Un moment en solitaire ?

Le parc ... C'est vraiment un endroit qu'un certain blond aime tout particulièrement fréquenter. Pourquoi ? Parce que justement peu de personnes prennent le temps d'apprécier une beauté contemporaine inexistante. C'est clair que dans une petite ville paumée, sans grand intérêt, mais dotée d'une végétation abondante, ça aurait put être plus ou moins jolie, le tout dépendant de celui ou celle qui utilisera ce terme à un escient mélioratif. Mais là, ce n'était pas pareil. Pas du tout. Déjà, il y a ce manteau blanc qui vient recouvrir toute cette espace de sa morsure gelée, cet état d'eau juste là pour nous faire mettre manteaux et écharpes, au cas contraire, pour nous faire tomber malade. Il y à certaine personnes qui ne tombent quasiment jamais malade, alors à force, ils se croient immunisés, ne sortant plus qu'avec un léger haut un jean et des chaussures. C'est là que la neige vient leurs rappeler qu'ils sont très bien capable de chopper on ne sait quoi comme tout le monde, c'est juste qu'ils avaient un peu plus de chance que le reste de la populace. Gabriel, en ce début de soirée plutôt bien choisit, avait décider de sortir un peu de chez lui pour aller affronter les basses températures de la ville, et ce dans le parc public, hors de la zone américaine. Zone qu'il ne quitte que rarement d'ailleurs. Vêtu de son manteau, il n'y eu pas d'obstacles capable de vraiment perturber sa route, chose aussi qui n'est pas très fréquent. Dans le cas présent, il y eu juste quelques personnes, au nombre de deux, qui le dévisagèrent sans une once de gêne. Sûrement parce que ça les amuser, ou bien qu'ils n'avaient simplement jamais vu sa tête. Le jeune Wolve arriva à l'entrée du parc à une vitesse considérablement calme, rien ne l'obligeait à venir ici, alors aucune raison de se presser. A première vue, l'endroit, ou du moins une partie du parc, était vide. De toute façon, qui serait assez stupide pour venir avec un froid pareil ? Autant rester chez soi à faire toujours les même activités quotidiennes que de sortir pour, justement, ne pas savoir quoi faire. l'Américain avait son sac avec lui, ne contenant que sa lampe torche, des jumelles, un peu de poudre noir, un briquet et quelques mèches; sans oublier une manivelle qui ne sert strictement à rien. Mais c'est toujours utile pour frapper, et comme l'endroit n'est jamais très sûr, alors autant prendre ses précautions.

Gabriel se stoppa net une fois le portail franchi, regardant vite fait de droite à gauche pour voir si il n'y avait vraiment personne, et replaçant une mèche qui venait lui faire obstruction à l'oeil gauche. Un jour ou l'autre, il va bien falloir qu'il les coupe, mais ce n'était pas encore le cadet de ses soucis. Déjà, il faisait froid, et en plus, Gabi' n'était pas couvert comme il faut. Ce n'est pas avec une chemise et une simple veste de cuir qu'on peu se permettre de sortir maintenant. et pourtant, il le sait très bien qu'il peu attraper un bon rhume, une contradiction dont on s'en fiche un peu d'ailleurs. Non loin, il y a un banc, recouvert de neige, personne n'a du en apprécier l'utilisation depuis un bout de temps. le blond se dirigea rapidement vers celui ci, et dégagea à grand coups de revers le tas de neige accumulé sur le support de bois. Un ça ne suffit, alors il en donna un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième, puis ... Et puis merde il fait trop froid, on a les mains glacées, alors on abandonne. Chance ! Y avait juste assez d'espace pour pouvoir poser son arrière train sans trop ce le mouiller pour autant. Sans plus attendre, il installa son derrière sur le banc, et ouvrit son sac qu'il venait tout juste de poser sur ces genoux. La fermeture éclaire se montrait récalcitrante, mais après trois essais, Gabriel parvint à l'ouvrir. Il y sortit son briquet, un vieux briquet un peu usée, mais qui marchait encore. En aucun cas il ne s'en servait pour fumer, son utilisation était restreinte à allumer des mèches pour faire sauter des choses dans l'unique cadre du plaisir égoïste de l'artificier. Et puis pour le clan aussi, quand on le lui demande. Haut dans le ciel, le soleil ne se voyait que peu à cause de plusieurs nuages gris venant le couvrir d'un épais voile de vapeur d'eau prenant une teinte plus foncée que les traditionnelles nuages blanc. Pas très jolie à voir ça, mais c'est quand de bonne entente avec ses arbres dénudés de feuilles, ou encore ce silence monotone, troublé quelques fois par un oiseau criant famine, du haut d'un arbre mis à nu. Du silence, ici peut être, mais ailleurs, ça doit être tout autrement. Qui nous dit quand ce moment même, il n'y a pas une fusillade dans la zone urbaine du quartier américain, ou encore un meurtre dans le quartier italien ? En c'est temps là, c'est probable, sans plus ... Gabriel s'amuser à allumer et à éteindre son briquet sur de très court moment, un peu comme si il était stresser, mais là il avait plus froid qu'autre chose. Sans le montrer, même si personne n'était là pour le regarder. C'était bien ennuyeux ça, si quelqu'un devait venir lui jouait un sale tour, il serait seul à essayer d'assommer son agresseur à coup de manivelle.

