Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis |
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| *Appartement de Violet * | |
| | Auteur | Message |
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Violet Vélasquez pin up fragile et empoisonnée
| Sujet: *Appartement de Violet * Mer 16 Juil - 19:10 | |
| L’appartement de Violet se situe au dernier étage d’un petit immeuble de style osmanien. Il s’agissait au départ de deux appartements, dans lequel son amant a fait des travaux pour créer un duplex spacieux. Même si cet appartement est celui de Violet et que Macimo, son « compagnon », dispose d’une autre résidence, il a néanmoins son bureau dans cet appartement et c’est de là qu’il traite ses affaires. La décoration est faite avec soin et à la dernière mode. Il y a un très grand salon auquel Macimo tient, car il aime par-dessus tout recevoir du monde et montrer ses possessions. La cuisine est en revanche assez petite mais équipée de façon très moderne. Les « quartiers » de Violet se trouvent à l’étage. Il y a deux chambres assez grandes, un dressing et une grande salle de bain. Le bureau de Macimo se trouve dans le fond et personne d’autre que lui ne peut y avoir accès. Il y a, par ailleurs, une salle équipée de poids et d’altères à destination de Macimo. Bien que Violet tente d’apporter un peu de sobriété et d’élégance dans la décoration de l’appartement, Macimo est toujours dans l’ostentatoire, si bien que quelques statues d’inspiration antique trônent ça et là, sans que ce soit du meilleur effet. | |
| | | Violet Vélasquez pin up fragile et empoisonnée
| Sujet: Re: *Appartement de Violet * Mer 16 Juil - 19:38 | |
| <--- La plage
Après avoir quitté les berges de la plage, Violet avait rejoint à contre cœur son appartement coquet et classieux gracieusement offert par Macimo. C’était l’un des avantages d’être une femme entretenue, il en fallait bien un. Violet ne s’était jamais vraiment considérée comme une victime sexuelle, elle s’imaginait que toutes les autres femmes au foyer vivaient le même quotidien et la même contrainte. Répondre toujours « oui » aux désirs de l’autre, ne jamais être de mauvaise humeur, ne jamais être malade, toujours écouter, faire parler, s’intéresser. Bref s’oublier au profit de l’autre et n’exister que pour lui et par lui. Elle n’était pas dupe, qu’aurait-elle fait d’autre ? Traîner dans les rues crasseuses du centre en travaillant dix heures par jour dans une blanchisserie ? C’était bien tronquer un esclavagisme pour une autre et au moins ses chaînes étaient-elles faites de soie.
Elle pénétra dans le beau hall d’entrée nappé de marbre rose et de plantes grasses débordantes de santé et se dirigea par réflexe vers sa boite aux lettres pendant que Vitto garait la voiture. Elle fut surprise de voir, parmi les lettres anodines et quotidiennes, un pli étrange sans adresse de destinataire excepté « V » sur le dos et un cachet sommaire. Elle prit l’enveloppe et la décacheta. Elle porta sa main au cœur et eut un hoquet d’effroi. Il y avait une seule feuille blanche sur laquelle était simplement écrit « Je sais. RDV là où tu sais. ». Elle posa son autre main sur le meuble en bois qui contenait les boite aux lettres, car ses jambes ne la tenaient plus. Elle tremblait comme une feuille et tourna par un réflexe presque conditionné la tête de gauche à droite, comme un animal traqué. Comment ? Qui ? Qui pouvait savoir ce qu’elle tentait de faire, d’où venait cette lettre ? Elle sursauta à se rompre les reins quand Vitto fit claquer la porte d’entrée de sa douceur et délicatesse habituelle. Il fronça les sourcils quand il aperçut le teint de porcelaine de Violet virer au vert.
- Vi ? Tout va bien ? On dirait que tu as vu passer la mort…
Quelle expression imbécile !! Avoir vu passer la mort et puis quoi encore, il allait lui porter malheur cet idiot ! Elle rangea aussi discrètement que possible la lettre au milieu de son courrier et tenta un sourire qu’elle voulut le plus naturel possible.
-Non Vitto, tout va bien… Je suis juste un peu fatiguée… Et puis l’air de la plage était très frais… Allons mon ami, montons.
Elle gravit les marches qui la menèrent jusqu’à son duplex clair et aménagé avec goût. Violet était obsédée par le bon goût et la bonne éducation. N’en ayant pas vraiment bénéficié, elle vivait dans la hantise que sa basse condition ressorte au gré de son comportement ou de ses paroles. Alors, elle lisait tout, magasines, livres, elle faisait les expositions, dévorait les critiques d’art et tentait de combler ce qu’elle pensait être un gouffre intellectuel. Il n’y avait personne dans l’appartement et elle en fut soulagée. La lettre qu’elle venait d’ouvrir lui glaçait toujours le sang et elle ne parvenait pas à se réchauffer.
-Ca va aller Vitto, tu peux me laisser, Macimo ne va pas tarder et j’aimerai me détendre un peu avant qu’il n’arrive.
