Elisa Borisovna Andreï v2

Prénom : Elisa
Nom : Andreï
Patronyme : Borisovna
Clan : L’Organizatsiza

Age : 24 ans

Classe :
La vipère : Voyou, délinquant, marginal...vous êtes un dur, un fouteur de merde. Votre instinct de survie est surdéveloppé en général, et vous savez comment survivre dans ce monde pourri, à savoir en vous battant et en usant de vos aptitudes sournoises... Ici, c'est vraiment votre monde.

Métier : Gérante d’un bar

Orientation sexuelle : Bisexuelle

Crimes commis :
Lors de son premier meurtre, publique, Elisa connut un nouveau sentiment celui de tuer. Elle ne put bouger tellement l’expérience qu’elle avait vécu l’enchantait. Par la suite, elle tua par plaisir ou par sécurité. Ce pouvait être des femmes avec qui elle s’amusait à des jeux d’adultes puis, son esprit sadique prenait la place et s’en occupait. Elle tua aussi des hommes pour sa sécurité, ou tout simplement par une envie soudaine. Certains voulaient se faire plaisir et agresser une femme juste par ce que ça leur plaisait ou parce ça amusait les copains. Ceux qui pensèrent à lui faire ça ne sont plus de ce monde. Bien d’autres morts jonchent dans son sillage mais si vous ne voulez pas en faire parti, arrêter de fouiller ma vie.

Tatouages et signification :
Une partie de sa vie est gravé dans sa peau. Commençons tout d’abord par son omoplate gauche, son meilleur tatouage, d’un point de vue esthétique et richissime en informations. Un serpent s’enroule autour de trois tours sombres et finit par se mordre la queue : Voyez par-là que Elisa a fait trois années de prison et qu’elle ne livrera jamais une quelconque information sur la mafia ou ses partisans. Aux alentours des trois, plusieurs personnes. Tout d’abord, un homme s’étouffant sous la pression d’un serpent et tenant une rose : La russe est un assassin aguerri et a fait de la prison avant ses dix-huit ans. Non loin de l’homme, une femme cède au plaisir sous la morsure d’un serpent : C'est-à-dire qu’elle est un prédateur sexuelle. Question esthétique, toute cette scène sombre dans l’obscurité. Ces tatouages ne s’arrête pas là, non. Un soleil au crépuscule logeant sur le dos de la main gauche et un crâne sur l’index de la même main, voilà ces derniers tatouages : Par eux, Elisa proclame son état de meurtrière et sa liberté.

Description physique :
Elisa est une russe aux cheveux et aux yeux bleu, un bleu polaire dans les des tons foncés. Son visage est celui d’une belle femme avec des mâchoires plus ancrées, du fait des conditions de vie qu’elle a vécu et vit. Ses lèvres sont pulpeuses, recouverts d’un rouge à lèvres d’un ton bleu polaire. Revenons un peu à ses cheveux, des mèches rebelles coulent vers le sol et la majorité est attaché par un bout de fil, ils descendent dans son dos jusqu’en haut de ses fesses. Depuis son arrivée à Chicago, elle n’est plus habillée pareille qu’en Russie, ce qui est tout à fait normale. Jadis, moult couches de vêtements l’encombraient, l’empêchant de se faire mordre par le froid et de mourir. Maintenant, elle est vêtue du nécessaire, et quand je dis nécessaire, j’entends par là : Ce qui lui sert de haut pourrait être appelé de bout de tissu, il ne recouvre qu’une partie de ses seins, laissant apercevoir son soutien-gorge. Mais il cache tout de même ses épaules, à quoi cela sert-il ? Bonne question. Au bas de son minishort moulant, se trouve cousu sur deux centimètres une sorte de fourrure. Petit clin d’œil à son pays. Comme Elisa est une provoqueuse, elle porte un string qui se laisse largement voir à cause de son minishort. Et pour finir cette présentation de cette première tenue, elle porte des bottes qui remontent jusqu’au genoux dans le même style que son minishort, j’entends par là, la couleur marron et la fourrure. La russe ne porte pas que cela, elle se change de temps en temps, c’est bien normal. La plupart du temps, quand elle porte ces habits, elle laisse ses cheveux flotter au gré du vent. Son haut est toujours petit mais cette fois-ci recouvre entièrement ses seins, il est de couleur jaune. Elle porte un long sous-vêtement moulant noir par-dessous une minijupe jaune tenu par une ceinture marron. Ses chaussures sont basses. Dans cette tenue, il se trouve deux éléments de fantaisie. Le premier est une sorte de bijoux s’accrochant au cou. Le deuxième est une paire de gants. Il remonte jusqu’au milieu du haut du bras, et à son extrémité se trouve une sorte d’anneau dure, ainsi que toute une partie sur son avant –bras jusqu’au début de ses doigts. Pour compléter cette description, divers fourreaux peuvent s’agrémenter à ces vêtements, suivant son humeur ou ses missions. Ainsi qu’une petite sacoche où dedans, loge un carnet.

