Prénom: Kirill
Nom: Saïdseff
Patronyme [Russe seulement] Vladimirovitch
Clan: Russe
Age: 27 ans
Classe: Assassin
Métier: Traducteur Anglais-Russe
Orientation sexuelle: Pour lui le sexe est une aberration et n'a pour unique but la procréation, n'éprouvant aucun plaisir à cette pratique primitive il se dit toute fois hétérosexuel afin d'être accepté par ces pairs
Crimes commis: (Crimes reconnus ou encore inconnus de la Police.)
En Russie
3 homicides dont un commis involontairement (cas de légitime défense est reconnut des autorités russes) les deux autres étant des commandes de la part de bolchéviques.
A Chicago
3 homicides dont un non reconnu, la mort de se dernier n'arrive toujours pas à l'heure actuel à être élucidé par les autorités légales en place, les deux autres étant des règlements - personnel - de compte...
4 contrats... ( 5 homicides )
Plusieurs incivilités sur les voies publiques telles que l'ivresse, agression physique et verbal (connus)
Tatouage et signification [Russe]:
Kirill est recouvert de divers tatouage comme les étoiles qui lui ont été fait par des opposants au bolchevisme, sur les deux genoux (voir explication plus loin).
Un file de fer barbelé sur le front (il le cache néanmoins par ça chevelure).
Une rose ouverte arbore ça poitrine droite pour montrer son passage en prison avant la majorité.
Sur sa hanche parcourt également la tête d'un enfant pleurant ces parents qui l'ont abandonné.
Enfin il porte sur son abdomen la représentation d'un homme nu soulevant une croix.
Il ne porte aucun tatouage faisant référence à des crimes sexuels.
Description physique:
Hormis ces magnifiques yeux bleu clair qui ferait tomber à ces genoux n'importe quelles femmes, Kirill Saïdseff est un homme d'âge mur, de taille moyenne soit un mètre soixante quinze pour un russe. Son visage quant à lui est orné d'une chevelure mis longue et noire. Sa carrure est digne de respect, une musculature non trop développée afin de ne pas lui faire perdre trop de souplesse mais elle est toute fois présente et naturellement dessinée (ce qui peut être remis en cause chez certains mangeur de pizza et de pâtes...). Nous l'aurons conclut Kirill est le portrait type du parfait romantique, cet atout physique lui est particulièrement utile dans son " métier " afin d'attirer ces victimes et mener ces contrats à bien.
Après quelques années dans la ville de Chicago, Kirill a appris à se fondre dans le décor en parcourant ainsi les magasins les plus riches et les plus côtés afin de se procurer les tenues les plus élégantes et adaptées, Il faut l'admettre: les tenues de Sibérie ne sont pas des plus convenable dans cette étouffante ville... alors qu'un petit complet, pantalon de ville légèrement élargis sur le bas, quelques chemises entrouvertes mais toujours très bien portées et délicatement rentrées dans le pantalon les deux reliés d'une ceinture avec une boucle en or, une veste (ou caban en cas de mauvais temps) il est obligé de porter une chevelure mis longue afin de pouvoir masquer le tatouage qu'il porte sur son front.
Dans la rue Kirill Saïdseff passe pour homme d'affaire respecté et respectable, d'ailleurs il faut mieux qu'il soit respecté... Il est du genre impulsif voyons ceci dans la partie " Description Mental "
Description mentale:
Comme on le dit pour certaine personne, il est du genre à avoir un moral d'acier, mais tout le monde à ces petites faiblesses même s'il n'aime pas en entendre parler... La seul chose qui puisse le déséquilibrer c'est l'impolitesse il pourrait tuer quelqu'un dans la rue si celui ci a eut la mal chance de le pousser sans s'excuser, mais il sait se contrôler, cela dis certains l'ont qualifiés de paranoïaque mais bizarrement ils ne sont plus, tous, la aujourd'hui... Il ne supporte pas d'être contrarié par ces sous fifres ou ces égaux.
