Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis |
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| Evey Xander | |
| | Auteur | Message |
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Evey Xander flic travestie et vendue
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (7/9) Dollars: 20 $ (20 $)
| Sujet: Evey Xander Dim 22 Juin - 3:09 | |
| Evey Xander / Leon Prayers Prénom : Evey [Prononcer Ivi] Nom : Xander Clan : Police Age : 27 ans Classe : Prince de la gâchette Métier : Service des renseignements Orientation sexuelle : Tout se mange. Elle fut contrainte de parvenir à apprécier la compagnie des deux sexes, en vue de sa condition spéciale et des mœurs de l’époque. Bisexuelle donc, en apparence hétérosexuelle sous le rôle qu’elle endosse à ce moment là. Crimes commis : Faux papier, fausse identité, informations données aux mafias, jamais découvert. Description physique : Evey possède en fait deux physiques pour elle seule. L’un où elle sera elle, Evey, comme elle le fut de naissance. Puis son autre facette, Leon, celle où elle ressemblera à un homme une fois déguisée. - Procédons par l’habituelle femme qu’elle est. Elle mesure environ 1m71, grande américaine de son âge. Les traits de son visage sont relativement fins, agréables à regarder. Nulle ride ne transgresse encore sa chair, s’assemblant à celle d’une pêche tout juste cueillie, lisse, fraiche et appétissante. Sa peau reste relativement pâle, sauf peut-être en été où elle prendra une teinte légèrement plus dorée, la demoiselle ne bronzant que très difficilement. Et puis, elle a bien d’autres choses à se préoccuper que ça… Ses yeux sont d’une couleur rouge sombre, presque sanguine après avoir légèrement noircit sous l’effet du temps. Autour est présent un léger maquillage entièrement noir, les accentuant d’avantage. Ils sont perçant, jamais elle ne baisse le regard devant une personne, toujours à le fixer dans les yeux, presque sans ciller. Elle ne le détournera quasiment que lorsque l’autre l’aura fait… Ses cheveux blancs parsemés de reflets mi gris mi violets retombent sur son visage, quelques mèches passent même au dessous de ses sourcils finement tracés. Ils sont relativement courts, derrière principalement, autrement les deux principales mèches qui ornent son visage lui arrivent en dessous du menton. Ils sont toujours plus ou moins ébouriffés, des épis passant de part et d’autres, sans l’aide d’un quelconque gel.
Son corps est fin, nulle graisse superflue ne transparait sur son corps lorsqu’il est dénudé. On devine la présence de muscles sous sa peau, sans pour autant être baraqué comme peu l’être un homme, Evey n’est pas fana du bodybuilding. Ressembler à une personne totalement informe à cause d’un trop plein de gonflette, très peu pour elle. Elle ne possède pas une énorme poitrine, elle a juste ce qu’il faut, quoi que peu être un peu en dessous de la moyenne. Mais elle s’en fiche pas mal, ainsi elle n’est pas beaucoup gênée dans ses mouvements. Généralement, elle aime se vêtir de son baggy noir, retenu à l’aide d’une ceinture noire à la boucle couleur argent. Son pantalon retombe sur des chaussures noires, basiques. Elle porte souvent des débardeurs, noirs ou blancs de préférence. Par-dessus surplombe une veste noire. Son manteau n’en sera pas réellement un, plutôt une fois de plus une veste en cuir lui arrivant juste en dessous des reins, rembourrée à l’intérieur grâce à de la polaire, idéale pour affronter l’hiver. Pour finir, elle porte des mitaines en cuir à ses mains, et ce à longueur de temps, qu’elle soit chez elle, dehors, dans un bar, etc. Deux crans d’arrêt stagnent chacun dans un poche de chaque coté de sa veste, dans lesquelles ses mains reposent les trois quarts du temps.