Description mentale :
Son caractère est difficilement descriptible mais je m’emploierais à le décrire de la meilleure façon qu’il soit. Tout d’abord, je commencerai par son caractère passé. Jadis, Elisa était quelqu’un de très sauvage et rebelle. Elle aimait transgresser ce qui était interdit. Elle n’avait pas d’ami. Rien qui ne pouvait la faire changer de façon de penser. Et cela ne s’améliora pas avec le temps. Suite à diverses altercations, elle devait faire de plus en plus attention à son entourage. Donc elle se renfermait de plus en plus sur elle. Toutes ces émotions finirent par sortir, mais elles n’auraient jamais du partir comme ça. Car c’est en tuant pour la première fois. Un nouveau sentiment avait vu le jour, le sadisme. Elle aima voir le sang couler, elle aima tellement le voir qu’elle ne put en bouger. Elle fut arrêtée mais ne s’en rendit pas compte sur le coup. J’allais omettre de vous préciser qu’elle fumait, buvait et se droguait. Elle avait alors seize ans. Et de temps en temps, elle échangeait son corps contre de l’argent. Autant dire qu’elle n’avait aucune éthique. Par la suite, quand elle arriva en Amérique, son caractère changea. Certes, elle avait toujours ces habitudes d’avant mais étant dans une ville nouvelle et intégrer la mafia, son intelligence avait fleuri. Tout avait commencé après son premier meurtre. Quand elle fut en prison ou quelque chose de ce genre, elle s’aperçut qu’elle pouvait lire sur les lèvres. Alors elle commença à s’entraîner durant ces temps de repos. Puis, à Chicago, elle apprit l’anglais, elle se devait de l’apprendre pour survivre. Elle mit du temps mais apprit les bases. Elle apprit aussi quelques d’autres langues, certes, cela ne lui servait à rien mais plus elle en apprendrait plus elle pourrait parler. Ce fut à partir de ce temps, qu’elle eut ce petit carnet avec elle. Elle y notait diverses choses : plans, mots de diverses langues avec traduction, points faibles, points forts.

But/rêves :
Elisa n’a pas de but. Elle souhaite juste survivre et prendre son pied. C’est pour cela qu’elle fait parti de la mafia russe. Dans celle-ci quasiment tout est permis.

Histoire : Voir après

Attributs :

Force : 6
Vigueur : 5
Agilité : 5
Intelligence : 7
Volonté : 5
Perception : 6
Charisme : 6
Chance : 5

Dévotion envers le clan : 8

Points de vie : 50

Compétences de classe :
Lecture sur les lèvres
Langues étrangères : A appris l'anglais et d'autres langues en cottoyant des gens, surtout grâce à son bar.
Armes de mêlées
Bagarre
Furtivité
Vol

Grade désiré :
Haut officier ou, en russe, Moujiki

Inventaire :
Poignard ;
Kusari Gama ;
Épée papillon ;
Sabre Kung-fu ;
Fourreaux pour chaque arme ;
Carnet ;
Sacoche ;
Deuxième vêtement ;

Comment avez-vous connu le forum ? :
Je demanda à Ryong Kazuki que je cherchai un fofo et il m’a donné l’adresse de ce rpg.