A première vue c'est quelqu'un de tout à fait fréquentable, très agréable tant qu'il est respecté mais cela n'est enfaite qu'un gigantesque masque cachant son effroyable manque de compassion envers les autres êtres humains qui ne sont pas de sa "famille". En effet il ne tue ou ne fais des actions n'allant a l'encontre que des hommes, ou des femmes n'ayant pas d'enfant, s'il doit se charger d'une famille il ne laisse aucun survivant pour ne pas laisser des enfants a leur propre sort, nous voyons donc bien qu'il y a une carence en compassion dans cette âme noirci par un tragique passé mais qu'elle n'est pas totalement annihilée...
Dernière chose Kirill faisait partie de l'ex bourgeoisie tsariste il a pu recevoir une éducation lui offrant l'apprentissage de l'anglais qu'il continua en prison mais garde une culture général encore médiocre.
But/Rêves: Servir une nouvelle famille de l’Organizatsiya.
Histoire: Braillement... vieille femme... Voilà comment commence mon histoire je m'appelle Kirill Vladimirovitch Saïdseff et selon un papier laissé par mes parents génétiques dans mon berceau je suis née le 2 février 1905 ceci est la date approximative de la première tentative de prise de pouvoir par les communistes, je n'ai jamais pu connaitre mes parents génétiques sont-ils mort aujourd'hui? M’ont-ils abandonnés pour sauver leur vie? la mienne? Je ne sais pas, en tout cas je leurs en veux... oui je leurs en veux de m'avoir laissé ici, pourquoi moi? Pourquoi dans un foret? Pourquoi en pleine nuit?
C'est à cette vieille dame que je dois tout...En effet, elle m'a recueillie, elle s'appelle Tatiana je porte le patronyme de son mari Vladimir je n'ai jamais pu connaitre le prénom ni le nom de mes vrais parents; alors je porte le nom de ce couple de vieillard qui m'a accueilli seul mon prénom a soit disant été choisi par mes parents génétiques.
J'apprenais peu à peu que ma famille d'adoption était une famille de la bourgeoisie tsariste et que c'était grâce à cela qu'ils ont pus m'apporter l'apprentissage de l'anglais afin de trouver un travail dans le commerce avec les États-Unis. De plus je comprenais peu à peu que j'étais matériellement privilégié je vivais dans une bâtisse en bien meilleur état que celle des autres enfants de mon entourage... Quant à nos plats ils étaient tous chauds, mais eux avaient à peine de quoi se chauffer. En résumé j'avais une vie - de rêve - toute tracée...
Mais une nouvelle tragédie s'abat sur le pays, en 1917 éclate une nouvelle révolution bolchévique, mais cette fois ci triomphante - malheureusement - ils avaient pour ordre de ne laisser en vie aucun bourgeois ni de trace de l'empire du Tsar... mais ce n'était rien face aux pilleurs... Ils dévastaient et violaient toutes traces de vie sur la sole russe ils ne leurs avaient pas fallut énormément de temps pour comprendre qu'il y avait de quoi piller, violer, et tuer dans notre demeure Tatiana et Vladimir m'ont évités de tomber entre leurs griffes avides de sang en m'aidant à m'enfuir. En ayant réussi a leur échapper une première fois je me retrouvas seul une fois de plus, mais je fus dans l'année de mes quatorze ans une nouvelle fois victimes d'un de ces pilleurs, nous n'arrivions d'ailleurs plus, dans le village, réellement à distinguer qui était des bolchéviques, et qui était des pilleurs criminels, toujours était-il qu'ils n'aimaient pas avoir de pratiques sexuelles sur un cadavre, mais plutôt sur des enfants et le pilleur ayant abusé de moi n'a certes pas pu assouvir ma vengeance - et d'ailleurs rien n'a encore pu le faire - mais il a toute fois payé, je l'ai assassiné de la plus atroces manières celle qui lui correspondrait le mieux je lui ai transpercé la gorge... Le comble pour lui c'est que j'ai utilisé pour faire cela le poignard qu'il avait laissé à porté, sur la table de chevet lorsqu'il s'est déshabillé... Mais pouvons nous passer à autre chose s'il vous plait?
