Petit tour au bar

Ce matin là Cesaré avait laisser le confort de son ambassade pour passer un peut de temps au millieu de ses hommes dans le bar ou il ce rassemblait tous, la belle Sicile un bar qu'il affectionnait beaucoup même si générallement il ne débarquait que quand on l'attendait pas, il fallait dire que les emplois du temps bien régler n'était pas le fort du parrain de la mafia Italienne il préférait suivre son instinct et ne rien planifier sa permettait de brouiller les piste et surtout d'éviter les embuscade qui serait facile à monter à cause de ses habitude régulière. Cesaré rentra par la porte arrière à l'insu de tous mis à part de deux de ses gardes du corps qu'il avait prévenu de sa visite et qui c'était charger de faire un repérage des lieux avant son arriver, Cesaré fila tout d'abord directement dans son bureau abaissant ses stores pour s'assurer une certaine tranquillité et il ce lança dans la paperasse qui incombait à son rang il édita quelque ordre de mission qu'il ferait suivre dans la journée au différent responsable de division qui répartirait les tache ensuite, puis il étudia les différents itinéraire possible pour son prochain chargement d'armes en fonction des patrouille de police qui lui avait été fournit en échange d'une coquette somme par l'un de ses hommes infiltrer parmis les forces de l'ordre.

Quelque heure plus tard tandis que sa montre à gousset indiquai dix heures il eut enfin terminer ce qui était le plus urgent et il ce décida à aller ce mêler à la foule de ses subordonnés il envoya tout d'abord l'un de ses gardes du corps vérifier qu'il n'y avait aucun étranger dans le bar et comme il s'y attendait personne en dehors du clan italien n'avait été assez fou pour pointer un doigts de pieds à l'intérieur du bar, Cesaré autorisa donc ses deux gardes du corps à aller prendre un verre le temps que lui même rencontre de nouveaux visage et leur montre qui était le patron, cela fessait partit de sa politique ce montrer à ses hommes pour leur montrer à qui il obéissait plutot qu'il ce comporte comme des moutons à obéir un homme qu'il ne connaissait pas le moins du monde et surtout en leur montrant qu'il n'était pas un homme qu'il fallait prendre à rebrousse poil il asseyait sa domination en cette période de transitions et cela permettait de dissuader le premier venu à vouloir fomenter une révolte pour un quelconque coup d'état car même si Cesaré avait confiance en ses hommes il préférait prévenir que guérir.

Cesaré ce dirigea donc dans la grande salle laissant sa veste sur le dossier de son fauteuil ce qui avait pour résultat de laisser son double holster contenant son Remington et son Mauser apparent et il rentra ainsi dans la plus grande salle du bar fusillant du regard tout le monde et ce dirigeant vers le bar, tout ceux qui le connaissait déjà au moins de vue firent silence à son arriver et s'écartèrent de sa route même les armoires à glaces ne bronchèrent pas et aussitôt qu'il fut assis les conversation reprirent bon train comme si rien ne c'était passer. Cesaré une fois assis sur un tabouret que l'un de ses hommes libéra immédiatement à son arriver ce contenta de tapoter sur le comptoir avec son index de juste trois coup léger quasiment inaudible à cause du brouhaha des conversation et des boule de billard s'entrechoquant mais pourtant cela suffit pour que le barman accourt et lui serve un verre de son meilleur scotch dans lequel il fit tomber ensuite deux glaçon, mais sa ne s'arrêta pas la Cesaré fit ensuite un mouvement de moulinet de son poignet et suite à sa une grande clameur s'éleva du bar.

Une majorité des gens présents ce ruèrent au bar pour prendre commande en prenant soin de ne pas le bousculer car ce geste du Don signifiait qu'il offrait sa tournée puis ceux qui n'était pas habituer ne furent pas long à suivre la masse après dix minutes ou le barman n'en finit pas de servir des verres le calme revint petit à petit et tout le monde retourna à sa place pour reprendre ce qu'il fessait avant cette tournée général pendant ce temps Cesaré savourait son verre scrutant les nouvelles ou les anciennes qu'il n'avaient que très peut croisé, Cesaré ce demandait aussi qui serait le premier à lui adresser la parole juste pour savoir qui il était ou pour lui demander une faveur, une fois son verre vide il le fit claquer sur le bar et le barman le remplit immédiatement mais chose que certains trouvait sans nul doute bizarre quand on ne le connaissait pas Cesaré malgré ses consommations et sa tournée n'avait pas encore allonger un seul dollars et surtout il buvait une bouteille issu à l'écart au prix exorbitant.

