Prénom: Rai
Nom: Sanada
Clan: La Triade
Age: 40 ans
Classe: Fanatique
Métier: Bâton Rouge
Orientation sexuelle: Hétérosexuel
Crimes commis: Il a tellement fait pour son clan, qu'il a arrêté de les compter. Il n'y a que 15% des crimes qu'il a faits qui sont connus de la police. Le seul problème c'était qu'on n'avait jamais assez de preuve pour arrêter Rai Sanada.
Description physique: Rai est d'un homme d'une quarantaine années. Sa mère était chinoise, mais il n'a jamais su de quel origine son père était, donc il a toujours dit qu'il était d'origine chinoise sans se soucié du reste. Il fait a peu prêt dans les 1 mètre 90 pour un poids de 90 kilogrammes. Même avec son âge son corps reste d'une musculature étonnante. Il a une force or du commun. Depuis qu'il est jeune il n'a fait que s'entraîner pour devenir toujours plus fort. Quand on le voit pour la première fois, on remarque tout de suite la colère ou la rage sur son visage. Il est presque toujours énervé ou du moins son visage les toujours. Il a les cheveux blonds, qui sont toujours coiffés vers le haut ce qui lui donne un visage encore plus stricte, de plus comme ses yeux sont de couleur marron ça ne l'aide pas pour avoir un visage plus gentil. Il porte des lunettes de vue ronds, qu'il ne quitte jamais même pour se battre, ce qui est devenu rare depuis qu'il a atteint les trente ans. Il a toujours un sourire un peu spécial. Il ne sourit pas par plaisir, mais par moquerie. Il a toujours ce sourire affiché sur le visage quand un jeune du clan ce la joue meilleure que les autres ou qu'une personne extérieur du clan se croit au-dessus des lois de la Triade. Il a toujours un peu de barbe. Il dit souvent qu'il n'a jamais le temps pour se raser correctement. Il porte toujours un costume gris avec une chemise noire quand il sort dehors. Il a toujours à ce moment-là, une canne en métal de couleur rouge sang avec comme manche une tête de dragon pour la simple raison qu'il a eu un accident qui a fait que depuis il boite de la jambe droite. Il préfère être bien présenté, quand il sort. Si non chez lui il porte un Kimono traditionnelle de couleur grise, voir noire. Il ne supporte pas les couleurs trop voyantes.
Description mentale: Rai dit souvent qu'il a déjà un pied dans la tombe depuis qu'il est né pour servir la Triade, mais il ne regrette rien. Son âge ne facilite pas les choses, mais pour un homme comme Rai qui a un caractère aussi puissant que le feu et aussi solide que le métal, rien est impossible. Il ne vis et ne vivra que pour la triade. On le traître souvent de fanatique, de chien fou, mais lui accepte toutes les remarques et les méchancetés qu'on lui dit. Tout ce qu'il fait il ne le fait que pour le clan pour son évolution. Il s'énerve assez rapidement, mais il sait quand même prendre des désitions dans sa colère. Il ne supporte pas que le travaille soit mal fait, donc il prend assez vite des désitions pour que les bétises des soldats ne retombe pas sur le clan. De plus son âge ne l'aide pas à devenir plus calme. Au contraire, il ne supporte plus la jeunesse irrespectueuse des traditions.
La seule fois où on peut voir le chien fou pleurait, c'est les moments ou il y a l'enterrement d'une des personnes de la triade. L'expérience qu'il a reçue pendant qu'il vit dans ce clan et tellement grande que pour le prendre dans un piège, il faudra être un surdoué ou un très grand stratège. Pour lui l'honneur est la chose qui a le plus d'importance pour l'homme. Si tu trahis l'honneur de ton clan ou celui de ta famille ou encore celui de tes amis. Tu ne mérites pas de vivre en ce monde et Rai a horreur de petit gens sans honneur qui ne cherche que la gloire.
But/Rèves: Que la Triade devienne le clan le plus puissant et le plus craint pendant des générations à venir.
