Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis |
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| La maison des parents de Chioko | |
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Auteur | Message |
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Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Mar 6 Jan - 23:59 | |
| ===> Appartement de Chiyoko Soejima La jeune femme arriva chez elle comme elle l'avait prévu 10 minutes après être partit de son autre appartement. Chiyoko sortit de sa poche son trousseau de clé passant le portail qu'elle repoussa derrière elle laissant celui-ci ouvert comme elle l'avait dit à son invité avant de le quitter. Les lumières de la maison étaient toutes éteintes signe que comme l'avait dit sa mère ses parents étaient absent ce soir c'était parfait elle avait toute la maison pour elle toute seule. Ouvrant la porte d'entrée la fouine se dirigea immédiatement vers la cuisine sortant deux grandes casserole pour y verser les plats qu'elle avait prit au café ceux-ci étant à peine tiède il allait falloir les réchauffer. Allumant le gaz en dessous de chaque casseroles à feu doux Chiyoko lança son sac à main sur la table de la cuisine pour se diriger vers l'entrée une nouvelle fois. Maintenant qu'elle était arrivée il fallait téléphoner pour dire à Francis qu'il allait pouvoir venir diner avec elle. La jeune femme se saisit du téléphone composant le numéro du téléphone."Allo Mariko? Oui c'est Chiyoko, tu peux me passer mon ami?"
"Bien sur, il est charmant ton nouveau petit copain je vais le cherche petite cachotière."Nouveau petit ami... Mais qu'est ce qu'il avait bien pu lui dire pour qu'elle pense ça? Peut être que le baiser l'avait vraiment chamboulé et qu'il était tombé amoureux. Chiyoko se mit à rigoler doucement à cette pensée. Le matin même elle se retrouvée à draguer Kane qui bien qu'un peu dérangé voir intrigué par elle n'avait pas semblé très intéressé puisqu'il venait de lui poser un lapin et la elle trouve une solution de remplacement qui parle d'elle comme de sa petite amie. Alors qu'elle y pensait la vois de Francis se fit entendre."Allo ? "
"C'est Chiyoko... Mon ami n'ait pas venu alors... Si diner avec moi vous intéresse toujours?"
"Bien sur . ... Je vais donc vous rejoindre, si je ne me perd pas en route ."Francis rigola doucement, avait il déjà oublié les explications qu'elle lui avait donné... Il était mignon certes mais apparemment il n'avait pas une très bonne mémoire, enfin le premier critère pardonnait largement le manque de mémoire et la jeune femme se proposa de lui ré-expliquer."Vous voulez que je vous ré-explique ou j'habite? ça me dérange pas vous savez..."
"Ce n'est pas de refus, ce serait dommage de rater une soirée en votre compagnie pour une raison aussi futile..."
"Alors, j'habite aux abords de West river, prés de la marina vous savez la où il y a le port? C'est une grande maison à deux étages avec des balcons en façade vous ne pourrez pas la rater. Le nom sur la boites au lettres c'est Soejima"
"Bien, au moins, je suis sur de trouver maintenant . Eh bien, donc, à tout à l'heure, mademoiselle Soejima ."
"A tout à l'heure je vous attend en préparant le repas"Chiyoko rigola doucement car elle savait très bien que Francis savait d'où venait le repas qu'il allait manger. Raccrochant elle se dirigea vers la cuisine pour finir de tout préparer se demandant comment aller se passer cette soirée si bien engagée. | |
| | | Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Mer 7 Jan - 3:12 | |
| -----> Un petit café avec un nouvel ami.Après un certains temps, une silhouette sembla se dessiner près de la maison des Soejima dans la nuit tombante, le jeune homme avançait dans le froid et le vent qui soufflait inlassablement, mordant son visage sans douceur, il regrettait toujours plus de ne pas avoir pensé à se munir d'une tenue plus approprié à cette météo, cependant, le fait qu'il approche de son but le poussait à presser toujours autant le pas .
S'approchant devant la maison, il se pencha pour arriver à lire les inscriptions dans la lumière faiblissante en se demandant pourquoi la ville n'avait pas encore décidée d'allumer les lampadaires pour aider ses citoyens à se diriger, quoi qu'il en soit, il arriva à lire le nom des Soejima, lui signifiant qu'il ne s'était pas trompé de chemin, arborant un visage fier, il se détourna de la boite aux lettres pour appuyer sur le bouton à côté du portail .
Suivant les indications que Chiyoko lui avait donné au café, une fois sonné, il approcha sa main de la poignée du portail et la tourna pour l'ouvrir, pénétrant dans le petit jardin qui lui rappelait avec tristesse la petitesse de son appartement, qui lui avait semblé invivable lorsqu'il s'était installé en pensant aux endroits magnifiques ou il avait vécu en France et en Italie, puis, sortant de ses pensées, il referma calmement le portail derrière lui avant de s'avancer jusqu'à la porte d'entrée, attendant avec patience que la jeune pigiste ne lui ouvre pour qu'il entre dans sa tanière, sachant pertinemment que seul Dieu savait quand il en ressortirait . | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Ven 9 Jan - 0:09 | |
| Passant dans la cuisine Chiyoko attrapa son sac à main qu'elle avait jetée sur la table et se dirigea vers le salon sautant comme une gamine sur le sofa proche de la fenêtre. Francis allait venir c'était vraiment une très bonne soirée en perspective en plus il semblait qu'il est parlé avec Mariko et bien que la teneur de la discussion lui était inconnue elle savait déjà qu'il avait du plaire à la serveuse car elle l'avait directement appelé son petit ami, c'est trop bien. Son petit ami, ça faisait longtemps que personne à part Mariko n'avait appelé quelqu'un son petit ami, en général c'était plutôt des coups d'un soir sans aucun lendemain et malgré le nombre de garçons de passage que la fouine apportait au café la serveuse semblait ne pas s'en être encore rendu compte depuis le temps. Elle était un peu trop idéaliste mais si mignonne que cela était bien facilement pardonné d'après les critères de Chiyoko. La pigiste s'allongea alors sur le sofa sortant de son sac le calepin dans lequel elle avait notée les diverses informations sur son rendez vous de la soirée puis se mit à les parcourir une à une pour être certaine de cibler correctement le jeune homme.
Alors qu'elle lisait tout cela la pigiste attrapa un stylo dans le sac pour compléter avec les dernières informations qu'elle avait pu recueillir suite à la discussion avec Mariko par téléphone, du moins les soupçons qu'elle avait sur certaines choses dont le fait que Francis ait fait quelques confidence à son amie. De toute façon elle allait lui poser des questions sur tout ça elle savait très bien faire ce genre d'interrogatoire entre deux plats. Les plats... Une petite voix fit tilt dans sa tête elle devait peut être aller voir où ça en était il serait dommage de tout faire bruler. Se levant elle se dirigea vers la cuisine et coupa le feu sous les diverses casseroles, il ne restait plus que la table à mettre ce qu'elle fit dans la foulée, c'était assez simple elle avait dressée la même chez elle peut de temps avant une petite nappe une belle bougie et le tour était joué. A cet instant la sonnette de la porte d'entrée retenti c'était lui il était arrivé.
La jeune femme finit de placer les couverts et se dirigea vers la porte d'entée mais avant d'ouvrir elle devait se faire belle, du moins vérifier qu'elle était toujours aussi désirable. Chiyoko s'arrêta devant la glace et se refit rapidement une coiffure vérifia aussi que les morceau de tissus sur ses poignets étaient bien placés avant de réajuster sa robe pour que celle-ci mette bien en valeur ses atouts. Puis replaçant son collier correctement son pendentif elle ouvrit la porte tout sourire laissant agir son charme naturel... Ou plutôt sa belle robe assez dénudé pour charmer les plus part des hommes.
"Bonsoir Francis. Entrez il ne fait pas chaud dehors."
Chiyoko se décala doucement en souriant à son invité lui faisant signe de rentrer. Il était vraiment charmant et elle comptait vraiment faire plus que diner ce soir.
"Vous avez bien trouvé?" | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Ven 9 Jan - 22:53 | |
| Soudainement, la porte s'ouvrit, dans un soucis de ne pas paraitre ridicule, le pauvre jeune homme évita de faire les yeux ronds mais eut le souffle grandement coupé par ce qui s'offrait à sa vue, lentement, ses joues rosirent alors que la jeune pigiste lui souhaitait à nouveau le bonsoir :
"Bonsoir Francis. Entrez il ne fait pas chaud dehors."
Ayant un petit sourire timide, il ne tarda pas à pénétrer dans la maison lorsque Chiyoko se décala pour lui ouvrir le passage et l'invitant à pénétrer dans l'endroit, une fois ces quelques pas fait, il se retourna vers la jeune femme alors que celle-ci refermait la porte :
"Vous avez bien trouvé?"
- Ho oui, aucun problème, mais je n'avais pas vraiment eu l'occasion de visiter cette partie de la ville jusqu'à présent, il est bien agréable de la découvrir lors d'une si belle soirée .
Commençant à reprendre une teinte de peau normale, il garda son gentil sourire en observant la jeune femme d'un œil intéresse et gêné à la fois, assez ébahit par sa tenue qu'il trouvait magnifique, surtout en comparaison de sa propre tenue qui avait subie la journée et ne le cachait pas, sentant un silence approcher, il décida de complimenter Chiyoko d'une voix sincère et toujours aussi sympathique :
- Vous... Mademoiselle Soejima, vous êtes... Magnifique !
A noter que le jeune homme n'avait toujours pas osé tutoyer Chiyoko ni l'appeler par son prénom, aussi sympathique que son ton ait-il été, il avait grandement trahit l'étonnement et le léger stress qui l'habitait, cependant, il ne semblait pas s'en être lui même rendu compte, gardant le sourire devant Chiyoko, il ne tint pas à prendre d'autres initiatives que ce compliment ne reflétant rien d'autre que la vérité, Francis n'était pas un habitué des rendez vous bien habillés et il semblait bien se laisser un peu impressionner par Chiyoko, malgré lui . | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Dim 11 Jan - 22:25 | |
| Le bel homme s'exécuta devant l'invitation de la pigiste et entra dans le hall de la maison. Il semblait sous le charme de sa tenue, ses joues rougissants doucement et un sourire un peu gêné s'afficha sur son visage alors qu'il rentrait. Chiyoko se félicita elle même d'avoir de si bon goût pour sa propre garde robe et d'avoir de si belle manière du moins de savoir faire ce qu'il fallait lorsqu'elle avait envie de voir quelqu'un dans son lit. Francis répondit à sa question.
- Ho oui, aucun problème, mais je n'avais pas vraiment eu l'occasion de visiter cette partie de la ville jusqu'à présent, il est bien agréable de la découvrir lors d'une si belle soirée .
