Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis |
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| 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" | |
| | Auteur | Message |
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Allen Lawson Chef de la police solitaire et négligé
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| Sujet: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Lun 12 Mai - 22:41 | |
| [1er post] Allen était assis à son bureau et lisais quelques rapports d'enquête qui lui avait était donné la veille et qu'il n'avait pas fini d'inspecter... Toujours de petites affaires sans réel queues ni tètes... C'était aberrant mais plutôt bon signe... Enfin presque... Seulement des supposition lui venait alors que tout le monde s'avait se qui se passait en ville! Avec toutes ses "petites" mafias qui grouillait partout... Mais jamais rien pour les inculper... ça ne le mettait hors de lui!! S'il pouvait faire quelques chose il le ferai... Ho oui... Il le ferra... Plongée dans ses réflexions, partager entre ses sentiments d'insatisfaction et de malaise vis-à-vis de toute ses lignes ne lui apportant rien de plus sur se qui se passait réellement dans les bas-fond de sa ville! Même le journal de la veille accentuait ce fait... D'ailleurs, un des articles du journal avait quelques peu énervé Allen... l'article de « Chiyoko Soejima ». Insinuant que la police n'agissait pas, et que peut être la mafia les dirigeait, mais sur quoi se basait t'elle? Ainsi que cette femme ayant quitté Chicago a cause d'un sentiment d'insécurité! Allen se sentait de très mauvaise humeur... Il retira un instant ses lunettes et passa nerveusement sa main gauche sur ses paupières qu'il venait de fermer... Il se releva ensuite et pris les rapports qu'il venait de terminer, reprenant son souffle pour cacher son humeur... Il s'approcha ensuite de l'armoire et rangea les rapports dedans...
A ce moment là, à la réception, l'homme qui était au guichet venait de recevoir le courrier, celui-ci l'inspecta d'abord et fit la tourner du bâtiment pour donner à chaque chef de services leurs courriers, ainsi que les demandes reçus la veille. Il était 10h45... Tout les service était au complet, c'était l'heur idéal pour que tout le monde se mette au boulot avant de prendre la pause déjeunée... Au bout de 15 minutes, L'homme arriva au 6em étage et frappa calmement à la porte d'Allen...
Celui-ci ferma alors la porte de l'armoire et alla ouvrir la porte de la salle, se demandant qui ça pouvait bien être... Il fut légèrement surpris de voir " Shane"(= l'homme du guichet) devant la porte. Allen n'avait pas ses lunettes mais put le reconnaître quand même, il avait une carrure tellement insignifiante, une petite taille, et un minois d'enfant...Il ne semblait pas avoir ses 23 ans...Shane dit alors avec sa petite voix un peu sûre de lui, tout en restant amical et respectueux:
-Excusez moi chef, mais une lettre ainsi qu'un rapport sont arrivée au guichet ce matin... Je vous les ai apporter...
Allen pris le courrier, et fronça les sourcils pour essayer de déchiffrer les écritures... Une lettre? De qui ça pouvait être, personne ne pensait à lui écrire d'habitude... C’était pas le genre de personne à recevoir des lettres… Et ce bout de papier l’intriguait déjà… Il continua à observer le bout de papier, le rapport ne l’intéressait même pas… il fit un léger quart de tour et dit alors à l’homme :
-Tu es un peu en retard aujourd'hui, merci pour le courrier...
Allen retourna alors lentement à son bureau pour récupéré ses lunettes, il posa le rapport et commença à lire la lettre « Bonjour Monsieur Lawson »...Cette entête le fit lever un sourcils, il regarda alors au niveau de la signature « Chiyoko »... il fut surpris et releva un peu la tête… Pourquoi lui avait-t-elle envoyé cette lettre ?? Il revint alors au dessus et commença à parcourir l’ensemble du Courier… « La parole à la police » hein ? C’était une demande de rendez vous…
-Le facteur la amener directement! Faut dire que c'était sur son chemin... J'ai vérifier si il y avait rien de dangereux, c'est pour ça que j'ai mis du temps...Et !
-Shane? Tu parles trop et on a besoin de toi en bas... Retourne à ton poste… Angie et Shirley doivent avoir besoin de toi…
-Tout de suite chef ! Excusez moi ! -Ha ! Fait moi monter le nouveau… « Michael George White »… Sans motif… -D’accore chef !
Shane ferma alors la porte et retourna le plus rapidement possible a son poste, passant le message à Michael. Allen s'installa alors derrière son bureau et continua à lire la lettre... Il l'inspecta de haut en bas, pourquoi lui accorderait-il un peu de son temps pour lui parler alors que même sans la connaître elle l'énervait déjà? C'était hors de question...Et puis, ça tombait à pique... Allen allait pouvoir mettre à l'épreuve le petit nouveau... Allen esquissa un léger sourire, et reparti dans ses réflexion, attendant Michael…
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| | | Michael-George White Détective incarcérateur et fumeur
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Mar 20 Mai - 1:38 | |
| Journée calme… encore une, de New York à Chicago, il ne semblait n’y avoir qu’un pas mais être nouveau dans un service donnait la désagréable impression de vous renvoyer dans les premiers mois de boulot. Il n’était pas un bleu pourtant mais il semblait qu’il ne puisse pas faire étalage de ses compétences ces dernier temps, pas assez de boulot, les familles se renforçaient dans l’ombre et il n’y avait aucun moyen d’y faire face. Il devait attendre la bonne opportunité comme toujours en espérant qu’elle se présente rapidement. Mais il n’avait jamais eu de grands espoirs, l’ambition n’était pas sa première occupation, il devait reprendre à zéro, se faire des contacts, dénicher ceux qu’il pourrait faire parler, ceux qu’il pourrait payer, puis se faire un trou le plus douillet possible et pourquoi pas faire tomber quelques grosses raclures sans éclabousser les plus dangereux. Michael avait sa philosophie et un rythme de vie et tout avait changé depuis qu’un satané entrepôt lui avait pété à la gueule.
