Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis |
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| Devant le plus haut batiment du quartier | |
| | Auteur | Message |
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Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Devant le plus haut batiment du quartier Ven 2 Mai - 17:26 | |
| -------> Appartement de Francis JeffersonMarchant d'un pas vif vers le bâtiment, il semblait un peu stressé, son regard ne cessait de scruter les environs, comme si il craignait un quelconque piège, et ce en oubliant naïvement qu'il n'était rien et qu'il n'avait aucune raison d'être la victime d'un piège d'une quelconque personne .
Arrivant enfin devant le bâtiment, il regarda à la verticale, observant l'étonnante hauteur de l'endroit, cela accentua son sentiment de n'être qu'un pauvre cafard dans cette gigantesque ville, rabaissant la tête, il mit les mains dans ses poches et scrutant la zone avec l'espoir fou de pouvoir voir Chiodaro approcher, et ce malgré le fait qu'il ne savait rien d'elle, si ce n'est qu'elle était sa cheffe de section, ce qui ne l'empêchait pas d'observer l'endroit en se demandant combien de temps elle mettrais pour venir lui parler ou simplement attirer son attention pour le guider autre part .''Allez Francis, no stress, c'est pas le moment de passer pour une bouse...'' Tentant de se calmer un peu, il sortit une clope qu'il s'alluma tant bien que mal dans le froid ambiant, tirant une longue bouffée de nicotine dessus, il se sentit brusquement beaucoup mieux, anesthésiant légèrement son esprit, il cessa du coup de jeter des regard méfiant dans tout les coins et donc ainsi de paraitre suspect auprès des pauvres passants qui n'avait pas demandé de croiser la route d'un type aussi bizarre... | |
| | | Chiodaro Aléssia Belle espionne au sale caractère
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| Sujet: Re: Devant le plus haut batiment du quartier Dim 4 Mai - 17:33 | |
| Chiodaro avait rejoint la rue et elle n'eut pas à attendre trop longtemps avant de voir sortir ce fameux Francis qui sortait en trombe de son immeuble pour aller rejoindre le point de rendez-vous qu'elle lui avait fixer, certes elle aurait put l'aborder immédiatement dans la rue pour engager la conversation mais ce n'était pas son genre et elle voulait voir comment cette nouvelle recrue ce comportait dans la rue les mimiques et les petites habitude que chaque personne a peut énormément renseigner qu'en au caractère d'une personne pour ceux qui savent les lires et même si Alessia n'était pas une experte elle connaissait suffisamment ce domaine pour pouvoir cerner un minimum les gens grace à leur simple démarche dans la rue ou à la façon de prendre leur verre lors d'une discutions houleuse, c'était une chose nécessaire dans son millieu si l'on voulait pouvoir vivre longtemps et avoir un temps d'avance était plus que nécésaire si l'on ne voulait pas être prit au dépourvut.
La chef du renseignement Italien ce mit donc à suivre avec constance Francis annalysant tous ses geste même les plus simple pour ce faire une idée de l'individu et elle ne prenait même pas la peine de ce cacher ou juste de ce faire discrète, Chicago était une grande ville et beaucoup de monde circulait dans les rues donc il ne devrait pas la remarquer et même si c'était le cas il ne la connaissait pas et à moins d'être complétement parrano il ne ce douterait pas de qui elle était et encore même si il l'était ferait t'il le rapprochement apparament d'après ce que Césare lui avait dit il était novice dans le domaine du renseignement ce qui signifiait que son esprit n'était peut être pas encore assez aiguisé à relier les différents petit indice qui s'offrait à lui. L'homme que suivait Alessia montrait une certaine nervosité qui était loin d'être dissimuler sa tète fessait l'essuie glace à scruter partout et nul part à la fois et il n'était guère discret à tel point que certain passant préférait s'écarter de sa route plus que de le froler, Chiodaro ce demandait à quoi il s'attendait être attaquer en plein rue au millieux de la foule et devant tant de témoins ? cette ville était dangereuse certes mais cela avait des limites personne n'était assez fou pour mitrailler en pleine ville avec une grosse étiquette sur son front regarder moi et balancer moi à la police, si il voulait faire du bon boulot et avoir des missions autre que surveiller les poubelles du clan qui tente de sortir de l'eau il devrait être moins expréssif dans ses déplacement et apprendre à ce fondre dans la masse.