Chiyoko referma la porte de la maison pour que le froid s'exerçant à l'extérieur ne vienne pas s'infiltrer à l'intérieur de la maison, bien que le froid n'était pas toujours une mauvaise chose au contraire. Cela permettait des câlins et autres petites attentions tout aussi proche et intimes, tout ce que la jeune femme aimait pour tout avouer mais c'était bien trop tôt pour tout ça avec Francis elle ne devait pas oublier qu'il étai un peu plus timide que ses cibles habituelles. Chiyoko s'appéta à prendre son manteau lorsqu'il prit la parole.
- Vous... Mademoiselle Soejima, vous êtes... Magnifique !
Chiyoko lui sourit, un sourire mignon qu'elle s'attela à rendre un peu gêné pour coller avec le personnage qu'elle s'était donnée dans le café s'empressant de remercier Francis pour ce compliment ses joues devenant un peu rouge. Chiyoko n'avait pas trop de mal a rougir il suffisait qu'elle pense à une chose, son seul vrai fantasme qui la hantée chaque nuit, un fantasme qu'elle savait impossible à assouvir pour le moment...
"Vous trouvez? Merci, c'est gentil de votre part Francis je suis contente que ça vous plaise... Si vous voulez on pourra aller marcher un peu sur la plage après manger je vous ferais faire la visite comme vous ne semblait pas connaître, s'il fait pas trop froid..."
La jeune américaine continua de sourire alors qu'elle proposa à son invité de s'occuper de sa veste avant de le prendre délicatement par la main et l'entraina doucement vers le salon en passant par la cuisine pour lui proposer de s'installer sur le divan. Malgré l'initiative qu'elle avait prise ses joues restaient rosées, la jeune femme prit une pose un peu "gamine" faisant tourner un de ses pieds sur le sol avant de reprendre la parole un peu faiblarde.
"ça, ça me fait très plaisir que vous soyez venu... Vous voulez boire quelque chose?"
Alors qu'elle parlait Chiyoko se dirigea vers le fauteuil à coté du divan qu'elle avait présenté à Francis et s'y couda en se penchant sans quitter Francis des yeux faisant mine de cacher ses jambes ou plutôt le petit mouvement de gêne qu'elle avait elle même provoquée.. | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Dim 18 Jan - 17:25 | |
| Suite à son compliment, il vit un sourire naitre sur les lèvres de Chiyoko, suivit d'un rougissement, gardant son propre sourire, il n'osa pas en rajouter, ne voulant pas paraitre trop flatteur, malgré tout, Chiyoko le remercia sympathiquement :
"Vous trouvez? Merci, c'est gentil de votre part Francis je suis contente que ça vous plaise... Si vous voulez on pourra aller marcher un peu sur la plage après manger je vous ferais faire la visite comme vous ne semblait pas connaître, s'il fait pas trop froid..."
Gardant le sourire, il se demanda quelques courtes secondes si Chiyoko était ainsi avec tout les hommes qu'elle ramenait, être en compagnie d'une jeune femme un peu entreprenante ne pouvait pas lui faire de mal, mais pas vraiment si il ne serait qu'un nom de plus à rajouter à la liste de trophées de la petite pigiste, hélas, il savait qu'il n'avait qu'un seul moyen de placer la barre un peu plus haute, et cela, il ne pouvait pas encore l'accepter .
Voyant Chiyoko s'apprêter à lui prendre sa veste, il lui fit un petit signe pour lui dire que ce n'était pas la peine, d'abord par ce qu'il ne connaissait pas l'état de sa chemise en dessous et ne comptait en prendre connaissance au plus tard, ensuite, que révéler son holster et son colt d'une façon aussi brutale serait un peu malvenu en ce début de soirée .
Cependant, la petite pigiste ne sembla pas désemparée, entrainant Francis dans le salon, l'invitant à se poser sur un des canapés s'y trouvant, ce qu'il fit sans trop de difficultés, après cette marche, il ne pouvait qu'accepter volontiers de s'asseoir pour reposer ses jambes légèrement douloureuses, relevant immédiatement la tête une fois assis, il vit Chiyoko dans une pose assez charmante, tout du moins, pour Francis, les joues encore légèrement roses, prenant un air un petit peu timide pour lui poser une nouvelle question :
"Ça, ça me fait très plaisir que vous soyez venu... Vous voulez boire quelque chose?"
- Hem... Oui, je veux bien... Vous avez quoi ?
Comme si il avait eu un moment d'absence, il remarqua soudainement que Chiyoko s'était accoudée à un fauteuil à côté et le regardait sans ciller, pour sa part, il trahissait encore un petit peu de stress, sa voix, tout d'abord, et ensuite, sa posture, loin de s'être affalé sur le divan en prouvant qu'il pouvait être à son aise, il restait pour le moins droit, voir légèrement penché en avant, comme si il était un petit peu crispé par cette situation qu'il ne contrôlait nullement et dont il ne risquais pas de prendre le contrôle, sauf peut-être une arme à la main, ce qui lui était totalement inconcevable contre la mignonne petite pigiste . | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Mar 20 Jan - 23:32 | |
| Francis s'installa dans le moelleux divan qui lui était proposé sans se faire prier devant la proposition de Chiyoko qui était tout à fait satisfaite de sa petite performance scénique. L'italien semblait assez mal à l'aise en avait elle trop fait, pourtant elle s'était retenue d'être aussi entreprenante qu'avec Kane le matin même, cela aurait très certainement causé un arrêt cardiaque à son invité ce qui aurait été vraiment très dommage. Francis avait une toute autre classe que l'américain, non pas que Kane n'était pas terriblement sexy, déjà il paraissait bien plus juvénile, peut être une bonne dizaines d'années de moins ce qui en soit n'était pas forcement un avantage car il serait surement moins expérimenté que le brun plus âgé lui, mais tout aussi beau ce qui était très important par contre. Chiyoko ne pouvait sortir avec un homme à l'apparence qu'elle trouvait déficiente ou bien même éloignée des standards qu'elle s'était elle même fixée dans sa petite tête, à savoir, un visage attirant, des formes plus que convenable pour ces dames ou alors un air androgyne qu'elle auquel elle ne pouvait résister, de beau muscles pour ses hommes tout du moins pas de graisse superflu comme ces policiers se gavant de donnuts et enfin une irrémédiable envie de la satisfaire bien que ce point était plus ou moins facultatif puisqu'elle adorait draguer à tord et à travers. Le journaliste lui répondit alors qu'il semblait toujours un peu perdu.
- Hem... Oui, je veux bien... Vous avez quoi ?
La jeune femme fit mine de réfléchir un instant alors qu'elle savait parfaitement qu'il ne devait y avoir dans le frigo que quelques jus de fruits, du cola, du lait ce qui n'était pas des plus recommandé à cette heure ici et de l'eau. Puis se levant elle se dirigea vers la cuisine tout en parlant prenant bien soin à marcher avec une certaine grâce mise en valeur par sa robe.
"Je vais avoir du jus de fruit si vous voulez, du cola aussi et... de l'eau. Mes parents n'ont pas d'alcool comme c'est interdit. Vous en buvez en général?"
Chiyoko aimait aussi savoir de quoi étaient fait les hommes qu'elle séduisait. L'alcool était un délit depuis très longtemps, depuis qu'elle avait neufs ans pour être exact et donc en restant dans les ordres elle n'aurait jamais du y gouter mais c'était si facile de s'en procurer par des moyens illicites. Francis en avait il déjà gouté? Cela ajouterait un petit air voyou au jeune homme qui ne serait pas si mal, peut être pourrait elle le faire boire plus tard dans la soirée s'il n'avait jamais gouté ou bien s'il aimait ça pourquoi pas. Chiyoko ne buvait que rarement tout comme le reste d'ailleurs bien qu'elle ait déjà essayée la cigarette et un peu de drogue mais elle aimait garder le contrôle d'elle même, l'alcool la rendait assez tactile mais sans plus ce qui lors d'une soirée de ce genre était plutôt une bonne chose surtout si cela avait le même effet sur son compagnon.
"Francis en fait il n'y a que du jus d'orange en jus, sûrement de ce matin mais il y a des fruits si vous voulez autre chose? J'apporte déjà ça, moi je prendrais du cola."
Sortant les canettes de cola ainsi que le pichet de jus d'orange du frigo Chiyoko se dirigea vers un placard pour prendre deux grands verres avant de repartir dans le salon où se trouvait son invité. | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Dim 25 Jan - 20:34 | |
| "Je vais avoir du jus de fruit si vous voulez, du cola aussi et... de l'eau. Mes parents n'ont pas d'alcool comme c'est interdit. Vous en buvez en général?"
"Eh allez... Voila la colle... Se dit-il en essayant de paraitre plus à l'aise, s'enfonçant un peu plus dans le divan afin d'en apprécier la qualité qui dépassait sans aucun doute celle de son lit, ensuite seulement il se permis une réponse en se disant qu'un petit mensonge ne se verrait pas :
- Pas depuis mon arrivée en territoire américain... Autrefois, je pouvais me le permettre, en France, j'avais encore un peu les moyens... Et, quand bien même aurais je les moyens d'en consommer, je doute que cela soit bien conseillé, il serait dommage de discréditer la presse en se faisant arrêter pour usage de substances illicites...
L'on peut dire que ce coup-ci, il avait plutôt bien réussi son coup, pas vraiment d'hésitation, pas de voix chevrotante, un air un peu plus décontracté dans le divan, peut-être que si il continuait sur cette voix, il paraitrait enfin "normal", même si la façon dont il avait suivit Chiyoko du regard lorsqu'elle était passée devant lui pour aller à la cuisine aurait put être qualifié de très masculin, mais comme se plaisait à se le répéter Francis, il aurait fallut être homosexuel ou eunuque pour ne pas sentir ses sens aussi sollicité qu'en cet instant .
Coupé dans ses pensées, il entendit Chiyoko parler depuis la cuisine :
"Francis en fait il n'y a que du jus d'orange en jus, sûrement de ce matin mais il y a des fruits si vous voulez autre chose? J'apporte déjà ça, moi je prendrais du cola."
Patientant gentiment et calmement dans le divan, il regarda Chiyoko revenir avec deux verres, du jus d'orange et du cola, arborant un gentil sourire, il répondit enfin à sa question :
- Eh bien... Je prendrais du cola comme v... Toi...
Cela semblait lui être encore quelque peu difficile, mais au moins, il avait réussi, il l'avait fait, il avait tutoyé Chiyoko, un petit pas en avant pour se rapprocher d'elle, ce qui n'était pas plus mal si il tenait à obtenir un maximum d'informations... | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Jeu 29 Jan - 14:11 | |
| - Pas depuis mon arrivée en territoire américain... Autrefois, je pouvais me le permettre, en France, j'avais encore un peu les moyens... Et, quand bien même aurais je les moyens d'en consommer, je doute que cela soit bien conseillé, il serait dommage de discréditer la presse en se faisant arrêter pour usage de substances illicites...
