à l'agacer.

"En même temps, l'entrée aurait-été aussi bien garder que ça, tu ne serais jamais rentré dans ce club" lança James en lui envoyant un clin d'oeil. Le blondinet entonna une nouvelle fois sa chanson en arrogance majeur. Le chef du clan ne releva pas, nul doute que l'un des nombreux protagonistes de la pièce sans chargerait à sa place. Soudain une voix se fis entendre, une voix reconnaissable entre-mille grâce à son fort accent italien, la voix de Don Carissimo Cesaré. Le big boss des italiens en personne. Voilà qui promettait d'être fort amusant. Il commença un laïus à vertu intimidante, dans lequel une information frappa l'américain. Ainsi donc, le petit blond qui faisait la sieste n'était pas un simple soldat avec plus d'orgueil que de cheveux mais bel et bien un haut gradé du clan. Et ben, quand on dit que les apparences sont trompeuses, ce jeune en était la preuve vivante.

Le reste du discours se trouva être beaucoup moins intéressant, juste une petite explication sur la vitesse de tir d'une Thompson, ou ce genre de truc. Pour tout dire, James n'écoutait pas. Ce qui le ramena sur terre fut l'attaque du plus grand des gardes du corps du Don dur Bruce, il dépassa l'homme et lui décocha une droite tout en dégainant un... truc coupant. On avait bien du expliquer à l'américain le nom de cette arme, mais il l'avait occulté de sa mémoire. En tout cas, le poing n'attendis pas le visage de Bruce, tout comme le couteau, ou truc coupant. Les deux armes s'arrêtèrent toutes proche de l'homme.

" J'ai crut comprendre en te voyant frapper cet homme que c'était d'usage chez vous pour saluer, m'en veut pas si je m'arrête ici je contrôle très mal ma force lorsque je frappe et je voudrais pas abîmer un visage si agressif juste pour dire bonjour. "

Un petit sourire apparu sur les lèvres de James, ce grand type n'avait pas tord, le petit brucie l'avait bien chercher. Cesaré reprit son discours portant sur le fait que c'était pas très gentil de taper sur ses hommes et autres trucs. Une référence au Noël sanglant, histoire de maintenir la pression, ensuite on appelle le barman par son prénom pour montrer que l'on connaît tout le monde, on augmente la prime pour sauver son lieutenant, parce qu'il faut pas oublier que c'est pour ça qu'on vient. Et enfin on lance des piques à bruce. Il était dur pour James de garder son sérieux à tel point il trouvait la situation risible. La seule phrase qui attira son attention fut :

" Toi James je sais bien que l'argent est le derniers de tes soucis donc garde le Mauser c'est une belle arme et si on règles sa de façon pacifique dis toi que je serrai honorer de reprendre mes loupes et mes outils pour la personnaliser uniquement à a ta main ton oeil et ta façon de tirer à l'occasion. "

Il haussa un sourcil. Un Mauser ? Graver par Le Don ? c'est plus que tentant comme offre. James allait attaquer son monologue a son tour quand Lucio, qui s'était fais relever par le garde de Cesaré assena un violent coup de tête a Bruce. Seulement celui-ci avait prévu le coup et avait fais de même au même moment. Un partout, balle au centre. Le blond sortit une histoire à propos du Mauser, mais déja James n'écoutait plus. il promenait son regard dans la salle, Benjamin semblait n'être devenu qu'un simple spectateur et Angela avais débarquer elle aussi de l'autre coté du comptoir. Le chef des Wolves regarda le Don et partit dans un immense éclat de rire.

"Excusez moi, mais je trouve ça trop drôle. Tu à toujours eu un sens de la mise en scène, Cesaré, mais là j'avoue que tu fais fort ! Personnellement, j'adore la séquence d'arment des armes... Mais attend"

James siffla en direction de l'orchestre et leur fis signe de jouer un truc sympa. Les musiciens entonnèrent cet air

"Tu veut pas nous le refaire avec la musique ?"

Et un éclat de rire repartit de plus belle.

"Écoute, on se connais depuis longtemps, et si je te savais pas comme tu est, ben je te prendrais presque au sérieux. Entre nous, tu pense vraiment que tout ça est bien utile ? tu pense vraiment que j'aurais laisser ton homme au main de cette bande de rat ? On est allié non ? Je m'amusais juste un peu, mais il a fallut que tu débarque avec ton air super sérieux. Franchement t'est pas drôle. Il à fait une connerie, je voulais juste lui faire un peu peur. Après je défend pas les agissement de bruce, mais bon, il est un peu nerveux c'est tout. Et puis faut dire que ton Lucio à un petit coté énervant."

Le chef des Wolves regarda Mitchell ainsi que le fusil à pompe, puis reporta de nouveau ses yeux sur Cesaré.

"Par contre, c'est pas sympa ce que tu à dit sur lui. Ce n'est pas parce que il flingue plus de porte et de lustres qu'il est pas doué"

En disant cela, James prit conscience de certain truc, il regarda le barman.

"Heu... mais range moi ça s'il te plaît"

Fourrant sa main dans sa poche, l'américain sortit le Mauser et l'admira.

"Tu sais quoi, je vais accepter ton offre, et ça me ferait plaisir que tu ressorte tes instruments pour moi. Quand à la prime que tu veut offrir, laisse tomber, récupère juste ton homme, je me débrouillerais avec eux après. Tu veut boire quelque chose ?"