- Hey ! Excuse, t'aurais du feu s'il te plaît ?

Le jeune blond releva la tête d'un trait, étant baissée précédemment, et tourna légèrement son regard vers la gauche. On venait bien de lui parler, l'individu se rapprochant tranquillement de lui pour se poster juste en face. il parlait anglais sans aucun accent particulier, il était sûrement américain. le Wolve le détailla de la tête au pieds : Un mec qui devait avoir la majorité, un peu lambda, avec sa coupe de cheveux en pagaille et son blouson de cuir entièrement noir. Dans sa main droite, il y avait une clope, et dans sa main gauche, un zippo. Pas bien difficile de comprendre que celui ci ne devait sûrement pas marcher. Fin de son analyse, Gabi' le fixa dans les yeux et enchaîna.

- Ouais, tiens ...

l'Americo-Irlandais lui tendit son briquet. Son interlocuteur ne mit pas bien longtemps à attraper ce qu'il convoitait suivit d'un petit " Merci " à peine audible, et alluma avec une certaine maladresse sa cigarette. C'était à coup sûr un vrai paumé. Déjà à cause de sa façon de parler, mais aussi à cause du temps qu'il a mit à mettre en marche une fichue clope. Celle ci à peine fumante, il rendit l'objet perverti à Gabi', et tira une longue latte sur le bâtonnet cancérigène. Il n'avait rien contre les fumeurs, mais c'est juste que lui, les cigarettes, il n'en a jamais goûté. C'est quand même mieux comme ça nan ?

- Tu me sauve la vie mon gars, sa faisait au moins une demi-heure que je cherchais de quoi l'allumer, le miens marche plus.

Sans blague ? Pourtant on l'aurait jamais deviner ... l'Artificier n'eut même pas le temps de lui demander le pourquoi du comment que celui ci s'installa à ses côtés. Voulais pas le lâcher ce type. M'enfin un peu de compagnie sa lui ferait pas de mal, surtout avec un temps pareil. Lui aussi ne sembler en avoir rien à foutre du froid, sauf qu'a la différence de Gabriel, il avait une veste à capuche par dessous son autre veste de cuir. Son compagnon de fortune avait l'air d'avoir le sourire facile, et ne semblait pas vraiment timide. Autant en profiter tiens.

- Au fait, moi c'est Nathaël, mais tu peux m'appeler Nath' si tu veux.

Un gros blanc s'installa entre les deux hommes, puis, Gabi' reprit.

- Gabriel, pas de surnom, j'ai horreur de ça.

A première vue, le brun n'en avait pas grand chose à faire du nom de celui qui l'avait aidé à allumer sa clope. il enchaîna.

- On peu savoir ce que tu fait ici ? Fait froid et y'a personne, ça te saoul pas de rester planté là ?

Et on pourrait très bien lui poser la même question, mais c'est vrai que le Wolve ne se rappel même plus pourquoi il était ici. Enfaite il avait l'air sympathique ce Nathaël, mais ce n'est pas pour autant qu'il fallait s'ouvrir à lui comme une boîte d'allumettes

- C'est déjà mieux que de rester chez soi à rien faire non ? Et puis d'ailleurs je pourrais te poser la même question.

Le jeune brun laissa paraître un petit sourire, puis recracha pour la quatrième fois un léger voile de fumée de sa bouche en direction du ciel, pour ne pas enfumée tout l'espace que disposer Gabi' pour respirer.

- Enfaite j'habite encore chez mes parents, alors je fume dehors pour pas me faire attraper. Et là j'avais plus de feu donc ... Enfin tu vois quoi !

