John O'coneil

Prénom: John dit « Johnny Browning »
Nom: O’coneil
Clan: Wolfes
Age:31 ans

Classe: Prince de la gachette: Vous avez appris à maîtriser les armes à feu, et vous êtes devenu très perceptif. Cela dit, vous ne maîtrisez qu'une branche d'armes à feu (fusils, revolver, automatiques, semi-automatiques...) mais vous êtes capable de moucher un moustique sur de longue distance rien qu'avec une balle à blanc, bref vous nous serez utile...du moins jusqu'a ce que vous ratiez votre cible.

Métier: Médecin

Orientation sexuelle: ben en fait hétéro

Crimes commis: Meurtres divers, Rackets et trafiques

Description physique:
John est un brun ombrageux, ce n’est pas le profil type de l’irlandais, rouquin et bien bâti, en fait bien bâti il l’est, mais il reste quelqu’un de svelte, autour de 75kg . Plutôt grand aux environs du mètre 80, il porte des lunettes plus pour des raisons de style que par véritable besoin. Il a le visage, fin, parfois mal rasé, mais c’est plutôt rare, il approche de ce que les femmes appellent beau, il n’en prend pas néanmoins la grosse tête. Les seuls point repérables dans la multitude de la foule sont ses deux brownings coincés bien au chaud dans leur holster. A il possède un point remarquable en fait, une cicatrice d’un impact de balle sur la cuisse droite résultat d’une rixe qui a mal tourné. Pour finir, il s’entretient en faisant du sport, lui permettant de posséder une bonne condition physique, il est donc bien sculpté et ce point ne fait qu’encourageait les femmes à le trouver séduisant. Notre homme est donc quelconque malgré un côté séduisant, il faut donc aller plus en détails sur notre homme, il possède un teint de peau clair, pas loin du type caucasien, mais il préserve une nuance mâte, parce qu'il a des origines hispaniques côté maternelles. Il a déja quelques poils blancs qui apparaissent quand il oubli de se raser. Elément central de son style pour lui, ce sont ses lunettes lui donnant un air de gentleman , lui permettant d'avoir une certaine crédibilité pour ses patients, ainsi ils n'ont pas peur de passer entre ses mains et elle lui permettent de se protéger des éclats lors de combats. Pour finir notre homme ne sort jamais sans son cabbans qui lui sert à la fois pour se cacher du froid et de l'humidité, comme pour cacher ses pistolets. John est donc quelqu'un de discret, un peu passe partout, mais qui reste authentique(^^)


Description mental:
John est quelqu’un comptant seulement sur lui même, l’individu qui fracturera cette coquille n’est pas encore né. De nature par contre jovial, il se laisse facilement prendre par la fête, mais il garde toujours les pieds sur terre, après deux trois cuites il connaît maintenant ses limites et tient à les garder. Il se laisse emporter par la colère peut souvent, mais les fois où cela est arrivé ça a fini dans un règlement de comptes par le sang. La prison, il a connu et ça lui a forgé une personnalité terre-à-terre, les risques il veut les connaître et les évalués, ce n’est pas une tête brûlée prés à tout pour sauver une personne ou pour «se faire du bonhomme», il est celui qui lors des combats gardera son sang-froid, le plus souvent. Le sang ne lui fait pas peur et la mort des autres ne l’affecte pas ou très peu, seul la mort de ses parents à réussi à lui tiré une larme. En résumé c’est quelqu’un de dur, qui n’accorde sa confiance à personne et qui refuse de jouer les héros. John est trés attaché aux valeurs de la famille qu'elle soit mafieuse ou parentale, il se battra pour elle et luttera contre les traîtres, mais il refusera toute mission stupide dont le but premier et de seulement risquer sa peau pour une bouteille d'alcool ou pour quelques batons de dynamites. Il est sûr de lui quand il part risuer sa peau car il a envisagé toutes les possibilités, il écoutes les ordres et les suit quand ils sont intelligents, en bref on ne lui fait pas faire n'importe quoi. Il base son jugement sur les seules choses qu'il connait, refuse de confier son sort à la chance ou à dieu et prendra seulement les risques, qu'il estime utile. Seul les crises de colère peuvent lui faire perdre la tête et alors prendra non seulement tout les risques mais il décidera de décimer tout le monde sans aucune hésitation. Ses collègues de besogne avaient l'habitude de dire "gare aux balles de Johnny Browning en colère", car il lui est arrivé de blesser des gars de son camp quand il entrait en frénésie. Enfin notre homme ne se laisse que trés rarement dépassé par les événements mais quand sa arrive il fait tout pour que ça ne recommence plus, en tuant tout le monde.