Sa démarche demeure assez souple, déterminée à première vue. Elle marche d’un pas vif, en de petites enjambées rapides qui lui procurent une vitesse de marche suffisante, à un rythme qu’elle maintient sans peine. Mains souvent dans les poches, elle se plait à observer tout autour d’elle, dévisageant la plupart des personnes qu’elle peut croiser. Sa voix est légèrement rauque, Evey forçant toujours dessus lorsqu’elle s’habille en homme. Plus le temps passe après son service et suivant le temps qu’elle a pu y passer, plus sa voix redevient comme avant, plus féminine. On pourrait croire qu’elle a toujours plus ou moins mal à la gorge, ou tout simplement un certain problème aux cordes vocales.
- Maintenant lorsqu’elle se déguise. Rien ne change sur son visage, outre le fait qu’elle ne se maquille plus, bien évidemment. Ses cheveux sont coiffés d’une manière différentes, mis en pagaille à souhait, des mèches partant vraiment un peu n’importe où, une bonne partie de ses cheveux rabaissés devant son visage, coté droit. En premier lieu, elle applique un bandage sur sa poitrine afin de la compresser, ce qui l’atténue fortement. A la voir ainsi, on ne distingue pas qu’il s’agisse d’une femme, d’autant plus qu’elle a prit l’habitude de postures naturelles afin que cela ne se remarque en aucun cas. Elle sera généralement vêtue de son uniforme, ou alors d’un costume trois pièces pouvant être porté comme vêtement de ville. Un grand manteau assez large fait d’une matière pouvant rappeler la peau d’un quelconque animal, chaud également. Pour son déguisement, elle a poussé encore plus loin dans les six derniers mois, rembourrant légèrement son pantalon pour donner l’illusion qu’elle possède quelque chose entre les jambes en cas d’un contact, mais ceci ne se voit pas en apparence. L’holster de son pistolet est dans son dos, accroché à sa ceinture.
Description mentale : Il n’y a pas trente six manières de percevoir le caractère de notre chère Evey. Pour commencer, elle se fiche un peu de tout. La vie n’est qu’un machin qui passe, tout ce qui nait est destiné à crever de toute manière, quelque soit le temps qu’il met pour y parvenir. Après vous l’appréciez ? Pas de problème, elle en fera surement de même, et vous montrera son bon coté, aimable comme il se doit. Par contre vous ne l’aimez pas ? Tant pis pour vous, pour ce qu’elle en a à battre… Pour peu qu’elle soit de mauvaise humeur, elle viendra passer ses nerfs à vif sur vous. Dans la vie quotidienne, elle ne blablate pas énormément avec des inconnus à cause de son caractère plutôt taciturne, sauf en dehors du travail. Pour parler avec elle, une chose est simple, il ne faut pas beaucoup s’attendre à ce qu’elle vienne d’elle-même avec un grand sourire colgate. Si vous venez elle entamera volontiers la conversation, et ce si votre tête lui revient, sinon elle prendra un malin plaisir à vous laisser dans le vent. En dehors de ces apparences, un véritable caractère de chien se cache sous ses cheveux blancs. Elle est très impulsive, et peut péter un câble pour un oui ou un non suivant son état de nervosité. Elle est d’une nature relativement mystérieuse, on ne sait presque rien sur elle. Déjà si vous connaissez rien que son nom de famille, soyez en heureux. Jusque lors, personne ne le connait. Elle donne son prénom, point barre. Evey est également dotée d’un grand sang froid, la panique ne monte qu’en des cas extrêmes chez elle. La vue du liquide vital ne la répugne pas, ne l’effraie pas, ne la réjouit pas. Ouais c’est liquide c’est rouge et ça pue le fer, mais c’est cool dites moi. Tant que ce n’est pas le sien ou celui d’une personne qu’elle apprécie grandement, elle n’en portera que très peu d’intérêt. Grâce à son instant, elle peut être poussée à faire des choses que d’autres n’oseraient peut-être pas en bon flic, comme trahir son propre camp en douceur. Mais elle possède toutefois