Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis |
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| Devant l'entrée. | |
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Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Devant l'entrée. Mer 10 Déc - 22:17 | |
| <=== Une sortie agitée La petite fouine sortie de l'hôtel en courant pour rattraper les hommes qui venait de passer les menottes au russe au si beau petit cul, oui il avait surement bien d'autres atout tout autant physique que mentaux mais au premier coup d'œil on remarquait surtout son beau visage et son beau petit cul c'était comme ça... Les policiers étaient entrain de le placer à l'arrière de la voiture lorsqu'elle mit le pied sur le trottoir, il n'était pas encore trop tard pour arriver à leur arracher quelques mots sur cette arrestation et ainsi sortir devant son rédacteur en chef une autre série d'article. Cette idée la fit saliver, elle avait déjà de quoi tenir une bonne semaine avec les articles qu'elle avait déjà en sa possession, sans compter le buzz qu'elle pouvait créer avec tout ça et ainsi faire de nombreux autres articles sans trop forcer. Elle la tenait sa prime, une belle prime qui allait lui remplir ses poches, prime qui rimait aussi avec une partie de jambe en l'air avec une belle demoiselle aux perles de chine, une de ses belles demoiselles payaient à exaucer tous ses souhaits, toutes ses demandes.
Chiyoko se précipita vers la voiture attrapant un des inspecteurs par le bras elle sortit un des ses calepins de son sac avant d'enchainer lorsque l'homme posa le regard sur elle."Comme je le disais je m'appelle Chiyoko Soejima, je travaille au Chicago Times et j'aurais aimée avoir des renseignement sur cette arrestation pour..."
"Écoute gamine je me moque du journal où tu travaille, pour tout te dire je déteste tout ces journaux avec leurs grattes papiers qui nous crache dessus à chaque fois qu'ils le peuvent. Je déteste les gamine comme toi qui en sortant leur je travaille ici, je voudrais cela, pense pouvoir avoir ce qu'ils souhaitent."
"Aleck on y va, la môme si tu veux des infos tu fera comme tout le monde et tu attendra la déclaration officielle de notre département compris?"La voiture s'en alla les 4 hommes laissant la petite fouineuse sans une seule info sur le trottoir. Se faire refouler comme ça... Deux fois en moins de dix minutes qu'elle se faisait envoyer sur les roses, c'était inadmissible. Se retournant vers l'entrée de l'hôtel la jeune américaine s'apprêtait à lancer son carnet par terre de colère lorsqu'elle s'arrêta net serrant le carnet contre elle préférant mettre un coup de pied dans un pot de fleurs proche le renversant sur le sol. On aurait dit une gamine de 12 ans faisant un caprice de petite pourrie gâtée n'ayant pas eut son cadeau qu'elle se voyait tout acquis."ça sert à quoi de travailler au Chicago Times si on peut même pas en profiter..."Alors qu'elle disait cela son esprit paniqué ou plutôt frustré de ne pas eut le dessus se fixa sur autre chose, cela faisait bien cinq minutes qu'elle avait fait son petit jeu avec Kane et celui-ci n'était pas encore à ses cotés. Comment cela se faisait il, elle avait pourtant tout fait comme il le fallait suffisamment d'attente à son goût, osée sans être trop vulgaire, timorée même pour n'avoir trop insisté sur le baiser, mais pourquoi ne bougeait il pas... | |
| | | Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: Devant l'entrée. Lun 22 Déc - 23:05 | |
| Sortant lentement au dehors, il se dit avec une légère amertume qu'a cette époque de l'année, la France et ses beaux paysages hivernaux ne lui faisait jamais regretter la morsure du froid, contrairement à cet hiver actuel qu'il avait toujours autant de mal à supporter chaque jour, en particulier depuis qu'il s'est enrhumé, lui faisant également regretter de ne pas avoir pensé à se munir de vêtements bien chauds .
Rentrant légèrement la tête dans sa veste, il regarda devant lui, voyant la voiture des flics partir en trombe en laissant en plan la jeune femme qu'il avait vu les questionner quelques instants auparavant, au premier coup d'œil, celle-ci semblait tenace, têtue, mais également assez capricieuse, tout du moins, c'est ce qu'il se dit en l'entendant s'exclamer .
"Ça sert à quoi de travailler au Chicago Times si on peut même pas en profiter..."
