Allen Lawson Chef de la police solitaire et négligé
Feuille de personnage Points de vie: (40/50) Munitions: (60/60) Dollars: 60$ (140$)
| Sujet: Background du clan : «Tout commence maintenant» Jeu 13 Mar - 1:34 | |
| Background du clan : « Tout commence maintenant » « Dans le bureau du directeur »-Une page de journal arraché est sur le bureau- - Sur la feuille il y a écrit:
Le 5 juin 1931 : Nous avons enfin coincé Capone! Il est inculpé pour fraude fiscale. C'est un bon début, nous n'avons pas assez de preuves pour l'accuser du reste de ses crimes... Je suis heureux... Depuis le temps que je lui cours après... Je l'ai enfin attrapé! Nous allons fêter ça avec les collèges.
Le 7 octobre 1931 : Nous l’avons enfin jugé…Il est condamné à 11 ans de prison et 80 000 dollars d’amende… C’est peu pour ce qu’il a fait… Mais maintenant qu’il est condamné on devrait être tranquille. La ville sera plus paisible maintenant.
Le 11 Novembre 1931 : L’organisation de Capone semble avoir complètement disparus. La ville est plus calme… Nous recrutons doucement…
Le 15 Décembre 1931 : Nous pensions qu’en éliminant Capone du système son gangs s’évanouirait…Il était leurs génis du crime ! Le responsable de toute cette pagaille ! Seul responsable de cette corruption… Incitant les hommes a enfreindre la loi pour le pouvoir, la gloire et la richesse. Causant ainsi tant de violence en ville qui entraîna la corruption des politiciens… Maintenant je ne peux plus avoir confiance en personne. Même les forces de police sont corrompues, du moins une majorité, la minorité restant fidéle à nos principes de loi… Ils acceptent les pots de vins pour fermer les yeux ou jouer les indicateurs pour la plus offrante des mafias. Tous ceux en qui j’avais encore confiance parmi nos membres on rejoint la police militaire … Et je doit laisser ma place à un jeune. Personnellement, le membre le plus prometteur a me succéder sera mon fils : Allen… Si je venais à disparaître je veux que le chef de la police, ce soit lui. C’est anoté dans mon testament. .
Le 24 décembre 1931 : Bon nombre de chef de la mafia Italienne ont été tués lors d'opération coup de poing. Nous soupçonnons l'ambassadeur Italien de ne pas y être étranger.
Le 25 décembre 1931 : J’ai rendez-vous avec un inconnu qui aurait des informations à me donner quand au noël sanglant de la mafia Italienne… Je m'y rendrais vers 10h30. « Rencontre … » *Un pauvre vieux assit dans uneruelle proche du poste de police en plein centre du quartier… Une jeune personne vient l’interpeller et lui demande quelque renseignement sur la police en lui affirmant qu’il serai intéressé pour y entrer … Le vénérable, un peu ivre, lui répondit alors en lui indiquant une petite place où prendre place à côté de lui, sur sa couverture trouée, sale et puante. *
-Et bien, et bien… Vous voulez que je vous parle de la police ? Il n’y a pas grand chose à dire… Vous savez… De nos jours on ne sait pas trop ce qu’elle fabrique…Ils veulent nous protéger des mafieux mais les mafieux, même sans leurs chef, ils continuent leur activités….
-Vous vous souvenez sûrement de Al Capone … Cette affaire dirigée par toute la police de la ville et même de Miami! Ce fut Marvyn Lawson qui fut chargé de cette affaire…Les policiers c’étaient associé au Fisc pour coincer Capone. Ça fait seulement un an qu’il est emprisonné vous savez ? Les policiers n’étaient pas capables de prouver ses meurtres, ses trafics d’alcool, ses rackets… Pas de preuves solide et des alibis en béton…Ce pauvre homme….Il était chef de la police, il avait une femme et un enfant il me semble… C’est lui qu’a eu l’idée du contrôle fiscale et qui a permis a la police d’arrêter ce mafieux... Mais...*l’homme chuchota à l’oreille de la jeune personne* Il s’est fait assassiner…
-On raconte que c’est les hommes de mains d’Al Capone qui l’on exécuté parce qu’il a réussi à coincer leurs chef. Ça s’est passer le jour de noël… Pas de preuves pas de témoins… J’ai entendu dire qu’il marchait calmement dans une ruelle en rentrant chez lui lorsque c’est arrivé… Et hop ! Une balle dans la tète et 3-4 dans le dos… Il s’est écroulé sur le trottoir… Personne ne sait ce qui c’était vraiment passer ni qui avait fait ça. Peu de temps après j’ai entendu dire que Marvyn avait laissé sa place à son fil… Après… comment ça s’est passé dans le poste je peux pas vous répondre... J’ai juste vue le jeune homme passer de temps en temps… Brun, plutôt fin, portant des lunettes… avec un air toujours sérieux. Il me dit bonjour parfois de la main en arrivant au poste… Mais il ne m’a jamais vraiment adressé la parole… Il se nomme Allen je crois…
