Un kawa et sa repart!! (quoi a 5h...Et alors??) [libre]

---->Grand moment de solitude!

-Euh je sait qu'il faut une invitation mais je croit que je peux rentrer, je suis...

Le Lucky Strike. Ce grand batiment était attirent, a vrai dire c'est l'endroit le plus attirant de la rue et Johnny avait besoin de se reposer. Seulement le petit message avant l'entrée étai simple: pas d'entrée sans invitation. Seulement il avait besoin d'un café et comme ont dit qui ne tente rien n'a rien. L'homme a l'entrée avait l'air aussi sympathique et amical que le gardien de la tours de james...Qui lui même était aussi émotif qu'une pierre. Pourtant a sa grande suprise le gardien souriat.

-Vous pouvez passer voyon...John Dillinger. M Lynch nous a prévenu!! Vous pouvez passer!!

John stoppa une réplique et passa sans demander son reste. Il avait une mine affreuse et ses vétement était trouer et couvert de boue...Pourtant le simple fait d'entrer chez les wolves lui ouvrait des portes, et de grande porte. Une hotesse vint vers lui pour lui prendre son manteau, ce que John refusa, puis l'emmena dans la grande salle. Il en eu le souffle couper. Une grande scene occuper par un groupe de Jazz se trouvait au milieux et les table et fauteuil était étaler tout autours. La salle était calme pourtant tous les regard des rangs les plus proche le fixérent au moment ou il entra...Sans doute a cause de la tenue!!

La jeune femme voulut le conduire vers une table au milieu mais John préféra prendre une table du fond légérement sombre. Il s'installa et commanda un café noir avant de poser son vieux chapeau et son manteau sur la chaise d'a coter. Il était fatiguer mais heureux de sa journée. Il serait venu 2 heure plus tôt et le gardien des lieux l'aurait chasser a coup de balais. Mais le simple fait d'avoir parler a James lui valait le droit malgrès son état d'entrée ici...Un bon contact ce Lynch.

La serveuse apporta un grand café noir et laissa John le boire tranquillement. Il n'y avait rien de mieux que de boire un café noir dans c'est moment la. Il se sentait un peux seul mais les 75 dollars tout beau tout neuf dans sa poche lui tenait bien compagnie et l'idée de pouvoir remonter la pente le rendait heureux. John voyait les wolves comme une corde qu'il fallait lacher au bon moment. Tant qu'il ne retombait pas tout allait bien, tant qu'elle ne lachait pas c'était parfait...Mais au moindre bruit suspect il valait mieux se décrocher. Une corde fragile mais utile pour l'instant. Une corde vers le mexique, une aciendra, une femme et peux être un chien...Le tout maintenu vivant par le casse de quelque banque...Plus d'état unis, plus de wolves, plus de bande a Dillinger, juste lui et sa femme pour longtemps. Il n'écoutait pas le groupe qui multipliait les morceaux, seul son rêve persistait, son rêve et sont café!!

Son café arriva rapidement. Un grand café. John faillit rappeler l'hôtesse pour lui dire qu'elle c'était tromper mais se ravisa. Finalement elle avait vue juste, un grand café lui ferait du bien. Savourant celui ci, l'homme n'avait aucune idée de ce qu'il pouvait faire maintenant. Il fallait qu'il trouve un endroit ou se loger temporairement, le temps de trouver un appart a louer après sa première paye. Cela aurait pu être simple seulement Johnny n était pas originaire de cette ville. Il était passer de temps en temps ici en coup de vent, souvent obliger de repartir rapidement. Il avait aucune idée de ou il pouvait aller et se sentait perdu...A tous les coups il serait capable de trouver un appart dans un quartier ennemi avec les wolfes...Sa chance est infaillible dans ce genre de cas.
Savourant son café double, l'homme pouvait écouter la musique tout en se reposant a moitie. 75 dollars....Il y a quelque temps il jetait cette argent par la fenêtre pour les gens sur le bord de la route...Aujourd'hui il était près a tuer pour 1 dollars. Comme dans un autres monde, il finit son café sans s'en rendre compte et s'endormit a moitié sur la table. Il aurait aimer ne plus bouger d'ici seulement il avait a faire. Se levant tranquillement, il remit son chapeau, attrapa son manteau et emporta la tasse avec lui.
Une jeune femme très mignonne se trouvait derrière le bar. S'approchant avec un sourire simple et franc, il posa la tasse sur le comptoir et fouilla dans sa poche a la recherche des billets. Il sortit 2 billets de 5 dollars et reporta son attention sur la jeune femme.

