Mafia war's
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis
 
AccueilPortailRechercherS'enregistrerDernières imagesConnexion
Le Deal du moment :
Code promo Nike : -25% dès 50€ ...
Voir le deal

 

 Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon.

Aller en bas 
AuteurMessage
Chiyoko Soejima
Petite fouine perverse et traquée
Chiyoko Soejima



Feuille de personnage
Points de vie:
Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Left_bar_bleue40/40Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Empty_bar_bleue  (40/40)
Munitions:
Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Left_bar_bleue0/0Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Empty_bar_bleue  (0/0)
Dollars: 2$ (11$)

Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Empty
MessageSujet: Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon.   Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Icon_minitimeSam 24 Mai - 3:08

21h30, un café dans Chicago.

La fouille merde venait tout juste de rentrer dans le café, c'était une des habitués si l'on puis dire. Elle y venait régulièrement dans sa semaine, le jeudi comme toujours et y connaissait tout les employés, tous avez un calepin, plus ou moins remplis c'est un fait. Ce café restait un des plus intéressant par rapport aux autres, celui du mercredi étant le moins attractif. Les petits café comme celui-ci sont toujours plus propice a trouver des informations, l'ambiance est conviviale et la plus part des habitués connaissent beaucoup de choses sur pas mal de personnes et ils sont prés a faire partager tout ce savoir, alors que dans les grandes chaînes les gens ne sont la que pour leu boisson ne se souciant que peu de la présence d'autres clients et même se moquant de la personne qui les servent. Il est bien plus simple de se rapprocher de quelqu'un si l'ont fait semblant de s'intéresser à leurs vie, leurs habitudes Chiyoko s'y adonnait depuis quelques années et il faut dire qu'elle était devenue douée. Comme toujours la petite fouille merde salua le propriétaire, Yanagi un sympathique homme de 34 ans, lui et sa femme avait repris ce petit café il y a quelques années, actuellement il travaillait seul et avait du engager une serveuse sa femme étant rester chez eux pour s'occuper de leur fils, un futur petit champion s'il on écoutait Yanagi. La jeune femme se rappelait encore le jour ou le patron sut que sa femme allait accoucher, c'était il y a environ 1 ans, tout excité il était parti à l'hôpital laissant à Chiyoko le soin de fermer le café étant la seule cliente présente mais aussi avec le temps une très bonne connaissance de la famille. Leur petit était kawai, un beau petit bébé que la fouille merde avait déjà pu tenir dans ses bras régulièrement étant invitée chez eux après la fermeture de l'établissement.

Prenant place à sa table prés de la fenêtre par un souci purement... bref vous l'aurez compris, pour avoir une vue des plus dégagée sur la rue et ses attractions, elle commanda un coca avec deux glaçons la serveuse, celle-ci ayant déjà passé le test du glaçon et demi. La mignonne serveuse lui apporta la boisson, lui réglant la consommation Chiyoko lui sourit. Nizu' était une jeune femme de 23 ans travaillant ici pour régler les frais qu'elle avait contractée lors d'un emprunt à ses parents, chose que Chiyoko ne comprenait pas étant toujours alimentée par ceux-ci sans avoir besoin de quémander ou même de rembourser, c'était peut être ce que l'on devait faire quand vos parents vous aimez vraiment, les rembourser. La serveuse était très attirante et tout à fait au goût de la pigiste, bien dommage qu'elle ne soit pas intéressée par les filles, mais la faire rougir était si plaisant et si facile un simple sourire un peu déplacée et voilà, elle en était que plus jolie. Chiyoko l'avait trouvée attirante dès leur première rencontre, il y a un peu plus d'une année maintenant, la pigiste ayant plus ou moins flashée sur la belle demoiselle l'avait suivie chez elle pour se renseigner sur sa vie, c'est ainsi qu'elle avait rencontrée sa famille ainsi que son petit copain de l'époque un macho que Nizu' avait vite larguée après un petit coup de main de la fouille merde, depuis elle était célibataire et recherchait l'homme de sa vie dommage que ce ne soit pas la femme de sa vie. La pigiste sirota son coca tout en discutant avec elle de tout et de rien, Nizu' s'étant déjà occupée des quelques clients présents c'est alors que son attention fut interpeller par un homme.