Whaa mais qu'est ce qu'il pouvait réfléchir celui-là pour une question aussi simple pensa immédiatement la jeune américaine, discréditer la presse il se prenait pour une grosse tête le garçon à se voir lui même comme la presse... Si elle avait du penser à toutes les conséquences qu'avaient put ou dut aboutir de ses actes elle ne serait jamais sortit de chez elle et n'aurait jamais eut la chance de faire tant et tant de bonnes choses. Presque immédiatement Chiyoko se posa une nouvelle question à elle même, combien de temps et à combien de réponse pouvait il penser si elle lui reparlait de ce baiser et qu'elle lui avouait la vrai nature de celui-ci. Elle pourrait sortir une belle phrase comme:Au fait Francis, je suis désolée pour tout à l'heure, tu sais ce baiser qui a mordu un peu sur tes lèvres, mais j'aurais en fait voulu les re-gouter mais ce plus franchement, cela te dérangerait il? Cette simple question trottant dans sa tête la fit rigoler doucement il aurait surement une crise cardiaque celui-là si elle se montrait aussi directe mais au moins elle aurait sa réponse sur l'efficacité de son savoir faire en terme de baiser, efficacité dont elle ne doutait aucunement en fin de compte... La jeune femme déposa les diverses choses qu'elle avait dans les mains sur la table alors que Francis répondait à sa deuxième question et un fait nouveau fit son apparition, il la tutoya chose qui était plutôt bon signe.
- Eh bien... Je prendrais du cola comme v... Toi...
"Du cola alors, pour l'alcool tu y va un peu fort non? Enfin moi j'ai déjà bu un peu de ça bien que ce soit pas légal et si l'on ne force pas sur la consommation ça n'a aucun effet mise à part mettre un peu de guettée dans une soirée, enfin c'est mon point de vue..."
Alors qu'elle parlait la jeune américaine s'était mise à verser du cola dans deux grands verres avant de les disposer devant Francis tout les deux laissant penser qu'elle allait venir s'assoir tout à coté de lui puis faisant le tour de la table et s'arrêta se saisissant du calepin qu'elle avait laissé trainer sur celle-ci. Francis ne semblait pas s'y être intéressé puisque celui-ci n'avait pas bougé de place chose qu'elle trouva assez peu normal, comment un journaliste pouvait il ne pas être intéressé par un calepin aussi négligemment posé devant lui. Chiyoko fini alors de contourner la table posant son carnet sur une des petites tables basses autour du divan et prit place à coté de Francis, à quelques centimètres même l'effleurant avec sa main alors qu'elle se saisit de son cola.
"Je t'en pris Francis sert toi."
La jeune femme gardait son petit sourire et se décida à partir à l'attaque ce cette belle soirée en perspective en commença par son objectif premier Francis. Certes le diner était important comme la conversation qu'elle pouvait avoir avec lui du fait qu'il soit journaliste lui aussi dans le même journal qu'elle, mais en fin de compte ce n'était que secondaire car tout cela n'était qu'une façade pour la jeune femme. Toute sa vie n'étais qu'une simple façade qu'elle dressait au fil du temps pour bien présenter et pouvoir profiter plus allégrement de certaines choses comme le sexe. Traive de blabla, la jeune américaine but une nouvelle gorgée de cola avant de prendre la parole restant dans son rôle.
"Au fait Francis, je suis désolée pour tout à l'heure, tu sais ce baiser qui a mordu un peu sur tes lèvres, mais j'aurais en fait voulu me faire pardonner... C'est que... Sur le moment je me suis sentie si mal que je ne savais pas trop comment faire..."
S'arrêtant de parler la jeune femme regarda Francis attendant de voir sa réaction pour pouvoir continuer dans cette voie ou bien la faire virer a 90°. | |
| | | Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Mer 4 Fév - 1:05 | |
| "Du cola alors, pour l'alcool tu y va un peu fort non? Enfin moi j'ai déjà bu un peu de ça bien que ce soit pas légal et si l'on ne force pas sur la consommation ça n'a aucun effet mise à part mettre un peu de guettée dans une soirée, enfin c'est mon point de vue..."
- Ho... Je ne dénigre pas non plus cela, simplement, j'essaye de me tenir à carreaux, j'ai déjà eu des ennuis à cause de certains de mes écrits, ce n'est pas la peine de me mettre la police sur le dos pour ivresse et détention d'alcool... Il n'est pas obligatoire de prendre de l'alcool pour passer une bonne soirée...
L'air encore un petit peu stressé, le jeune homme semblait quand même avoir récupéré un peu son aisance, regardant Chiyoko remplir deux grands verres de cola, il suivit chacun de ses mouvements ensuite en essayant de ne pas avoir l'air trop guetteur, remarquant quand même le geste de la jeune femme pour le petit bloc-note sur lequel Francis n'avait même pas posé un regard, sans doute pour éviter de se créer des ennuis à fouiller un peu n'importe ou comme quand il était jeune, ce qui lui avait rapporté la pire arachnophobie qui soit...
Après avoir reposé le calepin autre part, la jeune femme revint auprès de Francis, venant s'asseoir presque, pour ainsi dire, contre lui, Francis devant bien reconnaitre qu'effectivement, comme l'avait dit Mariko, Chiyoko semblait pour le moins assez tactile, à moins qu'il n'ait rêvé que cette petite main féminine ne vienne frôler son propre corps pour aller attraper un des deux verres .
"Je t'en pris Francis sert toi."
- Merci Chiyoko .
Offrant un autre sourire à la jeune femme, il prit son verre avec une précaution discrète, sachant qu'il valait mieux éviter les petites erreurs que pouvaient être les maladresses qui n'avait aucune importance entre hommes, mais qui pouvait se révéler franchement mal venues en présence d'une femme, et encore plus quand ces maladresses se faisaient dans sa propre "antre" .
Une fois le verre prit, il l'amena à sa bouche pour en avaler une gorgée, celle-ci lui faisant un léger effet coup de fouet qui lui était bien inutile après tout le café qu'il avait absorbé, malgré tout, il en reprit une gorgée, juste au moment ou Chiyoko, qu'il n'avait cependant pas quitté des yeux, reprit la parole :
"Au fait Francis, je suis désolée pour tout à l'heure, tu sais ce baiser qui a mordu un peu sur tes lèvres, mais j'aurais en fait voulu me faire pardonner... C'est que... Sur le moment je me suis sentie si mal que je ne savais pas trop comment faire..."
Observons l'anatomie de Francis, et particulièrement sa gorge, voyez avec qu'elle vitesse cette gorgée de cola descend vers la gorge de notre jeune homme, dont la surprise d'une telle annonce vient de provoquer un réflexe bien malheureux d'ouverture du larynx, laissant une partie du précieux liquide s'engouffrer un peu plus profondément dedans avant qu'il ne se referme brusquement afin de ne pas faire la même erreur avec le reste du liquide...
Nous avons donc à présent un jeune homme se forçant à ne pas avoir l'air d'être en train de s'étouffer et de tousser pour éjecter les quelques gouttes de cola de son larynx afin de retrouver une respiration normale, ce qui, contre toute attente, se fit avec un brio succès, au prix d'une légère toux qui lui fut toutefois assez douloureuse .
Malgré toutes ces émotions, Francis eut quand même l'esprit assez clair pour répondre à Chiyoko, et ce, sur un ton, qui semblait quand même, à nouveau, teinté d'un certain stress, voir d'une pointe de gêne :
- Eh bien... Pour être franc, j'ai été assez surpris... Je n'ai pas l'habitude de bruler autant d'étapes aussi vite... Mais je serais un menteur si je disait que cela n'avait pas été agréable...
Effectivement, c'était dur, même pour lui même, de se l'admettre, mais il avait quand même quelque peu prit plaisir lors de ce baiser, en revanche, l'admettre aussi ouvertement n'était pas ses habitudes, mais cela s'expliquait aisément par le fait qu'il valait mieux conforter la jeune pigiste dans le fait que son charme avait de l'effet sur le jeune homme afin de pouvoir obtenir ce qu'il désirait, et ce, malgré les risques entreprit . | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Dim 8 Fév - 23:07 | |
| Le petit discours de la jeune femme semblait avoir fait son effet puisque Francis répondit aussitôt, il semblait être un peu moins gêné sur le sujet de l'alcool tout du moins il expliqua comment il voyait une soirée.
- Ho... Je ne dénigre pas non plus cela, simplement, j'essaye de me tenir à carreaux, j'ai déjà eu des ennuis à cause de certains de mes écrits, ce n'est pas la peine de me mettre la police sur le dos pour ivresse et détention d'alcool... Il n'est pas obligatoire de prendre de l'alcool pour passer une bonne soirée...
Il a déjà eut des ennuis avec ses écrits, cela était à souligner mais une question arriva aussitôt dans l'esprit de la jeune fouineuse, disait il la vérité ou essayait il de se mousser devant elle. Il savait qu'elle allait travailler avec lui maintenant, Chiyoko lui avait aussi proposée de l'aide alors peut être qu'il se moussait un peu pour se montrer un peu plus beau qu'il l'était réellement. En fait la jeune américaine s'en moquait complètement elle serait vite fixée en lisant son tout premier article pour le Times. Puis il mit le doigt sur une autre chose qui marqua un peu plus la pigiste le fait que boire n'était pas forcement utile pour passer une bonne soirée, c'était certain cela mais c'était une des choses qui pimentaient les soirées ce qui était intéressant lorsqu'une des deux parties de la dite soirée avait envie de sexe sans que la personne en face ne semble s'y intéresser. Alors qu'elle pensait à tout cela Francis prit un deux deux verres de cola et le porta à ses lèvres pour en consommer quelques gorgées. C'est à cet instant qu'elle lui fit par de ce qu'il était arrivé dans le café avant qu'elle ne parte.
Une toux appuyée vint répondre à la question de la jeune femme. Un instant plus tard, cette toux passait le jeune journaliste répondit à la petite pigiste, sa voix avait reprit un petit aspect stressée ce qui dans un sens était bon signe.
- Eh bien... Pour être franc, j'ai été assez surpris... Je n'ai pas l'habitude de bruler autant d'étapes aussi vite... Mais je serais un menteur si je disait que cela n'avait pas été agréable...
Le baiser lui avait plu, c'était parfait elle savait au moins qu'elle était toujours aussi douée en ce qui était embrassade et ce bien que ce baiser n'avait pas était véritablement donné comme il se devait. Il fallait donc maintenant passer à la suite comme il semblait aimer ses baiser peut être qu'un vrai baiser pourrait le mettre un peu plus à l'aise mais pour qu'il ne parte par en courant elle devait présenter cela de la bonne façon. Chiyoko tenant toujours son verre dans sa main bu rapidement une gorgée pour essayer de se faire passer encore et toujours pour la jeune femme un peu dérangée de cela ou bien pour se donner un peu de courage. Puis posant le verre sur la table la jeune femme aux cheveux de lune regarda Francis dans les yeux posant une de ses mains sur celle du jeune homme avant de prendre la parole en soufflant un peu avant pour laisser croire qu'elle était stressée par cette demande.
"Merci c'est gentil.... Je... J'ai un peu craquée pour vous en fait depuis que je vous ai vu devant l'hôtel et..."