Coup du sort ce qui était considéré comme pilleur pour nous victimes de la révolution n'étaient pas considérés comme tels mais plutôt comme des bolchéviques respectables, et devant être respectés. Étant trop jeune pour la peine capitale la police politique décidât de m'incarcérer à perpétuité (c'est une mise à mort sur le long terme...) pour avoir osé éliminer un de leur camarade, mais combien de russe eux ont ils tué? J'aurais préféré la mort et je haïssais de plus en plus chaque jours qui passait, jusqu'à en perdre la notion de temps, imaginez vous fêter votre quinzième anniversaire dans une prison sibérienne? Le froid tenaillant de plus en plus vos faible os d'adolescent... Ici on ne survivait pas, on essayait de survivre la était la grande différence et voilà ce qui nous liait tous, nous devions nous entraider pour essayer de survivre, chaque miettes de pain, germes de pomme de terre étaient un réel trésor je vous laisse passer notre euphorie lorsque que nos postes de travailles tournaient et que nous allions en cuisine... Les prisonniers d'ici me disaient souvent que l'entraide dans cette prison était unique et n'avait pas lieu dans les autres milieux carcéraux, c'était grâce à cela que l'on y arrivait.
Vous savez on apprend énormément lorsque l'on côtoie des prisonniers a perpétuité notamment la douleur physique faites par ces maudits tatouages l'encre étant fais a base d'urine et de charbon, l'aiguille était peut être la moins répugnante des deux composantes du tatouage, car elle était "désinfectée" par le feux, je ne sais toujours pas comment dieu m'a gardé des risques d'infections et de morts. En tant qu'orphelins les condamnés m'ont offert le dessin d'un enfant pleurant sur ma hanche, une rose m'a également était dédiée en l'honneur d'un emprisonnement en tant que mineur. C'est réellement impressionnant la qualité de cet art dans nos prisons malgré le matériel rudimentaire utilisé. Les deux étoiles sur mes genoux et le fil barbelé qui jalonne mon front m'ont été fait par des anciens opposant au bolchevisme, le fil de fer pour dire que cette prison serait me dernière demeure et les étoiles m'interdisait de m'agenouiller devant quiconque; qui plus est si ce dernier est un "rouge". Cette torture ou pratique carcéral ayant cessée à l'âge de mes 18 ans mon apprentissage de la vie n'était quant à lui pas fini, il me fallait apprendre à me défendre par mes propres moyens ce qu'ont finit par m'apprendre les opposants, l'art de tuer sans laisser de traces, avec des armes de jet comme avec des armes rudimentaires de mêlés ( des pioches, pelles...) mes cibles dans un premier temps étaient constitué de ferrailles je devais améliorer mon visé pour pouvoir utiliser des armes de jet en visant des boites de converse récupérées en cuisine, j'acquis dans cet prison une précision excellente, ensuite je devais m'entrainer aux attaques furtives contre mes maitres non mortelle bien entendue, je n'allais pas les tuer... comment aurais-je fais pour survivre sinon?