Sa phrase terminée, il souleva discrètement sa manche pour regarder l'heure. Un petit rictus apparut au coin de ses lèvres. Sa n'allait pas annoncer une bonne nouvelle. Il se leva et termina ses explications au blond.

- Je vais être en retard, peux pas t'expliquer, à plus !

- C'est ça, aurevoir !

Nathaël disparut en un clin d'oeil, courant vers la sortie du parc pour aller on ne sait ou. C'est dans ces moment là qu'on qu'on aurait put être un peu plus ouvert avec une personne que avait essayer de faire des efforts. Gabi' ne lui avait dit que son prénom, ça c'était un bonne exemple. Il se mit à se frictionner avec force son épaule droite, le froid commencer déjà à venir sous sa chemise. Et lui, comme un paumé, il rester là à rien foutre, recommençant de nouveau à s'éclater avec son briquet. Le blond se mit à souffler, il s'ennuyer, mais là, tout de suite, maintenant, il n'avait aucune envie de retourner chez lui, ni même de lever ses fesses du banc, aussi inconfortable que sa puisse paraître. Avec un peu de chance, quelqu'un d'autre passera lui aussi dans le parc, en recherche désespéré de compagnie. Pas de premier but, mais la solitude n'a jamais était son truc. Il aurait du prendre quelques chose de plus chaud aussi ... Un peu plus loin, vers le portail, on pouvait voir les traces de pas de Nath', ainsi qu'une cigarette à moitié fini sur le sol. Sa devait être la sienne, lâchée dans un élan d'adrénaline? Aller essayer de fumer pendant que vous cavaler aussi, ce n'est pas une tâche aisée ...

Iréna était arriver voilà déjà plusieurs mois sur le territoire américain, la terre des liberté, sa c'était sur elle était libre de crever surtout sans personne pour s'en rendre compte. La terre des rêves et de la richesse, mon œil oui, la pauvre petite ukrainienne vivait dans encore plus de misère que dans la petite ferme famillialle. Elle trainait ses pieds dans le parc la faim la tenaillant une fois de plus et pour cause elle n'avait pas manger depuis plusieurs jour, faute d'avoir trouver des gens généreux pour lui venir en aide. L'ukrainienne regrettait son ancienne vie la bas certes il y avait peut d'argent mais elle avait un toit, elle avait à manger dans son assiette tous les jours même si parfois c'était en petite quantité et surtout tous ne coutait pas assez cher, sa famille lui manquait aussi. Son père qui l'avait inciter à vivre sa vie, sa mère à toujours s'inquiéter, au moins eux il s'inquiétait pour elle et même mieux que sa il s'intéressait à elle, ici elle n'était qu'une ombre qui traversait les longue rue pavé qui sinuait entre les grande tour de béton et de métal. La jeune femme luttait pour survivre et ce fut à ce moment la qu'elle vu un homme qui avait une allure de type sympathique et qui peut être accepterai de lui venir en aide.

L'homme d'un taille plutôt moyenne d'après ce qu'elle pouvait en juger, il arborait une belle chevelure blonde et semblait discuter tranquillement avec un adolescent de façon calme et posé, il venait même de lui offrir du feu pour s'allumer une cigarette. Bref il avait tous du type relativement sympathique que n'importe qui pouvait aborder, mais si cette ville avait apprit quelque chose à Iréna c'était la méfiance peut être qu'il était pas aussi sympathique que sa et qu'en faite il connaissait bien l'adolescent, elle ce décida donc à attendre pour observer avant de tenter quelque tentative que ce soit pour l'aborder. L'ukrainienne alla donc ce cacher derrière l'un des nombreux arbres qui décorai le parc pour pouvoir l'observer tranquillement. Finallement l'adolescent partit en courant vers la sortie du parc tandis que le beau blond restait sur place à ce frictionner l'épaule pour tenter de combattre le froid, donc il ne le connaissait pas et il était vraiment quelqu'un de quelque peut ouvert au nouvel rencontre ansi qu'à apporter son aide. Iréna sortit donc de sa cachette et s'avança vers l'inconnu décidant qu'au point ou elle en était elle pouvait y aller franc jeu :

"Sil vous plait monsieur vous auriez pas quelque dollars pour une immigré sans un sous ... "

La jeune femme c'était exprimer avec un fort accent d'europe de l'est et sur ses mots Iréna ce jet au cou de l'homme pour l'embrasser pationnement avant de reprendre :

" Je demande pas la charité, je suis pret à les mériter quoi que vous me demandiez, j'ai tellement faim. "