Le Don avait obtenue l'effet voulut avec sa petite entrée en scène et il en demandai pas plus du calme et de la paix d'ailleurs il en avait un peut trop même plus personne osait moufter sauf bien sur Lucio qui ce sentait en sécurité et qui sous la protection de Cesaré décida de rendre les coups qu'il avait reçut précédament en fessant voler son crane contre celui qui il n'y a pas si longtemps que sa menait la danse décidément il pouvait pas ce calmer cinq minute et laisser la paix et la sérénité qui règne en ce lieu perdurer, Cesaré ne prenait pas la peine de menacer ses allier pour lui sauver les miches pour qu'une fois tout le monde à peut prêt calmer il relance le conflit fort heureusement la terreur infliger empêcha toute reprise du feu de la guerre qui était en train de couver et de toutes façon le coup avait été en partie contrer par l'avancer du front de Bruce et sous le choc Cesaré aurait entendu un son résonnant de vide qu'il n'en aurait pas été étonner, ces deux mecs était de vrai tète de mule et voilà que l'américain en relançait une couche mais ce n'était plus son problème du moment que c'était du un contre un, Lucio devait être en mesure de ce débrouiller et les bagarre du style il ne versait plus dedans depuis qu'il avait été grader. Un homme avec du pouvoir à des droits et des avantage mais il a surtout d'énorme responsabilité comme celle de tenir son rang et quand il entendit Bruce parler de conscience il lâcha malgré lui :

" T'es en panne de cerveaux ou quoi ? si quelqu'un avait une conscience ici sa serait l'intrus personne n'en a, mais peut être que toi tu es l'exception et que tu ramène ce que tu as voler à l'épicerie du coin, dans ce cas change de boulot parce que tu vaut pas un clou ... "

Cesaré allait continuer jusqu'à ce qu'il ce rende compte que ses paroles transcendait ses pensées et donc il s'arrêta la ce n'était plus ses affaires et il alla même jusqu'à ignorer Lucio qui réclamait son aide pour récupérer l'arme de son père de toutes façon si il tenait tant que sa il n'aurait pas du l'emmener avec lui un point c'est tout et il devait ce démerder seul, lui si il pouvait éviter toute monter en puissance en refilant un simple Mauser et bien il le ferait et même si il lui appartenait pas, de toutes façon il en avait des caisse pleine dans des granges bourrer à craquer d'armes, il avait surement de quoi armer la prochaine guerre mondial donc une arme de plus ou de moins c'était le dernier de ses soucies et si Lucio voulait la récupérer il devrait ce démerder, lui il n'attendait qu'une chose que James prenne enfin la parole et sa ne tarda pas. James le félicitait pour son entrée et surtout pour son petit concerto, apparament il lui avait plus car il demandait de le refaire et ce avec une petite musique d'ambiance, voilà ce qu'attendait le Don la reprise de la musique pour lui maintenant tout était finit et il fit donc signe d'un geste non chalant de la main à ces gardes du corps de ce décontracter et à l'unissons les quatre hommes quittèrent leur positions pour aller au bar et commander hormis Andréo qui comme à son habitude n'aimait pas les foules et sortit du Lucky pour voir ailleurs si il y était et le Don prie enfin la parole :

" James toi qui me connait tu devrai savoir que chacune de mes représentation sont unique et toujours supérieur à la précédente cette ville ne comprend que la force donc je lui inculque la terreur donc je ne pourrais accéder à ta demande et pour répondre à ta questions non je le referai pas je suis imprévisible aussi bien avec mes ennemis que mes amis c'est ce qui fait ma force donc même entre amis je ne commet rien qui n'a déjà été vu surtout que mon orchestre n'irai guère avec le tien. "

Cesaré écouta ensuite attentivement James et dans son Laïus ce trouvait la preuve qu'il ne connaissait pas encore suffisamment le Don car les Italiens craignait bien plus leurs chef que quiconque pour la simple et bonne raison qu'il punissait lui même ses hommes pour les erreurs qu'il commettait et plus il était gradé plus le retour de manivelle était violent et une fois que James eut finit il prit la parole :

" On ce connait depuis longtemps certes donc tu devrais savoir que je suis toujours sérieux mes armes ne son charger que dans le cas pour servir, je suis sans pitié et je m'en cache pas et même si j'espérai la solution pacifique car j'apprécie le clan Américain j'était prêt à faire la guerre, donc oui tout ceci est nécessaire, nul ne punit un Italien hormis moi , tu trouveras surement sa rébarbatif mais tous dans mon clan sont mes enfants ils m'aident je les protègent, sa aurait put être le dernier des sous fifre étaler sur ton sol que j'aurai agit quand même pour le sauvez, c'est le devoir d'un père de punir ses enfants et non celui du voisin donc quand j'aurai prit connaissance de tout les éléments de cette affaires les sanctions tomberont en conséquences et pour Bruce c'est ton homme tu en fais ce que tu veut mais aussi nerveux que soit Lucio n'est t'il pas assez grand pour régler son problème d'homme à homme dans une ruelle sombre comme le veut la tradition ? "

Cesaré jeta un regard noir qui s'adressait aussi bien à Lucio pour le foin qu'il avait produit devant un homme qu'appréciait Cesaré, qu'à Bruce qui avait appeler du renfort et avait contribuer à engendrer cette situation la diplomatie entre des clans mafieux était assez compliquer pour pas que deux des hommes viennent les compliquer et finalement il reprit la conversation.

" Je suis certes méchant avec ton barman mais moi je me trouve réaliste après pour la prime je la laisse tu me connais jamais de dette aussi bien monétaire que d'honneur estimes sa comme un dédommagement pour tes hommes apeurer regarde y en plus un qui moufte même ta jolie barmaid ce contente de parler cocktail et parle en saccader au moins sa va ma prise de pouvoir me ramollit pas même si je m'était préparer à plus de répondant de la pare de ses pauvres personnes y en faudrait plus des hommes comme toi à force de voir personne ce dresser face à moi je vais me ramollir qu'est ce que t'en pense c'est pas la pire des choses de n'avoir personne à affronter ? bon je m'en serai voulut tout de même de te soulager tes effectifs de quelque uns de tes hommes. "

Cesaré émit un rire guère communicatif et plutot inquiétant à croire que tout ces crimes et toutes cette méchancetés qui distillait avait finit par avaler son rire et ils reprit le cours de la conversation sec :