un cœur, même si ça ne se voit pas, il est là, battant sous sa poitrine. Une tête de mule, elle va au bout de l’objectif qu’elle s’est fixé. Elle supporte aussi mal la présence de beaucoup de personnes autour d’elle, elle apprécie la solitude. Petite elle avait peur seule, mais depuis l’incident qu’il se passa, elle devint de plus en plus à même de vivre sans compagnie, bien qu’en ayant besoin de temps à autre. Elle n’aime pas dormir, vouant presque un culte à la nuit tombée. Si elle ne pouvait vivre que lors de la nuit avec sa grande quiétude, elle le ferait sans la moindre hésitation. Le silence… Elle n’aime pas ce qui est bruyant, repos pour les oreilles… En bref, coquille assez renfermée sur elle-même qui ne pleure pas et qui est dotée d’un très mauvais caractère… « Tu cherches tu trouves, à la moindre remarque je te bouffe ! » But/Rêves : Se venger de tous ses machos de flics, vicieusement sous son costume. Histoire : Des milliers de flocons ressurgissaient du ciel profondément noir, recouvrant sans vergogne la ville de New-York, inlassablement. Au sein de l’un des immeubles jonchant la ville, plusieurs personnes étaient regroupées autour d’un lit, et une allongée dessus, une femme qui poussait maints gémissements de douleur malgré ses dents serrées. La souffrance déformait son visage, et l’empêchait d’écouter correctement les conseils offerts par les médecins s’affairant à ses cotés. Trop de temps s’écoulait, mais en fin de compte il lui sembla que tout son ventre se vidait subitement. Le cri d’une vie nouvelle résonna, tandis que le dernier soupir en fut couvert. La mère venait de succomber à cet accouchement, d’épuisement à cause du trop grand temps passé. Quand au nouveau né, c’était une petite fille qui ne se rendait compte d’absolument rien. Les yeux rivés sur sa femme, le père ne lui prêta pas immédiatement attention. Pourtant quelque chose était frappant chez elle. Ses yeux étaient d’un rouge foncé, rappelant étrangement celle du sang. Puis le peu de cheveux qu’elle possédait, blancs comme la neige qui s’abattait dehors, purs, et pourtant si rares chez une personne si jeune… Dans les jours qui suivirent l’heureux évènement surpassé par un autre bien plus dramatique, le père reprit ses esprits, la réalité lui revenant en pleine tête. Il avait une fille, dont il allait devoir s’occuper seul. Vu ce qu’il s’était passé, il laissa tomber son coté macho, comme quoi les enfants n’étaient qu’à la charge des bonnes femmes. Il décida en cet instant de s’en occuper, Evey dans ses bras, grand sourire aux lèvres en le fixant. Il l’avait promis dans sa tête. Promis à la défunte. Dans les années qui suivirent, Evey n’eut pas à se plaindre de son enfance. Un père à l’écoute, qui lui offrait tout l’amour qu’un enfant nécessitait, elle ne souffrait presque pas de l’absence de sa mère. Gamine, elle portait déjà un grand intérêt à ce que faisait son père. Parfois il rentrait tard le soir, et quand la petite arrivait pour lui dire bonjour –gardée par une nourrice ou autre dans ce cas là-, elle lui demandait par moment ce qu’il faisait. Sa réponse comportait des variantes, mais voulait toujours dire la même chose : « Papa était parti pour arrêter des méchants ». Et dans ses rêves, elle s’imaginait aussi ainsi, tel le stéréotype de l’image de tous les mômes, le policier super gentil et super fort qui arrivait à bout de tous les méchants pas beaux. Outre les songes qui la parsemait la nuit, il lui arrivait de se déguiser pour essayer de ressembler à son cher papa, puis descendait dans le petit parc à coté de chez elle pour aller jouer avec ses copains, aux gendarmes et aux voleurs aussi, en toute innocence. Mais tout n’était pas rose, ce que ces gamins ne savaient pas, c’est qu’ils étaient épiés depuis quelques temps par un groupe d’individus situé dans un appartement miteux, dans l’immeuble délabré d’en face que tout le