Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis |
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| Mercedes Salva | |
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Mercedes Salva Serveuse fanatique morbide
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (60/60) Dollars: 10$ ( 55$ )
| Sujet: Mercedes Salva Jeu 15 Mai - 20:55 | |
| Prénom: Mercedes Nom: Salva Clan: Italien
Age: 27 Ans Classe: La Fanatique Métier: Serveuse à La Belle Sicile
Orientation sexuelle: Hétérosexuel
Crimes commis: A tuer son père, actes connue de la justice, à été jugé comme un cas de légitime défense.
Description physique: Mercedes est une jeune femme de grande taille, elle fait 179 centimètre ce qui peut parfois accoutumé certains hommes. Sa stature plus que féminine laisse dessinée des formes bien agréable et attirante. Une poitrine pas trop volumineuse, une taille bien dessinée, un dos finement cambré et des jambes interminable. Mercedes a franchement été gâtée par la nature, il faut bien l’avouer. Une chevelure lui retombant dans le bas de ses fesses et dessinant le contour de son visage pour lui donner un air innocent. Des yeux bleus et un regard perçant, ses yeux sont mise en avant par des sourcils fins et une abondance de cils long et noir. Un petit nez légèrement pointu et de très fine lèvre peu charnue, sont visage à tout l’air de celui d’un ange. La forme de son visage se fini en un genre de triangle arrondit, offrant quelque chose de provocateur à celui-ci.
Le corps de la demoiselle pourrait faire naître bien des désirs auprès de la gentes masculine. Prenant soin d’elle, la demoiselle fait attention à sa ligne, gardant ainsi une taille fine, un corps mince sans pour autant être maigre et paraître pour une anorexique. Elle a ce qu’on pourrait appeler « la taille mannequin »
Malgré ses atouts, il faut bien avouer qu’elle possède tout de même certain défaut, celui-ci se concentrant essentiellement sur son regard. A savoir que dans certaine situation, celui-ci devient particulier, digne d’une fanatique complètement cinglée à vrai dire. Le regard d’une sociopathes.
Ses tenues vestimentaires sont essentiellement composé de robes toute plus aguichante les unes que les autres mais lorsque qu’elle sortir pour des affaires plus…intense en action…Elle optera pour une tenue plus "masculine", entendant par là qu’elle portera un tailleurs pour femme mais avec pantalon et non une jupes.
Description mentale: Mercedes est une personne très sensible à son environnement, si il y a trop de stress autour d’elle, elle en ressentira les effets et se sentira immédiatement nerveuse à son tour. Ayant énormément de sang froid il n’en reste pas moins qu’elle sera capable de tout pour arrivé à ses fins. La mort ne semble pas l’effrayer, bien au contraire, elle semble même vouloir la provoquer. Mercedes est une jeune femme qui apprécie, voir même qui adore, la sensation de l’adrénaline dans son corps, ce qui la rend très certainement redoutable tout en étant une cible facile dut à ses quelques penchant quelque peu masochiste. Fidèle en tout point, Mercedes est une jeune femme de confiance, encore faut-il savoir gagner sa confiance. Tout dépendra de qui vous êtes et d’où vous venez. Quelque peu dérangée, il se pourrait qu’elle ai quelque remarque étrange ou des manières d’être assez excentrique.
Elle obéis au doigt et à l’œil mais pas un n’importe qui bien évidemment. Elle aura du respect pour tous mais n’obéira qu’a ses supérieurs ou à elle-même. Incorruptible, elle préférera nettement se faire torturé pendant des heures plutôt que de lâcher le morceau…Quand je vous disais qu’elle avait quelque chose de masochiste…La douleur ne l’effraie, tout comme la mort, cela semble carrément l’attirer.
Toujours souriante, Mercedes est d’un nature optimiste malgré sa fascination pour la mort et son fanatisme envers les gens pour qui elle travail. Possédant une très bonne répartie, elle pourra sans nulle doute vous dire quelque remarque bien cinglante quand le cœur lui en dit. Sympathique en tant normal, elle n’est pas difficile à vivre même si elle suscite parfois un bon nombre de question.