Cesaré regardait attentivement la salle remplit pour la plus part de fier gaillard qui était habituer à sa présence et qui fessait comme si il était quelqu'un de normal, en faite ils avaient tous compris que le Don n'était pas à déranger pour des cacahuètes et surtout chose pour laquelle il leur reconnaissant c'était qu'ils le craignent ou le respecte il fessait pas de cérémonie inutile en sa présence car il venait les voir certes mais ce n'était pas un rassemblement général avant de partir en guerre juste une visite de courtoisie donc il n'avait pas à interrompre leur activité plus de quelque instant par respect pour lui et non tout un cérémonial long et ennuyeux.

Cesaré après avoir détailler tous le monde avait vu de tous quelque craintif qui le découvrait, des mecs fier qui fessait en sorte de rien laisser paraitre, d'autre respectueux qui lui fessait un signe de tète dès que leur regard croisait le sien mais ce qui attira encore plus son attention c'était un jeune accoudé au comptoir qui venait de descendre cul sec son verre et ce rongeait les ongles, nul doute que celui-ci était complétement stresser par la présence de Cesaré et ce fut sur lui que s'arrêta le choix de Cesaré, il n'en savait pas la raison, il en imposait pas le gaillard peut être qu'il rappelait à Cesaré certain de ses hommes à qui il avait donner un petit coup de pouce en les voyant trop stresser et qui finalement c'étaient révéler comme des homme d'une grande valeur ou alors peut être que Cesaré avait la flemme de marcher et qu'il avait prit inconsciemment le plus prêt.

Cesaré ce leva donc de son tabouret et après l'avoir prit à la main ce dirigea vers le jeune homme et posa d'un mouvement sec le tabouret qui claqua sur le sol et il s'assit, tout d'abord son regard détailla le jeune pour finir par fixer le regard de celui-ci après quelque minute Cesaré sortit son paquet clope et en sortit une qu'il s'alluma dans la foulée et tout en expulsant la fumée en de petit rond de fumée il prit la parole d'un ton froid qui lui était coutumier :

" Mon gars détend toi et cesse de te détruire les doigts comme sa, si tu stresse autant devant moi qui ne suit qu'un seul homme certes un hommes important par mon statut mais je suis seul, imagine ce que ce sera lorsque tu partira au carton ou lorsque l'on te confiera une mission dangereuse, regarde autour de toi prends en de la graine et fait comme eux vis ce jour comme si c'était ton dernier, ainsi tu n'aura rien à regretter si la grande faucheuse viens te prendre prémutarrement ...... tu n'as rien à craindre de moi t'en que tu m'obeis, me respecte et que tu tente surtout pas de me doubler comme certain l'on déjà tenter. "

Cesaré passa sous silence le faite que si il avait un quelconque doute sur sa fidélité il lui ferait subir l'enfer à tel point que lorsque la mort viendra le prendre il en sera heureux, Cesaré n'avait pas envie qu'il fasse une simcope non plus, les menaces sa serait pour plus tard pour le moment c'était le moment de la connaissance, Cesaré finit par pousser son paquet de clope vers son subordonner d'un geste vif et il dit :

" Allez laisse tes ongles en paix, respire un bon gout grille toi en une et raconte moi ce que tu fait dans le clan et ce qui t'y a amener, je suis certes le Don de cette ville mais là tu n'est pas dans l'un de ses rassemblement je t'envoie pas à l'abattoir non plus, alors considère cette entretient comme ....... le moment pour présenter tes doléance et poser les questions qui te brule la langue. "

Cesaré avait bien peser tous ses mots pour ne pas trop impressionner son interlocuteur mais cependant il posait tout de même ses limites il était son supérieur pas son pote de beuverie, il essayait par ce moyen de ce montrer un minimum humain car la confiance de ses hommes était pour lui quelque chose de primordial et il préférait sa à la crainte ce qu'il réservait à ses ennemis, il avait bien l'intention de faire renaitre le véritable esprit des italiens qui avait été ternis par ses affrontement absurde.

Cesaré détailla attentivement tout les geste de l'homme qui l'accompagnait dans sa conversation et il vit qu'il fessait de réel effort pour ne plus paraitre stresser mais pour un homme tel que lui qui savait quand on lui mentait il était plutot une chose aisé de voir si l'on avait quelque chose à lui cacher mais la ce n'était pas bien grave et facilement pardonnable même si il en avait guère envie car le Don voulait une famille unis et fière donc plutot que de lui faire les réprimande qui n'attendais que de sortir de sa bouche il lui laissa quelque instant pour ce caler et profita ainsi de ce moment pour finir de vider son verre et il reporta enfin son attention sur le jeune homme qui tirai ses première bouffer de nicotine à plein poumons pour faire redescendre le plus rapidement possible son niveaux de stress, Cesaré aussi prit lui aussi une bouffé de fumée qu'il laissa tout doucement sortir de sa bouche pour la réaspisprer aussi sec et la fit finalement ressortir par ses narines, il attendait patiemment une chose rare d'ailleurs mais il attendait que son subordonné soit en état de lui répondre et surtout qu'il prenne la parole ce qui ne tarda point.