" LUCIO !! je sais pas ce que tu as fait pour avoir ta tète mise à prix et je veut pas le savoir pour le moment mais démerde toi pour la faire disparaitre je veut pas que la moitié de la ville s'intéresse de trop prêt à mon clan. *ton normal* James tu connais mes gouts donc je te laisse choisir la boisson et je me contenterai de t'accompagner. "

Même en prenant son temps, le découpage de la pomme fut assez rapide… L’habitude en somme. Tranchée en deux dans le sens de la longueur puis, une fois épépinée, en fine tranche dans la largeur, la pomme finissait sur un petit bâtonnet décoratif accompagnée de cerise et autre carré de poire. Les bords de verre, eux, préféraient les agrumes. Quoique le mélange pomme-citron n’était pas trop mal non plus. Mais ce n’est pas là les différentes façons de décorer des verres qui nous intéressent. Sans lever la tête, la louve reconnue la voix de Bruce qui s’éleva près des italiens avant de se rapprocher. Un tintement de pièces se fit entendre suivit d’une pique.

"Enfin pour la conscience il va te manquer pas mal de pognon..."

Il était incorrigible et avait du aussi être poussé à bout. Lui qui était certes plutôt bougonneur, ne s’en prenait pas ouvertement aux gens sans raison. Angela ne sourit pas ouvertement, mais elle le fit intérieurement. Il l’avait drôlement bien placée.
Elle venait le lâcher le couteau et s’essuyait les mains quand elle entendit le grincement familier du dessus du tabouret en cuir lorsque l’américain s’y assit. Bruce déposa sur le comptoir le visage de George Washington avant de s’adresser à elle.

"Sert moi ce que tu as ma belle."

Elle reposa le morceau de tissu sous le comptoir puis se tourna pour attraper une bouteille de Coca dans le meuble réfrigéré et un verre sur une étagère. La jeune femme revint devant son client et déposa le verre avant de se saisir de sa main à présent libre du retire capsule. Elle le fit virevolter un peu entre ses doigts avant d’ouvrir la bouteille, déversa la boisson dans le verre et ajouta alors un petit morceau de glace qui fit un peu de mousse qui disparut quasi aussitôt. La brune lui servit alors sa boisson en disposant un petit carré de papier rouge en dessous.

"Ca te fera 5 ¢ mon grand" lui adressa la barmaid en souriant et prenant le billet vert "merci"

Le tiroir à monnaie était près de Mitchell… qui n’avait pas encore modifié sa position par rapport à tout à l’heure. Il avait du être mime ou homme-statue dans une autre vie. Quoiqu’il en soit, elle s’approcha de lui, et la poussa gentiment par son côté, discrètement. Il se décala d’un pas et recula tandis qu’elle prit le change. James avait pris la parole et le jeu semblait se calmer dans la salle. Il acceptait l’offre du Don, et proposa que ce dernier reste prendre un verre. L’italien avait quitté son ambassade, et ce ne devait surement pas venir d’un sixième sens quelconque pour lui dire qu’un de ses « enfants » comme il les appelait était en danger. Et voilà que maintenant il s’envoyait des fleurs sur le fait que personne ne le coupe… couper… s’il n’y avait que ca pour lui faire plaisir, la jolie barman comme il l’avait dit, pouvait s’en charger. Mais elle ne chercherait pas la merde, il y en avait assez eu pour aujourd’hui, et vu le monde ici, ce n’était pas la peine d’encore s’emmerder avec des histoires à la con. Angie retourna alors devant Bruce, pour lui rendre sa monnaie, près de sa consommation, tandis que le barman rangeait son fusil comme il le fallait sous le comptoir. Elle écoutait d’une oreille distraite. Ce n’était pas ses oignons et comme toujours, moins on en sait, mieux on vit, voir plus longtemps aussi.

"euh mademoiselle, serveuse, ou je ne sais pas votre nom si vous voulez bien me le dire pour que se soit plus polis quand j'ai besoin de vos services, je pourrai avoir le meilleur cocktail que vous pouvez faire."

Il manquait plus que ca. Voila que le fouteur de merde de la journée restait un peu plus longtemps. Il se foutait de la gueule de tout les américains présent ou quoi ? C’était de pire en pire, il poussait le bouchon et Angela le vit à la tête de Bruce, elle n’était pas la seule à le penser. Elle le regarda un instant avant de répondre. Il n’était pas si mal, avec sa lèvre éclatée et sa marque encore fraiche sur le front, mais en aucun cas il aurait fallu qu’il pousse le bouchon aujourd’hui. Des petits cons accoudés au comptoir ou en salle, qui lui sous entendait tout et n’importe quoi, elle en avait vu et fait pâlir plus d’un. Il suffisait de prendre deux prunes et une lame pour leur laisser s’imaginer de quoi la jeune femme était capable. Se faire ciseler les parties intimes ne semblait pas du goût de tous. Quoiqu’il en soit, elle serait aimable, c’est son travail après tout, mais ce serait le strict minimum.

"Un cocktail pour le blondinet là bas"

Il lui fallu très peu de temps pour prendre une lame et la faire virevolter en découpant un citron. Elle attrapa les bouteilles de jus de fruits et s’activa, elle se débrouillait bien en mélange mais elle avait encore du chemin pour y être excellente. Et sa manie de la perfection n’aidait pas à ce qu’elle se sente à l’aise. Un joli dégradé de couleur, la rondelle de citron au bord du verre, elle ne s’en était pas mal tirée. Elle déposa la consommation sur le comptoir.

"10¢ pour vous"

Elle lui adressa quand même un sourire, après tout et logiquement, il ne serait plus autorisé à mettre les pieds ici.