Entre les sonneries de téléphone, les claquements des machines à écrire et la fumée de cigarettes, Shane slalomait. Le bureau de Michael était, lui, dans l’angle de la salle et quand Shane pénétra à l’intérieur, il y trouva d’abord les deux pieds croisés de Michael posés sur son bureau, son éternel chapeau blanc assez incliné sur sa tête pour qu’on n’aperçoive pas ses yeux. On aurait pu croire qu’il dormait mais la tasse dans sa main remplie d’un jus de chaussette encore fumant, troubla le gamin qui hésita à parler alors que Michael, apercevant les chaussures mal cirées du jeunot, relevait la tête pour le dévisager. Vu son salaire, il comprenait qu’il ne puisse pas se payer un bon cirage…
« Bonjour Shane, un souci ? »
La voix calme du détective créait un contraste étrange au milieu du commissariat bruyant et bouillant.
« Non, Non monsieur White, juste que le chef veut vous voir dans son bureau »
Michael fronça un instant les sourcils comme s’il réfléchissait à toute vitesse avant d’engloutir une gorgée de café fumant et de poser la tasse sur la table
« Trés bien, je suppose qu’il n’a pas donné motif vu que tu ne m’as rien dit »
Le jeunot un peu surpris, acquiesça sans rien dire puis il se retourna rapidement et prit la porte alors que Michael se redressait. C’était peut être l’opportunité tant attendue ou peut-être pas, le patron était du genre discret, une vrai tête pensante à ce qu’il avait pu voir. En plein mouvement, Michael sortit dans la salle principale s’allumant une cigarette au passage. Il y avait encore quelques étages à monter pour arriver au bureau du patron, il pouvait prendre son temps… Enfin le sixième étage, d’un pas mesuré il franchit les dernier mètres qui le séparait du bureau du chef, l’espace était conséquent alors que la plupart des services s’entassait au premier étage mais bon il n’était pas monter jusque la pour parler d’un remaniement architecturale. Il ne rester que la porte où Michael lut pour lui, de son unique oeil le nom inscrit qu’il connaissait déjà, avant de mettre trois coup ferme sur le battant.
« Détective White, monsieur... vous vouliez me voir ? » Dans un voile leger de fumer, Michael s’avança avant de s’asseoir face a Allen alors qu’il lui autoriser... Il n'avait eu que peu d'occasion de le voir et il fixa son unique oeil vers les deux verres de lunette du chef | |
| | | PNJ/MJ Conteur sadique et invisible
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Ven 23 Mai - 22:17 | |
| Un homme venait de frapper à la porte du bureau du chef de toutes les polices de la ville et rentra dans la foulée, il arborait l'uniforme des agents du FBI et semblait quelque peut essouffler par une longue course mais il attendit pas de reprendre son souffle et il commença à s'exprimer de façon saccader : " Désolé de vous .... déranger ... patron mais ... c'est important ... un homme à été tuer ... en ville ... " L'agent du FBI prit une très longue inspiration qui gonfla ses poumons et souleva son ventre car la il devait s'expliquer aucun homme de l'importance d'Allen ne ce déplacerait pour un simple meurtre de monsieur tout le monde et il dit dans un souffle : " Nous avons un gros problème sur les bras la, la victime appartient à un petit gang spécialisé dans le pickpocket jusque la je me disait pas grave on a l'habitude ... mais la c'était jusqu'à voir le portrait robot de l'agresseur et cet homme nous le connaissons car il est affiler à la mafia Italienne et pas n'importe qui l'un des hommes que Carissimo Cesaré à prit sous son aile et qui est l'un des plus haut gradé du clan .... Nous avons une chance unique qu'il nous faut saissir. " L'agent n'en pouvait plus et était plier en deux après quelque minute à souffler de façon exagérer il reprit la parole tout en posant un papier sur le bureau d'Allen - Citation :
- Un homme à osé tuer l'un de mes hommes répondant au nom de Bethnal Green pourtant nous n'avons jamais entraver les affaire d'un quelconque clan et nous nous somme contenter de faire notre boulot pour survivre en volant quelque portefeuille et même si l'on n'est pas aussi important que vous nous nous permettons de réclamer votre aide pour nous venger de cet homme.
Nous ne ferons pas sa gratuitement et nous volerons encore plus pour assurer une coquette récompense en échange de sa capture vivant qu'importe son état et la somme de 10 000 dollars sera donnez à l'homme qui nous livrera cet homme dans le quartier Irlando Polonais. Nous joignons un portrait fait à la main par l'un de mes hommes qui a assister à la scène et si jamais vous souhaiter ne pas nous aidé à nous venger faite le pour l'argent ou imaginer que ce soit l'un de vos hommes qui soit mort ainsi.
