Mafia war's
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Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis
 
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 Viatcheslav Dostoïevski

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Viatcheslav Dostoïevski
Détenteur de mister méchant dit "Viat' le terrible tueur de membre nouveaux venut" 1930/1932
Viatcheslav Dostoïevski



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MessageSujet: Viatcheslav Dostoïevski   Viatcheslav Dostoïevski Icon_minitimeDim 22 Juin - 13:59

Prénom: Viatcheslav
Nom: Dostoïevski
Patronyme: Raspoutinevich ( Son pére se nommait Raspoutine, nom courant à l'époque, sa famille habitant dans un coin plutôt reculé mais gardant de fort lien avec les autorités. Ce nom peut signifier "à la croisée des chemins", souvent donné au gens habitant dans des trou perdus, mais il signifie indirectement "le débauché", ce qui convient mieux au chef de la mafia rouge.
Clan: Russe.
Age: 45 ans
Classe: La Vipére:
Métier: Braiski Krug de la mafia Russe / Percepteur des impôts de Chicago.
Orientation sexuelle: Bi

Crimes commis:

Russie:
-Meurtre sous couverture gouvernementale ( Connut);
-Meurtre avec préméditation ( Connut);
-Racket(Connut);
-Appartenance à l'ex-bourgeoisie Tsariste (Connut);
-Sectarisme (Connut);
-Incendie (Non connut);
-Entente avec l'ennemis ( Connut même si faux.);
-Trafic de cadavre (Connut);
-Destruction de cadavre (Connut);
-Destruction de preuve (Connut);
-Intimidation de témoin (Connut);
-Abus de pouvoir (Connut);
-Agression de représentant de la loi (Connut);
-Contrebande (Connut);
-Dégradation et destruction de bien public (Connut);
-Dégradation et destruction de bien privée (Connut);
-Vol divers (Connut)
-Empoisonnement(Connut);
-Séquestration (Connut).


Europe (Est, Ouest, méditéranéenne):
-Vol Divers;
-Meurtre en série dont la majorité sous couvert gouvernemental (Connut mais gardé secret par ses "employeurs");
-Dégradation de bien public (Connut);
-Dégradation de bien privé (Connut);
-Empoisonnement (Non Connut);
-Abus de pouvoir (Connut);
-Meurtre en temps de guerre (Connut);
-Insubordination ( Connut mais tout à fait faux.).


U.S.A:
-Association de malfaiteur (Reconnut).
-Meutre (Non Connut, mais soupçonné);
-Proxénetisme (Non reconnut mais soupçonné.);
-Blanchiment d'argent( Non-reconnut)
-Détournement de fond ( Non reconnut)
-Racket( Non -reconnut)
-Intimidation de témoin (Non reconnut);
-Destruction de cadavre (Non reconnut);
-Séquestration (Non reconnut);
-Abus de pouvoir (Non reconnut);
-Empoisonnement (Non reconnut).



Tatouage et signification[Russe]: Les tatouage de Viatcheslav sont nombreux mais le plus souvent masqué dans un autre, plus grand.
Sur le doigt ( index) de la main gauche: Un Crâne.
Sur la main Droite Soleil au Crépuscule( dans la paume.) Une tulipe ( Sur le dessus de la main.)

A la main Gauche Une petite croix( Sur le dos de la main.) Un coeur enlacé par des épines ( Dans la paumes de la main.).

Sur le Torse:
Un Chat rouge, tenant à la gueule une souris verte, sous ses pattes se trouve un souriceau jaune tandis qu'un autre à l'air canin est mort juste à coté tandis qu'un amas de chair rappelant la forme d'une balance brisé se trouve non loin.

Dans le dos: Un homme à l'air reptilien, baigné de lumiére à plusieurs bras, le bas du corps est celui d'un serpent. Dans une main, il tient une poupée, dans une autre, il a un serpent se mordant la queue. Une troisiéme est posé sur un batiment ressemblant à une église. Cette derniére comporte trois tours et une coupole, elle semble en ruine. La derniére main tient un homme étranglé par la queue de serpent de la créature. Un de ces reptile disposant d'un 666 entre les yeux est mort écrasé sous la queue de la créature à plusieurs bras. Dans la bouche de la bête à plusieurs bras, on trouve une femme hurlante, cette derniére tenant une rose.

Sur la tête:
Du fil de fer barbelé ( A la base des cheveux à l'extréme limite entre le visage et la partie colonisé capilairement, si bien qu'il est hardue de voir le tatouage sans investigations poussées.)

Sur les deux genous:
Une étoile noire sur chaque genoux.

Sur l'avant bras:
Un matricule:
-en chiffres arabe (859328);


Sur les épaules.