Quand on dit que la musique adoucis les moeurs, c'est exact. A peine les premières notes de musiques avaient fusés des instruments des musiciens que l'ambiance c'était détendue. Les gardes du corps italiens avaient rangés leurs armes et s'étaient accoudé au comptoir. A part un qui partit dehors, peut-être faisait-il trop chaud dans le club ? Le boss des italiens pris la parole. James haussa un sourcil quand il l'entendit parler du fait que toute ses entrées étaient unique et qu'il ne pourrait pas la refaire. Le chef des Wolves souris et regarda Le Don. A priori, celui-ci n'avait pas compris qu'il s'agissait d'une blague pour détendre l'atmosphère, il prenait ça au premier degrés. Autant les deux s'entendait bien, autant parfois il n'était absolument pas sur la même longueur d'onde.

Ensuite James écouta le discours du Don sur le fait qu'il aurait été prés à faire la guerre. Et, malgré toute la décontraction de l'américain, une boule se fit sentir au creux de son estomac. Il se rendit compte qu'un bains de sang aurais pus très facilement avoir lieu. Mais il garda son même sourire en façade, et continua d'écouter se que Cesaré disait. Il parlait de Bruce, ainsi que de Lucio. Que des sanctions allaient tomber et autre truc pénible. Déjà, James était ailleurs, n'écoutant que d'une oreille, préférant porter son regard sur les jolie formes d'Angela en pleine préparation de cocktail.

Ce qui le fit revenir sur terre, ce fut quand le chef des ritals lui annonçait qu'il voulait payé la prime au homme de James en guise de dédommagement. Mais c'est surtout ce qu'il dit après qui lui fit prendre conscience de certain point. Cesaré avait raison, tout les hommes, même bruce, s'étaient écrasé quand il était rentré. Plus un seul ne parlé, ils se contentaient de regarder le comptoir tellement fort qu'ils auraient pus l'abîmer en le fixant. James se demande si cette attitude était de la peur ou du respect ? Il faudrait remettre les choses au points, un petit assaut chez les russes leur redonnerais un peu de confiance peut être ?

"...bon je m'en serai voulut tout de même de te soulager tes effectifs de quelque uns de tes hommes. "

Et moi donc pensa James, il n'avait aucune envie de rentrer en guerre avec les italiens. Ils avait un stock d'armes tellement important que la situation, qu'elle quel soit tournerais vite à leur avantage. Il regarda autour de lui, il n'y avait que des personnes non fréquentable. Parfait.

"Angela, fait nous deux Irish coffe s'il te plait. Mitchell doit planqué une bouteille sous la caisse."

Puis il regarda Don.

"Dis moi ? c'est pas trop dur de ne pas avoir de sens de l'humour ? depuis le début tu prend toute mes plaisanterie au premier degrés, je vais finir par me sentir vexé."

James lui adressa un grand sourire

"En tout cas, je croit bien que tu a raison sur le fait que tu n'est rien perdu de ta prestance, il va falloir que je fasse quelque chose. Si ils sont aussi apeuré devant un allier, qu'est-ce que se sera devant un ennemi ?" Cette phrase s'adressait tout autant a Don qu'a tout ses hommes présents dans la pièce.

"La preuve que je te connais un peu c'est que j'étais pratiquement sur que tu refuserais de partir sans payé la prime, mais au moins comme ça, j'ai la conscience tranquille"

Un petit rire se présenta du fond de la gorge de l'américain, mais il fut stopper net par la voie de Lucio

Monsieur lynch si vous le permettez je vais quand même rester hisoire de boire un verre avant de reprendre la route.

James écarquilla les yeux, et avant qu'il est eu le temps de répondre, le blondinet se fessait servir.

"Ben non je te permet pas, mais comme tu à l'air de te moquer de qui est supérieur a toi, et que tu attend pas la réponse au question que tu pose, tu à qu'a rester. ah, merci pour ton Mauser, il fera très bien dans ma collection. Et profite bien de ton dernier cocktail, le boit pas trop rapidement" James lui assena un clin d'oeil tout en disant cela

L'américain regarda le chef des italiens et lui chuchota

"Comment tu arrive à le supporter ? Il doit vraiment être bon dans son domaine"

Le chef des wolves repartit dans ses pensés, se laissant porté par la musique. La situation était réglé maintenant, il ferait passer un portrait robot de Lucio au videur à l'entrée pour qu'il ne le laisse plus jamais rentré.

<==== Arrivée au Lucky

C'était simplement et tout bonnement inconventionnel. Il l'avait invité et par la même occasion dérangé et voilà qu'il était partit s'occupait d'autres choses. Certes Chin' était dans son rôle de patronne patiente et polie... Mais ce n'était qu'un masque, et un tel costume n'était pas éternel. Et la déception du fait qu'il n'y avait aucun alcool dans ce lieu venait se rajouter à sa montée de mauvaise humeur. Il s'était excusé et s'était éloigné ce à quoi la chinoise avait répondu d'un aimable sourire. Puis se retournant vers le serveur commanda un de leur cocktail non alcoolisé... Et sans agrume. Vu qu'elle ignorait ce qu'elle pouvait boire. Il revint avec la boisson quelques minutes plus tard. En l'attendant, la patronne du salon avait observé la scène où était allé son cavalier... Il y avait visiblement pas mal de monde, dont un qui semblait être la cause de tout ce remue ménage. Ils étaient trop éloignés d'elle, et la musique trop assourdissante pour qu'elle puisse capter leur discussion. Même si des brides lui parvenaient au moment de changer de morceau, ou quand celui-ci s'adoucissait. La boisson qu'elle avait devant elle était d'une couleur rouge pâle, les rebords du verres recouverts de sucre vert, et il y avait une longue paille. Qu'elle saisit entre ses lèvres. Elle ne but pas le contenue gorgée par gorgée comme se devait de faire les dames. Elle but sans se stopper. Il avait un goût fruité mais doux, comme un mélange de pommes et de rubardes... Mais elle n'était pas là pour se délecter des boisons. Elle devait profiter du fait qu'elle soit dans un camp autre que le sien. Et incognito en plus! A peine eut-elle fini son verre qu'elle en recommanda un. Suivant de sa place la scène et s'allumant une clope entre deux verres. A force de regarder elle se dit que le blond lui disait bien quelque chose... En tournant la tête vers l'entrée elle se rappela l'avis de recherche. C'était lui! Les autres personnes avaient-elles deviné de qui il s'agissait? Elle pouvait très bien s'approchait et... Non. Elle ferait alors comprendre qu'elle fait parti des triades. Surtout si elle se bat et qu'elle dégaine son arme. Trop dangereux. Après une quinzaine de verres, elle commençait à s'ennuyer ferme et avait d'autre chose à faire. Entendre cette musique déplaisante et cette langue qu'elle haïssait commençait à la chauffer. Elle récupéra son sac et se leva. A cette vu le serveur se rapprocha et demanda à ce qu'elle rêgle la...