Il faut savoir que Mercedes ne supporte pas la présence des clowns, allez savoir pourquoi, leur costume et leur maquillage ont le don de faire flipper la demoiselle. Est-ce un trouble de la petite enfance ou non ? Personne ne le sait, mais une chose est sur c’est que la jeune femme à une peur bleu des clowns ce qui entraîne parfois le rire mais mieux vaut ne pas trop la charrier avec ça. Elle n’apprécierait pas trop. Sa seconde plus grande peur est l’eau, elle ne supporte pas de ne plus avoir pied dans une piscine ou autre…
But/Rêves: Laisser une trace d’elle sur terre et mourir dans l’honneur.
Histoire: Il était une fois, dans un village se situant dans les côtes est du San Francisco, un jeune couple heureux. Ceux-ci venait de donner naissance à une petite fille qu’ils nommèrent Mercedes. C’est ainsi que commence ce gentil petit conte de fée… Dans cette famille, le bonheur respirait à plein poumon, la chaleur remplissait leur foyer et la petite grandissait dans ce bonheur qui la faisait sourire à tout moment de la journée. Ces instants passé en présence de ses parents furent certainement les instants les plus heureux de sa vie…Dommage qu’aujourd’hui Mercedes ne puisse plus s’en souvenir…
Vous trouvez que cela est bien jolie ? Et bien, vous avez raisons, leur bonheur continuait d’année en année, la petite grandissait et s’épanouissait dans cette amour qui en aurait fait pâlir de jalousie plus d’un enfant, le couple semblait s’aimer sincèrement et s’occupait avec une très grande attention de leur fille. Dans le village, ils étaient vu comme l’exemple même d’une famille bien élevée et heureuse, mais dans tout tableau se cache une tache noir, quelque chose qui changera cette vie…C’est le juste équilibre des choses…Autant de bonheur se doit de s’égaliser avec la même dose de malheur…C’est triste à entendre, mais c’est ainsi que la vie marche…Non ?
Mercedes était âgée de dix ans quand sa vie changea du tout au tout. Elle était dans un taxi avec sa maman, lui tenant la main doucement, elle avait les yeux fermés pour apprécié les douces caresse que sa mère faisait dans ses cheveux. Aujourd’hui, sa mère honorait une promesse qu’elle avait fait à sa fille un jour plutôt, elle lui avait promis d’aller en ville lui acheté un nouvel ours en peluche –ours qu’elle a toujours à ce jours– Ce fut sur le chemin du retour que la demoiselle c’était endormie ainsi dans les bras de sa mère, la main de celle ci dans la sienne, sa peluche dans ses bras, son visage contre les genoux de cette douce maman et la deuxième mains de sa génitrice se posant sur sa tête pour caresser ses longs cheveux noir.
Un coups sec de frein, des secousses, des hurlements, plusieurs bruit indescriptible, Mercedes n’avait même pas eu le temps de se réveiller. Elle sent une chaleur intenable autour d’elle, elle ouvre les yeux un instant, elle est en dehors de la voiture…Des médecins l’entoure, elle voit au loin le taxi retournée, la main de sa mère sortant de la vitre brisé, elle hurle des mots en regardant sa fille droit dans les yeux, Elle ne comprend rien, elle n’arrive pas a comprendre, jusqu'à ce que la voiture jaune explose envoyant dans les airs des débris de la voiture et des flammes montant vers les nuages…Elle ferme les yeux…
Quand elle les rouvre, ce fut deux jours plus tard, elle se trouve dans une chambre, le seul son qu’elle entend pour le moment est celui qui est au rythme de ses battements cardiaque : « Bip…Bip…Bip… » Elle observa à sa droite, à sa gauche, face à elle, une ombre se forme, quelque chose de flou qui prend de plus en plus de netteté. Elle reconnaissait cette silhouette carré d’un homme, son père, celui-ci l’observe, les yeux pleines de larmes…Et sans s’en rendre conte, Mercedes se met elle aussi à pleurer silencieusement, l’image de sa mère lui revenant en tête…L’explosion…La mort…
Elle entendit son père prononcé son prénom :
« Mercedes »
Ses yeux glissèrent vers le regard larmoyant de son père, elle sourit légèrement tout en pleurant, son père se lève et se dirigeait vers elle prenant sa fille dans ses bras, la serrant contre lui, lui faisant comprendre par ce geste qu’elle était tous ce qu’il lui restait au monde. Cette famille si heureuse venait de connaître le plus grand tournant de leur vie paisible, la mort de cette femme amoureuse de famille fut un tragique moment à passé pour le père et sa fille mais aussi pour le voisinage qui admirait cette famille comme étant le symbole même du bonheur et de l’union familial.