Finnallement il finit par arriver à l'endroit convenue et Chiodaro comme la plus normal des habitante de Chicago s'avança jusqu'à sa hauteur et posa son sac à coté de lui et sans dire un mot elle sortit un paquet de cigarette et en sortit une avant de ce l'allumer et prendre une grande bouffer cela l'amusait de l'observer ainsi comme si elle était madame tout le monde et lorsqu'elle l'entendit dire qu'il devait ce calmer et retrouver son self control pour ne pas passer pour une bouse elle éclata d'un petit rire cristallin avant de prendre la parole :
" C'est déjà le cas mon pauvre gars, tu te déplace comme dans les western, comme si le grand méchant loup s'apprêtait à te sauté dessus pour te bouffer tout crut ce qui n'est guère reluisant pour un homme qui ce doit d'être parfaitement calme et qui doit toujours garder sa capacité de jugement et ce quelque soit la situation, notre job peut paraitre on ne peut plus facile mais lorsque l'on est en plaine infiltration et ou ta capacité à mentir et a paraitre détendu est la seul chose qui te permet de ne pas être découvert et ainsi rester en vie sache que c'est le dangereux des jobs. Nous somme le fer de lance qui agit dans l'ombre de l'organisation c'est nous qui ramenons les informations aux clans, nous qui les prévenons de possible coup fourrer sur leur business et tout sa pour faire notre beurre et un informateur mort c'est quelqu'un d'inutile. Mister Jefferson grave toi sa quelque part dans ce qui te sert de caboche et ne l'oublie jamais, un faux pas et c'est le cimetière sans que personne ne te pleure car nombreux sont les gens qui attendent de prendre ta place. "
Chiodaro parlait instinctivement d'un ton sec, cassant et agressif mais ce n'était pas sa faute elle aimait pas les hommes et encore moins devoir les acceuillir pour les guider et la les deux était réunis tanpis pour ce pauvre homme il en subirait les conséquences. | |
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| Sujet: Re: Devant le plus haut batiment du quartier Dim 4 Mai - 18:06 | |
| Sursautant brusquement en entendant Chiodaro rigoler dans son dos, il lâcha brusquement sa clope et, comme n'importe quel mec qui n'aimerait pas se retrouver avec en plus une odeur de trottoir dans la fumée, il fit quelques mouvements vifs pour la rattraper, y arrivant au 3e essai, à quelque chose comme quarante centimètres du sol .
Rattrapée, il se retourna pour faire face à Chiodaro, bien que, vu la distance, il dut baisser le regard, et l'écouta faire sa petite tirade qui sonnait dans son esprit un peu comme les explications du Don une demi-heure auparavant, comme quoi il devrait vraiment s'endurcir et cesser de se comporter comme le quidam trouillard qui se fait remarquer partout .
Malgré le ton adopté par Chiodaro, le jeune homme ne se sentit pas non plus complètement décontenancé, tirant sur sa clope en écoutant ce que disait sa cheffe de section, il gardait un silence respectueux jusqu'à ce que Chiodaro termine, ce à quoi il répondit d'un ton neutre, comme une excuse :
- Je suppose que je n'aurais pas eu besoin de votre enseignement si j'avais déja su tout cela...
En plus clair, et tout du moins en son sens, il avait voulu dire qu'il était quelque peu désolé d'être aussi novice mais que ce n'était pas la peine d'être aussi agressive envers lui, et tout cela, enrubanné afin de ne pas inciter sa cheffe de section à lui botter le cul à peine une minute après leur première rencontre .
