Magda Benneto

Prénom: Magda
Nom: Benneto
Clan: Italien

Age: 33 ans
Classe: La négociatrice
Métier: Consiglieri

Orientation sexuelle: Hétéro

Crimes commis:
Reconnus: Quelques vols, agression verbale
Non reconnus: Vol, incitation au sucide, meurtre

Description physique: Il n'y a pas de doute, Magda se classe facilement en tant que femme fatale. Bien que ce ne soit pas la déesse de la beauté qui a descendue sur Terre, même si on en doute, elle sait dégager l'un de ses charmes fous. Du haut de son un mètre et soixante-deux centièmes accompagnés de quelques centimètres créés par les talons de ses grandes bottes, l'italienne ne se démarque pas plus des autres femmes de tous genres. Comme toutes femmes, elle aime bien prendre soin de son apparence, surtout pour la classe sociale qu'elle fait partie. Son visage en rondeur se fait détailler par sa crinière cendré qui lui retombe jusqu'à la naissance de ses épaules légères. On pourrait croire par la couleur sombre de ses cheveux qu'il y a certains reflets bleutés dans ceux-ci. Ils sont coiffés généralement de toutes les manières possibles pour que ses cheveux soient remontés à l'arrière. Quelques fois, elle infiltre dans sa tignasse des petits accessoires quelconques parmi tous ses bijoux. Tout de même, ce n'est pas ce qui ressort le plus de son visage, mais plutôt ses yeux émeraudes foncés qui se détachent de son teint basané. Malgré la couleur, on pourrait croire qu'une flamme nait dans l'iris de son regard. Comme une vraie flamme, toutes les émotions se promènent dans ces mirettes, du feu de désir au feu de colère. Personne ne peut oublier ce regard quand vous le croisez juste une fois. Fondant dans son visage typé, le nez de Magda laisse à peine sa présence. Aux petits traits fins, il ne se fait que remarquer quand on la regarde de profil. D'un rouge flamboyant, les lèvres de la jeune Italienne sont d'une proportion ni petite ni grosse. Légèrement pulpeuses, elles afficheront tout un sourire autant digue et fier que charmeur et sensuel. Ses lèvres seront toujours lustrées de rouge à lèvre par sa manie de s'en remettre fréquemment. «Rien n'est plus "accueillants" des mots durs sur des lèvres de velours» comme Magda le dit bien. Pour le reste de son corps, Magda a eu beaucoup de chance de mûrir comme une femme aux belles courbes. Ni grosse, ni maigre, elle a les proportions d'une femme normale avec un léger surplus à la poitrine. Toute la grâce de son corps se passe dans sa façon de bouger en douceur avec un accent de sensualité qu'on doute volontaire ou non. Pour les accoutrements vestimentaires de l'Italienne, des robes élégantes de toutes sortes sont la priorité dans son garde-robe. Qu'elles soient courtes ou longues, qu'elles soient en satin ou velours, qu'elles soient noires ou rouges vifs, Magda sait très bien les aimer les unes des autres. Bien sûr, la jeune femme prend le temps de bien les choisir pour se mettre en valeur dedans ces habits. À de très rares occasions, vous pourriez la voir avec des pantalons. Elle y prend juste recours dans des missions qui demandent une bonne agilité dans les mouvements de déplacement. Une robe élégante sera toujours accompagnée de jolis bijoux, bien sûr. Digne d'une femme, Magda aime bien les bijoux gros et brillants. Elle porte toujours un collier fait en argent ou d'or et des boucles d'oreille retombantes. La seule bague qu'elle portera se trouve à son petit doigt droit, une bague en or avec une petite pierre incrustée dedans, le dernier cadeau de son père.