-Bonjours. Excuser moi de vous dérangeait mais c'est pour payer. Combien pour le grand café??

Fouillant dans sa poche, il ne trouva pas de pièce pour les pourboire et décida de laisser la monnaie en échange. Malgrès son sourire franc, on pouvait voir des trace de fatigue sur son visage et les trou dans son costume était assai flagrant. n'importe qui, même complètement stupide, pouvait deviner qu'on lui avait tirer dessus...Mais au fond il s'en fichait, il avait d'autre problème plus urgent pour l'instant.

-Par contre, je suis vraiment désoler de vous déranger pendant votre travail, mais vous ne savez pas ou je peux trouver un hôtel pas trop chère ainsi qu'un appartement a louer pour quelque temps?? je suis nouveau ici et je doit avouer que je suis perdu. Le premier hôtel pas trop chère du coin sera parfait.

Il regarda la jeune femme dans les yeux en espérant qu'elle accepte de lui répondre...En général il n'avait pas de problème mais dans un endroit aussi chique, sa tenu et son allure général laisser a désirer. Sa seul envie était de payer et de sortir d'ici. Une bande de bureaucrate le regarder de travers comme si il était de trop ici.

La barmaid donnait un coup d'œil de temps en temps vers la porte, espérant que le baraqué décroise à un moment les bras, signe que les choses se tassaient dehors. Mais il restait là, stoïque, bras fermement croisés. Qu'est-ce qui avait bien pu foutre le bordel à ce point? Peu importait pour le moment, à part les ronds de verres sur le zinc, ce à quoi Angie décida de remédier entre deux commandes, tout en laissant vaquer une oreille.

"- Ouais... une sacrée aubaine"

"- Vous croyez qu'ils sont face à face ou qu'il y a quand même une grille?"

"- Je pense bien qu'il y a une grille et des flics, imagines, s'il arrivait à choper une lime ou une connerie de ce genre..."

"- Cette personne là... S.C. mérite qu'on s'attarde sur ses articles... je lui promets une grande carrière si personne la dézingue dans deux jours!"

S'ensuivit un petit fou rire des trois hommes, auquel personne ne prêta attention.

"- Y'a pas à dire, aller taquiner Capone dans sa cellule, elle a du raquer..."

"- Ou... payer de sa personne... voir les deux!"

Le journal... Elle n'avait même pas pris la peine de lire les gros titres. La brune s'était contenté de l'acheter et de le fourrer dans son sac pour éviter d'avoir de l'encre sur ses gants. Voilà donc son programme du soir, lire l'article sur Capone tout en sirotant une petite infusion et en astiquant les lames qu'elle portaient sur elle aujourd'hui avant de les ranger soigneusement.
Tout en tournant la tête vers la porte pour regarder si le molosse gardait la même position, elle vit Dillinger s'approcher et déposer sa tasse avant de fouiller dans sa poche pour en sortir deux billets froissés.

"- Bonjours. Excuser moi de vous dérangeait mais c'est pour payer. Combien pour le grand café??"

"- Si vous n'avez pas de monnaie, mais que demain vous avez une pièce de 5¢ alors gardez là dans une poche en pensant à moi et passer me la remettre. Je suis un peu à court de change."

Elle lui adressa alors un sourire chaleureux et franc qu'elle voulait réconfortant. De près, l'homme semblait en avoir bavé bien plus que ce que personne ne pouvait penser et il semblait créer la confusion dans les esprits des hommes d'affaire assis sur leurs tabourets. Ces derniers le regardaient de haut, et tentaient de lui faire comprendre qu'il n'était pas à sa place, seulement par le regard.

"- Par contre, je suis vraiment désoler de vous déranger pendant votre travail, mais vous ne savez pas ou je peux trouver un hôtel pas trop chère ainsi qu'un appartement a louer pour quelque temps?? je suis nouveau ici et je doit avouer que je suis perdu. Le premier hôtel pas trop chère du coin sera parfait."

"- Une minute, je vous prie..."