Alors qu'elle parlait Chiyoko elle rapprocha son visage de celui de Francis ainsi que son corps et ce pour cause, la différence de taille était plutôt importante entre les deux jeunes gens et elle ne pourrait pas l'embrasser en restant aussi loin de lui. Plus son visage s'approchait de celui de Francis et plus elle semblait se stresser, comme si le baiser qu'elle allait lui offrir était si important qu'elle le redoutait ce qui n'était pas difficile car à cet instant la jeune femme se représentait devant elle Johanna. C'était la seule et unique personne qu'elle n'aimerait jamais et a qui elle n'avait jamais essayée de profiter. La jeune américaine continua sa phrase ses lèvres s'étant protées à quelques centimètres de celles de Francis.
"Et... J'aimerais vraiment t'embrasser à nouveau... Si... Tu veux bien?"
Ces paroles furent susurrées doucement entres ses lèvres, lèvres si proche de celles de l'homme qui l'intéressait qu'elle aurait pu s'en emparer sans attendre la réponse de l'homme mais Chiyoko voulait qu'il soit consentant pour pouvoir jouer ensuite sur cela pour avoir des relations plus intéressantes avec lui et pourquoi pas en faire un petit ami pendant un moment après tout ils allaient travailler au même endroit cela ne pourrait être que glorifiant pour ce jeune homme de s'afficher avec elle. Restant ainsi ses yeux fixés dans ceux de de Francis Chiyoko attendait que le journaliste ne se décide a l'embrasser ou à refuser cette avance.
Dernière édition par Chiyoko Soejima le Jeu 19 Fév - 16:42, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Jeu 19 Fév - 16:03 | |
| Laissant un court silence s'installer, le jeune homme semblait impatient mais aussi un peu angoissé en attendant une réponse de la petite pigiste, peut-être avait-elle comprise que malgré la sincérité de ses mots, quelque chose clochait quand même, le cœur battant, il observa Chiyoko qui prenait une nouvelle gorgée de sa boisson, laissant Francis émettre dans son esprit la folle hypothèse que la jeune femme était tout aussi intimidée par cette situation, hypothèse qui ne le quitta pas lorsqu'elle posa son verre sur la table pour se tourner vers lui, yeux dans les yeux, puis poser sa main sur la sienne pour lui donner enfin la réponse qu'il attendait avec autant d'angoisse et d'impatience :
"Merci c'est gentil.... Je... J'ai un craquée pour vous en fait depuis que je vous ai vu devant l'hôtel et..."
Rougissant légèrement devant cette annonce qui, même attendue, le surprenait, le choquait même un peu, il n'eut cependant pas la volonté de répondre quoi que ce soit, ni même de faire le moindre mouvement, ce qui ne semblait pas déranger Chiyoko qui s'approchait peu à peu de lui, le jeune reporter ne pouvant quitter ces yeux qui l'observait avec douceur tout en lui parlant d'une voix intimidée et pourtant si claire dans son esprit, il ne pouvait que sentir son cœur battre à lui en faire presque mal dans sa cage thoracique, la gorge sèche, Chiyoko était à présent tout contre lui, son visage presque collé au sien lorsqu'elle lui susurra enfin ces doux mots :
"Et... J'aimerais vraiment t'embrasser à nouveau... Si... Tu veux bien?"
Observons à présent la conscience de Francis, à ma gauche, le "Bien", 761 victoires, 142 défaites, à ma droites, le challenger, le "Mal(e)", 142 victoires, 761 défaites, combat très attendu en cet instant ou le timing reste terriblement serré pour que Francis ne se décide, le Bien attaque donc le premier, "Allons, Francis, ne fait pas cela, c'est une pauvre jeune femme, ne profite pas d'elle", attaque pour le moins légère, que le Mal casse sans difficulté aucune à l'aide d'un joli " Hey hey, Francis, pense y, hop, un baiser, hop, un petit coups, vive les infos sur Capone, vive ta libido calmée, vive la gueule que Chiodaro fera !, une attaque inattendue et très puissante, cependant, le Bien ne semble pas décidé à laisser son protégé être ainsi perverti aussi facilement, tentant de couper la poire en deux pour réaliser un match nul, "Francis, il n'est pas utile d'aller si loin pour des infos sur Capone, tu pourrais te contenter... D'un petit baiser... Et de ce beau dîner..., hélas, il semblerait qu'aujourd'hui, le Bien ne soit pas en forme, et voila maintenant le coup de grâce du Mal, "Allez Francis, profite à fond, pour une fois que tu peux tout avoir, une femme comme tu les apprécie, de l'aide pour le boulot, des infos pour le clan, c'est LE moment de ne pas passer pour un coincé, vas y !", excellent coup du Mal, qui porte donc son nombre de victoire à 143 contre le Bien !
Reprenant légèrement ses couleurs, le jeune homme afficha un sourire timide, une seconde avant d'avancer lentement son visage contre celui de Chiyoko pour déposer ses lèvres contre les siennes, laissant derrière lui toutes ses pensées pour rendre ce baiser le plus plaisant possible pour la jeune pigiste, sans pour autant oser prendre de réelles initiatives, s'imaginant que, comme il l'a été vu précédemment, Chiyoko saurait l'inviter à aller plus loin lorsqu'elle le désirerait . | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Jeu 19 Fév - 23:10 | |
| La réaction de Francis ne se fit pas attendre, ses joues rougirent légèrement comme s'il ne s'attendait pas à cela ou au contraire comme s'il s'y attendait que trop bien et ce rougissement n'était la que pour une simple raison, il était peut être déjà entrain de s'imaginer la suite de la soirée ce qui n'aurait pas dérangée la jeune femme. Certaines choses vinrent appuyer cette théorie dans la tête de la jeune américaine, des choses qui ne peuvent mentir comme les battements de cœur que Chiyoko ressentait contre la main de Francis ceux-ci prouvant qu'il n'était pas contre ce petit baiser. Petit baiser qui pour le moment n'était que d'un importance moindre, un baiser comme elle en avait donnée des centaines mais à la fin de cette soirée ce baiser serait devenu si symbolique que même Francis ne pourrait l'oublier.
Quelques instants plus tard le jeune homme semblait s'être décidé à se jeter dans le piège que les lèvres de la jeune pigiste représentaient. Sans un mots Francis prit possession de celles-ci tout en restant très "courtois" n'osant pas se lancer trop vigoureusement dans le baiser que la jeune femme lui avait proposée, chose qui ne surpris dans un sens que peu la jeune femme aux cheveux de lune puisse Francis était d'après son expérience un des garçons les plus timide qu'elle n'avait jamais fréquentée, oui vous avez bien entendu fréquentée car elle se voyait déjà à son bras pour quelques temps... Profitant des lèvres de son invité la petite pigiste prit possession de l'organe présent pour entrainer ainsi Francis sur une pente glissante dont il ne pourrait revenir et commença à faire remonter sa main le long du bras du jeune homme, mais au même instant une pensée vint ternir ce moment de plaisir dans la tête de la jeune femme. Chiyoko n'avait qu'une envie celle de se placer sur le jeune homme et de le mettre à nu pour profiter pleinement de l'instant présent mais elle ne pouvait pas, cela n'irait pas avec ce qu'elle avait déjà montrée de sa personnalité, du moins cela n'irait pas dans de telles circonstances plus tard elle pourrait se dévoiler comme elle était vraiment mais pour l'instant.
Interrompant assez brutalement ce qu'elle avait entreprise que ce soit avec sa bouche comme avec ses mains Chiyoko commença à s'écarter avant de se rapprocher à nouveau pour re-gouter aux lèvres du jeune homme son envie étant bien trop grande pour s'arrêter là mas elle le devait et se forçant à s'imagina en cette position avec Johanna pour virer au rouge avant elle se recula une nouvelle fois avant de balbutier quelques mots.
"Je... Je suis désolée de m'être laissée aller comme ça c'est... Gênant je..."
Chiyoko passa ses mains sur ses cuisses lissant de façon nerveuse sa robe, du moins le morceau de tissus qui lui couvrait que très peu ses cuisses son regard vers celles-ci. Elle n'avait pas l'habitude de se montrait aussi timorée alors combien de temps devait elle rester ainsi une trentaine de seconde, une minute ou plus? Elle se décida à regarder Francis les joues toujours rougies par la vision de Johanna avec elle, faisant ce qu'elle avait toujours rêvée sans jamais avoir pu l'avouer à la jeune femme qui clamait haut et fort son hétérosexualité. Il fallait passer à la suite ou bien laisser alors laisser Francis prendre l'initiative... La jeune femme prit finalement la parole...
"Je... On va manger? Sauf si... tu veux parler de ce baiser... Je..."
Elle laissa sa phrase en suspend de cette façon Francis pourrait imaginer de bien belles choses alors qu'elle se passait les mains sur les joues. | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Lun 2 Mar - 17:08 | |
| Rapidement, Chiyoko décida de prendre de l'initiative dans ce baiser en allant jouer avec sa langue sans retenue, libérant de ce fait un grand afflux de sang chez le jeune reporter, fort heureusement pour lui, surtout concentré sur son beau visage timide, virant à présent au cramoisi, traduisant plus à présent un certain plaisir qui remplace la grande gêne qui lui occupait l'esprit auparavant .
A cet instant, Francis se demandait, dans quoi était-il en train de se lancer ? Ne faisait-il pas une erreur qu'il payerait cher par la suite ? La seule chose qu'il put se répondre fut simplement "Peu importe", totalement conditionné par le contact de Chiyoko, le reporter semblait bien incapable de penser avec discernement, il était assez amusant de voir à quel point un simple baiser troublait plus la lucidité du jeune homme qu'une dose massive d'alcool .
Enfin, Chiyoko lâcha brusquement ses lèvres, ayant un léger mouvement de retour avant de rougir, balbutiant une phrase d'un air assez gênée :
"Je... Je suis désolée de m'être laissée aller comme ça c'est... Gênant je..."
Francis observait Chiyoko sans trouver ses mots, il semblait encore trop "secoué" par ce lien brisé aussi soudainement, cependant, il s'appliqua à reprendre ses esprits, laissant revenir de nombreuses questions alors qu'il redevenait plus ou moins lucide, alors que pendant ce temps, Chiyoko restait ainsi à lisser sa robe timidement, attirant l'espace d'un instant le regard de Francis sur ces fines jambes pour une grande partie laissées à sa vue et à ses illusions de pauvre jeune homme, portant un solide coup à sa pureté psychique, seulement coupé dans son observation par de nouvelles paroles de la jeune femme :
"Je... On va manger? Sauf si... tu veux parler de ce baiser... Je..."