monde pensait inhabité depuis fort longtemps… Une après-midi ensoleillée en plein été, tandis que les enfants étaient seuls à jouer, au nombre de dix, sans adultes aux alentours puisque le quartier s’était toujours maintenant tranquille, plusieurs hommes entièrement vêtus de noir sortirent de l’ombre. Ils étaient grands, de carrure imposante, longue veste sur leurs épaules, chapeau vissé sur la tête ne laissant pas entrevoir leur visage. Cinq, ou quatre peut-être. Les gosses ne virent rien venir sur le coup, bien trop absorbés par leur jeu enfantin. D’un coup, l’un de leurs copains fut attrapé par l’un des hommes et poussa un cri perçant, laissant tous les autres stupéfiés par la scène qui se déroulaient sous leurs yeux. Le temps de réaction se fit forcément plus long, et ce fut le tour de trois autres. Là plus de doutes possibles, les libres partirent en courant tout en hurlant à plein poumons, cherchant à attirer l’attention, et surtout du monde. Les rideaux s’ouvrirent, des adultes voyaient la scène et bon nombre commencèrent à descendre en courant les escaliers de chez eux, reconnaissant pour la plupart leur enfant ou celui de leur voisin. Presque tout le monde se connaissait dans ce petit patelin. Les kidnappeurs n’étaient pas fous à lier, ils prirent la fuite avec les enfants qu’ils avaient attrapés, et rejoignirent bien rapidement une camionnette qui les attendait non loin avant de démarrer en trombe, et disparaitre aussi vite que possible de tout champ de vision. Evey sentit d’un coup une grosse boule lui remonter jusqu’à la gorge, puis elle tomba à genoux et se mit à pleurer en de chaudes larmes. Elle se sentait seule, démunie. Elle venait tout juste de prendre conscience qu’il y avait bien peu de chance qu’elle les revoit un jour, ses amis. Puis le choc du moment aussi, elle aurait pu y passer également. Elle marmonnait sans cesse, appelant son père malgré la voisine d’à coté qui était venu, et la gardait dans ses bras comme pour la consoler. Rien à faire d’elle, tout ce qu’elle voulait c’était son paternel, elle se débattait à moitié d’ailleurs, puis finit par se calmer en conservant un regard vide rivé sur le sol. Enfin la police arriva, et elle eut l’honneur de voir pour la première fois son père en uniforme, comme il le lui avait si souvent bien décrit suite à ses demandes incessantes. Sauf qu’elle n’y prêta pas vraiment attention, en fait elle n’avait même pas vu qu’il était là. Ce ne fut qu’une fois qu’il lui posa la main sur l’épaule qu’elle le sut, et se jeta dans ses bras en pleurant de plus belle. A partir de ce jour-là, tout changea dans sa vie, la petite fille profondément choquée par ce qu’elle venait de voir, vivant cela comme un violent traumatisme. Du jour au lendemain elle devint plus molle, presque sans vie à fixer le ciel par sa fenêtre. Elle ne mangeait presque plus, ne jouait plus, et gardait cet air mélancolique, vide, dénué de tout sentiment en dehors de la tristesse. Une gamine dont on avait l’impression que l’âme avait été arrachée, une retombée sans vie, ou presque. | |
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| Sujet: Re: Evey Xander Dim 22 Juin - 3:09 | |
| Les autres années qui passèrent se firent sur le même schéma. Evey ne vivait plus, elle survivait. Elle ne parlait presque plus, rejetant presque toute forme de société. Très troublée dans un premier temps, rien ni personne ne semblait pouvoir la faire sortir de son petit monde. La peur constante de revoir ces hommes, la vision, les cris des autres resteraient gravés dans sa mémoire à tout jamais. Elle suivit des études comme la plupart des personnes de son page, son père l’ayant envoyé dans une école assez réputé. Le même trouble continuait, elle n’adressait la parole à personne, et restait dans son coin, même si parfois quelques bonnes âmes lui lançaient diverses invitations. Au bout de deux mois, tout le monde