Histoire: [Désoler s'il reste encore des fautes Orthographes. J'ai fait ce que j'ai pu pour les corriger]Aujourd’hui. Le Chien fou revient
Rai marchait comme tous les jours. Il adorait sortir un peu prendre l'air tout seul, ça l'aidait à réfléchir et à se retrouver un peu. Il donnait tellement au clan, qu'à force il ne pensait presque plus à lui. C'est pour cette raison, qu'une fois par semaine, il marchait dehors. La seule compagnie qu'il avait été le bruit du vent dans les arbres ou encore sa canne qui frappait à chaque mouvement de Rai le sol. Il s'assoit sur un banc et leva la tête vers le haut pour admirer le ciel.
"Vous me manquez chef. Vous étiez un homme d'exception, comme on en fait plus à notre époque. "Comme à son habitude, son regard voir même son visage entier était toujours en colère. Il avait toujours été comme ça. C'était un moyen de se défendre, il intimidait les gens avec son visage et sa carrure. Il utilise son corps comme une arme que si vraiment il n'a pas le choix, ce qui arrive presque tout le temps, vu qu'il s'énerve très rapidement.
"Je me demande comment j'ai fait pour en être arrivait là. Je crois qu'il existe deux sortes d'hommes mon ami." Rai parlait seul en regardant le ciel. Comme si une personne qui était morte le regardait et voulait discuter avec lui.
"Il existe des gens comme moi qui fond un cercle et qui en globe leur famille, leur amis, leur clan et les défend jusqu'à la mort. Puis il y a des hommes comme toi, qui fond un cercle et qui englobe tout dedans. Je suis de la première catégorie d'homme. Tant qu'on ne fait pas parti des miens je ne me soucie pas de ce qui peut leur arriver." Puis Rai ferma les yeux, son visage qui d'habitude était toujours en colère se calma et on pouvait voir la sérénité. Il commençait à revoir toute sa vie, comme si c'était un film. On aurait dit qu'il essaye de se convaincre que sa vie avait été un réel succès.
Début du Flash Back (1). La pluie et le destin.
La première chose que je me rappelle, c'était les mouvements du bateau sur les vagues. Il bougeait tellement qu'on aurait dit qu'à un moment ou à un autre il allait chavirer. A cette époque je n'avais que six ans. Je ne savais pas écrire età peine parler le chinois, mais je savais que si je ne restais pas prêt de ma mère un grand malheur allait se produire. Je me souviens aussi d'un capitaine d'une grandeur. Il aurait pu donner le vertige juste en le regardant.
"J'en ai marre de cette pluie, à force les mers se déchaîne. Je dois faire en sorte que mon bateau arrive au port. Si non, les immigrés que j'ai sur ce bateau mourront tous. Mais le plus énervent, c'est que s'il n'arrive pas à destination je ne serais pas payé."A ce moment-là, je ne savais pas ou on allait et surtout pourquoi on y allait. Mais dans le regard de ma mère on pouvait voir qu'elle aurait voulu mourir plutôt que de mettre un pied sur le continent ou on se dirigeait. La mer resta dans le même état pendant plus de trois mois. On avait eu énormément de mal à se diriger correctement. Mais au bout de quatre mois nous arrivions enfin à un port. Le capitaine nous fit descendre un par un. On pouvait voir des gens habiller de costume noir tout au tour des lieux. L'un des hommes au costard, discutait avec le capitaine.
"Je te prends toutes les femmes, Au moins elles pourront me servir pour gagner de l'argent facilement. Les hommes je n'en veux pas, ils sont ou trop vieux ou trop rebelle pour que je puisse leur insuffler le respect. Je te prends les gosses aussi. ""OK ! Deux mille pour les femmes et mille pour les gosses. J'ai risqué ma vie pour venir jusqu'ici, je pense que tu peux me donner un supplément de deux mille. Donc on arrive à la jolie somme de cinq mille. "L'homme au costard leva l'une de ses mains et claqua des doigts. On pouvait voir un homme d'une carrure assez large venir le voir avec une mallette noire.
