Franz Cimballi

Prénom : Franz
Nom : Baranovski Cimballi ; le premier est le nom de famille de son père, le second celui de sa mère. J'explique plus loin pourquoi il se fait appeler Cimballi
Patronyme : Gregorovitch ; déteste se faire appeler par ce nom-là...

Clan : Russe

Age : 35
Classe : Assassin
Métier : ... voir ci-dessus...

Orientation sexuelle: Hétéro.

Crimes commis : (Crimes reconnus ou encore inconnus de la Police.)
Assassinat de divers membres de la triade chinoise, de la mafia italienne et de la mafia américaine, le tout incognito... pour le compte de quelqu'un que je ne nommerai pas. Menaces à des témoins lors d'un certain procès, ainsi que présomption de nombreux meurtres, dont celui de deux policiers. Ces derniers délis sont connus de la police, mais ils n'ont jamais pu apporter des preuves des actes de Franz... du fait de la disparition subite des rares témoins.

Tatouage et signification :
Un crâne sur le bout de ses dix doigt : 9 d'entre eux symbolisent pour Franz ses premiers ''contrats,'' tandis que le dixième représente son appartenance à la caste des meurtriers.

Rose derrière l'oreille droite : il a fait de la prison à 15 ans. Son père l'a mis lui-même en prison pour lui apprendre à survivre ''à la dure'', selon ses propres termes, et Franz s'est fait tatouer cette rose afin de ne jamais oublié ce qu'il a vécu là-bas.

Un serpent entourant sa gorge, qui se mord la queue : tatouage reçu de son père lorsqu'il l'estima prêt à le seconder pour des ''contrats.'' Il symbole son statut d'assassin, mais également le fait qu'il ne balancera jamais une quelconque information sur la mafia ou ses partisants.

Une étoile à 7 pointes : symbolise ses années en prison, sur l'épaule droite.

Un visage de femme sur la hanche gauche : représente son amour des femmes.

Petites tombes noires dans le dos : chacune de ses tombes représente un ''contrat'' qu'il a achevé. Son dos est parsemé de tombes, et il est dur de les compter...

Description physique :
Franz est d'une grande taille (1m82) pour un poids de 86 kg. Il n'a pas une musculature impressionnante, mais est quelqu'un de très nerveux. Comme son métier l'exige, il est d'une forme physique irréprochable et il ne relie pas sur sa force physique, mais plutôt sur son talent à manier les armes blanches. Franz passe presque toujours inaperçu dans une foule, malgré sa taille. Ceux qui le dévisagent remarquent rapidement qu'ils sont face à un prédateur, à un chasseur dégageant une aura menaçante. Cela se remarque surtout à ses yeux, bleu acier, ternes, glacials, qui semblent morts, et ceux-là détournent le regard, mal à l'aise et souvent terrifiés. Il a des cheveux noirs en bataille, qui pointent dans tous les sens, et porte toujours de petites lunettes fumées rondes, de teinte mauve.

Il porte toujours une chemise blanche sous un ample manteau noir. Ses pantalons sont noirs, tout comme ses souliers. Il traîne presque constamment, sauf lorsque son métier l'exige, une petite valise noire contenant ses habits de rechange, ainsi que sa collection d'armes blanches, sauf celles qu'il porte sur lui. Il porte ainsi un couteau stylet à chaque avant-bras, un coupe choux à sa ceinture et un autre qu'il a en main dès qu'il se sent nerveux, une serpette à chaque jambe, dans un étui, et deux couteaux à cran d'arrêt sont cachés dans les pans de son manteau. Ses autres armes sont dans sa malette.

Tout son corps, sauf son visage et son cou, porte d'innombrables fines cicatrices, vestiges de son entraînement et de ses nombreux ''contrats.'' La plus impressionnante de ces cicatrices est celle dans son dos, une immense balafre en forme de croix, qu'il reçue lorsqu'il dut abbattre son mentor, Gregor Baranovski, son propre père (voir histoire).

Description mentale:
Franz est sûr de lui, de ses capacités, et est prêt à tout pour accomplir ce qu'il nomme ses ''contrats.'' C'est quelqu'un qui n'a pas peur de se salir les mains. Rares son ceux qui le connaissent réellement, mais ceux qui le connaissent vraiment savent que c'est un homme calme et attentionné envers les femmes, l'une des ses deux passions, mais impitoyable et sanguinaire lorsque son travail le demande. N'étant pas allé à l'école longtemps, n'y étant pas allé du tout en fait, il ne connaît pas grand chose sur les lois qui régissent le monde ; il fait ce qu'on lui demande, reçoit l'argent et se tape du bon temps avec. Point barre. Il n'est pas intéressé à gravir les échelons du pouvoir, ce qu'il fait lui plaît, et il est heureux ainsi. Il n'aime pas recevoir des ordres négligés ou incomplets ; tout doit lui être expliqué dans les moindres détails en ce qui concerne ses cibles, sans quoi il n'opérera pas. Son travail à lui n'est pas de se renseigner, mais bien d'assassiner. Il met cependant un point d'honneur à terminer son contrat lorsqu'il en accepte un.