avait renoncé, cela semblait être une chose absolument impossible. L’albinos ne faisait qu’étudier, et ne prêtait aucunement aux remarques qu’on pouvait lui faire. Elle était dans la moyenne des autres élèves, et commença à se trouver une passion aux alentours de ses seize ans. Le déguisement, c’était une chose qui semblait l’intéresser, la seule quasiment. Après quelques recherches de vêtements, elle parvint à peu prêt à faire la réplique des hommes en noirs, avec le chapeau et la plupart des éléments qu’ils possédaient. La seule chose qu’il lui manquait, s’était bien la taille et la carrure. Elle ne pratiquait aucun sport en dehors de celui des cours, à part peut-être un peu de musculation pour son propre intérêt. Elle voulait pouvoir se défendre si ce genre d’incident se reproduisait. La vision de son reflet déformé par les souvenirs, voila bien une chose qui la motivait d’avantage. A ses dix-huit ans, une seule idée fixe tournait au sein de sa boite crânienne. Suivre les traces de son père, arrêter tous les connards qui pouvaient commettre de tels actes. Une envie de vengeance qui la poussa à faire ce choix, si bien qu’un matin elle alla voir son père, puis lui fit directement part de ses intentions futures, et lui demanda pourquoi pas un coup de main. Elle était persuadée que ce n’était que la seule chose qui puisse l’aider à sortir de son état de névrose, combattre le mal, tout comme son vieux. En fait elle l’admirait depuis toute petite, lui qui se battait pour le bien des autres, contre ceux qui ne méritaient même pas de vivre à ses yeux. Grâce à l’aide de son père qui sembla se remplir d’une joie que sa fille choisisse cette vocation, il fit tout pour l’aider à intégrer une école de police, ce qui arriva assez rapidement. Au bout de deux ou trois mois, elle suivait le début de sa formation. Elle suivait avidement tous les cours, retrouvant une certaine essence de vie, mais ce n’était pas encore ça, loin de là. Elle y resta un an, comme tous les autres apprentis, à apprendre à manier des armes à feu, mais également des couteaux à coté. Puis elle apprit les rudiments, et s’intéressait plus spécifiquement à tout ce qui touchait du monde des renseignements. Une fois sa formation achevée, son diplôme obtenu du premier coup, elle fut mise en service, mais pas dans le domaine voulut au départ. Lui apprendre un peu le reste, elle parti donc dans le civil pour une durée de quelques mois seulement. Tout allait bien à ce moment là, mais ce ne fut que plus tard que tout commença. Une vision toute autre que celle qu’elle avait toujours imaginé. Enfin Evey put intégrer le service des renseignements, trois mois après ses vingt ans. Sa première semaine de service se passa plutôt bien au sein de son équipe, mais ce ne fut qu’après que ceci dégénéra. De véritables machos qui apparurent par la suite à ses iris, ils n’y allaient pas de main morte, à l’humiliation même. Comme si c’était une paire de couille qui donnait la valeur d’une personne, quelle bande de cons. Au début elle ne disait rien, toujours à moitié dans sa bulle, taciturne comme ce n’était pas permit. Elle ne parlait que pour le travail, et encore. Mais au fur et à mesure que le temps passait, elle se rebiffa, adoptant pour commencer un bien mauvais caractère en dehors de sa mélancolie atrocement poussée. Alors elle commença à gueuler sur eux, sans ne savoir la raison qui les poussaient à faire cela. Peut-être juste parce que c’était une femme, surement même, ou alors pour voir si elle réagissait, l’aider à sortir de sa transe habituelle. Curieusement elle s’ouvrit plus au monde, et plus le temps passait, plus elle devenait blessante dans ses propos, tel un petit agneau qui a trouvé le moyen de sortir du voile obscure qui l’entoure… Sa mutation en loup ne faisait que commencer, elle le savait, elle savait qu’un jour elle obtiendrait sa vengeance, mais il