Signification: Le matricule n'en n'a aucune. La petite croix signifie que le russe est un voleur, ou du moins l'a été. Son coeur à appartenus à une femme ( coeur enlacé par des épines.). On peut voir qu'il fête sa liberté en ayant un tatouage de soleil au crépuscule sur les mains. Viatcheslav montre son appartenance à la caste des meurtriers avec un crâne tatoué sur le doigt. Le barbelé à la base des cheveux montre que l'homme était condamné à perpétuité. Les étoiles montre que jamais le chef de la mafia rouge ne s'agenouillera devant quiconque. La tulipe montre ses débuts en tant que tueur. Le chat, quand à lui posséde diverse signification et rare sont ceux à le voir ou le comprendre, étant donné qu'il faut s'approcher pour discerner les détails du tatouage. Le félin montre le désir du Russe d'écraser ses adversaires, tant maffieux que représentant de la loi. Les souris ont été ajouté au fur et à mesure sauf celles de la gueule et sous les pattes, ayant été laissé sans détail jusqu'a l'ajout de couleur.

Tatouage du dos: Prédateur sexuel, homme prudent, assassin aguerris, proxénéte, ne balancera aucune information sur la mafia rouge ou ses partisants, quatre passages en taule ou assimilé, prison avant la majorité

Description physique: Viatcheslav, homme au physique si peu spécial. En effet, doté d'une taille n'exédant pas le 1m75, le chef de la mafia russe est quelqu'un d'assez trapus, large sans pour autant être gras ou musclé. Doté d'une chevelure presque aussi blanche que la neige de sa terre natale, on peut ressentir son âge qui va bientôt le faire passer dans la classe de la cinquantaine, ce qui ne semble pas le gêner outrer mesure étant donné que le briscard rouge se trouve plutôt bien conservé, le poid de l'âge ne se faisant pas encore trop sentir. En parlant de cela, un lueur vive laissant transparaitre une jeunesse d'esprit perce à travers son regard, ce regard si troublant, de par sa couleur jaunâtre, qui semble percer l'âme et bien plus encore. Autour de ces yeux en amande à l'étrange couleurs, semblant avoir été affiné par quelques mains divine, on trouve un visage assez bien conservé, sur lequel se trahis une fine cicatrice sur l'oeil droit, souvenir d'une jeunesse révolus. En descendant le long du visage fin, on trouve un nez quelques peu aquilin sous lequel la moindre trace de moustache n'est pas repérable. On note cependant une légére barbiche à peine travaillé au coupe-choux, où au dessus se dessine des lévres peu épaisse. Une boucle d'oreille pendante, quelques peu oblongue, suspendus au lobe du russkov par une petite chaînette en argent. Loin d'être un élément décoratif ordinaire, le bijou s'ouvre en son milieu par un pas de vis et révéle une petite aiguille reliée à un petit réservoir contenant généralement un poison virulent, souvent du cyanure dans le cas de l'objet présent. En continuant d'observer le corps du quadragénaire, on trouvera facilement son buste, ce dernier étant recouvet d'une quantité non négigeable de tatouage. Il suffit de bonne base pour avoir en direct la vie du Braisky Krug, même si certains de ces "dessins" sont confus, voir incompréhensible tant le moindre détail compte. Mis à part ces qualigraphie définitive, de nombreuse cicatrices sont présentes et leurs formes élargis montre la violence des coups et le peu de soin prodigué aprés que ceux-ci furent porté. Plusieurs brulure d'origine diverse montre les diverses tortures que subit le russe dans son passé, il est même possible d'observer de beaux impact de balle- tres esthétique- à divers endroit du corps. Si l'on ommet les manque de chair, les amalgames de peau et les scarrifications diverses et multiples, il n'y pas grand chose à voir sur Viatcheslav. Il est à noter que ses bras n'ont pas été épargné par les torture et des balafres recouvrent ses veine ainsi que le haut du biceps droit. Les mains du soviet' sont ce qu'on peut appeler de belle paluche, malgré les tatouages qui recouvre en partie cette extrémité de membre. Sur l'un l'annulaire droit, une magnifique chevaliére trône. En argent massif, gravé des insignes de la mafia, formé par un enchevêtrement solide de métal précieux dans lequel se trouve une petite pierre précieuse incrusté dans l'oeil du tigre. Il faut dire que ramasser un coup de poing alors que le russkov porte cette bague est loin d'être une partie de plaisir, l'impact prenant son tribut en dent dans le meilleur des cas, le pire étant qu'un poison recouvrant parfois le métal pénétre par une plaie causé par l'imposant bijou. Sur l'autre main, une bague apparait quelques fois, peu de monde peut prétendre l'avoir vu de prés. Ceux qui en connaissent l'existance, et peu de mafieux sont dans ce cas de figure, appele ce petit bijou sobre, "le baiser de Judas". En effet, la petite bague posséde sur sa surface lisse et dorée, une sorte de petit pique large mais assez long et effilé pour pénétrer la peau de maniére tres peu douleureuse, comme une piqure à la seringue, tout en injectant de virulant venin ou poison de derriére les fagots dont le Brasky Krug a le secret. Mis à part cette verroterie quelques peu dangereuse, le chef de la Organizatsiya porte des vêtement assez simple, le distinguant à peine du plus modeste de ses hommes. Sauf bien sûr, si l'on ommet de faire une analyse rapprochée desdit fringues. En effet, plus épais que la normale, plus lourd mais aussi souple et résistant afin de ne pas gêner les mouvements du "rouge", les habits de quadragénaire sont taillé sur mesure par un couturier "made in maison". De fines baguettes de métal sont cousus dans les manches des avants-bras afin d'augmenter dans une certaines mesure la résistance du vêtement aux tranchant des armes blanches légére. Appréciant beaucoup la culture asiatique ancienne et traditionnele, cousin de quelques centaine de kilométre, Viatcheslav a fait confectionner pour son usage, plusieurs type de vêtement en papier tressé extrémement résistant tout en étant léger, même si cela l'épaissit légérement selon ce qu'il porte. Pour l'instant et jusqu'a ce jour, seul son bras droit est au courant de ces frasques vestimentaires venuent d'orient. On ne pourrait conclure cette partie concernant le physique sans évoquer l'endurance non-négligeable de l'homme de Kamtchaka, offert d'abord par ses gênes mais aussi et surtout par l'exercice millitaire dans de rigoureuse condition.