Comme cité précédemment, il devient doux, attentionné et gentil lorsqu'il a affaire à des femmes (sauf lorsque la femme en question est son contrat.), bref, tout le contraire de sa personnalité normale. C'est quelqu'un qui parle peu, sauf lorsque ce qu'il a à dire est d'une importance vitale. Il a quelques règles de conduites, qu'il suit à la lettre : 1- il ne touche jamais à la femme d'un autre. 2- un contrat accepté doit être mené à terme. 3- les traîtres doivent mourir. Ce sont ces trois phrases qui mènent sa vie.

But/Rèves : c'est nécessaire ? Ok, ok... éliminer mes ennemis et ceux de mon clan, ça vous va ?

Histoire
Je m'appelle Baranovski Cimballi, Franz Gregorovitch Baranovski Cimballi, mais je préfère qu'on m'appelle Franz Cimballi. Dans la vie, j'ai deux passions : les femmes et le meurtre. Pour les femmes, j'en ai eu mon cota. Pour le meurtre, c'est ma raison de vivre... Laissez-moi plutôt vous conter ma vie...

Je suis né à Berlin, le 13 mai 1897. Unique fils de la famille Baranovski Cimballi, ma mère, qui était Italienne, mourut alors que j'étais encore en couches. Mon père, Gregor Baranovski, mieux connu dans notre monde sous le pseudonyme de ''Butcher'' ou le Boucher, était l'assassin le moins connu de la mafia russe. Le moins connu justement parce qu'il était le plus discret, et non le plus nul de ces derniers... Sa liste de ''contrats'' était longue et sanglante, et comme j'étais son unique fils, j'ai suivi très tôt son enseignement, afin de prendre sa place dans la famillia lorsque sa fin viendrait. Il m'enseigna tout ce qu'il savait : le meurtre. Rapide, lent, avec moultes blessures, avec torture, avec délices... Jeune, j'avais rencontré nombre des mafieux avec qui mon père faisait affaire, bien qu'il tâchait de me cacher le plus possible aux yeux de ses derniers, me faisant passer souvent comme un lointain filleul dont il avait bien malgré lui obtenu la garde... Jusqu'en 1912, j'ai suivis son entraînement, récoltant nombre des cicatrices que je porte encore aujourd'hui.

Cette année là, mon père me fit accuser de meurtre et on m'enferma dans l'une des prisons de ma patrie, afin, de ''survivre à la dure'' comme disait mon père. J'y suis resté 4 longues années... La première nuit, je fûs violé par le caïd de la prison, un certain Yvan Ranovitch, condamné pour meurtre, et à qui il restait 7 ans à purger. Ces années furent les pires de ma vie ; chaque jour, je devais me battre pour en finale subir les pires humiliations... je vous passe les détails. En 1914, la guerre éclata hors des murs de la prison et en 1916, mon père vint lui-même me chercher à ma sortie... Mon comportement avait radicalement changé ; j'étais certes beaucoup plus calme, mais prompt à la violence et sujet à de monstrueuses crises de rage...

Peu après ma sortie, mon père, qui fût autrefois officier dans l'armée, m'emmena voir l'un de ceux avec qui il était resté ami. Il m'emmena voir l'homme qui commandait aux Forces Spéciales de l'Armée Rouge. Cet homme connaissant le métier de mon père, et lui devant une faveur, accepta (de mauvaise grâce quand même), de m'enseigner les secrets du Samoz. L’apprentissage du Samoz réside dans l'efficacité biomécanique : utiliser un minimum d'énergie pour générer un maximum d’efficacité.

Durant 3 ans, je perfectionnai par moi-même mes talents aux armes de mêlée et j'appris le Samoz. Mon père revînt à nouveau, et cette fois, nous retournâmes en Russie, ma terre natale. Mon père m'expliqua alors en quoi consistait réellement son métier : l'assassinat d'ennemis ou de traîtres de la mafia Russe. N'ayant jamais connu autre chose que l'entraînement au combat et un monde violent, je n'en fûs pas révolté, au contraire ! Tout ce qu'il m'expliqua ne fit qu'exacerber mon goût du sang et de la violence. Me jugeant enfin prêt, il me permis de l'accompagner pour ses ''contrats'' suivants, ou je fis littéralement un malheur. Malheur dans le sens ou les cibles du ''contrat'' furent taillés en quartiers de viande hachée... Ainsi, durant les années qui suivirent, soit jusqu'en 1929, je devîns le bras droit de mon père, Gregor Baranovski, dit le ''Boucher.'' Soit dit en passant, l'un de mes ''contrats'' fut le suivant : abattre un certain Yvan Ranovitch, une vieille connaissance... sachez seulement qu'il fut retrouvé tailladé si salement qu'on aurait dit un monceau de steak haché... Ah, et sa tête reposait, intacte, dans les chiottes...