le portrait robot." Voilà le portrait robot il s'agit de Lucio Gonzolini il gère la branche armée des Italiens et le message si joint est un papier qui est distribuer en masse avec ce portrait robot en ville, il nous faut agir sinon sa sera un véritable bain de sang qui va déferler sur la ville les Italiens tuerons à tour de bras pour pas qu'un de leur hommes soit capturer ni délaissé et la violence sa les italiens ils connaissent, rappelez vous noël dernier, ils prennent pas des gants les salopards. Je part prévenir tous le monde de ce préparer. " Et l'agent sortit en trombe comme il était venu. | |
| | | Allen Lawson Chef de la police solitaire et négligé
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Lun 16 Juin - 17:23 | |
| Allen fit les cent pas dans son bureau, jusqu’au moment où il entendit des pas dans le couloir, il regarda la porte et entendit frapper, puis une voix retenti derrière la porte :
« Détective White, monsieur... vous vouliez me voir ? »
Allen alla s’installer derrière son bureau et dit alors de sa voix la plus banale :
Il le regarda s’avancer, en lui montrant la chaise qui était en face de lui, puis il avança le cendrier, signe qu’il voulait qu’il éteigne sa cigarette…
-Oui, j’avais une petite chose à vous faire faire… Mais tout d’ab… Mais un agent frappa à la porte et s’introduit sans permission dans le bureau, Allan se leva et vue à quels point il était essouffler et compris tout de suite qu’il s’agissait de quelques chose de grave, puis il remarqua l’uniforme du FBI, se qui le rendit légèrement préoccupée, que faisait un agent du FBI ici, est pourquoi… L’homme annonça ensuite :
« Désolé de vous .... déranger ... patron mais ... c'est important ... un homme à été tuer ... en ville ... »
Allen fut tout d’abord surpris, puis pris son aire grave et acquiesça de la tète pour écouter le reste, mais un meurtre ? Qui a donc était assassiné, par qui, et comment, ou et pourquoi ! Ce fut les première questions qu’Allen se posait, puis il écouta attentivement se que l’homme avait à lui dire…
" Nous avons un gros problème sur les bras, la victime appartient à un petit gang spécialisé dans le pickpocket, jusque là je me disais pas grave on a l'habitude ... mais là c'était jusqu'à voir le portrait robot de l'agresseur et cet homme nous le connaissons car il est affiler à la mafia Italienne et pas n'importe qui, l'un des hommes que Carissimo Cesaré l’ayant prit sous son aile et qui est l'un des plus haut gradé du clan .... Nous avons une chance unique qu'il nous faut saisir. "
Allen sursauta au nom de Carissimo Césaré, et écouta le reste… Lorsque l’homme posa le papier Allen l’agripa tout de suite et commença à lire attentivement...
- le document a écrit:
- « Un homme à osé tuer l'un de mes hommes répondant au nom de Bethnal Green pourtant nous n'avons jamais entraver les affaire d'un quelconque clan et nous nous somme contenter de faire notre boulot pour survivre en volant quelque portefeuille et même si l'on n'est pas aussi important que vous nous nous permettons de réclamer votre aide pour nous venger de cet homme.
Nous ne ferons pas sa gratuitement et nous volerons encore plus pour assurer une coquette récompense en échange de sa capture vivant qu'importe son état et la somme de 10 000 dollars sera donnez à l'homme qui nous livrera cet homme dans le quartier Irlando Polonais. Nous joignons un portrait fait à la main par l'un de mes hommes qui a assister à la scène et si jamais vous souhaiter ne pas nous aidé à nous venger faite le pour l'argent ou imaginer que ce soit l'un de vos hommes qui soit mort ainsi. » Puis il regarda que l’homme avait joint au document. Celui-ci continua ensuite :
" Voilà le portrait robot il s'agit de Lucio Gonzolini il gère la branche armée des Italiens et le message si joint est un papier qui est distribuer en masse avec ce portrait robot en ville, il nous faut agir sinon sa sera un véritable bain de sang qui va déferler sur la ville les Italiens tuerons à tour de bras pour pas qu'un de leur hommes soit capturer ni délaissé et la violence sa les italiens ils connaissent, rappelez vous noël dernier, ils prennent pas des gants les salopards. Je part prévenir tous le monde de ce préparé. "
Allen nota les informations que l’officier venait de lui énoncer et il posa ensuite tout ceci sur le bureau en face de George. Lorsque l’officier sortit du bureau, Allen regarda sérieusement Michael et lui demandant avec le ton le plus grave qu’il avait:
- Accompagnez-moi pour cette affaire… On s’occupera de la petite journaliste plus tard… | |
| | | Michael-George White Détective incarcérateur et fumeur
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Mer 18 Juin - 15:42 | |
| La clope au bec Michael inspira une dernière bouffée avant de l’écraser sans aucune pitié et promptement dans le cendrier qui lui était destiné. Il y avait bien quelques remords dans ce geste, sacrifier une cigarette qu’il n’avait pas totalement finis mais si le chef réclamé sa mort alors il n’allais pas discuté. D’ailleurs il s’était attendu a le trouver assis derrière son bureau, l’air calme et détaché comme les seules fois où il avait pu l’apercevoir, traversant les bureaux, alors que lui devait être à la machine à café où entrain de demander une chose ou une autre a un collègue. Bref Lawson avait toujours cette air impassible comme déjà plonger dans une réflexion solitaire. Il avait tout d’un homme d’investigation comme Michael… Et fallait dire que ça le changeait de New York où il n’y avait qu’un chef ventripotent et à la gueulante facile après peut être que c’était mieux, peut être pas. Il n’y avait pas encore songé mais un nouveau point de vue fait toujours plaisir, surtout quand on a plut qu’un seul œil.
Il venait d’acquiescer en s’intallant plus confortablement sur sa chaise quand un fédéraux débarqua avec fracas dans la pièce, le genre de gars qu’il ne portait pas dans son cœur, toujours à s’inviter au mauvais moment, toujours a vouloir le dernier mot puis ils étaient sûrement mieux payer que lui… De vrai sangsue ses fédéraux. Pourtant l’affaire évoquer semblait être celle donner au petit policer de quartier et il fallut attendre un petit temps avant que Michael reconnaisse le nom d’une pointure du milieu mafieux italien, une chance a saisir pour choper Lucio Gonzolini, tout ça sentait l’intervention en force et il préférait personnellement suivre sa méthode et poser ses règles mais il y avait sûrement quelques choses a retirer la dedans, et participer à l’arrestation de ce mafieux monterait sa côte de popularité pour ouvrir d’autre portes. D’un air calme comme a l’accoutumé Michael tira les papiers un peu plus vers lui, les lisant en diagonal avant de relever les yeux vers Allen.