Le jeune brun pris la poudre d'escampette, et Gabi', lui, se retrouve de nouveau seul. Perdu dans ses pensées ... Pensées ravivées rapidement par le froid qui l'empoignait depuis déjà une bonne dizaine de minute. Sa lui servira de leçon tiens, et à l'occasion, lui fera penser à s'acheter une veste un peu plus chaude, ou plus épaisse. Dans ce genre de moments, il y a toujours une deuxième personne pour faire son interruption après le passage de la première, toujours un second personnage qui, par on en sait quelle raison, vient vous voir. Pour vous demander du feu (Déjà fait), discuter par ce qu'on s'ennuie, ou bien demander de l'aide parce qu'on a perdu son chien. Plutôt réservé au 3ème âge ça. Mais dans le cas présent, c'est pour une toute autre raison, bien que le blond ait déjà eu affaire à ça. Une jeune femme s'approcha de lui avec un semblant de détermination dans sa démarche, une écharpe sur la tête, et habillé d'une façon assez quelconque. Bien que ce ne soit pas non plus une véritable catastrophe, on avait déjà vu des gens mieux vêtit, même pour une classe sociale moyenne. Et justement, si ce n'était pas le cas ? Réflexion faite, l'artificier ne tardera pas à savoir que voulait cette inconnue, et malheureusement pour elle, sa demande ne se verra pas être satisfaisante, ou, à la hauteur de ce que voulait cette personne. Elle prit la parole.

"S'il vous plait monsieur vous auriez pas quelque dollars pour une immigrée sans un sous ... "

La première chose que fit Gabriel, S'était de fouiller ses poches. Vides. Dans sa veste ? Pas possible, il n'y met jamais son argent, et encore moins dans son sac, qui servait plutôt à transporter ce qu'il achète, ou fabrique. La jeune femme l'avait apostrophé avec un accent prononcé européen, sûrement une russe ... Ou autre chose, lui, il ne fait pas la différence. La deuxième envie qui le démangeait , c'était de saisir sa manivelle pour lui en mettre en coup dans la gueule, car quand on est seul, et qu'on connait un peu ce qui se passe ici, on à plutôt tendance à se méfier. Trop de temps à fouiller dans son sac, elle penserait sûrement que le Wolve chercherait du fric, alors que ce n'était que pour pouvoir se tirer. Il n'y avait pas 36 solutions, autant s'excuser poliment de ne pas avoir d'argent et s'en aller s'en plus tarder.

- Vraiment désolé, mais j'ai pas d'arg...

Sa phrase aurait du se finir par "ent", mais elle fut interrompue par cette immigrée pour ... l'Embrasser ?! Non mais alors là, c'était bien la première fois qu'on là lui faisait celle là. La premier réflexe qu'il eu, ce fut d'écarter légèrement cette jeune femme de lui, pour la fixer droit dans les yeux. Gabriel n'est pas un abruti finit, mais là, c'était bien l'incompréhension qui se lisait dans ses pupilles. Déjà, sacrifier quelques dollars pour ceux qui n'ont pas d'argent, il évitait, mais en plus quand cette même personne ne lui éprouve aucune compassion, pas même un peu de pitié, elle n'a qu'à le chercher ailleurs ses dollars. Puis, l'immigrée enchaîna

"Je demande pas la charité, je suis prêt à les mériter quoi que vous me demandiez, j'ai tellement faim."

C'est bien ce genre de proposition qui ne se refuse pas, pour un salaud en tout cas. Et ici, des salauds, il y en a à chaque coins de rues. Et Gabriel, c'est bien un connard qui ne cherche qu'à profiter des autres, et non l'inverse. Cette fois ci, c'est le blond qui allait pouvoir s'amuser.

- Ok je vois ...

l'Artificier reprit son souffle, ne lâchant pas du regard l'immigrée. Il aurait voulu continuer sur autre chose, mais ça ne se trouvait pas être une bonne idée

- C'était pas la peine de me sauter dessus, évite à l'avenir s'il te plaît ...

Gab' laissa un blanc, puis continua, en se redressant un peu pour mieux ce mettre en hauteur, une mauvaise habitude que de s'avachir quand on s'assoit sur quelque chose.

- C'est quoi ton nom ?

« Vraiment désolé, mais j'ai pas d'arg... »

Une ville d’égoïste tous le monde lui disait la même réponse, Iréna le savait bien et c’était pour cette raison qu’elle avait prit les devant en l’embrassant, on a rien sans rien après tout et si on voulait quelque chose, il fallait offrir quelque chose d’autre. Les hommes de cette ville pensaient avec leur braguette avant d’utiliser leurs cerveaux pour enfin laisser parler leur cœur. La jeune femme passait donc par le moyen le plus rapide pour obtenir ce qu’elle souhaitait, pourtant elle fut étonner d’être repousser délicatement c’était une première pour elle, d’habitude on la trouvait mignonne malgré son air quelque peut amaigrit et on sautait immédiatement sur l’occasion d’avoir un moment de plaisirs à moindre frais. Le jeune homme ne semblait pas non plus comprendre ce qu’il ce passait exactement, sa ce lisait dans ses yeux peut être venait t’il lui aussi d’un autre pays et ne connaissait pas encore vraiment les mœurs de ce pays, tant mieux pour elle il ne ce montrerait que plus généreux alors surtout si il n’était pas encore corrompue par l’atmosphère vicier de cette ville. Un beau chaos cette ville après tout et c’était entièrement la faute de ses bande de criminel qui profitait de l’époque de récession pour proliférer ainsi que pour rependre leurs venins dans le cœur et la tète des gens.

« Ok je vois ... »

Iréna c’était tromper ce n’était pas un immigrer, son ton était bien celui de cette ville celui d’un homme qui connaissait ce genre de coutume, son air choquer n’était la surement que pour la tromper ou alors il n’avait encore jamais connue sa et c’était une première pour lui. Elle aurait jamais du l’aborder les gens qui connaisse sa pour la première pense tous que sa ne ce reproduira jamais. Ils ont donc tous tendance à vouloir en profiter un maximum de peur que sa ne ce reproduise plus jamais, mais après tout elle n’en crèverai pas qu’on le fasse par amour ou pour l’argent qu’importe, bien sur elle préférerai le faire par amour, mais quand l’amour n’est pas au rendez-vous et que dans son assiette on n’a que des os déjà ronger et bien on le fait pour l’argent comme en ce moment par exemple. Iréna ce sentait mal pourtant avec ce regard lourd qui pesait sur elle, un regard qu’elle trouvait inquisiteur, l’homme ce posait t’il des questions ? Réfléchissait-il à ce qu’il comptait lui faire subir ? Serait ce horrible ? L’humilierait t’il afin de prendre ce qu’elle avait encore comme dignité plutôt que de prendre son corps ? L’ukrainienne était envahit de question, elle réfléchissait bien trop pour ce qu’elle devait faire mais l’homme reprit la parole.

« C'était pas la peine de me sauter dessus, évite à l'avenir s'il te plaît ... »

Cette simple phrase fut de trop et Iréna craqua totalement, elle ce mit à pleurer à chaude l’arme. Le jeune femme avait tous son possible pour l’embrasser comme elle aurait embrasser quelqu’un qui aurait prit place dans son cœur et lui la rejetait, il ne voulait pas d’elle, serait t’elle moche et repoussante à ses yeux ? Elle qui était la plus jolie femme de son village courtiser par tous les males, on la rejetait ici. Iréna finit par baiser la tète laissant ses larmes couler sur ses joues amaigrit cachant son visage derrière un pan de son châle pour cacher la misère de son désespoir aux yeux de cet homme sans aucun tact ni pitié, cet homme et elle finit par bredouiller une phrase entrecouper par des sanglots :

« Je suis moche *sanglots* c’est sa hein ? *sanglots* ou tu veux pas d’une mendiante *râle de pleure* dans ton lit ? Une pauvre petite immigré *sanglots et reniflement* ne mérite … ne mérite pas ton argent *pleurs * et surtout pas tes faveurs c’est sa hein ? *pleurs* dit le si je suis pas assez bien et je m’en vais, inutile *sanglots* inutile que je continue à me ridiculiser *sanglot qui s’intensifie* c’est déjà assez dur comm…. *pleurs en cascade*. »

La phrase n’avait pas put être terminé les peurs de la jeune femme ne s’arrêtait plus enfin pas pour le moment du moins mais après une série de gros et disgracieux reniflement ceux-ci c’était calmer et c’était en partie du au faite que l’homme lui avait demandé son nom, ce qui pour Iréna était en quelque sorte une preuve que l’on s’intéressait un minimum à elle et ce fut avec une voie embrumé qu’elle répondit :

« Iréna, Monsieur je me nomme Iréna mais tous le monde m’appelle Iré’ dans mon village ou déchet, voir raclure sinon comme les gens de cette ville à vous de choisir Monsieur ? »