Les prisonniers, mais surtout les gardiens carcéraux se rendirent très vite compte de mes agissements car il y avait eu quelques fuites au sujet de mon entrainement particulièrement à cause de Jdanov qui n’a pas put s’empêcher de se venter de ce qu’il avait créer : moi, j’étais devenu son garde du corps ( ce dernier commençait à devenir vieux) pour ainsi dire son esclave je n’arrivais pas à m’en défaire il avait une pression tellement forte sur moi que je ne pouvais aller contre son grès, il se considérait comme mon vrai père, celui qui m’avait tout appris. Du moins jusqu'au jour ou je me rendis compte de l’emprise qu’il avait sur moi et que ce n’était pas le seul professeur de ma formation… Nikita était également là pour moi mais contrairement à Jdanov celui-ci n’était pas un individu hautain et imbu de sa personne mais paradoxalement c’est grâce au manque de discrétion de Jdanov que j’ai pu sortir de tôle… En effet nous sommes à l’aube de mes 22 ans et je reçois en prison mon premier contrat, celui-ci m’a été donné par ce genre de personne tous à fait banal dont l’on oubli le visage et le nom même si l’on aurait cru s’en souvenir indéfiniment 5 minutes auparavant néanmoins et d'après ce que m'ont dis les employer carcéraux que ce contrat venait d'un des sous fifres du secrétaire du parti ( vous savez les ordres ne sont pas donnés directement ça évite de remonter à la source) et en guise de paye je recevrais le droit de quitter le pays définitivement (il m’est encore impossible a l’heure actuel d’y retourner, mes identités sont enregistrer dans une base de donnée, ils ne veulent plus de moi en Russie…) pour joindre les États-Unis d’Amérique, comme s'ils voulaient me punir ( car les USA ont toujours étés les ennemis des soviétiques) ci-joint à ce contrat se trouvait un billet pour un bateau ainsi que plusieurs billets de train et différentes clefs pour m'en aller de se cagot. Les closes de ce contrat était simplement d'éliminer une famille Russe dont l'on supposer faire partit de trafic allant à l'encontre du régime communisme…
Le 17 octobre 1928 à 22h26 je pouvais enfin mettre, pour la première fois depuis douze ans, les pieds sur le sol en tant qu’homme libre, même si 2 heures auparavant il m’a fallut abattre cette famille pour gagner cette liberté, elle était constituée d’un homme d’âge mur, dans la quarantaine, chétif, le visage abimé par la faim, ces mains quant à elles étaient usées des différents travaux de la terre…Sa femme, dans la trentaine était d’une maigreur effrayante, ils n’avaient rien d’opposant au communisme, j’avais même l’impression qu’ils en soufraient, cela dit aucun des deux n’ont eu du mal à tomber sous le poids de mon poignard , j’avais un contrat qui pouvait m’offrir un bien précieux… Je n’allais pas le refuser. Une fois le couple tué je m'assis devant l’entrée de cette maison, pendant de long moment, en pensant à ce que je venais de commettre… Tous les contrats valaient ils la vie d’un ou plusieurs hommes? Pourrais-je vivre de cela? Le meurtre deviendra-t-il mon futur gagne pain ? Étonnement je réfléchissais pendant de long moment à ce que je venais de faire mais je me suis très vite rendue compte que dieu m’avait quitté la nuit de mon abandon et je ne ressenti peu a peu plus aucun remord ni sentiments me permettant de tuer sans craindre un quelconque jugement.
Mais à ce moment je devais quitter cette maison et partir à la découverte de ma nouvelle terre d’accueil. Je me rappelais alors que mon professeur m’avait parlé durant l’apprentissage de l’anglais de ce gigantesque continent qui peut rapidement être atteint par le Nord-est ( étant en Sibérie je n'étais pas très loin) de la Russie selon lui c’était le continent de l’impossible ou tout pouvait se réaliser. Je me mis en marche vers la gare la plus proche afin de rejoindre le plus rapidement possible le nord-est Russe.
La haut m’y attendait un bateau en partance pour l’Alaska et il me fallut encore 4 jours pour arriver aux États-Unis plus précisément dans la ville de Chicago. Je compris assez vite pourquoi l’on avait décidé de m’envoyer ici, un trou perdu ou règne la drogue, la prostitution, les ventes d’armes, les meurtres... bizarrement je m’y sentais plutôt bien malgré ma fraiche arrivée, mes tenues sibériennes, et mes magnifiques tatouages a l'urine de taulard. Mes autres tatouages comme l'homme nu qui porte une croix (signifiant: je suis née libre, je mourrais libre) ont été fait ici, c'est plus sur. J’allais de petit emploi en petit emploi, trouver du travail ici était aisé et les conditions de vie rester nettement meilleur que dans ma prison. Au bous d’un an de vie à Chicago et grâce à l’anglais j’ai pu demander la nationalité américaine, j’avais un travail et je parlais correctement leur langue pourquoi me l’auraient-ils refusés ?
( Les modifications apportées étant trop important j'ai du continuer le BG plus loin merci de votre compréhension. )