Prénom:Lucio
Nom:Gonzolini
Clan:Italien
Age:27 ans: 21 juillet 1903
Classe:Gros bras
Métier: vendeur d'armes
Orientation sexuelle: hétérosexuel
Crimes commis:non connu des services de l'ordre
-double homicide
-bagarres organisées
-vente d'armes
Description physique:
D'apparence on ne le confondrait pas a un italien, se bougre a tout pris, ou presque, du physique de sa mère. Cette femme, descendante des pionniers anglais, eu un enfant non voulu avec un immigré italien: Lucio. Ce jeune homme avait la peau claire, et une chevelure blonde dont il ne prenait pas très soin. Il est souvent paigné, si on peut dire ça comme ça, ébouriffé. Il a les yeux perçant de couleur bleu pâle. Sa carrure n'est pas ce qu'on peut appeler imposante. Son petit mettre 80 ne lui donne pas beaucoup de vue dans une foule mais son air de petit enfant qu'il a gardé ne le laisse pas pour autant passer inaperçu. Il attire souvent l'attention sur lui sans le vouloir et les gens ne s'en méfient pas particulièrement. Souvent habillé à la "va vite", il porte fréquemment une veste courte noire, sans rien en dessous, accompagné d'un pantalon sombre ainsi qu'une vieille paire de grolles noires. Quand il n'est pas dans les rues mal famées de little italy, il porte un imperméable clair et un béret de la même couleur. Ses bottillons sont d'un brun légèrement plus foncé et son pantalon de la même couleur que sa veste. A son épaule gauche se trouve son hostler ainsi que son Mauster C98. Son poignard est accroché à ssa jambe droite, facile a prendre dans les moments de derniers recours. Attaché comme une ceinture à sa taille, se trouve un petit sac à dos dont l'endroit paraît parfois étrange aux autres personnes le regardant. Toujours la batte à la main et la clope à la bouche il se promène dans les rues enfumée des vapeurs d'égouts intimidant souvent beaucoup de personne à son passage.
Description mentale:
bagarreur dans l'âme on le trouve le plus souvent dans des petites rues sombres accompagné de frères d'armes. Peu bavard a première vue il faut bien le connaitre pour engager une vrai conversation a moins que vous ne le cotoyez pour un business quelconque.Si vous le rencontrez pour la première fois,vous allez surement penser que ce n'est qu'un gamin qui se donne un genre avec sa batte et sa veste noire. vous pourriez être très surpris, violent a souhait il n'est jamais contre une "baston" de rue avec un clan ennemi ou d'autres personnes diverses lui cherchant des noises.Sûr de lui, il ne recule pas souvent devant le danger sans pour autant jouer les héros suicidaires.Optimiste il va au bout des choses qu'il entreprend de commencer ce qui fait de lui un homme avec un certain dévouement à son clan.cet homme fière de son métier avec une petite réputation toujours bonne a conserver, il ne refuse jamais un verre et encore moins quand c'est une grappa généreusement offerte ayant un dégout profond pour la vodka de l'autre côté du fleuve de Chicago. Dévoué à son clan, que ce soit celui de la rue ou celui de Don Carissimo Césare, ce n'est pas le genre a filer en douce. Méfiant, il n'hésite pas a graisser la patte d'un poulet pour pouvoir décharger des bateaux sa cargaison, même si c'est toujours un autre type qui paye de pot de vin.
But/Rêves:
Lucio rêve de réputation toujours grandissante, il rêve de se faire craindre par tout le monde car un homme qui n'a que peur d'un autre pourra toujours se défendre contrairement a un homme qui craint un autre
Histoire:
Lucio Gonzolini est un natif de Chicago, il est né le 21 juillet 1904, ça lui fait donc maintenant 27 ans. Mais ne pressons pas l'histoire de cet homme. Une soirée arrosée, little italy complètement ivre, et un couple qui n'est autre que Samanta Johnson et Alberto Gonzolini. Vous ajoutez à ça: une ruelle, de la musique plein les rues et voila comment on arrive à Lucio Gonzolini. Il naquit le jour de la fête nationale américaine, jour funeste où sa mère perdit la vie durant l'accouchement dans l'appartement d'Alberto. Ce dernier ce retrouve avec un enfant qu'il ne voulait pas. Il lui donne son nom et l'éleva sans trop d'attention au début, ne voulant pas avoir affaire avec lui.