Description mentalle: Bien, bien, bien, analyser Magda est un jeu fort intéressant pour ceux qu'ils ont bien de la patience pour démêler sa véritable personnalité de ses autres facettes qu'elle utilise. Seules les personnes qui ont réussi à gagner la confiance de l'Italienne savent sa vraie personnalité rayonnante. La reine des langues et communication, pour elle, ces sens sont les plus importants qu'elle ait, surtout sa vue et son ouïe. Ce sont ses deux moyens de travail étant l'une des meilleures placées pour faire les négociation dans le clan. Psychanalyser chaque personne est un jeu qui amusera toujours Magda. Elle prend toujours le temps d'observer de loin les gens avant de leur adresser la parole, par pure méfiance. Son plus gros défaut restera celui-ci. La méfiance de tous ceux qui l'entourent, même ceux qui pourraient être dans son clan. Bien sûr, elle réussit à prendre confiance avec du monde comme Cesaré... Qui pourrait être même la seule personne qu'elle aura entièrement confiance. Chaque geste ou parole qui paraitrait menaçant envers Magda la fera prendre un peu plus de distance de la personne. Parlant de parole, celle-ci est une femme qui saura bien placée ses mots dans les négociations ou tout simplement dans les subtilités à cacher aux autres. Tout comme un joueur d'échec professionnel, elle sait prendre le temps pour évaluer ses paroles pour être en faveur. Toujours sur le plan professionnel, la jeune femme laisse toutes émotions de côté pour faire paraître des fausses. «Il ne faut jamais démontrer quoi que ce soit, même si l'on est sûr de perdre.» comme lui disait toujours son père. Magda renferme une fierté en elle qui la soutient jour pour jour, qui ne la laissera jamais s'abattre par quiconque qui croisera son chemin. Pour la déstabiliser?! Il faut lui faire voir de toutes les couleurs. Elle est prête de mettre beaucoup de choses en jeu pour en sortir gagnante, sans abuser de la survie de son clan et de sa vie. Bien sûr, si cela peut l'aider, elle a tendance à se créer une carapace de sensualité lors des négociations pour tenter sa "proie". En très rare occasion, elle serait prête à utiliser la brutalité, mais ce n'est qu'un atout qu'elle joue en dernier. Ce n'est pas que l'Italienne soit contre la violence, le problème, c'est que ce moyen n'est pas très recommandé pour faire affaire durant les négociations.

Parlons maintenant de Magda dans sa vie plus courante. Avec son caractère plus réel, on pourrait la croire aussi banale que les autres femmes de partout. Elle partage une bonne vie sociale avec le monde qui l'entoure, malgré sa méfiance. Elle parait avec des caractères beaucoup plus doux et aimables. Sans trop le vouloir, Magda crée une surprotection envers les personnes qu'elle tient précieusement. Elle cherche aussi à pouvoir le offrir tout ce qu'ils veulent pour chercher leur bonheur. Par contre, elle a aussi son petit caractère à elle. Elle n'a pas peur de dire quoi que ce soit à une personne qui a été malpoli envers elle ou quiconque. Avec cela, l'Italienne a plus tendance à parler par la subtilité, à toujours détourner les sujets sans parler directement. . Avec cela, l'Italienne a plus tendance à parler par la subtilité, à toujours détourner les sujets sans parler directement. Tout avec ça, peu de personnes pourrait raconter ce que fait Magda dans la vie, son passé ou même ses projets du futur. Par la simple bonne raison, elle ne parle presque jamais d'elle-même. Elle est du genre à se donner des limites quand tout dérappe.


But/Rèves: Faire la meilleure honneur à son père

Histoire: /prochain post/


Attributs:

Force: 4
Vigueur: 6
Agilité: 5
Intelligence: 6
Volonté: 6
Perception: 6
Charisme: 7
Chance: 5


Dévotion envers le clan: 8

Points de vie: 60

Compétences de classe:
* langue étrangère
* Éloquence
* Armes à feu
* Séduction
* Baratin
* Falsification


Inventaire: 500/1300
* Médi-Pack : 200pts
* Briquet, Zipo : 5pts
* Emetteur/Récepteur (radio, ou autres...) : 150pts
* Chargeur arme à feu vide : 10pts
* Silencieux pour armes à feu : 30pts
* Cran d'arrêt : 20pts
* Remington Derringer : 70pts
* Lampe torche : 5pts
* Jumelles : 10pts

