Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis |
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| La maison des parents de Chioko | |
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Auteur | Message |
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Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Lun 20 Avr - 3:58 | |
| Laissant Chiyoko s'installer confortablement sur sa jambe, loin de lui imposer un fort poids d'ailleurs, Francis lui sourit gentiment alors que la fouine se raccrochait à son épaule, se collant littéralement à lui pour prendre la parole à son tour :
"Merci Francis... En fait... En général quand un des rares garçons vient chez moi, c'est juste... Pour la soirée comme ça. Tu sais...."
Le voila bien loti, elle devait penser qu'il allait profiter d'elle pour un soir, comme les autres types qui venaient diner chez elle, cette soirée commençait vraiment à partir en brioche, comment pouvait-il être la, avec une jeune femme ravissante assise sur sa jambe, alors qu'il y a quelques heures encore, il éternuait comme un pesteux au Million Dollar Hotel ?
Continuant à observer Chiyoko sans rien dire, il avait quelque peu perdu son sourire, remplacé par un visage exprimant réellement une certaine crainte, en particulier lorsque celle-ci reprit le parole :
"Je veux dire... On peut être avec quelqu'un une soirée juste pour... comme ça. Mais... J'aimerais bien qu'avec toi... Ce ne soit pas juste comme ça... Je voudrais pas qu'on fasse ça et... que tu parte comme ça... Enfin tu sais... C'est que … Tu as une arme et tu sais te débrouiller, tu travail dans le journal ou je suis aussi et moi... ça fait pas longtemps que je te connais mais... Tu sais ce que j'ai dis tout à l'heure... Je.. J'aimerais bien être ta petite amie"
Si il y a une chose qui est sure, c'est que ce coup-ci, la fouine avait fait fort, déjà, le pauvre Francis devait supporter ses états d'âmes sur le fait qu'il allait surement finir au lit avec une femme qu'il connaissait à peine, mais avec ça, il était à présent question d'officialiser leurs relations, pas même douze heures après leurs connaissances, à ce rythme la, il seraient surement mariés à la fin de la semaine...
Rougissant sévèrement, le jeune reporter tenta de garder son calme, ce n'était pas la première femme qui passait dans sa vie, et, il faut bien l'admettre, il y avait peu de chances que ce soit la dernière, l'unique, celle qu'il attendait pour réaliser son rêve... Cependant, cette hypothèse n'était pas à laisser à l'abandon, Chiyoko était mignonne, elle était gentille, pigiste, l'air un peu timide, et surtout, il avait l'air de lui plaire, alors pourquoi ne pas encore griller quelques étapes, si cela pouvait l'amener plus rapidement vers son rêve...
- Eh bien... Tu sait... Cela me ferrait plaisir... Mais... Enfin... Même si on bosse au journal... Que je suis assez débrouillard... Qu'on se sent bien ensemble... En effet... On... On ne se connait pas depuis longtemps... C'est... C'est un peu tôt pour moi... Mais... Si tu reste tel que je te voit... Nous pourrons envisager... Plus...
Rougissant encore un peu plus, Francis se demandait surtout si Chiyoko avait put le comprendre entre ses balbutiements, ses hésitations et sa voix chevrotante, ensuite, venant d'autres questions, avait-il fait une grosse bourde ? Chiyoko allait-elle le jeter ? Allait-elle au contraire tenter de le violer en retour ? Ect... Quoi qu'il en soit, toutes ces questions tournoyait autour de notre pauvre jeune femme, devant également, à sa grande horreur, constater que ses afflux de sangs n'étaient pas seulement concentrés sur son visage... Mais également à l'étage du dessous, ce dont la fouine ne tâcherais pas de remarquer, soit pour s'en féliciter, soit pour s'en offusquer . | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Lun 20 Avr - 15:45 | |
| De la position qu'elle venait de prendre Chiyoko avait bien du mal à fixer Francis dans les yeux se contentant de le regarder de coté sa tête toujours contre l'épaule du jeune homme. Après les quelques mots qu'elle avait laissée filer hors de sa bouche le cœur du jeune homme se mit à battre un peu plus fortement dans son poitrine raisonnant dans le tête de la fouine cela avait du lui faire un certain effet ce qui mit la jeune femme un peu mal à l'aise sont estomac se serrant dans son ventre. Vous trouverez peut être cela stupide cette gêne qu'elle ressentait mais ce n'était pas vraiment ce que vous pouvez vous imaginer.