Continuant à tirer sur sa clope, il attendait la réaction de Chiodaro en espérant qu'une telle attitude ne durerait pas tout le temps qu'il serait sous ses ordres, ce qui se rapportait à vrai dire jusqu'à sa mort, ne tentant même pas d'imaginer qu'il survivrait à ses supérieurs . | |
| | | Chiodaro Aléssia Belle espionne au sale caractère
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| Sujet: Re: Devant le plus haut batiment du quartier Dim 18 Mai - 17:01 | |
| Chiodaro apprécia ce petit vent de panique qu'elle venait de créer en surprenant son nouveaux " collègue " comme quoi Chicago était une ville de tout les dangers et qu'il fallait s'en méfier, un coup de couteau dans la rue donner par un inconnue était vite arriver et pouvait mettre fin à la plus glorieuse carrière en quelque fractions de seconde et ce de la manière la plus pitoyable qui soit et c'est ce que Chiodaro tentait d'inculquer à chacun de ses subordonné la vigilance quitte à ce que celle-ci ce transforme en paranoïa. Chiodaro même si en son fort intérieur ne pouvait s'empêcher de ce dire qu'elle venait de récupérer un pitre qui avait mit au point un numéro de jonglage avec une cigarette incandescente elle ne laissait rien paraitre d'un point de vue extérieur et restait de glace face à un tel spectacle si on excluait le regard méprisant et dédaigneux qu'elle adressait à cet homme dont lui avait fait cadeaux le Don.
Chiodaro n'avait pas que sa à faire, elle voulait voir quelqu'un qui était cher à son coeur et qui avait plus que jamais besoin d'elle en ce moment vu l'épreuve qu'elle traversait, mais voilà maintenant elle n'était plus son propre patron malheureusement et tous sa à cause de quelques erreurs de jugement et d'appréciation sur l'échiquier de la vie et ce contre un homme en plus, qui n'avait guère de scrupules, Cesaré allait jusqu'au frontière du possible pour obtenir ce qu'il voulait et elle s'en était rendu compte fort heureusement avant que celui-ci ne décide de supprimer tous simplement la concurrence mais c'était une autre histoire, car même si ces deux affaire étaient lier elle ne voulait pas en débattre intérieurement. La magie du cirque s'étant enfin interrompue et l'homme tirant le plus naturellement du monde sur sa clope comme si ses singeries qui avaient du attirer le regard de nombre de passant et donc en même temps sur elle aussi et sa elle en avait une sainte horreur, enfin Francis prit la parole pour signifier qu'il était au courant de son incompétence au moins il s'en rendait compte c'était déjà sa mais elle n'aimait pas le ton adopté et surtout pas les incapables. Chiodaro avait monter cette section avec des bric et des broques et ce touts seul en fessant plier les meilleurs fouineur et autres chercheurs d'information sous sa botte pour enfin devenir l'une des meilleurs section de renseignement de la ville donc les minots novice n'avait pas leur place dans ses rangs, le Don avait intéret d'avoir vraiment déceler quelque chose en ce quidam pour l'avoir envoyé sinon tout chef qu'il soit il y aurai des discutions houleuse dans l'air et cet ..... homme finirait avec un parpaing au pieds au fond de l'eau pour son incompétence quitte a ce qu'elle le fasse elle même.
