Erwin Zambero

Prénom: Erwin
Nom: Zambero

Clan: Force de Police


Age: 43 ans


Classe: Le négociateur : pour vous tout peut être régler par la parole, votre meilleur arme c'est votre langue, vous arrivez à mettre facilement les gens dans votre poche en utilisant vos charmes, votre langage comme votre esprit tordu pour faire croire à votre interlocuteur que vous êtes de son coté...pour mieux le manipuler. Votre intelligence et votre expérience vous permet de vite cerner les gens et de les utiliser à votre avantage.


Métier:Directeur du F.B.I (si les admins sont d'accord ^^)


Orientation sexuelle: inconnue


Crimes commis: Aucun quelle question, on atteint pas un poste pareil en ayant du sang sur les mains. Et puis les ordres donnés sont applicables en fonctions de l'interprétation de chacun; donc peu importe qu'on puisse un instant penser que les cadavres fleurissent sur ma route; ce n'est en aucun cas de ma faute...

Description physique:
Le directeur du FBI est un homme qui frôle la quarantaine. vêtu d'un costume toujours tiré à quatre épingles, il semble se fondre dans la masse et ne pas attirer l'attention. Son attitude réservée et courtoise lui laisse un sourire discret sur le visage qui semble apprécier toutes les personnes qui viennent le saluer. Son visage est correctement rasé de frais dès que commence la journée et pour rien au monde le directeur, très imbu de sa personne, ne laisserai une tache entacher l'aura de bienfaisance et de propreté qui se dégage de lui. Il est l'image même du policier qui a réussit, toujours vêtu dans un costume trois pièces d'excellente facture et de coupe irréprochable, sobre mais de bon gout. Il ne sort jamais sans se munir d'une paire de gant en peau de chamois retournée et de petite lunettes noires derrière laquelle il cache l'hostilité d'un regard d'acier qui exècre la plèbe silencieuse qui grouille devant lui.

De par sa réussite sociale, il est homme à entretenir sa personne. Ses ongles sont toujours délicatement soignés, sa peau nette et son air au dessus de la de ceux qui l'observe. Brund de cheveux, il peigne sa coiffure avec grand soin afin d'éviter que l'air ambiant ne vienne salir sa personne. Son pardessus de cuir sombre qu'il porte été comme hiver dès que le soir tombe se complète artistiquement d'une feutre de même couleur. La pochette de soie qui vient généralement agrémenter la sobriété luxueuse de son costume est la seule fantaisie colorée que le directeur se permet. Il compense de fait une carrure fluette et plus petite que la moyenne ( 1 mètre 65 pour 62 kilos) par ses costumes élégants et ses tenues raffinées.



-Description mentale:
Erwin est un chacal. Il cache sous ses traits délicats une attitude malsaine et vicieuse qui est le reflet des années passées à traquer le crime dans une ville aussi sordide qu'un bas fond de l'enfer. Le masque qu'il se forge lui sert à cacher les émotions malsaines qui animent perpétuellement son esprit malade. Hautain, austère, fier de sa réussite, ambitieux (il se dit dans les couloirs de son organisation qu'un morse à des dents moins longues que lui) il sait s'entourer de gens fort qui compensent son propre manque physique. Il les attire en leur faisant miroiter de meilleurs places ou en les faisant chanter. Il manie à la perfection la carotte et le bâton, sachant récompenser correctement ceux qui l'aide en servant ses ambitions, et entrant dans de noires colères que ses subalternes ont appris à fuir lorsque la chance le fuit.

Le directeur du F.B.I est toutefois une personne qui sait garder son sang froid dans la plupart des occasions. Il est extrêmement calculateur et ne prend des risques qu'après les avoir longuement réfléchis. Il ne se salit jamais les mains lui même préférant mettre à contribution les personnes qu'il a sous ses ordres. Par contre, son sadisme exacerbé le pousse à participer en tant qu'observateur à tout les "interrogatoires" un peu trop poussé qu'il fait pratiquer dans les sous sols de son bureau d'investigation. Une petite manie qu'il a mis en place lorsqu'il est arrivé à la tête de l'établissement et qui pourrait lui couter cher si elle venait à tomber dans l'oreille de sa direction...

Pour en finir, il faut bien avouer qu'on arrive pas à un tel niveau de direction sans n'avoir confiance en personne, une maitrise que le directeur à poussé à son paroxysme puisqu'il est extrêmement paranoïaque. Il n'aime pas savoir que des personnes peuvent agir sans qu'il est la mainmise sur elles. Aussi fait il procéder à de discrètes enquêtes sur la moralité des gens, confiant les renseignements obtenus à de petits carnets noirs qu'il enferme ensuite dans un coffre. En cette période trouble de l'histoire ou l'homosexualité et le jeu sont honnis de la société bien pensante américaine, le monde de luxure dans lequel traîne Erwin est une manne sans fin. On parle de députés, de sénateurs, qui ne peuvent rien lui refuser....mais certains pourraient chercher désormais à se débarrasser de ce petit fouineur un peu trop puissant.