"La note est pour l'homme qui m'accompagnait."

Elle lui sourit aimablement, mais froidement. Puis s'éloigna de la table y laissant le paquet de cigarettes ouvert. Chinyu n'alla pas directement vers la sortie. Ses pas la dirigeaient vers le regroupement. Elle s'approchait silencieusement, et avec discrétion. Une fois qu'elle fut juste derrière James, elle se mit sur la pointe des pieds et approcha ses lèvres de son oreille. Elle lui souffla un: Vous m'avez oublié... Glissé d'une voix chuchotée et glaciale au creux de son oreille. Elle s'apprêta alors à lui mordre sauvagement le lobe... Mais se retint pour se placer de sorte à être face à l'américain. Elle se fichait de faire une scène et ainsi de se faire remarquer. L'asiatique ne supportait pas qu'on la plante ainsi. Mais elle ne put se retenir plus longtemps et sa main vola pour giffler la joue de l'amerlock.

"Un gentleman ne laisse pas une jeune femme de mon rang en plan pour batailler de chose sans importance. Je vous quitte donc sans regret. La note est bien sûr pour celui qui invite."

Sa voix était d'un timbre de glace, et de dédain. Elle le regardait avec une telle froideur. Et pourtant elle était heureuse de trouver le moyen de se barrer d'ici. Pourtant elle ne s'arrêta pas là et décida de pousser le vice. Maso, sadique et perverse... Il faut bien. Elle adressa un sourire charmeur, bien que faux. Et sa main retourna vers sa joue, pas en une claque mais une caresse cette fois. Ses yeux s'étaient fait doux... Mais quelle actrice. Chacun de ses gestes étaient refusés par son esprit, mais le jeu en valait la chandelle. Lentement elle s'approcha du visage de l'homme et ses lèvres trouvèrent les siennes. Poussant encore le sadisme, elle l'embrassa langoureusement. Avec ou contre sa volonté. Et après quelques secondes... Elle resserra ses dents sur la langue chaude de l'américain. Sans la moindre douceur la chinoise pinça ce morceau de chaire entre ses molaires. Le plus fort qu'elle pouvait avant qu'il ne mette fin à cet échange douloureux. Elle avait tenter de mordre jusqu'au sang.

"Désolée... Je me contrôle mal quand je suis excitée..."

Furent ces derniers mots et son visage neutre réapparut. Elle se détourna alors et commença à s'éloigner de son pas fière. Pourtant une fois qu'elle lui eut tourné le dos une grimace de dégoût tordit ses lèvres. Il était certain qu'une fois dans la rue Chinyu cracherait. Elle avait obtenu une maigre vengeance. Maintenant direction la sortie et enfin son bordel. Sauf si l'homme se montrait têtu...

Cesaré regardait attentivement James qui avait tout de même l'air mal à l'aise devant le discours qu'il lui tenait et ce malgré le beau sourire qui venait orner son visage, sourire auquel le Don avait prit l'habitude de voir en toutes circonstance et il venait même à ce demander si le chef américain était capable de faire la gueule de temps en temps mais au moins sur ce point il était le parfaite opposer du Don qui lui avait perdu son sourire depuis un très long moment et le sens de l'humour qu'il avait c'était lorsqu'il conversait de son amie de toujours qui n'était autre que la grande faucheuse et d'ailleurs il avait une façon plus que décontracter d'en parler que s'en était presque déconcertant de le voir l'évoquer avec dans de facilité et les seuls sourire qui venait orner son visage n'était autre que des sourire qui vous transperçait jusqu'à la moelle pour glacer le sang et les tripes, le genre de sourire que personne en ce monde n'accueillait avec plaisir car il annonçai l'arriver du sang et de la mort. Cesaré qui parlait de mort, de guerre et de bain de sang disproportionner il y a seulement quelques seconde avait changer du tout au tout lorsque le ton commença à redescendre et même ses gardes du corps en avait fait de même comme si rien ne c'était passer, Cesaré était aller jusqu'à sortir son paquet de cigarette et s'en allumer une qu'il fumait négligament comme l'homme le plus normal de la ville s'amusant à faire des ronds de fumée qu'il venait transpercer ensuite d'un trait de fumée blanche à la manière d'une flèche dans un ballon, à cet instant si le Don ne dégageait pas cette sensation de froid et de meurtre dissimuler dans cette vague de calme qui lui était propre ont aurait jamais put croire que l'homme qui ce tenait assit à ce comptoir était l'un des plus grand mafieux de la ville et encore moins qu'il venait de défier un clan complet avec juste quatre hommes derrière lui, mais pour lui tous ce résumait à une partie d'échec lorsque l'on était en grande difficulté il suffisait de savoir bouger le bon pion et de menacer la bonne pièce pour m'être à mal la stratégie adversaire ou faire ce disperser une ligne de front soigneusement préparer.