Tiltant sur cette phrase, il se posa quelques questions, cette jeune femme était-elle une de ses futures collègues ? Quel était son nom ? Quel était son poste au Chicago Times ? Il fallait qu'il engage la conversation pour pouvoir espérer répondre à ces questions, et ceci, de la meilleure façon qui soit, il serait assez malvenu de se faire mal voir par une employée du journal avant même qu'il ait commencé à travailler .
S'approchant légèrement de celle-ci tout en gardant ses distances, pensant inutile de la surprendre à cause de la différence de taille entre eux, il regarda la voiture tourner au coin de la rue et disparaitre de sa vue, prenant une petite inspiration, l'air froid lui brulant légèrement les narines, il prit la parole sans qu'on la lui ait demandé, parlant d'un ton calme, trahissant légèrement le fait qu'il soit frigorifié :
- Ça sert juste à gagner sa vie et c'est le principal pour un emploi au bas de l'échelle...
Ne se demandant même pas si la jeune femme l'avait entendu, s'était intéressé à ce qu'il disait ou si il lui avait fait peur, il sortit son paquet de cigarettes, en prenant avec précaution, ses doigts étant déjà engourdis, et l'alluma, tant bien que mal, dans le froid ambiant .
- Ensuite... La réputation des journalistes n'a jamais été très bonne dans de telles situations, au moins, ceux du Chicago Times ont un peu de poids de part leurs écrits... | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: Devant l'entrée. Mer 24 Déc - 0:30 | |
| La jeune américaine râlait intérieurement contre Kane sans faire attention aux personnes autour d'elle comme si ce simple baiser auquel il n'avait pas réagit avait ruiné sa journée. Comment pouvait il l'avoir snobé ainsi il aurait au moins pu dire quelque chose ou faire quelque chose elle l'avait fait passée pour son petit ami tout de même... C'est alors qu'une idée traversa l'esprit de la jeune fouineuse bien qu'elle n'arriva pas à s'en convaincre sur le moment et si c'était elle qui finalement embrassée mal, cette simple pensée la fit rire intérieurement comment pouvait elle mal embrasser, elle était sexy, jeune, très attirante tout ce qu'un homme pouvait vouloir de sa compagne de jeu alors pourquoi Kane n'avait pas réagit. Alors qu'elle réfléchissait et non pas qu'elle se remettait en question car c'était pour elle hors de question une homme l'aborda sans qu'elle n'y fasse vraiment attention répondant à la question qu'elle avait lancé de rage.
- Ça sert juste à gagner sa vie et c'est le principal pour un emploi au bas de l'échelle...
Chiyoko se retourna pour se retrouver nez à nez avec un pull... Levant doucement la tête la jeune femme vit le propriétaire de celui-ci, c'était l'homme que les serveurs avaient bousculés un peu plus tôt dans le restaurant. Elle n'y avait pas fait très attention à ce moment là étant déjà bien occupée avec Kane et Pyotr mais ce grand brun était terriblement craquant. Un visage assez jeune avec des traits fins et craquant, de beau yeux bleus si charmant rendant son visage encore plus attirant. Celui-ci sortit de sa poche un paquet de cigarette s'en allumant une avant de reprendre la parole.
- Ensuite... La réputation des journalistes n'a jamais été très bonne dans de telles situations, au moins, ceux du Chicago Times ont un peu de poids de part leurs écrits...
Elle n'entendit qu'a moitié la réponse de cet homme le dévisageant assez intensément une idée lui trottant dans la tête. Son sourire ne s'en faisait que plus grandissant, celui-ci éclairait littéralement le visage de la jeune femme comme si elle venait de trouver un ticket de loto gagnant C'était une très bonne idée qu'elle venait d'avoir et puis elle ne le connaissait pas alors bon autant profiter de cette occasion là. La fouineuse prit la parole d'une voie enchanteresse.
"Vous trouvez? C'est gentil... Bonsoir je m'appelle Chiyoko Soejima."
La jeune femme lui sourit tendant sa main vers celle de l'inconnu. | |
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| Sujet: Re: Devant l'entrée. Mer 24 Déc - 1:31 | |
| Restant calme, tranquille, le jeune homme posa son regard sur son interlocutrice qui s'était retourné afin de l'observer d'un air que Francis jugea un peu étrange, sourire trop grand, trop peu de surprise, le jeune homme compris qu'il n'avait pas affaire à une jeune femme impressionnable, cependant, il maintint son attitude calme, tirant longuement sur sa clope, lorsque soudain, sans prévenir, la jeune femme prit la parole :
"Vous trouvez? C'est gentil... Bonsoir je m'appelle Chiyoko Soejima."