Histoire :

Avant la Mafia :

Ce fut en 1908 que sa vie commençât. Elle ne sut jamais pourquoi mais ses parents la haïssaient. Ils la frappèrent, l’insultèrent et nombre de choses qu’un enfant ne devrait connaître. Suite à cette relation entre parents et enfant, Elisa devint quelqu’un de rebelle, de sauvage. Quelqu’un de peu fréquentable. Dès son plus jeune âge, elle apprit la dure loi du plus fort et du « débrouille toi toute seule, chacun ses emmerdes ». Très jeune, elle dut se débrouiller pour survivre. Voler un fruit par là, une boisson par ci, qui fut au passage de l’alcool. Elle volait encore et encore pour ne pas avoir à revenir dans son foyer familial. Elle devint par la même occasion alcoolique très jeune. Durant ces escapades solitaires dans les pauvres rues de Russie, elle devait sans cesse faire attention, car depuis un incident avec un gamin un peu plus âgé, contrôlant des gosses sous la loi de la terreur, elle était devenu une cible. Elle l’avait vaincu. Tout cela avait commencé car ils s’étaient rentrés dedans par inadvertance. Tout avait dégénéré, le gosse s’était mis en tête que cela était une rébellion qu’il devait calmer au plus vite. Il perdit. Ses subalternes tentèrent de temps en temps de laver l’affront de leur boss. Ils ne connurent que échec sur échec. Enfin, elle ne gagnait pas toujours ses bagarres mais elle ne laissait jamais asservir et fuyait quand la situation l’exigeait. Durant son enfance, Elisa se prit moult coups, mais, à force de se battre encore et toujours, plongeant sans cesse dans une solitude absolue, elle sut survivre et se battre. Mais ce n’était pas assez. Chaque fois qu’elle abattait un adversaire, un plus puissant apparaissait…

Dans l’année de ces seize ans, alors qu’elle déambulait, elle découvrit par hasard un poignard. Ce fut à force de marcher sans but précis, laissant son inconscience guider ses pas, qu’elle le trouva planté dans un macchabée. Elle en retira la lame et la conserva. Elle en aurait forcément besoin puisque ses ennemis grandissait tout comme elle, et comme elle, les coups de poings et les coups de pieds s’estompaient pour être remplacés par des armes telles que la batte ou par une arme où l’acier froid tranche votre peau. La première fois que la russe se servit du poignard, un plaisir naquit en elle. Un nouveau sentiment. Un sourire s’esquissa au coin de sa bouche lorsqu’elle vit un flot carmin s’échapper d’un corps opposant. Elle en fut tellement ravie qu’elle oublia de fuir. Elle était tellement absorbée par les cris d’aide, de souffrance et de désespoir qu’elle en oublia son geste dit de « cruel » par des Hommes qui respectent aveuglément des lois bridant la liberté. Personne, dans l’entourage direct de son premier crime, ne bougea. Comme d’habitude. Tous étaient faibles et lâches. Plusieurs minutes après, des policiers survinrent. Une femme affolée par ce meurtre, mais assez courageuse pour surpasser son envie de crier et vomir était aller chercher des représentants de l’ordre. Ils l’arrêtèrent et lui confisquèrent la lame porteuse du message de la Mort. Dans leur rapport fut précisé qu’elle devait être folle car elle était heureuse et n’avait pas réagi lorsque des chaînes froides avaient condamnés ses poignets.

Durant trois années de travaux forcés, entre sa dix-septième et sa vingtième année d’errance en ce bas monde, Elisa apprit bons nombres de choses qui lui permit et permettrait de survivre. Ce n’est que par hasard, alors qu’elle était dans sa cellule, une pièce de trois mètres carrés avec une plaque en métal accroché au mur pour dormir, qu’elle découvrit ce don. Elle pouvait lire sur les lèvres. Elle comprit quelques bribes de la conversion. Ce fut une révélation, voilà quelque chose qui lui permettrait de fuir, elle pourrait réussir. A partir de ce moment, chaque instant de repos qu’elle connaissait, elle exploitait ce don, l’améliorant sans cesse. Et ce fut de même pour son physique, grâce aux travaux forcés son corps finissait de changer et se renforçait. Elle était devenu une belle femme avec un corps splendide et puissant. Pendant quatre à cinq semaines, elle escamota un plan d’évasion. Elle notait tout renseignement qu’elle acquérait par les autres bagnards et par ce qu’elle apprenait de la bouche des gardiens ou plutôt de leurs lèvres indiscrètes. Elle notait tout cela dans sa tête. Les rondes des surveillants, les portraits physiques et morales des autres détenus, les éventuelles sorties, et tout ce qui pouvait servir même si en première apparence cela s’avérait futile. Ces infos lui servirent à sauver quelques personnes d’une mort ingrate. Naturellement ces protagonistes se lièrent à elle. Elle gagna en réputation. Elle gagnait la confiance des bagnards. Et son plan fut prêt. Elle serait libre le lendemain. Mais rien ne se passa comme elle l’espérait. Un incident majeur vint détruire son laissez-passer, pour raison inconnue des geôliers, ils étaient déplacés. Où ? En Amérique. Elle ne sut jamais pourquoi. La raison étant que les mafias locales manquaient de main œuvre…