Si Chiyoko se sentait mal à cet instant ce n'était pas du tout à cause des mensonges qu'elle avait servit à Francis, encore moins à cause des petites attention qu'elle lui avait prodiguée, mais uniquement de peur de perdre cet homme qu'elle voyait comme un source d'information assez importante, comme un bon coup au lit aussi pouvant lui faire oublier pendant un temps Johanna et sa stupide idée d'être contre son homosexualité qui le rongeait de l'intérieur. Francis prit alors la parole sur un ton un peu déconcertant puisqu'il resmblait presque en tout point à celui que Chiyoko avait utilisée peu avant, à croire qu'elle n'était pas une si mauvaise timide...
- Eh bien... Tu sait... Cela me ferrait plaisir... Mais... Enfin... Même si on bosse au journal... Que je suis assez débrouillard... Qu'on se sent bien ensemble... En effet... On... On ne se connait pas depuis longtemps... C'est... C'est un peu tôt pour moi... Mais... Si tu reste tel que je te voit... Nous pourrons envisager... Plus...
La petite pigiste releva la tête, décollant celle-ci de Francis pour remarquer sans mal les joues rougies du jeune homme. Alors il n'était pas contre envisager quelque chose avec elle, mais pour cela elle devrait attendre... Attendre c'était tout un travail qu'elle savait parfaitement exécuter en temps normal comme lorsqu'elle avait suivit l'amant de Mariko la veille mais cette fois là il s'agissait d'une attente qu'elle aurait bien du mal à soutenir Francis ayant déjà émoustillé ses sens et son désir d'aller plus loin... Il semblait par ailleurs que le journaliste ne soit pas des moins apaiser lui non plus au vu de la protubérance bien apparente dans son pantalon la fouine ayant fait son petit effet apparemment. Essayant de se détendre un peu, chose dans sa position qui n'était pas facile, Chiyoko se leva s'écartant un peu de Francis pour faire quelques pas réfléchissant à tout ça essayant de se calmer mais surtout de calmer ses ardeurs.
*Alors il me trouve bien comme ça comme il voudrait que je reste comme ça, mais ça va être chiant de jouer la pauvre petite effarouchée tout le temps... En même temps je pourrais très bien l'obliger à coucher avec moi ce soir et puis changer après mais... Si je fais ça il risque de partir aussi vite qu'il est arrivé et je n'aurais rien gagnée... Donc il faut que je reste comme ça le temps qu'il veille de moi et après je pourrais changer un peu comme ça il se dira que c'est lui qui m'a fait changer... Mais combien de temps ça va durer ça... Et puis il a envie de voir suffit de regarder son entre jambe ça va exploser là... Ils sont compliqué les garçons, c'est pas possible pourquoi faut qu'il soit comme ça lui...*
Se retournant vers Francis la jeune femme se replaça contre lui à califourchon sur la jambe qu'elle occupée peu avant rapprochant sa bouche de l'oreille de Francis pour y murmurer timidement quelques mots alors que son genoux flirtait avec l'entre jambe de Francis à cause de la position qu'elle avait prise.
"D'accord... Je veux bien attendre que tu m'aime aussi Francis... Je sais que... C'est un peu rapide mais... Tu sais, je suis certaine que je t'aime moi... regarde..."
Alors qu'elle finissait sa phrase Chiyoko prit doucement la main de Francis pour venir la poser juste au dessus de son sein pour que celui-ci puisse sentir la cœur de Chiyoko battre la chamade devant une telle proximité avec le jeune homme. Attendre pour qu'il soit d'accord de sortir avec elle ne voulais pas forcement dire qu'il ne pouvait pas craquer dès aujourd'hui et passer la nuit avec elle ce qui pouvait lui ouvrir les yeux sur l'"amour" que elle avait à lui fournir et qui sait précipiter sa réponse... | |
| | | Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Mer 29 Avr - 19:53 | |
| Attendant patiemment la réaction de Chiyoko, celle-ci ne se fit pas vraiment attendre, relevant le visage, elle reste la à le fixer du regard alors que le reporter avait de plus en plus de mal à dissimuler sa gêne vis à vis de ses instincts un peu plus directs que sa pensée lorsque enfin, la pigiste se releva de sa jambe, ce qui eut deux conséquences, la première, un certain apaisement, cette proximité enlevée, le jeune homme pouvait tenter de calmer un peu ses ardeurs, la seconde, une certaine inquiétude vis à vis de ce geste, elle ne lui avait pas simplement dit "D'accord", sur un ton déçu ou sure d'elle, elle était la, à réfléchir, comme si... Elle pesait le pour et le contre... Quoi qu'il en soit, le reporter, ayant un peu difficile à savoir ce que Chiyoko pouvait bien penser, se contenta de rester là, assis, tâchant de rester calme alors que la fouine plongeait en pleine réflexion .