Cesaré écouta attentivement le timbre de la voie de son interlocuteur ainsi que les paroles qu'il prononçai et il remarqua tout d'abord que celui-ci était apaisé apparament la nouvelle recrue avait retrouver son calme et il s'adressait d'un ton qu'il convenait de dire respectueux pas un mot au dessus de l'autre bref un ton qui ne convenait pas à une jeune recrue, Cesaré avait plutot l'habitude de les voir enjouer d'être accepter dans le clan car ce n'était pas à la portée du premier venue et même face à lui il laissait exploser leur joie et les raisons de sa venue qu'il évoquait n'était pas des plus convaincante, sa donnait plus l'impression que Cesaré parlait à un immigrer qui recherchait ses racines plutot que d'un homme pret à en découdre pour hisser son clan au sommet mais après tout il faut de tout pour faire un monde et Cesaré ne jugeait que très peut ses hommes à leur parole mais plutot à leurs actes en situation de crise et après si il était métisser connaissait t-il vraiment les coutumes Italienne surtout qu'il était comme un nouveaux né au milieux de ce monde de gangster, mais après si un chef de division était aller le chercher c'était surement pasqu'il en valait la peine et tout n'était pas négatif il avait tout de même prit le temps de réfléchir avant de ce lancer dans cette aventure et sa c'était une preuve qu'il était quelqu'un de réfléchit et Cesaré seul savait à quel point le clan en avait besoin car il y avait bien trop de fonceur il fallait quelque calme pour parfois modérer leur ardeur, Cesaré finit donc par reprendre la parole de son détaché et glacial habituel :

" Tu es donc à la recherche d'une nouvelle famille pour t'épauler et te protéger dans cette ville je devrai peut être donc te tuer ...... pour te faire renaitre car tu l'as trouver en ces lieux et je serai comme un père pour toi je m'arrangerai pour qu'il ne t'arrive pas trop de bricole mais je serai la aussi pour te punir lorsque cela sera nécessaire par contre à la différence d'une famille aimante et attentionner nous ne pardonnons pas et tout manquement au règles fera peut être de toi un nouvel exemple de ce que beaucoup appelle ma cruauté je te le dis calmement pour le moment mais je ne le répéterai pas donc ne l'oublie pas. Tu as donc été incorporer dans les rang d'un de ses clans et j'ai surement tuer ton patron dans ce que les journaliste comme toi aime à appelez le noël sanglant cela ne te pose aucun problème ? et si cela fessait plusieurs années que tu soit dans ce clan ou sous les ordres de ce chef n'aurait tu pas préférer tenter de me tuer ou mourir avec ton chef plutot que de passer sous mon commandement ? sa c'est des questions importante te les ai tu poser au moins et surtout j'en ai marre de parler à un inconnu alors qu'il est sous mes ordres donc comment te prénomme tu ? "

Cesaré 'avait que trop parler et sa cigarette arrivait en fin de vie il tira donc rapidement une dernière latte sur celle-ci avant d'aller l'écraser dans le cendrier d'un geste lent et précis puis il laissa quelque instant au jeune homme pour qu'il puisse bien assimiler et tout ce qu'il avait dit et aussi pour qu'il est le temps de préparer ses réponse et enfin il désigna du doigts l'un de ses gardes du corps accouder au comptoir à quelque mètres d'eux, il était habiller de façon plutot chic au trait fin et jamais l'on aurait put croire que c'était un Italien et encore moins un gangster si l'on ne l'entendait pas parler dans la langue maternel d'une bonne partie de l'assemblé présente ici et ce avec un accent irréprochable et surtout ses yeux était braquer constamment sur les arrière du Don et sa man glisser dans sa veste tenant probablement une armes quelconque et Cesaré repris la parole une fois de plus :

" Pour tes racines ne t'en fait pas lorsque l'on accepter parmis nous c'est jusqu'a la mort et cet homme en est la preuve vivante, il n'est pas Italien de souche mais métisser comme toi et pourtant c'est lui qui surveille mes arrière cela fait maintenant 13 ans que l'on ce connais et même si l'on ne le croirai pas Italien au premier regard il l'est surement plus que nombre de personne ici, il m'a sauver la vie je l'es sauvé aussi bref il a fait ses preuves et sa fidélité n'est plus à prouver, tout sa pour dire que parmis nous seul tes actes et ton état d'esprit compte après tes origine ton passé c'est secondaire dis toi que ta vie commence ici et qu'elle s'arrêtera lorsque tu commettra un impair. "