Vitto lui fit un bref signe de la main et marmonna quelque chose dans un italien bâclé qu’il voulut réconfortant. Il fit pivoter sa lourde carcasse et sortit pour rejoindre sa garçonnière située dans le même immeuble, un étage en dessous. Dès qu’il fut hors de l’appartement, Violet jeta ses escarpins à l’autre bout de la pièce de façon à ce qu’il n’entende pas ses pas. Elle savait qu’elle disposait d’exactement trois quarts d’heure avant que Macimo ne rentre de sa partie de poker quotidienne. Elle se précipita dans le bureau du fond et sortit une clé. Elle avait mis près de huit mois pour parvenir à faire un double des clés du bureau de Macimo, sans que personne ne se doute de quoique ce soit. Encore un mois pour attendre qu’il reprenne ses parties régulières de poker et s’assurer qu’elles soient à heure fixe. S’il la surprenait à fouiller dans ses bureaux, elle était morte malgré l’amour sans doute étrangement sincère qu’il lui portait. D’un cliquetis à présent maîtrisé, elle ouvrit la porte et glissa sa fine silhouette dans le bureau de Macimo. Depuis maintenant quinze jours, elle épluchait discrètement tous les livres de comptes et tous les documents comptables qu’il cachait précieusement. L’avantage des ego surdimensionnés était qu’ils voyaient rarement la concurrence là où elle était. Macimo voyait en Violet une poupée parfaite, une douce sucrerie à sa totale disposition, mais il ne lui était jamais venu à l’idée qu’elle pouvait avoir un cerveau, et pire, qu’elle pouvait s’en servir. Elle reprit le dossier sur lequel elle travaillait, selon un ordre mathématique afin d’être sûre de n’en rater aucun. Ce qui l’intriguait depuis deux jours, c’était un petit calepin rouge qu’elle avait trouvé par hasard coincé entre deux dictionnaires. Après réflexion, elle était bien persuadée qu’il s’agissait d’un livre de comptes, mais avec des annotations et un code qu’elle ne reconnaissait pas. Il était question de mouvements de fonds et de transactions mais la question était de savoir pourquoi ces mêmes mouvements ne figuraient-ils pas sur les autres livres de compte paraphés par la hiérarchie maffieuse de Don ? Et soudain, calfeutrée dans l’âtre sombre de ce bureau interdit, elle fut saisie d’une évidence brutale. Et si Macimo tenait une comptabilité auxiliaire ? Et s’il avait décidé de voler Don ? Non, il ne pouvait pas être si inconscient et si stupide ! Don Carissimo ne plaisantait pas avec la traîtrise, c’était le pire des actes car le saint dogme maffieux commandait une totale obéissance. Néanmoins, le fait était que Macimo avait tendance à se croire invulnérable, ce complexe de supériorité avait précisément permis à Violet de découvrir toutes ses informations.
Elle entendit soudain des pas au dehors, elle rangea les documents parfaitement à leur place et sortit en silence du bureau. Il y avait encore quelques mois, jamais elle ne se serait crue capable d’autant de sang froid, mais la nécessité l’avait poussée dans ses dernières limites et le goût de la liberté lui donnait des ailes. Elle retira son manteau et sa veste de tailleur qui dévoilèrent un bustier de dentelles fines etde perles de nacre, puis prit un pause digne d’un shooting photos sur la large méridienne du salon. Son coeur battait à tout rompre, mais son visage de parfaite craie ne reflétait rien d’autre que la joie simulée du retour du maître.
- Vi !! claqua Macimo de sa voix sèche et tonitruante comme un maître ordonne à son chien. Alors tu pourrais bouger tes fesses et venir me dire bonjour !
Violet fit un léger bond et glissa rapidement vers Macimo qu’elle embrassa par pur formalisme. Macimo n’était pas à proprement parlé un homme violent, mais il valait mieux obtempérer promptement quand il donnait ses ordres. Il la considéra une seconde, faisant une drôle de grimace, un brin méprisante.
-C’est quoi cette coiffure ? Je croyais que tu devais aller chez le coiffeur ?
Violet passa nerveusement sa main dans ses cheveux défaits par le vent sur la plage.
-Oui, mais j’ai été me promener sur les berges, la voiture m’avait tournée le cœur … -Ah les bonnes femmes ! Tonna-t-il avec emphase, sans doute l’animal le plus bête de la création …
Violet ne releva cet énième pic concernant la condition des femmes. Ce n’était pas le premier qu’elle encaissait et ce ne serait sans doute pas le dernier. Mais d’une certaine manière ça l’arrangeait que Macimo la considère comme une véritable pintade. Car qui pourrait soupçonner ce genre de volatile d’une quelconque malice ? Un oiseau ne trahit pas, ne manipule pas et surtout ne réfléchit pas. Qu’il continue donc de croire que Violet avait le cerveau aussi peu développé que celui d’un moineau, il n’en serait que plus facile à tromper. Elle alla droit vers le grand bar pour lui servir un verre de bourbon qui parviendrait, sans nul doute, à la détendre.
-Ta partie de poker s’est bien passée ? Demanda-t-elle par un automatisme de maîtresse. - Un peu ! J’ai délesté cet imbécile de Claudio d’un sacré paquet de blés ! -Il n’a pas dû apprécier, répondit-elle en robot parce qu’elle n’avait que faire de sa partie de poker. -Je m’en cogne qu’il n’ait pas apprécié ! Il se vente peut-être d’avoir l’absolue confiance du grand patron et de posséder les affaires les plus florissantes, mais n’empêche qu’il joue comme une gonzesse ! Sérieux, je ne sais pas comment ils font leur recrutement chez Don, mais parfois c’est pas heureux !