Dernière édition par Viatcheslav Dostoïevski le Mer 3 Sep - 17:39, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Viatcheslav Dostoïevski   Viatcheslav Dostoïevski Icon_minitimeDim 22 Juin - 13:59

Description mentale: Le Rouge est un type plutôt discret, quand il est dans un jour qu'on citerait comme "commun". En effet, un visage impassible, une gueule à faire peur, un oeil vif et attentif et le même jargon qu'une pierre tombale font qu'on confond tres souvent le russkoff avec...ses gardes du corps, du moins jusqu'a ce qu'il prenne la parole pour botter le cul de ces "p'tit branleurs" qui savent pas reconnaitre le boss même si il n'avouera jamais que cette situation l'arrange . En effet, bien que d'un grand calme habituellement, ou du moins, d'un relatif retrait par rapport à la situation, les coléres de Viatcheslav sont crainte par tout ses officiers, les autres membres de la mafia ne le voyant jamais ainsi, ou alors, c'est la derniére chose qu'ils contemplent étant donné que ces même personnes sont responsablent de telle sautée d'humeur. Religieux Orthodoxe, l'homme de Kamtchaka ne respecte aucun des commandements, le seul pont qui peut le relier à la Théologie est qu'il prononce toujours une petite priére avant de commetre un "méfait" et faut dire que notre gars n'en est pas à ses premiéres récitation. On peut également dire que le braiski krug est quelqu'un de réfléchis sous les airs destructeurs de ses noires courroux et c'est ce qui le rend dangereux, car on pourrait penser que notre homme ne serait qu'une brute arrivé là seulement à la force de ses petites mimines, mais ce serait vraiment mal le connaitre, le senior étant une personne sadique à l'excés avec ses ennemis, n'étant d'aucune pitié ou presque pour ceux qui l'auront forcé à sortir de ses gonds. Le russe est quelqu'un d'exessivement acharné qui lache rarement ses proies, à moins que la situation l'exige mais Viatcheslav garde toujours un chien de sa chienne à ses vieux ennemis...comme au nouveaux d'ailleurs. Personne cultivé par une soif de connaissance qui ne le quitte plus depuis sa sortie de prison en '19, le chef de la Organizatsyia apprécie de connaitre ses sujets de conversation et désaprouve le fait de s'aventurer en "terrain inconnus", c'est à dire, sans un maximum d'information, mais ça ne l'empéchera pas de foncer dans le tas où que ça soit. cette "méfiance"est la raison premiére pour laquelle le scarface soviétique apprends de ses erreurs sans honte et avec rapidité malgré qu'il ne puisse se vanter d'être une des grandes lumiére de ce siécle, le débauché est loin d'être con comme un manche. Cette soif culturelle peut donner l'impression d'une grande ouverture d'esprit à notre homme vis-à-vis des idées de son "personnel", mais c'est tout à fait faux, quand le chef cause, on ferme sa gueule, et on lui répond que si il le demande. Certaines initiatives personnelles ont été récompensé grassement malgré que Viatcheslav prenne cela pour une contestation directe de son autorité, ce qui à moins d'une éclatante réussite, ne se produira qu'une fois dans la vie d'un membre de la mafia rouge, c'est une bêtise que peu ont l'occasion de refaire puisque c'est toujours la derniére commise. Un autre trait marquant du patron est une certaine prévoyance voir même une grande méfiance, au vu des précaution qu'il prend dans ses décisions, le plus