Cesaré repris ensuite un autre verre laissant le temps au jeune homme de poser ses questions que même si elle était on ne peut plus pertinente certaine dérangeait Cesaré il était bien trop curieux à son gout et surtout il n'était pas assez gradé ou ancien pour ce permettre de les évoqué décidément il allait devoir garder un oeil sur lui car même si il aimait les gens capable de dénicher des informations, Cesaré n'aimait pas que ceux-ci viennent tenter de glaner des informations sur le clan même si c'était simplement pour satisfaire leur curiosité ou leur soif d'en apprendre plus sur les rouages de ce qui était pour la plupart leur vraie famille et il répondit donc d'un ton sec :

" Pour ce que l'on pourrais faire de toi ne te trompe pas sur comment tourne le clan, tu peut tout faire c'est à toi d'utiliser tes moyens et tes points fort pour aider le clan et non au clan de trouver comment utiliser tes aptitude certes nous le ferons mais je ne suis pas la pour distribuer les taches à tout le monde il vous faut prendre des initiatives et chercher à vous améliorer pour la grandeur des italiens, pour les deux autre questions je ne répondrai tout simplement pas le devenir du clan tu sauras bien assez tot de quoi il en retourne et la deuxième il te suffit de te renseigner c'est ce que tu fait de mieux à ce que j'ai compris parle un peut avec tout les italiens présent ici, ils pourrons te renseigner. "

Cesaré avait été un peut brusque mais la il posai l'une des première barrière le devenir et la politique du clan envers les autre mafia ne regardait que quelque personne et non pas les hommes tout en bas de l'échelle eux ils seront avertit bien assez tot, Cesaré bu une petite gorgée de Scotch pour s'humecter les lèvres qui c'était tout de même quelque peut dessécher à force de parler et continua à analyser son voisin de comptoir.

Cesaré écouta avec intention tout ce que Francis avait à lui dire et lorsqu'il eut finit il constata certes qu'il avait donner son avis sur le clan mais surtout qu'il avait prit grand soin d'éviter de répondre aux questions que son supérieur le lui avait poser, c'était bien un écrivain de belle et longue phrase capable de charmer beaucoup de monde mais pas assez fou apparament pour aborder le sujet le plus épineux et aux yeux de Don le plus important et d'ailleurs il n'avait guère apprécier de lire les journaux qui parlai de ce jour funeste ou le sol de la ville c'était teinter en rouge car même si quelque uns devait mourir d'autre était juste trop fier pour ce soumettre à une autre autorité et ils était mort pour sa malgré le faite que certain était des hommes de valeur et surtout des italiens et au final il était mort pour servir ses objectifs et rien d'autre, Cesaré était un homme qui n'aimait pas ce répéter mais il aimait aussi qu'on réponde à ses questions et vu qu'il avait affaire à une jeune recrue il ce décida à reformuler ses questions ses questions exceptionnellement :

" J'ai ton avis sur le noël certes mais tu as omis de répondre à mes questions donc je te les redits Francis, j'ai tuer ton ancien chef cela ne te pose aucun problème ? et si cela fessait plusieurs années que tu soit dans ce clan ou sous les ordres de ce chef n'aurait tu pas préférer tenter de me tuer ou mourir avec ton chef plutot que de passer sous mon commandement ? Quand au noël sanglant à part les plus grosse crapules des chef de clan que j'ai tuer pour moi j'ai tuer des frères pour assoir ma domination et c'est quelque chose qui n'est pas vraiment glorieux mais ce fut un mal nécessaire que je regrette mais que je referait sans hésiter si cela devait l'être. "

Sur ces mots Cesaré s'alluma une nouvelle clope un visage toujours impassible à croire qu'il ne ressentait aucun sentiments ou émotions mais bon sa ce n'était qu'en partit vrai mais le peut de sentiments qu'il ressentait il ne le montrait pas et pour quelqu'un comme lui qui respecte à la lettre le code d'honneur de la Mafia Italienne avoir à tuer des Italien pour la simple raison qu'il était un obstacle qu'il devait franchir le peinait mais si il c'était mit à larmoyer ou même de dire qu'il regrettait pour quoi serait t'il passer devant ses hommes, pour un faible d'esprit ronger de remords tout simplement, même si ce n'était présentement pas le cas, son coeur il ce l'était forger au fils des année et il avait réussit à le laisser quelque peut ouvert pour ne pas être une pierre tombal non plus mais le peut qu'il ressentait il le cachait c'est la règles numéro un pour diriger ni remord, ni regret et ni faiblesse si l'on ne veut pas que le premier venue ce serve de sa pour nous faire mettre un genoux à terre et sa pour le moment c'était la dernière chose qu'il voulait car sa ne ferrait que relancer les guerres de clan.