Quoiqu’il en soit, la traversée vers les Amériques se passa au plus mal. Le départ se passa sous un temps de chien, aux aurores. Les vents glacés avaient été plus drus que la normale, le soleil n’avait point eu le temps de se montrer. A la vue de ce qui serait leur moyen de locomotion, tous se dirent que leur fin était proche. Très proche. Ils avaient embarqués dans des bateaux en piteux état, souvent par la manière forte pour les réticents. Les embarcations craquaient à la moindre vague qui commençait à se faire violence. Personne ne pensait que cette loque arriverait à bon terme. Tous étaient serrés. Peu étaient la nourriture. Et long fut le voyage. Après quelques semaines de voyages, la nourriture vint à manquer, et la mort empestait dans les bateaux. Certains décidèrent de manger de la chair humaine pour avoir une chance de survivre. Elisa fut un d’entre eux. Il faut dire qu’ils n’avaient pas le choix. Après un temps qui parut une éternité, la terre fut en vue. Tous crièrent de joie avec le reste d’énergie qu’ils leur restaient. Ils étaient condamnés, ils seraient certainement encore une force de travaux mal traités, mais ils auraient les pieds à terre. Et sur terre, la fuite était possible. Alors la russe recommença à faire fonctionner son cerveau. Après un nouveau plan qui dura autant de temps que le premier échafaudés en Russie. Elle serait libre. Tout ce qu’elle avait appris étant petite s’avéra utile. Son sens de la survie. Ses talents de vols. Sa technique de combat. Beaucoup de choses lui furent utile. Il n’y avait qu’une chose qu’elle regrettait. Elle savait lire sur les lèvres mais ne comprenait que sa langue natale…

Chicago fut sa nouvelle demeure. Elle y resta jusqu’à aujourd’hui. Elle développa ses techniques. Elle volait pour manger, tuait pour se défendre, exactement comme quand elle était jeune, ainsi qu’utiliser son corps de femme, ce qu’elle fit. Elle vendait son corps pour gagner de l’argent. Quand elle eut amassé assez d’argent grâce à la prostitution et au vol, elle acheta un petit bar et y élu domicile. Certes ce n’était pas un palace mais elle avait son chez soi et pouvait se faire de l’argent sans avoir besoin de trop bouger. Son gros problème, au début, fut de savoir jongler entre les dépenses et les recettes. Mais une fois ce problème régler, son petit bar fonctionna, elle ne gagnait pas une richesse mais pouvait voler quelques billets à des alcooliques. De plus, si des problèmes d’argent se pointaient, elle disposait toujours de son corps de femme. Son charisme lui permettait de se faire des alliés ou du moins des gens avec qui elles pouvaient faire des affaires sans hostilité. Ceci se passait en dessous de son bar, dans une cale. En étant au contact avec nombre de personnes dans son bar, elle appris l’anglais, besoin vitale pour quelqu’un voulant vivre en Amérique. Et quelques bribes de langage d’autres ethnies, comme l’italien et le japonais ou encore le chinois. Mais elle ne pourrait comprendre une conversation. Du moins pas encore…

Entrée à la Mafia :