Un court instant passa, durant lequel Francis s'appliqua du mieux qu'il put à renvoyer ses afflux de sang dans le reste de son corps, tout cela pour voir finalement ses efforts réduits à néant lorsque la jeune femme revint se poser sur sa jambe, causant un nouvel afflux de sang, tout aussi puissant, qui gêna terriblement Francis alors qu'elle reprenait enfin la parole, enfin la parole... En lui susurrant doucement à l'oreille d'un air timide, tout pour charmer notre cher reporter quoi :
"D'accord... Je veux bien attendre que tu m'aime aussi Francis... Je sais que... C'est un peu rapide mais... Tu sais, je suis certaine que je t'aime moi... regarde..."
Sentant sa main droite prise et soulevée, son regard fut immédiatement attiré vers celle-ci, jusqu'à ce que Chiyoko ne la guide et la pose au dessus de son sein gauche, trahissant non loin un cœur battant la chamade . L'air clairement attendri par un tel geste, il afficha un fin sourire, prenant une lente inspiration pour parler, faisant à nouveau preuve d'assurance, comme si finalement, l'accord de Chiyoko ait apaisés toutes ses peurs :
- Merci Chiyoko, tu sait, c'est important pour moi . Même si tu me convient, je veux être sur que ce n'est pas que l'ambiance, les circonstances, je ne voudrait pas te faire du mal, qu'on se lance et que cette histoire ne se termine en quelques jours, mais... Cela ne doit pas nous empêcher d'en profiter jusqu'à ce que je soit sur .
C'était entendu, le jeune homme se doutait bien qu'il finirait au lit avec la pigiste, il lui semblait donc utile de laisser à Chiyoko le loisir de vouloir prendre une éventuelle initiative, immédiatement ou plus tard dans la soirée, ou encore un autre jour, en "s'offrant" à elle jusqu'à ce qu'il ne puisse décider d'officialiser leur relation, ou l'écourter... Décision qu'il ne prendrait surement que lorsqu'il aurait obtenus ce pourquoi il était venu à l'origine... Les infos sur Capone...
Immédiatement, il laissa ses mains passer le long des hanches de la pigiste, s'appliquant à rester décent tout en faisant preuve de douceur et de proximité, sans pour autant oser gouter à nouveau aux lèvres de la jeune femme, les yeux rivés dans les siens, gardant son petit sourire en coin, si mignon qu'on en trouverait ça exaspérant . | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Jeu 30 Avr - 0:28 | |
| Alors que sa main venait de se poser contre la poitrine de Chiyoko sa chaleur se partageant avec la peau de la jeune femme le visage de Francis afficha un petit sourire qui la rassura sur ce qu'elle avait dit. Apparemment elle avait employée la manière la plus appropriée pour charmer son invité mais elle attendrait avec appréhension sa réponse d'où son cœur battant la chamade son visage rougi par tout ça. C'était stupide car il se rendrait vite compte qu'elle n'était pas ce qu'elle prétendait si ses nouveaux collègues lui racontaient certaines choses assez embarrassante qu'une petite timide ne ferait surement pas... Elle avait bien précisé qu'elle n'avait pas l'habitude de ce genre de relation mais serais-ce suffisant... Alors qu'elle pensait à cela Francis avait inspiré profondément avant de prendre la parole.
- Merci Chiyoko, tu sait, c'est important pour moi . Même si tu me convient, je veux être sur que ce n'est pas que l'ambiance, les circonstances, je ne voudrait pas te faire du mal, qu'on se lance et que cette histoire ne se termine en quelques jours, mais... Cela ne doit pas nous empêcher d'en profiter jusqu'à ce que je soit sur .