Cesaré attendait donc patiemment une quelconque réponse à ses questions de la part de la nouvelle recrue tout en tapotant e rythme du doigt sur le comptoir essayant d'imaginer ce qu'un intellectuel comme Francis pourrais bien lui sortir et surtout comment, lorsque Cesaré en eut marre de ce torturer l'esprit pour pas grand chose il redemanda un verre d'un geste de la main cette fois et réfléchissait aussi à quel poste attribuer à cet homme qui ne semblait en avoir aucun d'ailleurs, nul doute que si il aimait enquêter il finirai dans la division de renseignement sous les ordres d'Alessia mais il fallait aussi à réfléchir à une couverture pour sa tout en lui permettant d'avoir une position qui pourrait être avantageuse pour le clan bien évidement chose qui n'était pour le moment pas facile et il préféra laisser la question de coté pour le moment et continuer la conversation :

" Dis moi qu'attend tu du clan a part une famille bien sur quel est le rèves que tu compte réaliser dans ta vie et qu'est ce que tu es capable de faire pour le réaliser surtout, il faut avoir un rèves dans la vie c'est ce qui permet de vivre plus longtemps et de ne pas errer comme une âme en peine ou un corps sans cerveau et la mafia apporte générallement ce qu'il faut pour l'atteindre, alors as tu besoin de gloire ? de richesse ? de pouvoir peut être ? de protection sinon ? comment vois tu ta vie quoi et surtout comment vois tu ton évolution dans le clan ? "

C'était des questions importante pour Cesaré car un homme attirer par l'argent ne serai pas trop difficile à tenir t'en qu'il n'était pas trop gourmand mais un homme ambitieux et qui n'a pas le profil qu'il attendait de ses hommes lui il était dangereux et il fallait s'en méfier comme de la peste et un homme qui dit ne rien vouloir c'est un menteur qui a quelque chose à cacher car tout le monde aspire à quelque chose exception faite des simple d'esprit qui sont heureux en regardant les papillons voler.

Cesaré attendait tranquillement une quelconque réponse à ses questions de la part de Francis, il fallait avouer que lui il était très loin d'être stresser, il était même parfaitement détendu, pas de flic à l'horizon son prochain chargement d'arme qui allait arriver et pour le moment seul les convoyeur et lui même était au courant donc tout devrai ce passé sans aucun problème du moins il l'espérait on ne sait jamais à l'avance si le destins s'en mèllait sa pouvait aller il pouvais tous faire capoter et Cesaré préférait envisager toutes les éventualités possible et imaginable sa lui évitait d'être trop confiant et surtout d'avoir de mauvaise surprise car personne n'est à l'abri d'un quelconque problème qui pouvait foutre en l'air tout un plan bien conçut et pour le moment pour la nouvelle recrue le scénario catastrophe qu'il envisageait c'était que ce soit une taupe travaillant pour les américain même si ceux-ci ne ferait jamais sa n'empêchait pas Cesaré de l'imaginer mais sans plus pour le moment.

Cesaré ce mit à écouté attentivement Francis lorsque celui-ci repris la parole et ce fut avec déception qu'il constata que celui-ci repoussait encore une fois l'instant fatidique ou il devait répondre aux questions que son supérieur lui avait poser comme si il redoutait quelque chose mais Cesaré écouta cependant la conversation sans pourtant être à fond dedans car ce n'était pas pour lui le primordial, c'était juste pour faire la conversation dirons nous et cerner un peut le gars qui lui fessait face, c'était ce qu'il appelait une bleusaille, il avait pas encore remarquer dans quoi il avait mit les pieds et après il n'avait pas vraiment d'ambitions il ce contentait de suivre le courant bref pas dangereux, utile quand on l'encadrait bien mais sans trop de prise d'initiative bref de la matière brute à modelé selon ses envies et Cesaré lui répondit aussitôt sa tirade finit :

" Un rêves comme un autre et même plutot unique mais tarde pas trop on a tendance à pas ce faire de vieux os dans ce milieu et si tu crois que la richesse que j'ai accumulé, le pouvoir et la renommé fait de moi quelqu'un d'invulnérable détrompe toi ce genre de chose fait plutôt de toi une cible à abattre mais sa apporte certains avantage qui ne sont pas négligeable surtout lorsque l'on veut éduquer une petite famille à l'abri du besoin. "