But/rêves: Prendre la tête du département judiciaire et devenir le maître incontesté de la ville. Un autre moyen que de passer par la pègre en somme; mais le résultat diffère peu. . .



Attributs: 45 pts, minimum 3 et maximum 8.

Force: 5
Volonté: 6
Perception: 6
Charisme: 6
Chance: 6
Vigueur: 5
Agilité: 4
Intelligence: 7


Dévotion envers le clan: (votre attachement envers le clan en gros) vous choisissez entre 3 et 8 cela ne prends pas en compte vos points d'attribut c'est juste pour savoir si vous êtes un possible traître ou un fidèle de votre mafia prêt à tout pour elle. Bien sûr il y a une utilité mais ça vous le verrez IRP ^^ : 6


Points de vie: Vigueur x 10: 50


Compétences de classe: Six au choix dans la liste.
- Diplomatie
- Persuasion
- Connaissances des procédures
- Armes à feu
- Perspicacité
- Falsification


Inventaire: points en référence à votre place dans le clan
- Briquet, Zipo : 5pts
- Appareil photo : 70pts
- Boîte de 30balles pour armes de poing : 35pts
- Jumelles : 10pts
- Lampe torche : 5pts
- 30 mètres de corde : 35pts
- vêtements de rechanges : 50pts
- Holster : 5pts
- Gilet part balle : 100pts
- Mercedes 770 : 150pts

Browning GP. 35 : Modèle: semi automatique
Calibre: 9 mm
Chargeur: 9 coups
cout en points : 155 pts
Portée : moyenne portée
(Soit 820 points sur 950; reste 330 points.)


Comment avez vous connue le forum ? (sa c'est juste pour moi et le staff ^^): Par Shaka... Oui, je sais ce n'est pas un exemple mais c'est comme ça.

Kikou ^____^

Alors une fiche de patron de F.B.I c'est pas tout les jours mais ça fait plaisir.

Pour les descriptions physiques et psychologiques:

Peu de chose a redire sur tout ça. Le personnage une classe plus que reconnu ce qui colle plutôt bien avec le poste qu'il occupe, Jusque deux trois détails sur son physique pour commencer, j'aimerais que tu mette la taille approximative d'Erwin ce qui pourrait être plutôt utile pour les personne allant rp avec lui même si tu précise qu'il a une carure fluette cela ne donne pas vraiment sa taille car avec les diverses éthnie sur le forum les normes change rapidement suivant les personnes ^^, ensuite tu met que ton personnage à les cheveux blond ce qui n'est plus le cas sur son avatar si tu pouvait change ce détail aussi

Rien d'autre à ajouter Erwin a un caractère bien trempé qui on pu le hisser jusque là, une raclure du coté de la loi...

Pour l'histoire:

L'histoire est conter de façon non courante ce qui pour ma part me plait pas mal, un peu d'innovation ça fait pas de mal. On apprend donc depuis combien de temps il est à ce poste le nombre d'années qu'il a mit pour y accéder et plus ou moins comment il a fait. On peut voir facilement ses méthodes et sa façon de pense ce qui est plutôt plaisant. Il manque quelques petits détails a mon gout tout de même concertants les proches de ton personnages, à 43 ans a tu de la famille? une petite femme? un gosse?

Tu as fait tes étude a Yale dans le Connecticut je suppose donc que ta famille (parent principalement) est toujours la bas ou tu y étais pensionnaire comme cella ce fait souvent? Enfin voilà les quelques petit points qui manque pour ma part, tu devrait pouvoir les intégrer facilement au début de ton histoire dans la sorte de préface que tu a fait ou bien vers la fin de ton histoire pour ta fammille a toi ^__^

Pour les attributs et les compétences:

Je n'est rien a redire sur tout cale qui peux facilement etre exploiqué dans la vie de ton personnage et dans son éxpériance pour se retrouver à ce poste.

Pour ton inventaire:

Je vois que tu as prit un médipak, comme tu n'as pas la compétance médcine tu ne poura pas te servir de tout ce qu'il y a dedans mais cela reste utile si tu connait un bon docteur qui soigne à domicile. Pour les points quil te reste je te conseille d'opter pour une arme de rechange ou une autre arme suplémentaire

Voilà o/ à Allen de voir ce qu'il manquerai à son goût ^^

Personellement je suis tout a fait d'accore avec notre chère Li Wei!
Je le vois bien dans son rôle ce personnage... Vraiment rien à redire!