La surprise, voila ce qui caractérisa Francis en cet instant, sentant la fumée se bloquer dans sa gorge, il approcha la main de sa bouche, toussant le plus doucement possible, ce qui resta quand même bien bruyant et très significatif, il aurait fallut être un benêt pour ne pas comprendre, Chiyoko Soejima, prétendant travailler au Chicago Times, combien y avait-il de chance qu'il y ait un autre S.C. ayant son article dans le journal ? Aucun, c'en était, pour ainsi dire, sur .
Malgré tout, immédiatement, il tendit la main à la jeune femme en affichant un sourire sympathique, retenant la larme lui montant à l'œil tout en lui serrant la main sans forcer, ce serait un euphémisme de dire qu'il avait l'esprit en vrac à cet instant, il venait de serrer la main à Chiyoko Soejima, la personne qu'il s'était donné pour but de rechercher et, contre toute attente, il devait bien se rendre à l'évidence, S.C. était bel et bien une femme, et qu'il devrait se démerder lui même pour obtenir des infos auprès d'elle...
Sans attendre, il reprit la parole, prenant un ton plus personnel, plus sympathique, sans pour autant vouloir paraitre intime ou familier :
- De rien, c'est sincère, Francis Jefferson, je suis enchanté mademoiselle Soejima !
Tirant à nouveau sur sa clope, il lâcha doucement la main de la jeune femme pour retirer celle-ci d'entre ses lèvres, la tapotant légèrement afin d'en retirer les cendres, son regard ne dévia pas de Chiyoko, de même que son sourire ne déserta pas son visage, il venait quand même d'éviter de devoir interroger le rédacteur en chef à son sujet et, qui plus est, il semblait déjà jouir d'un bon début de relation avec la mademoiselle qui lui faisait face . | |
| | | Chiyoko Soejima Petite fouine perverse et traquée
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| Sujet: Re: Devant l'entrée. Mer 24 Déc - 20:10 | |
| A peine eut elle finit de parler que le jeune homme sembla s'étouffer avec la fumée de sa cigarette qu'il venait tout juste d'aspirer. C'était le genre de toux assez significative il semblait surprit mais de quoi elle n'avait encore rien fait... A moins qu'il soit un peu trop sensible à son charme naturel ce qui serait tout à fait normal, elle était tout ce qu'un homme pouvait rêver. Le brun après avoir passe sa main devant sa bouche en toute politesse il tendit sa main à son tour prenant celle de l'américaine.
- De rien, c'est sincère, Francis Jefferson, je suis enchanté mademoiselle Soejima !
Il avait repris la parole assez rapidement comme pour faire oublier sa gêne absorbant une autre longue bouffé de nicotine en souriant. Francis Jefferson, c'était un nom qu'elle n'avait jamais entendu, elle s'en souviendrait dans le cas contraire... Une nouvelle connaissance qu'elle allait pouvoir ajouter dans sa collection de calepin mais celui-ci serait un ajout un peu spécial et ce dès la première page car elle c'était décidée. Il était mignon apparemment un peu gêné par sa présence a ses cotés que demander de mieux. Elle ne pouvait pas supporter que Kane ne lui ait pas prêtée une attention suffisante comme il aurait du le faire et comptait bien le lui faire payer ce soir même mais avant ça elle devait se persuader d'une petite chose.
"Moi de même, vous vous intéressez au journalistes Francis? Je peux vous appeler Francis?"
La jeune femme le regardait d'un air assez charmeur comme pour le défier de lui dire non chose qu'elle aurait un peu de mal à accepter pour tout dire. Maintenant restait à palier le plus gros souci la taille de ce bel homme, il devait faire bien deux tête de plus qu'elle alors comment faire pour l'embrasser dans de tels conditions... Il devait se baisser sinon elle n'aurait aucune chance et même en se mettant sur la pointes de pieds elle ne pourrait pas réussir c'était parfois si pénible d'être petite. C'est alors qu'une idée lui traversa l'esprit certes ce n'était pas une des meilleurs solution, c'était long mais au moins elle pourait avoir toute l'attention du jeune homme, elle pourrait peut être laisser croire que ce n'était pas voulu... Et puis après tout elle se moquait bien que ce soit voulue ou pas elle devait savoir un point c'est tout.
