Un repas en bonne compagnie.

<=== Petite sortie matinale

La jeune chinoise attendait la réponse de Julian lorsqu’elle s’aperçu qu’ils venaient d’arriver devant le magasin de monsieur Ching, l’homme qui l’accompagnait lui fit signe d’entrer en prenant la parole.

" Le dessin est la réalisation sont belle un chef d'oeuvre même mais pardonné d'être aussi direct je trouve qu'au si beau soit t-il il vient entacher votre beauté naturel comme si vous aviez quelque chose à dissimuler ou qu'il vous avait été imposer par quelqu'un d'autre ..... Pardonnez moi c'est juste les divagation d'un amateur d'art qui passe son temps à tout analyser, Vous avez quelqu'un dans votre vie sa doit être l'homme le plus chanceux du monde et il doit ravir votre coeur lorsqu'il est présent bien sur ... comment est t-il je suis curieux de connaître ce qu'il peut bien être pour ravir votre coeur. Pour le repas ne vous inquiéter pas c'est un plaisir de vous l'offrir disons que c'est un échange de bon procéder en échange du temps que vous m'accorder."

Mei fut assez déçu de la réponse du jeune homme même en voulant assumer ce tatouage elle n’arrivait pas semblait suffisamment belle, de plus Julian avait apparemment compris qu’elle portait cela pour cacher quelque chose. Remerciant le jeune homme elle entra chez le traiteur.

"Merci…et ce n'est rien vous ne gâchez pas cette matinée."

En face d’elle se trouvait monsieur Ching derrière son plan de travail qui les accueillit avec le sourire saluant Mei. Le patron la voyait assez souvent dans son magasin, la jeune femme n’ayant que peu de place pour cuisiner et d’ustensile chez elle il avait même proposé à la jeune femme des tarifs légèrement avantageux la chinoise venant manger chez lui au moins une fois par jour. Mei rendit son sourire au patron inclinant la tête puis se retournant vers son compagnon elle lui fit signe de la suivre. Se dirigeant vers une petite table dans le coin de la pièce elle s’y assit faisant signe à Julian de faire de même en face d’elle. Mei prenait toujours la même chose des nouilles, deux Samoussas et un peu de poulet accompagné d’une gambasse le tout avec une petite sauce très finement pimenté dont seul Ching avait le secret Elle n'avait pas besoin de commander le patron le sachant parfaitement.

"Vous avez raison je l’aime plus que tout, mais cela fait bien trop longtemps que je ne l’ais pas vue… Comment il est… je ne sais pas trop comment le décrire, pour moi c'est la personne parfaite, douce, attentionnée, qui m'aime pour moi et non pour ce que je représente..."

Alors qu'elle parlait Mei essayait de cacher au mieux qu'elle avait une relation amoureuse en plus d'être sexuelle avec une femme, sachant pertinemment que de nombreuses personnes allait la regarder comme une sorte de chose à mettre en cage, chose qu'elle était déjà plus ou moins, les relations femme-femme hors des perles n'étais pas vraiment bien vue. Mais Julian semblait être assez sympathique et puis il allait lui payer le repas autant ne pas le faire fuir avant que cela soit fait... Mentir de la sorte dérangeait quelques peu la jeune femme qui aurait voulut pouvoir montrer à tous sa femme celle pour qui sont coeur battait, essayant de changer de conversation Mei repris la parole.

"Tu devrais commander Il sait déjà ce que je vais manger je prends toujours la même chose..."

Julian embraya dérrière Mei et entra à son tour dans ce peit restaurant de quartier ou il aurait jamais les pieds en temps normal surement pour la simple et bonne raison qu'il préférai ce faire à manger soit question de sécurité mais bon la il ne devait pas risquer grand chose vu que l'on s'attendait surement pas à le voir entrée ici, le patron d'ailleurs eut des yeux comme deux rond de flan en voyant l'Italien entrée, Julian lui adressa un signe de tète polit tout en soulevant son chapeau mais cette fois il ne remit pas sur la tète et le garda à la main, Julian passa ensuite sa main libre dans sa chevelure de la couleur du blé mur pour essayer d'aplatir un minimum les épis qui parsemais sa tète, il faut dire que lui et les peigne n'était pas très amis et il préférait nettement faire autre chose que de tenter de dompter sa chevelure rebelle. Julian emboita ensuite le pas à la jeune femme pour arriver vers une petite table situé dans un coin de la piece et quelque peut poussérieuse mais on ne pouvait pas en vouloir au tenancier de ce restaurant c'était un restaurant de quartier pas un quatre étoile.

Julian laissa tout d'abord s'assoir Mei tendit que lui même retirait sa veste pour la poser sur le dossier de la chaise que la jeune asiatique lui avait désigner pour prendre place puis il lança son feutre blanc qui dans un petit vol planer attérit sur une chaise vide situer non loin de lui et enfin il s'assit face à Mei en lui adressant un beau sourire tandis qu'il récupérai d'un geste discret sa mallette de couleur noir pour venir nicher entre ses jambes après tout elle contenait des informations et certain secret qui devait pas être à la portée de tous donc à défaut de pouvoir garder l'oeil dessus Julian préférait sentir ou elle était afin d'évité la mauvaise surprise de voir qu'elle avait disparu lorsqu'il quitterai la table.