But/Rèves:
Son but ? rester vivant le plus longtemps possible. Les rêves il n’en a pas vraiment, plutôt un idéal à atteindre celui d’être reconnu comme le tireur à l’arme de poings le plus habile, il est bon voir très bon, mais il cherche à atteindre la perfection, voilà son idéal atteindre la perfection du tir. Pour ce qui est du pouvoir, il ne le prendra que si on lui confie, il ne le cherche pas vraiment, quoi que…

Histoire :

John a grandi dans Pittsburgh avant d’atterrir à Chicago, garçon de la campagne ne rechignant pas au travail. Il suivi une scolarité sans histoire jusqu'a ses huit ans,là il commença sa carrière de «voyou», même si ce n’était un feignant John aimé l’argent facile, il commença donc à dealer des choses et d’autres, cigarettes, alcool, etc…il continuait tout de même ses études et faisait ça pendant son temps libre C'est là où il apprit à crocheter, ils étaient dans le commerce avec Tom Chester une petite frappe dont le père était serrurier et qui le prenait comme apprenti de temps en temps, c'est lui qui lui apprit à chrocheter pour voler les cigarettes dans la réserve du bar tabac d'en face. Mais bien vite John se rendit compte que le racket payé mieux et avec moins de soucis et il commença sa carrière de racketteur, cette fois dans l'enceinte scolaire, qui continua jusqu’à ses 16 ans, à partir de là il découvrit sa vocation…médecin, le sang quoi qu’il en dise l’attirait malgré tout, il se foutait éperdument du bien d’autrui. Ses études commencées à la fac de Chicago, il laissa sa carrière de jeune truand dans les vestiaire àpartir de là ,il découvrit vite quelque chose de plus intéressant, l’anatomie, il savait où un coup porter pouvait faire mourir, où un coup pouvait stopper toute circulation. Il finit ses études dans la moyennes des étudiants à 23 ans, là il s’installa en ville et commença une vie tranquille entre cabinet et maison, mais très vite les vieux démons refirent surfaces et il chercha un moyen de se faire de l’argent et se procurer de l’adrénaline dans cette vie trop paisible.

Il partit donc à la recherche de cette adrénaline tant désiré. John s’acheta une moto, une 1100cm/cube qui avancé vite et bien avec un démarrage qui pulser bien, il fini par la faire exploser contre un mur, vous connaissez le jeu de celui qui freinera en dernier, et bien John a gagné et sa moto, elle, a perdu, triste destinée pour sa compagne de route, mais il s’en remis et décida de jouer avec des jouets plus dangereux, il trouva dans une armurerie qui vendait des brownings, une des meilleurs armes de poings qui existe à l’époque, dans le centre de Brooklyn, les truands dans Chicago étaient légion et cette vie apporte encore plus d'adrénaline. Il s’entraîna de sa main gauche pour pouvoir tirer à la fois de la main gauche que de la main droite, il passa donc deux années entières à s'entraîner à tirer de n'importe où, n'importe comment et n'importe quand. John s'estima fin prés au bout de ces deux année d'entraînement et décida de partir à la recherche de contact qui pourrais le mener au recruteur du clan américain et ainsi pouvoir accéder à cette vie qu'l avait désiré pendant ces deux ans.