La vie qu’elle vivait n’était plus satisfaisante, elle subsistait mais voilà tout. Elle ferma son bar, sortit une bouteille d’un alcool fort et se mit à réfléchir. Que pouvait-elle faire pour se sortir de cette situation ? Voler plus ? Offrir plus son corps ? Agrandir son bar ? Non. Aucun de ses moyens de marcheraient. Que lui restait-il ? Elle ne trouvait pas, elle décida de laisser ses jambes la porter là où ils voudraient. Plus elle marchait, moins ses sens était en éveil. Elle était complètement dans un état second, un état où elle restait seul à réfléchir, où elle s’abandonnait au reste du monde. Ce fut des coups de feu qui la tirèrent de cet état, et ce fut ces coups de feu qui lui donnèrent la solution. La mafia ! C’était cela. Elle devait pénétrer dans la mafia russe. Le parrain ne serait pas difficile à trouver, il logeait dans une tour, si haute que tout le monde l’avait déjà aperçu une fois dans sa vie. Elle se dirigea vers cet endroit de liberté. Le bâtiment avait l’air bien gardé. Les hommes qui s’occupaient de la surveillance était en civil et essayaient de le paraître. Mais leur expression de sérieux et de violence était là. Ainsi qu’une protubérance qui laissait deviner la cache d’une arme à feu. Elle continua à avancer, passa les portes et atterrit dans une immense salle. Peu de personne et pourtant une grande agitation. Il y avait beaucoup de déplacement mais personne ne restait longtemps en place. Il se dirigea vers une femme qui devait être là pour indiquer moult informations à diverses personnes, que ce soit des hommes de la mafia ou le reste de la populace.

« Bonjour. J’aimerai rencontrer le supérieur de ce bâtiment. »

« Vous voulez parler de monsieur Viatcheslav Dostoïevski je suppose. Veuillez monter au dernier étage. Vous le trouverez par vous-même. »

« Je vous remercie. »

Elisa prit la direction des escaliers, elle gravit les étages un par un. Au dernier étage, une seule porte. Elle se dirigea vers celle-ci, frappa à la porte et entra. La salle était surveillée, plusieurs hommes musclés et fortement armés. Autant dire qu’on ne pouvait approcher le parrain russe comme bon vous sembliez.

« Je vous remercie de ne pas me mettre à la porte. J’aimerai intégrer votre mafia. Je suppose que la première chose que vous pensiez est : Pourquoi acceptez une fille habillé comme ça ? Que pourrait-elle m’apporter ? Et bien je vais essayer de répondre à ces questions. Tout d’abord je tiens à préciser que certaines de mes habitudes peuvent être qualifiés de sauvage, rebelle peut être. Ceci est lié à mon passé. Et parlant de mon passé, j’aimerai ajouter que je me bats depuis toute petite. J’ai appris à survivre, et qui dit survivre dit voler. Revenons à cette première question un instant. Acceptez mon style vestimentaire s’il vous plaît. Ce style me permet de me créer des contacts masculins, d’ameuter les mâles et de les dépouiller. Enfin cela ne doit vous intéresser, mais je pense que vous devriez en savoir plus sur moi. Je vais passer maintenant à cette deuxième question. Depuis toute petite, je me bats, je vole, je survis. Pendant ma seizième année d’existence en ce bas monde, j’ai tué pour la première fois et je tiens à dire que ce sentiment que l’on éprouve quand on voit ce ruisseau carmin. Hum ! J’adore. Suite à cela, je passa trois années dans une prison. J’appris par hasard que je possédais un don. Je pouvais lire sur les lèvres. Je m’exerçât et aujourd’hui je peux vous dire que je peux suivre une conversation de ma langue natal assez longtemps et assez bien. »

Elle fit une pause, le temps que le russe absorbe toute ces informations. Puis, quand elle sentit le moment, ce moment où l’effet de silence allait s’éteindre, elle recommença à parler.

« Je pense qu’une troisième question loge dans votre tête. Que cela va-t-il m’apporter ? Pourquoi intégrer la mafia maintenant ? Je vais vous répondre franchement. Après avoir fui d’une traversée qui aurait pu me tuer, je fus de nouveau abandonnée à moi-même, comme dans mon enfance. J’appris l’anglais, langue de ce pays, ressource oblige pour survivre. Après divers vols et, comment dire… Abandon de mon corps. J’ouvris un bar. J’avais enfin un endroit à moi. Après quelques problèmes de recettes, mon bar tourna. J’escroquai et volai certains clients, des alcooliques surtout. Puis, le temps passa. Ma situation aujourd’hui ne me convient plus. Je souhaite vivre plus convenablement et ne plus substituer. Alors je vous prie de m’accepter dans votre grande famille. »

Elisa se tut un instant. Elle s’avançât. Les hommes de garde de Viatcheslav Dostoïevski se rapprochèrent de moi. Je m’arrêta devant eux, posa un genou à terre, baissa la tête et ajouta :

« Je serai votre dévoué serviteur. Offrez moi un bon grade, donnez moi des responsabilités. Je ne faillerais point. »

Elle releva la tête.