L'homme en question avait prononcé un des mots que la fouille merde décelait entre milles, paquet, ami et rendez-vous. Autant vous dire qu'il ne fallut pas plus à la petite fouine pour écouter de plus prés la conversation. Cette personne semblait de taille moyenne, un visage assez atypique par sa forme, il avait de longs cheveux bruns, arborant un costard cravate assez classe surmonté d'une veste en cuir. Celui-ci était au téléphone, apparemment il devait apporter quelque chose à un ami à lui. La conversation ne dura pas longtemps et ne fut que peu fructueuse en renseignement, à moins de comprendre les oui... hum... pas de souci... L'homme commanda une nouvelle boisson, regardant sa montre de temps à autre pour ne pas rater l'heure de son rendez vous. La journée avait était assez fade au goût de la jeune femme et cet homme allait enfin y mettre un peu de piment, c'est ainsi qu'elle décida de prendre l'homme en filature. Elle remercia Nizu avant de partir à l'extérieur lui laissant comme souvent un pourboire alléchant et attendit que l'homme ne sorte, heureusement la soirée était clémente et la lune brillait dans le ciel, enfin elle devait briller comme il n'y avait pas de nuage. L'attente fut de courte durée, à peine quelques minutes après sa sortie l'homme fit sa sortie pour montrer dans une voiture et quel voiture, une magnifique cabriolet. La fouille merde n'était pas des plus douée en voiture mais elle connaissait ce modèle une Rolls Royce Phantom 1 de 1925, Chiyoko nota le numéro à coté de la description de l'homme ainsi que celle de sa voiture. Et ce fut comme cela que les ennuis commencèrent, la filature dans la ville fut longue mais pas vraiment difficile, l'homme ne cherchant même pas à prendre des chemins détournés restant sur les grands axes de circulation. La jeune femme était habituée à suivre les gens à leur insu, la moto lui permettant de le faire dans toutes les circonstances. Après moins de 40 minutes l'homme stoppa son véhicule dans une petite ruelle dans un quartier assez peu fréquenté, la fouille merde s'arrêta à bonne distance observant l'homme sortir un grand sac de toile du coffre de la voiture puis s'enfoncer dans le coeur de la ruelle.

Chiyoko descendit de son bolide le plaçant de façon à pouvoir le reprendre facilement sans avoir besoin de manœuvrer puis s'avança lentement en direction de la ruelle ou l'homme venait tout juste de disparaître. Passant à coté de la voiture elle regarda à l'intérieur pour essayer d'y trouver des indices. L'avantage de ce genre de voitures c'est que l'on est pas embêté par les vitres teintées ou tout autre problème du genre, elle pu ainsi voir quelques notes d'un traiteur à emporter assez connu en ville, ainsi que celle d'une petite épierie, notant tout ça la fouille merde se dirigea ensuite à la suite de l'homme. Son coeur battait la chamade comme si elle était sur le point de trouver un des secrets de l'existence, alors qu'elle ne suivait qu'un colis, ne sachant même pas ce qu'il contenait et encore moins si c'était intéressant, mais elle était comme ça et elle le vivait très bien trouvant cette vie passionnante. S'approchant lentement Chiyoko tourna à l'angle de la ruelle pour trouver à quelques mètres devant elle l'homme au sac de sport. La petite fouine se cacha contre une benne contenant divers déchets plus ou moins ragoûtant mais au moins, là elle était à l'abri, se plaçant contre le mur elle pouvait observer l'homme sans se faire voir. Ses yeux se posèrent immédiatement sur ce colis, un sac de sport en apparence des plus banal qui semblait contenir plusieurs objets de petites et moyenne taille, en métal si l'on en croyait le bruit. L'homme avait posé le sac de sport sur le sol et commençait à savourer une cigarette. Une cigarette, il n'y avait vraiment rien de moins bon sur terre, ayant bien entendu elle même essayée ces tubes elle avait vite décidée de laisser ça de coté, de le laisser au gens près à se tuer la santé pour un rien. Après une attente d'une dizaine de minutes qui permis à Chiyoko de noter encore quelques détails sur cet homme, ce fut au tour de d'un homme accompagné par une jeune femme se faire leur apparition. L'homme de grande Taille était habillé d'un costume des plus soigné et distingué, il avait de long cheveux noirs assez bien coiffés, son visage était des plus net presque parfait, à coté de lui la jeune femme était bien plus... sensuelle si l'on puis dire pour ne pas dire attirante. Apparemment d'origine Chinoise elle devait faire dans les un mètre soixante dix, elle portait une belle robe chinoise laissant apparaître ses formes. Un visage de grande beauté, et de longs cheveux noirs délicatement attaché venaient finir sa silhouette, elle transportait à la main une petite valise noire. Les voyant arriver l'homme s'empressa d'écraser sa cigarette sur le sol et de les saluer. La fouille merde posa sur ses genoux son calepin ou elle nota la descriptions des nouveaux venus écoutant avec attention ce qu'il se disait. C'est ainsi qu'elle appris le prénom de l'homme au sac de sport, Senka, mais aussi le nom du nouvel arrivant Takenada.