Cesaré voulait faire comprendre à Francis qu'il devait vite vivre sa vie si il voulait en profiter et surtout qu'un peut d'ambition ne fessait pas de mal surtout si il comptait pas rester au bas de l'échelle à obéir aux ordres comme un simple pion, bon d'un autre coté rien ne garantissait qu'il réussisse à prendre du galon ils ne serait pas le seul à le vouloir et il y avait déjà sur les rangs des gens bien plus ancien que lui attendant une petite promotion. Cesaré fut dans un sens soulagé d'entendre Jefferson reprendre la parole pour attaquer le sujet qui l'intéressait, il aurait été regrétable que Cesaré soit obligé de lui faire bouffer le comptoir puis le parquet pour lui faire comprendre qu'il n'aimait pas ce répéter et encore moins attendre alors que c'était seulement leur première rencontre, Cesaré éteignit sa cigarette et plongea son regard froid dans celui de Francis et resta ainsi tout le long de la conversation et une fois finit tout en restant ainsi il prit la parole d'un ton vraiment froid à faire pâlir le pire des sans coeur présent dans ce bar :

" Donc toi tu es le genre de personne qui ne respect que le coté fidélité aveugle et tu préfère défendre un homme qui transgresse toute les autre règles de notre code qui tue des anciens compagnon pour assoir son pouvoir contre un homme comme moi qui sera la pour redresser la barre, bref tu réfléchis pas et tu aurais compter parmis les morts de ce triste jour sans en connaitre la raison, si tu préfère défendre un mec qui respecte pas les règles établit c'est que tu ne connais pas encore bien les coutumes de ta moitié Italienne et qu'il te reste bien des chose à apprendre, donc arrête de faire le mouton j'en veut pas parmis mes hommes pense par toi même respecte les ordres certes mais évite ceux qui ne suivent pas notre ligne de conduite. Il vaut mieux mourir dans l'honneur que de vivre dans le déshonneur. "

Cesaré arrêta de fixer Francis et repris une gorgée de whisky avant de dire d'un ton plus doux qu'avant :

" Et sinon tu as des missions qui te son assigné en ce moment ? un job qui te sert de couverture ? "

Cesaré écouta Francis et ce rendit compte que le pauvre n'avait vraiment pas été aiguiller vu la couverture qu'il avait car peut de journal en faites un seul dans toutes la ville ce permettait de lancer des enquète sur les mafia afin d'en ressortir des scoop et vu comme il parlait du sien nul doute que ce n'était pas celui-ci, et Cesaré devait remédier à sa il devrait surement verser quelque pot de vin ou alors faire jouer quelque contact mais il fournirai à cet homme qui ce servait plus de sa plume que son arme une couverture digne de ce nom afin qu'il puisse enquêter sur autre chose que des clans à la petite semelle qui luttait pour faire passer quatre caisse d'alcool, Cesaré esquissa un sourire et si cela avait été dans sa nature il aurait surement éclaté de rire à plein poumon quand il l'entendit dire qu'il était téméraire et que cela lui avait attirer des ennuis lorsqu'il mettait son nez à droite à gauche et c'était à ce moment qu'on ce rendait vraiment compte que Francis était vraiment un bleu dans le monde du crime car si il avait vraiment mit son nez dans des affaires de grande envergure il ne serait pas là en ce moment mais plutot à la morgue ou au cimetière et il répondit aussitot que Francis eut finit sa tirade :

" Tu peut te considérer comme étant virer de ton journal de seconde zone ... demain tu commence au Chicago Times à la première heure je vais te donné les moyens de vraiment foutre ton nez partout vu que c'est ce que tu souhaite apparamment mais la tu n'auras pas le droit à l'erreur contrairement à avant, si tu te fais choper à enquêter sur de grosse affaire d'un gros clan tu peut me croire tu t'en sortira pas avec de simple cicatrice ou un nez de fracasser, tu rentre dans la cours des grand maintenant et un faux pas te mènera plutot au cimetière qu'a l'hopital te sent tu prêt ? "

Cesaré posait cette questions que par pure politesse car quelque soit la réponse il ne lui laisserait pas le choix, son clan ne trainerai aucun poids mort t'en qu'il en sera le dirigeant et donc même le gars le plus insignifiant devra retrousser ses manches pour aller au charbon et ainsi ne pas stagner sans rien ramener au clan d'utile, Cesaré mettait tout le monde à la même enseigne et attendait de grande chose de tous et sa il savait le faire voir même à un aveugle si cela était nécessaire. Cesaré ce mit à jouer avec un dollars d'argent le fessant rouler sur ses phalange tandis que la nouvelle recrue avait une fois de plus prit la parole pour exposer son opinion quand à l'avenir qu'il voyait pour lui dans le clan.