« Je suis votre homme, chef… Nous allons devoir suivre les fédéraux sur ce coup alors ? » | |
| | | Brian Phoenix Sergent dur comme un roc
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Mer 18 Juin - 23:07 | |
| Le commissariat de Chicago était en pleine effervescence. Un meurtre avait été commis. Tout le monde était à son poste, sauf une personne. Ce vide était habituel pour cette personne, les supérieurs avaient eu beau tout tenter, la personne n'avait pas changer son comportement. Ils ne pouvaient pas le recaler car il faisait du bon boulot. L'homme était un atout certains pour la police, malgré cela il s'avérait aussi qu'il était un homme à l'état brut. Le silence s'était instauré dans le bureau du chef, malgré une brève discussion entre Allen et White le calme était revenu. Juste à ce moment tout le commissariat entendit le bruit d'une moto rutilante. Peu de personne pouvait se permettre le luxe de faire autant de bruit. Il n'y a que le sergent de la police qui est capable d'avoir cette moto. En effet il l'a modifié légèrement si bien que le bruit qu'elle produit est conséquent. Donc tout le monde entendit l'arrivée du Sergent Phoenix, qui était en retard d'une bonne demi-heure.
L'homme entra dans le commissariat dans un fracas impressionnant. Avec sa coupe en brosse, sa clope au bec et son blouson en cuir il avait tout pour plaire aux demoiselles. Mais son comportement changeait la donne. Il arriva dans le commissariat et se mit à hurler : Hi everyone ! C'était son salut pour dire, ça je suis là, la star est arrivée. Peu de personnes réagirent à son salut. A chaque fois Brian se tapait un bide et chaque jour il recommençait. C'est cette obstination qu'avait mené Brian au plus haut de l'estime de certains. Très peu de personnes restaient insensible à cet homme. Soit on l'aimait par son côté charismatique, soit on ne le supportait pas ce pseudo flic. Son petit rituel effectué il se dirigea vers le bureau du chef car des policemans lui avait dit qu'une réunion avait commencé. Saluant la majorité des hommes, regardant les fessiers des femmes Brian se dirigeait à son allure au bureau. Enfin il arriva dans le bureau, sans frapper bien sûr.
- Salut Jeunesse ! Alors je tombe au bon moment ? Je parie que c'est pour une promotion, je te félicite White !
Comme à son habitude le Sergent était complètement à côté de la plaque, il ne le savait pas bien évidement. Il s'installa dans un fauteuil sans que l'on lui propose, toujours dans son attitude vulgaire sans jambe était allongé et il se curait les dents. Il gardait son je m'en foutiste et racontait ce qu'il avait de coincé entre les dents, en attendant que le Chef commence à s'imposer. En réalité le sergent jouait à jeu étrange avec le chef. Il l'aimait bien et connaissait ces capacités, mais le soucis était qu'il le considérait comme trop jeune pour son poste. Alors c'est faisant le je m'en foutiste, en venant en retard et donc en se faisant engueuler que Phoenix essayait de donner au chef une opportunité de s'imposer parmi les policiers. Bien sûr cette attitude était habituelle chez lui, mais il accentuait exprès pour que son Chef devienne comme son père, Marvyn, un homme ayant du cran ... | |
| | | Allen Lawson Chef de la police solitaire et négligé
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Jeu 19 Juin - 9:56 | |
| Allen regarda attentivement le détective lire les papier qu’il avait mit devant lui. Et écouta sa réponse :
« Je suis votre homme, chef… Nous allons devoir suivre les fédéraux sur ce coup alors ? »
-Pas vraiment… Ils sont sur notre terrain là, et c’est à nous de nous occuper de cette affaire, on ne va pas laisser les fédéraux avoir le beau rôle… Faut qu’on soit plus rapide cette fois.
Les bruits de la moto retentirent dans tout le commissariat… Aucun doute la dessus Phoenix était encore en retard, et sa fichu moto annonçait que trop bien son arriver... Les bruits s’arrêtèrent un instant, puis le fracas de la porte d’entrée fit trembler les murs. Au bout d’environ cinq à dix minutes, des pas se firent entendre dans les escaliers, avec une cadence et une force très reconnaissable… Allen soupira un bon coup avant de se redresser et de remettre ses lunettes… La porte s’ouvrit ensuite dans un léger fracas. Et la voix du sergent se fit entendre…
« - Salut Jeunesse ! Alors je tombe au bon moment ? Je parie que c'est pour une promotion, je te félicite White ! »
-Pas vraiment cette fois si sergent, et bonjour tout d’abord, je ne vous ferai aucun commentaire aujourd’hui, l’affaire est grave et je m’mobilise tout le monde! Ou plutôt une grande partie du commissariat. Et vous en faites parti ! Il y a eu un meurtre en ville, et nous devons retrouver ce meurtrier. Et pour que je mobilise autant de monde c’est pas pour une simple affaire, il s’agit d’un fournisseur d’arme des italiens, très sollicité par eux, si nous le bloquons, les italiens auront un handicap majeur à combler…
Le sergent s’était installé comme à son habitude, sans permission, et son attitude déplaisait fortement à Allen, pendant les premières phrases de l’exposition des faits, Allen avait fait comme si de rien était mais au bout d’un moment il n’arriva plus à se contenir…
-Monsieur Phoenix ! Je vous pris au moins de m’écouter ! C’est une affaire grave ! Et vous, vous ne pouvez pas vous concentrer un minimum !! Je ne vous demande pas la lune non plus !! Et c’est un ordre ! Tenez vous bien ! Et pour vos dents vous aurez tout le loisir de les inspecter tout à l’heur ! Je ne tien pas à savoir se que vous y trouvez ! Vous vous permettez déjà d’arriver en retard, de déranger tout le service avec votre morto! Et de ne même pas faire en sorte d’être attentif ! Je vous l'ai assez souvent reprocher !!!
Allen pris son souffle, et poussa les feuilles devant le sergent. Il s’était rendu compte que lors qu’il lui criait dessus, Brian avait un petit sourire satisfait qui s’affichait de temps en temps. Alors Allen poussait sa gueulante à chaque fois qu’il était comme ça, mais il ne cherchait pas vraiment à savoir pourquoi il le provoquait ainsi. Après tout, Brian était l’un de s’eux qui l’avait empêché de passer Lieutenant quelques années plus tôt...