Histoire: C'était une journée monotone de l'automne, le trois novembre 1898 plus précisément. Comme tous les jours de l'année, un nouveau né arrivait dans le monde, une petite fille aux origines italiennes. Jeune naissante qui attérit dans une famille constituée de déjà trois jeunes garçons et des deux parents dans la petite ville Santa Maria di Licodia en Sicille. Magda fut son prénom en l'honneur d'une femme que son père portait dans son coeur. À la suite de sa naissance, elle eut deux frères, des jumeaux précisément qui étaient plus jeunes de deux ans. Même si la gamine était entourée de cinq frères, elle n'avait pas de misère à vivre avec eux étant la petite fille à son papa. Si quelqu'un était bien protégé dans la famille Benneto, c'était bien la petite Magda. Son père la protégeait de tout, sans lui bloquer sa vie pourtant. Tous ses petits soucis disparaissaient par son père qui lui offrait ce qu'elle voulait, sans trop exagéré non plus comme ils n'étaient pas une famille des plus riches, mais tout de même bien aisée. Depuis toute petite, elle aimait bien observer Vasco, son père, quand il travaillait tout un après-midi à la maison. D'ailleurs, il était négociateur dans le clan de mafia. Bien sûr, c'était son boulot plutôt "caché", dans la vraie vie, il n'était qu'un simple notaire. Ce qui fascinait la petite Italienne, fut surtout les sournoiseries dans le travail de négociateur. Comment faire insister le monde dans le jeu, avoir la meilleure partie des négociations, la manipulation à l'état pur. Bien qu'elle n'ait compris pas toujours le but d'enrôler les gens dans sa tête d'enfant, elle savait que ce n'était pas donné ces stratégies. Dans le bureau de son père, la gamine pouvait passer plus de trois heures sans dire un mot ou s'ennuyer. Elle restait là assise à côté de son père dans son silence et tenant la petite poupée de porcelaine dans ses mains. Elle aimait découvrir, elle aimait savoir. Ce qui apportait plus d'attention et de fierté sur elle de la part de Vasco. Rien de mieux pour un père que voir sa génération qui continue les prestations de la famille. Par contre, tout ce qui est bien, a toujours un inconvénient à cacher. Les frères de Magda, surtout les jumeaux, dégageaient une jalousie maladive à voir tous les mérites sur elle. Ils n'aimaient pas le fait que ça soit la fille de la famille qui a le droit d'être mieux éduquée qu'eux autres. Dans ces années, une femme était surtout faite pour rester à la maison et de s'occuper du ménage et des enfants.

Bizarrement, même à la petite école, Magda se fit une réputation du tonnerre pour une fillette. Elle avait le sens du leadership à utiliser ses tours de passe-passe que son père entreprenait pour ses négociations. Pour un enfant pas plus qu'âgé de sept ans, celle-ci reflétait un côté plus étrange. Elle avait beau être physiquement candide et naïve comme tous les autres gamins, intérieurement, on avait l'impression d'affronter une tête dure qui mûrit plus vite que les autres. La petite Sicilienne savait comment échanger son repas contre un jouet d'un autre enfant à l'école. Il ne fallait qu'envoyer ensuite l'un de ses grands frères pour aller récupérer le tout. Elle arrivait aussi à convaincre la maîtresse pour pouvoir sortir des cours quelquefois, il ne suffisait que de faire une grosse crise de larmes et quelques baragouinages avec cela. La jeune fille continua pendant plusieurs années à utiliser ses tactiques, mais bien sûr, il lui arriva quelquefois de se faire prendre et avoir quelques ennuis par la suite. Quand Magda atteint ses douze ans, elle finit d'aller à la petite école comme toutes les autres jeunes filles qui devaient apprendre à devenir mère au foyer. Ça ne plut pas vraiment à l'Italienne, mais elle ne pouvait rien rouspéter, une gamine de douze ans n'a aucun pouvoir sur les hommes et c'est ce qui la frustrait le plus. Passant plus de temps à la maison avec sa mère, il découvrit aussi la présence d'un autre gamin qui vivait dans la petite maison à côté de chez elle. C'était un petit asiatique qui n'était pas plus âgé que neuf ans. D'après ce qu'elle avait entendu, celui-ci était l'enfant du garde du corps à son père. M. Yanjun (elle n'avait jamais connu son prénom à cet asiatique) était le garde de son père depuis quatre ans environ et jamais Magda avait su que celui-ci avait un gosse. Malgré sa méfiance envers les étrangers, il lui arrivait de temps à autre d'aller voir le gamin et de lui jaser. En fait, jaser était un grand mot comme celui-ci ne comprenait aucun mot italien, à l'exception des plus courants. Par contre, Magda était une grande têtue et avait toujours voulu pouvoir lui parler sincèrement, pas être obligée de faire des signes pour qu'il comprenne. Elle allait souvent revoir son père pour qu'il lui apprenne la langue des Yanjun, le chinois, plus précisément. Par chance, elle apprenait vite et le fait d'essayer de communiquer avec les asiatiques l'aidait beaucoup. Elle sut comment manipuler un peu plus Jubo, le petit asiatique, en lui parlant la langue de celui-ci.