Après une petite dizaine de minutes de discussion et de prise de notes la fouille merde compris qu’elle avait commis une grossière erreur de suivre ce Senka. Devant ses yeux se déroulaient une transaction bien que très intéressante, à laquelle la fouille merde aurait préférée ne pas assister. Senka était apparemment une sorte de trafiquant d'arme, arme présente en petit échantillon dans le fameux sac de sport, et le balafré l'acheteur, la thaïlandaise ayant une valise pleine de dollars. Tout cela n'aurait pas déranger notre petite fouille merde si l'on se trouvait dans une autre ville que Chicago, car à Chicago une telle transaction ne pouvait être arrangée que par les mafias, et Chiyoko avait un principe, ne jamais se mêler des affaires de la mafia. D'une part car c'était se mettre dans de graves ennuis mais aussi car elle avait déjà pu voir dans tout Chicago ce que donnait un règlement de compte d'un de ces gens. Il était très courant que des fusillades éclates en pleine rue pour de simple règlement de compte, qu'un restaurant soit incendié ou bien criblé de balle... La pigiste rangea ses affaires dans son sac avant de se remettre sur ses jambes vérifiant qu'il n'y avait pas une boite de converse en équilibre sur son passage ou bien un quelconque objet comme une bouteille qui trahirait sa fuite comme c'était si souvent arrivé... Prenant bien plus de précaution qu'a l'inaccoutumé la petite fouille merde commença à s'éloigner gardant sans son champ de vision les 3 protagonistes regardant bien ses pieds pour éviter de faire une boulette. C'est alors que son dos heurta quelque chose, quelque chose d'humain, la femme la pris rapidement au niveau de cou avant de la soulever et de la lancer au centre de la discussion.


"Regardez ce que je viens de trouver, une petite souris..."

Chiyoko tomba sur le sol entre les trois personnes, se retournant elle vit une femme s'approcher d'elle. C'était elle qui l'avait attrapée et jetée comme un fétu de paille. Une jeune femme de taille moyenne, les cheveux mi-court brun, elle était habillé de façon assez banale, un visage doux avec de grands yeux marron elle ne semblait pas vraiment musclée mais pourtant elle l'avait jetée avec une telle facilitée... Cette jeune femme s'avançait d'un pas lent vers la fouineuse allongeait sur le sol, plus elle avançait et plus Chiyoko sentait son coeur s'emballait, commençant à reculer comme pour retarder au plus leur rencontre une arme fut dirigée en sa direction de la part de Senka, lui intiment l'ordre de ne plus bouger. Il ne fallut pas moins de 20 secondes pour que les deux jeunes femmes soient à nouveau cote à cote. Ce fut de très longues secondes autour de Chiyoko personne n'avaient bougé, seul l'arme avait fait son apparition face à la petite japonaise, sa tortionnaire semblait prendre du plaisir à se faire languir. Se baissant vers la fouille merde la brune approcha sa main du sac que la pigiste serrait fortement contre sa poitrine.

"Fais moi voir ça petite souris ça doit renfermer quelque chose d'important pour que tu le serre contre toi si fortement."

Commençant à tirer sur le sac et sentant de la résistance chez la pigiste elle lui envoya une large claque en plein visage avec le revers de la main ce qui la fit rouler aux pieds de l'acheteur Takenada comme l'avait appelé Senka. Celui-ci posa la semelle de sa chaussure sur le crâne de la jeune femme écrasant contre le sol. La douleur fut immédiate, laissant échapper un cri de douleur assez perçant, Chiyoko essaya de se dégager portant ses mains a son crâne tentant de soulever le pied de l'homme, mais plus elle gesticulait plus celui-ci imposait sa présence sur son crâne. Après quelques instants l'homme sans cesser d'appuyer se mit un genou à terre et plaça son visage prés de celui de sa victime.

"Je crois que la demoiselle t'a demandée quelque chose gamine, ne lui désobéit plus la prochaine fois où je m'occuperai de toi personnellement..."

Sans un seul regard et sans un mot de plus l'homme se releva et lui plaça un violant coup de pied dans le ventre, relâchant par la même occasion la pression appliquer sur le crâne de la jeune pigiste. Chiyoko sentit en elle une vive douleur, une douleur qui s'étendit lors de l'impact, un craquement comme si l'on venait de casser une branche de bois sec en elle. La fouille merde roula sur le coté s'éloignant de son si précieux sac, sombrant dans l'inconscience la voix de l'homme retentit une dernière fois dans sa tête.

"Amya je te laisse t'en charger..."
Revenir en haut Aller en bas
Chiyoko Soejima
Petite fouine perverse et traquée
Chiyoko Soejima



Feuille de personnage
Points de vie:
Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Left_bar_bleue40/40Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Empty_bar_bleue  (40/40)
Munitions:
Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Left_bar_bleue0/0Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Empty_bar_bleue  (0/0)
Dollars: 2$ (11$)

Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Empty
MessageSujet: Re: Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon.   Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Icon_minitimeSam 24 Mai - 20:11

Chicago, Plus tard dans la soirée:

Chiyoko se réveilla allongée sur le sol glacé d'une petite pièce sombre et humide. Son premier réflexe fut d'essayer de se lever, mais des mouvements trop brusques firent sortir une légère douleur sur son coté droit, le coup de pied de l'homme avait du lui casser quelque chose... Rapprochant ses mains de la blessure elle sentit les chaînes de métal grisonnant retenir ses membres, que se passait il, pourquoi était elle là, pourquoi était elle pieds et mains enchaînée... Sans faire de gestes trop brusques, la jeune femme s'assit dos au mur pour regarder la pièce dans laquelle elle se trouvée. Celle-ci devait faire une quinzaine de mètres carré, le sol était fait en béton à peine lissé, en face d'elle se trouvée une porte en métal avec une seule et unique ouverture à mi-hauteur, la seule source de lumière provenait de cette fente, la pièce ne possédant aucune fenêtre. Aux mur noirci par la saleté l'on pouvait voir sortir plusieurs piton semblable à celui où ses chaînes étaient accrochées, au centre de cette pièce se trouvée une sorte de bouche d'égout semblable à celle que l'on pouvait trouver dans les douches collectives des complexes sportifs. Après avoir analysé la pièce la fouille merde décida de se lever pour regarder ce qu'elle pouvait voir au travers de la porte. A peine eut elle parcourut les deux premier mètres que les chaînes la stoppèrent, saletés de chaînes, la pigiste n'avait rien pour les crocheter car bien que douée sans matériel elle serait loin de pouvoir les ouvrir. Se retournant Chiyoko commença à tirer sur ses chaînes mais cette idée se montra très rapidement une mauvaise idée d'une part cella de fit pas bouger le piton d'un millimètres, mais surtout le seul résultat qu'elle sentit fut ses entraves se serrer plus fortement sur ses poignets et ses chevilles commençant à les taillader lentement. Alors qu'elle commençait à pester contre ces chaîne une voix se fit entendre à travers la porte, se retournant elle aperçu de grands yeux marrons par l'ouverture.

"Alors réveillée? Laisse moi aller chercher une chaise et je viens te voir ma petite souris..."

Quelques minutes plus tard la porte se mit à grincer et laissa apparaître Amya, la femme par qui le désastre était arrivé, la fouille merde s'étant à nouveau appuyée dos au mur la regarda entrer tout en essayant vainement de desserrer les menottes qui lui lacéraient les poignets. La chinoise la regarda un petit sourire sur les lèvres puis posa au centre de la pièce la chaise qu'elle portait ainsi que le sac de la fouille merde puis s'assit posant son coude sur son genoux, passant sa main devant sa bouche, sans émettre un seul bruit, une seule parole. Ce silence dura une bonne minute, Chiyoko pris la première la parole après avoir observée la jeune femme en face d'elle.

"on est...."

"Chut petite souris c'est moi qui pose les questions ici...."


Puis le silence retomba Chiyoko attendit donc que son vis à vis se mette à parler, mais rien la femme se contentait de la regarder la sourire aux lèvres, après une petite dizaine de minutes pendant lesquelles la jeune femme au cheveux de lune se posa des centaines de questions sur sa présence ici, sur la personne qui se tenait en face d'elle et bien d'autres encore, Amya se leva et commença à se diriger vers la porte laissant la chaise et le sac de la pigiste dans la pièce, elle ouvrit la porte et commença à sortir lorsque Chiyoko repris la parole tout en se levant tirant sur ses chaînes.

"Pourquoi vous ne dites rien, pourquoi je suis là, pourqu...."

Se retournant dès le début de la phrase, la brune frappa violemment la petit fouineuse avec le revers du poing ce qui l'envoya en l'air avant de chuter lourdement sur le sol n'ayant pu continuer sa course stoppait net par les chaînes. Sous le choc la fouille merde hurla de douleur s'étant déboîtée l'épaule droite, sa deuxième main vint rapidement se poser sur l'épaule démise, la douleur était telle que des larmes commencèrent à envahir ses yeux. Amya se dirigea alors d'un pas lent vers la jeune femme allongée sur le sol, se baissant elle posa une main sur le visage de sa victime lui caressant doucement la joue pendant qu'elle posait l'autre sur le membre déboîté. D'un mouvement vif elle replaça l'os dans sa cavité ce qui arracha un autre cri de douleur à Chiyoko, la brune resta ainsi lui caressant la joue pendant une bonne minute ensuite avant de reprendre la parole le sourire aux lèvres

"N'oublie pas que c'est moi qui pose les questions ici petite souris, tu as compris..."

La main de la chinoise était venu se placer contre la mâchoire de la pigiste et lui obligeait à mimer la réponse d'une poigne douce mais se voulant autoritaire. Chiyoko donna donc cette réponse la voix tremblante et déformée par la douleur, douleur qu'elle n'avait jamais ressentie auparavant.

"Ou... Oui... Ma... Madame..."

"Bien petite souris je vois que tu comprends, Takenada-sama t'as offert à moi alors comporte toi en gentille petite et attend moi là sans bouger."