"Je vais vous paraître un peu gonflée mais vous pourriez m'offrir une cigarette? Si cela ne vous dérange pas? Et... Pour vous remercier je vous invite a boire un café au chaud?"
Cela serait un peu plu long que prévu mais l'important était le résultat.
Dernière édition par Chiyoko Soejima le Ven 26 Déc - 13:02, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: Devant l'entrée. Mer 24 Déc - 21:12 | |
| Gardant un large sourire, le jeune homme continua d'observer Chiyoko, la détaillant discrètement jusqu'à ce que celle-ci ne lui répondre :
"Moi de même, vous vous intéressez au journalistes Francis? Je peux vous appeler Francis?"
Levant les sourcils, il amena sa cigarette à ses lèvres, aspirant une nouvelle bouffée de nicotine tout en faisant un signe affirmatif de la tête, il fallait bien reconnaitre que le jeune homme aurait eu du mal à refuser une chose aussi insignifiante à une jeune femme bénéficiant d'autant d'atouts à ses yeux, non seulement les informations qu'elle détient rapport à son article, mais également la gentillesse et le charme avec lequel elle s'exprimait, et un physique pour le moins... Avantageux .
"Je vais vous paraître un peu gonflée mais vous pourriez m'offrir une cigarette? Si cela ne vous dérange pas? Et... Pour vous remercier je vous invite a boire un café au chaud?"
Laissant s'échapper la fumée de sa bouche, il sentit ses muscles faciaux avoir de très légère crampes, il ne pouvait cesser de sourire devant une jeune femme qui lui paraissait aussi sympathique et aussi mignonne, sans attendre, il lui répondit :
- Non, cela ne me dérange pas, et... Je dois reconnaitre que si le café que vous me proposez est meilleur qu'ici, ce dont je ne doute pas, j'accepte votre invitation avec plaisir !
Ressortant son paquet de cigarette, il pensa à prendre soi même celle qu'il allait offrir à Chiyoko, mais force est d'admettre que ses doigts engourdis n'était pas les meilleurs pour les attraper, car si son rhume semblait s'être soudainement mis entre parenthèses, tout comme le froid qu'il ressentait, il était toujours présent, dur et cruel .
Mais, malgré tout, il parvint à en sortir une du paquet et à la tendre à la jeune femme, dégainant son briquet aussi sec, paré à l'allumer, il en profita pour poser une petite question, ne prenant pas l'initiative de tutoyer ou d'appeler seulement la jeune femme par son prénom :
- Mais, dites moi, mademoiselle Soejima, depuis combien de temps travaillez vous au Chicago Times ? | |
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| Sujet: Re: Devant l'entrée. Ven 26 Déc - 13:19 | |
| Le jeune homme bien trop grand lui fit un signe positif de la tête mais ne répondit pas à sa question pour autant, une chose qui ne plut guère à la jeune femme elle aimait avoir des réponses à ses questions et le caprice qu'elle avait fait après que les flics lui les aient refusés montrait cela de façon assez évidente. Mais l'américaine avait un objectif premier et faire un scandale dès maintenant ne lui serait pas très pratique ni très efficace c'est ainsi qu'elle préféra garder le silence faisant pour le moment comme si de rien n'était. Une nouvelle bouffée de fumée s'échappa de la bouche du bel homme avant qu'il ne réponde à sa deuxième questions.
- Non, cela ne me dérange pas, et... Je dois reconnaitre que si le café que vous me proposez est meilleur qu'ici, ce dont je ne doute pas, j'accepte votre invitation avec plaisir !
"Bien sur qu'il sera meilleur et puis la serveuse est gentille dans ce café pas comme ici, il va nous falloir marcher un peu mais ce n'est pas si loin."
Alors qu'elle parlait celui-ci sortit de sa poche un paquet de cigarette en offrant une à la petite fouine malgré les difficultés qu'il avait pour calmer les tremblements de ses doigts ayant apparemment très froid. S'en saisissant la jeune femme sortit un petit étuis de son sac à mains y rangeant la cigarette en souriant puis relevant la tête vers Francis elle posa sa main sur celle de l'homme qui tenait le briquet. Elle semblait sur l'instant un peu gênée mais aussi contente ce qui donnait un contraste assez saisissant sur sa personne, ses mimiques faciale ainsi que la main posait sur celle du brun laissait apparaître la gêne qu'elle avait d'avoir dupé le jeune homme mais le sourire qu'elle avait affichée lorsqu'elle avait rangée la cigarette dans l'étui ne laissait paraître aucun doute sur la joie qu'elle avait ressentit au moment ou Francis avait accepté son invitation.
"Je suis désolée mais je ne la fumerais pas tout de suite... C'est... C'était juste pour avoir une raison de vous inviter à boire un verre"
Voila donc la raison de cette petite gêne qu'elle avait doucement mit en place tout comme pour Kane mais cette fois ci de façon plus logique et moins rentrer dedans pour tout dire.
- Mais, dites moi, mademoiselle Soejima, depuis combien de temps travaillez vous au Chicago Times ?
"ça doit faire près de... Près d'une année un peu plus peut être... J'y suis rentrée après mes études, ils m'ont prit directement comme pigiste et puis moi ça m'arrange comme ça je peux continuer de courir dans la ville, je préfère ça à rester derrière un bureau... Mais... Vous n'avez pas répondu à ma question tout à l'heure, pourquoi vous vous intéressez aux journalistes Francis?"
Le débit de parole de la jeune femme s'était accéléré pendant qu'elle parlait un peu comme une jeune commère, mais dans ce cas là on s'entait qu'elle était véritablement passionnée par ce qu'elle racontait, la vitesse de ses paroles ralentit lorsqu'elle reposa la question au brun pour qu'il ne soit pas intimidé. Question qui par ailleurs avait très légèrement changée celui-ci n'ayant apparemment pas comprit la première fois ce qu'elle cherchait a savoir pourquoi il s'intéressait aux journalistes.
"ça vous dérange si l'on fait un tout petit détour avant d'aller au café?" | |
| | | Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: Devant l'entrée. Sam 27 Déc - 1:04 | |
| "Ça doit faire près de... Près d'une année un peu plus peut être... J'y suis rentrée après mes études, ils m'ont prit directement comme pigiste et puis moi ça m'arrange comme ça je peux continuer de courir dans la ville, je préfère ça à rester derrière un bureau... Mais... Vous n'avez pas répondu à ma question tout à l'heure, pourquoi vous vous intéressez aux journalistes Francis?"Rangeant son briquet dans la poche de son pantalon, il prit une dernière bouffée sur sa cigarette avant de la laisser tomber au sol, l'écrasant doucement à l'aide de sa chaussure tout en répondant à la jeune femme :- Je n'ai eu d'autres emplois que journaliste depuis que je suis arrivé ici . Et... Je vient d'être engagé au Chicago Times, je commence demain .Se demandant quand même si il n'en a pas trop dit, il garda le sourire, au fond, se disait-il, il ne fallait pas qu'il voit des dangers partout non plus, et puis, une pigiste au Chicago Times, il ne lui faudrait pas longtemps avant de découvrir son propre emploi, inutile de le lui cacher, et autant en profiter pour jouer la carte de l'honnêteté ."Ça vous dérange si l'on fait un tout petit détour avant d'aller au café?""Sans vouloir abuser, oui, un tout petit peu !, se dit-il intérieurement, sentant le froid lui souffler à nouveau au visage, il se dit malgré tout que la jeune femme ne devait sans doute pas apprécier plus que lui la météo et que ce détour ne serait sans doute pas long, ou qu'il amènerait au moins dans un endroit ou règnerait une chaleur ambiante plus appréciable .
Quoi qu'il en soit, il répondit rapidement, remontant à nouveau sa veste en regrettant de ne pas porter de gants :- Pas du tout mademoiselle Soejima, mais dans ce cas, il vaut mieux ne pas trop traîner, la nuit ne devrait pas tarder à laisser sortir des gens pour le moins indésirables, ce n'est pas utile de... Prendre des risques inutiles .Sentant ses joues rosir, il se rapprocha légèrement de la jeune femme, accentuant leurs différences de tailles, en attendant que celle-ci ne prenne une direction pour qu'il la suivre à ses côtés, pour être franc, quelque chose lui trotta un peu en tête, même plusieurs choses, le fait de suivre une inconnue, la mission de Chiodaro, la journée de travail du lendemain qui l'attendait, prête à lui mettre une grande claque en pleine gueule pour lui apprendre ce que c'est d'être un "vrai" journaliste à Chicago, et pas un reporter sans envergure pour une feuille de choux sans envergure . Un petit café avec un ami? ===> | |
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