n’était pas encore arrivé. Elle voulait se montrer vile, pouvoir se moquer de tous ses abrutis sans qu’ils ne s’aperçoivent de rien, aveugle au-delà de leur propre égo. Elle resta ainsi durant quatre ans, avant d’enfin se décider à agir pour de bon, commençant à sérieusement ne plus en pouvoir de cette mentalité de merde. Caractère de chien qu’elle s’échopper, à la moindre petite remarque de travers elle bondissait toutes griffes dehors, comme une tigresse juste après la naissance de ses petits. Un jour elle eut une idée en voyant les déguisements qu’elle utilisait gamine. Elle pensa à se travestir, puis commença à mettre en place un stratagème pour. Ce n’était pas simple au début, sa démarche, sa poitrine, tout était encore bien trop voyant bien qu’elle s’habille de la manière d’un homme. En deux mois, elle parvint à trouver le juste équilibre, son déguisement était presque parfait, il ne lui restait plus qu’un point sensible. Sa voix, elle était bien trop féminine pour passer pour un homme, même pour un eunuque à la rigueur. Elle s’entraina donc longuement à forcer dessus, comme si elle avait mué lors de son adolescence. Une fois que tout ceci fut accomplit, elle le testa en sortant dehors. A première vue, personne ne semblait se retourner en la regardant avec des yeux ronds. Puis elle tenta le coup avec une personne qu’elle connaissait depuis un moment. Elle sembla ne pas la reconnaitre sur le coup… Quelques regards étranges, mais la personne sembla laisser tomber au bout de quelques minutes. Il fallait encore qu’elle perfectionne tout cela, mais lorsque la volonté est là, on est capable de tout. Une fois que la première phase de son plan fut terminée, elle songea à autre chose. Des faux papiers seraient désormais l’idéal. Peu de temps auparavant, elle se faisait bizarrement une fixation sur tous les faux monnayeurs, et d’autres papiers aussi insignifiants qu’une carte d’identité… Elle alla voir cet homme en dehors de la ville, s’étant renseignée un peu avant. Il aidait les émigrés à se procurer de faux papiers, c’était l’homme qu’il lui fallait. Après marchandage, elle parvint à obtenir de faux papiers, pour un « ami » de longue date tout juste débarqué d’Europe… Il était sincère à ce que l’on disait, jamais il ne trahit le moindre des personnes ainsi aidée. Trois jours après, il avait disparut de la circulation, nul ne put dire ce qu’il s’était passé. Evey venait tout juste de faire ses vingt cinq ans. Elle donna sa démission à son groupe, affirmant grandement sa haine envers eux, partant en laissant un grand scandale évacuer ses bronches. L’albinos salua son père dont elle n’avait toujours pas quitté le logis, mimant le fait qu’elle ne voulait plus vivre sous son aile. Elle ne lui indiqua pas où elle se rendait, mais jura de passer le voir de temps à autre, et de lui envoyer des lettres, ce qu’elle fit de manière régulière. Elle s’embarqua dans un train en direction de Chicago, rêveuse face à la liberté qui s’offrait à elle. Elle avait bénéficié d’argent pour son déménagement de la part de sa branche paternelle, et n’eut aucun mal à se trouver un logis dans cette grande ville. Trois semaines après, elle se rendit au quartier de police, puis chercha à se faire embaucher sous son faux nom, Leon Prayers. Un faux diplôme à l’appuie aux assemblances vraies, même un faussaire s’y serait laisser tromper. Vu qu’elle avait de l’expérience dans ce domaine, elle put réintégrer directement le service de renseignement, ce qui la changea fortement, bien plus que ce dont elle s’y attendait. Terminer les réflexions de types bourrés à la testostérone, elle se sentait libre, égale à tous. Mais elle conservait sa haine, qu’est ce qu’il ne fallait pas faire pour bénéficier un peu de respect… Personne ne la prit à son jeu, elle prenait garde à chaque seconde passée. Quant à chez elle, elle avait adopté un peu stratagème. Elle habitait