En 1929, j'appris quelque chose qui allait grandement changer ma vie. J'appris, par un contact dans la mafia, que mon père avait changé de camp et accepté d'abattre des membres clés de la famille russe... Je n'étais pas au courant de cela car depuis quatre ans déjà, j'oeuvrais seul de mon côté, n'entretenant qu'une vague correspondance avec mon géniteur. Mon nouveau ''contrat'' fut le suivant : éliminer Gregor Baranovski, mon propre père, coupable de traîtrise au sein de l'organisation. Mon sang ne fit qu'un tour : mon père, traître ? Cela me révolta et je partis à sa recherche. Durant un peu plus de deux ans, je l'ai cherché partout à travers le monde, pour finalement retrouver sa trace aux states, à Chigago. Ni une, ni deux, j'y mis les pieds presque aussitôt et le retrouvai. Il tenta de me raisonner, argumentant de meilleures honoraires, etc, etc, mais j'étais fou de rage ; mon modèle, mon héros, mon père, avait trahi la famillia pour de l'argent ? J'engageai le duel et il devînt rapidement clair que j'avais dépassé mon père en force, en endurance, et ne maîtrise des arts martiaux et des armes. Je fis ce pour quoi on m'avait engagé : tuer mon père. La traîtrise ! N'y a-t-il pas plus horrible acte ? Depuis cette trahison de son père, je déteste qu'on m'appelle Gregorovitch ou Baranovski ; ces noms symbolisent mon unique honte en ce monde. C'est la raison pour laquelle je préfère qu'on m'appelle Cimballi, malgré que mon nom de famille soit Italien. Ou appellez moi simplement Franz, c'est plus simple.

Une fois mon contrat achevé, j'empochai les armes de mon père (ce qui explique pourquoi j'ai autant d'armes blanches), et présentai à mon contact à Chicago la tête de mon géniteur, qu'il emporta avec lui en Russie. Je fus largement payé, et reçu aussi une nouvelle directive : aller me présenter au nouveau Braiski Krug en tête de la mafia russe à Chigago, un homme enragé, mais brillant et dangereux, selon les dires de mon contact. Je me suis donc présenté au siège de la mafia russe à Chigago, ou je fis la connaissance du Braiski Krug Viatcheslav Raspoutinevich Dostoïevski, à qui la définition de mon contact convenait parfaitement, mais qui avait un petit quelque chose en lui qui me plût immédiatement. Serait-ce ses manières sanglantes, semblables aux miennes ? Ou alors son indéfectible loyauté et sa rage de faire triompher la mafia russe ? Je ne saurais le dire... je me mis à son service presque à l'instant même ou je le vis. Et depuis un peu plus d'un an, j'ai mis mon coeur, ma loyauté, mon honneur et mon talent à son service...

Attributs :
Force : 6
Vigueur : 5
Agilité : 7
Intelligence : 5
Volonté : 6
Perception : 6
Charisme : 4
Chance : 6

Dévotion envers le clan : 7

Points de vie : 50

Compétences de classe
- Acrobaties
- Armes de mêlée (armes blanches)
- 6eme sens
- Art martial : Samoz
- Furtivité
- Dissimulation d'objet

Inventaire :
Médi-kit (1)
Vêtements de rechange (2)
Briquet zipo et 2 paquets de cigarettes
Coupes choux (3)
Couteaux à cran d'arrêt (5)
Couteaux stylet (2)
Serpettes (3)
1 poing américain.

Comment avez vous connue le forum ? : top vélusia

Bonsoir.

Je n'ais fait que survoler ta fiche pour le moment mais déjà 2 chose ne vont pas avant que nous la commentions.

Le clan Italien est actuellement complet le temps que les autres clan puissent se remplir eux aussi.

L'avatar que tu utilise est déjà pris par le PNJ Bruce.

Je te conseil donc de trouver un autre clan comme les russes par exemple comme tu as assassiné plusieurs Chinois et américains et de changer d'avatar aussi

Navré, Zhao Li Wei. Je n'avais pas remarqué que le clan italien était complet. J'ai fait les changements adéquats, et également modifié mon avatar. En espérant que cela vous aille. J'attend de vos nouvelles. Merci.