Une fois les informations manquante rajouter (sur la famille)


En tout cas, bienvenue parmis nous mon cher o/
( j'espère mener quelques duels verbals avec vous monsieur... )

Histoire:

Un bureau dans le soir couchant, les murs blanc et vide hormis une peinture criarde de Leworsky sur un côté. Une épaisse moquette grise, quelques sièges, un coffre mural derrière un long bureau d'acajou. A la table, un homme froid, le regard perdu vers l'immense baie vitrée se lève et accède à la vitre, jetant un regard protecteur sur la cité qui se développe à ses pieds. Un instant, sa main passe sur la fenêtre sur laquelle une tache graisseuse est apparu dans le cour de l'après midi; puis il se saisit de son mouchoir avec lequel il frotte lentement la saleté avant de replier le tissus dans un carré presque parfait qu'il dépose au fond de sa poche. Gauche. Un coup d'œil rapide à sa montre gousset qu'il referme d'un petit claquement sec; puis sa voix reprend le discours qu'il avait interrompu pour venir à l'endroit ou il sied désormais.

"... Reprenons voulez vous M. Hermann, je suis un homme occupé.
Ce que vous me relatez ici me semble tellement grossier que je ne peux penser un instant que vous puissiez croire vos paroles.

Permettez moi un petit rappel. Ça va faire trois ans que vous me tournez autour... En fait, Depuis que j'ai accédé au poste de directeur du FBI, vous n'avez eu de cesse de ternir ce bureau pour en faire un entreprise à arnaques que votre feuille de chou dénonce quotidiennement comme la plus grosse ironie de l'establishment américain. Vous poursuivez chacun de mes hommes avec assiduité, prétextant voir en chacun d'eux un ersatz de gangster et votre écriture de pisse-merde publie toutes les semaines les sois disantes frasques sexuelles ou alcoolique qu'aurait pu avoir un de mes hommes dans la ville; quand ce n'est pas les tortures et autres vilennies que le service ferait subir aux accusés pour obtenir des aveux plus flagrants. Je commence à vous trouver un peu pénible cher Frantz.

- Et pourtant les faits sont là, M. Zambero, j'en suis formel et je possède même une cliché que j'ai moi même...
- Je connais vos sources M. Hermann, et même si vous me dites que vous avez vous même pris la photo, je n'en serais jamais sûr. Sincèrement, regardez moi. Je suis sortis major de ma promotion à Yelle, je suis entré dans la police judiciaire à 23 ans, et j'étais alors un des mieux noté de ma classe. Ça fait désormais 18 années que je fais ce travail et j'ai réussi à grimper tout les échelons de la hiérarchie, réussissant à m'attirer les faveurs du public et celles de la presse politique en adjoignant aux rues sures une remarquable efficacité. Soyez honnête pour une fois Hermann, reconnaissez que depuis que j'ai pris la tête du FBI, la criminalité à fortement régressée dans les rues et le citoyen lambda que vous êtes peut sortir au cinémascope sur B. Boulevard sans plus rien craindre pour ses économies. "

Sans un mot, le journaliste ouvrit sa mallette et déposa sur la table entre les deux hommes un cliché qu'il poussa du bout des doigts vers le directeur revenu de sa vitre. Sur la reproduction, on pouvait sans soucis reconnaître Cesare Carissimo, le don; et lui faisant face, un homme malingre en pardessus sombre et au col relevé. Les deux homme se serraient la main et l'italien avait un sourire lupin affiché sur le visage.Le directeur jeta un œil sur la photo sans qu'aucune émotion ne transparaisse sur son visage.

"Voyez vous Erwin, j'ai réussit à faire ce cliché un soir , sur les quais, alors que je savais que Don Carissimo avait un rendez vous secret. J'ai mis pas mal de temps à pouvoir identifier celui qui lui faisait face... Mais sur le col on peut voir que la main qui retient le tissus porte une bague et regardez (avec un flottement, il s'empare du second cliché qui trainait dans la mallette), sur cet agrandissement, on observe que ce'est une de ces bagues de facultés qui sont remises au premier de leur classe. Je ne vous apprendrai rien en vous disant qu'il n'y avait pas énormément d'élèves en 1914 à Yelle et qu'à la suite des enrôlements dans la grande guerre, vous n'êtes plus que trois encore en vie. L'un de vos camarade se trouve en Californie et le second est resté en France; vous êtes le seul à avoir pu contacter Don Carissimo. Si on ajoute à cela les rumeurs non prouvées faisant état de l'assassinat de votre précédent chef, le père d'Allen, Marvyn par ce même Carissimo et qu'on pense que tout le monde vous voyait bien à l'époque prendre la tête du service de la police, on peut faire tirer beaucoup de choses de ses clichés. Surtout que personne ne pensait que le jeune Allen allait vous couper l'herbe sous le pied..."