Bien que la vie de Magda était plus palpitante que celle des autres adolescentes, il y aura toujours des hauts et des bas. Après une fragilité de santé, Vasco fut placé en quarantaine dans l'hôpital le plus prêt possible en 1912. Les médecins ne savaient pas quelle était sa maladie, mais ils savaient bien que ses années à vivre diminuer peu à peu. La famille Benneto commençait à avoir de la misère à faire vivre son monde. Les grands frères de Magda travaillaient durement pour gagner le plus possible d'argent pour ne pas devenir pauvre. Ils allaient souvent rendre visite à leur père, surtout Magda. Elle passait des après-midi entiers à être assise à côté de son lit et à l'observer. Comme quand elle était jeune et qu'elle le regardait travailler pour les négociations. L'Italienne avait remarqué aussi que M. Yanjun était toujours là aussi pour le surveiller en tout cas, un vrai homme d'honneur et dévouer à son service. C'est après plusieurs mois que le père Benneto tira sa vie à sa fin. À l'autopsie du corps, les médecins découvrirent bizarrement que l'homme fut empoisonné à multiple reprises. Voilà pourquoi sa vie avait arrêté plus tôt que prévu. Sans faire de recherche véritable, l'accusation tomba sur le garde du corps, personne ne le surveillait comme il était responsable de la surveillance du malade. De plus, si ça l'aurait été quelqu'un d'autre, sûrement que Yanjun l'aurait vu faire. Après deux mois, l'asiatique fut exécuté pour son meurtre. Magda refoula une rage en elle, tellement immence qu'elle ne faisait plus confiance à personne. « Les gens ne sont que des traitres et sachez-le, mon cher! » Voilà des répliques que la Sicilienne utilisait couramment. Elle se mit à détourner de la vérité des paroles des autres, comme s'ils mentaient tous tout le temps, sans exception. D'ailleurs, elle-même, elle usait de cette tactique chaque jour. Il était très rare qu'elle faisait face à sa réalité. Elle enrôlait le monde pour savoir le maximum de détail possible sur tout et rien. Après tout, elle n'allait pas dire à tout le monde, ce qu'elle faisait vraiment dans la vie comme cette jeune femme avait décidé de reprendre les pas de son père. Continuer la vie de négociatrice lui plaisait plutôt et elle connaissait une bonne superficie des astuces que ceux-ci prennent dans leurs contrats et tout le blabla qui l'entourent. D'ailleurs, quand la guerre éclata à travers tout le pays, plusieurs Italiens dont les deux grands frères de Magda partaient pour se battre. Ce qui était fâcheux pour la mafia qui perdait plusieurs de ses hommes et l'un des vieils amis de Vasco dans le clan savait très bien que Magda avait une forte connaissance pour les négociations. Il la voyait souvent faire et il savait très bien qu'elle était une personne de confiance. L'homme en parla au chef du clan et il tenta de faire entrer Magda dans la mafia, ce qui fut un honneur pour elle, car elle voulait absolument faire de quoi de sa vie. Faire la femme de ménage et berceuse d'enfant ne lui plaisait guère et elle voulait montrer ses vraies convictions aux hommes. Voulant découvrir ses talents de baratin et d'éloquence, ils lui demandèrent de dévoiler les faits du meurtre de son père. Voyez-vous, d'après quelques recherches, le clan découvrit que ce ne fut pas le garde du corps le tueur, mais bien quelqu'un d'autre. La mission de Magda était de découvrir avec la communication du monde qui était le vrai responsable. La tension de la guerre rendait les gens encore plus fragiles à faire avouer. D'ailleurs, la Sicilienne aurait préféré rien savoir des meurtriers quand elle sut que c'était ses deux jeunes frères, maladifs de jalousie... « Les gens ne sont que des traitres et sachez-le, mon cher! »...

La guerre s'appèsa pour de bon depuis quelques années, Magda était à présent âgée de vingt-quatre ans. Ça faisait plusieurs années qu'elle faisait les petites tâches de son clan, quelques fois, ils venaient la consulter pour des décisions de négociations, mais c'était très peu. Ses deux grands frères furent morts par honneur à la guerre et bizarrement, ses deux petits frères s'étaient volatilisé du décor. N'étant que la dernière héritière, l'Italienne eut la grosse maison dont elle a vécu toute sa vie. Sa mère vivait toujours avec elle, mais rare les fois qu'elle plaçait du temps avec sa maternelle. Le petit asiatique de son enfance, Yanjun Jubo, avait lui aussi suivi les pas de son père. Il fut le garde du corps à Magda, même si celle-ci a une très grande crainte de lui, elle n'arrivait pas à lui pleinement confiance. Un bon jour, Magda entendit des rumeurs sur un homme de son clan qui prenait de plus en plus d'empleur. Ne pouvant s'empêcher, elle prit recherche sur ce fameux Césaré du prénom. Elle ne savait pas si c'était une intuition ou non, mais elle décida d'aller voir cet homme pour chercher... quoi? Aucune idée, mais il avait bien sûr quelque chose qui la fera avancer avec lui. Le 27 mai, Magda réussit à dégoter l'adresse de celui-ci et elle partit sur le coup de tête de se rendre jusqu'à lui. Sans hésiter, elle cogna à la porte de la maison et ce fut un garde qui lui répondit. L'Italienne demanda de voir Cesaré, mais bizarrement, l'homme ne fut pas jovial de son idée surtout qu'elle ne lui disait pas ce qu'elle venait faire ici. Perdant patience, comme une folle, elle se mit à pousser violemment l'inconnu et essaya de pénétrer dans la maison. N'étant pas une championne sur des chaussures à talon haut, le garde la maîtrisa en la rattrapant. Magda se mit à hurler de colère, elle lui cria des bêtises et lui demanda de la lâcher et en quoique c'était important d'aller voir Cesaré. Elle se débâta le plus possible qu'elle puisse en lui donnant à la fois des coups avec ses talons. Elle vit de proche une matraque qui allait l'assommer, mais l'intervention d'un homme fut arrêté le garde de tout geste. Sans aucun doute, c'était Cesaré et elle fut plutôt secouée quand celui-ci accepta de la voir. Victoire! Après une fouille, elle put se rendre jusqu'au bureau de celui-ci. Son coeur débattait intérieurement, mais son apparence restait toujours de marbre. Après de s'être présentée, elle se mit à le questionner sur lui, comment avait-il passé des basses tâches comme elle et qu'il était à présent un haut gradé. Une jalousie envers lui? Peut-être, mais ce n'était pas son but premier. L'idée qu'il n'était que le seul à pouvoir la faire grader, Magda se mit à faire comme à toutes autres personnes, elle se mit à le séduire et faire son baratin pour l'avoir de son bord. Pourtant, rien ne semblait marcher sur lui, était-il si froid à elle? C'est après un certain temps que la jeune femme réussit à décrocher une promotion de sa part. Ce n'était pas ce qu'elle attendait vraiment, mais assistante lui donnait plus de possibilité qu'être un simple pion d'échec pour la mafia. Ce qui ne l'empêchait pas de continuer sa séduction qui d'ailleurs, semblait avoir une petite vérité avec lui, mais têtue comme toujours, elle n'avoue rien de tel.

En 1931, après la chute d'Al Capone, la majorité de son clan partit aux États-Unis pour Chigaco précisément. Sans être vraiment obligée, Magda suit le mouvement, mais surtout que Cesaré y allait aussi pour avoir un meilleur grade. Ne sachant que parler l'italien et le chinois, elle fit plusieurs cours pour apprendre l'anglais, ce qui l'avantageait pour essayer de se faire une meilleure place aussi. Magda vit Cesaré devenir plus grand encore, ambassadeur d'Italie n'était pas n'importe quoi. Elle se força encore plus pour le rattraper, comme si elle faisait une petite compétition et voulant montrer ses valeurs aussi. Par chance, Cesaré ne semblait pas l'avoir oublié, il la nomma en tant que Consiglieri. LA place qu'elle rêvait depuis un certain temps, elle ne pouvait pas être plus haut que ce grade et puis, elle était encore plus proche de Don de cette manière. Elle négocia la plupart des trafics d'arme que le clan faisait et dû s'allier avec les Américains, même si ça ne lui plaisait pas toujours. De toute manière, elle pouvait un peu faire confiance à Jubo qui était toujours à ses côtés comme garde du corps.

Arff je pense qu'une relecture ne sera pas de trop pour virer de grosse fautes et des expression canadienne comme pogner xd et après ce sera bon pour une validation.

Voilà, j'ai corrigé mi amor ^^.. Il ne devrait plus avoir de faute, mais pour les expressions... aucune idée xD

*boude Don à présent d'avoir dit canadienne*

Beuuuh mais non faut me faire du boudin et hop validé je voit plus trop d'expréssion québécoise