marquant étant le procédé de mithridatisation que Viatcheslav mit en marche des année auparavant et ayant pour but de le rendre résisitant à bon nombre de poison. Infatigable coureur de jupon, les somiers de la Cosaque témoignant, le russkov apprécit les femmes, surtout dans un lit, et cela malgré ce qu'il commence à éprouver pour son bras droit, femme entrant parfaitement dans ses critéres de beautée....comme tant d'autre en fait, mais ce n'est qu'un détail. Puisqu'on cause plumard, parlons également des mecs, plus rare à passer à la casserole, cette obédiance sexuelle est dû a son premier passage en prison durant lequel notre homme servit de Gigolo à la moitié de l'assemblée réunnit, bref autant dire que ça marque ce genre de truc et avouons que malgré qu'il fut profondément choqué à l'époque, le rouge s'aperçut tres tôt que ce genre de rapport lui avait plu et c'est ainsi que tout débuta. Mis à part ces quelques détails, le russe est un chef qui considére chacun des membres de sa mafia comme ayant un lien de parenté avec lui, bref pour lui la Organizatsyia est une grande famille dont il est le tuteur, protégant et aidant au besoin. Cette considération exessive de ses hommes -et de ses femmes pour les puristes- est une autre raison pour laquelle le débauché ne lache jamais prise sur qui que ce soit qui ait put lui faire du tord, à lui ou à un de ses gars puisqu'il considére ce genre d'événement comme une atteinte directe à sa famille et à son statut de Braiski Krug. Ce fait s'explique de maniére tres simple, il suffit de connaitre la définition du mot Chef pour Viatcheslav, en effet, un Leader se doit de protéger plus faible au sein du groupe, c'est son rôle, son karma, le double tranchant du sabre. On peut souligner que les traîtres et les solitaires disparaissent tres vite...surtout de maniére tres mystérieuse. Bref, pour résumer, le Dostoïevski est un chef doté d'une main de fer dans un gant de soie recouvert de pique en acier ( qu'il envoit souvent à la gueule des gens), parfois un peu rustre et protecteur...tant qu'on ne se fout pas de sa gueule. Il est important de dire tout de même que l'ex-gigolo montre beaucoup de respect à l'un de ses adversaires malgré de tres nombreuse différence idéologique, le russe apprécit les méthodes du type qui n'hésite pas à mettre les mains dans le cambouis pour faire bouger sa mafia, le "Don", celui qu'il considére comme le principale danger de cette ville. Cependant, sous des airs de bon parrains, l'héritier Dostoïevski est un homme dénué de tout sentiment humain à proprement parler. Notre homme n'hésitera pas à "débroussailler" toutes la famille de ceux lui ayant causé du tord, à grande ou petite échelle, afin d'éradiquer les menaces. Ses méthodes sont véritablement inhumaine puisqu'il fera disparaitre toute trace de ceux qu'il envoit adpatres, visage, empreinte, dents, matériel et même les traces au niveau de l'Etat quand cela lui est possible. Cautionnant un régne par la terreur, le Braisky Krug fait savoir tres tôt à ses subordonné(e)s jusqu'où doit aller leur rentabilité afin de rester en vie, en contrepartie de quoi, le russe remplit de son mieux ses obligations de patron. On peut donc conclure qu'un esprit retord et froid se cache derriére une multitude d'autre psychée, toute plus trompeuse les unes que les autres...mais apres tout, qui le sait vraiment?