- Spoiler:
« le nouveau chef »10jours après la mort « mystérieuse » de Marvyn…Ça faisait maintenant une semaine que Allen n’était pas retourné au poste. La mort de son père lui était restée en travers de la gorge... Sa mère pleurait à chaude larme depuis l’enterrement. Il était incapable de la consoler et incapable aussi de se dire que son père ne reviendrai plus jamais à la maison. Cette pensée qui le traversa lui arracha quelques larmes de plus. C'était vrai, il avait perdu son père. Il savait que c’était lier à Capone. Une rage grandissait en lui. Comment ne pas écouter les hurlements atroces de son cœur… Il fallait qu’il retrouve l’assassin de son père! L’assassin de cet homme si grand à ses yeux, celui qui lui avait montré la voie à suivre… et celui qui lui avait donné la vie et tant d’amour. Il savait que s’il retournait au poste maintenant il serai promu chef sans même avoir à faire quelque chose… Son père l’avait décidé ainsi… Et tout le monde devait l’accepter… Allen se répétait qu’il n’était pas prés pour avoir tant de responsabilités… Ces quelques mots le crispèrent l’espace d’un instant : « c’est trop tôt » murmurait-il… « Beaucoup trop tôt»… Allen se tenait devant la fenêtre de sa chambre, il regardait la lumière de la lune au travers de ses volets… Il revoyait tous les souvenirs de son père…Le faisant souffrir un peu plus au fil du temps. Le jeune flic glissa sa main dans ses cheveux, cachant légèrement son oeil droit… Essayant de retenir ses larmes… son père lui disait souvent « Ne pleure pas Allen, un homme…ne devrait pas pleurer. »… Il ravala sa salive et ferma son poing en agrippant plusieurs mèches de cheveux sur lesquels il tira légèrement pour essayer de faire passer la douleur qu’il ressentait dans sa poitrine… Sans effet… Quelques paroles de son père raisonnaient dans sa tète… il les entendait comme si son père était encore là… « Allen, un jour tu prendra ma place » , « Dis moi mon garçon, que penses-tu de cette affaire ? », « mon fils… tu as vu juste, t’es doué tu sais », « je suis fière de toi, tu a réussi ton examen » , « alors comme ça t’es policier? Je suis fière de toi ! », « Allen, vient voir… regarde ce que c’est le travaille de chef de la police… », « Tu sais, tenir un journal intime n’est pas une honte… un jour je t’en offrirai un… » , « N’oublis pas… certains enfreignent des lois mais c’est seulement par protection… cherche les véritables coupables… Mais ne condamne jamais quelqu’un qui fuit un danger », « tu sais, tu doit d’abord être au service des gens et non les gens à ton service … »
Toutes ses phrases et tous ces conseils lui revenaient en boucle, il partit s’assoir sur son lit et regarda ses mains. « S’il m'a choisit, c’est pour une raison… il a toujours cru en moi… Alors pourquoi suis-je en train de fuir ? Si je ne suis pas retourner au poste ... Ce n’est pas seulement à cause de mon état… Mais par peur… J’en suis conscient… que trop bien même… J’ai…peur d’affronter les hommes du poste… Comment vont-ils réagir ? J’ai moins d’expérience qu’eux, je suis plus jeune et pourtant je vais être promu chef seulement parce que je suis le fils de Marvyn… Que dois-je faire …? » Il baissa la tète et enfuit celle-ci dans ses mains… Puis une phrase retenti dans sa tète : « Il faut que t’apprenne à te montrer fort Allen… » Il releva alors la tète « Il faut que tu te fasse respecter en tant que nouveau venu »…
- C’est vrai… il m’avait dit ça quand je suis entré à l’école de police…Il faut que je prenne mon courage à deux mains… Je pourrai les affronter aussi bien que quand j’ai fais mes preuves dans le service de patrouille… De toutes façon… Je dois trouver l’assassin de mon père…coûte que coûte…il faut que… je sois plus fort… »
Le lendemain Allen se rendit donc au commissariat, la rage au ventre et la conviction en plus. Une fois la porte passée, tout les regard se tournérent vers lui, il avait rêvé de cette scène… Et n’avait presque plus peur. Ce fut le chef adjoint qui le rejoignit devant la porte. Un silence lourd c’était installé… Allen se tenait droit et regardait l’homme en face de lui, puis le sergent et le lieutenant s’approchèrent. Allen paniqua l’espace d’un instant et essaya de ne rien laisser paraître, les trois hommes connaissaient son père. Et il devrait entretenir de bonne relation avec eux. Espérant qu’ils comprennent sa situation… Mais au lieu de ça… Le premier jour fut catastrophique. Sachant qu’Allen était le plus jeune, malgré sa carrière prometteuse et son ascension au sein de la police, les plus ancien refusèrent d’accepter son poste.
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