Chiodaro ce décida à lui répondre enfin car à défauts de l'impressionner ou tout du moins à le surprendre par ses connaissance et son savoir faire cet homme l'amusait par son amateurisme, manque de bol pour lui elle ne partageait pas son savoir avec les femmes alors un homme il pouvait toujours s'accrocher comme ses prédécesseurs. Chiodaro toujours avec son visage aussi dédaigneux ce mit à tapoter le visage de Francis comme une mère le ferrait à un gamin et enfin elle prit la parole :
" Moi partager mon enseignement, mais tu rêves mon pauvre mes méthodes sont lier à ma vie donc je ne distille pas mon savoir, tu te démerdera tous seul tu apprendra sur le tas tout comme moi c'est la meilleure des écoles, et si par mégarde tu venais à mourir je ne te pleurerai pas c'est juste que tu seras arriver dans la cours des grands sans y être préparer donc enquête remplis tes missions avance à tâtons pour moi tout ce qui compte c'est que tu ramènes les informations qu'on te demandes vite fait bien fait et lorsque l'on t'en demande pas que tu fouine de ton coté à la recherche de choses intéressante, si jamais tu meurs je verserai pas une larmes, ton nom n'ira pas à la postérité gravé dans le marbres des héros, je te remplacerai tout simplement nombreux sont ceux pret à prendre ta place et c'est pas sa qui me dérangera, si jamais je n'était pas assez clair et que tu voulais vraiment avoir une instruction en clair sa veut dire va voir ailleurs si j'y suis et sa c'est la version polie caspish ? "
Chiodaro avait dit ce qu'elle avait à dire et maintenant elle attendait la réaction de son homologue masculin pour voir ce qu'il aurait à répondre à sa tout en tirant sur sa clope, maudissant au passage Don Carissimo de lui avoir mit sa dans les pattes, sur que cet homme était un sadique et qu'il avait une idée derrière la tète mais quel homme aussi, il n'éblouit pas par sa beauté car rien que son regard d'assassin que rien n'arrête ferait fuir un ours mais il savait ce faire respecter et même si on le croit imprévisible nombreux de ses gestes sont calculer mais bref la elle était avec le cadeau qu'il lui avait fait et tout en tirant sur sa clope elle ce dit qu'elle allait tout de même donner un conseils à cet homme :
" Bon voilà le seul truc que je dirai pour t'aider et c'est uniquement car le Don t'envoie à moi. Qu'est ce qui te dit que je suis bien la personne que tu voulais voir et non pas une femme qui joue un role du clan adverse ? ne me dis parce qu'il y a eu ce mot dans mon salon tu connais pas mon écriture, ensuite tu me connais pas de vue non plus il me semble, ni à cause de mon accent Italien sa ce travail sa (Chiodaro changea d'accents pour en adopter un russe), ni parce que que je t'aborde de mon propres chef et que je parle du Don ce genre d'information sa s'obtient très facilement et je peut très bien jouer un role alors quoi ? Tu es peut être un dieu du renseignement inconnue et ce n'était pas moi qui te suivait mais le contraire qui sait je brule de connaitre la réponse."
Chiodaro voulais voir comme il ce sortirai de cet impasse mais sa serait tous ce qu'elle ferait pour lui après c'est en avant dans la fosse au lion et bienvenue dans le monde de l'ombre. | |
| | | Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: Devant le plus haut batiment du quartier Dim 18 Mai - 18:09 | |
| Le pauvre Francis écoutait Chiodaro le sermonner comme si c'était son premier jour dans le clan, comme si il ne savait pas qu'il devait se rendre utile ou disparaitre, cependant, malgré une certaine frustration montant en lui, comprenant clairement que même son imagination très pessimiste n'aurait put penser imaginer l'instant actuel qu'il vivait, il resta calme et respectueux, tirant sur sa clope de temps à autre .
Cependant, si le premier sermon l'avait assez frustré, le second l'avait plus touché, le poussant à se questionner un petit peu sur sa distraction notoire et son trop plein de confiance en son jugement, comme quoi il devrait à l'avenir se questionner un peu plus avant de l'ouvrir, enfin, lorsque Chiodaro eut terminée sa deuxième tirade et semé un peu le doute dans l'esprit de Francis avec son accent russe, se laissant aller, il eut une petite phrase en français avec l'accent qui convient aux français méditerranéen :
- A qui faire confiance... Personne on dirait...