Les années passent, les écris restent, tel est le dicton bien qu'il n'ai rien avoir avec l'histoire. Finalement les relations de Lucio et son père s'améliorent. Il rentre dans son système de revente d'arme, en apprenant tout ce qu'il devait savoir sans se préoccuper de l'école. Son apprentissage fut entres c'est 15 et 20 ans, où il eu son apogée. C'est également à ce moment là qu'il apprit le russe avec des clients, pour des raisons pratiques dans ses transactions. Très vite, les armes de mêlées sont devenues une passion. Il grandit dans un genre de gang de Chicago, aidant son père en un temps dans son trafic d'armes et s'occupant de son gang dans un autre temps
D'une réputation grandissante, le voila à la tête d'un petit groupe, bagarreurs et appréciant les joies des beuveries de Lucio. Il apprend tout sur le terrain de lui même après avoir quitté le toit de son père. Sa gueule d'ange lui permettant d'attirer confiance et sérénité sans forcer quoique ce soit au près de ses collaborateurs, il commence tout doucement à se faire ses propres relations dans la vente d'armes.
Toujours plus de bagarres, n'importe qui, n'importe où. Toujours plus d'armes importées, n'importe quoi, n'importe d'où. Il commit son premier meurtre, deux d'un coup, à l'âge de 23 ans. Imaginez la scène: une rue sombre où il trainait souvent,une patrouille de police passe par là. Des nouveaux surement qui ne savent pas ou aller, ou alors peut être voulaient-ils demander leur chemin pour le bordel chinois le plus proche. A ça rajoutez Lucio, son éternelle batte, et deux de ces hommes qui sortent de la porte arrière d'un bâtiment en titubant. Aveuglé soudainement par des lumières bleues, sous l'effet de l'alcool, ils courent subitement sur la voiture, sortent les policemen et les passent à tabac dans un vacarme infernal. Ils auraient pu survivre ces cons mais les gémissements d'une des victimes ont, vas savoir pourquoi, déclenché une furie chez Lucio qui les tua à coups de batte dans la tête. Un jour entier les deux cadavres sont restés dans la ruelle. Faut dire, pauvre d'eux, que ce n'est pas le genre de rue ou déjà la police vient fouiner, et ou la population se soucie de quoique ce soit. Lucio a dut les cacher quelque part. Encore saoul ce soir là, il ne se souvenait plus de l'endroit quand il m'a raconté cette histoire. Tout étant que l'on a plus jamais entendu parlé de cette nuit là,plus jamais. Vous pourriez trouver ça bizarre mais en fait non, il n'a jamais eu de contact avec la flicaille, il les évitait toujours et on entendait rarement parler de lui en dehors de son quartier ou de ses affaires: telle était sa philosophie.
Bien que sicilien d'une moitié, il se contrefichait de toute cette mode à la "Al capone". C'était pas son truc. Il n'aimait pas trop ce type avec ces airs de "touche a tout" et surtout à n'importe quoi. Et bien qu'il ai refuser sa proposition d'entrer dans sa famille, le business c'est le business. Al capone était une très gros client et il savait bien payer. Lucio le rencontra à sa demande. Il avait entendu parler de lui comme un très gros revendeur d'arme et il en avait bien besoin. Lucio dut prendre des décisions, Al capone demandait beaucoup et même si l'appât du gain était très présent, il lui fallait au plus vite trouver un fournisseur de qualité, et qui plus est de grande quantité. Son père lui donna une adresse qu'il gardait dans les moments de crise. C'était en Sicile, un certain Carissimo Césare dont il n'avait jamais entendu parler. Il prit le bateau en direction de l'Italie ou il rencontra le dit vendeur d'arme. Ce type l'air louche, pas très fréquentable, le genre de mec que dès qu'on le regarde droit dans les yeux, on comprend qu'il est pas là pour jouer aux billes. Quoique le tableau d'une scène pareille aurait pu se vendre bien plus qu'une caisse entière de thompson ça c'est sur. Il commença a entretenir une relation professionnelle avec lui. Ses prix étaient corrects et Al capone était ravis de pouvoir se voir fournir tant d'armes si facilement. Les années se poursuivîrent normalement, successivement, et Césare se rendit compte de plus en plus du potentiel de Lucio. Bien qu'il n'ait pas une grande confiance en lui même après ces cinq longues années passées a vendre ses armes, il lui proposa une offre qu'il ne pouvait refuser. Il lui parla de son plan le noël de sang, les grandes lignes: Al capone est fini et il faut rétablir l'ordre. Il lui proposa, contre la vie et contre une place dans sa famille, de stocker ses armes directement aux usa. Même si Lucio était un chef de gang qui n'avait pas grand rapport avec la mafia, il était sur une corde raide. Il pourrait survivre seulement en acceptant ce marché et en livrant les armes stockées dès l'arrivée de Césare aux usa. Il accepta sans grande hésitation. Pour sa vie dans un premier temps et aussi car une place dans la famille n'était pas refusable.