" Votre prix, sonne mal dans mes oreilles. Alors, je vais vous faire une offre que vous ne pouvez refuser "Il ouvrit la mallette et prit l'objet qui était dedans. Il pointa un flingue juste en face du visage de l'homme.
"Bien, alors je prends les femmes, les gosses et les hommes je te l'ai laisse. En plus comme t'a survécu au naufrage. Pour remercier les dieux tu vas m'en faire cadeau. Je suis un homme qui a énormément d'honneur. J'accepterais avec plaisir. "L'homme qui tremblait de peur avait du mal à s'exprimer. A mon âge, je n'avais pas réalisé que l'homme était en train de nous vendre pour garder la vie sauve. Je pense que j'aurais fait pareille que lui si à cette époque j'avais eu un flingue sur le visage.
"V... Vous avez.... Raison. Je vous l'ai ... Offre. Mais ne me tuer pas... "L'homme au costard rangea l'arme dans la mallette, fit un signe de la tête pour prendre leur dû et partir.
"C'était un réel plaisir de faire des affaires avec vous. A la prochaine. "Je pense que depuis ce jour. J'ai mis le premier pied dans ma tombe. Mais c'était aussi le jour ou je perdit de vue ma mère. On me mit dans un orphelinat avec les autres enfants. On avait interdiction de demander un détail sur nos parents, si non on était frappés jusqu'à qu'on est compris la leçon.
Flash Back (2). Le chien fou rencontre le soleil.
J'avais toujours su que si un jour je quittais ma mère, je deviendrais fou. Je n'avais pas menti. Je pense que mon caractère assez colérique est né ici. J'avais toujours le regard méchant un visage qui montrait de la haine et une envie de toujours faire voir que le plus fort c'était moi. On m'appelait souvent le chien fou, je montrais très vite les crocs comme un chien et j'étais capable du meilleur comme du pire, mais dans le pire j'étais souvent le meilleur. Je m'entraînais chaque jour pour que mon corps devienne toujours de plus en plus fort, j'avais aussi appris à cette époque à lire et écrire l'anglais, mais hélas j'avais perdu la possibilité de savoir parler ma langue natale. Je pense que c'était le moment on j'éduquais mon corps vers tous les horizons que je pouvais connaître. En quelques années j'avais fait devenir mon corps une arme. J'avais une force hors du commun et une carrure qui pouvait en impressionner plus d'un. Je savais écrit et lire parfaitement, j'avais même appris à lire sur les lèvres histoire de savoir si on disait du mal de moi ou si on voulait me tendre un piège. Je me battais souvent contre toute sorte de gang, histoire de connaître un peu mes limites et de plus ça me donner un bon entraînement pour le combat. Dans l'orphelinat ou j'ai vécu une bonne partit de ma vie, j'ai aussi rencontré l'amour ou du moins certain moments ou je jouais au docteur dirons nous. Le gérant de l’orphelinat n’arrivait plus à me supporter, j’étais pour lui le pire de tout ses cauchemars. Alors, vers mes 17 ans il me mit dehors. J’étais livré à moi-même dans cette jungle qui est la ville. J’ai connu les moments d’hivers ou tu dort dehors sous le froid, les moment ou la faim vient te voir. J’ai toujours su me débrouiller, voler une épicerie et autre petit crime mineur. Je devais survivre et tout les moyen était bon. Puis un jour vers l'âge de mes vingt-cinq ans je rencontrai un homme qui changea toute ma vie. Il avait une vision du monde étonnante, je trouvais en lui le soleil qui donna but à ma vie. Je discutais avec lui pendant des heures, tellement qu'à force je voyais en lui un ami, un frère. Les hommes comme lui n’ont jamais vécu comme moi dans un orphelinat ou sur un trottoir. Non, il faisait partie d'une grande famille assez riche qui vivait de toute sorte de crime et dont l'orphelinat était à eux, se qui m’a fait rire quand je les su. On pouvait voir dans son regard qu'il était destiné à faire de grande chose. Je pense que depuis le jour ou il m'a confié son rêve, j'étais devenu un fanatique et que je voulais à tout prix que ça se réalise. Pour toujours être avec lui, je fis en sorte de rentrer comme soldat dans son clan.
Flash Back (3). Le soleil disparaît, mais revient toujours un jour ou l’autre
Pendant plus de dix ans, je tuai des hommes pour la gloire du clan de mon amie. Je fis toute sorte de crime pour qu'il puisse prospéré. Chaque fois que la police venait sur les lieux du crime, elle ne trouvait rien de très tangible, pour pouvoir arrêter qui que se soit. Les policiers avaient toujours un doute sur Rai, mais chaque fois qu’il le suivait, il n’arrivait à aucune conclusion de crime ou autre action malsaine. J'avais appris les coutumes du clan, j'étais tellement fanatique que pour moi la coutume du clan devenait rapidement mes coutumes de vie. Pendant plus de dix ans où j'essaye de devenir quelque d'important dans le clan tout en essayant que le clan prospère. A cette époque encore j’avais réussi a géré mon fanatisme pour le clan et ma vie privé. J’ai eu des tonnes de femme, mais une seule a vraiment était importante pour moi. Je lui ai même fait un enfant. Mais jour après jour, je la délaissa pour le clan. Puis petit à petit, elle disparu de ma vie et je n’entendis plus jamais parler d’elle. La seul personne avec qui je ne perdais jamais le contacte c’était avec mon ami de toujours Qiu. J’allais le voir au bain public de la ville. Il en était chef. C’était un endroit tranquille et calme où il faisait bon vivre. Un jour, il remarqua que son ami avait adopté une fille qui avait vers les 12 ans. Au début, quand il essayait de discuté avec elle, il n’eu aucune réponse vu qu’il devait lui faire peur à cause de sa taille et sa carrure, mais surtout parce qu’elle n’avait pas encore apprit l’anglais. Il venait le voir tous les jours, ou du moins quand il pouvait. Il discutait de tout, mais surtout de Li vu que Qiu n’avait plus qu’elle a l’esprit. Se qui au fond de Rai était un grand moment de bonheur. L’homme qui lui avait donné un but à son existence, avait enfin trouvé le sien ou du moins c’est ce qu’il pensait.
"Mon ami si un jour tu as besoin de moi, pour que Li n’est pas de problème vu que tu ne peux pas sortir faire ce que tu veux. Comme tu es chef des bains publics tu travailles souvent. Tu n’as qu’à demander et je le ferais."Rai ne voulait que le bonheur de son ami.
"Merci Rai."Puis les jours passèrent. Rai eu un accident de voiture, du moins c’est ce qu’on disait de partout. La vraie histoire avait était étouffée, pour pas que la police vienne mettre leur nez de partout. De puis ce jour, Rai a toujours boité. Il eu du mal au début à si faire, mais après il prit l’habitude et tout reprit comme avant. Rai alla voir son ami pour prendre des nouvelles de lui et de sa fille. Sa faisait un certain temps qu’il n’avait pu aller les voir. Il n'était pas allé les voir depuis quelque mois, voir même des années, à cause de sa jambe. Li devait avoir maintenant 18 ans, les année passèrent vraiment trop vite penser Rai.
Quand Li vu qu’il boitait.
"Comment vous êtes vous fait ça monsieur ?"
"Appelle moi Rai. Un accident de voiture ma petit. Je vois que tu as apprit notre langue"
"Oui. Si non sa fait mal ? Vous pouvez la bouger ?"
"Non. Et je peux un peu la bouger, mais à peine."Puis la discutions dura longtemps. Jusqu'à que Qiu nous rejoigne et qu’il demande à Li de partir. Comme toujours on parlait de tout et on rigolait. C’était les seuls moments de ma vie ou je rigolais avec plaisir.
"Mon ami j’ai une demande à te faire. Ma fille vient d’avoir 18 ans et j’ai peur quel les hommes ont leur hormone qui marche plus tôt que prévu. Vu que ma fille et d’une beauté, je voudrais pas qu’elle est des ennuie"
"Ne t’inquiète pas je m’en charge."
"Merci"