-Bon… J’aimerais avoir votre avis, et aussi tout se que vous savez sur cet homme, ou sur l’endroit ou c’est passer le meurtre, tout est bon à savoir… De puis il y a plusieurs hypothèse concernant les mouvements de l’homme :
-Soit il sait qu’on le cherche et il se cache. -Soit il continu se qu’il a à faire, et ne cherche pas a se cacher et à se protéger. -Soit il cherche autre chose et est sorti de la zone des italiens, tout en protégeant ses arrières. Qu'en pensez-vous?
Allen s'installa derrière son bureau et attrapa un carnet, il y inscrivit la date, l'heur, et les informations donner par la feuille que l'agent lui avait remit... Et regarda ensuite les deux hommes, attendant une réponce et des suggestions. Il fallait quand même savoir sur quoi se baser avant de partir, mais il savait que les deux hommes préféraient aller sur le terrain plutôt que de réfléchir derrière un bureau...Surtout Brian. | |
| | | Michael-George White Détective incarcérateur et fumeur
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Dim 22 Juin - 18:32 | |
| L’idée de s’allumait une clope le démangea un instant alors qu’il relevait le nez vers Allen, il y avait déjà un point de négatif au fait de ne pas avoir un chef ventripotent et grande gueule, c’est que souvent ils ne disaient rien quand on voulait s’en allumer une. En tout cas Michael était sceptique les Fédéraux avaient tous les avantages pour faire la course en tête et pour une fois qu’ils avaient cette avantage ils allaient le montrer pour s’accaparer encore une fois toute la gloire. En parlant de grande gueule, Michael reconnu l’entrée d’une des légendes du commissariat, le Sergent Phoenix… Le chef aussi l’avait entendu car il se prépara à le recevoir se redressant comme pour parer une charge ce qui laissa le temps à Michael de sourire légèrement alors que la porte s’ouvrait en grand.
- Salut Jeunesse ! Alors je tombe au bon moment ? Je parie que c'est pour une promotion, je te félicite White !
Toujours installé le plus confortablement possible sur sa chaise bien qu’il était dur d’être bien installé dessus, il ri doucement en entendant la remarque du Sergent, une promotion… Sa ne lui était pas encore tomber dessus depuis qu’il était rentrer dans la police et il leva la main en guise de salut, un sourire toujours aux lèvres.
« Bonjour Sergent »
Depuis qu’il était là, c’était toujours le même numéro et il fallait dire que ça amuser bien Michael qui appréciait bien ce colosse, bien sur ce n’était pas le même style que lui mais ça n’avait rien avoir, le sergent était un gars direct, franc et lui connaissait trop les faux semblants et les mensonges, pour ne pas estimer un homme comme ça quand il en voyait un. Il était autant porté par le travail que Michael d’ailleurs et tenter d’essayer de se concentrer à coté de lui amusait franchement le détective. Pourtant il quitta des yeux la coupe hirsute du sergent, et reporta son attention sur les dires de Allen. Lawson avait raison en attrapant un haut gradé, ils handicaperaient pendant quelques temps les italiens, peu de temps sûrement mais c’était toujours mieux que rien et quand il était possible de leur faire ravaler leur pâte à ses italiens, il n’allait pas se gêner. Michael n’avait aucune information sur le crime qui avait été commis par Lucio Gonzolini ce qui n’allait aider à la réflexion et d’ailleurs ça devait être tout frais, mais il avait quelques connaissances sur toutes les familles qui s’était partager la ville car même avec un seul œil peu de chose lui échapper.
« D’après ce que je sais sur Gonzolini il doit être entrain de s'occuper de ses petites affaires sans trop ce soucier du reste, c’est une forte tête… » | |
| | | Brian Phoenix Sergent dur comme un roc
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Dim 22 Juin - 20:59 | |
| Après son entrée fracassante notre héros continuait de se décortiquer les dents à la recherche du trésor caché. Il ne se lassa pas de voir les regards du jeune Allen, agacés et écœuré par l'habileté de Brian. Il continua son inspection dentaire lorsqu'il eut le sermon du jeune chef. Il eut une brève réflexion avant de lui répondre.
* Ah ... Il est moins patient que son père, faudrait pas que ce défaut te monte trop à la tête Allen ...*
- Rah la la ... Pardon Allen, mais c'est dur de se curer les dents en conduisant une moto.
D'un geste précis il envoya son cure-dent dans la poubelle du chef, tel un sniper. Ensuite il se redressa légèrement pour écouter la fin du discours d'Allen. Toujours aussi précis et réfléchit le gamin avait pensé à toutes les choses capables de rendre coupable l'italien. L'homme fit une énumération des possibilités possible, et proposa à ces auditeurs de donner leur avis. White répondit en premier. Toujours aussi calme et courtois il proposa une idée intéressante. L'homme recherché n'était pas du genre à se cacher, il continuait de mener sa petite vie. Ensuite il se tue pour laisser la parole au sergent. Etrange situation, White était psychologiquement et surtout dans ses manières l'opposé de Brian, mais ils eurent la même idée. D'ailleurs il fit un clin d'oeil à son acolyte, car même si ils étaient différents, ils aimaient bien travailler ensemble. Au moment de parler, il sortit un ce qui semblait un couteau. En appuyant sur un bouton un peigne apparut. Il s'en servit pour peigner sa coupe.
- Le mec au chapeau à raison. Je sais que White a du flair pour les mafieux. Cette racaille ne se planquera pas, il est presque de la même trempe que moi ; sauf que moi j'ai le style (pose avec le sourire qui brille). Si j'étais à sa place je continuerai mon ptit train train quotidien car je sais que derrière moi il y a tous les italiens qui me soutiennent. Puis aussi il est pas assez futé pour protéger ses arrières, il fonce dans le tas ... bah comme moi quoi. Et la dernière chose à savoir, croyez en mon expérience, un trafiquant d'arme n'a pas de coeur. Alors si vous êtes confronté à lui ne faites pas les cons, tirez vous ou tirez le car lui il n'aura pas de pitié.