L'américaine se ficha devant les trois hommes qui se parlaient discrètement et se racla délicatement la gorge. Lorsqu'ils levèrent les yeux sur elle, elle ramassa leurs verres d'un air satisfait.

"- Hey Angie! Qu'est ce que tu fabriques là?"

"- Je nettoie vos verres pour vous resservir..."

"- Aaahhh! Quand je vous le dis que c'est la meilleure cette petite!"

"- ... à la table là-bas... Lucile va s'occuper de vous. Je dois polir le bar avant de partir."

Et dans ses yeux émeraudes, la femme eut un petit éclair de malice qui leur indiquait bien qu'ils n'y pouvaient rien, ils n'avaient qu'à partir à leur table ou quitter le club. Les hommes se levèrent et partir plus loin dans la salle, en jetant des regards pas très amicaux en direction de John.

"- Venez vous installez là... et elle indiqua un tabouret du comptoir Je ne sais pas si vous l'avez remarqué mais le dimanche, trouver une agence immobilière ou trouver un appartement de disponible, ce n'est pas vraiment ça. Je vais vous écrire l'adresse d'une agence quelques rues plus loin, vous pourrez passer les voir demain. J'ai trouvé mon appart' chez eux, et ils ne vous caseront pas dans un quartier... hum... désagréable. Si vous voyez ce que je veux dire..." ajouta-t-elle, un ton plus bas en le regardant droit dans les yeux.

Puis elle se détourna et saisit un stylo sous le comptoir et un morceau de papier avant de grisonner dessus. Elle y inscrivit le nom de trois hôtels dont l'un au bout de la rue, d'une agence immobilière et une adresse avant de lui glisser la note devant lui. Elle reprit alors à voix basse.

"- Ecoutez, vous ne me connaissez pas, mais je sais déjà qui vous êtes. Vous avez de la chance d'être venu au Lucky si je puis dire. Vous trouverez là dessus le nom de plusieurs hôtels convenables et largement abordables, une agence pour trouver un appartement et mon adresse en cas de pépin, si jamais vous ne trouveriez rien. Je ne vous conseille pas de sortir tout de suite alors laissez moi vous resservir une tasse de café, si ça ne vous dérange pas."

John avait remarquer les regard des 3 personne mais ne s'en inquiéter pas. Il était de plus en plus habituer de ce genre de regard, au fond sa n'était rien. Le pire était quand les gens le reconnaissait. Dans les cas la c'était plus des regard d'horreur, il est assai rare de croiser des morts vivants de nos jours et les gens dans la rue le prennent souvent mal. Mais cela était de l'histoire ancienne, l'époque de "la bande a Dillinger" était passer et ce groupe de bureaucrate qui avait du trembler pour leurs argent cacher dans un coffre fort ne devait même plus penser a cette époque...Les FBI avait remit les chose en ordre, une chance!!
Heureusement il restait des gens sympathique comme cette jeune femme derriére le bar. Malgrès son état elle lui fessait confiance pour l'argent et finissait par un grand sourire...Qui ressemblait un peux a de la pitié a bien y regarder mais il se trompait surement. Seulement quelque chose le mettait mal a l'aise. Sa n'était pas le sourire franc et magnifique de la jeune femme, ni l'idée de partir sans payer mais plutôt les regard des 3 homme. Les regard était hostile et il se sentait supérieure, l'égo démesures chez les fou pouvait les pousser loin...Heureusement le contact apaisant de son colt cacher sous sa veste le calmait. Finalement le tout fut calmer par la sympathique barman qui leurs fit comprendre gentiment qu'ils étaient de trop ici.

"- Venez vous installez là... et elle indiqua un tabouret du comptoir
Je ne sais pas si vous l'avez remarqué mais le dimanche, trouver une
agence immobilière ou trouver un appartement de disponible, ce n'est
pas vraiment ça. Je vais vous écrire l'adresse d'une agence quelques
rues plus loin, vous pourrez passer les voir demain. J'ai trouvé mon
appart' chez eux, et ils ne vous caseront pas dans un quartier...
hum... désagréable. Si vous voyez ce que je veux dire..." ajouta-t-elle, un ton plus bas en le regardant droit dans les yeux.