Cesaré lui ne voyait qu'une chose c'est que cette homme ne ce voyait aucun avenir pour le moment et lui racontait un peut sa vie en lui disant qu'il avait des problème financier pour entretenir tous ses informateurs et de ses problèmes de chauffage et même si Cesaré était un Don proche de ses hommes il n'avait que faire de ce problème métaphysique il n'allait pas augmenter l'un de ses hommes uniquement pacque celui-ci avait eu les yeux plus gros que le ventre et dilapidait ce que lui rapportait la revente de ses informations, si jamais il en revendait bien sur pour Cesaré le problème était on ne peut plus simple si ses informateur lui coutait trop cher il devait arréter de les payer et les rosser sa lui reviendrait bien moi cher et surtout le résultat serait le même car lorsqu'un homme à peur ou vraiment mal il racontait tout même ce que l'on ne voulait pas savoir.

Cesaré fut aussi déçut que ce jeune homme ne c'était pas lui même prit en main pour ce trouver une division ou tout du moins un groupe dans lequel évolué ce qui fessait de lui ce qu'on pouvait appeler un free-lance et ce malgré le faite qu'il était apparament conscient du faites qu'il devait prendre des initiatives et surtout il ne répondait apparament aux ordres de personne ce qui voulait dire dans l'esprit de Cesaré qu'il en avait surement pas fait le moindre truc car il y avait personne pour le guider. Cesaré arrêta de jouer avec sa pièce il la fit sauter en l'air et la rattrapa au vol avant de prendre la parole :

" Tu seras affecter à la division de renseignement sous les ordres de Chiodaro Aléssia, elle te communiquera tes missions et je pense que ce n'est pas la peine de chercher à la rencontrer c'est elle qui te trouvera si elle le souhaite et tout comme moi elle ne pardonne pas l'échec surtout que tu part avec un gros handicap bref tiens le toi pour dit et agit en conséquence et tache de ne pas le décevoir. Si tu as une autre question vas y sinon je vais me retirer des affaires m'attendent. "

Don fit signe à ses deux garde du corps de ce préparer à bouger car cela ne devrait pas tardé chacun vidèrent rapidement leur verre et ce levèrent de leur tabouret qui raclèrent le parquet bien cirer du bar dans un petit cri grave.

[HRP : fallait me prévenir que tu était la logiquement ce post était finit ^^ et je l'ai pas vu.]

Cesaré s'apprétait à partir de la grande salle pour rejoindre son bureau accompagné de ses gardes du corps pour rejoindre les affaire du clan tout du moins ce qu'il projetait de leur faire faire quelque chose couvait en ville cela fessait bien trop longtemps qu'il ne c'était rien passer et nul doute que la tension accumulé finirai par exploser et que cela ferrait du grabuge, Cesaré était persuader d'après les rapport d'activité qu'on lui fournissait que chaque clan préparait quelque chose et même si il ne savait pas encore de quoi il s'agissait ni même sur qui sa serait diriger il était sur d'une seule et unique chose les clans mafieux n'était pas du genre à ce taire sans raison et surement que chacun voulait attirer le moins possible l'attention pour que personne ne vienne mettre son nez dans leur affaire. Cesaré fut rejoint par un homme qu'il reconnu tout de suite vu que celui-ci l'avait grandement aidé durant sa prise de pouvoir et ce n'était autre que Lucio l'homme que le Don avait catapulter chef de la section armement pour les services qu'il lui avait rendu, cet homme empoigna les mains du Don et lui fit la bise, Cesaré était quelque peut surpris de la familiarité que s'autorisait Lucio surtout devant une bonne partie de ses hommes et fronça les sourcils mais ne dit rien il ne souhaitait pas détruire l'image de l'autorité que représentait Lucio devant tant de personne, cependant il ne manquerai pas de lui faire remarquer à l'occasion que les gestes de familiarité comme ceux-ci ne devait ce produire seulement et surtout uniquement en privée et pas devant une tel assemblé mais le regard glacial qu'avait Cesaré devrait largement suffire à lui faire comprendre ce qu'en pensait son supérieur.

Cesaré ne put donc pas rejoindre son bureau et il ne voulait pas non plus invité son officier à le suivre pour la simple et bonne raison que ce qu'il préparait devrait rester secret jusqu'au dernier moment afin d'éviter toute possibilité de fuite et surtout de contestation ce qui l'énerverait au plus haut point donc une fois que son carré d'officier supérieur serait au courant de ses objectifs et plan il ne pourrait que discuter la méthode et encore pas tout les points il serait au pieds du mur et serrai forcer donc d'appliquer les ordres pour le bien de la mafia Italienne et donc lorsqu'il l'invita à prendre un verre de Grappa Cesaré accepta ainsi il pourrait savoir ce qui l'amène en ces lieux.