Les mains du jeune journaliste vinrent se reposer sur les hanches de Chiyoko les parcourant avec lenteur mais son visage quand à lui restant bien loin du sien à croire qu'il n'avait plus envie d'elle ce que son sourire et son regard réfutait mais alors pourquoi ne l'embrassait il pas à nouveau... Et puis ses paroles sur le fait d'en profiter tout de même... La jeune femme ne savait pas vraiment que dire ou faire tant tout cela était contradictoire ses caresses montraient clairement son envie d'aller plus loin tout comme son entre jambe soit dit en passant, mais ses actes n'allaient pas assez loin pour... La fouine décida alors que faire ce qu'elle savait le mieux faire aguicher et c'est ainsi qu'elle reprit la parole laissant trainer sa main contre l'entre jambe de Francis lentement comme par mégarde se relevant doucement gardant cette proximité avec le jeune homme ses mains contre ses hanches.
"J'ai bien l'impression que je te plais finalement si j'ai bien tout compris, mais tu veux attendre d'être sur c'est ça? En tout cas tu semble prêt sur un autre sujet loin d'être sentimental..."
Et sans lui laisser le temps de répondre elle se baissa un peu l'embrassant tendrement posant ses mains contre les joues du jeune homme pour qu'il ne s'éclipse pas. C'était une façon comme une autre de lui montrer qu'elle était d'accord pour jouer le jeu du jeune homme mais après ces paroles elle espérait qu'il ne puisse lui expliquer pourquoi devoir attendre alors qu'il était droit comme un I. Sans un mot elle s'écarta lentement du journaliste posant ses mains sur celles de Francis avant qu'elle ne soit trop loin pour qu'il puisse les garder en place contre elle. Maintenant il n'avait qu'a choisir ce qu'il voulait vraiment mais elle n'avait pas envie de s'arrêter là et elle décida alors d'y rajouter un peu de piquant retournant à sa place se plaçant derrière sa chaise.
"Tu as envie de finir le repas? Ça doit être froid maintenant je vais les faire réchauffer un moment ça sera pas long le four doit encore être chaud."
Et sans attendre la réponse elle s'empara des deux assiettes pour les placer dans le four à quelques pas se baissant volontairement excessivement pour que Francis puisse admirer une partie de son anatomie qu'il ne s'était pas privé de peloter il y a quelques minutes. Elle espérait bien qu'ainsi il reste suffisamment "dur" pour ne pas attendre encore une heure pour lui faire des avances un peu plus indécente. Elle avait très envie de passer à la suite mais elle ne devait pas être la première a entamer tout ça dans tout les cas elle proposerait avant que Francis ne s'en aille qu'il passe la nuit ici en tout bien tout honneur... ou pas. | |
| | | Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Lun 25 Mai - 21:10 | |
| En douceur, Chiyoko se releva de la jambe du jeune journaliste, tâchant d'effleurer son intimité, volontairement ou pas, il ne pouvait visiblement pas le savoir avec exactitude dans son état, partagé entre ses plus bas instincts animaux et sa stricte et timide lucidité, il but chaque mot que Chiyoko lui répondit :
"J'ai bien l'impression que je te plais finalement si j'ai bien tout compris, mais tu veux attendre d'être sur c'est ça? En tout cas tu semble prêt sur un autre sujet loin d'être sentimental..."
S'apprêtant à répondre, ou plus exactement pour se justifier, Francis se permis d'entre-ouvrir la bouche . Quelle surprise de ne pas pouvoir en faire sortir le moindre mot, et, à la place, de sentir les lèvres chaudes de la petite pigiste se presser contre les siennes alors que ses mains, petites, fines douces, si fragiles, venait se poser sur ses joues brulantes .
Cependant, avant qu'il ne puisse réellement y mettre du sien, la jeune femme s'écarta avec lenteur, laissant les mains du reporter glisser contre ses hanches alors qu'elle échappait à son emprise sans pour autant montrer le moindre empressement à cela . Pour preuve, pour Francis tout du moins, le fait que la fouine se soit permise de poser ses mains sur les siennes, comme pour le pousser à les garder à leur place, suffit à le convaincre que, même sans assurance de sentiments, elle semblait prête à passer cette étape .
Et puis, brusquement, elle revint vers sa place, demandant à Francis :
"Tu as envie de finir le repas? Ça doit être froid maintenant je vais les faire réchauffer un moment ça sera pas long le four doit encore être chaud."
Et ainsi, sans pouvoir répondre, elle prit les deux assiettes et les plaça dans le four, tâchant, cette fois, d'exhiber son postérieur, volontairement ou pas, au pauvre et timide reporter qui ne put qu'en ressentir l'effet voulu, à savoir le fait de s'apercevoir que son pantalon finirait bien par craquer sous la pression, si il ne finissait pas tâché d'un certain liquide avant cela .