Puis, s'apercevant de sa propre bourde et du fait que Chiodaro pourrait prendre mal le fait en pensant qu'il ait fait exprès de parler ainsi pour mimer le fait qu'elle ait prit son accent russe, il repris la parole rapidement, reprenant son langage américain teinté de son accent plutôt convaincant :
- Excusez moi, simplement... Même si je reconnais mon manque d'attention certains sur le chemin jusqu'ici, je me serais mal vu vous dire que vous n'étiez pas ma supérieure du fait de mon manque d'information, il convient justement que j'ai de l'expérience avant de me penser assez instruit et assez informé pour pouvoir m'assurer de mes rencontres...
A vrai dire, il ne savait pas vraiment quoi dire de plus, ne tenant pas non plus à tenter de rajouter des phrases qui pourrait encore plus embrouiller la situation, il resta la à attendre de voir si Chiodaro allait se décider à le vaquer, lui donner des objectifs ou continuer à le sermonner, espérant un minimum qu'il n'était pas encore descendu plus dans l'estime de sa supérieure même si cela semblait déja assez dur... | |
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| Sujet: Re: Devant le plus haut batiment du quartier Dim 25 Mai - 1:29 | |
| Chiodaro voyait cette homme commencer à perdre pieds et ce de façon au combien pitoyable, elle s'attendait à bien mieux de la part d'un homme envoyé directement par le Don qui avait tout de même prit la peine de l'apeller personnellement, la cet homme qui n'avait pour le moment commis aucun impairs baisait dans son estimes, mais la belle espionne n'allait pas le juger trop hâtivement après tout ce qui ce tenait devant lui et qui semblait être un homme avait peut être quelque truc à lui apprendre ou des talents particulier à lui montrer et c'était uniquement pour cette raison que la jeune retenait ses coups pour le moment car oui elle fessait de son mieux pour ne pas le tailler en pièce. Cet chose n'était pas un homme pour elle à la limite une loque qu'on pouvait jeter après usage, il n'avait pas de répondant et ne tentait même pas de s'imposer, il ne semblait pas faire preuve de prudence dans ses déplacements et c'était pointer à un rendez-vous donner par une flèche planter dans son plancher sans avoir esquisser le moindre plan de replis en cas de coup dur, il pensait peut être que personne n'oserait l'agresser en publique et que la foule était sa meilleure protection encore un gars complétement percher qui ne savait pas ou il ce trouvait, ici c'était Chicago les meurtrier apparaissait plus vite que les chomeurs et il ne fallait pas être un génie pour presser une détente ou bien enfoncer une lame dans un corps en heurtant quelqu'un bref pour le moment ce type ne valait pas un clou et était bourrer de faille il ne ferrait surement pas de vieux os dans ce milieux donc elle le presserai comme une orange jusqu'à ce qu'il ne lui soit plus d'aucune utilité et la cerise sur le gâteaux ne tarda pas à ce pointer. Francis perdait complétement les pédale et ce mit à parler dans une langue étrangère que l'espionne n'avait pas apprit mais dont elle reconnaissait certain mot et l'accent surtout et qu'elle assimila au français même pas fichu de ce référer à la belle et envoutante langue de son clan et sa sa énervait Chiodaro qui parla d'un ton lourd et sec :
" Tu te prends pour qui même pas fichu de parler Italien à quoi te sert cette langue, tu m'as prit pour une débutante et tu voulais m'impressionner ou quoi ? apprend au moins des langues utile dans cette ville stupido. "
Voilà Chiodaro avait une fois de plus pas réussit à ce contenir sa haine envers les hommes était bien trop présente pour qu'elle loupe une occasion comme celle-ci et elle avait parler successivement en russe chinois pour finir en Italien en entendant ce curieux mélange nombre de passant c'était retourner et la dévisageait d'un air interrogateur et l'espionne en chef des Italiens les fusilla tous d'un regard mauvais qui voulait clairement dire : "quoi tu me cherche des crosse ? tu veut qu'on s'explique ? " et ce simple regard suffisait à faire reprendre leur route à tous ces curieux à la petite semelle, ce qui valait mieux pour eux si ils ne voulaient pas finir agonisant sur le pavé quand elle était de mauvaise humeur Alessia n'était pas à provoquer et elle n'écouta même ce qu'avait à dire Francis pour sa défense et à peine eu t'il finit qu'elle s'exclama d'un ton enflammer :