Remontant immédiatement son regard à celui de Chiyoko, il reprit doucement ses couleurs, à cet instant, il faut bien admettre qu'il avait bien d'autres soucis que son estomac, cependant, refuser cette invitation pour se jeter sur la jeune femme serait peut-être un peu malvenu, sans compter certains détails quelque peu dérangeant tel que son arme sous sa veste, qui serait tôt ou tard dévoilée, il fallait qu'il s'explique au cours du repas, poser un minimum de cartes sur la table, si Chiyoko découvrait tout elle même, elle aurait tôt faite de se méfier de lui et de penser qu'il lui cachait encore plus que ce qu'il cachait réellement, c'est ce pourquoi il prit sa décision :
- On... On pourrait en parler à table... Il... Il faut qu'on parle de tout cela...
A noter que le reporter, si il avait gardé un ton pour le moins timide encore une fois, n'avait pas prit un ton ou une attitude grave pour annoncer l'obligation de devoir discuter, plus une petite gêne qui pouvait même avoir l'air un peu amusante, le reporter ne semblait pas vraiment sur le point d'annoncer quelque chose de trop désagréable, du moins, dans son esprit, il pensait que cela ne serait pas le plus désagréable qui soit, seulement un peu inattendu . | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Jeu 5 Mar - 16:06 | |
| Chiyoko attendait que le petit journaliste ne réponde à sa question, elle n'avait rien de bien plus à faire pour le moment et donc s'entreprit à décrypter les actes tout juste passés du jeune homme. Certes elle le faisait déjà depuis un moment mais le baiser qui venait de passer était "LA" raison de ce rendez vous, bien évidement le but de ce diner avait évolué depuis l'arrivée de Francis et le simple avis sur sa performance "linguistique" n'était plus que le début de ce qui l'intéressait maintenant. Francis semblait toujours aussi perdu, ses joues étaient une nouvelle fois rougies par sa gêne excessive, son regard suivait les mains de la jeune femme lissant sa robe, il la déshabillait du regard, sous ses demandes bien entendu car ses mains bien que montrant la fausse gêné de Chiyoko était surtout la pour que Francis puisse se laisser guider par elle.
- On... On pourrait en parler à table... Il... Il faut qu'on parle de tout cela...
Et bien voilà une réponse inattendu parler de tout ça en mangeant. La pigiste aurait préférée qu'il l'embrasse à nouveau et ce avec fouge pour satisfaire son envie de luxure qu'elle avait du refréner pour que le journaliste ne meurt pas d'un trop gros afflux de sang... Mais c'était son choix bien qu'elle ne le soutienne pas. Chiyoko se leva doucement passant ses mains une dernière fois sur sa robe les faisant descendre jusqu'à ses cuisses pour que Francis ait une nouvelle fois l'occasion de la déshabiller du regard, il fallait bien l'émoustiller un peu ce grand timide s'il devait prendre quelques initiative pour lui faire plaisir.
"Oui bien sur, suis moi j'ai mis la table dans la cuisine. Ce... C'était bien?"
Alors qu'elle posait la question la petite fouine tendit la main vers Francis pour qu'il la prenne et qu'elle puisse l'entrainer vers la cuisine pour que la suite de leur petit tête à tête ne se poursuive et pourquoi pas qu'il se transforme en leur première partie de jambe en l'air. Oui Chiyoko voyait loin, même bien trop loin mais c'était ainsi cette jeune femme était une véritable petite droguée des sensations fortes et l'un d'elle se passait dans son lit Francis était sa finalité de la soirée. Se dirigeant vers cuisine la petite américaine fit signe à Francis de prendre place sur une chaise en face de la sienne avant de se diriger vers les plats pour les placer sur le centre de la table et de prendre place en face de Francis.
"J'espère que tu va aimer... Francis. Ils ont de la très bonne cuisine la bas c'est souvent que je leur en commande."
Chiyoko servit le jeune homme, une bonne odeur de poulet aux épices emplit la pièce alors qu'elle remplissait l'assiette de Francis tant qu'il ne la stoppait pas en lui souriant avant de se servir une petite assiette à elle même. Prenant la chaise elle regarda Francis de son petit regard charmeur tant gêné que confiant.
"Tu voulais parler du baiser tout à l'heure ou... de ce que j'ai dis sur... nous?"
Voilà comment griller les étapes façon Chiyoko. | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Ven 6 Mar - 16:11 | |
| Chiyoko se releva doucement, passant une dernière fois ses mains sur sa robe, juste au niveau du regard du jeune homme, voila qui ne l'aida pas vraiment à reprendre ses couleurs alors que son esprit vagabondait vers des pensées peu catholiques de lui fusionnant avec la petite pigiste, lorsqu'enfin, elle le tira de ses pensées :
"Oui bien sur, suis moi j'ai mis la table dans la cuisine. Ce... C'était bien?"
- C'était... Hem... C'était magnifique...
Souriant timidement, Francis prit doucement la main de Chiyoko lui avait tendu en se levant doucement, celle-ci l'entrainant ensuite vers ce qui devait être la cuisine, alors que le jeune homme avait un brusque flash, se revoyant deux ans auparavant, entrainé de la même façon par une jeune femme dans les rues d'une petite ville italienne par un beau jour de printemps, une vision idyllique, d'une vie idyllique, un instant de pur bonheur, nul travail malhonnête, nul arme, l'amour, la paix, jusqu'à ce que soudainement, le reporter ne sente sa main lâchée, retournant on ne peut plus brusquement à la réalité .
Observant la cuisine, il vit Chiyoko lui désigner d'un air courtois et très amical la chaise en face de la sienne afin qu'il s'y assoit, ce qu'il fit sans attendre, s'appliquant à ne pas paraitre troublé par ce que sa mémoire s'amusait à faire remonter sans prévenir alors que la pigiste amenait les plats qu'elle avait commandé un peu plus tôt dans la soirée et les posait au centre de la table .
"J'espère que tu va aimer... Francis. Ils ont de la très bonne cuisine la bas c'est souvent que je leur en commande."
- Je te fait confiance Chiyoko, de toute façon, je ne suis pas critique culinaire au journal...
Souriant de sa petite blague rappelant bien qu'ils appartenaient tout deux à un monde quelque peu différents, celui de la presse, il stoppa Chiyoko qui le servait lorsque son assiette fut moyennement remplit, ne sachant pas vraiment si il aurait beaucoup d'appétit avec cette sensations typique des instants timides, cet estomac qui ne cessait de remuer, cette bile qui ne demandait qu'a cracher pour amener le jeune reporter vers un ulcère .
Toujours souriant, il suivit Chiyoko du regard lorsqu'elle se servit elle-même avant de s'asseoir en face de lui, affichant une attitude à la fois charmeuse et timide à la fois, en clair, ce qui fait fondre le reporter :
"Tu voulais parler du baiser tout à l'heure ou... de ce que j'ai dis sur... nous?"
Prenant une discrète mais longue inspiration, Francis essayait de calmer son cœur qui se mettait à battre la chamade, le stress était la, il était temps de parler, de réellement parler, de se dévoiler un peu, jamais encore il n'avait eu à expliquer sa vie à Chicago à quelqu'un d'autres que des italiens tout aussi ancrés dans le clan que lui, il ne pouvait donc prévoir la réaction de Chiyoko, si gentille, si douce, elle pourrait prendre peur...
- Eh bien... Je voulais plus parler de nous, en particulier de moi Chiyoko... Je suis né en Europe, en France, mon père était américain et ma mère italienne, j'ai vécu toute ma jeunesse en France, avant d'émigrer vers l'Italie pour y vivre quelques années, c'est seulement ensuite que je suis parti pour l'Amérique et que je suis arrivé ici, et... Irrémédiablement, je me suis bien aperçu qu'il était difficile de vivre sans aide, je travaillais pour un petit journal qui peinait à vendre ses tirages, dans le quartier italien, et donc...
Mettant la main à l'ouverture de sa veste, il tira légèrement le côté gauche pour dévoiler la crosse de son arme et son holster, un court instant, juste assez longtemps pour que Chiyoko le voit, cependant, il ne put s'empêcher de poursuivre par un discours tenant à rassurer la jeune américaine :
- Mais ne craint rien... Je ne suis pas la pour te faire du mal, notre rencontre était un total hasard, il me semblait cependant indispensable de t'en parler avant que nous n'allions plus loin...
Observant Chiyoko d'un air moins gêné, moins stressé, il pensa qu'il était temps de trouver un moyen de faire digérer la chose, sans quitter Chiyoko des yeux, Francis joignit alors ses mains sur le bord de la table, attendant un court instant pour voir si Chiyoko allait faire de même avant de fermer les yeux et de réciter à vois basse cette phrase ancestrale pour laquelle il avait reçu beaucoup de coups de bâtons sur les doigts avant de l'apprendre :
- Bénissez nous, Seigneur, bénissez ce repas, ceux qui l'ont préparé, et procurez du pain à ceux qui n'en ont pas ! Ainsi soit-il !
Une fois ceci fait, Francis ouvrit alors en douceur les yeux, les portant à nouveau sur Chiyoko afin de voir qu'elle était sa réaction finale devant cet afflux soudain d'informations, pour certaines, sans aucun doute un peu dure à digérer . | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Mar 10 Mar - 20:28 | |
| Tout les petits mots gentillets qu'il venait de lui adresser la fit tendrement sourire, un sourire qu'elle essaya de rendre à nouveau charmant il ne fallait pas que Francis oublie qu'elle avait le beguin pour lui. Toujours aussi intimidé après les belles phrases qu'elle lui avait énoncée Francis se décida à parler.
- Eh bien... Je voulais plus parler de nous, en particulier de moi Chiyoko... Je suis né en Europe, en France, mon père était américain et ma mère italienne, j'ai vécu toute ma jeunesse en France, avant d'émigrer vers l'Italie pour y vivre quelques années, c'est seulement ensuite que je suis parti pour l'Amérique et que je suis arrivé ici, et... Irrémédiablement, je me suis bien aperçu qu'il était difficile de vivre sans aide, je travaillais pour un petit journal qui peinait à vendre ses tirages, dans le quartier italien, et donc...
Les yeux de Chiyoko se mirent à s'agrandir au fur et à mesure que l'italien parlait, ses mains allèrent se poser sur ses cuisses se crispant sur sa robe celle-ci essayant de se contenir jusqu'au moment où Francis ouvrant sa veste pour lui dévoiler l'arme qu'il cachait faisant complètement chavirer la jeune femme son sang entrant en ébullition devant un tel flux d'information qui venait de se dévoiler à elle. Un sourire vint se dessiner sur les lèvres de Chiyoko trahissant les pulsions qui venaient de envahir alors que Francis reprit la parole.
- Mais ne craint rien... Je ne suis pas la pour te faire du mal, notre rencontre était un total hasard, il me semblait cependant indispensable de t'en parler avant que nous n'allions plus loin...