une petite maison, et s’était arrangée pour la faire passé comme quelque chose en duo, une maison séparée en deux, chose invisible de l’extérieur. Dans la première partie vivait Evey Xander, et dans l’autre Leon Prayers. Dans un recoin, une porte menait de l’autre coté, mais la porte était toujours fermée à clef, camouflée par un meuble et de la même couleur que le mur, sans jointure externe. Par la suite, elle prenait un plaisir fou à voir tous ces hommes tomber dans son pièce, la prenant inexorablement pour un membre de la même anatomie qu’eux. S’en était presque jouissif, et au sein de sa tête, elle leur en foutait vraiment plein la gueule. Que des pensées obscures, les rabaissant plus bas que terre. Ceci n’était valable que pour la police, les autres elle s’en foutait. Homme en service, femme dans la vie de tous les jours. Elle prit connaissance des mafias, et commença à avoir une sorte de sympathie envers elle. D’après ce qu’elle put voir ou récolter comme information, les femmes avaient autant d’importance qu’un couillu… Elle commença même à les prendre en respect, mais se devait de faire son travail, et récoltait autant que possible des informations sur eux. Suite à la chute de Capone, elle crut bien que tout ceci allait s’arrêter. Mais ce fut loin d’en être le cas, au contraire. Début 1931, elle se mit une chose encore plus folle en tête. Sous son apparence féminine, elle se rendit dans un bar américain, et chercha à contacter un membre de cette mafia. Une fois chose faite, elle leur délivra quelques informations, sur les autres mafias ainsi que sur la police. Chose qui lui rapporta un peu d’argent. Pourquoi le clan américain ? Juste parce que c’était son origine. Elle ne donna jamais d’information sur elle, uniquement son prénom, Evey. Elle prit goût à ce petit jeu, puis aller régulièrement déposer sa dose d’information dans ce bar… Dans la suite des évènements, son chef fut tué. Elle fit semblant d’en être touché, juste semblant, rien à foutre de ce vieux crouton, il pouvait bien partir en paix. La seule chose qui la gêna, c’est qu’un nouveau venu fit son apparition. Lui elle ne l’aimait pas, juste parce que c’était le fils de l’autre peut-être. Ou qu’elle ne le connaissait pas, mais elle ne craignait pas qu’il la découvre… En fait non, elle ne le détestait pas plus que les autres. Puis sa vie continua ainsi, elle prenait de son service, touchait sa paye, et livrait ses infos en bonne corrompue par elle-même. Affaire de vengeance. Attributs : Force : 5 Vigueur : 5 Agilité : 6 Intelligence : 6 Volonté : 5 Perception : 6 Charisme : 5 Chance : 7 Dévotion envers le clan : 6 Points de vie : 50 Compétences de classe : -Arme à feu (pistolet) -Arme de mêlée -Déguisement -Baratin -Perspicacité -6eme sens Inventaire : -Matraque -2 crans d’arrêt -Browning GP.35 -4 ensembles de vêtements supplémentaires : *Un treillis militaire délavé avec une veste verte assez claire *Un Jean avec une veste en Jean *Uniforme de police (homme) *Costume trois pièces (homme) -Sac à dos -Holster -Zipo -Chargeur d’arme à feu vide -Jumelles -Silencieux pour le Browning -2 boites de balles pour arme de poing -Ration de combat Comment avez vous connue le forum ? Via un top site Petite précision : A chaque fois qu'elle se changera, je changerais l'avatar en conséquence et l'appliquerait en début du premier post après son changement afin qu'il n'y ai pas de confusion .
Dernière édition par Evey Xander le Dim 22 Juin - 15:16, édité 1 fois | |
| | | Zhao Li Wei Miss bouffeuse de chien trouillarde 1932 *Admin*
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| Sujet: Re: Evey Xander Dim 22 Juin - 15:10 | |
| Kikou ^_____^
Belle petite fiche, deux, trois fautes de frappes pas vraiment grave. Alors je n'ai presque rien à redire pour ma part juste une ou deux questions que je me pose mais Allen passera voir si certaines chose le chagrine.