" BASTA, les excuses sa sert à rien, j'en veut pas moi j'exige des actes et la après une rigoureuse analyse exécuter pendant notre conversation je doit te dire que tu me sert à rien pauvre mais strictement à rien j'aurai su sa je ne serai même pas déplacer t'es comme nombre membres de mes débuts inutile donc j'agirai en conséquence et te confierai tes missions de bas étage. Tu m'as dit être journaliste et bien tu vas faire une equète sur les perles de chine, collecter toutes les information possible et imaginable sur cet endroit tenu par les TRIADES sous le couvert de la réalisation d'un article la façon m'importe peut du moment que tu respecte les règles du clan et que mon nom ne sorte pas de tes lèvres quoi qu'il arrive allez stupido au boulot. "
Chiodaro mit fin à la conversation ainsi et disparut au milieu de la foule aussi rapidement qu'elle était apparut, une fois hors de vue elle bifurqua dans une ruelle déserte avançant précautionneusement tout en jetant de rapide coup d'oeil derière pour s'assurer qu'elle n'était suivit avant de s'engouffrer dans l'entrée de service de son immeuble. | |
| | | Francis Jefferson Pauvre chou facilement manipulable par les femmes
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| Sujet: Re: Devant le plus haut batiment du quartier Dim 25 Mai - 2:19 | |
| Se laissant copieusement engueuler par Chiodaro, luttant énormément avec sa nervosité pour ne pas laisser son long index vers sa bouche pour qu'il puisse en ronger l'ongle, cependant, malgré ce mauvais moment, il parvint à garder un calme apparent et à écouter les ordres qui lui furent assigner par sa cheffe de section, il nota dans son esprit ces objectifs, faire une enquête sur les perles de chines, carte blanche, tout était clair et sans détour, cependant, il fut un peu frustré que Chiodaro termine ainsi sans lui expliquer le but de ces ordres, mais après une telle discussions et vu son rang, il valait mieux pour lui de la boucler sévère et de ne pas encore en rajouter .
A peine sa tirade terminée que la jeune femme tourna les talons pour disparaitre parmi les passants, ne perdant pas une seconde, le jeune homme en fit de même, ne tenant pas à voir se tourner sur lui des regard interrogateur et quelqu'un lui demander ce qu'il fait la avant de s'enfuir avec son porte-feuille, marchant en frottant un peu des pieds sur le bitume, il semblait moins grand, courbé, et si pendant l'entretien il avait réussi à retenir sa main, il se rongeait maintenant copieusement l'ongle de son pouce droit, marmonnant entre ses dents et en français :- Quelle merde... Comment qu'elle veux que je réagisse ? Et croire que je me foutais de sa gueule... Quelle patience...Voyant quelqu'un tourner sa tête pour observer le géant qu'étais Francis, à présent redressé, il eut un regard inquiet, comme si il avait put croire que ces paroles dites avec un ton peu aimable lui était destinée, cependant, le jeune homme eut vite fait de s'arrêter de ronger son pouce pour faire un signe au passant lui indiquant que ce n'était rien, pressant ensuite le pas pour rejoindre le restaurant du quartier, si il devait faire croire aux gérants des perles de chines qu'il venait pour faire un article chez eux, il se devait de donner ses preuves de ses dires, et ce n'est pas en s'apercevant qu'ils sont bizarrement les premier de la liste à bénéficier d'un article de ce journaliste que le jeune Francis serait en position favorable pour obtenir des informations...
Donc, direction le restaurant... Le restaurant ===> | |
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