Après son petit discours l'homme se leva. Il sortit une cigarette de sa poche prit le cendrier caché d'Allen parmi tous ces livres. Ce cendrier avait été mis par les soins de Brian. Lorsque le Sergent devient sérieux et qu'il se focalise sur sa mission il fume toujours une cigarette. Il ouvre la fenêtre, pour que son chef soit tranquille. Si ce n'était pas Allen, il n'aurait rien fait. Il l'alluma et regarda la rue sur laquelle donnait. Phoenix ne fixait personne, seulement un point. Il repensait au portrait et à la tête de Lucio, pour une fois il était motivé par la mission. Après quelques minutes il l'écrasa et la jeta dehors. En fermant la fenêtre il s'installa sur le bureau du chef, assis sur ses documents et regarda le fils de Marvyn dans ses yeux.
- Alors Allen, que vas tu faire ? Vas tu simplement tenir la promesse à ton père, où bien essaieras tu de le surpasser ? | |
| | | Allen Lawson Chef de la police solitaire et négligé
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Lun 23 Juin - 0:02 | |
| « Rah la la ... Pardon Allen, mais c'est dur de se curer les dents en conduisant une moto. »
Allen le regarda jeter son cure-dent dans la poubelle… Il avait une grande agilité le bougre, et un très bon lancer…
Allen secoua la tète et le regarda écouter la fin de son discourt en silence. Allan penser à tout, et il savait qu'il manquait encore plusieurs possibilités. Mais s'il ne connaissait pas les habitudes de l'homme, comment pouvait-il savoir se qu'il sera susceptible de faire? Allen regarda donc des plus sérieusement els deux hommes... White pris la parole en premier:
« D’après ce que je sais sur Gonzolini il doit être entrain de s'occuper de ses petites affaires sans trop ce soucié du reste, c’est une forte tête… » Allen nota alors ces quelques mots sur sa feuille... Et releva la tête lorsque Brian pris la suite, il sentait que les deux hommes avait l'air de s'apprécier et que cette enquête ensemble se présentait plutôt bien...
« - Le mec au chapeau à raison. Je sais que White a du flair pour les mafieux. Cette racaille ne se planquera pas, il est presque de la même trempe que moi ; sauf que moi j'ai le style (pose avec le sourire qui brille). Si j'étais à sa place je continuerai mon p’tit train-train quotidien car je sais que derrière moi il y a tous les italiens qui me soutiennent. Puis aussi il n’est pas assez futé pour protéger ses arrières, il fonce dans le tas ... bah comme moi quoi. Et la dernière chose à savoir, croyez en mon expérience, un trafiquant d'arme n'a pas de cœur. Alors si vous êtes confronté à lui ne faites pas les cons, tirez vous ou tirez le car lui il n'aura pas de pitié. »
Lorsque le sergent se leva, Allen nota des mots en plus dans sa fiche concernant la mission, il releva la tète et se leva ensuite, puis tendit le carnet au détective en le regardant...Puis il ajouta:
« Bien White… Je vous demande d’aller sur le terrain et de recueillir le maximum d’informations sur les faits ainsi que les preuves. Vue que c’est une gare, vérifier les horaires des trains, et les destinations… faudra aller chercher de se côtés là. Y’a des chances qu’il ne sache pas qu’il est rechercher ! Je te laisse commencer, si tu trouve quoi que se soit note le. Le sergent est moi viendront te donner plus d'information, nous allons chercher dans les dossiers s'il y a des choses intéressantes. Lorsque l'on te rejoindra, ont te fera part de nos découverte. Sur ce, nous nous retrouvons tout à l'heure... Bonne chance.»
Allen alla ensuite ouvrir la porte, montrant à White qu'il pouvait sortir à présent et qu'il devait faire vite, le temps était compter...Pendant se temps Brian fumait à la fenêtre... Allen se rapprocha de son bureau et fouillât un instant dans la masse de papier qu'il y avait sur son bureau...Il entendit la fenêtre se refermé et regarda Brian s'assoir sur les feuilles qu'il était en train de trier grossièrement...
« - Alors Allen, que vas tu faire ? Vas tu simplement tenir la promesse à ton père, où bien essaieras tu de le surpasser ? »
Allen releva la tète pour croiser le regard de Brian... Il comprit que la question était pas poser à la légère...Sur le moment il se demandait se que sa venait faire dans la conversation... Mais vue le thème de la question Allen se senti légèrement froisser, et répondit d'un ton plutôt sec, et dénuer du moindre sentiment... A par peut être d'un léger malaise...
-Ecoute Brian... Je suis juste la voie que mon père m'a tracé... Je ne compte pas vraiment le surpasser, ni même autre chose...Juste à poursuivre son rêve et qu'il soit fière de moi là où il est...
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| | | Michael-George White Détective incarcérateur et fumeur
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Lun 23 Juin - 0:51 | |
| Un air songeur sur le visage, Michael réfléchissait encore mais il n’y avait rien de mieux pour avancer que d’aller sur le terrain et c’était ça qui régissait son boulot, il allait bien trouver quelques choses la bas après peut être qu’il n’y avait juste rien a trouver. Grâce à la conclusion du sergent Phoenix, Allen sembla satisfait, notant rapidement sur son carnet puis Phoenix se leva. Le chanceux il s’allumait une clope… White resta un instant à fixer de son seul œil, le grand sergent à la fenêtre, avant qu’il ne remarque qu’Allen le fixait pour lui parler.« Bien White… Je vous demande d’aller sur le terrain et de recueillir le maximum d’informations sur les faits ainsi que les preuves. Vue que c’est une gare, vérifier les horaires des trains, et les destinations… faudra aller chercher de se côtés là. Y’a des chances qu’il ne sache pas qu’il est rechercher ! Je te laisse commencer, si tu trouve quoi que se soit note le. Le sergent est moi viendront te donner plus d'information, nous allons chercher dans les dossiers s'il y a des choses intéressantes. Lorsque l'on te rejoindra, ont te fera part de nos découverte. Sur ce, nous nous retrouvons tout à l'heure... Bonne chance.» Michael acquiesçait de temps en temps comme pour marquer les choses où il devait le plus porter son attention mais de toute façon il connaissait son boulot et il aimer ça. Cette affaire n’était pas la plus excitante mais tenter de pêcher un gros poisson comme Lucio Gonzolini lui exciter un peu les papilles pour être honnête, il fallait qu’il se remette sur les rails et bien que Chicago était sa ville natale, il avait du la quitter 10 ans plus tôt et maintenant il percevait cette ville différemment, une vue aiguiser par la recherche du crime. *Il se racla la gorge* Très bien… bonne chance a vous aussi alors, je vais voir ce que je peux tirer de la scène du crimeD’un geste souple, il revissa son chapeau sur sa tête comme pour s’assurer qu’il était toujours là puis il se redressa leur jetant un dernier coup d’œil. Il tourna les talons sentant comme un léger parfum de secret ou en tout cas, une odeur qui réclamait une plus proche proximité. Il ne connaissait pas leur histoire et rien qu’a voir la façon de parler du sergent quelques choses les relier, quelques choses dont Michael n’avait pas idée. La porte claqua légerement et la lumiére du zippo dans l'ombre de la porte fermer apparut tout de suite avant d'etre vite remplacé par la fumée éparse d’une clope. Michael était en route pour le terrain.>> Les petits trajets [Little Italy]
Dernière édition par Michael-George White le Mer 2 Juil - 1:13, édité 1 fois | |
| | | Brian Phoenix Sergent dur comme un roc
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Lun 23 Juin - 3:36 | |
| Lorsque White partit, Brian comprit qu'il était temps à eux deux de s'expliquer. Il allait pouvoir enfin justifier son comportement, plus que difficile envers Allen. Le jeu auquel ils jouaient était étrange. Depuis l'arrivée du jeune Lawson, Brian n'a jamais cessé de le pousser à bout. A chaque occasion qui se présentait il essayait de remettre en question son statut de leader. Tout le monde pensait que le sergent avait une rancune envers le jeune chef. Avec tant de pression sur ces épaules tout aurait cru qu'il allait vers la voie de la démission. En réalité personne ne connaissait bien la relation entre ces deux personnages. Il faut savoir que Phoenix connaissait bien l'ancien chef de service, mais aussi Allen. Cette relation a poussé les deux personnages à se confronter à la mort du père d'Allen. C'est aujourd'hui que le mystère va se désépaissir. Le sergent avait fait exprès de poser la question. Il voulait comprendre les attentions de Lawson fils et aussi de lui faire comprendre quelque chose. La réponse qu'il entendit le fit réagir de la façon suivante. L'homme se leva du bureau et se dirigea vers les vitres. Il abaissa les stores de chacune d'entre elle. Il restait sans voix, comme ci Allen avait remis à sa place le sergent. Après avoir fermé tous ces stores, il fit craquer son cou. Il ajouta ceci après : - C'est tout ? Tu veux JUSTE suivre sa voix ? Le sergent dit cela sur ton plus agressif. La réponse d'Allen l'avait déçu dans un premier temps. Avoir un chef sans réelle motivation de se surpasser n'était ce que rêvait Brian. Marvyn avait toujours été le genre d'homme qui vous surprend. Ses limites à l'échelle humaine et sociale étaient hors d'atteinte. Ce n'est pas pour rien qu'il était devenu chef. Cette légende de la police avait enfanté un être ayant une intelligence impressionnante. Mais celui ci, aujourd'hui même depuis la mort de son père avait perdu espoir en son métier. Notre ne pouvait pas laisser le leader flancher, sinon c'est toute la pile de carte qui allait tomber. Dans un second temps il s’énerva, car ce comportement il le connaissait. Dans sa jeunesse il avait été comme ça et voir cet homme réagir de la sorte ne put que lui faire repenser à certains de ses échecs. Il se tourna vers lui avec la ferme intention de lui faire comprendre sa pensée. Avec sa rage et sa détermination, il l'attrapa par le col de sa veste. Avec sa force il souleva le au dessus du sol et le secoua comme un pommier. - Tu crois que ton père pourrait être fier de toi en te voyant ainsi ?! Tu es trop hésitant, vulnérable et même parfois laxiste avec moi ; tu te trompes ce n'est pas en le suivant que tu deviendras quelqu'un !
A chaque intonation il secouait Allen, il voulait qu'il voit la vérité en face. Après ceci il le reposa pour qu'il puisse se remettre de cette remise en question. Il savait que son Chef n'était pas quelqu'un de solide. Il ajouta ensuite cette phrase sur ton plus calme. Mais il était toujours aussi déterminé à lui faire entendre raison. - A-t-on avis pourquoi es tu à ce poste ? Ne crois pas que cela vient de ton père. Tu as bien les capacités idéales pour ce poste, mais Tu ne pourras jamais suivre la voix de Marvyn en ayant si peu confiance en toi. De plus imiter quelqu’un de mène à rien. Ce qu’il te faut c’est de te construire une volonté inébranlable tout en écoutant les autres. En devenant quelqu’un d’autre tu pourras être considérer comme l’égal de ton père, mais aussi peut être le surpasseras tu, qui sait. Une chose est sûre, là au moment où je te parle tu me donnes plus l’impression d’un enfant apeuré cherchant à venger son paternel. Si tu continues dans la voie de la vengeance *serre son point* croit moi tu ne seras plus utile à rien.Puis il prit une pause et rajouta. - Tu sais Allen ... J'ai toujours cru en toi et j'y crois toujours. Mais ton caractère et ton comportement m'ont montré le contraire. C'est pour cela que j'ai toujours rejeté le fait que tu sois un gradé. Tu n'as jamais cherché à changer. Tu ne cesses de penser à ton père. On ne te demande pas de l'oublier Allen, simplement que tu penses à autre chose qu'à ta vengeance.
Brian avait décrit sa pensée, développé ce que les autres pensent tout bas. Grâce au sergent le jeune allait peut être enfin comprendre que cet homme, en face de lui, avait confiance en lui. Sa réaction serait le point de départ d’une Saga entre Allen Lawson et Brian Phoenix. Sortie à la recherche d'un italien.===> | |
| | | Allen Lawson Chef de la police solitaire et négligé
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| Sujet: Re: 11h-10 janvier 1932-"Une nouvelle qui ne fait pas plaisir" Dim 29 Juin - 4:43 | |
| Allen le regarda se lever du bureau et se diriger vers les vitres. Brian abaissa les stores silencieusement…
- C'est tout ? Tu veux JUSTE suivre sa voix ?
Allen senti que ça réponse précédante avait énerver le sergent…Il savait que s’était pas ça qu’il voulait entendre, mais de là a prendre un ton aussi agressif… Allen paniqua légèrement mais se débrouillard pour ne pas que Brian le ressente et il le regarda dans les yeux avec un regard dénués de sentiment, de sens et même de conviction…
-Il m’a élevé pour être un fin linier… Alors je suis la voie qu’il ma tracer… Et je le ferai seulement pour qu’il soit fier de moi…
Allen sentit la main de Brian le prendre par le colle et le soulever, par réflexe Allen attrapa l’avant bras de celui-ci et serra le plus fort qu’il pouvait histoire d’amortir légèrement le choque des secousses et il ferma les yeux….
- Tu crois que ton père pourrait être fier de toi en te voyant ainsi ?! Tu es trop hésitant, vulnérable et même parfois laxiste avec moi ; tu te trompes ce n'est pas en le suivant que tu deviendras quelqu'un !
Ce n’était pas faux se que Brian venait de lui dire. Les sourcils d’Allen se levèrent légèrement au dessus de ses lunettes puis il referma les yeux… Hésitant et vulnérable… C’était vrai… Bien plus même… Il hésitait souvent… Que trop même. Allen baissa la tète malgré sa situation, sachant pertinemment que c’était vrai… Il acquiesça donc de la tète la remarque de Brian… Il s’entait la colère de Brian au travers de ses mouvements, il ressentait aussi se que celui-ci voulais lui montrer…
- A-t-on avis pourquoi es tu à ce poste ? Ne crois pas que cela vient de ton père. Tu as bien les capacités idéales pour ce poste, mais Tu ne pourras jamais suivre la voix de Marvyn en ayant si peu confiance en toi. De plus imiter quelqu’un ne mène à rien. Ce qu’il te faut c’est de te construire une volonté inébranlable tout en écoutant les autres. En devenant quelqu’un d’autre tu pourras être considérer comme l’égal de ton père, mais aussi peut être le surpasseras tu, qui sait. Une chose est sûre, là au moment où je te parle tu me donnes plus l’impression d’un enfant apeuré cherchant à venger son paternel. Si tu continues dans la voie de la vengeance *serre son point* croit moi tu ne seras plus utile à rien.
-Je…
Allen avait perdu ses mots… Il s’appuya sur le bureau et passa délicatement sa main sur son front, fermant de nouveau les yeux et essayant de se remettre les idée en place… Il continua a écouter Brian…
- Tu sais Allen ... J'ai toujours cru en toi et j'y crois toujours. Mais ton caractère et ton comportement m'ont montré le contraire. C'est pour cela que j'ai toujours rejeté le fait que tu sois un gradé. Tu n'as jamais cherché à changer. Tu ne cesses de penser à ton père. On ne te demande pas de l'oublier Allen, simplement que tu penses à autre chose qu'à ta vengeance.
-Mais en quoi veux-tu croire? Je ne suis pas aussi doué que vous le pensez ! Il m’arrive de faire des erreurs! Et bien plus grave encore ! J’ai encore du chemin à faire… J’ai était propulser trop vite à se poste ! Etre chef de la police… Ce n’est pas seulement s’occuper de certaines affaires plus délicates, mais c’est penser pour tout le commissariat, j’ai qu’une tête !! Qu’un seul esprit ! Et qu’une seule voix ! Je n’ai pas le droit a l’erreur, sinon c’est le commissariat qui en subira les conséquences ! C’est pour ça que je suis si hésitant ! Que je réfléchis si souvent ! Que je n’ai plus confiance en moi! Qu’aurais-tu fait a ma place ?? Je ne pense même pas à me venger… Je n’en ai même pas l’occasion…Je sais que l’assassin de mon père cours toujours, oui je veux l’attraper, je veux le mettre derrière el barreaux ! Mais je ne veux pas sa mort ! Aussi bizarre que se soit… Je sais que mon père n’aurai pas apprécié… Je veux simplement le voir derrière les barreaux... Et je serai libéré d’un gros poids… J’ai tellement de poids sur els épaules…Comment veux-tu que je me concentre ?!! Et els mafias grandissent, se formant une couverture presque impénétrable sous notre nez !! Et je dois garder mon calme, prendre ma conviction en mains ! Tenir bon ! et remonter le moral de toute les troupe !! Même la presse se demande si on n’est pas contrôler par les mafias vue leur forte croissance de puissance… Mais Brian s’il te plaît il ne faut pas s’éterniser ici… Nous devons y aller… Tu peux me déposer à la gare ? Je vais moi-même faire la démarcher pour retrouver salopard de blond… Sortie à la recherche d'un italien.===> [HRP: Y'a des chances que j'édit les parties en blanc que j'estime trop courte pour décrire se que fait.pense Allen...(et aussi une bonne relecture pour enlever els fautes...) Mais regarde l'heure quoi TT' ] | |
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