Signe distinctifs: Mis à part ses multiples tatouages, Viatcheslav à la manie d'aiguiser son rasoir lors d'une réflexion importante. Quand il s'énerve profondément, il a tendance à parler dans toutes les langues qu'il maitrise, donnant un baragouin incompréhensible que la morale réprimerait surement.

But: Rendre la mafia russe dominante

Histoire: Histoire: Kamtchaka, un 24 Février 1892 du calendrier Julien, par une journée humide et glacée typique de cette contrée, dans une riche famille moscovite, naquit le chef de l'actuelle Organizatsiya, Viatcheslav Dostoïevski. Le rouge passa ses tres jeunes années dans la ville de Petropavlovsk fondé en 1740 par un certain Béring. D'un pére russe patriote jusqu'au bout du shooter. Celui-ci avait été officier dans l'armée de son pays et profitait d'une certaine retraite depuis qu'il avait été blessé durant la défence héroïque de la ville en 1854, autant dire que le vieu ne se sentait plus. La mére, quand à elle, était une aristocrate Polonaise qui considérait la vie de maniére tres simple. Toutes les gênes doivent être misent de côté, et les humains en font partie...disons qu'elle mis de côté beacoup de ses problémes de maniére tres radicale. Grande maitresse des herbes et poison, cette grande dame enseigna à son gamin toutes les maniére qu'elle avait découverte dans la résolution de ce que la vie nous envoit comme probléme. L’existence s'écoulait presque tranquillement pour le futur mafieu. En effet, malgré l'autorité profonde et souvent violente de son pére, homme autoritaire et conservateur au plus haut degré, le gamin bénéficiait de tout l’amour qu’une même, empoisoneuse certes, mais aimante .. Sans doute tout aurait bien pu se dérouler pour le gosse si le pére n’avait pas décidé d’engager une autochntaune pour garder le jeune garçon, malgré les supplications de la matriarche légérement xénophobe et à vision rétro sur les peuplades locale. L’aristocrate ayant certainement préféré ramené une nourrice moscovite, supplication à laquelle le pére répondit d’une manière non négociable à propos de finance ayant la santé fragile, du moins pour le recrutement d’une simple nounou. C’est une belle jeune femme de Kamtchaka qui endossa le rôle assez attrayant sur le point pécunier, mais légèrement risqué au vu de la paranoïa latente de la maîtresse de maison. Cette dernière se tint tranquille, pendant les premières années, trouvant la force de gérer ses mauvais penchant, par les grandes claques dans la gueule que lui envoyait le mari quand elle avait le malheur de broncher de trop outrageuse manière. Jusque là, on peut se dire que la vie du jeune garçonnet se tient proche de nombreux gosse de riche de l’époque, rien de bien exeptionnel qui amènerait Viatcheslav à finir dans la mafia, ni même à affronter son houleux futur. Rien à ce moment là j’entends. En effet, après plusieurs années de bonne et loyale rétention paranoïaque, la maternelle en eu sa claque, surtout qu’elle soupçonnait son cher époux de déshonorer la bonne tout en continuant de l’honorer elle-même. Ce qui avouons le, n’était pas tout à fait faux. Le pire de tout fut quand elle découvrit que son fiston parlait courement le Kolyma avec sa nourrice, ce en quoi le pére ne voyait qu’un avantage pour le futur de son fils qui se devrait de maitriser la langue pour espérer se dévelloper dans le coin, ou au moins pour ne pas se faire arnaquer par les gars du coin, ce qui serait le pire déshonneur pour un vieux soldat légèrement aristocrate comme l’était le russe paternel. Malheureusement, cette vision de futur ne convenait pas à la polonaise qui s’empressa d’envoyer Ad Patres la nourrice adultére. Pour ce faire, elle employa son gamin afin de n’éveiller aucun soupçon chef la native Kamtchaka.. Le gosse était chargé d’offrir des gateau préparé par sa chère maman , en prétendant qu’elles étaient ses œuvres, pour la remercier de tout ses services. C’est après cet « élaguage en forme » comme disait la femme que la famille dû vider les lieux, la population devenant minoritaire par rapport aux premiers résidents, ces derniers se montrant même hostiles face à cette famille tres ouvertement soupçonné d’avoir tué l’une des leurs sans remords, ce qui n’était pas vraiment faux, du moins pour l’un des partie en présence. Nous sommes en 1895, Viatcheslav a 8 ans. Et là c'est le drame. Apres l'arrivé dans la nouvelle demeure famiale à Gorky, prés de Moscou, la situation en Kamtchaka étant devenus intenable suite à la mort de la nourrice et aux envies vengeresse des autochtaune en grand nombre, le futur chef de mafia nous fit son "Pierrelegrandtisme", il rejette "l'ancien". En effet, bien qu'encore innocent, le gamin était poussé par un étrange instinct à repousser ses géniteurs, comme si il avait été au courant du meurtre affreux dont était responsable sa mére, comme si l'adultére commis par son pére lui avait été communiqué, comme si le fait qu'une personne si chére à ses yeux ait pu s'évanouir dans le néant, comme une simple de bulle de savon touchant le sol. Ainsi décida-t'il de ne s'exprimer avec sa mére qu'en Kolyma, connaissant l'aversion de celle-ci pour la langue de Kamtchaka et de ne plus adresser la parole à son "daron", ou alors jamais en russe et seulement l'essentiel. Dieu sait comme un gosse peut-être plus têtu qu'un troupeau de mûle, et Viatcheslav plus encore que les autres. Et ni les rosserie du pére, ni les lamentation de la mére, la menace des maître, des prêtres et autres bien pensant n'y changérent rien. Toutes ces petites "mesquinerie" durérent jusqu'a tard dans la vie du gamin, jusqu'a ses quinze ans exactement. Sans doute était-il maintenant trop vieux pour jouer à ce genre de petit jeu, qui certes avaient grandement évolué depuis. En effet, maintenant le russkov n'hésitait plus à être violent avec la majorité des personne extérieur à sa maisoné tout en continuant d'emmerder souverainement ses géniteurs. Les vols de chose diverse commençait à se faire connaître sans oublier les violences que le sovietic fit endurer à bon nombre de personne, prétextant de soulager ses nerf, bref un comportement bien peu digne d'un bourgeois. En tout cas c'était l'avis du vieux militaire qui l'envoya pour un an en maison de correction, grâce à ses appuis, il n'eut aucun mal à y faire entrer son garçon, coupable d'avoir répudié quelque peu ses parents, de quelques malheureux mais nombreux, vols, de violences et d'autre chose, au final bien courante dans une famille de dingue comme celle-là.