« Je suppose que des exemples concrets de mes capacités vous convaincraient. Laissez moi vous montrer une chose. »

Elle sortit de sa sacoche son carnet, elle l’ouvrit et le tendit.

« Voici le bien le plus précieux que je possède. Ceci est un carnet où je note absolument toute chose qui peut m’aider à survivre. Dedans est notée divers points faibles et points forts de certaines personnes. Il se trouve peut-être des ennemis à vous. J’y note aussi des mots d’autres langues. Si je parvenais à en apprendre suffisamment, je pourrais vous être utile pour les relations avec ces autres ethnies. Mais il n’y a pas que cela, j’y ai aussi noté des descriptions d’armes, de bâtiments. J’ai élaboré des stratégies. Veuillez feuilletez par vous-même je vous prie. »

Un des hommes de Viatcheslav Dostoïevski s’empara du carnet et vérifia s’il n’y avait un piège, évaluant le carnet sûr, il le posa sur le bureau de son patron.

« Pour finir ce monologue, j’aimerai vous montrer mes qualités de combat. Libre à vous de me choisir un adversaire, une cible. Je peux me battre avec mon corps ou avec des armes blanches. Je manie le poignard, le Kusari Gama, les épées papillons et le sabre kung-fu. Maintenant, il est l’heure pour moi de me retirer. Si vous souhaitiez ma présence à vos côtés, je reviendrai dans une semaine. J’espère pour vous que accepterez mon aide. A présent je m’en vais. »

Elisa fit quelques pas en arrière, restant face à face avec le parrain russe, se retourna et s’en alla de la pièce.

[Pourriez-vous déplacer ou supprimer mon ancien sujet de présentation. J'aimerai avoir une fiche propre. J'espère ne pas paraître chiant. Si le cas est, pardonnez moi. J'aimerai aussi dire, tout le monde va s'en foutre mais les modifs que j'avais apportés jadis ont été supprimés. Je veux dire que le fichier a été supprimé par erreur donc j'ai du tout recommencer -_-]

Yop désolé du temps d'attente o/

Bon cette fiche me va déja plus que les premiére moutures. Les compétences sont justifiés, même si tu n'a toujours pas fait sauter l'apprentissage par lecture sur les lévres, ce que je voudrai voir changer. Les points sont répartis de maniére assez équilibré même si prendre un point quelques part pour le mettre en perception serait utile pour quelqu'un lisant sur les lévres ( oui, il faut bien les voir remuer sinon ça ne sert à rien ^^). La maniére d'entrer dans la mafia est plus terre à terre que la premiére, ce qui me convient. Juste que tu n'aurais pas été officier dés le début mais que j'aurais surveillé ton cas. Bref une ou deux modification et ce sera bon pour moi ^^

Comment voudrais-tu que je change ma façon d'apprentissage ??

Et je ne vois pas comment changer mes stats, tu ferais comment ??

Alors pour les stats, le choix est dur mais je dirais passer un point d'agilité vers la perception. Pour l'apprentissage, bah faut faire come tout le monde, on écoute en direct, on se fait apprendre ou tout autre chose, surtout qu'avec ton bar, tu as dû pouvoir faire ami-ami avec quelques type de nationnalité différente, et si tu as passé du temps avec ils auraient pu t'apprendre leurs langues. Bref les maniére ne manquent pas ^^

Viat', j'ai modifié mes stats. Pour l'apprentissage, je viens de me rendre compte que tout à le fin, je disais qu'elle apprenait les langues grâce à son bar. Peut-être que ma phrase est mal tourné ??

Citation :: Langues étrangères : Anglais principalement mais apprend d’autres langues en étant à Chicago, grâce à sa lecture ses les lèvres et son intelligence.

Ok mais c'est de ça dont je parlais. Apres ce petit changement, tu sera validé ^^

Désolé Viat' j'avais pas compris. Ca va faire plaisir d'être enfin accepté ^^

Pas de probléme ^^ Par contre même si tu maitrises deux trois trucs dans certaines langue, ça ne veut pas dire que tu gérera dans la pratique ou l'écoute constante.

Te voila donc officielement validé