Kikou.

Alors je vais déjà te donner quelques petites chose à modifier avant que Viat' ne commente ta fiche en elle même.

4 art martiaux te prendrait 4 compétences différente mais cela fait surtout beaucoup trop a apprendre et puis certain art martiaux que tu cite ne peuvent pas coller.

tout d'abord le CQC, c'est impossible que tu connaisse cela car il n'a été développé qu'après la 2eme guerre mondial pour la plus grande partie.
Ensuite le Muay thaï c'est d'une part presque irréalisable que tu l'ait apprit car à l'époque ce n'était pas le genre de choses que les thaïlandais mais surtout en 1921 il s'est retrouvé interdit à la pratique jusqu'en 1930. Donc aucun moyen que tu ne l'apprenne.
Puis il sera de même pour la Capoeira car c'était un art martial illégal avant 1930 au brésil

Je te conseillerai d'apprendre un art martial russe ce qui facilité rais largement la chose et de te contente d'un seul

Cela n'enlèvera pas le fait que tu maîtrise les armes de mêlées ^^

Ensuite il y a plusieurs choses dans l'histoire qui me semble difficilement réalisable comme le meurtre due Yvan Ranovitch, sans compter que même sans preuve de ta culpabilité ses hommes t'auraient a mon gout tuer par vengeance quitte à tuer un innocent.

Voilà ^^

A Viat maintenant

Ok, j'ai modifié ça : plus 4 arts martiaux, mais bien 1 seul : le Samoz, créé aux allentours de 1905-1906. C'était top-secret, mais je crois que ça peut marcher. Vous me direz ce que vous en pensez.

Et pourquoi le meurtre d'Yvan Ranovitch causerait-il problème ? Vu mon entraînement au combat à l'arme blanche, même si j'étais jeune, je ne vois pas ou est le problème... expliquez-moi, je vous prie.

Il me semble assez difficile pour toi de le tuer sans te faire voir car étant le caïd de cette même prison il doit avoir des personnes parmis les prisonniers pour veiller a sa sécurité et sûrement des matons aussi.

De plus même si personne ne t'as vu je pense que cela ne dérangera pas ses hommes de te tuer par vengeance "au cas ou" tu soit le coupable comme tu as été une des dernières personnes a te faire violenter par lui, ne pense tu pas?

Je suis pas forcement contre sa mort mais plutôt contre cette façon la ^^

Bon c'est pas d'la merde, c'est sûr, mais il y a quelque petit point à revoir. Notement quelques incohérence dans l'histoire, surtout la phase dans la prison. Vu l'état du gars il t'as fallut du matos, et pas de la merde qu'on fabriquait avec un pied de chaise pourris, du vrai métal. Et comme l'a dit Li Wei, tu te serai déja fait crever, de plus il t'aurais fallu faire un véritable carnage pour arriver à la cellule de ta cible, on ne circule pas librement en Taule, encore moins à l'époque, t'as des sortie en cours ou un taff de bête si t'es au bagne. Un type débarque de Russie et t'apprend le Samoz? ça me fait un peu gros sur ce coup là. Premiérement parce qu'on ne met pas les prisonniers dans les prisons d'état mais dans des camps spéciaux installé dans certain coin, deuxiémement parce qu'un mec des troupes spéciale ( car c'est bien aux troupes spéciale à qui on apprenait la Samoz et pas au premier troufion venut) n'apprendrait pas au premier venut même fort et même respecté un art tenut secret par sa mére patrie et enfin il ne se ferait surement pas tuer par un prisonnier esseulé, ce serait même plutôt l'inverse et pas besoin d'arme pour ça. J'en viens même à me demander ce qu'il vient faire ici ce type là, c'était les bidasses qu'on envoyait au Front, pas les troupes spéciale, surtout que le Front russe est peu conséquent par rapport à la demande et prend branlée sur branlée pendant un bon moment avant de réagir de maniére plutôt molle.

Bref ces points là sont les plus "gênant" à mon avis et se doivent d'être modifié. Par contre avec un nombre aussi conséquent sur toi ça va être dur de se ballader en ville sans te faire arréter par le premier flic passant par là, tu n'as même pas la compétence permettant de planquer tout ton matos, de plus se trimballer avec un coupe-choux en main et en permanance est une bonne méthode pour finir au violon.

Bon j'ai dis ce que j'avais à dire. J'attends de voir la suite des événements.

Bon,

apres mûre réfléexion je te valide chez nous, mais sache que tu n'aura que les bases bien ancré du Samoz et pas l'art martial complet, celui-ci nécessitant des milier d'heure pour maîtriser lesdites techniques de "tronc". Poste là où des pauvre joueurs attendent, merci. ^^

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