Se relevant elle déposa un baisser sur la joue de Chiyoko avant de sortir de la pièce laissant la fouille merde allongée sur le sol. Celle-ci resta comme demandé sur le sol sans bouger, dans sa tête des dizaines de questions se bousculaient toute en rapport avec sa présence ici, avec les raisons qui l'avait poussée à suivre cet homme, pourquoi elle devait souffrir seule ici, que lui voulait on... Les minutes s'écoulèrent, les minutes se transformèrent en heures avec le temps et la fouineuse n'osait toujours pas bouger restant sur le sol sa main sur son épaule douloureuse. A caque fois qu'une personne passait contre la porte où faisait du bruit dans le couloir son coeur s'accélérerait redoutant l'arrivée d'Amya. La petite fouine resta comme cela pendant une journée, sombrant dans le sommeil avant de se réveiller en sursaut de temps à autre. Jusqu’au moment ou un homme qu'elle n'avait jamais vu entra dans la pièce et déposa sur la chaise une assiette de métal contenant de la nourriture puis sortit sans un mot. Chiyoko, après que l'homme ne soit sortit se déplaça vers la chaise en se traînant pour prendre cette assiette, mais les chaînes l'arrenteraient à nouveau à une petite vingtaine de centimètres de sa pitance. Elle eut beau forcer sur celles-ci, essaye d'approcher la chaise avec ses pieds, cherchant désespérément une façon de manger, la seule conséquence fut l'apparition de petites traces de sang sur ses poignets. Ainsi que ses chevilles. Pourquoi mettre a manger là si elle ne pouvait pas en profiter c'est une question qu'elle aurait du se poser avant de bouger mais elle ne le fit pas et en subit les conséquence dès l'arrivée d'Amya.

"Tss Tss Tss, petite souris tu ne m'a pas écoutée, encore une fois, je t'ai pourtant dit de ne pas bouger hier soir non?"

La porte grinça et laissa apparaître à nouveau Amya, Chiyoko recula immédiatement pour se mettre contre le mur, mettre de la distance entre elles, rester le plus possible au sol. Amya entra dans la pièce et referma derrière elle avant de s'asseoir sur la chaise prenant l'assiette dans sa main puis commença à manger quelques morceaux de viande présent dans la soupe. Le ventre de la fouille merde se mit à crier famine cela faisait plus d'une journée qu'elle n'avait pas mangée ayant sautée le repars du midi de la veille s'étant levée à 14h30 et n'ayant pas eut le temps de manger le soir avant qu'elle ne suive Senka. Après avoir mangé la moitié de l'assiette et fait saliver la petite fouine, la brune se leva et pris la parole.

"C'est froid, même toi tu n'en voudrais pas... Si?"

"Si je..."


Amya eut un large sourire et lança négligemment l'assiette en direction de sa prisonnière ne lui laissant pas le temps de réagir, Chiyoko essaya de la rattraper sans grand sucés et reçu le contenu de l'assiette dans le visage souillant ses vêtements et se rependant par la suite sur le sol, rien il ne restait rien à manger. L’asiatique eut un petit rire mesquin avant de prendre place sur la chaise à nouveau et de commencer à fouiller dans le sac de la pigiste posé à ses cotés. Elle en sortie le carnet de note ainsi que le nombreuses photos imprimées des clichés de la transaction que la jeune femme avait pris plus tôt dans la soirée. Lançant tout ça sur le sol devant la fouille merde elle repris la parole, sa voix était semblable a celle qu’elle avait eut la veille lorsque qu’elle avait frappée Chiyoko.

"Pour qui tu as pris tout ça? Qui t'as payée pour nous suivre et noter ces choses sur nous? Pourquoi tu étais là ? "

" Je… j’ai juste suivi votre ami, je l’ai entendu au téléphone parler d’une rencontre avec un ami et voilà je l’ai suivi. Je… je me suis retrouvée dans cette ruelle avec vous mais je savais pas ce que vous faisiez je veux pas en être mêlée, je sais rien, je dirai rien à personne…


La fouine était des plus honnête elle n'avait aucune envie d'être mêlée à tout ça, même si tout était déjà décidé depuis longtemps. Amya ne repris pas la parole laissant un énorme blanc après les quelques paroles de la fouille merde gardant le sourire aux lèvres. Chiyoko ne quitta pas des yeux son vis à vis avait elle crut ce que la fouille merde venait de lui dire, il est vrai qu'il n'était pas courant pour une personne de suivre un parfait inconnu sur les deux trois mots qu'elle avait pu entendre, mais c'était son mode de vie c'est comme cela qu'elle se sentait en vie. Alors qu'elle réfléchissait son regard se posa sur la bouche d'égout qui venait de finir d'avaler le restant de soupe qui était tombé sur le sol. Les minutes passèrent lorsque qu'Amya se leva s'approchant de Chiyoko, la brune se baissa pour ramasser l'assiette de métal puis la saisissant elle regarda sa proie et la frappa violemment avec celle-ci au niveau de crâne ce qui la fit s'encrasser sur le sol.

"Tu crois vraiment que je vais croire ça petite souris, tu me prend pour une imbécile? Je pense qu'avec ça tu va y réfléchir à deux fois maintenant avant de me mentir à nouveau."