Tout ne fut pas rose au début avouons-le. Ni même au milieu, un peu plus sur la fin, étant donné que c'est la fin. En effet, de par sa seule origine, Viatcheslav était une injure pour tout les autres pensionnaire du lieu. Lui venait d'une famille d'Aristo-bourgeois, et eux venaient de chez les ouvrier-paysan. C'est donc gaiement que le troupeau quelques peu paillard foutu sur la gueule du futur Braiski Krug, ce dernier n'ayant pas encore trop de force et de maîtrise combative pour se défendre à plus d'un contre un. Mais ces mésaventure participérent cependant à son succés non-annoncé puisque son corps se renforcait de jour en jour, a contrario de son esprit qui sombrait lentement dans une sorte de torpeur à la limite de la folie, ce qui aurait sans doute été mieux pour supporter ce premier bagne. La cerise pourrit sur le gateau de merde est sans doute le fait que le gérant du lieu, était un "ami" de la famille Dostoïevski, et surtout du pére en fait. Il prit donc un malin plaisir à casser au maximum le gamin récalcitrant, qui n'en demandait pas tant, je vous l'assure. Pour ce faire, Viatcheslav ne fut nourris qu'une fois par jour, coucha dans la pire chambre de l'établissement, accompagné de six autres enfants qui s'exercaient réguliérement sur lui aux percussion, lente ou rapide, avec ou sans baguette. Bref un an de ce régime rendit le gamin tres fermé et presque froid vis-à-vis du monde l'entourant mais cela s'avéra être en réalité en réalité une connerie monumentale. En effet, Viatcheslav passait juste par le début de ce qui le rendit tel qu'il est aujourd'hui, la pensée et l'intériorisation des sentiments. A sa sortie en 1907, ses parent le reconnurent à peine.


Dernière édition par Viatcheslav Dostoïevski le Dim 27 Juil - 12:39, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Viatcheslav Dostoïevski   Viatcheslav Dostoïevski Icon_minitimeDim 22 Juin - 14:00

Amaigrie jusqu'a un point assez conséquent, passablement amoché et surtout portant un regard étrange sur le monde environant. Malgré cet état, il ne fallut pas longtemps au russkov pour reprendre du poil de la bête ayant décidé de faire payer au centuple à son cher paternel, sa mére n'ayant rien à voir avec l'affaire passé du moins pas en apparence et même que dalle dans les fait. Pour ce faire, les "rapines" reprirent mais à une plus grand échelle. "A plus grande échelle", comprenez sur des choses plus remarquable qu'un vol à la tire. En effet, l'adolescent allait frapper son pére là où il pouvait lui faire mal, son argent. Les maisons du voisinage ne furent pas calme pendant cette période, loin de là, car un cambrioleur au méthode peu banal sévissait dans le coin. Un barouffe du diable réveillait en général toute la maisonné, le temps d'arriver sur place, une forme en boule se jetait par une fenêtre du rez-de-chaussé précédé d'un sac contenant l'argenterie et d'autre babiole. En générale personne n'arrivait à le chopper directement , le voleur semblant connaître le terrain et s'engoufrait tel un éléphant de mer dans une bagnole, dans tout ce qui lui permettait de s'avancer. Et puis il est malaisé de poursuivre quelqu'un en peignoir par moins 10. On constata également la dégradation de pusieurs objet non déplaçable, élevant encore la note déja salé du vol. On trouva rapidement le voleur puisque Viatcheslav disparaissait durant deux jours apres les vols, qui s'élevait pour l'instant au nombre de trois. Chose ignoré par beaucoup de monde, le gamin bradait les marchandise dans les tripot des bas quartier avant de se procurer de l'opium de la capitale pour la faire livrer en grande quantité dans la demeure familiale à une date prêvus. Tout cela avant de se faire gauler en retournant chez lui. La situation s'accéléra soudainement. Etant donné que le "butin" ne pouvait être rendus, la note salée à payé fut pour la pomme du paternel qui commença à avoir de sombre projet pour son gosse qui s'engageait sur une pente savoneuse. Mais le pére n'eut pas le temps de mettre tout cela à exécution, car un vol est un crime, et un crime est interdit, et un interdit transgressé est punis, punis par la loi. Aidé par les appuis du pére voulant tenter encore une fois d'assoir son autorité, la peine de prison du gamin passa de deux ans à cinq ans. C'est là que le russe découvrit qu'il ne serait plus jamais constipé, ses compagnon de cellule étant largement plus épais et en manque sexuellement que lui. Le temps passa lentement, tres lentement...le bois des paillasses n'enlevait en rien au charme de l'acte, au contraire les échardes offraient un piquant supplémentaire. On pourrait le plaindre, pourtant sa situation était ambigue par rapport à ce qu'elle aurait dû être ailleurs. En effet, bien qu'étant la fosse comune de ces messieurs, il était à la fois méprisé mais craint et respecté. le fait été qu'il était le favoris de celui qui gérait les lieux et que porter atteinte au gamin revenait à crever la gueule dans un chiotte crasseux. malgré sa rancune envers les autres détenus, Viatcheslav ne parvenait pas à profiter de sa situation qui lui faisait honte. Le temps s'écoula à une vitesse de robinet qui fuit goutte par goutte , et la guerre éclata...