Lorsque tu va donner tes renseignements aux américains, que prends tu comme précaution pour qu'ils ne te suivent pas? Tu vie dans le même appartement je suppose pour tes deux identités il serait donc facile pour eux de te griller. De même pour les forces de polices il suffirait qu'un de tes collège viennent te voir et tombe sur toi en femme pour se poser des questions. Leur à tu fournis une sorte d'alibi au cas où cela arrive?
Pour les attributs je verrais bien un point de plus voir deux si tu trouve ou les prendre en chance ce qui pourrait t'aider ^^
Sinon j'aime beaucoup cette fiche et le principe du personnage.
Je laisse la parole aux autres et a Allen en particulier ^__^ | |
| | | Evey Xander flic travestie et vendue
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (7/9) Dollars: 20 $ (20 $)
| Sujet: Re: Evey Xander Dim 22 Juin - 15:18 | |
| Bonjour, J'ai tout marqué dans ma fiche à ces propos. Pour les américains, elle ira en simple femme, et tout le monde ignorera qu'elle est flic en vue de ses apparences. Ensuite pour qu'ils ne la suivent pas elle est relativement prudente, et à leurs yeux ça ne sera qu'une simple informatrice... Puis même si ils voyaient où elle habite, ça ne changerait pas grand chose je pense. Puis pour le fait qu'une personne frappe chez elle, il y a deux parties dans la maison. Une maison séparée en deux dont il n'y a normalement aucun lien entre les deux. Lorsqu'elle se rend d'un coté elle réside en femme, et de l'autre ce sera en homme, donc si on frappe on la verra comme elle doit être. - Citation :
- Quant à chez elle, elle avait adopté un peu stratagème. Elle habitait une petite maison, et s’était arrangée pour la faire passé comme quelque chose en duo, une maison séparée en deux, chose invisible de l’extérieur. Dans la première partie vivait Evey Xander, et dans l’autre Leon Prayers. Dans un recoin, une porte menait de l’autre coté, mais la porte était toujours fermée à clef, camouflée par un meuble et de la même couleur que le mur, sans jointure externe.
Ensuite j'ai modifié un peu les attributs comme conseillé. | |
| | | Zhao Li Wei Miss bouffeuse de chien trouillarde 1932 *Admin*
Feuille de personnage Points de vie: (40/40) Munitions: (0/0) Dollars: 40 $ (***** $)
| Sujet: Re: Evey Xander Dim 22 Juin - 15:24 | |
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| | | Allen Lawson Chef de la police solitaire et négligé
Feuille de personnage Points de vie: (40/50) Munitions: (60/60) Dollars: 60$ (140$)
| Sujet: Re: Evey Xander Sam 28 Juin - 1:21 | |
| Je vous Salut Futur membre de la flicaille de chicago!
Bon, aprés une longue attente déplorable (j'en suis navré!)
J'ai lut toute la fifiche, et rien ne m'a dérrangé, tout est expliqués, aucune remarque particulière Non j'ai rien à dire! Personnage intéréssant et un bon relay en RP! ( tout les points/compétance sont expliqués et bien distribué! o/) Tu vas avoir du boulot au sien de la police!! (mème si t'es notre fuite TT') Bienvenue chez nous o/
Je te Valide en tant que flic miss! Et encore désolé pour l'attente alors que la fiche est parfaite!
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| | | Zhao Li Wei Miss bouffeuse de chien trouillarde 1932 *Admin*
Feuille de personnage Points de vie: (40/40) Munitions: (0/0) Dollars: 40 $ (***** $)
| Sujet: Re: Evey Xander Sam 28 Juin - 10:42 | |
| Fiche déplacé et locké.
Tu recevra un mp avec ton salaire sous peu (tout comme les derniers fraîchement validée dsl pour l'attente.) | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Evey Xander | |
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| | | | Evey Xander | |
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