La pigiste n'avait pas écoutée le moindre mot de cette deuxième phrase seule la fin semblant avoir réussit à passer quelque peu les centaines de pensées qui se bousculaient dans sa tête. Le coeur de l'américaine s'était mit à battre de plus en plus fortement dans sa poitrine il frappait si fort dans sa poitrine, elle pouvait l’entendre battre la chamade, chaque coup résonant dans sa tête les un après les autres. A chaque coup une information dévoilée par Francis vint passer devant ses yeux, certes certaines n'étaient finalement pas si importantes comme le fait qu'il soit né en France ou que ses parents étaient italien ou américain. Mais au yeux de la fouineuse cela restait une information qui allait devoir se retrouver aligner aux autres bien plus importantes sur le calepin de Francis comme les autres primordiales comme le fait qu'il soit armée, qu'il avait eut sans le moindre mal une place au Chicago times mais encore qu'il semble essayer de lui faire comprendre que le quartier italien était important pour lui. Francis était en homme qui bien que timide finalement pouvait se montrer dangereux puisqu'il était armé ce qui fit monter en elle une deuxième vague de désir qu'elle eut bien du mal à endiguer mais les paroles que Francis avança par la suite la refroidir quelque peu.
- Bénissez nous, Seigneur, bénissez ce repas, ceux qui l'ont préparé, et procurez du pain à ceux qui n'en ont pas ! Ainsi soit-il !
C'était quoi ça... Chiyoko secoua la tête comme pour essayer d'évacuer cette petite pensée qui lui criait au fond d'elle *ça sera pas avant le mariage, ça sera pas avant le mariage, ça sera pas avant le mariage* ce qui ne fut pas vraiment difficile avec les multiples choses qu'elle avait en tête son sang bouillonnant toujours autant dans ses veines le plaisir que les paroles du jeune italien avait fait monté en elle n'ayant toujours pas diminué alors qu'elle continuait à se crisper sur ses cuisses.
"Francis... Tu..."
Non elle ne pouvait pas demander ça aussi rapidement, mais pourtant cela lui brulait les lèvres d'un coup le timide jeune homme qu'elle avait devant elle s'était transformé un jeune homme timide armé ce qui valait tous l'or du monde, c'était un vrai potentiel d'information qu'elle avait très envie d'épuiser. Essayant de se détendre relâchant sa robe qu'elle maltraitait depuis cinq bonnes minutes ses cuisses commençant à en souffrir elles aussi, la jeune femme inspira doucement avalant une minuscule bouchée de pâtes en regardant Francis.
"Tu... Ton arme... pourquoi tu en as une... Moi je suis née ici et je n'en aies jamais eut... Je... Tu fais des choses illégales?"
Voilà une bonne façon de récolter quelques informations supplémentaires et d'essayer d'oublier qu'elle avait une furieuse envie de lui sauter dessus pour l'embrasser une nouvelle fois avant de le mettre à nue pour faire chuter l'envie furieuse qu'il avait fait naitre en elle. | |
| | | Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Sam 14 Mar - 22:42 | |
| "Francis... Tu..."
Observant Chiyoko et l'écoutant avec attention, elle lui donnait une drôle d'impression, stressée, gênée, le jeune homme ne détourna le regard seulement lorsqu'elle prit une inspiration en attaquant son plat, sans rien ajouter, le jeune homme prit également une bouchée de nourriture qui se révéla vraiment délicieuse malgré qu'il n'ait pas faim, il se demandait ce qu'elle voulait bien lui dire pour qu'elle se stoppe elle-même, quelque chose d'important ? Qu'est ce qu'il pouvait en savoir ?
Mâchant doucement, il croisa alors le regard de Chiyoko, c'est à ce moment qu'elle se décida à enfin parler, l'air toujours aussi gênée :
"Tu... Ton arme... Pourquoi tu en as une... Moi je suis née ici et je n'en aies jamais eut... Je... Tu fais des choses illégales ?"
S'arrêtant de mâcher, Francis fixa les yeux de la petite pigiste, voila la contre-attaque, les conséquences du fait qu'il préférait jouer le franc parler plutôt que de cacher un peu sa vie, cependant, le jeune homme savait qu'il fallait se freiner, il ne pouvait pas ainsi déballer tout ce qu'il faisait, tout ce qu'il savait du clan, c'est à ce moment seulement qu'il réalisa vraiment sa faute, normalement, c'est à lui de recueillir des infos, pas d'en donner, et c'est maintenant qu'il doit se stopper, ne pas se laisser glisser sur cette pente, c'est pour cela qu'il avale tout rond sa bouchée pour prendre la parole :
- Chiyoko, non ! Simplement, pour écrire de bons articles, il faut savoir protéger ses arrières, je ne pensait pas avoir besoin de me protéger par le passé...
Lentement, Francis posa sa fourchette sur la table, approchant son index de sa lèvre supérieure pour la soulever légèrement afin de montrer brièvement une de ses dents cassée, cela n'était pas des plus esthétique, mais à voir à quel point Chiyoko avait envie d'en savoir plus sur sa vie privée, peut-être se ferait-elle un beau film et comprendrait bien qu'il n'est pas un méchant lui même .
- Mais maintenant, je le sait, donc j'ai du soutient de la part d'amis qui regrettent, comme moi, cette bonne vieille Europe bien tranquille, et qui m'aide en échange d'autres services, l'entre-aide, entre immigrés, c'est une excellente chose .
A mesure que les minutes passaient, Francis semblait réellement reprendre confiance en soi, se rappeler qu'il avait du monde au quartier, qu'il appartenait à une vrai famille sur laquelle il pouvait compter car elle comptait également sur lui, cela lui donnait amplement le courage de discuter avec Chiyoko sans avoir la voix chevrotante, rougir sans cesse, il savait qu'il était temps de se reprendre, de se comporter un peu en homme, si c'était ainsi qu'il devrait obtenir des infos de Chiyoko, il fallait bien qu'il se "sacrifie" pour le bien du clan . | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Dim 15 Mar - 2:18 | |
| Francis imita la jeune femme entamant son assiette tout en la regardant fixement, le journaliste s'arrêta immédiatement de manger après qu'elle lui ait posée la question sur les actes plus ou moins illégaux qu'il pouvait effectuer lui répondant aussitôt.
- Chiyoko, non ! Simplement, pour écrire de bons articles, il faut savoir protéger ses arrières, je ne pensait pas avoir besoin de me protéger par le passé...
Francis posa sa fourchette et exhiba sa dentition, chose qui n'était pas très propre à table mais Chiyoko ne dit rien regardant la dent cassée que le jeune homme semblait essayer de lui montrer avant qu'il ne reprenne la parole sous le regard intimidée de la pigiste qui posa sur la table sa fourchette. Alors qu'il avait reprit la parole la jeune femme se leva doucement la tête basse, grâce à cette belle petite explication elle avait pouvoir entamer la suite de son plan qui se dessiné de plus en plus clairement dans sa tête.
- Mais maintenant, je le sait, donc j'ai du soutient de la part d'amis qui regrettent, comme moi, cette bonne vieille Europe bien tranquille, et qui m'aide en échange d'autres services, l'entre-aide, entre immigrés, c'est une excellente chose .
"C'est... important d'avoir du soutient de ses amis... Moi je... J'ai eut quelques soucis aussi à vrai dire..."
La petite fouineuse se rapprocha de Francis prenant une chaise la plaçant à coté de lui à quelques trente centimètres de lui le regardant dans les yeux avant de s'assoir. La jeune femme quitta une de ses belles chaussures puis l'autre posant son pied contre le pied de la table sous les yeux de sa proies et commença a faire glisser sa main avec une lenteur sensuelle le long de sa cuisse droite retirant dans le même temps sa jambière de tissus la faisant glisser le long de ses cuisses jusqu'à ce qu'elle tombe sur le sol. Sans un mot Chiyoko vint poser sa jambe sur son autre pour que sa cheville soit bien en évidence laissant apparaître les traces de cicatrice présente sur celle-ci. L'américaine semblait assez mal à l'aise de laisser Francis voir cette marque et dans un sens ce n'était pas une émotion qu'elle avait crée pour qu'il rentre dans le jeu mais bel et bien la réalitée Chiyoko était vraiment mal dans sa peau essayant par tout les moyens de cacher les marques que son petit tête à tête avec les chinois lui avaient laissées.
"C'est la première fois que je le montre à quelqu'un sans... Enfin c'est juste que... J'aimerais bien moi aussi avoir quelqu'un pour me protéger comme..."
Ne finissant pas sa phrase Chiyoko fit glisser le morceau de tissu sur son poignet le retirant montrant une autre cicatrice au niveau de ses veines comme si elle se les étaient tranchées, ce qui était vrai bien qu'elle n'y soit pour rien elle même.
"J'ai jamais eut personne qui voulait bien rester avec moi... A cause de... ça..."
La fouine s'efforça de paraître mal à l'aise ce qui n'était pas vraiment compliqué elle avouant qu'elle avait déjà subit des sévices physiques épargnant les détails à Francis. Finissant de parler elle resta devant le jeune homme se baissant pour ramasser sa jambière la déposant sur ses cuisses reportant ses yeux sur le visage de son vis à vis. | |
| | | Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Dim 15 Mar - 19:04 | |
| "C'est... important d'avoir du soutient de ses amis... Moi je... J'ai eut quelques soucis aussi à vrai dire..."
Sans empressement, la pigiste se leva et se rapprocha de Francis, prenant une autre chaise pour s'asseoir tout près de lui sans que celui-ci ne comprenne réellement, la manœuvre, avait-elle aussi du subir les conséquences d'un article un peu osé ? Croisant son regard, il ne put que se dire que tout était possible, et qu'il aurait sans doute la réponse d'ici très peu de temps .
Et, en effet, la réponse ne vint pas tarder, la jeune femme retira doucement ses chaussures, ce qui eut pour conséquence directe une accélération du rythme cardiaque du reporter qui commençait à se demander ce qu'elle comptait faire la, ce qui ne s'arrangea pas lorsqu'elle posa une de ses jambe contre un pied de la table suivie de l'autre après avoir retirée sa jambière, l'exhibant presque au regard à présent gêné du jeune homme qui voyait maintenant la cicatrice, le malaise le reprenait, pourquoi devait-elle ainsi s'ouvrir à lui et lui rendre les choses plus difficiles ?
Sentant également un certain malaise du côté de Chiyoko, le jeune homme détourna le regard de la cicatrice pour observer le sien, jusqu'à ce qu'elle ne reprenne la parole, le réveillant soudainement après cette révélation :
"C'est la première fois que je le montre à quelqu'un sans... Enfin c'est juste que... J'aimerais bien moi aussi avoir quelqu'un pour me protéger comme..."
"Te laisse pas avoir vieux... On ne partage pas sa place dans le clan avec une conquête... Pense y bi... Putain de merde !" Le jeune homme avait ouvert de grand ceux en voyant la grande cicatrice au niveau de la veine du poignet de Chiyoko, lui donnant un léger frisson en se rappelant toutes les cicatrices blanchâtres qui ornent ses bras et lui prouve tout les jours qu'il est psychologiquement faible .
"J'ai jamais eut personne qui voulait bien rester avec moi... A cause de... ça..."