Cesaré était maintenant en train de réfléchir au conséquence qu'engendrerai l'acte qu'il venait de commettre pour un seul et unique de ses homme, il ce demandait si sa en valait la peine, Lucio méritai t'il qu'on en vienne à une guerre avec de vieux allier qui avait fait leur preuve de leur fidélité. Cesaré balaya toutes ses mauvaise pensées de son esprit par le simple que Lucio aussi avait prouver sa fidélité et que surtout il était Italien ce qui valait tous les sacrifice car comme il l'avait dit c'était son fils et un père protège son fils quelque soit ses conneries quitte à le punir ensuite, le chef de la mafia Italienne fut couper dans ses réflexions par la voie de James qui s'exprimait enfin en s'adressa à la serveuse et le Don eut un léger hochement de tète sur le coup il avait totalement absorbé par ses pensées chose qui lui arrivait régulièrement mais d'habitude ce n'était pas en public surtout pas au point d'en oublier un homme du gabarit de James mais bon il y avait une première fois à tous et James n'exposait pas des trucs du importance crucial non plus pour le moment il demandait simplement qu'on leur servent deux Irish coffe, c'était un bon point Cesaré n'aurait jamais bu l'un de ces stupides coktail qu'il servait pour faire écran dans son bar. James enchaina sur sur une réplique cinglante sur son absence de sens de l'humour ce qui était totalement vrai mais sa il s'en foutait royalement, il l'avait pas toujours été cassant et direct, il fut même une époque ou il passait plus de temps à ce marrer qu'à cogner mais voila les temps change et le temps fait son oeuvre même lui n'échappait pas à cette règle et il avait vu tant et tant de chose horrible dans sa vie qu'il en avait perdu son rire et étrangement celui-ci ne lui manquait pas, James embraya tout de suite derrière sans laisser le temps à Cesaré le temps de lui répondre et il attaqua un point important mais contrairement à ce qu'on pourrait croire ce n'était pas vraiment destiner au Don mais bien plus à ses subordonné et de façon bien mal dissimuler mais c'était surement fait exprès. Cesaré attendit que James eut finit de parler pour prendre la parole de cette voie monocorde qu'il aimait tant :

" Voilà tout ce qu'il faut chaque conversation devrait commencer par un bon morceau de musique et un verre d'alcool et les armes devrait arriver ensuite si nécessaire mais bon la vie ne ce déroule pas comme on veut et je me passe très bien de mon sens de l'humour si bien que lorsque je l'ai perd sur un front quelconque dans les alpes je m'en suis même pas rendu compte mais toi saurait tu t'en passer ? j'en doute, sinon tu ne peut pas dire que tu me connais un peut tu connais juste les Italiens car tous vrai Italiens s'acquitte de ses dettes d'honneur ou d'argent ou aide ses frères à le faire avant d'entreprendre quoi que ce soit d'autre voilà comment ceux élever dans la traditions devrait réagir logiquement. "

Cesaré profita que Lucio parle pour faire une pause dans sa tirade et tira négligament sur clope et tandis qu'il laissai l'eau couler sous les ponts pendant que James sermonnait Lucio, Cesaré en profita pour boucler son propre Mauser dans son holster en rabattait la petite sangle en cuir de celui ci sur la crosse de son arme et lorsqu'il reprit le court de la conversation James était en train de lui demander comment il arrivait à supporter Lucio et Cesaré repris la conversation sur le même ton :

" Pour en revenir à tes hommes pour moi les miens sont comme une lame plus ou moins effilé selon les endroits mais qui forme un tout indissociables une seule fissure dans la lame et c'est l'ensemble qui risque de voler en éclats et même si bien des personne pense que c'est le faite d'utiliser une lame qui l'abime au fil du temps moi je pense autrement le plus grand danger c'est de la laisser inactive dans son fourreau car c'est à ce moment la qu'elle rouille et qu'elle s'émousse donc donne des occupations à tes hommes plutot que de les laisser s'ennuyer dans ton bar avec pour seul activité de reluquer les serveuse au formes avantageuse que tu place derrière le bar, regarde ta belle Angella la à part attirer l'oeil et servir elle sert à quoi ? hé bien à distraire tes hommes qui doivent juste venir ici pour tenter d'obtenir un rencard qu'il n'obtiendrons surement jamais pour la simple raison qu'elle ne veut pas d'eux, alors ils boivent pour passer le temps en attendant leur heure et il ressorte d'ici l'esprit imbiber de ton bon whisky moi je te le dis file leur des armes qu'ils tapent sur des flics même si c'est sans raison précise au moins sa leur mettra un peut de baume au coeur. Lucio quand à lui même si il a un caractère spécial je le supporte oui mais ... "

Cesaré ce coupa net en voyant arriver une belle asiatique mais qui était bien trop asiatique à son gout pour qu'il continue à discuter de son clan avec tant de légèreté, il était comme sa il voyait en tout étranger un ennemi potentiel après tout certaine information qui pouvait sembler futile valait leur pesant d'or donc plutot que de prendre un quelconque risque il avait préférer ce taire surtout que la demoiselle venait de mettre une gifle monumental à James de quoi le ridiculiser pendant quelque temps devant ses hommes mais Cesaré quand à lui ne bougea pas ce n'était pas son problème et de toutes façon James devrait être capable de pouvoir gérer la situation tous seul mais la colère de la jeune femme était compréhensible elle ce sentait délaisser mais bon entre l'avenir de ses hommes et une femme et qu'importe sa beauté le Don aurait lui aussi choisit ses hommes, puis les choses semblèrent ce calmer la jeune femme commença à caresser la joue meurtrie de l'américain pour finir par l'embrasser langoureusement, décidément Cesaré ne comprendrai jamais fonctionnait les femmes et lorsqu'il la vit partir ce fut à ce moment la qu'il tiqua et qu'il ce rappela qu'il la connaissais à travers l'un de ses dossiers et il prit la voie s'exprimant d'une voie forte un sourire au lèvres qui ressemblait plus à un rictus malsain :

" Hé bien James tu es un éternel chanceux tu as réussit à dégoté la seule chatte (l'animal hein ^^) du quartier asiatique qui sort les griffes quand on la snobe mais est t'il bien prudent Miss Chinyu de venir jusque dans ces lieux pour quelqu'un de VOTRE position ? "

La phrase qu'il avait émise était lourde de sous entendu aussi bien pour James que pour Chinyu et Cesaré ce délectait d'avance de ce que lui apportait le destin.