Le grand jour arriva enfin, les hommes de Lucio étaient tous près a le suivre où qu'il aille même si c'était un chemin boueux. Le Don était à son ambassade. Dans la matinée deux petits camions s'arrêtèrent devant le bâtiment. Lucio y alla seul. L'ambassade était calme et le don était à l'entrée avec ses hommes quand un type traversa la vitre principale pour aller glisser le long du sol et s'arrêter aux pieds de Césare. Lucio entra, évidement don Carissimo ne put le reconnaitre tout de suite, lui qui était habitué à le voir, costume brun clair, béret à la tête, il voit maintenant un homme batte à la main la veste ouverte le poignard à la cuisse et le Mauster C98 dans son holster. Justifiant son acte du fait que l'homme n'a pas voulu le laisser rentrer, il s'avança d'un pas assuré comme dans en terrain connu. Le don envoya, surpris de cet homme qu'il ne connaissait pas, quatre gardes du corps. C'était les molosses, vous devriez vous souvenir ce genre de mec qui vous charge et que normalement vous prenez vos jambes a votre cou. Pris de panique, Lucio frappa le premier homme au bras avec sa batte. Ne pouvant pas se battre contre quatre hommes si entrainés, Lucio se fit vite amocher a coup de poing américain. Le Don prit le temps à le reconnaitre il du lui mettre quelques coup bien placé avant de se rappeler de sa voix. Après la gnôle américaine qu'il lui servie pour réparer sa maladresse, ils déchargèrent les camions et Césare pu enfin commencer ce qu'il préparerai durant 6 mois à venir.
Le fait que Lucio a remplit sa part du contrat, lui amena beaucoup de respect de la part du don. La confiance grandissait aussi. Le don lui avait promis une place dans la famille et c'est bien sur de l'armement qu'il s'occupa. C'était son point fort alors le don lui donna la mission de continuer l'approvisionnement d'armes pour la famille. Les mois passèrent sans trop de problèmes pour lui, il faisait ce qu'il a toujours fait aller en Sicile, amener des armes, et les distribuer au don. Plus le temps passait et plus le don lui en était reconnaissant, il aimait son style de vente, son dévouement pour le clan et le prit plus sous son aile.
Arriva le noël de sang. Lucio resta dans l'ombre de sa ruelle en compagnie d'une poule. Il n'avait rien a faire dans cette histoire. L'opération fut un succès et la mafia italienne pouvait reprendre du poil de la bête, revenir aux devants de la scène comme on dit. Elle s'occupa de ce qu'elle faisait le mieux: la vente d'armes. Les Américains en conflit avec les Russes, il fallait entretenir les bonnes relations et Lucio fut chargé de leur apporter un bel assortiment d'armes diverses. Ses prouesses dans ce milieu le fit notés dans les petits papiers du Don qui, après mure réflexion, le jugea apte a avoir plus de responsabilités. Il était aux côtés des dirigeants de la famille, il était devenu l'officier supérieur de l'armement. Il prit ce rôle très au sérieux tentant au maximum de ne jamais décevoir le don.
Attributs: 45 pts, minimum 3 et maximum 8.
Force:7
Vigueur:6
Agilité:5
Intelligence:6
Volonté:6
Perception:4
Charisme:6
Chance:5
Dévotion envers le clan: 7
Points de vie: 60
Compétences de classe: -armes à feu
-arme de mêlé
-intimidation
-langue étrangère:( si l'américain et l'italien sont par défaut il parle le russe)
-premiers soins
-bagarres
Inventaire:950
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