>>>>L'antichambre
Le spectacle commençât dès ces premiers pas dans le salon de La Cosaque de Irkoutsk, et celui ci dépassait tous ces rêves. la grandeur de cet salle, sa beauté, et sa constitution le rendit béa d'admiration face à la scène qui se déroulât devant lui.
A sa gauche on pouvait apercevoir une rangée de table sur lesquels il y avait au moins une femme par homme, mais lorsque l'on voyait certains homme on se doutait que cela ne pouvait pas être les leurs... Il y a certes des exceptions mais lorsqu'une dizaine de personnes à la panse débordante avaient la possibilité de s'assoir à côté de sublimes créatures comme celles la nous ne pouvions en déduire qu'une seule choses : ces hommes devaient être fortunés pour pouvoir s'offrir les services de cet institut, et ces femmes n'étaient donc à priori pas les leurs... Pourquoi les hommes sont ils si faibles face aux charmes de ces femmes?
Ensuite son regard se déportât vers le centre de la salle où était dessiné une allée de tapis pharamineux qui pouvait amener au comptoir où quelques individus y étaient installés et avaient l'air, de par leurs discutions avec le barman, des habitués de la maison de plus nous pouvions remarquer qu'à certains moment l'homme posté derrière le bar servait quelques boissons de manière discrète.
"Que pouvais bien être ces boissons?" se demandât Kirill.
Le spectacle qui c'était déroulé devant lui n'était enfaite qu'une supercherie et à cet instant Kirill se demandât si cet endroit était compatible avec ce qu'il était venu chercher ici. En voulant y trouver un contrat il n'y trouvât que des filles faciles avec lesquelles toutes les fantaisie étaient permises... L'envie de s'évader de ces lieux ordonnât à son corps de s'en aller d'ici et en se tournant vers la droite pour faire demi tour afin de trouver la porte de sorti il vit la dernière partie de la salle, la plus belle, la où était installé des magnifiques banquettes, des canapés en cuir rougit où nous pouvions trouver une proportion d'homme assis sur celles ci, et accompagnée de fille, beaucoup moins important que précédemment. Ceux-ci paraissaient à ses yeux avoir plus d'intérêt que les autres hommes a l'opposé de la salle. Les tables près de la porte étaient toutes occupées et il lui fallut avancer vers celle à proximité du fond de la salle, pour trouver de quoi s'assoir, sans savoir que celles-ci étaient en général réservées a l'élite de la Cosaque, ceux qui étaient les plus proche du chef de la mafia rouge: Viatcheslav
"Excusez-moi de vous déranger messieurs, puis-je m'assoir sur ces tables, celle la, à proximité des votre?" demandât Kirill.
"Ni restez pas longtemps!" lui ont-ils rétorqués.
A la suite de cette brève discussion Kirill offrit 3 café à la table afin de les remercier d'avoir répondu a un jeune gringalet fraichement arrivé a la Cosaque, il s'empressât de rejoindre sa table pour ne pas les déranger d'avantage. En la rejoignant il interpelât de nouveau le barman qui s'était avancé jusqu'à la table pour servir les trois hommes afin de lui dire discrètement: "Pouvez-vous m'apporter un café et l'addition pour les trois autres à cet table sil vous plait"
Ce dernier lui fit un hochement de tête pour lui confirmer avoir pris connaissance de sa commande...
En s'essayant il aperçut vers le fond de la salle un homme, pour ainsi dire l'homme qui avait écrasé le vigile devant lui dans l'antichambre. Il était probablement assis sur le plus beau des canapés présent dans le salon, un trône, avec un de ces fameux cigares, que s'arracher le plus grand entrepreneur, à la main... Au yeux de M.Saïdseff cet homme avait vraiment quelque chose de différent, comme un roi veillant sur ces sujets... Kirill s'assit et les deux hommes se regardèrent...