Après un certain temps de recherche, il fini par trouver l'objectif de ses recherches, dans un bar plutôt moisi, ou on prenait un alcool fort histoire de pas être malade en buvant dans le verre. Le contact de la pègre entama la conversation quand il vit arriver notre "héros", pour plus de faciliter nous l'appèlerons Smith. La discussion s’engagea, après les mondanités sur l’environnement les deux hommes arrivèrent à un accords, ou John pourrait rencontrer le boss. Smith, donc, se leva de son tabouret de bar et regarda le barman en faisant un signe de tête, celui-ci ouvrit le rideau au fond de la salle et Smith s'y engouffra, John lui avait un peu plus de mal à rentrer, mais après un regard appuyé, notre homme entra donc. Il fut fouillé par deux gorilles à l'entrée "pas d'armes ici." , on lui retira ses deux browning, il découvrit alors le monde la pègre derrière les rideaux le vrai, des tables de jeux et des prostitués qui traînaient autour des joueurs qui ne se déconcentraient pas, alors que la majorité des ses filles aurait rendu fou un eunuques, John se fit un passage à travers les joueurs et leurs accompagnatrices et fini par retrouver le recruteur, il l'attendait devant un bureau, qui possédait des vitres permettant d'avoir toute la salle à l'oeil. Smith invita John à rentrer seul dans la pièce, John hésita, une boule dans le ventre, il allait rentré dans le temple d'un des pontes de la mafia en amérique. Il saisit la poignée les mains moites et fini par poussée la porte, il entra dans un nuage de fumée, le boss fumé cigare sur cigare, il avança à moitié à l'aveuglette il finit par distinguer le bureau et une ombre derrière, il ne distinguerait que cela pendant les années de services du boss. Il entama la conversation. Elle perturba quelque peu John Il sorti du bureau, il devait tuer l'homme qui l'avait recruté sous peine de ne pas rentré dans la famille, c’était à la fois un test et un exemple, Smith était un mouchard qui devait mourir pour avoir trahi le clan. John rencontra Smith dans la salle et lui dit qu'ils devaient se rendre au port pour récupérer un colis sur le bateau d'immigrants. Après quelques minutes dans la voiture avec Smith, John n'était pas très bavard, arrivé au port son visage s'était carrément refermé, Smith s'inquiéta quelque peu, mais ne dit rien, arrivé dans un coin du port au bord de l'eau à l'abri des regards indiscrets, il se retourna vers Smith et sortit son Browning droit et tira une balle dans la tête de Smith, il n'eut ni le temps d'être surpris ni celui de crier. Il jeta le cadavre dans l'eau et repartit. Voila comment John apprit le sens de la famille, dés sa première mission, ni remords ni traître n'est permis dans le clan.

John continua sa vie de truands à faire le porte-flingue du boss en respectant les codes de la famille, on tenta plusieurs fois de le corrompre, mais sachant ce qu’il l’attendait, il refusa toujours et tua tout ce qui tentèrent de le faire sortir du droit chemin de la famille. Après 2 années de meurtres, rackets et contrebandes pour le Boss, notre homme fut accepté comme membre réel du clan, il devint donc un Wolf, un loup de la ville qui guetterai et qui chasserai ses proies.

C'est à sa première mission en tant que membre du clan qu'il eut sa seul cicatrice, il devait éffectuer une mission de routine transporté du port de chicago au hangar du Quartier Général, c'était de l'alcool qui venait de Toronto, et personne ne devait être au courant de l'arrivée de la cargaison à part le chauffeur et moi, je devais juste servir d'escorte sécurité minimal pour ne pas attirer l'attention plus que necessaire, sauf qu'on avait pas prévu qu'un des marins soit d'origine russe et il ramena ses copains, heureusement nous étions encore prés du port les gars vinrent m'aider, mais j'ai du tenir cinq minutes ces fumiers en respect avec le chauffeur, en tronc d'arbre bouchait la route, on a prévenu les renforts par radio et on s'est arrété devant les cinq ruscofs qui nous faisaient face l'un d'eux nous dit de descendre, on descendit, mais j'ai dégainé une fois en bas j'ai touché en pleine poitrine le porteur de la mitrailleuse et je me mis à l'abri avec mon chauffeur qui avait tiré sa thompson de sous son siège en descendant et avait ouvert le feu lui aussi, pendant que j'allais me cachais derrière le camion je me prit une balle dans la jambe, je réussi à me mettre à l'abri et je tirai à couvert plus pour faire peur que réellement pour tuer je n'étais pas en état de viser avec cette blessure je perdais beaucoup de sang. Il vit l'arrivé des renforts et je m'évanouis, je me retrouvais deux jours plus tard chez le médecin du Quartier Général. Il fut remercié de sa bravoure et depuis on lui confia sans peur de trahison les missions vitales du clan. Les autres missions ressemblaient à celle là avec escarmouches et fusillades, il a chassai également le mouchard dans le clan, il devait trouver qui c'était et le tuer, rien d'extraordinaire en somme dans la vie d'un gangster.

mais un jour ce qui devait arriver arriva, les flics le trouvèrent et il fut emprisonné. Un commerçant l’avait balancé pour racket, heureusement un bon avocat et un bon pot de vin au juge il n’en eut que pour trois ans. Trois ans en tôle c’est long surtout au moment des douches ou quand on est seul avec des mort de faim qui n’ont pas vu une femme depuis pas mal de temps. C’est là que le rasoir vous est très utile car c’est le seul moyen de couper et quand je dis couper c’est couper tout envie de viol. John c’était retrouvé isolé durant l’une de ses balades, les frères Boy’s deux gays, expert dans le viol de bleu, s’étaient mis en tête de me violer, malheureusement quelques relations dans la stratosphère de la prison avaient pu lui fournir un rasoir et l’avait prévenu sur les intentions de certains gars. Enfin bref les deux hommes le sourire aux lèvres s’approchèrent et commencèrent à faire des propositions peu digne d’un homme, John décocha une droite dans l’un des deux comparses et sorti son rasoir, le déplia et le temps que l’autre comprenne ce qui se passe, un mouvement de bas en haut et l’adversaire de John se retrouva avec une partie de lui même sur le sol. Il s’évanouit sous le choc et son « frère» parti en courant ne voulant pas subir le même sort. Le reste de son séjour en prison depuis, se passa sans histoire.

A sa sortie de prison James Seth Lynch vint le chercher, ils ne s’étaient jamais rencontrer, mais les deux hommes s’entendirent plutôt bien. Arrivé au Q.G. on lui souhaita la bienvenue et le boss lui assigna une mission pour dans quelques jours avec James justement. Le jour de cette mission arriva et James passa chez lui pour le récupérer et l’emmener, ils devaient escorter un gros transports d’alcool. Mais toujours les mêmes, ces russes étaient encore au courant pourtant toutes les précautions avaient étaient prises. Un gros contingent d’hommes de chaque côté des deux clans, ce n’était plus une fusillade, mais une guérilla avec des bidons d’alcools en plein milieu du trajet des balles, John était planqué derrière un camion de transport et un bidon c’était enflammé au dessus de lui et il allait tombé sur lui, quand James lui sauta dessus et l’écarta du point de chute du bidon, il lui avait sauvé la vie et pour John cela marqué une dette qu’il devait marquer, il resterait à son service jusqu’à ce que sa dette soit remboursé.

La dette pour James fut remboursé lors du renversement du boss, John ne fit pas grand chose juste faire le guet et contrôler les hommes et leur loyauté envers James après sa prise de pouvoir, mais John avait fini par apprécié l’homme à qui il devait la vie et il resta loyal, même quand les complots pour renverser le nouveau boss si jeune. Il resta donc loyal envers cette homme qui lui avait sauvé la vie et qu’il avait fini par apprécié, pour les valeurs de la famille et de l’honneur qu’il représentait. Il resta son homme de mains indéfectible, il respectait son nouveau boss et ceux qui complotèrent contre lui, moururent principalement de trois mains, celle de ses deux bas droits et de celles de John, il estimait que sa dette n’était toujours pas remboursé, il devrait lui sauvai la vie pour rembourser cette dette et ce jour n’était pas encore arrivé.

Le nouveau boss mit donc un certain temps à asseoir son autorité sur le clan, temps durant lequel John participa d’arrache pied à la découverte de traître et de russe, le tout pour que le changement de pouvoir ce passe sans trop de remout, évidemment ce n’était pas facile. Le plus difficile fut de découvrir que Freddy les dix doigts était un traître, il avait un tel surnom, parce que c’était un touche à tout, il était dans le vol, le renseignement, le racket, le meurtre et le kidnapping, on a découvert que c’était un traître qui projetait de faire sauter la tête du clan, à cause de sa seule erreur, il avait pour mettre son plan à exécution de prendre contact avec ses chiens de ruscofs, malheureusement pour lui le contact dans le clan russe avait juré fidélité à James Seth Lynch et il nous balança l’ordure sur un plateau en pleine rencontre américano-russe, James était présent avec ses deux bras droits , quelques hommes et moi. Ce fut un jour funeste pour les russes, ils perdirent un lieutenant reconnu par notre contact et une dizaine d’hommes, de notre côté nous avions trois blessés et un mort. Mais nous avions réussi un beau coup de filé et Charlie mourut d’une balle en pleine tête.

Le reste de la mise en place du pouvoir se passa sans histoire et tout roula jusqu’au jour où un événement bouleversa la vie de John, ses parents venait de mourir dans une bataille de clan, dire que John est tombé de haut serait un euphémisme, les seules personnes qui comptaient à ses yeux venaient de mourir dans un guerre à laquelle il participait. Il mit deux semaines à sortir de son état de choque. Au bout de ces deux semaines, il sortit de son mutisme et de chez lui pour aller voir son boss. Arrivé au quartiers général tout le monde était déjà au courant de ce qui venait de lui arriver, quand il se présenta devant le chef celui-ci lui présenta ses condoléances et lui dit que la fusillade avait eu lieu entre un convoi russe et les nôtres, ils devaient récupérer la marchandise, ça devait ce faire sans encombres, une taupe était présente normalement dans le convoi, mais elle a été découverte et tué. La fusillade n’a pu être évité. Voilà ce que lui dis James, John lui demanda alors s’il pouvait accumuler une autre dette et faire partie de la première ligne qui s’occupera du relais russe dans les quartiers Est, James lui accorda cette faveur et voilà notre homme parti avec une dizaine d’autres hommes pour les quartiers Est. John fut le premier à rentrer dans le relais, cinq ou six hommes dans la pièce trop surpris pour réagir, il tira dans le tas prenant plaisir à tuer ces hommes qui avaient ôtés la vie à ses parents, trois russes s’écroulèrent avant que John ne se mette à l’abri, les américains rentrèrent ensuite dans la pièce, les Thompson raisonnèrent et plus aucun russe ne vivaient dans cette pièce, John enfonça ensuite la porte de gauche deux hommes avec une table retournée pour les couvrir l’attendaient, John battit en retraite au moment ou les deux hommes firent feu, les impacts de balles se sont fait là où il y a moins d’une seconde se trouvé John. John tira à l’aveuglette une balle toucha un homme car il entendit un cri, les chargeurs sont vides, John recharge ses deux browning, il rentra dans la pièce sauta par dessus la table et asséna un coup de crosse dans la tête du russe encore indemne, puis une balle dans le front du blessé et du russe assommé. Il entendait les bruits de combats, il était séparé des autres par une faible épaisseur de mur, mais pour lui il était seul pour accomplir sa vengeance. Il pénétra dans la dernière pièce avec fracas, un homme attendait qu’on vienne le chercher, il était sans armes et parla en russe, John ne compris pas, il s’approcha puis lui mit un coup sur le crâne, il se ferait un plaisir de l’interroger plus tard, sa vengeance n’était pas terminé. Il n’y eut que des blessés dans les attaquants et uniquement trois gars, arrivé au Q.G. avec son prisonniers dont la tête était recouverte d’un sac, il le présenta à James, qui remercia notre héros et le congédia, avant de partir John demanda s’il pouvait torturer le russe, une faveur encore accordé par James.

La salle d’interrogatoire était une cave du Q.G., sombre sans fenêtre et insonorisé le mieux possible, c’est là que les ennemies du clan q’on avait capturés passaient avant de mourir. Le russe ne fit pas exception et il fut torturé par John, qui finit par ce rendre compte de la monstruosité de ce qu’il faisait, fatigué, il se retira de la salle, il avait l’habitude de tuer des hommes, mais les torturer était une première, il monta remercia le boss pour sa compression et revint chez lui. Pour tout les services qu’il avait rendu au clan, le boss sûr de sa fidélité le fit monter en grade comme sous lieutenant.

Attributs:
Force: 6
Vigueur: 6
Agilité: 6
Intelligence:6
Volonté:5
Perception:6
Charisme:5
Chance:5


Dévotion envers le clan: 7
Points de vie: 60


Compétences de classe:

• Connaissance des milieux
• Conduite
• Armes à feu
• 6eme sens
• Crochetage
• Médecine

Inventaire :
-2 Browning Gp 35+2 chargeurs plein (2* 150 pts)
-un rasoir (10 pts)
-2 holster aux aisselles(2* 5 pts)
-zipo (5 pts)

BOn alors vu ce que tu dis sur ton caractère comme quoi tu te mouilera pas dans une mission pour des clopinette un 7 es trop élever car à ce stade là (avec un 7) t'es un fonceur qui accepte toute les missions pour le bien du clan et sans te poser de question donc je pense qu'un 6 serait plus approprier.

Ensuite 8 ans dans le crime organisé et seul apparament tu te serai fait tuer par les adultes pour avoir empiéter sur leur territoire et qu'en pense tes parents ? donc corrige sa stp et apprendre à crocheter seul c'est chaud quoi si tu pouvais développer la façon dont tu l'as apprit sa serait pas t'en mal.

16 ans étude en médecine tu vas ou et comment pasque la si tu tente la fac alors qu'apparament tu n'as pas suivit de cours de toutes ta vie je pense que c'est définitevement impossible.

Je ne voit nul part dans ton histoire la place que tu occupe dans ton clan et je trouve que tu y rentre bien trop facillement mais sa c'est à voir avec James ainsi que pour le moment ou tu le mêle à ton histoire.

Don histoire comporte bien trop de dialogue et pas assez de naration il a trop de blanc beaucoup trop de 0 à 8 ont sait pas trop ce que tu fais et de 25 à 31 ont en sait rien du tout on a juste des bribe d'information à travers tes dialogues, parle nous plus de ta vie au sein de ton clan de comment tu évolue comment tu améliore ta technique de tir car la sa sort un peut de nul part et sa s'apprend vraiment pas comme sa.

Ensuite un Chinois qui ne semble pas craindre la mort te dis que c'était le clan Américians qui est à l'origine de la fusillade qui a vu ta famille mourir et toi tu préfère le croire plutot que ton boss bizarre ? très bizarre même pour quelqu'un de si fidèle et incorruptible.

Voila sa fait beaucoup de truc mais sa en vaut le coup bonne chance pour la suite.

je rajouterais aussi que si tu lis le background du clan, les seuls enemis des américains sont les russes et pas nos adoré mangeur de chien. Ensuite, il y a pas assez d'indication pour que tu soit un lieutenant. Que James et O'coneil se connaisse et ce fasse confiance, Ok, mais de là à le promouvoir lieutenant... Essaie de consolider leur lien, de les faire plus proches, ou alors de trouver une bonne raison pour qu'il soit promu, comme une mission habilement menée par exemple.

Enfin, ce n'est pas une courses, rajoute des descriptions, des détails qui rendront ton histoire plus crédible.

Il te reste encore pas mal de travail sur cette fiche

bien bien...

1° : Ta fiche comporte trop de dialogue et pas assez d'info sur ton perso. certes, tu a agrandi ta fiche, mais avec 70 % de dialogue
qui, excuse moi si je suis brutal, ne servent a rien.

2° : James,ou qui que se soit de sensé ne promulguerais jamais lieutenant un type qui a déjà trahi son patron, de plus 6 de dévotion envers le clan, c'est bien trop peu, un type obliger de travailler pour le clan aurais 5-6

3° : James n'aurais jamais parlé de sa future prise de pouvoir a un type qu'il ne connais pas vraiment... et les deux seuls types en qui il a une confiance aveugle sont ses bras droits.

Voila, au travail !

voili voilou fiche modifié et fini dans l'espérance qu'elle vous satisfasse

Bon, cette nouvelle mouture me plais, et me va bien. Il reste quelques fautes, mais on va pas tergiverser pour si peu, surtout après tout le travail que tu a fournis.

donc, Je te Valide en tant que Sous lieutenant chez les Wolves

Personnage étant considéré comme disparu en rp.