Amya se baissa puis attrapa la main gauche de la pigiste avant de lui attraper la tète par les cheveux pour qu'elle voit bien ce qu'elle allait lui faire et même qu'elle puisse appréhender ce moment, qu'elle s'imagine l'instant avant que celui-ci n'arrive. La belle asiatique attrapa donc les doigts de la fouineuse et lui les cassa extirpant des cris de douleur de sa victime à chaque pression. Chiyoko aurait voulu mourir plutôt que subir ça, ses doigts c'était toute sa vie, notre petite femme étant gauchère elle ne pourrait pas écrire avant un certain temps et cette simple idée jumelée à la souffrance qu'elle ressentait à chaque craquement, entre chaque coup. Chiyoko promettait de rien savoir ne rien connaître de tout ça, qu'elle ne mentait pas mais rien n'y faisait, rien n'arrêta Amya qui fini sa besogne sans soucier. A peine fini qu'elle frappa la fouine au visage une nouvelle fois, la brune se mit à rire à gorge déployée sortant du sac de la pigiste un tanto. Elle commença à passer la lame sur le visage de sa victime enfleurant la peau de celle-ci avec un sourire vicieux sur le visage, Chiyoko ne bougea pas paralysée par la peur et la douleur qu'elle ressentait lui fit suivre la lame des yeux priant aussi fort qu'elle pouvait pour que celle-ci ne viennent pas aggraver sa souffrance. La lame suivit les courbes de la jeune femme laissant de très légères entailles sur ses épaules et ses hanches avant de se planter dans sa robe au niveau de ses cuisses et de la découper lentement en deux la mettant à nue. Dans les secondes qui suivirent la pigiste fut littéralement noyée sous des trombes d'eau le jet lui marquant la peau réveillant les diverses blessures qu'elle avait subit, accentuant la douleur. L'eau se coupa finalement après une bonne minute laissant apparaître à nouveau Amya qui se baissa a coté de sa victime tétanisée dans l'angle de la pièce. Chiyoko tremblait essayant de ramper contre le mur s’éloigner d’elle, l'attrapant par ses cheveux lui collant au visage Amya reprit la parole.

"Alors ma petite souris rien à me dire, rien à me confier sur un petit mensonge de ta part?"

"Je mens...P... pas... je... si juste curieuse. On m'a pas payé.... j'o...obéis à personne… Je…"


Chiyoko n'arrivait pas à faire comprendre qu'elle n'avait suivit ce Senka par simple curiosité, sa voix était tremblante à cause du froid qu'elle commençait à ressentir l'eau glacée ayant accentuée cette sensation. Sa tète heurta le sol lorsque sa tortionnaire lui lâcha les cheveux, baignant dans les quelques millimètres d’eau que la bouche d’évacuation n’avait pas encore eut le temps d’évacuer. Tournant les talons Amya ramassa le sac de la fouine ainsi que la chaise qui était allée se coincer contre un mur à cause de la pression de l’eau. Puis sortant elle regarda la pigiste et prit la parole avant de claquer la porte de la pièce.

"Dans quelques heures tu sera plus bavarde mignonne petite souris, avec un peu de chance tu sera pas encore morte et je pourrais jouer à nouveau"
Revenir en haut Aller en bas
Chiyoko Soejima
Petite fouine perverse et traquée
Chiyoko Soejima



Feuille de personnage
Points de vie:
Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Left_bar_bleue40/40Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Empty_bar_bleue  (40/40)
Munitions:
Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Left_bar_bleue0/0Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Empty_bar_bleue  (0/0)
Dollars: 2$ (11$)

Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Empty
MessageSujet: Re: Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon.   Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Icon_minitimeDim 25 Mai - 2:33

Chiyoko se retrouva à nouveau seule dans la pièce, la porte de métal claquant lourdement. La jeune femme était totalement perdue, comment faire pour sortir, comment faire pour ne plus souffrir, ces pensées assaillaient la jeune femme. Ne pas mentir on le lui ordonnait, mais elle ne mentait pas elle n’avait jamais était aussi honnête ne voulant plus ressentir ces douleurs qui la faisaient tellement souffrir. Chiyoko reseta sur le sol sans bouger le corps tremblant laissant ses yeux regarder le restant de l’eau s’écouler lentement dans la bouche d’égout, de légers filets de sang s’entre mêlant dans celle-ci coulant lentement des plaies de la fouineuse. La jeune femme se releva après de très longues minutes s’appuyant contre le mur se tenant la main meurtrie, regardant les plaies sur ses poignets le regard perdu dans les marques faites par les menottes. Combien de temps était elle restée ainsi elle ne pourrait le dire des dizaines d’heures, des centaines d’heures ce temps lui semblait ne jamais finir. Son corps tremblant quasi constamment à cause de l’humidité ambiante. De temps à autre un visage faisait une apparition devant la porte, déplaçant difficilement sa main vers le reste détrempé de sa robe, la fouine couvrit son corps geste qui s’en suivie d’un ricanement de l’homme derrière la porte. Chiyoko resta comme cela sans bouger sombrant dans le sommeil après de longues heures malgré les tremblements et la faim, celle-ci n’ayant pas dormit depuis plus de deux jours tombant sur le coté sa tête s’arrêtant contre le mur.