" Pour la Sicile je resterai toujours alors prend place et buvons, sinon je suis bien plus souvent présent dans ses murs que tu ne peut t'en douter aparament et ce n'est pas parce que l'on ne voit pas en salle que je ne suis pas dans le coin après tout c'est surement l'endroit le plus sur pour moi après l'ambassade tout mes frères d'armes sont la certains sont de bon éléments, d'autres sont encore meilleur ils faudrait être suicidaire pour tenter une percer la dedans afin de m'atteindre mais toi qu'est ce qui t'amène en ces lieux ? "

Le barman amena les verre de Grappa tandis que Cesaré prenait place une fois de plus au bar avec ses gardes du corps non loin qui reprient leur activité de surveillance.

le 10 janvier à 10H30 du matin


Lucio fut mal à l'aise après le regard du Don sur lui, ce n'était pas de la familiarité qu'il voulait montrer mais du respect, faire la bise au Don est une grande marque de respect pour ceux qui ont la chance de le connaitre plus personnellement. IL le suivit vers le comptoir déposant son béret à un petit crochet situé près de la porte. Après s'être assis en face du Don. Il bu un coup de sa grappa dont il fit un clin d'oeil au barman, il pris une cigarette et la mit en bouche, puis un autre avant de la déposer devant le verre du Don. Il se l'alluma de son zippo et le déposa à son tour à côté de la cigarette offerte.

rien de bien intéressant je venais juste faire un petit tour voir qui il y avait et puis je vous ai vu alors je me suis dis que j'allais resté pour avoir votre compagnie qui n'est jamais déplaisante

Il tira une longue bouffé sur sa cigarette avant de recracher la fumée vers le plafond

d'ailleurs je voulais justement vous voir ça tombe bien. j'avais en tête d'aller faire un tour au restaurant américain au sud de la ville mais vu que je dois prendre le train de little italy j'en aurais surement pour une grosse partie de la journée et il faut que je sache si vous avez besoin de moi ou si je peux partir dès maintenant.


[i]il regarda les 4 gardes autour de lui et fumant tranquillement sa cigarette en attendant la réponse du Don. Il était détendu, cela faisait un petit moment maintenant qu'il connaissait Césare et n'était plus impressionné comme peut l'être un petit nouveau qui le rencontre. Bien sur il avait plus de respect que beaucoup de monde à son égard ça c'est sur, il n'aurait jamais fait intentionnellement tord au Don.


( HRP: bah je trouve que ce sujet devrait toujours resté ouvert c'est un petit tour au bar donc tout le monde y vas quand il veut avec la dame et l'heur pour s'y retrouver /hrp )

Césaré écoutait son officier responsable de l'armement qui avait l'air de ce rendre compte que son geste n'avait pas été le bienvenue, le Don n'avait jamais apprécier ses marques de respect qui était pour lui que bien trop familière et qui ne rimait à rien certes sa existait dans les coutumes Italiennes mais lui il ne les utilisait qu'en comité restreint et surtout pour les grosses affaires sinon il préférait une bonne poignée de main viril à tous ces gnangnan plus qu'inutiles après tout si il voulais prouver son respect qu'il le fasse par des actes concret plus que tout autres choses il y avait suffisament de moyen pour sa, plutot que lui faire la bise devant tant de témoins. Césaré cultivait son image d'homme impitoyable et il ne voulait pas avoir à faire d'exemple pour le moment donc il éviterai les trucs le fessant passer pour un homme qui laissait passer les erreurs ou que tout le monde pouvait approcher ainsi, pendant sa réflexion Luccio parlait et lorsqu'il eut finit Cesaré prit immédiatement la parole :

" J'ai toujours un peut de temps pour tout mes hommes, aussi bien les gradés que hommes ce trouvant au bas de l'échelle et même si j'apprécie ce petit moment de détente en ta compagnie je suis quelque peut présser par le temps de nouveaux arrivages commencent à approcher de la ville et je doit planifier sa et ce le plus rapidement possible afin de ne pas être prit au dépourvut et de pouvoir une fois de plus berner la police. Si tu souhaite aller dans le quartier américain libre à toi et n'oublie la réunion de ce soir à l'ambassade, ce fut un moment fort apréciable autour de ce verre mais je me doit de me retirer donc on parlera plus amplement ce soir."

Sur ces mots Cesaré ce leva puis vida d'une traite son verre de grappa qui lui avait été servit pis reposa le verre sur le comptoir en le claquant et sortit de la grande salle pour retourner en direction de son bureau suivit par ses gardes du corps.


[HRP : un peut cours mais c'est pour te libérer et l'on pourra ce parler plus amplement lors de la réunion que j'ai prévu pour tout mes officiers supérieur ^^.]