Oh elle était loin, par delà les neiges et les terres gelé, mais elle était existante. Et la Russie y prit part. On laissa le choix aux âmes noire présente dans les même lieux que l'ex-petit bourgeois. Soit tous restaient ici, et finiraient par y crever, soit ils iraient crever pareillement, mais plus loin. La majorité choisit la seconde voie, et c'est ainsi que le jeune homme quitta son trou un peu plus tôt que prévus. C'est à Tannenberg que commença la carriére militaire du futur Braiski krug. On lui confia une baïonette émoussé et un fusil risquant plus de lui arracher les deux mains au premier tir plutôt que de tuer celui qui serait en face du canon. Lui et ses camarade était censé vaincre, selon les Français, les russes seraient le rouleau compresseur qui empêcherai cette guerre de durer...pourtant elle dura. Mal entrainé, mal armé, mal commandé, qui sait ce qui fit que l'armée rouge compressa ses ennemis aussi bien qu'une feuille de papier A4 compresse un bulldozer, bref ce fut la déroute et l'année suivante les belligérant allemand avait remonté le long des lignes, envahissant Lituanie et Pologne. Qui pourrait penser que c'est ici que ce qui fit l'actuel Viatcheslav Raspoutinevich Dostoïevski irait à sa rencontre. En effet, dans la troupe, on trouvait de tout, des rouges, des blancs, et d'autre couleurs désignant des idées. Pourtant c'est parmis l'écarlate sanglant que le jeune soldat rencontra des briscard de la grande mére, les conscrits du pays Blanc, qui lui apprirent de nouveaut mots, dont le mot "communisme". Alalala ces intellectuel, quel bande de chieur. Toujours à tchatcher pour te raconter des trucs que tu verra jamais. C'est ce que pensait le fils de bourgeois en ces instants là, pourtant l'un de ce qu'il qualifiait d'emmerdeur réussit à le faire rêver, un pays meilleurs, une égalité de terre...c'était beau mais le gamin s'en branlait un peu à la base, mais au fur et à mesure, le militaire devint un fervent défenseur de cette idée..le..leeee...le communisme, c'était ça. Le défenseur avait d'abord accepté cette idée parce qu'un monde aussi idyllique ne permettrait pa à des types comme son pére de rester ce qu'ils sont, mais d'aller crever au fond d'une geôle bouffé par des rats, quand on vous disait qu'il s'aimait, on faisait bien de parler au passé. A partir de ce jour, Viatcheslav devint un soldat exemplaire et un peu trop tête brulé au dire de certain. Usant et abusant d'une certaine chance, il arivait toujours à s'en sortir avec des blessures non-mortelle ou peu handicapante. Au vu de la forte mortalité en vigueur dans l'armée tsariste, et les officiers n'étant pas insoumis à cette régle, le jeune homme devint Caporal, obtenant par là même dix hommes sous ses ordres. Les résultats n'étaient pas mauvais, mais le contexte fit que même si cette décurie avait été composé de surhomme commandé par un demi-dieu, elle n'aurait pas permis de résultat pouvant faire pencher la balance, et ici c'était deux fois cinq paysan vétéran et un gamin pré-pubére tête brulé qui était censé se rendre efficace. Oh, cette cour des miracle arrivait bien à prendre un hammeaux isolé, des tireurs en maraude à cours de bastos, des embuscé en convalescence mais rien de réellement important, juste que l'ambiance générale et l'amére goût de la défaite qu'avait les bouches bolchevique rendait ce que faisait le groupuscule digne d'un infime interêt. Tout ça, c'était avant les Carpates, en '16.

Cette partie de l'histoire sera révélé durant le rôleplay, si le sujet en est abordé. tout ce que l'on sait, c'est que la partie raconté jusqu'ici a disparus, comme si le Braiski krug était né en 1916, et là encore, on sait juste qu'il aurait géré un magasin d'alcool de quartier avant d'être mis en Goulag pour sectarisme, soutien à l'ex-bourgeoisie tsariste, tentative de corruption et diverse destruction publique. Mais pas en tant que résidant travailleur, mais plutôt comme un résidant travailleur garde chiourme. L'histoire reprend à l'arrivée du russe à Chicago.