L'air toujours aussi mal à l'aise, la fouine semblait transférer inconsciemment sa honte sur Francis, commençant à être sérieusement rebuté par l'idée de profiter de cette pauvre jeune femme qui semblait avoir déjà bien souffert, il se sentait réellement désemparé devant elle, que devait-il faire ? S'excuser ? La réconforter ? La remercier de sa franchise ? Profiter de cette faiblesse ? Se laisser aller à des confidences ? La pousser ELLE à faire des confidences ?
- Je... Hem... Suis désolé... Chiyoko... Si... Si tu veut qu'on en parle... Je suis la...
"Ha beh bravo le tombeur !" Pensa t-il en posant sa main droite sur celle de Chiyoko, ses yeux fixés sur les siens, ayant rapproché par simple réflexe son visage de celui de la petite pigiste, il se sentait vide, comme si il devait se préparer à devoir assimiler beaucoup de choses, Chiyoko et lui, mal à l'aise, elle qui l'a inconsciemment aguiché avec ses fines jambes, lui qui l'a poussé à se dévoiler, les yeux dans les yeux, leurs visages séparés par à peine quinze centimètres de distances, il y avait de grandes chances que cela finisse différemment qu'un simple repas entre nouveaux amis... | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Dim 15 Mar - 22:11 | |
| La jeune femme avait fait son travail c'était maintenant à Francis de se montrer intéressé ou compréhensif sur ce qu'elle venait de lui avouer. Toujours dans une position assez aguicheuse contrastant avec son regard, Chiyoko attendait que son invité ne prenne la parole.
- Je... Hem... Suis désolé... Chiyoko... Si... Si tu veut qu'on en parle... Je suis la...
Le visage de Francis alors qu'il parlait se rapproché du sien comme s'il voulait la rassurer par cette proximité qu'il essayer d'instaurer entre eux, proximité qu'ils avaient déjà tout deux connu il y a peu de temps sur le divan dans le salon. C'était une expérience qu'elle avait très envie de re-proposer au jeune homme mais devait elle en profiter pour autant dès à présent? Que voulait il en lui demandant de parler de tout ça alors qu'elle voulait l'oublier le cachant la plus part du temps? Chiyoko ne savait pas vraiment comment prendre tout ça mais si elle voulait profiter de Francis quelques temps que ce soit en simple partenaire sexuel ou en petit ami elle se devait de s'ouvrir un peu sans trop en dire... Gardant son visage toujours aussi proche de celui de son invité la jeune américaine à l'apparence de fillette se décida à parler ayant trouvé assez vite ce qu'elle avait pouvoir dire essayant de garder son regard en face de celui de Francis.
"C'est... C'est arrivé un soir où des gens qui n'ont pas appréciée ce que je faisait m'ont.. Maltraitée... C'était... vraiment dur ce qu'ils m'ont fait ce soir là... Dégradant... Depuis je signe plus mes article de mon nom... Je cache les choses... J'essaye de moins sortir la nuit toute seule c'est pour ça que... Je devais voir l'homme de ce soir... Tu sais mon ami... Il est en fait..."
Chiyoko ne finit pas sa phrase voulant que Francis s'imagine ce qu'il voulait que ce soit en mal ou en bien avant qu'elle n'explique avec ses mots qu'elle aurait ainsi le temps de sélectionner avec soin. Elle était gênée de cette discussion jamais elle n'aurait cru devoir parler de tout ça à Francis lorsqu'elle l'avait invité, c'était peut être comme ça que les personnes timides aimaient leur soirée avec les femmes en petites confidences sans que rien de bien passionnant ne se passe sur le plan sexuelle ce qu'il fallait bien avouer n'enchantée pas la fouineuse mais cela allait peut être changer après tout elle avait déjà eut un baiser passionné alors pourquoi pas ce qui allait avec?
"C'était pour qu'il me protège... Mais je ne l'aime pas du tout il me fait un peu peur... pas... comme toi... Tu as l'air gentil et... mon cœur bas si fort dans ma poitrine quand... Je suis tout proche comme tout à l'heure sur le divan... c'était... bien."
Chiyoko rapprocha ses lèvres de celles de Francis sur la fin de sa phrase les apposant contre celles du journaliste avant de les retirer rapidement les joues rougies sans avoir réellement embrassée le jeune homme.
"Pardon... Tu dois me prendre pour..."
Une nouvelle fois Chiyoko ne fini pas sa phrase mais celle-là elle ne comptait pas la compléter baisant rapidement les yeux. Posant par la suite sa jambe sur le sol la jeune femme aux cheveux de lune se baissa pour ré-enfiler sa jambière en tissus passant sa main sur ses yeux comme si elle voulait cacher de petites larmes qui n'existait bien évidement pas mais avec son visage vers le sol Francis ne pouvait rien en savoir. | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Dim 22 Mar - 21:11 | |
| "C'est... C'est arrivé un soir où des gens qui n'ont pas appréciée ce que je faisait m'ont.. Maltraitée... C'était... vraiment dur ce qu'ils m'ont fait ce soir là... Dégradant... Depuis je signe plus mes article de mon nom... Je cache les choses... J'essaye de moins sortir la nuit toute seule c'est pour ça que... Je devais voir l'homme de ce soir... Tu sais mon ami... Il est en fait..."
Observant la petite fouine dans les yeux, Francis était partagé entre gêne et curiosité, qui pouvait bien être cet homme ? Que fait-il pour pouvoir prétendre protéger Chiyoko contre d'éventuelles représailles ? Le reporter ne pouvait que supposer des réponses, il essayait de se remémorer ou était Chiyoko lorsqu'il était entré au Million Dollar Hotel, et cet homme qui lui faisait face... Une tête qui lui était inconnue... Il pourrait toujours tenter d'en savoir plus à l'avenir...
Finalement, Chiyoko le tira à nouveau de ses pensées, continuant à parler d'un ton qui emplissait le cœur du jeune homme d'une affection pour cette jeune femme qui lui donnait l'impression d'être si fragile, si démunie :
"C'était pour qu'il me protège... Mais je ne l'aime pas du tout il me fait un peu peur... pas... comme toi... Tu as l'air gentil et... mon cœur bas si fort dans ma poitrine quand... Je suis tout proche comme tout à l'heure sur le divan... c'était... bien."
Rougissant quelque peu, Francis faillit s'embraser en sentant les lèvres de Chiyoko frôler les siennes dans une douce caresse, son cœur battait la chamade, le pauvre jeune homme ne savait que faire devant toutes les émotions que Chiyoko faisait surgir en lui, de l'affection, de la gêne, de la surprise, il ne pouvait pas ainsi décemment éprouver quelque chose d'aussi fort que de l'amour pour une personne qui lui était inconnue il y a seulement une ou deux heures, Francis ne croyait pas au coup de foudre, par le passé, la patience avait toujours été sa meilleure alliée, comment savoir quoi faire lorsque tout allait trop vite ?
"Pardon... Tu dois me prendre pour..."
La petite pigiste baissa les yeux, laissant Francis seul avec ses pensées, pouvait-il croire qu'elle ne voulait que quelque chose de physique ? Avec tout ce qu'elle lui avait dit ? Non ! Elle pensait qu'il pouvait croire cela, il ne fallait pas, il fallait qu'elle sache qu'il y avait quelque chose aussi de son côté, mais n'étais ce pas prématuré d'exprimer cette affection qui lui brulait les entrailles ? La, maintenant, dans cette cuisine ?
Sans y réfléchir plus, Francis trouva la réponse, posant sa main sur celle de Chiyoko alors qu'elle ré-enfilait sa jambière, il la laissa passer l'autre devant son visage avant de lui faire relever doucement à l'aide de son autre main, murmurant d'un ton qui ne trahissait plus que de l'affection :
- Pour une petite timide ?
Ne laissant pas le temps à Chiyoko de répondre, il attrapa avec précaution et rapidité ses lèvres pour se lier avec elle dans un baiser des plus tendre, au fond, avait-il réellement besoin de mots pour exprimer ses émotions, lorsqu'il pouvait laisser parler son corps pour lui, bien sur que non, le prouvant en prolongeant ce baiser tout en prenant la main de Chiyoko dans la sienne, en cet instant, c'était drôle à dire, mais Francis retrouvait un peu ses repères, il n'était pas à son premier baiser, ses premières caresses, il savait qu'il pouvait faire passer une bonne soirée, voir une bonne nuit à Chiyoko, même si à l'instant présent, le jeune couillon à quelque peu oublié ce pourquoi il a accepté cette invitation à dîner . | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Mer 25 Mar - 2:22 | |
| Alors qu'elle finissait de remonter le morceau de tissus sur sa jambe Francis posa avec douceur une de ses mains sur la sienne l'aidant, sans pour autant s'impliquer, la laissant finir seule ne faisant que l'accompagner ce qui la surprit sur le moment la fouineuse ne s'attendant pas du tout à ce que l'italien ne fasse cela. Puis sa deuxième main vint contre son visage le remontant lentement pour qu'il soit en face du sien alors qu'il lui répondit.
- Pour une petite timide ?
Ce n'était pas vraiment la réponse qu'elle avait en tête elle même sachant qu'elle n'avait qu'une seule envie, une envie qui lui rongeait les tripes celle lui sauter dessus pour passer un bon moment avec ce beau garçon, alors elle se voyait plus comme un mangeuse d'homme, d'homme car il n'y avait pas de femme dans la pièce... Mais alors qu'elle allait lui répondre de façon positive ajoutant comme une personne faible aussi, puisqu'elle se devait de paraître comme Francis l'imaginait pour le moment celui-ci prit possession de ses lèvres. C'était la première fois qu'il prenait l'initiative sans qu'elle ne lui ait tendu une quelconque perche des plus flagrante comme elle l'avait fait sur le divan en début de soirée, apparemment le simple fait de lui avoir laissé entrevoir un petit peu de sa vie avait suffit pour qu'il se décide à la gratifier de celui-ci. La jeune américaine surprise par ce contact qu'elle n'imaginait pas possible aussi rapidement laissa le jeune homme aller à son aise et prendre les initiatives qu'il pensait être les bonnes alors qu'il enlaçait doucement sa main pour la presser dans la sienne continuant de la gratifier de ce tendre baiser.
Après quelques instants où la jeune femme avait laissée les commandes à Francis comme complètement perdue ou subjuguée par les actions du jeune homme, Chiyoko se mit à serrer fortement la main de l'homme tout en se levant pour se rapprocher de lui tout en continuant de l'embrasser emportée par le désir qu'il lui transmettait. Ses lèvres étaient toujours plus attrayantes, la caresse qu'il lui offrait l'excitant outre mesure, elle devait essayer de se maitriser de rester dans son rôle mais c'était pour le moment complètement impossible son désir charnel ayant déjà était alimenté par les informations que Francis lui avait laissé entrevoir. C'est ainsi que Chiyoko se retrouva debout, pressée contre Francis, une de ses cuisses entre les deux jambes du jeune homme son bassin tout contre le sien, sa main libre sur l'arrière du crâne de son partenaire alors qu'elle s'emparait de la langue de l'italien avec un entrain montrant clairement qu'elle n'était pas si timide dans le feu de l'action prenant le dessus sur les caresses de Francis. Portant leurs mains liées dans son dos pour que Francis puisse la poser avec douceur dans son dos ou plus bas ce qui ne la dérangerais pas Chiyoko retira sa propre main pour la poser contre son autre contre la nuque de Francis la faisant lentement descendre dans son dos.