Lucio n’écoutait que de loin ce que James disait. Même quand il parlait au Don, le jeune italien s’en foutait de savoir si c’était de lui ou d’un quelconque normalement intéressant.
Il regardait la serveuse lui faire son cocktail. Bien qu’il pensait déjà au dégoût qu’il aurait à boire ce jus de fruit que l’on peut acheter à l’épicerie au coin de la rue. Non c’était plus la façon qu’elle avait pour manier ses lames. Il aimait voir ça lui qui aimais beaucoup les armes blanche même, bien sur, avec une préférence pour les armes de mêlés mais bon. Elle avait un air assez charmeur, sûrement sans le vouloir mais c’était joli. Bien sur Lucio n’était pas accoudé au comptoir la bouche ouverte, non il était installé normalement jetant des regarde de temps à autre expliqué au par avant pour ne pas donner l’effet du maniaque qui est près à la prendre contre la poubelle de la porte extérieur.


Il tiqua quand James parla du fait que c’était la dernière fois qu’il profiterais des joies de sont club. Il marmonna entre ses dents avant de reprendre en anglais a James en le regardant


italien: "je t'en aurais pas donné le choix gamin. tu n'as rien de potable d'ailleur ici..."

euh ouais monsieur Lynch, ouais.

Il reposa son regard dans le vide avant que la chinoise vienne faire une scène au patron des américains. Elle venait de faire bien plus que Lucio ne l’avait. Un manque de respect bien plus grand que brandir une arme dans le club. Une femme qui aurait fait ça au jeune italien se serait retrouvé lacéré dans le dos à coup de ceinturon. Mais tout le monde n’était pas comme lui. Au moment ou elle partit en direction de la sortie, il but son verre d’une traite et lui emboita le pas après avoir déposé 10 cent à côté d’Angela. Avant de sortir il se retourna vers Cesare avant d’adresser un dernier regard sur la serveuse.

Je vous retrouve ce soir Don Carissimo. Là j’ai faim

Des regards étaient posés sur elle, et elle le sentait. Ce n’était pas comme lorsqu’elle dansait, ou plutôt comme elle aurait voulu danser plus souvent. Dans certains clubs à Saint-Louis, elle n’était pas sur la scène pour la « danse » en elle-même… plutôt pour rendre la bouche sèche aux hommes et ainsi les forcer à consommer un peu plus. A présent, elle vivait décemment et n’acceptait que des représentations plus sérieuses.

"Angela, fait nous deux Irish coffee s'il te plait. Mitchell doit planquer une bouteille sous la caisse."

"C’est comme si c’était fait."

La jeune femme se tourna vers la caisse tout en jetant un regard en salle. Certes, Lynch avait du déjà jeter un œil, mais on n’est jamais trop prudent. Elle poussa les chiffons et le bordel sans nom de Mitchell, pour enfin trouver une bonne petite bouteille de whisky. Elle la déposa sur le comptoir, avant de se saisir de deux grandes tasses et de les remplir à moitié du café réservé au chaud, sur une plaque. Le café partait vite, surtout à cette heure de la journée. Il n’y avait donc jamais de risque de tomber sur un vieux jus de chaussette. Angie posa deux soucoupes sur le comptoir, puis les tasses par-dessus avant d’incorporer une rasade d’alcool qui alors transformait ce breuvage en un Irish. L’odeur particulière lui effleura les narines et elle huma discrètement le mélange de café chaud et de whisky. Cela lui rappelait son père, qu’elle ne voyait pas souvent, et lui rappela aussi à quel point sa famille lui manquait parfois et comme elle se sentait seule dans cette ville.

"Et voilà pour vous messieurs"

La bouteille resta cependant sortie, le café pouvait être trop chaud, et ajouter un peu plus d’alcool le faisait généralement refroidir.

(italien) "Je t'en aurais pas donné le choix gamin. Tu n'as rien de potable d'ailleurs ici..."

C’était le fouteur de brin qui avait encore ouvert la bouche et pour dire ça ? Il croyait quoi, que seul son clan allait le comprendre ? Fallait qu’il sorte un peu de chez lui… D’ailleurs, il semblait partir au même moment, laissant quelques pièces avant de se lever.

(italien) "Rien de potable ? Et ça c’est quoi ? Elle indiqua du menton la bouteille sur le comptoir C’est sur qu’ici tu trouveras pas ta grappa… alors laisse l’alcool aux hommes. T’es fiché maintenant, tires toi. Oh… et ce monsieur se nomme Lynch, pas gamin… c’est clair ?"

La jeune louve attrapa les dix cents de l’italien en le regardant droit dans les yeux puis les rangeât dans la caisse avant de détourner son regard et de servir deux autres hommes au comptoir. Elle écouta d’une oreille distraite, comme toujours et fut attentive lorsque le Don prononça son nom. Comme ça Angela ne servait à rien d’autre que faire boire la communauté américaine tout en agitant ses miches sous leur nez ? Mais il se foutait de la gueule de qui ? N’étant pas sanguine, elle réfléchissait à un moyen de laisser paraître un peu son habilité au lancer, mais jeter une lame à la tête du clan italien pour que cette dernière se fiche dans le bois de la porte des toilettes lorsqu’il ira se soulager était une mauvaise idée si l’on considérait les hommes avec lui. Disons qu’elle pourrait le faire, tout en expirant peut-être son dernier souffle. Ou peut-être que… L’arme blanche dans la main, l’essuyant consciencieusement, elle aurait pu la glisser, sans discrétion dans le haut de son bas, à côté des autres et laisser apercevoir à Cesaré que non, elle n’était pas simplement serveuse mais elle n’en eut pas le temps. La chinoise qui était attablée seule venait de se lever et de baragouiner un truc au Boss avant de lui en coller une ! Bordel ! La jeune brune retourna la lame dans sa main en un éclair pour être prête à la lancer quand l’asiatique se rapprocha de James et… lui roula une pelle ? L’américaine souleva un sourcil interrogateur, ne sachant pas trop quoi faire, mais tenant la lame toujours du bon côté, près de sa cuisse, juste au cas où. Lorsque la femme s’éloigna en direction de la sortie, la tête des italiens s’exprima de nouveau, lui aussi avait paru étonné de ce qui venait de se produire.

" Hé bien James tu es un éternel chanceux tu as réussit à dégoté la seule chatte du quartier asiatique qui sort les griffes quand on la snobe mais est t'il bien prudent Miss Chinyu de venir jusque dans ces lieux pour quelqu'un de VOTRE position ? "

La vache… Elle aurait pu faire une grosse boulette… mais cette femme là, ne venait elle pas déjà de faire le premier pas en cette direction ?

La chanson était entrain de rendre ses dernières notes, et les chefs des italiens semblait enfin relâché la pression. Encore une fois, avec son légendaire sérieux, il essayait de faire comprendre à James pourquoi il n'avait plus de sens de l'humour et se genre de truc. Le chef des américains aurait bien lâcher un immense soupir, mais cela aurait été mal vu de la part du Don, et donc, il se contenta de l'écouter parler, en hochant la tête de temps en temps tout en souriant. Et Angela servit enfin les boissons. James la remercia d'un geste de la tête et avala une gorgé du breuvage.

Et puis, la façons de gérer les hommes atterrit sur le comptoir. James n'en croyait pas ses oreilles, est-ce qu'il entendait bien ? est-ce que son allié lui disait comment gouverner ses recrues ? Le sourire présent sur les lèvres de James était forcé cette fois-ci. De quel droit, après qu'un de ses "Enfant" est foutu le bordel dans son club, osait-il lui dire comment tenir ses hommes ? l'américain serrait nerveusement la main sur la tasse. Dans sa tête se déroulait un scénario bien plus jouissif que le fait de rester à boire un verre avec cet homme, que certes il appréciait, mais qui par moment arrivait à l'énerver. Un scénario remplit de tabouret de bar et de petit morceau de cervelle. Mais heureusement, lors de son laïus, Cesaré fit une erreur. Il considérait Angela comme une simple serveuse. A cet instant, toute colère disparu de James, et le sourire qu'il affichait était de nouveau sincère.

A peut prés au même moment, le blondinet marmonna quelque chose en italien. Un truc que le chef des wolves de comprit pas, mais qui ne devais sûrement pas être "Y'a pas de soucis, je pars de suite". James voulait attrapé la tasse et lui balancer à la figure, mais ce fut Angela qui passa à l'attaque.

(italien) "Rien de potable ? Et ça c’est quoi ? Elle indiqua du menton la bouteille sur le comptoir C’est sur qu’ici tu trouveras pas ta grappa… alors laisse l’alcool aux hommes. T’es fiché maintenant, tires toi. Oh… et ce monsieur se nomme Lynch, pas gamin… c’est clair ?"

James éclata de rire. Il n'avait absolument rien compris, mais au vu de la réaction du blondinet sa ne devait pas être très gentil non plus.et regarda son allié.

"Tu vois mon ami, elle est beaucoup plus qu'une simple serveuse qui sert des types qui ne pensent qu'a "ça". Elle sait aussi remettre les gens à leur place quand il le faut. Et puis, si en la voyant, tu ne la prend que pour une serveuse, cela veut dire qu'elle doué dans son boulot."

Tout en disant cela, il avala une gorgé de l'Irish coffe. Son sourire aller jusqu'à ses oreilles, il avait mis un point. Une des ses recrues avait mouché ce petit blondinet arrogant. James regarda Angela avec un regard plein de fierté. "Vous m'avez oublié...." L'américain sursauta un brin quand ces parvinrent à son oreilles. A peine eut-il le temps de réagir qu'une claque s'abattit sur sa joue. *Et merde... Chinyu...*

"Un gentleman ne laisse pas une jeune femme de mon rang en plan pour batailler de chose sans importance. Je vous quitte donc sans regret. La note est bien sûr pour celui qui invite."

Sans importance ? Un peu plus et un bain de sang éclaté dans le club. Elle manqué pas d'air.

"Je..."

Mais sitôt les mots sortit de sa bouche que la main de l'asiatique se levais de nouveau pour cette fois caressé la joue meurtrie. James était perdu, mais la suite le troubla encore plus. Chinyu s'approcha proche de lui, très proche, très très proche, il y avait rien même d'aussi proche. Leurs lèvres se rencontrèrent, la chinoise menant la danse, James se contentant de suivre. Et puis, elle attrapa sa langue avec ses dents, au début cela restais très sensuel, mais la douleur pointa le bout de son nez, elle lui mordait la langue comme on mort dans un steack. L'américain la repoussa avec violence. et manqua de tombé de son tabouret. *C'est quoi cette cinglé ?*

Elle avait fait demi-tour, et commença a partir. James passa derrière le bar et attrapa un glaçon qu'il colla sur sa langue pour faire partir la douleur.

Cesaré prit la parole et un calcul se fit rapidement dans la tête de Lynch. Italien plus Asiatique égal un truc pas très jolie. L'américain posa sa main sur l'épaule du Don.

"Laisse courir, s'il te plait..."

Il fallait qu'il réagisse, qu'il se montre en chef face cette situation. Les idées fusés dans sa tête, les secondes semblaient s'allonger. Il devait dire quelque chose, ne pas passer pour un faible, ne pas avoir l'air désappointé...

"Hé ! Est-ce que sa veut dire que je pourrait pas jouer au docteur avec toi ? pourtant avec le tarif que tu prend, tu pourrais bien te montrer patiente"

Pas fameux...