La porte s’ouvrir une dizaine d’heures après que la fouine ne se soit endormie, Amya entra une chaise à la main, la déposant sur le sol elle s’approcha de sa proie. La jeune femme se baissant à son niveau lui caressant le visage en prenant soin de ne pas la réveiller, puis lui volant un baiser elle retira la robe détrempée du corps de la fouine la lançant sur le sol, défaisant lentement les menottes qui entravaient les mains et les chevilles de la jeune femme elle regarda les marques sur la chair meurtrie par le métal. Les marques de couteau, la main cassée, l’épaule bleue, l’équimose sur le front, les traces de sang pressente au coin des lèvres de Chiyoko, Amya contemplât son travail de longues minutes suivant les courbes de son victime avant de la prendre dans ses bras et de l’asseoir sur la chaise et de l’attacher à nouveau avec de larges lanières de cuir lentement pour ne pas la réveiller. Lorsque ses mains furent attachées sur les accoudoirs, la brune attrapa la nuque de la fouineuse et l’embrassa de telle façon qu’elle se réveille à coup sûre lui mordant la lèvre tout en passant sa main sur le corps dénudé. Elle recula son visage dès que la pigiste s’éveilla laissant ses mains contre elle.

"Alors petite souris ton réveil fut agréable ? "

Chiyoko sursauta au contact d’Amya essayant de se débattre, ne voulant pas se faire toucher par cette femme, dès son premier mouvement la lanière de cuir bloqua son bras ce qui lui rappela la douleur à l’épaule, celle-ci fut accompagnée d’un cri étouffé. Rien elle ne pouvait rien faire, les lanières de cuir la retenant même faiblement serrées. Elle ne pouvait pas faire de gestes brusques sans éveiller la douleur de son épaule ou celle de sa main, elle était à la merci de cette femme cette femme qui… le simple fait d’y penser la dégoûtée. Chiyoko était une femme qui aimée avoir le contrôle et là elle n’était que la chose de cette femme, Amya retira sa main après avoir attrapée la mâchoire de la pigiste et lui avoir imposée un nouveau baiser. Elle recula s’appuyant contre la porte qu’elle referma doucement, dévisageant Chiyoko ou plutôt matant sans aucune pudeur la demoiselle, elle pris la parole à nouveau.

"Ces quelques heures t’ont laissées assez de temps pour réfléchir ma douce non ? Tu n’aurais pas quelque chose à avouer ? "

Après avoir fini et en attente de réponse de la part de Chiyoko, Amya se rapprocha à nouveau de la petite souris sortant de sa tunique à nouveau le tanto qu’elle avait utilisée il y a de cela quelques heures passant la lame contre le visage de la jeune femme s'arrêtant dès que Chiyoko pris la parole.

"J’ai rien fais… Si j’ai suivie cette homme c’est juste que je voulais savoir ce qu’il devait faire c’est tout… Je savais pas qu’il vendait des armes… personnes m’a rien demandé, je suis juste curieuse… me faites pas de mal s’il vous plaît… je… je mens pas… je veux plus souffrir"

"Que c’est émouvant petite souris, ne me dis pas que ce baiser t’as fait souffrir tout à l’heure. Pour tout te dire, je vais me voir obligée de te faire regretter ces petits mensonges à nouveau…"


A ces paroles Chiyoko sentit de la peur l'envahir, des larmes commencèrent à couler le long de ses joues, elle n'avait pas mentie comment cela se faisait il, elle ne mentait pas et pourtant elle devait être punie d'après Amya, elle était désespérait que devait elle faire, elle ne voulait pas mourir ici approchant son visage de son bureau elle entreprit de l'embrasser pour garder la vie sauve, de faire ce qu'elle voulait, de lui obéir en tout, d'être une parfaite petite esclave.

"Je ferai tout ce que vous voudrais, si vous me laisser je serais votre..."

A peine ses lèvres touchèrent celle d'Amya que la brune la gifla lui faisant amèrement regretter ce geste.

"C'est moi qui décide ici, tu n'as aucun droit de me toucher petite crétine, si je veux t'embrasser je le fais, si je veux te frapper je le fais, si je veux laisser n'importe qui te violer, je le fais toi tu subis. Et comme tu n'est pas obéissante pour deux sous, je ne pense pas que tu sera d'une quelconque utilité maintenant. Tu en sais bien trop, même en admettant que je crois ce mensonge sur ta curiosité tu connais bien trop de choses que ce soit sur Takenada-san ou nous autres. Tu va donc devoir mourir ma petite souris pour notre tranquillité à tous."

Mourir, Chiyoko n'avait plus aucun espoir, elle laissa les larmes couler sans plus aucune retenue. Amya se pencha contre l'oreille de Chiyoko et lui murmura.

Ne t'inquiète pas tout cela ira vite et pour le viol je l'aurais fait avec plaisir mais je suis attendue ailleurs tu ne m'en veux pas.