Il finit d’avaler son bourbon d’une traite et fit craquer ses cervicales.
-Je vais bosser dans mon bureau Vi, tu me déranges pas et personne me dérange compris ?
Violet acquiesça en silence, tandis qu’elle voyait sa silhouette qui accusait le temps se diriger vers son antre. Quand il referma la porte, elle soupira enfin et se laissa tomber sur le canapé. Elle ne le supportait plus. Elle passa sa main sur son front, puis décida de monter prendre un bain, le seul moment vraiment à elle et à l’occasion duquel, elle pouvait tout oublier. | |
| | | Magda Benneto Consigliéri secrètement amoureuse
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| Sujet: Re: *Appartement de Violet * Mar 22 Juil - 20:01 | |
| [Désolé du retard]
Connaissez-vous les journées où tout semble vous échapper? Une journée que tout ce que vous saviez mieux faire c'est de respirer et de rester calme. Depuis le début de la matinée, Magda se sentait de cette manière. Elle avait beau s'occuper de ses documents, voir quelques personnes du clan pour des informations, voir Don pour lui parler de certains détails... et pourquoi pas un peu de séduction avec ça. Bref, même si elle faisait tout cela, rien ne lui semblait correct, comme si elle ne satisfaisait guère son ego. Ayant travaillé toute la matinée et le début d'après-midi comme une acharnée, il était préférable pour la demoiselle de prendre un petit moment de repos. Dix minutes? Une demi-heure? Et pourquoi pas deux heures? Peu importe, tant qu'elle pouvait se relaxer un peu et passer du bon temps. Étant une habituée de la solitude, ce dix janvier reflétait un autre genre. L'envie de compagnie se ressentait beaucoup chez l'Italienne. Nous voilà à un point plus difficile, qui inviter? Car Magda avait l'une de ces envies d'aller prendre un café ou quoi que ce soit dans un petit restaurant du coin. Bien que ce moment spontané soit intéressant, elle ne savait toujours pas chez qui aller voir pour discuter un peu. Après tout, Magda avait beau être une personne importante dans la famillia, elle ne prenait guère le temps de s'intéresser aux autres. Ce qui est décevant par certains instants. Se lancer un fautif défi, Magda s'obligea elle-même de rejoindre une autre femme du clan et de mieux faire connaissance avec celle-ci. Une amie ne ferait pas de tord... Il faut juste faire confiance!
Placée devant son grand miroir, les lèvres de la Sicilienne se garnit d'un bourgogne luisant sortant de son tube de maquillage. Quelques coups de mascara et on replace les mèches rebelles qui retombent au visage, voilà, Magda était prête pour son départ vers l'extérieur et à la conquête d'une connaissance. Elle fit des pas rapides et feutrés jusqu'au hall d'entrée de sa maison. Elle n'avait pas une éternité devant elle pour faire sa pause de travail. Elle glissa ses pieds fins dans ses chaussures aux talons en aiguille et elle se recouvra les épaules avec un chale assez épais pour la protéger du froid. Sans oublier son sac à main, la femme referma et verrouilla derrière elle la porte de sa maison. Restant un peu sur le porche, les yeux émeraudes scrutèrent la rue et son alentour. Son souffle faisait légèrement de la buée avec ce froid d'hiver. Bon dieu que Magda détestait l'hiver. Elle se contentait chanceuse d'être à l'abri des gros bancs de neige comme dans le nord. D'un pas prudent, elle descendit les petites marches et s'avança jusqu'au trottoir de la rue, se fondant au reste des passants. Ne prenant aucunement attention à qui que ce soit, Magda se plongea dans le creux de ses pensées. Elle regardait droit devant elle, mais ce qu'elle voyait était plutôt les visages des personnes féminines de son clan. Elle tourna et tourna et tourna plusieurs coins sans destination précise.
Après quelques minutes, l'Italienne aboutit dans un quartier avec plusieurs blocs appartements. Étrangement, ce coin lui rappela quelques souvenirs, malgré qu'elle venait ici rarement. Elle se souvint qu'une certaine Violet vivait non loin d'ici. Elle lui était arrivée l'aller l'accompagner jusqu'à chez elle, après une réunion. Même si Magda ne portait peu de confiance aux gens, Violet était une jeune personne qui était forte agréable. Bien qu'elles n'ont pas eu la même éducation, la jeune Vélasquez savait comment garder le fil des conversations. Magda continua la rue à la recherche du bon appartement. Sa main droite se crispa un peu plus sur le noeud de son châle, la froideur venait lui agripper la chair des bras, quelle désagréable sensation! L'adresse lui surgit dans le creux de la tête quand ses mirettes croisèrent la pancarte avec les chiffres indiqués dessus. Avec délicatesse, la main gauche de Magda se posa sur la rampe des escaliers. Mettant un pied devant l'autre, le bruit sourd des talons contre le métal lui bourdonna dans les oreilles. Sons énervants, mais nous ne pouvons rien y faire. Se dépêchant de grimper les marches sans tomber, la négociatrice arriva enfin à sa destination. Avec un brin d'hésitation, sa main resta en suspension dans les airs à quelques centimètres de la porte. Cogner ou pas cogner? Et si elle la dérangeait? Il n'est pas très plaisant de se faire déranger et Magda s'y connait dans ce domaine. Bon, peu importe, des erreurs peuvent arriver quelquefois, non? Ses jointures vinrent frapper contre le bois de la porte, quatre coups, pas plus. Rebaissant sa main à son point de départ, elle attendit sagement qu'on lui réponde à la porte. Quelques secondes passèrent, pas de réponse. Encore en dilemme, frapper ou tout simplement partir. Elle repartirait bien, mais sa détermination la figea sur le petit balcon devant la porte. À nouveau, sa main frappa à la porte et en éclaircissant la gorge, elle haussa la voix pour qu'on l'entende à travers la porte.
- Mademoiselle Violet, êtes-vous là? C'est Magda Benneto...
Laissant sa phrase en suspension, la Sicilienne tendit son oreille vers l'entrée en ne faisant aucun bruit. Elle essaya de détecter des bruits à l'intérieur malgré l'épaisseur de la porte. Elle espéra de tout coeur qu'elle soit ici. Après tout, qui irait-elle voir par la suite? Il n'est guère amusant d'aller prendre un café sans compagnie. Elle laissa un petit soupir et attendit encore quelques secondes. Ses mains vinrent se croiser avec délicatesse devant ses cuisses en tenant le sac à main. | |
| | | Violet Vélasquez pin up fragile et empoisonnée
| Sujet: Re: *Appartement de Violet * Mer 23 Juil - 23:57 | |
| [Pas de soucis ^^]
Violet sursauta alors qu'elle se rhabillait lentement devant son miroir. Macimo avait dit qu'il ne voulait être dérangé par personne et elle savait qu'il détestait se répéter, particulièrement avec elle. Quelqu'un avait frappé à la porte, ce qui acheva de lui faire activer le mouvement dans sa salle de bain du premier. Elle enfila ses bas, manquant de les filer sous l'empressement, puis passa un caraco blanc de fines dentelles et la jupe serrée d'un tailleur noir et blanc. Elle dégringola rapidement les marches de l'escalier à pas de velours, afin de ne pas faire de bruit. En fait, elle avait appris à tout faire sans bruit, question de survie dans ce milieu où la paranoïa et la méfiance étaient nécessairement de mise. La personne frappa à nouveau à la porte et s'annonça, ce qui stoppa net Violet dans son élan. Magda Benneto ? Elle se demanda ce qu'une personne de son importance venait faire ici, à moins que Macimo n'ait quelque chose d'important à voir avec elle et qu'il avait tout simplement omis de lui dire. Pourtant, il venait de lui dire qu'il ne voulait pas être dérangé. Une fois dans sa vie, violet aurait bien aimé que la vie lui offre des choix évidents qui ne lui demandraient pas trois heures de réflexion métaphysique.
Magda Benneto était le genre de femme qu'on ne pouvait qu'admirer, particulièrement quand on sortait de nulle part comme c'était le cas pour Violet. Cette femme, au demeurant magnifique ce qui ne gâchait rien, avait réussi à se faire une place dans les plus hautes sphères du milieu, en ne comptant que sur son talant et sans avoir à être le faire valoir d'un homme. Elle était juste elle et ça avait suffi à faire d'elle un personnage qui comptait et qui intervenait sur la plupart des transactions les plus importantes. Bref, son nom était incontournable au sein de la "famille" et il imposait le respect dû, non pas à la peur, mais plus noblement au respect. Violet aurait donné n'importe quoi pour lui ressembler ou pour être proche d'elle et bénéficier de son aura. Mais la vie l'avait confinée dans un rôle de poupée, tout au plus une sorte belle plante verte qu'on déplace dans le salon pour meubler agréablement une pièce. Elle se raccrochait à l'idée, ou plutôt au fantasme, que si on lui avait donné sa chance, si on avait tenté d'exploiter ses talents, alors elle aurait pu surprendre et faire de grandes choses. Elle n'avait pas la trahison chevillée au corps, elle ne demandait qu'à servir fidèlement un "bon" maître, puisqu'elle était née sous le signe de la servilité. Qui pouvait lui en vouloir de tenter de s'extirper de l'emprise d'un homme médiocre tel que Macimo ?
Elle ouvrit la porte et servit à Magda un sourire franc et chaleureux. Elle n'avait pas besoin de se forcer, ni de faire semblant comme elle le faisait avec Macimo ou ses "amis" lorsqu'ils venaient envahir son domaine. Elle était toujours heureuse de voir Magda en raison de tout ce qu'elle pouvait représenter pour Violet. Elle n'avait jamais eu de contact rapproché avec elle et cette observation à distance dans les soirées ou les réunions avait eu tendance à placer la Conciglieri sur le piédestal des femmes indépendantes et surtout libres.
― Bonjour, dit-elle un peu intimidée. Je vous en prie entrez, il fait si froid dehors, ça se ressent jusque dans le couloir…
Violet referma la porte derrière elle, prenant soin de vérifier qu'il n'y avait personne d'autre qui accompagnait la jeune femme. Par un réflexe conditionné, Elle tendit légèrement les mains vers Magda pour prendre son manteau.
― Macimo est dans son bureau, je vais aller le chercher, dit-elle bien persuadée qu'une femme aussi importante que Magda dans la hiérarchie du milieu ne pouvait s'être déplacée ici que pour voir que Macimo et lui parler bisness. | |
| | | PNJ/MJ Conteur sadique et invisible
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| Sujet: Re: *Appartement de Violet * Mar 2 Sep - 13:04 | |
| ~~~~~ PNJ- Jetto ~~~~ ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Montant les escaliers quatre à quatre le chauffeur de la Consigliéri s'arrêta au dernier l'étage de l'immeuble le souffle court. Sa patronne lui avait bien stipulé de rester en bas à garder la voiture mais depuis qu'elle était montée de grave actes avaient eut lieu et à tout avouer Jetto n'avait pas envie qu'il arrive quoi que ce soit à mademoiselle Beneto sans quoi il se retrouverait sans doute au fond d'un lac. Un des hommes de Don Carissimo était venu le voir pour l'avertir le Don avait ordonné une attaque contre les forces de l'ordre. L'homme s'avança dans le couloir recherchant du regard la porte de mademoiselle Vélasquez il avait déjà eut l'occasion de la croiser et cette femme était d'une beauté sans égal d'elle émané une sorte de charme si attirant que Jetto aurait fait des folies pour cette femme mais il n'en avait pas les moyens son faible salaire ne rivalisé pas avec les attente de cette femme.
Jetto était ce que les gens appelez un boy, le garçon à tout faire, il avait maintenant 27 ans mais toujours un bouille de gosse de 15ans, avant de devenir le chauffeur de Magda beneto il vaquait de sale boulot en sale boulot. Principalement taxi ça payait assez bien même s'il avait des horaires difficile, les gens même peu fréquentable qui le payait pour une course ou deux, ayant à cette époque souvent besoin d'argent il ne refusait rien même les choses sortant de la légalité c'est d'ailleurs de cette façon qu'il s'était retrouvait dans le clan italien, plutôt contraint et forcé dans un premier temps ou tout du moins entraîné malgré lui. Vous pouvez vous demander comment il s'est retrouvé là c'est votre droit, lui même n'en a aucune idée, du jour au lendemain il était passé de chauffeur pour le clan à chauffeur d'une des femmes les plus en vue du clan. Beaucoup eurent leur théorie sur le moment car Jetto était bien que mignon très intimidé par les femme à forte personnalité et encore plus lorsqu'elle avait un charme fou comme la Consigliéri, la logique voulait alors que le Don l'ai mit à se poste pour être certain que le chauffeur de la jeune femme ne lui fasse pas d'avance ou pire n'abuse pas d'elle. Enfin des rumeurs comme il en circule souvent mais sans que personnes n'ose demander malgré la jalousie que Jetto provoqué.
Jetto frappa plusieurs fois sur la porte étant arrivé devant l'appartement où sa patronne s'était engagée avant de prendre la parole."C'est Jetto mademoiselle..."L'italien n'était pas vraiment rassuré convaincre sa patronne de rentrer des à présent n'allait pas être très facile surtout qu'ils venaient tout juste d'arriver mais il ne voulait pas que celle-ci ne reste en dehors après ce qu'il venait de se passer il valait mieux qu'ils rentrent à l'embrassade... | |
| | | Violet Vélasquez pin up fragile et empoisonnée
| Sujet: Re: *Appartement de Violet * Mar 16 Sep - 21:23 | |
| Violet sursauta légèrement, c’était presque le mouvement qu’elle faisait de façon la plus récurrente comme un animal qui sait qu’il se trouve tout en bas de la chaîne alimentaire. Elle n’attendait personne, elle n’attendait jamais personne pour elle-même. Magda lui avait déjà fait l’honneur de sa présence, elle espérait que tout n’allait pas se compliquer et faire sortir de sa tanière Macimo. Elle s’avança rapidement dans un froissement de tissu léger et précieux puis ouvrit doucement la porte comme avec une certaine hésitation.
« oui ? » Dit-elle de sa voix douce et mélodieuse.
Elle prit quelques instants avant de mettre une fonction sur le charmant visage qui se trouvait en face d’elle. Elle l’avait déjà vu, il était chauffeur ou homme de main. Bref, un jeune garçon pris très tôt comme elle dans l’engrenage de la famille. Il avait l’air sur le même palier de la chaîne alimentaire qu’elle. Violet se demanda soudain ce que ça aurait comme conséquence, si toutes les petites mains de cette grande machinerie maffieuse étaient soudain solidaires et se protégeaient mutuellement ? Les têtes pensantes parviendraient-elles à survivre sans des sous-fifres à diriger et sur lesquels ils se reposent au quotidien ? Elle lui sourit doucement et avec tendresse comme un signe d’empathie.
« Je t’en prie entre… »
Elle pivota sur le côté et le laissa entrer dans l’âtre chaud de l’appartement de Violet. S’il était chauffeur, il devait passer ses journées à tenter de ses réchauffer dans la voiture en attendant que ses patrons ne reviennent. | |
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| Sujet: Re: *Appartement de Violet * Mer 17 Sep - 18:51 | |
| La porte s'ouvrit laissant apparaître Violet, la vision de la jeune femme fit sursauter Jetto qui se retrouva comme surprit que la personne qui lui ouvre la porte se trouve être Violet. En même temps c'était si logique, il venait de frapper chez elle qui pouvait bien venir lui ouvrir, au plus profond de lui le jeune homme avait plutôt pensait que ce serait Magda qui viendrait comme il s'était présenté au travers de la porte. Mais pour en revenir à la belle qui venait de lui ouvrir Jetto sentit montrer en lui une gêne indescriptible ce qui devait se traduire par un rougissement plus que visible de ses promettes, et la douce voix de son hôtesse ne fit que l'accentuer.
« oui ? »
"Bonjour Mademoiselle Velasquez, je... Je suis Jetto le chauffeur de Mademoiselle Beneto. Je suis désolé de vous déranger en pleine conversation mais, je voudrais voir ma patronne...on..."
Le ton de homme était assez risible il semblait être un petit poussin qui venait de tomber de son nid demandant a ce qu'on lui permette d'y remontrer. La situation pouvait etre facilement explicable lorsque l'on savait que l'italien avait un faible pour cette charmante jeune femme en face de lui. S'il n'avait pas été aussi timide et sans de sous il l'aurait peut être empoigné et lui aurait promis mont et merveille mais ce n'était pas d'actualité. Jetto n'avait pas les même facilitées que Macimo. L'invitant à entrer Violet lui laissa entre voir une des plus belles choses un doux sourire emplit de tendresse qui une nouvelle fois le mit mal à l'aise. La jeune femme ouvrit la porte entièrement laissant dévoiler le magnifique tailleur rouge qui la couvrait.
« Je t’en prie entre… »
"Merci...Mademoiselle..."
Jetto s'avança dans l'appartement clinquant à souhait tout n'était que beauté et démesure ici. Avançant de quelques pas il n'osa pas avancer plus pour ne pas salir le sol ses chaussures étant pleine de neige, il avait beau eut les frotter à l'entrée du bâtiment elles n'en restaient pas moins humides. Gardant ses yeux sur Violet il se décala tout de même suffisamment pour que la jeune femme puisse refermer la porte sans qu'il ne dérange, la chaleur du lieu était des plus agréable et ne lui faisait pas de mal pour tout dire bien que sa voiture ne soit pas des plus mauvais modèle bien au contraire il fallait bien avouer qu'il ne laissait que rarement le moteur en marche pour se réchauffer lorsque sa patronne lui demandé de surveiller la voiture car dans l'abitacle on ne pouvait pas voir grand chose des diverses menaces pouvant arriver à cause de nombreux angles mort. C'était donc pour cela qu'il attendait sous un porche ou à coté du véhicule la plus part du temps dans le froid... Magda se tenait dans la pièce adjacente à celle de l'entrée attendant très certainement Violet Jetto les ayant très certainement coupé en pleine conversation.
"Il y a eut un événement et j'aurais aimé que mademoiselle Beneto rentre avec moi à l'ambassade pour être en sécurité..."
A peine eut il fini sa phrase qu'il se rendit compte du sous entendu qu'il venait de formuler et le jeune homme essaya de se rattraper au plus vite.
" Je voulais pas dire qu'ici ce n'était pas bien... Au contraire c'est très bien vous êtes très bien... je veux dire... Si vous n'avez pas fini de parler je peux attendre devant la porte..."
Félicitation le vous êtes très bien était vraiment mal placé, voilà ce qu'il se dit au même moment complimenter la femme d'un autre dans sa propre maison c'était d'un distingué... Jetto préféra se taire pour éviter d'aggraver son cas, il devait déjà être assez bas dans l'estime de la somptueuse femme en face de lui. | |
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| Sujet: Re: *Appartement de Violet * Jeu 18 Sep - 22:45 | |
| Violet se mit à sourire, tout en regardant Jetto avec une étrange insistance. Pourquoi fallait-il que les filles comme elle n’attirent que les hommes autoritaires et violents ? Les autres, ceux qui savaient aimer avec respect, égalité et tendresse, la regardaient toujours de si loin, sans jamais lui saisir la main et l’extirper de sa prison. Comme elle aurait aimé qu’il y en ait un qui n’ait peur de rien et qui lui fasse croire qu’on pouvait encore miser sur la liberté ! Mais il fallait se rendre à l’évidence, que donnerait-elle en échange pour payer le prix du risque qu’un sauveur aurait pris pour la sauver ? Son amour ? Sa beauté ? Autant dire rien du tout… Non, elle devait compter sur elle et n’imposer à personne la croix qui était la sienne.
Elle regarda le jeune homme, le détaillant avec sa délicatesse un peu mélancolique. Il était son opposé, ses vêtements bon marché, des chaussures fatiguées et sans doute quelques pièces dans sa poche comme seule fortune. Elle jonglait avec des étoffes griffées par des grands couturiers et ses bijoux coûtaient le prix de la voiture qu’il conduisait. Et pourtant, ils étaient bien exactement pareils, des employés exploités. Ses draps étaient juste un peu plus doux que les siens.
« Merci à toi » dit-elle pour tenter de remédier à la gêne du jeune homme pour lui avoir faire bien involontairement un compliment.
« je vais te donner quelque chose de chaud à boire tu as l’air frigorifié… »
Elle marqua une légère pose, ne sachant pas exactement comment amener la chose. Si un évènement grave s’était produit, qui pouvait savoir comment allait réagir Macimo. Il était si imprévisible …
« Quelque chose de grave s’est produit ? » demanda-t-elle en essayant de rendre sa phrase la plus anodine possible et tout en faisant chauffer un peu de café. | |
| | | PNJ/MJ Conteur sadique et invisible
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| Sujet: Re: *Appartement de Violet * Ven 19 Sep - 18:45 | |
| Le regard de la belle se faisait insistant, bien trop insistant du moins pour ce pauvre Jetto qui ne savait plus où se mettre même s'il faisait son maximum pour que cela ne se voit pas. Mais il fallait bien avouer qu'après sa dernière phrase il avait bien du mal à rester impassible charmé et honteux à la fois. La jeune femme lui répondit le remerciant.
« Merci à toi. Je vais te donner quelque chose de chaud à boire tu as l’air frigorifié… »
"C'est gentil mais ne vous sentez pas obligée j'ai l'habitude je voudrais pas vous déranger..."
Merci, elle l'avait remercié, pour ce qu'il avait dit? Pour autre chose? Il n'en était pas vraiment sur mais dans une sens il était content même s'il n'avait put s'empêcher d'ajouter une petite phrase . Une femme de sa position l'avait remercié et elle l'avait invité à prendre quelque chose à boire ce qui ajouté a son sentiment. S'avançant un peu Jetto remarqua que Violet était pied nus et ôta immédiatement ses chaussures ne voulant pas que la jeune femme ne soit forcée de faire le ménage après son passage, bien qu'il devait très certainement une personne attitrée à ce poste. Jetto se dirigea vers la pièce ou se trouvait Magda et s'apprêta à s'excuser pour son entrée lorsque Violet lui posa une question.
« Quelque chose de grave s’est produit ? »
"C'est... Enfin c'est pas grave dans le sens ou l'ont peut l'entendre mais je..."
L'italien regarda sa patronne puis Violet avant de se décider à parler. De toute façon elles le découvriraient bien vite car c'était une affaire qui allait faire parler et qui ne serait pas péter de s'étouffer. Regardant à nouveau Violet il lui fit un petit sourire pour la remercier de lui faire réchauffer un peu de café et se plaça de façon a les voir toutes les deux et commença à expliquer.
"C'est Don Carrisimo, il a ordonné une attaque contre le central de police et d'après ce que l'on m'a dit il y a peu de temps que ça a éclaté, Il y a plusieurs blessés mais pas de pertes pour nous. C'est pourquoi je m'inquiète de la sécurité de mademoiselle Beneto on dit même qu'un haut gradé est mort dans les rangs de la police."
Jetto montrait en effet de nombreux signes d'inquiétudes bien qu'il n'avait que peu de raison de s'inquiéter à ce point mais s'il arrivé quelques chose à Magda le Don le lui ferait payer au centuple. | |
| | | Andréo Piga Garde du corps dévoué et asocial
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (5/6) Dollars: 30 $ (355 $)
| Sujet: Re: *Appartement de Violet * Jeu 8 Jan - 15:43 | |
| <=== Une petite commande. Andréo arriva devant l'immeuble de l'homme, il était fin prêt. Cela avait mit plus de temps que prévu mais tant pis Don Carissimo serait mit au courant des raisons du retard et l'en excuserait sans mal si ses ordres étaient tout de même exécutés. Le garde du corps avait récupéré son arme fétiche pour ce genre de contrat, son sabre, certes il en avait besoin pour se mesurer une nouvelle fois à son rival de toujours mais aussi pour accomplir la tache que Don Carissimo lui avait remit à savoir assassiner un certain Macimo habitant au sommet de l'immeuble qui lui faisait face. Cet homme n'était plus digne de vivre, enfreignant les lois qui devait régir sa vie depuis qu'il était entré sous les ordres de Césare Carissimo et du clan italien.
Les lois, cela fit sourire Andréo, toutes plus inutiles les unes que les autres la plus part du temps, il ne se pliait à aucune par ailleurs n'écoutant que ses envies dans ce domaine là, c'était à cause de lois stupides que ses parents avaient perdus la vie, des lois qui leurs disaient que la vie de leur enfant était moins importante que le bon fonctionnement du clan. Des lois dont tous s'arrangeaient déjà à l'époque où seuls les moins corrompus, risquaient de tout perdre, comme ses parents qui ne pensait qu'a le protéger sans avoir d'autres portes des sorties que les flics ou la mort. L'italien s'avança vers l'entrée de l'immeuble montant en silence les marches pour rentrer au chaud dans l'immeuble, d'après ce qu'il savait de sa cible l'homme était un bien trop huppé pour prendre les escaliers. Andréo s'approcha donc de l'ascenseur appelant celui-ci pour montrer au dernier étage du bâtiment de cette façon si sa cible avait décidé de quitter l'immeuble il tomberait forcement dessus.
Alors que l'ascenseur montait le garde du corps ouvrit le sac de toile où était retenu son sabre pour pouvoir le sortir en toute facilité dès qu'il serait dans l'appartement de sa cible. L'homme vérifia aussi que son arme était bien chargée au cas où laissant sa veste entre ouverte, s'il devait l'utiliser rapidement cela serait bien plus simple, un imprévu n'est jamais à négliger. Le ting reconnaissable entre mille indiquant que l'ascenseur venait de finir sa course retenti, les doubles portes s'ouvrirent sur le couloir complètement vide, Andréo en sortit la main ballante proche de son sabre se dirigeant vers la porte de l'appartement de ce Marcimo. Celui-ci vivait avec une des jeunes femmes qu'il entretenait une certaines VioletVélasquez, il valait mieux que celle-ci soit absente sous peine de devoir passer sous sa lame elle aussi. Le garde du corps posa la main sur la poignet de la porte pour vérifier si celle-ci était ouverte pour ainsi pouvoir pénétrer dans l'appartement sans se faire voir. Celle-ci s'ouvrit sans montrer aucune résistance laissant Andréo entrer.
Refermant la porte Andréo laissa glisser la toile entourant son sabre lorsqu'il se retrouva face à face avec Madga Benneto. Que faisait elle la, baisant la tête pour la saluer Andréo vit en même temps le chauffeur de celle-ci un môme qui avait prit du grade bien vite. Les regardant d'un regard dur et principalment Jetto Andréo leur demanda de quitter les lieux."Madame Benneto vous deviez rentrer à l'ambassade, Jetto emmène là." [Italien] Sans plus de cérémonial l'homme aux cheveux long se dirigea vers une des grandes doubles portes pouvant être le bureau de sa cible, sans un bruit il l'ouvrit se retrouvant dans un grand bureau très luxueux au premier coup d'œil. Surement celui de Marcimo et la voix qui retentit l'en convaincu, c'était vraiment pitoyable..."Vi!! J'ai demandé à ne pas être dérangé c'est quoi que tu n'a pas compris dans cette phrase, ne pas être dérangée, par personne!!!"Andréo posa la main sur la poignée de son sabre alors que l'homme était entrain de gueuler allégrement après celle qu'il pensait être sa maitresse, comment un homme pouvait il se comporter ainsi. Le garde du corps certes n'était pas bien plus galant ne ressentant aucune émotion envers la gente féminine mais il le savait et ne recherchait aucunement un changement dans ce domaine là se contentant d'aller voir des filles de joie lorsque l'envie s'en faisait sentir mais jamais il ne se serait mit en tête d'avoir une personne régulière pour faire cela comme le faisait ce Marcimo. Il n'était même pas capable de faire preuve de sympathie avec la femme qu'il payait pour assouvir ses envies. Andréo commença à sortir la lame de son fourreau lorsqu'il s'arrêta brusquement sans aucune explication sa main tâtant doucement la poignée de son sabre comme si celle-ci était hésitante. L'homme en face de lui se retourna."Qui êtes vous? Que faites vous chez moi? Vi!! C'est quoi se bordel!!"Paniqué, l'homme se tourna vers un des tiroirs de son bureau et l'ouvrit avec empressement, il était fort probable qu'il y cache une arme mais Andréo ne le laissa pas faire, relâchant sa prise sur la poignée du sabre l'italien passa rapidement sa main dans sa veste entre ouverte. La main en question refit son apparition tout aussi rapidement qu'elle avait disparue laissant apparaître dans celle-ci son remington qui se stoppa en direction de Marcimo. Bam... C'est la toute dernière chose que l'homme eut le loisir d'entendre, la balle fusa en direction de l'homme lui traversa la tête de part en part et finit sa course dans le mur se trouvant derrière celui-ci en un très joli cracha de sang pourpre coulant lentement vers le sol. Le corps désormais sans vie de l'ancien membre du clan italien gisait dans son luxueux fauteuil maculé de son propre sang de traitre. Andréo n'eut aucun mal à l'abattre bien qu'il soit lui même le fils de traitres, dans ce cas là tout était différant cet homme ne cherchait que son propre profit. L'homme aux cheveux gris se dirigea vers le tiroir que le cadavre encore chaud avait tentait d'ouvrir, une arme, comme c'était prévisible sans même la récupérer il fit demi tour vers la pièce où se trouvait peu de temps avant Magda et son chauffeur, ceux-ci avait du s'en aller et si ce n'était pas le cas il allait les y forcer. De plus il devait y avoir une autre personne ici cette femme Violet, sinon l'autre n'aurait ut aucune raison de lui crier dessus.
Ils étaient partis c'était déjà une bonne chose de faite, maintenant la femme. Andréo parcourut l'appartement passant d'une pièce à l'autre en silence mais ne trouvât personne, elle devait s'être enfuit avant qu'il n'abatte son 'compagnon". A moins qu'elle ne soit partit avec Magda et Jetto, dans ce cas là elle irait directement à l'embrassade Don Carrisimo ferait ce que bon lui semblait avec elle. Avant de rentrer voir son patron il restait une chose à faire au garde du corps, une chose qu'il devait corriger immédiatement. Vérifiant que personne n'était dans le couloir l'asocial se dirigea vers la sortie empruntant les escaliers cette fois ici il n'avait aucune raison de repasser par cette machine de fer pour faignant. Un repas en solitaire ===> | |
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