Mercedes sortit de l’hôpital le jour ou sa mère fut enterrée, à l’enterrement, habillée de noir, ce fut la seule couleur qu’elle se permettait de mettre à partir de ce jour, du noir… Elle tenait la main de son père quand le cercueil descendait vers la terre, le curé du coin contait l’histoire de leur mère, ses dons, tous ce qui avait fait d’elle une femme irréprochable, une mère exemplaire, une épouse adorable…Ce jour là, le soleil était dégager, les oiseaux chantaient sur les arbres qui environnait le cimetière et Mercedes pleurait en silence la disparition de sa mère alors que le soleil séchait déjà ses larmes avant même qu’il ne puisse glisser jusqu'à ses lèvres. C’était comme si sa mère était toujours à ses côtés pour essuyer ses pleures…
Le temps passait petit à petit, le père resta très longtemps en deuil et la jeune enfant ne semblait pas vraiment en sortir, ne s’habillant que de robe noir…Mais pourtant, son sourire revenait petit à petit, ne quittant plus l’ours en peluche qui fut le dernier souvenir de sa mère. Ce fut un jour comme les autres, un an c’était écoulé depuis la mort de sa mère, Mercedes rentrait de l’école, sa peluche en main, elle cherchait après son père dans la maison.
« Papa ? tu es où ? » « Dans le salon Mercedes… »
Sa voix était étrange et Mercedes avait directement pris peur, elle sentait pertinemment que quelque chose clochait, serrant sa peluche en main, le ton de son père était celui qu’il utilisait quand Mercedes avait fait une bêtise et pourtant, elle avait beau essayer de se remémoré tous ce qu’elle avait fait ses derniers jours, elle n’avait pas fait de bêtise, il n’y avait rien à lui reprocher. Cependant, elle s’aventura dans le salon, son père était debout, face à la cheminée, caressant de ses doigts le verre du cadre contenant une des photos de sa femme décédé.
« Sais-tu quel jour nous somme Mercedes ? »
Elle releva la peluche dans ses bras, le visage de l’ours contre le sien
« C’est…Son anniversaire aujourd’hui »
Mercedes savait pertinemment qu’il s’agissait de l’anniversaire de sa mère, alors pourquoi lui rappeler ? Au son de la voix de son père la petite c’était mise à tremblée, reculant de plusieurs pas. Son père tenait le cadre de sa mère entre ses mains, observant sa fille avec une lueur étrange dans ses yeux, l’enfant ne savait que faire, serrant cette peluche dans ses bras.
« Lâche cet ours » « Non » « LACHE LE ! »
( A suivre ) | |
| | | Mercedes Salva Serveuse fanatique morbide
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| Sujet: Re: Mercedes Salva Jeu 15 Mai - 20:55 | |
| Elle sursauta, et la peluche heurta le sol, couché contre celui-ci, la suite fut d’une violence extrême, l’enfant reçu en premier le cadre sur le visage, le verre se brisa…Une gifle claqua, le cris de la petite retenti, le père criant par dessus, hurlant sur sa fille que tout cela était de sa faute…Si elle n’avait pas été là, sa mère n’aurait jamais disparut et il aurait pu continuer à aimer, à être amoureux, à être heureux. La petite pleurant sous les coups de son père se faisant de plus en plus violent, de plus en plus douloureux… Quand il fut lasser de s’acharner sur la gamine, il la laissa pleurer sur le sol de ce salon, sa main contre son ventre, elle gémissait de douleur, regardant la photo de sa mère sur le sol :
« Ma…man… »
Elle ferma les yeux doucement, se réveillant dans son lit plusieurs heures plus tard, son père l’avait ramenée dans sa chambre apparemment, elle observait la peluche qui se trouvait à ses côtés, serrant cet ours contre ses bras. Son père couché à ses côtés observait sa fille dormir depuis tout à l’heure, il semblait l’avoir soigner de ses blessures, il regardait son enfant se réveiller et il posa une main très douce sur le visage de Mercedes, lui souriant comme il avait l’habitude de le faire quand il était à ses côtés, les yeux pleins de larmes, son père murmura entre des sanglots :
« Pardonne moi… »
Il serra délicatement l’enfant dans ses bras, Mercedes faisant confiance à son père, elle sombra doucement dans ses rêves, restant ainsi dans les bras de son père, tout deux passèrent la nuit ainsi ensemble, l’un dans les bras de l’autre. Le matin se leva et les journées passèrent ainsi dans le bonheur des autres jours. La petite ne semblait pas se rendre compte que tout cela n’était qu’un commencement…
Deux semaine plus tard, elle se trouvait dans son bain, se lavant doucement, sa peluche posé sur la cuvette des water, elle jouait avec l’eau avant que son père ne rentre dans la salle de bain, observant sa fille avec cette même lueur dans les yeux, elle observait son père, ne comprenant pas tout de suite ce qui allait se passé…Elle n’eut le temps de réagir, les mains de son géniteur c’était posé sur sa gorge et l’avait directement poussé sous l’eau, les yeux grand ouvert elle voyait la surface à travers l’eau et la mousse, ses yeux lui piquaient et les larmes se diluait dans cet eau… L’air commençait à lui manquer quand son père la tira du bain, la serrant à nouveau dans ses bras, en pleure, sanglotant, il ne cessait de murmurer des excuses que la demoiselle accepta une nouvelle fois…Pensant que tout cela était de sa faute et que c’était à elle de changer.
Et pourtant, tout les deux semaines environs elle recevait les pires sévices de son père, coups, blessure, étranglement, et ce fut a chaque fois pareil malgré les changements que l’enfant essayait de faire, elle avait carrément arrêter de porter du noir, recommençant à s’habiller comme au temps ou sa maman était encore vivante mais cela ne semblait rien changer, bien au contraire, à chaque fois elle recevait pire que l’autre fois, la demoiselle était perdue et plus elle grandissait, moins elle faisait confiance à son père, devenant une simple poupée de chiffon que l’on secoue dans tout les sens quand celui-ci avait ses crises…Ne répondant plus à ses excuses, ne changeant plus rien, s’habillant à nouveau de noir, commençant doucement à s’exclure des autres…
Les années passèrent et elle subissait les coups sans plus rien dire, pleurant en silence la disparition de sa mère, priant un Dieu qui ne semblait pas vouloir écouter ses prières et ses pleures. Elle avait quatorze ans aujourd’hui et sa façon de s’habiller était devenue de plus en plus effrayante, s’affirmant petit à petit dans sa manière de penser et de voir le monde extérieur, aujourd’hui, elle était silencieuse, entourée de deux seuls personnes, deux garçons avec qui elle formait un groupe de musique, deux garçons qui ne se doutait qu’un minimum de ce que pouvait vivre quand elle rentrait de ses répétitions avec le groupe.
Mais les sévices changèrent, la petite Mercedes ressemblait de plus en plus à sa mère, elle était coucher dans son lit quand elle entendit la porte de sa chambre s’ouvrir et le pas furtif et discret de son père, se préparant déjà à recevoir des coups, cependant, il ne fit que s’asseoir sur le lit, il observa sa fille et commença à lui parler :
« Je veux changer… »
Le cœur de Mercedes ce mit à battre, sa façon de parler semblait si sincère et au fur et a mesure qu’elle l’écoutait, elle y croyait, offrant à nouveau sa confiance à son père, celui-ci posa ses yeux dans ceux de sa fille, une main sur sa joue, il lui souriait comme il souriait autrefois, ses yeux contenant des larmes qui s’apprêtait à glisser sur sa joue mais Mercedes se releva, s’asseyant sur son lit, elle essuya de ses petits doigts les larmes de son père et lui souri à son tour. L’homme déposa un premier baisé sur le front de fille, un second sur joue, un troisième à la nuque, il posa ses mains sur les épaules de Mercedes qui recevait ses baisés sans réellement comprendre ce qui l’attendait.
Son père compressa ses épaules entre ses mains et Mercedes plissa des yeux, gémissant entre ses lèvres :
« Tu…Me fait…Mal, papa… »
Mais à cet instant, il plaqua sa fille contre le lit, l’ours en peluche glissant du lit, heurtant le sol dans un bruit sourd alors que son père offrait à sa fille les pires choses qu’on pouvait offrir, s’imaginant que cet enfant était la femme qu’il avait aimer…Le lendemain matin…Mercedes semblait autre part, blanche comme un linge, elle ne disait rien…
Ce fut lors de la répétition qu’elle tomba sur ses genoux, se mettant à pleurer, la seule personne étant présente était son ami Leone…L’un des deux membres du groupe auquel elle faisait partie, celui-ci avait voulut prendre Mercedes dans ses bras mais elle l’avait empêcher en le rejetant brutalement. Face à ce geste, Leone recommença et obligea Mercedes à se retrouver dans ses bras, ce fut au bout de plusieurs minutes de luttes que la jeune fille se laissa faire, pleurant contre l’épaule de son ami qui semblait deviner à l’avance ce qui arrivait à la petite Mercedes car il prononça ses paroles :
« Un jour tout ça cessera… »
Elle avait seize ans quand elle raconta enfin à Leone ce qu’elle subissait depuis le début de son enfance, le garçon n’avait pas réagis mais trois jours plus tard, Mercedes en rentrant chez elle, reçu la plus violente des gifles que son père et pu lui donner
« COMMENT A TU OSÉ ! »
Mercedes releva la tête, elle ne comprenait pas, son père lui fit alors comprendre dans ses hurlements que Leone était venu le voir pour le menacer de le faire éliminer s’il n’arrêtait pas de faire souffrir son amie Mercedes. Sur le coups, la demoiselle c’était sentie trahit car ce qui allait lui arrivé semblait beaucoup plus violent que d’habitude, elle c’était alors décidé de ne plus se laisser faire, se relevant, elle fonça directement sur son père le faisant tomber au sol. Elle s’encourut directement vers la cuisine, son père la rattrapant la fit tomber sur le carrelage de la cuisine, son nez saignait sur le choc de sa tête au sol…
Elle se releva directement, la tête lui tournait mais il lui était impossible de se laisser faire, bien décidé à se venger. A arrêter tous ce qu’elle subissait. Quittant la cuisine en courant, toujours poursuivit par son père, elle rejoint très vite le bureau de celui-ci. Fermant la porte à clé pour pouvoir gagné du temps, temps qu’elle avait besoin pour prendre l’arme que son père cachait dans son bureau, un colt, elle prit le chargeur, les balles, essayait de ce souvenir de ce que Leone lui avait un jour appris. Chargeant l’engin à l’instant même où son père défonça la porte. Elle le tenait en joue.
« Ah ah…Mercedes…Vas y…Tire »
Bien décidée certes, mais c’était quelque chose d’assez difficile aussi. Son père ne sembla pas vouloir lui laisser le temps, fonçant sur elle, une arme blanche à la main. Un coup de feu retenti…
« MERCEDES ! »
C’était la voit de Leone, elle avait retentit à l’instant ou elle remarque que quelque chose avait pénétré dans le corps de l’adolescente, le sang se répandant autour d’elle doucement, elle chuta aux sols tout comme son père, d’autre homme était présents et armés, ils semblaient accompagner Leone. Le père fut laisser pour mort alors que la jeune demoiselle fut emmené à l’hôpital pour des soins médicaux urgent. Elle avait perdu énormément de sang et sur une durée de sept seconde…Mercedes fut déclaré cliniquement mort. A son réveil, le souvenir de ces sept seconde envahissait sans cesse son esprit.
« Ce fut les sept plus belle seconde de ma vie »
Avait-elle un jour expliqué à Leone.
Orpheline, ce fut la famille de son ami qui décida de prendre soin de la demoiselle, la nourrissant, la logeant, la blanchissant…Reprenant une vie presque normale, la seule différence avec l’ancienne, c’est que celle-ci était beaucoup mieux et semblait être entourée de ce que les médias appelait « La Mafia ». Depuis l’âge de seize ans donc, Mercedes fut entouré de ce petit monde, apprenant bien des choses et très vide. Apprenant le respect, l’omerta, la loi du Coshe, l’entraide, et les multiples règles qui faisait de ce clan Italien une réelle admiration pour la jeune Mercedes. Se montrant déjà très obéissante auprès des personnes influentes du clan, nourrissant une admiration sans limite pour Il Padrino.
Les années défilaient, Mercedes avait fini par se faire embaucher à La Belle Sicile en tant que serveuse mais elle avait fait savoir à plusieurs reprise à Leone et son "père" adoptif qu’elle souhaitait faire autre chose de sa vie que de bouger ses fesses pour servir un verre de bon vin. Elle souhaitait servir le parrain mais les deux hommes n’avaient jamais accepter que cela se passe ainsi. Qu’il en soit ainsi, Mercedes décida d’aller d’elle-même demandé cela au Parrain lui même. Certes, elle n’avait pas vraiment été bien accueilli sur l’instant, mais la volonté de fer dont faisait preuve Mercedes semblait avoir, un bref instant, séduit l’Homme qui décida de la recevoir. Il fallait bien avouer qu’en voyant la demoiselle, elle ne fut pas vraiment prise au sérieux et une nouvelle fois, elle essuya un échec.
Cependant, la détermination a vouloir rendre service au clan était trop importante pour qu’elle s’arrête sur un échec. C’était une journée banal à La Belle Sicile, elle slalomait entre les tables pour servir les différentes commande jusqu'à ce qu’une étrange sensation venait à lui titiller l’esprit. Cela n’était pas la première fois que ça lui arrivait, c’était comme un sixième sens, l’intuition féminine peut-être. Quoi qu’il en soit, il y avait pour elle, quelque chose qui clochait, quelque part. Elle observa l’heure, se souvenant que Leone devait être là, jamais il ne ratait un repas ici même, c’était un détail mais un détail qui ne lui avait pas échapper. Ne pouvant décemment pas quitter les lieux de son travail, par respect pour son employeur, elle en fit part à celui-ci qui encore une fois lui fit comprendre qu’elle s’inquiétait pour rien. Insistant une bonne vingtaine de minute ce fut l’un des hommes du clans qui intervint, las d’attendre sa commande et curieux de savoir les raisons de cette attende.
Son employeur c’était excusé pour l’attitude de Mercedes mais celle-ci insista encore si bien que l’Homme qui c’était levé et qui connaissait par chance Leone, décida de vérifié si le "sixième sens" de la jeune femme avait vu juste. Résultat plutôt concluent, ils avaient rejoint le lieu où devait se déroulé une affaire importante pour le clan. Le groupe qui accompagnait Leone était en pleine querelle avec un autre clan de la ville. Ce fut grâce à Mercedes que les membres du clan qui avait été envoyé dans cette affaire furent tiré de leur merde… Elle attira ainsi l’attention et on lui confia alors quelque petit boulot, on la testait tout simplement et même si elle était pas parfaite, en général, le travail de Mercedes était plutôt concluant, montrant une certaine aise à utilisé les armes à feu et une aptitude à pouvoir sentir arrivé les coups foirreux.
Elle réitéra sa demande pour faire officiellement partie du clan… Et elle fut entendu…
La cérémonie c’était déroulé dans les meilleurs conditions, Mercedes avait récité ses vœux qui était très peu banal, celle-ci ne jurant ni sur sa famille, ni sur sa vie mais sur son honneur de mourir en les servant, expliquant à l’assemblée qu’il s’agissait de la plus belle chose qui puisse lui arrivé. Jurant fidélité et loyauté…La main entaillé, Mercedes était parfaitement décidé. Un sourire avait rejoint ses lèvres quand elle vit Il Padrino s’ouvrir la main pour serrer la sienne, signant ainsi le contrat d’obéissance de Mercedes envers le clan. Se souvenir restera à jamais gravé dans la mémoire de Mercedes.
Petit plus: Elle ne possède plus qu’un seul rein, le coups de son père était en fait un couteau de la cuisine qui lui planta directement dans l’un de ses reins…
Attributs:
Force: 4 Vigueur: 5 Agilité: 5 Intelligence: 5 Volonté: 7 Perception: 7 Charisme: 6 Chance: 5
Dévotion envers le clan: 8
Points de vie: 50
Compétences de classe:
- Drague - Séduction - Armes à feux - Arts ménagers - Conduite - 6eme sens
Inventaire:
Couteau Stylet ( 10 points ) Colt 1849 pocket ( 100 points ) Holster : 5pts vêtements de rechanges : 50pts Chargeur arme à feu vide : 10pts 2 Boîte de 30balles pour armes de poing : 70pts Silencieux pour armes à feu : 30pts
= 275 points / 500 ( je préfère commencé au plus bas et gravir petit à petit les échelons, cela à plus de mérite pour mon ego :p )
Comment avez vous connue le forum ? C’est Francis qui m’a fait les louanges du forum, le concept me plaisait et tout semble parfaitement bien mis en place…
Dernière édition par Mercedes Salva le Ven 16 Mai - 12:54, édité 1 fois | |
| | | Don Carissimo Cesaré Dirigeant sans pitié des Italiens
Feuille de personnage Points de vie: (60/60) Munitions: (550/550) Dollars: 430 $ (sur le compte tu peut même pas imaginer ^^)
| Sujet: Re: Mercedes Salva Ven 16 Mai - 12:23 | |
| Bon +1 cette fiche me plait mais car y a toujours un mais
8 en charisme c'est trop c'est plutot réserver au tombeur ou au chef les gars qui grace à leur gueule et leur manière de vivre font bouger le monde quoi et je te conseil de déplacer un ou deux point dans ta volonté ce qui correspondrait plus à ta classe ou ailleurs.
Ensuite vu que tu es une fanatique je suis plus qu'intérésser de savoir comment tu as vécu le changement de pouvoir surtout que ce brave Léonne à du crever dans l'histoire j'ai l'impression qu'il était grader à moins que tu n'en fasse un personnage prédéfinit.
Met ton avatar au norme du forum aussi 200*250.
Voilà modifie sa et tu seras validé. | |
| | | Mercedes Salva Serveuse fanatique morbide
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (60/60) Dollars: 10$ ( 55$ )
| Sujet: Re: Mercedes Salva Ven 16 Mai - 12:53 | |
| Oké, je diminue en charisme de ce pas et rajoute en volonté ^^
Pour ce qui est de Leone, je comptais bel et bien en faire un personnage prédéfinis et effectivement, je l'imaginais gradé ( sauf si ça pose un problème ), pas énormément non plus mais assez pour que Mercedes se fasse remarqué en le sortant de sa merde ^^ Cependant, j'hésite encore sur un détail: est-il vivant ?
Ensuite, le changement de pouvoir, Mercedes l'a plutôt bien vécu. Pour elle, ce qui compte est de servir le clan qui forme tout une "famille", il n'y a pas que le Parrain. Même si elle lui voue un grand respect quand même. A ses yeux, s'il y a eu changement, c'est qu'il en fallait un. Ayant entièrement confiance en son clan, elle ne se pose pas trop de question.
Je suis contente que la fiche vous ai plu, j'avoue avoir été assez nerveuse à ce sujet XD | |
| | | Don Carissimo Cesaré Dirigeant sans pitié des Italiens
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| Sujet: Re: Mercedes Salva Ven 16 Mai - 13:12 | |
| Bon je te valide va vite RP avant que je change d'avis ^^
Bon pour le changement de pouvoir on en parlera surement un jour IRP parce qu'il y a pas que le Don pour le clan mais la j'ai un peut flingué 90% des gradé d'avant pour assoir mon pouvoir plus ceux qui ne m'aurai pas suivit ^^
Pour Léonne il peut être vivant mais faut une raison béton pour sa
Sinon dernier petit truc les armes à feu tu les maitrisera pas super bien vu que tu t'en es pas servit à outrance pour le moment ^^. | |
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| Sujet: Re: Mercedes Salva | |
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| | | | Mercedes Salva | |
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