Après un très long baiser et des caresses qui par miracle étaient restées honorable Chiyoko détacha ses lèvres de celles du journaliste pour se redresser gardant tout de même cette proximité le visage de Francis se retrouvant devant le décolleté de Chiyoko du à leur différence de taille assez importante. Chiyoko porta l'une de ses mains contre le visage du jeune italien arborant une frimousse franche montrant explicitement ses sentiments, la joie qu'elle ressentait suite aux attentions dont Francis venait de la gratifier le regardant dans les yeux essayant de regagner son rôle pour répondre qu'il avait dit peu de temps avant de l'embrasser.
"Je... J'ai juste pas l'habitude de ce genre de relation..."
Ce n'était peut être pas dès plus convaincant mais elle n'avait sur l'instant pas de meilleures idées sur ce qu'elle aurait pu dire. Que pouvait il bien penser à cet instant? Avec tout ce qu'elle avait déjà dit est ce qu'il la prendrait pour une folle... Elle devait trouver quelque chose à faire mais quoi, après ce qu'il venait de se passer, dans la position où elle était... Chiyoko baissa un peu le visage pour déposer un baiser simple, un petit contact lèvres à lèvres avant que son visage ne prenne une teinte rosie alors qu'elle se redressait... | |
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Jeu 9 Avr - 10:10 | |
| Ayant prit l'initiative, l'italien ne fut pas étonné, à un moment, que Chiyoko ne prenne à son tour les rennes pour se laisser aller, aussi timide soit-elle,, c'est ainsi qu'il la laissa encore se rapprocher de lui, au point que cela en devienne quasiment indécent, mais alors, qu'elle passion ! Francis se laissait alors mener par la petite pigiste, totalement incapable d'avoir une pensée lucide et réfléchie, il n'avait en tête que cette langue si douce qui se pressait contre la sienne, tout comme le corps de Chiyoko contre le sien, ce baiser si passionné, voila quelque chose qui lui avait bien manqué...
Puis la fouine attira doucement les mains de Francis dans son dos, leurs laissant ensuite carte blanche pour montrer leur douceur et leur adresse alors qu'elle gardait une prise bien serrée sur lui, une main derrière le crane, l'autre sur la nuque, glissant ensuite outrageusement dans son dos . Le reporter ne tint pas à être en reste, laissant à son tour glisser ses mains, un peu timidement, au bas du dos de Chiyoko, il attendit un court instant afin de s'assurer du consentement de celle-ci avant de les laisser encore descendre sur son petit postérieur .
C'est alors qu'elle se détacha doucement des lèvres du reporter, maintenant quand même cette chaude proximité qui ne pouvait être que profitable au jeune homme, elle posa sa main sur son visage alors que celui-ci faisait tout pour ne pas laisser son regard dériver sur cette petite poitrine arrogante, reprenant un ton pour le moins timide qui contrastait énormément avec la passion qu'elle lâchait sur un simple baiser :
"Je... J'ai juste pas l'habitude de ce genre de relation..."
Souriant légèrement, Francis fut alors gratifié d'un doux baiser, court, certes, mais qui terminait d'achever son œuvre sur le jeune homme, un peu perdu, mais aussi terriblement charmé par tout ces "atouts", une mignonne petite américaine, qui s'ouvrait à lui, se montrait un petit peu timide, mais très passionnée, combien de temps avait-il espéré avoir cette chance ?
Rougissante légèrement en se redressant, le reporter mit un court instant avant de répondre à l'annonce de la petite fouine, trahissant clairement son trouble quant à tout ce qu'il se passait actuellement :
- Hem... Eh bien... Pourtant, tu... Tu te débrouille bien... Très bien...
Rougissant à son tour, il se demanda soudainement ce qu'il était en train de risquer, rater des infos sur Capone ? Lui faire croire qu'il ne voulait qu'une soirée débauche, vice & sexe, ou au contraire, qu'il allait vouloir reprendre ce repas ? Dans tout les cas, le pauvre jeune homme était dans le flou, se faire ainsi mener alors qu'il venait pour soutirer des informations... Voila pourquoi il préférait les informateurs masculins, ceux-la ne lui causaient pas de problème d'ordres sentimentaux ou sexuels au moins... | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: La maison des parents de Chioko Jeu 9 Avr - 18:58 | |
| Le jeune journaliste semblait apprécier ce qu'elle avait à lui offrir celui-ci ne se privant pas pour laisser ses mains parcourir le corps de la petite fouineuse. Certes elle avait encouragée cette action plaçant les mains de Francis sur ses courbes mais qu'il les laisse glisser aussi bas n'était que bon signe, apparemment les garçons timides n'étaient pas bien plus difficile à convaincre que les autres, c'était peut être même le contraire du moins c'était différant. Francis l'air un peu gêné ou tout du moins perturbé par tout cela prit la parole s'embrouillant un peu dans ses dires chaque mots ayant un peu de mal à sortir apparemment.
- Hem... Eh bien... Pourtant, tu... Tu te débrouille bien... Très bien...
Petite phrase accompagné d'un rougissement, à les voir tous les deux on auraient pu croire que c'était leur première fois devant leurs visages rougis par la gêne, qu'elle soit réelle ou simplement jouée. Pour Chiyoko du moins qui avait en réalité, et comme vous vous en doutez bien, l'habitude de ce genre de situation bien qu'elle n'avait la plus part du temps pas besoin de faire autant de simagrées pour se retrouver dans un lit avec un homme. C'était peut être ainsi si l'on voulait avoir une relation un peu plus longue qu'une simple nuit torride, à vrai dire Chiyoko n'avait jamais prit la peine d'y penser depuis qu'elle s'était mise en tête que jamais elle ne pourrait avoir la femme de ses rêves auprès d'elle devant les multiples façades que celle-ci érigeait devant son homosexualité. Regardant dans les yeux Francis la jeune femme pesa le pour et le contre d'une relation unique avec le journaliste passant doucement sa main contre son visage, certes c'était un peu tôt pour en décider mais au moins elle aurait un aperçu de la vie en couple avec un petit timide.
Bien sur elle savait ce que cela demanderait comme sacrifice ou plutôt comme cachoteries car elle doutait largement que Francis soit assez ouvert d'esprit pour être en couple avec une jeune femme aimant les rapports avec les femmes, que ce soit des petites amies ou bien des prostituées. C'était même certain qu'il ne pourrait pas envisager cela devant ses airs de timide plus qu'affirmé, elle devrait donc mentir sur ça pour commencer. Ensuite bien qu'elle ne ressentait pas grand chose pour lui pour le moment mise à part une forte attirance physique elle allait dans ce cas lui demander de la prendre pour petite amie et donc devoir se comporter ainsi la plus part du temps ce qui ne poserait pas de gros souci à vrai dire du moment qu'il restait... comme ça. La présentation de la famille ne serait pas non plus un problème, un rapide passage devant les deux porte monnaie devrait suffire appuyant cela avec quelques explications comme quoi elle ne les portait pas dans son cœur et toutes sortes de boniments du genre. Il serait ensuite plus dur de cacher son autre appartement, à moins qu'elle ne passe le plus clair de son temps ici chez ses parents ce qui serait chiant car ses calepins n'étaient pas ici mais bien à labrits dans sa pièce secrète... Du moins qu'elle passe le temps ou le jeune homme pouvait la surprendre et puis s'il venait sans qu'elle ne soit ici il suffirait qu'elle mente lui disant qu'elle était occupée à pondre un article. Il serait aussi possible qu'elle aille chez lui ce qui faciliterais tout ça la plus part des soirs.
Devant toutes ses questions réponses Chiyoko mit Francis pour essayer de voir si cela valait vraiment le coup, déjà il était journaliste ce qui était assez intéressant, au moins ça ferait taire toutes ses rumeurs comme quoi elle n'était pas capable de se trouver quelqu'un au journal, ensuite le fait qu'il soit armé amenait du piment dans cette relation car une arme n'est jamais la pour faire beau il y a forcement une bonne raison, nombres de journaliste ne se balade pas armé et non pas tant de souci pour autant. Puis vint le fait qu'il soit un immigré mais surtout qu'il connaisse du monde comme il le disait si bien, cela ne pouvait qu'être une bonne chose, au pire même si Francis se montrait par la suite d'un ennui mortel il y aurait toujours de nouvelles connaissance qu'elle pourrait étudier, c'était décidé mais le plus dur allait venir maintenant.
Souriant au jeune homme le laissant continuer à la gratifier de ces intimes caresses sur une partie si privé de son anatomie Chiyoko se baissa à nouveau se rapprochant de lui pour finalement s'assoir sur la jambe du jeune homme, en prenant toute les précautions d'usage pour ne pas tomber posant une de ses mains sur l'épaule du jeune homme avant de se rapprocher de son torse et de prendre la parole.
"Merci Francis... En fait... En général quand un des rares garçons vient chez moi, c'est juste... Pour la soirée comme ça. Tu sais...."
Les histoires à l'eau de rose n'étaient vraiment pas le truc de Chiyoko et ça pouvait se voir devant la petite mine qu'elle affichait cherchant ses mots pour ne pas paraitre trop vulgaire ou trop crue. Être timide ne voulait pas forcement dire chaste comme une none, du moins d'après ce que la jeune femme en savait et donc elle essaya de continuer sur cette lancée d'une voix toujours aussi gênée devant l'annonce qu'elle essayer de faire.
"Je veux dire... On peut être avec quelqu'un une soirée juste pour... comme ça. Mais... J'aimerais bien qu'avec toi... Ce ne soit pas juste comme ça... Je voudrais pas qu'on fasse ça et... que tu parte comme ça... Enfin tu sais... C'est que … Tu as une arme et tu sais te débrouiller, tu travail dans le journal ou je suis aussi et moi... ça fait pas longtemps que je te connais mais... Tu sais ce que j'ai dis tout à l'heure... Je.. J'aimerais bien être ta petite amie"
Et voilà elle avait lâchée le mot critique dans une fin de phrase dite si rapidement et dans un ton bien plus haut que le reste de la phrase comme si elle essayait de lâcher celle-ci depuis 2 semaines sans y arriver. Elle même ne savait pas si elle avait bien dit cela et encore moins si Francis avait eut la chance de comprendre ce qu'elle venait de dire. La petite aux cheveux de lune posa sa tête contre l'épaule de Francis retirant sa main pour la placer contre son ventre attendant que l'intéressait ne lui réponde et qu'elle ne doivent composer autre chose pour rendre cela crédible son coeur battant la chamade. | |
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