C'est en 1930 que le Russkof débarqua clandestinement à Chicago, comme beaucoup des russes en ce temps là, mais lui était venus accompagné. Ils s'étaient fait des amis pendant cette traversée, sa constitution maintenant hors norme lui ayant permis de conserver un semblant de santé malgré toutes les saloperie qui trainaît dans la barge. Malgré la puissance de Capone qui dominait toute la ville et ses mafieux, Viatcheslav prit sur lui d'aller trouver les frére Yokarov ou du moins leur intermédiaire, et il se fit recruter par la petite assemblée. Bien qu'arrivé illégalement, le quadragénaire vint à obtenir ses papiers dans la semaine de sa venue, avant de se retrouver parmis les nombreux comptable de la ville. Sa progression sociale fut masqué par quelques pot de vin donné à des personnes que le russe sélectionna lui même malgré son statut de "petit nouveau". Le social suivant, il en fut de même pour le côté sombre du Rouge qui, en moins de trois mois, devenant les bras droit des fréres Yokarov. Le temps passa, le futur patron semblait calme malgré le nombre ahurissant de personne souffrant de symptomes étranges au sein de l'organisation, souvant suivient de mort par paralysie musculaire. Un doute plana mais aucun des médecins que l'on interogea ne décela de cause non-naturel à ces morts. A la "mort" de Capone, il était trop tard pour les frére chef, qui furent tué peu de temps apres, ne trouvant aucun soutien dans leur ancien allié, soit en pleine guerres internes, soit entre quatre planche, ou encore de l'autre côté de la Thomson. Ce fut la nuit sanglante, où la ville de Chicago déplora de nombreux mort partout dans la ville, les familles des pontes résidant un peu partout en ces temps de mixité. les autres mafia d'Europe de l'Est furent absorbé soit par choix manquant d emoyen, de main d'oeuvre ou tout simplement de volonté. Celles restantes furent absorbé à force d'intrigue tant financiére que par le chant de la poudre au soleil levant, toujours est-il qu'a la fin, il n'en resta qu'un comme dirait l'autre, et ce fut Viatcheslav Raspoutinevich Dostoïevski. Ce dernier fit une derniére estocade à la ville du crime organisé, se faisant nommé Percepteur des impôts de Chicago et sa région, révélant enfin l'utilité de ses vieux placements sur des "cheveaux sûr" qu'il avait effectué à son arrivé. Loin de cacher son statut mafieu ni même celui de chef de la mafia au contraire, les planquée ont toujours moins de pouvoir que ceux qui s'affichent. On l'aurait aperçus lors de racket, lors d'attaque, lors de contre-attaque et pas mal d'autre chose encore. Pourtant personne n'a jamais pu prouverque c'était bien et encore moins prouver qu'il ne traînait pas dans le quartier russe. Tout ses hommes le connaissent et savent de quoi il est capable, ou du moins l'imagine. Etrangement on ne trouve aucune trace de son existence dans les dossiers de police de la ville et de la région, comme si une âma malententionné avait décidé de se chauffer avec. C'est pourquoi chaque crime qu'il a put effectuer et effectuera iront rejoindre ce mystérieux dossier cendreux, caché derriére les buches. Un flagrant délis le ferait certes tombé...mais on en est pas là. Aujourd'hui, le braiski Krug est plus décidé que jamais à faire usage de tout ses pouvoirs pour conserver son territoire tout en attaquant ses adversaires aujourd'hui supérieur en nombre, mais même si il doit y passer le restant de ses jours. Le gros chat à serpe et marteaux dévorera les petites souris coloré...

Attributs: 45 pts, minimum 3 et maximum 8.

Force: 6
Vigueur: 7
Agilité: 5
Intelligence: 6
Volonté: 7
Perception: 5
Charisme: 4
Chance: 5

Dévotion envers le clan: 8

Points de vie:
Compétences de classe:
-Langues étrangére: Anglais émaillé d'un fort accent russkof, Polonais, Kolyma;
-Mitridilisation;
-Comptabilité;
-Art martiaux: Style personnel: En plusieurs années de baroude divers et de combat plus ou moins voulus dans des lieux plus ou moins incongrue, Viatcheslav a dévellopé un "art martial" lui étant propre mélangeant ce qu'il a pu subir, voir, pratiquer à travers sa carriére sur cette terre. Bien que bâtard, il ne faut pas sous-estimer l'efficacité du style, ayant eu de nombreux affinage afin de le rendre largement plus efficace que celui d'un simple baggareur chevroné et au moins aussi efficace que celui d'un bon combattant formé à un art martial spécifique depuis des années, la seul différence avec les autres types d'art de se battre à main nu, c'est que c'est le chef de la Organizatsiya qui l'a mis au point et dévellopé pour lui même. On notera l'usage fréquent du "décors" quand les circonstance l'oblige.
-Arme à feu;
-Poison et herbe.

Inventaire:

Rasoir coupe-choux avec nécessaire d'entretien ( cuir, créme, savon,blaireaux,etc...) 30pts
MauserC98 modéle Schnellfeuer (712) dans sa crosse étui. 210pts
Remington Derringer 70pts
Gangster Thomson 300 pts
Gilet pare-balle 100pts
Holster 5pts
Chargeur arme à feu vide 10 pts
Chargeur d'arme à feu vide (type camenbert pour Thomson) 10pts
Boite de munition pour Mauser C98 modéle 712 ( 30 balles) 35 pts
Boite de munition pour Thomson gangster (30 balles) 35 pts
Silencieux pour arme de poing ( MauserC98) acheté, les éventuelles marquage ont été limé. 30pts
Packard Sedan blindé, avec Deux Winchester et un Riot-gun sous la banquette arriére de même deux S&W baby à l'avant ainsi que deux matraque. total 1000pts
Nécessaire de chimie complet 100 pts
Flasque de Vodka "maison" 10 Pts
Chevaliére 50pts
Zipo 5pts
Paquet de cigarette 5pts


Dernière édition par Viatcheslav Dostoïevski le Mer 17 Sep - 0:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Viatcheslav Dostoïevski   Viatcheslav Dostoïevski Icon_minitimeSam 13 Sep - 14:30

Validé et c'est pas trop tot xd la partie inconnu de ton passé sera connu donc en avant les boites à MP ^^

Et au passage sacré liste de crime donc méfie toi la police est partout sinon dépèche toi de motiver tes troupes et de remettre à niveaux ton clan car les hostilité sont désortmais OUVERTE ^^
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