Le poing du directeur du FBI se blanchit fugacement avant de redevenir calme et serein. Il eut un petit sourire sans joie en regardant le fouille merde qui lui faisait face, trônant dans sa joie d'avoir pu épingler le chef du FBI, ses bajoues ballotantes pleines d'une sueur acide qui ne manquerait pas d'abîmer le siège de cuir sur lequel son postérieur trop épais était posé. Lentement, saisissant les deux photos, le directeur se rassit.

"Très bien Hermann, je suppose que vous êtes venu pour discuter puisque cet entretient n'est pas connu ni de votre , ni de ma hiérarchie. Que souhaitez vous? "

Erwin se carra dans son propre fauteuil, son pied allant presser le petit bouton rouge d'alarme silencieuse qui se trouvait sous la table. Il n'avait plus qu'a patienter, écoutant d'une oreille distraite les paroles débiles que déblatérait son vis à vis. Il lui faisait désormais horreur, et chaque seconde passée en sa présence était de plus en plus insupportable. Il aurait presque prié pour que ses deux gorilles arrivent plus vite. Lorsqu'enfin la porte s'ouvrit lentement, il eut un petit sourire méprisant qui obligea son interlocuteur à se retourner, faisant dans le geste, crisser le cuir de son siège tout en éparpillant une pluie de gouttelettes de transpiration.

" Très cher ami, laissez moi vous présenter Matthew et John. Le premier a été victime d'une longue et douloureuse procédure de divorce débutée par la parution de photos qui le montrait en charmante compagnie. Le second a été obligé de changer de service ou de démissionner pour ne pas salir l'image de la police à la suite d'un article sur les interrogatoires poussés qu'il faisait. Il est, je suppose, inutile de vous préciser l'auteur des articles à chaque fois... Il se sont présentés d'office pour vous raccompagner lorsqu'ils ont appris que vous alliez passer nous rendre une petite visite."

Les gorilles s'empressèrent de se saisir du bonhomme avant de le rouer de coup de poings pour le faire tomber. Au sol, le pseudo journalistes de bas étage couinait sous la grêle de coup qui s'abattait sur lui, chacun porté avec force et précision. Lorsqu'enfin ses cris de gorets stoppèrent, il n'était plus qu'une masse de chair tuméfié qui aspirait l'air à petites goulées tout en gémissant, surement la cause de plusieurs côtes cassées ou fêlées.

D'une voix sifflante et amusée: "Vous allez apprendre qu'il y a des sujets un peu trop grand pour une merde de votre classe Hermann. Malheureusement, vous comprendrez ça trop tard lorsque vous rôtirez dans les décombres de votre appartement..."

Le directeur du FBI reprend sa place devant la fenêtre, regardant à nouveau la ville qui se déroule sous ses pieds alors que le corps gémissant du gros homme est trainée vers l'ascenseur du hall, les yeux roulant dans le visage ensanglantée, horrifié de ce qu'il vient d'entendre. Un long cri parvient aux oreilles d'Erwin alors que la porte de la machine se referme sur ses hommes. Sa tête se tourne vers son bureau sur lequel les deux photos tachées de sueur et de gouttes de sang de sa victime traînent. Négligemment, il ramasse les photos et leur jette un coup d'œil dédaigneux avant de les envoyer dans son coffre. Sacré Marvynn, s'il avait compris qu'il devait le laisser prendre les choses en main au lieu de toujours vouloir être bon et dévoué... La direction de la police, ça s'apparente à de la politique, pas à une assistance sociale pour les démunis. En écoutant calmement plutôt que de rembarrer le directeur du FBI, Erwin n'aurait pas été obligé d'en arriver à une solution aussi extrême. Si seulement les pontes du gouvernement n'avait pas préféré installer ce lambin d'Allen, il aurait enfin la place qui lui revenait de droit! Et la ville serait on ne peut plus sûre...

Quelque part dans Chicago, un appartement brûle, un homme gémissant à l'intérieur. Personne ne connaitra le secret de M. Zambero. La paix est à ce prix parfois . . . Ce soir, comme à son habitude, le directeur de la section d'investigation de la police de Chicago rentrerait chez lui, seul.Un appel à son père qui résidait encore dans sa ville natale peut être, vieux sheriff à la retraite, puis nouveau, il se plongerait dans ses dossiers. Le journaliste n'aura été qu'un inconvénient de plus sur la route du pouvoir, un cancrelat qu'on écrase sans même sans rendre compte. La solitude ne gênait pas Erwin, au contraire, elle lui permettait de se concentrer sur son rêve: un jour, la ville reposerait dans son poing.











Voilà, désolé pour la césure, mais avec les modifications demandées, je n'entrais plus dans la place requise

C'est rien, on comprend lol
Fiche Accepter! Vue que les modification ont été fait
Voilà: Pour ne pas me répéter xD~

Allen Lawson a écrit:

j'autoriserai la VALIDATION de la fiche!

En tout cas, bienvenue parmis nous mon cher o/