Avec un sourire amuser, l'homme s'installa sur un des tabouret occuper juste avant par un des 3 homme et écouta la jeune femme. Il avait complètement oublier que l'on était un dimanche et maintenant seul l'hôtel s'imposait pour ce soir. Au moins il aurait un lit c'était toujours sa. Il était arriver a un stade ou le moindre sourire réchauffer le cœur et ou trouver un toit pour la nuit relevait d'un miracle...Sans doute quelque une des raison qu'il l'avait pousser a jurer de tuer Melvin Purvis, cette sous merde qui léchait les bottes de Hoover et qui l'avait déclarer mort.
Sortant de ses idée de vengeance, Johnny regarda la jeune femme écrire sur le papier et l'écouta parler en le lisant. 4/12 Howe Street, Downtown...Il ne l'oublierait pas et trouverait comment la remercier.

"- Ecoutez, vous ne me
connaissez pas, mais je sais déjà qui vous êtes. Vous avez de la chance
d'être venu au Lucky si je puis dire. Vous trouverez là dessus le nom
de plusieurs hôtels convenables et largement abordables, une agence
pour trouver un appartement et mon adresse en cas de pépin, si jamais
vous ne trouveriez rien. Je ne vous conseille pas de sortir tout de
suite alors laissez moi vous resservir une tasse de café, si ça ne vous
dérange pas."

John ne pu s'empêcher de rire. Au moins il avait des adresses c'était parfait. Parlant doucement a son tours, il répondit en souriant.

-J'ai remarquer que tous le monde a l'air de me connaitre ici...Dite moi si vous me connaissait vous devez savoir que je suis mort?? Grace a vous je me sent un peux vivant aujourd'hui...Sa fait vraiment plaisir. Je ne sait pas comment vous remercier, pour les adresse!! Vas pour la tasse de café, sa me fera du bien...Prenez s'en une avec moi. j'irai voir plus tard pour les hôtel. Merci encore, j'espère pouvoir vous aidez a mon tours une autres fois. De la chance d'être venu au Lucky...Je croit tout simplement avoir eu la chance d'être venu a Chicago. Je déduis que l'on travaille pour le même employeur !?

Il avait du mal a trouver ses mots. Sans doute avait il perdu l'habitude des conversation...Du moins amicale.

Dillinger parut plus à l'aise une fois assit au bar, comme si, en l'aidant un peu, elle lui avait redonné un minimum d'espoir. C'était le moins qu'elle pouvait faire à cet homme, ce Wolf, au bout du rouleau.

"-J'ai remarquer que tous le monde a l'air de me connaitre ici...Dite moi si vous me connaissait vous devez savoir que je suis mort?? Grace a vous je me sent un peux vivant aujourd'hui...Sa fait vraiment plaisir. Je ne sait pas comment vous remercier, pour les adresse!! Vas pour la tasse de café, sa me fera du bien...Prenez s'en une avec moi. j'irai voir plus tard pour les hôtel. Merci encore, j'espère pouvoir vous aidez a mon tours une autres fois. De la chance d'être venu au Lucky...Je croit tout simplement avoir eu la chance d'être venu a Chicago. Je déduis que l'on travaille pour le même employeur !?"

"- Ce n'est pas tous les jours qu'on croise un revenant, c'est le moins qu'on puisse dire!"

Elle se retourna alors pour attraper deux tasses et les remplir du liquide noirâtre bourré de caféine. Puis tout en déposant la tasse devant John continua:

"- Il n'y a pas à me remercier. Vous êtes perspicace, nous travaillons pour la même personne. Rassurez-vous, seuls ceux qui doivent être au courant le seront. N'allez pas penser que vous avez un panneau autour du cou. Ce serait dommage de ne pas profiter de votre mort avec les autorités..."

La jeune femme jeta un œil vers la porte mais le vigile n'y était plus. Il devait vérifier ce qui se passait dehors. Elle commença à boire donc tranquillement un peu du café avant de poser la tasse. Le molosse entra dans la salle et s'approcha d'une des serveuses avant de venir vers le bar. Il jeta un œil à Dilinger, et se souvenant qu'il était des leurs, n'hésita pas à transmettre quelques informations à la jeune américaine.

"- C'est le bordel dehors. Pas mal de taules froissées, et du ravalement à faire sur le bâtiment mais aussi une bonne dose de sang à mon avis rital vu la tire et le reste des mecs. On a surveillé la rue de l'étage quelques minutes, les clients peuvent sortir, le seul truc qui puisse leur arriver c'est de gerber sur leurs pompes à 500$ alors leur file pas trop de cacahuètes et passe moi une pomme, j'ai un creux."

La délicatesse même... Angie était en train de coller les informations bout à bout pendant qu'elle attrapait une pomme bien rouge et brillante de la corbeille à fruit et la passa à l'homme. Des italiens... le con de blondinet... son coup de fil... merde! Elle lui avait filé l'autorisation pour ça... Qu'est ce qui avait pu foutre un tel merdier?

"- Bruce!?"

Le chargé de la sécurité haussa les épaules en croquant à belles dents dans le fruit juteux.

"- Ch'ais pas... -scrounch- ... pour le moment, on attend de voir si ça bouge un peu dans le tas et si les flics se pointent."

* j'aurais vraiment dû rester chez moi... * pensa la jeune femme. Encore une belle journée qui se finissait en beauté!

John ne pu s'empêcher de rire a la remarque de la jeune femme. Un revenant...Il en avait même l'apparence. Il ressemblait plus a sa qu'a autres chose mais il pouvait encore bosser. Une banque et il ferait a tous les coups des merveille. C'était si simple comme boulot, un masque une arme et un quartier chaud, les condition parfaite!! Le police est si simple a berner!! De plus le FBI va chercher a le faire croire mort le plus longtemps possible, c'est un mythe du Maine qui s'écroule d'après Hoover dans le journal. Lui mort, de quoi faire rire les autres, Homer, le rouquin et tous les autres. Il l'avait suivit partout, iles étaient tous mort pour lui...Sa seul façon de les remercier était de vivre a leurs place...Mais pour sa pas de problème.


"- Il n'y a pas à me
remercier. Vous êtes perspicace, nous travaillons pour la même
personne. Rassurez-vous, seuls ceux qui doivent être au courant le
seront. N'allez pas penser que vous avez un panneau autour du cou. Ce
serait dommage de ne pas profiter de votre mort avec les autorités..."

A nouveau le mort vivant rigola, ne prenant un peux de temps que pour boire une gorger de café. le liquide chaud lui brula la langue puis la gorge mais lui fit le plus grand bien. Il savoura la gorger avant de répondre.

-Oh ne vous inquiéter pas, tant que le FBI arrivera a faire croire ma mort personne ne me pensera vivant. Regardez les 3 hommes que vous avez virer, il y a pas si longtemps de sa ils auraient tenter de me tuer pour éviter que je cambriole la banque ou est planquer leurs magot. Aujourd'hui c'est limite si ils me regarde sans vomir en pensant que je ne suis rien...Le FBI fait vraiment du bourrage de crane...Même si se coups si sa a faillit réussir.

Son teint parut encore plus fatiguer pendant qu'il repensait a cet triste journée ou Homer avait trouver la mort. Il revoyait chaque se pourri du FBI tenir la tête de son pote avec ce grand sourire idiot sur la face. Dillinger n'oublierait jamais cette photo qui avait fait la une de tous les journaux. La simple vue de cet homme lui ferait oublié tout. D'ailleurs elle lui avait fait oublier l'arrivée du vigile. En effet l'homme était la, fin et délicat avec la jeune femme devant lui. Cet homme a ça façon de parler avait bien trouver son job, tirer une tête de molosse et toiser les ptit pourri dans leurs costard coutant plus chère que la vie de Dillinger avant de les faire entré...De quoi se sentir en sécurité!! Néanmoins ses paroles l'intéressait. Une question le triturait seulement il préférait que l'homme s'arrête de parler et se concentre sur sa pomme. Ce qu'il fit avec soin et délicatesse qui lui sont propre. Johnny reporta son attention sur la jeune femme et lui sourit avant de prendre une mine un peux perplexe.

-J'avoue être un peux perdu. je sait que la ville est découper en quartier chacun diriger par un groupe seulement je ne sait rien de c'est groupe. Je sait que les américain sont en conflit avec les russe, en fin a ma dernière visite c'était sa. Et que les russes sont en froid avec la triade...Encore une fois a mon époque. Mais je ne savait pas qu'il y avait des Italiens. Il y a quoi d'autres, des Irlandais??

L'homme finit son café et regarda la la barman avec attention. Pour sa future carrière, il valait mieux connaitre ce genre de chose.