La belle brune déposa un baiser sur la joue de la pigiste avant de s'éloigner d'un pas et de se saisir à nouveau du tanto. Approchant la lame des poignets de sa victime elle trancha lentement les veines du poignet déjà meurtrie de la jeune femme regardant le sang couler lentement hors du corps de la jeune femme. puis fit de même avec l'autre poignets, de petites entailles suffisamment profondes pour que Chiyoko ait le temps de voir sa vie sortir de son corps qu'elle puisse réfléchir de très longues minutes a tout ce qu'avait était sa vie jusque là. Une fois ce travail fini Amya resta là à coté de la jeune femme quelques minutes observant le sang couler lentement hors du corps de cette vil menteuse. Chiyoko regardait elle aussi tout ce sang couler sur ses cuisses ruisselant par la suite sur le sol incapable de bouger Son esprit commençait à la quitter ses pensées se faisant de moins en moins clair avec la perte de sang.

"Je te laisse ma petite souris tu m'auras bien divertie, ce fut amusant, dommage que tu doivent mourir tu était très appétissante. Je t'aurais bien fait un dernier baiser mais je ne voudrais pas me tacher Takenada-sama m'attend."

La porte se referma laissant Chiyoko seule sur la chaise son sang coulant lentement sur le sol ses pensées se perdant au loin en plein délire retraçant ses divers travers et défaut. La pigiste commença après une dizaines de minutes à sombrer dans un long et profond sommeil duquel elle ne reviendrait jamais n'entendant qu'au loin la porte s'ouvrir et une vois s'entremêlant à son délire.

"On paye très bien, tu as de la chance petite Soejima. Beaucoup de chance....

hotel de Chicago, deux jours plus tard en soirée.

Une douce odeur d'antiseptique, des douleurs plus ou moins prononcées, une sensation de douceur et de plénitude... était ce ça la mort. Chiyoko ouvrit les yeux lentement posant sa tête sur le coté, un verre à demi plein avec un bouteille d'alcool fort croisa son regard. Ces deux objets étaient posés sur une petite table de chevet, la jeune femme leva la tête regardant autour d’elle. Elle se trouvait apparemment dans une petite chambre d’hôtel levant la couverture elle arrêta son geste regardant sa main gauche. Celle-ci était bandée, chaque doigt maintenu par une petite attelle, la fouine retira le drap le faisant glisser sur le sol. Elle était nue des bandages passant sur sa poitrine maintenant ses cotes ainsi que son épaule droite, ses deux poignets tout comme les chevilles étaient bandés eux aussi. Chiyoko se leva lentement pour s’asseoir sur le lit face au miroir de la pièce laissant apparaître son visage. Celui-ci était marqué par plusieurs équimoses sur le front et autour de la mâchoire, des traces de coupures étaient apparentes sur ses hanches… Elle n’avait donc pas rêvée, même si la plus par de ses souvenirs s’entre mêlée dans sa mémoire les revoyait des visages, ceux de ses bourreaux… non celui de cette femme les autres n’avaient rien fait, si ils l’avaient frappés. Chiyoko s’allongeât doucement sur le lit laissant son regard vagabonder au travers de la fenêtre, comment était elle arrivée ici. Elle se rappelait d’une personne s’approchant d’elle avant qu’elle ne sombre dans l’inconsciente mais qui était-ce… La pigiste resta là sans bouger pendant de très longues minutes avant de se lever cherchant de quoi se rafraîchir, c’est ainsi qu’elle trouva une lettre manuscrite posée sur la table de chevet.[/i]

Citation :
Bonjour,

Je vous conseille de quitter la ville, les personnes à qui vous venez d’avoir à faire ne vous laisserons pas en vie s’ils vous retrouvent.

Ne chercher pas à savoir pourquoi vous êtes en vie et qui je suis, remerciez plutôt la personne qui ma demander de vous sauver.

La chambre est déjà réglée pour plusieurs jours, vous trouverez de quoi manger dans le placard du fond. Rester ici le temps de pouvoir marcher correctement et quittez la ville.

Une fois la lettre lu, Chiyoko se dirigea vers le placard pour se saisir de la nourriture et commença à manger les premières choses qu’elle réussi à se saisir mâchant lentement pour ne pas ressentir la douleur de sa mâchoire sans trop se brusquer elle alla se ré-allonger sur le lit sentant à nouveau la douleur de ses côtes et de son épaule. Cette lettre l’intriguait, qui pouvait bien avoir eut les moyens de la sauver, comment cette personne savait elle qu’elle était retenue là bas, par ailleurs où était ce là bas, pourquoi voulait on la sauver… La fouine eut plusieurs jours pour y réfléchir, ces questions l’obsédaient totalement, la hantant chaque nuit. Chiyoko resta dans cette chambre le temps de réussir à marcher correctement comme conseillé dans la lettre par l’inconnu, c’est ainsi qu’elle quitta la chambre après plusieurs jours ayant choisi ce qu’aller devenir le reste de sa vie, claquant la porte elle se dirigea vers l’accueil pour questionner le gérant…
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Empty
MessageSujet: Re: Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon.   Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Une nuit de violence, des jours de soufrances, aucune leçon.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Mafia war's :: Avant RP :: Flood land :: Vos nouvelles-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser