L'entrée de Kirill Saïdseff dans la Cosaque de Irkoutsk

Après avoir passé une journée d'enfermement dans sa caravane de piètre qualité Kirill décidât de prendre l'air dans le quartier rouge. Se rendant compte du temps maussade qu'il faisait au bout de quelques pas il se disais qu'il fallait trouver un endroit ou passer le reste de la soirée afin de se protéger d'une éventuelle averse... Ce n'est que quelques minutes après voir fait ce constat qu'il aperçût devant lui une sublime battisse avec la mention La Cosaque de Irkoutsk d'inscrite sur une plaque métallique dorée à côté de l'entrée principale du restaurant.
Cette demeure de plusieurs étages était d'ailleurs l'une des plus rayonnantes du quartier (disons aussi que face aux ruines qui jalonnent la ville ceci n'est pas difficile) de l'extérieur nous pouvions voir un rez de chaussé fermé d'une porte en bois massif, et si nous tournions notre regard vers les fenêtres il nous était possible d'admirer la qualité des rideaux ornant chaque vitre, et sans nul doute leurs valeurs financières... Mais il lui semblait également, à première vue que la Cosaque de Irkoutsk et le Hoboken Tower étaient des constructions clefs du quartier: des symboles!
Néanmoins la curiosité fut trop grande et l'envie insatiable de pénétrer dans ce bâtiment devenait insupportable, il devait y entrer!

_"Messieurs bonjour!" Dit-il en s'avançant vers ce qui semblait être des vigiles d'un pas ferme et décidé.
Les hommes se rapprochent de lui...

Se retrouvant entre les deux hommes, Kirill n'essaya nullement d'entreprendre un quelconque acte de violence vainement inutile au moment ou les gardes le touchèrent pour voir s'il avait une arme. Il décidât donc, tous d'abord de les laisser lui ôter son arme, et dans un second temps d'entamer la discussion avec les deux personnes :

"Quel gage de garantit ais-je quant à la véracité de votre offre? Toujours est-il que vous pouvez toujours me dire en quoi consiste votre contrat, vous savez je suis une tombe je ne répètes aucune parole, à part aux morts *il faut bien se vider l'esprit d'une manière ou d'une autre*. Cela dis cette proposition m'a l'air intéressante mais je la considérerait d'avantage lorsque j'aurais une garantit et surtout lorsque j'en découvrirais les closes "

Un habitué venait de rentrer et M Saïdseff en profitât pour jeter un coup d'œil discret à travers l'entrebâillement de la porte qui menait jusqu'à la salle principale. Il put y voir des filles danser, des gens boire, et surtout beaucoup de filles autours de personnes ayant but les alcools les plus chers et les plus raffinés que Chicago pouvait leur offrir.
Mais il n'entrait pas dans l'établissement pour les filles... Il y allait principalement pour se faire des contacts, afin d'honorer certaines futur demandes (à croire que les gorilles avaient saisit ce que le jeune homme chercher), bien plus que pour se protéger d'un temps maussade ou pour s'offrir une partie de jambe en l'air.

De la détente, oui c'était ça qu'il fallait à Viatcheslav. Le Braiski Krug n'avait pas obtenue ce qu'il voulait en allant du côté de l'hotel alors ce serait un de ses propres établissement qui allait jouer le rôle de coupe-circuit. Sa voiture s'était garé juste devant la porte de l'établissement et il en était descendus au moment même où les freins venaient de jouer leurs rôle. Sa veste sur l'épaule, le Dosotïevski poussa la porte de l'anti-chambre d'un pas assuré et l'air détendus. Cela aurait pu durer plus longtemps s'il n'avait pas entendus la conversation des deux gorilles à la porte. Il y avait un autre gars avec eux, pas un habitué en tout cas, c'était peut être même sa premiére fois qu'il venait, mais qu'importe. Le coup de pub serait mauvais mais il ne fallait pas sortir de sa fonction devant lui surtout sur un des établissement les plus puissants de la ville en matiére de prostitution. D'un geste rapide il envoya son poing sur le nez du premier des videurs à lui passer sous la main avant de se saisir du Browning que celui-ci avait en main avant d'en ôter la sécurité pour le coller dans la bouche de son agressé, manquant de lui casser les dents de devant. Sa voix se faisait de plus en plus sourde et forte au fur et à mesure qu'il parlait.

Russe: "Tu voulais faire quoi?! j'ai mal entendus là non? T'en veux une d'occasion? d'occasion de finir avec ce qui te sers de couille à la place des amygdale?! Si j'en surprends encore un à faire ce genre de proposition je lui fais bouffer plus de ferraille qu'il en aura en s'enfilant des épinards! j'espéres que c'est bien clair!"

Tout en parlant, le russe avait relevé le percuteur de l'arme qu'il tenait d'un doigt tout en enfonçant le pistolet au plus profond de la gorge de son interlocuteur, son air se faisant de plsu en plus menaçant. Certain penseront que ce genre de réactionest exessive, mais pas ceux qui savent qu'on doit éviter ce genre de proposition d'une pour éviter de décridiliser le sacro-saint lieu, et de deux, pour ne pas attirer inutilement la volaille à regarder de trop prés. Apres un temps de latence il repoussa l'homme qu'il tenait devant lui avant de remettre l'arme à son collégue.

"N'oubliez jamais ce qui vient de se passer, à la prochaine encartade du genre je vous renvois au pays, c'est pas la place qui manque dans nos Goulags."

Le chef russe passa la porte avant de revenir dans l'anti-chambre, pour indiquer qu'il fallait virer dans une piaule ou dans l'arriére cour ceux qui avait trop bu, l'alcool n'étant pas sensément au programme de cette partie de la salle et que donc les gens n'étaient pas sensé avoir bu des boissons illégales sous cette enseigne, apres quoi le soviet' donna son arme à qui de droit en ayant séparé le chargeur et fais sortir la balle de la chambre du pistolet. Il disparut ensuite dans la salle principale, dans le fond plus exactement.

====>Le Salon.

L'homme écoutant son collègue sortit de la veste du gringalet un Browning GP. 35, il ne lui restait plus qu'a noter le nom de ce jeune homme pour pouvoir le lui rendre par la suite car il était bien rare que les gens leur laisse ce genre d'artillerie gracieusement. L'homme se mit alors à parler d'une façon bien trop snobinarde pour n'être qu'un de ses petites frappes qu'ils avait l'habitude de croiser, il allait falloir se la jouer fine cette fois-ci...

"Quel gage de garantit ais-je quant à la véracité de votre offre? Toujours est-il que vous pouvez toujours me dire en quoi consiste votre contrat, vous savez je suis une tombe je ne répètes aucune parole, à part aux morts *il faut bien se vider l'esprit d'une manière ou d'une autre*. Cela dis cette proposition m'a l'air intéressante mais je la considérerait d'avantage lorsque j'aurais une garantit et surtout lorsque j'en découvrirais les closes "

Ce ne serais pas compliqué d'exposer les faits mais que cet homme soit apte à les effectuer serait plus compliqué sans aucun doute. Du moins qu'il ne pose pas trop de questions sur la finalité de tout cela bien qu'en y réfléchissant ce n'était pas très difficile de tout comprendre et encore moins lorsqu'il serait en face de le jeune femme ses charmes lui mettant le feu aux fesses. L'autre des deux hommes s'occupa d'un habitué le laissant rentrer sans grand mal celui-ci lui présentant directement son arme de poing ce qu'il faut bien avouer arranger pas mal de choses. Après l'avoir laissé rentrer il se retourna vers Kiril remarquant que le jeune homme avait profité de l'instant pour mater à l'intérieur et referma la porte rapidement.

"Alors mon gas tu veux profiter des charmes de ces belles? C'est sur qu'elle ont de quoi émoustiller par mal d'hommes et même des mariés."

"Arrête un peu, laisse le écouter notre proposition."

Mais avant même qu'ils ne puissent exposer les faits et les belles idées qu'ils avaient mise au point, un homme dont ils ne pensaient pas être ici fit son apparition. Une apparition qui soit dite en passant fit mal très mal, le Braiski Krug explosa le nez du beau parleur rendant son aspect soit dit en passant encore moins appréciable. Aussi rapidement que le poing était arrivé l'homme fut dessaisit du Browning et avant même qu'il ne puisse rébéquer celui-ci se plaça entre ses dents sous la pression de son "agresseur".

Russe: "Tu voulais faire quoi?! j'ai mal entendus là non? T'en veux une d'occasion? d'occasion de finir avec ce qui te sers de couille à la place des amygdale?! Si j'en surprends encore un à faire ce genre de proposition je lui fais bouffer plus de ferraille qu'il en aura en s'enfilant des épinards! j'espéres que c'est bien clair!"

Notre pauvre homme ne savait plus que dire, et était un euphémisme avec le canon de l'arme s'enfonçant de plus en plus dans sa gorge le faisait souffrir lui coupant la respiration celui-ci essayant de déglutir tant bien que mal. Après s'être montré suffisamment persuasif Viatcheslav retira l'arme de la cavité buccal du pauvre homme avant de donner l'arme à son collègue celui-ci ayant de la chance de ne pas avoir prit la parole des le début.

"N'oubliez jamais ce qui vient de se passer, à la prochaine encartade du genre je vous renvois au pays, c'est pas la place qui manque dans nos Goulags."

Il disparu ensuite aussi rapidement qu'il avait apparu laissant les deux hommes un instant avant de revenir et de leur ordonner de mettre un peu d'ordre à l'intérieur, il fallait bien avouer qu'en l'absence de Pyotr les consignes n'étaient pas toujours appliquées avec minutie. Le garde ayant eut la chance de ne pas subir la colère de leur boss à tous fit oui de la tête avant de se recentrer sur Kiril l'invitant à entrer sans plus de fioriture.

"Vous pouvez rentrer..."

Kirill était soulagé que la terreur du chef de la mafia rouge ne se soit pas abattue sur lui... Lorsqu'il vu se faire démonter un gorille devant lui, il reculât d'un pas afin de ne pas gêner l'altercation entre ces deux hommes... Viatcheslav Dostoïevski savait se faire respecter de ces sous fifre, sinon il ne serait pas la ou il est aujourd'hui. " Quel homme important ce Viatcheslav... " pensait Kirill.
Une fois M. Dostoïevski rentré dans le salon, Kirill abandonnât pour le moment l'idée de coopérer avec les deux gardes, ceci lui semblait trop risqué face à la puissance du chef et ne voulais surtout pas compromettre son avenir pour des broutilles que deux ahuris pouraient lui proposer.
" Nous reverrons votre offre lorsque vous vous serez remis " leur eut-il dis
Lorsque Les deux gardes invitèrent Kirill à rentrer à l'intérieur de ce palace il ouvrit la porte menant au salon et se fut pour lui comme dans un rêve les murs étaient tapissés, les hommes étaient divinement bien habillés et l'ambiance y était chaleureuse... Peut être même trop à la vue de certaines filles, et ne voir aucune personne boire de l'alcool ne le choquait pas car il y avait des lois similaires sur la vente et la consommation d'alcool en Russie dont il a eu vent des son départ du pays et lors de son arrivé à Chicago.
Comme l'alcool et les filles avaient peu d'importance pour lui lorsqu'il a décidé de rentrer dans ce palais il engendrât le pas de Viatcheslav et rentrât dans cette demeure

>>>>> Salon

Qui qu'il ait pu être, cet étranger commençait mal son arrivée en ville et surtout celle dans la noble Cosaque. Il allait sans doute le constater rapidement. En effet, voyant son collégue se faire malmener sans raison ou tout du moins de maniére exessive, le second gorille hurla quelque chose avant de tirer son arme de son Holster, silencieux au canon, le rendre opérationnel et tirer une balle dans la cuisse du nouveau venut. Un bruit de viande traversée se fit entendre lorsque la balle pénétra le cuissot du grand. Dans un tohut-bohut monstre, la porte de la salle s'ouvrit à la volée dévoilant deux hommes armée de Riot Gun que chacun chargea avant de le mettre en joue, visant la tête de l'anonyme ainsi que sa poitrine. Un troisiéme lascar suivit les deux autres et une détonation se fit entendre lorsque qu'une balle caoutchouté partit dans l'un des bras de l'étranger. Le malmené recula précipitement avant de tirer lui aussi son arme de son Holster. Dans la salle, d'autres gorille sortit d'on ne sait où calmaient les clients, plus alarmé de voir le duo de fusil à pompe que d'avoir hypothétiquement entendu le coup de feu largement étouffé.

[Russe]"Ok mon gars, on va te laisser trente putain de seconde pour te casser d'ici et te faire oublier. Sinon je peux te garantir qu'on va repeindre ce putain de Hall avec ta putain de Cervelle."

Lentement et méthodiquement, l'homme commença à compter en russe. La tension dans l'antichambre semblait devenir palpable alors que dans la salle tout reprenait son court. Personne du côté des videurs n'hésiterait à tirer, personne, même si l'un des leur devait y passer. On ne jouait pas avec la mafia rouge, pas comme ça, c'était jouer de sa vie. Chaque homme ici savait ce qu'il risquait en menaçant ainsi un homme, mais apres tout, n'avaient-ils pas le soutient de leur chef? Si, bien sûr. Chacun avait connut l'horreur de leur pays, non pas que la vie y était miséreuse mais pour eux, elle l'était devenus. Chacun des regard qui se posait durement sur l'inconnus avait vu pas mal d'horreur comisent par leur prorpre main. On n'entendait plus que les souffles plus ou moins rauque des présents.

Apparemment les deux gardes de l'entrée n'aimaient pas se faire malmener de la sorte, et ça se faisait ressentir. Une des deux gorilles de la cosaque, sortit son arme. Dimitri n'eut pas le temps de bouger qu'une balle se logea dans sa jambe, dans un bruit à la fois sourd et presque inaudible vu le brouahah de la salle. Cette blessure le fit tomber au sol, a genou de sa jambe valide, le poing à terre. Deux autres hommes de main entrèrent dans la petite antichambre du bâtiment, il étaient, eux, équipés de calibres plus imposant Et l'un d'eux tira dans le bras du russe fraichement arrivé en ville. C'était le bras qu'il le tenait en équilibre, et par réflex il se rattrapa de son dernier bras. il n'avait maintenant plus qu'une jambe et un bras qui fonctionnait, et son visage avec changé en un rictus de douleur sans être trop prononcé, il souffrait le martyr, mais ne montrait que le minimum de la douleur. Il avait assez prit dans les dents dans sa vie. Péniblement il se releva, prenant appui sur sa dernière jambe et laissant pendre son bras le long de son corps, mal en point mais pas mort. Dimitri regardait tous les quatre gardes en hauteur, il les surpassait en taille tous. il se força à regagner cette expression sans émotion qu'il avait depuis le début de son arrivé, et lança aux gardes qui comptait déjà les 30 secondes en russe.

russe: Quatre hommes pour moi, ne me chercher pas, je prendrai un malin plaisir. Je dois voir l'homme qui t'a cassé le nez c'est urgent, et si il ne le refait pas pour le retard que j'ai, je le ferai moi même. Alors retire toi de mon passage et arrêtes de tenir un homme sans arme en joue. Tu serai capable de me rater.

Dimitri était assez intelligent pour savoir que L'homme qui était venu avant dans l'antichambre, avait une certaine autorité sur les quatre personne présentent devant lui. Il pouvait sans doute se servir de lui pour se débarrasser d'eux. Mais dans un sens, Dimitri avait dans le projet, de parler à cet homme, sans doute lui pourrai l'aider.

( désolé pour le cours rp )

Les deux hommes étaient passablement énervés et ce mec n'avait rien fait pour arranger les choses, dans un sens lui avoir tiré une balle dans la jambe avait permit au premier de se soulager un peu de toute cette colère qui bouillait en lui. Il était même des plus satisfait de ce qu'il venait de se passer l'homme bien qu'une armoire à glace pouvant très certainement broyer de nombreuses personnes était là devant lui à genoux comme un chien. Ce qui le fit sourire c'est que comme tout chien féroce il ne semblait pas se rendre compte qu'il était à leur merci ici essayant de mordre à nouveau alors qu'il était à terre.

russe: Quatre hommes pour moi, ne me chercher pas, je prendrai un malin plaisir. Je dois voir l'homme qui t'a cassé le nez c'est urgent, et si il ne le refait pas pour le retard que j'ai, je le ferai moi même. Alors retire toi de mon passage et arrêtes de tenir un homme sans arme en joue. Tu serai capable de me rater.

Les deux nouveaux arrivant le tenant toujours en joue, Vasili, l'homme qui lui avait tiré dessus leva la main pour que ses 3 amis ne fasse pas feu tout de suite, puis gardant tout de même un petit mètre de sécurité il se rapprocha du chien fou faisant voler son arme sous le visage de Dimitry sacahnt parfaitement qu'au moindre geste considéré comme trop brusque de sa part ses compères n'hésiteraient pas à tirer comme ils l'auraient fait s'il ne les avait pas arrêté.

"Mais tu te prends pour qui petite merde, dans ton état c'est moi qui vais me prendre un malin plaisir à te faire cracher tes dents. Tu crois qu'on parle avec le boss simplement en venant ici et en demandant à le voir? Il aurait eut envie de te parler il l'aurait fait en te voyant ici tu ne pense pas? Alors maintenant tu te casse vite fait bien fait sinon tu te retrouvera dans une petite boite toi et ton orgueil tu m'as bien compris sale merde?" (Russe)

Regardant autour de lui Vasili se mit a rire a gorge déployé avant de recentrer son attention sur l'homme en face de lui avant de lui lancer.

"Tu crois que les témoins nous font peur? Ici t'es dans le quartier russe, personne n'a d'ordre à nous donner et encore moins un inconnu comme toi, le lac Michigan est à deux pas alors avant même que l'ont ne te demande, ton cadavre il sera au fond de l'eau entrain de nourrir les poissons" (Russe)

Tout été dit, il ne restait plus qu'à l'homme deux solutions, il parte sans un mot ou qu'il se remette à faire son chien fou plein d'arrogance et dans ce cas la il aurait droit à gouter à une petite quantité de plomb en souplement dans le ventre avant de finir 6 pieds sous l'eau si l'on puis dire.