C'est pourquoi il se leva, sans bruit, s'approchant de Chiyoko d'un pas qui fut quelque peu hésitant avant de devenir vraiment sur . Et lorsqu'il fut enfin arrivé auprès d'elle, il se pencha à son tour, laissant sa respiration parcourir la nuque de la jeune femme avant qu'il ne lui murmure à l'oreille, d'un ton pour le moins différent de celui qu'il avait adopté jusque là :
- Et si nous commencions le vrai repas ? Je suis sur qu'il est encore bien chaud .
"J'ai honte de toi !", lui hurla sa conscience, cependant, il était un peu tard pour faire marche arrière, penché par dessus Chiyoko, son entre-jambe assez proche de son postérieur, il n'attendait qu'une chose, que la jeune femme réponde, et au mieux, positivement . C'est ce pourquoi il se redressa lentement, des fois que la pigiste, qui avait à coup sur compris cette métaphore franchement indécente, ne l'entende pas de cette oreille, il serait malheureux qu'il se trouve à retourner à son appartement, seul avec sa libido et le nez en sang . | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Mer 27 Mai - 20:07 | |
| Alors qu'elle avait fait tout son possible pour aguicher l'homme à ses cotés la jeune pigiste attendait sa réaction avec calme, ses gestes avaient été lent, doux, mais le principal tous semblaient innocents. Chiyoko avait très envie de mettre Francis dans son lit et ceux immédiatement mais après tout ce qu'elle lui avait déjà dis elle ne pouvait décemment pas prendre les devant et même elle se devait d'être assez dérangée par tout ce que le jeune homme au visage doux pouvait lui proposer d'incessant. C'est pourquoi elle n'avait pas insisté sur le dernier baiser qu'elle lui avait offert et s'était aussi vite retirée mais gardant tout de même pendant un moment cette proximité avec lui pour ne pas le décourager, pour qu'il ose tout de même lui faire dès ce soir une proposition indécente. Chiyoko pourrait ainsi tester a quel point elle aurait le droit de changer dans le futur sans pour autant faire fuir ce beau garçon.
Après quelques instants et avant qu'elle n'ait le temps de se redresser Francis se pressa contre elle le souffle chaud de sa respiration dans sa nuque. Cette proximité ravi la jeune femme qui se redressa lentement pour être au plus prêt du jeune homme sentant son anatomie contre elle alors qu'il rapprocha ses lèvres de son oreille pour lui murmurer.
- Et si nous commencions le vrai repas ? Je suis sur qu'il est encore bien chaud .
Aussitôt eut il fini sa phrase qu'il se redressa sans explication retirant de la même façon la douce chaleur qui se perdait dans sa nuque. Sans allumer le four la jeune fouineuse se retourna avec lenteur pour faire face à Francis et à sa proposition charnelle qui soit dit en passant la rendait très heureuse. L'envie de lui sauter au cou et de crier victoire n'était pas loin mais elle se devait de se contenir ce qui fut étonnamment facile devant cette victoire qu'elle savait acquise maintenant. elle devait voir à quel point elle avait gagnée.
"Tu veux dire..."
La jeune femme leva les yeux vers le visage de Francis posant ses mains autour de la hanche du jeune homme rapprochant son bassin du sien avec une lenteur maladive son visage affichant une expression plutôt neutre tirant tout de même sur une approbation. Chiyoko avait tout de même quelques petites choses à tirer au clair ou plutôt à proposer avant tout pour "tester" Francis.
"Ça ne me dérangerais pas vraiment tu sais malgré tout ce que tu as dit que l'on fasse l'amour mais..."
Chiyoko laissa la phrase en suspend alors qu'elle faisait tourner Francis sur lui même pour qu'il se retrouve contre le four puis elle se mit sur la pointe des pieds pour déposer un baiser dans le cou du jeune homme passant une de ses jambes entre celle de l'italien. Une fois cela fait la jeune femme laissa tomber sa tête contre le torse du jeune homme passant une de ses mains dans l'une des siennes la serrant tout doucement avant de reprendre la parole.
"Mais... Ça ne te dérange pas que ce soit chez mes parents? Ils pourraient rentrer et nous trouver au lit."
Après cette petite question emplie de sadisme il fallait bien le dire Chiyoko redressa la tête avec un petit regard taquin cette situation bien que courante l'émoustillant assez fortement. C'était maintenant qu'elle verrait à quel point Francis accepterait ses changements futurs la jeune femme prenant la parole laissant passer leurs mains entre leurs bassin respectif.
"Tu veux montrer dans ma chambre ou... aller ailleurs si tu veux vraiment qu'on le fasse ce soir?" | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Dim 14 Juin - 0:13 | |
| ~~ Résumé de la fin du rp ~~ Les paroles de la jeune femme bien qu'apprenant à Francis qu'ils étaient chez ses parents ne semblèrent en aucun cas perturber le jeune homme qui s'empressa de l'embrasser pour lui montrer qu'il n'avait que faire de tout cela, a moins que ce ne soit sa libido qui parlais à ce moment là mais l'essentiel était fait pour Chiyoko. La jeune femme parfaitement satisfaite de la réaction du jeune homme profita du baiser offert avant de prendre la main de Francis et de l'entrainer vers l'étage où se trouvait sa chambre pour pouvoir continuer ce qu'ils avaient commencés. Le regard amoureux de la petite fouine ne quitta pas le visage de Francis jusqu'à leur arrivée devant la porte de sa chambre qu'elle ouvrit. Aussi bizarre que cela paraisse dès qu'ils furent entrés dans la chambre de Chiyoko et malgré les tendres caresses qu'elle commença à prodiguer à Francis alors qu'elle se pressait contre lui celui-ci resta assez, voir même trop, "amical" obligeant la jeune femme à continuer ses caresses un long moment avant que le jeune homme ne se décide à passer à la suite alors qu'ils se glissaient sous les draps.
Après leurs ébats qui furent tout à fait passionnant sur tout les points de vues d'après les deux parties un évènement assez inattendu arriva. La porte de la chambre de la mignonne petite pigiste s'ouvrir laissant apparaître sa mère rentrant plus tôt que prévue surprenant ainsi sa fille au lit dans une position plutôt indécente ce qui mis Francis très mal à l'aise qui se tapit sous les couvertures immédiatement son regard suppliant Chiyoko de le sortir de cette situation ce qu'elle fit d'une manière peu prévisible. Se levant, dans le plus simple appareil, elle présenta le jeune reporter à sa mère lui signifiant qu'ils n'avaient pas encore eut le temps de manger et qu'elle irait chercher une assiette plus tard dans la nuit. Souriant alors qu'elle saluée Francis la mère de la petite pigiste s'excusa d'être rentrée plus tôt que prévu se retirant de la chambre précisant à sa fille qu'elle allait mettre une assiette copieuse dans le four pour la tenir au chaud. Refermant la porte derrière sa mère Chiyoko se retourna vers Francis lui souriant avant de retourner à ses cotés pour l'étreindre tendrement le rassurant sur la présence de sa mère et des règles qu'elle se devait de tenir comme ne pas se mêler de la vie de sa fille et surtout de sa vie amoureuse.
Après avoir fait un rapide saut dans la cuisine Chiyoko revint dans la chambre charmant toujours l'italien se baladant en tenue d'eve ils mangèrent quelques peu Francis semblant toujours aussi mal à l'aise avec la situation. La pigiste se blotti à nouveau contre Francis pour le rassurer l'embrassant tendrement pour que la fin de la soirée reste tout aussi passionnante que le début la jeune femme aimant de plus en plus cette soirée mais aussi l'homme dans son lit.
Le réveil le lendemain fut des plus agréable Chiyoko se réveillant dans les bras de Francis déjà éveillé la regardant amoureusement. La jeune femme l'embrassa dès plus amoureusement qu'elle le put passant ses mains sur l'anatomie du jeune homme oubliant un instant le rôle qu'elle s'était donnée la veille... Francis sembla ne pas trouver cela très dérangeant avant se se lever pour s'habiller laissant son numéro de téléphone ainsi que sa adresse à la fillette aux cheveux de lune lui expliquant qu'il ne tient que moyennement à se retrouver face à face avec ses parents. Trouvant cela tout à fais normal dans un sens Chiyoko le guida vers la porte d'entrée après avoir enfilée une tenue "décente". Avant qu'il ne parte elle lui fit part une nouvelle fois de l'amour qu'elle lui portée le lui prouvant en l'embrassant amoureusement avant de le laisser filer, espérant le revoir très vite. | |
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