Julian écouta ensuite attentivement la description que Mei lui fessait de l'amour de sa vie et elle était guère fournit, il ce serait attendu à plus car c'était tout de même l'élu de son coeur à moins que le pauvre type ne soit pour elle qu'un moyen d'échapper à sa triste condition, mais ceci Julian savait que ce n'était pas possible il avait fait une bref esquisse du caractère de jeune femme à force de la surveiller et sa ce n'était pas son genre mais par contre la il savait qu'elle lui mentait ou tout du moins qu'elle ne lui disait pas tout son regard dévia à gauche preuve qu'elle réfléchissait à ce qu'elle allait dire elle les pause qu'elle fessait inconsiemment dans ses phrase prouvait qu'elle réfléchissait à comment tourner sa phrase pour que Julian ne ce doute rien quand à son mensonge, Julian fit cependant l'air de rien préférant noter sa dans un coin de son esprit, il n'avait pas non plus reconnu le caractère de sa supérieur hiérarchique direct qui n'était pas vraiment quelqu'un qu'il qualifierai de douce et atentionner, mais dans le doute Julian ne ce permis pas de ce lancer dans un quelconque jeu de séduction et continua donc la conversation le plus normalement du monde :

" Ah l'amour rend souvent aveugle mais tant qu'il prend soin de vous vous ne pouvez pas le blâmer moi je suis toujours à la recherche d'une relation comme sa et quand j'ai eu cru la trouver malheureusement celle-ci était déjà prise et elle ne comptai pas changer d'avis malgré toute mes attention envers elle donc je continue d'attendre patiemment, mais je part avec un gros handicap il faut dire je suis un homme et la femme de ma vie n'aime pas les hommes pour une raison qui me reste totallement inconnue. Vous ne l'avez pas vu depuis un bout de temps dites vous j'espère que vous ne vous ètes pas quitter sur une dispute et qu'il ne vous a pas lacher sans même vous en avertir c'est une chose que je ne supporte pas mais je ne vais pas parler de malheur cela serait inconvennant de ma part et je suis sur que l'homme qui a élu domicile dans votre coeur reviendra absolument désolé d'être partit sans vous donner de nouvelle. Je comprend que vous recherchiez quelqu'un qui vous aime pour autre chose que ce que vous ètes à l'extérieur moi même je ne suis pas pret de gagner un prix de beauté surtout lorsque l'on voit l'état de mon oeil droit et beaucoup s'intéresse à moi pour mon portefeuil que pour autre chose et dans un sens j'éprouve de la jalousie envers votre amour si parfait. "

Julian avait fait exprès d'attaquer des poids sensible les personne en proie à un profond désespoir était bien plus enclin à lacher des informations que ceux en pleine possétion de leur moyen et surtout lorsque le lui mentait il ne voyais la qu'un défi lancer à son encontre à perçer ce secret surement était t'il atteint d'une curiosité maladive mais bon ce n'était pas le pire des mots sur terre et après tout il était en mission pour collecter des informations donc il n'avait aucune état d'âme à avoir, pourtant à force d'observer la jeune asiatique plonger dans le gouffre sans fond du désespoir il voulait l'aider mais comment ? c'était la toute la question pour commencer une enquête il faut un nom et pour la sortir des perles il lui faudrait donner le sien et une tel somme que l'on était pas pret de l'oublier d'ailleurs voir même de continuer à le taxer et surtout pour une femme qu'il ne saurait que faire et juste pour le geste n'était pas dans ses habitudes puis il fut tirer de ses pensée par Mei qui lui conseillait de commander pour être servit et ce fut d'un ton polit qu'il répondit :

" Vous prenez toujours la même chose moi j'aime bien être surpris pour ne pas tomber dans le train train quotidien de la vie je suis encore bien assez jeune pour évité cela donc épaté moi en choisissant pour moi car je ne suis pas un grand gastronome en cuisine asiatique et je ne saurai quoi prendre et vous aussi changer de menu et ne vous souciez pas du prix histoire que vous puisez varier les plaisirs et voir ce que le cuistot est capable de faire et en attendant que l'on soit servit je brule d'envie de mieux vous connaitre donc parler moi de vous au moins la prochaine que je vous croiserai au détour d'une ruelle il n'en sera que plus aisé d'attaquer sur un sujet que l'on partage tout les deux. "

Julian voyait parfaitement que sa petite tirade marchait parfaitement le visage de Mei qui ce décomposait petit à petit en était la preuve et il ne tarderait pas à avoir la vérité sur ce qu'il voulait savoir et surtout sur ce que la belle prostituer lui cachait et il prenait tous de même un malin plaisir à tourmenter cette pauvre femme que la vie n'avait pas gâter et de toutes façon si l'italien avait eu de quelconque scrupule son plan aurait été percer à jour et éventer bien rapidement et surtout il ne serait pas là où il en était maintenant, avoir des sentiment dans le crime organisé n'était jamais bien bon et souvent cela apportait plus d'ennui que de solution et même si il avait de la compassion pour cette jeune femme sa mission passait avant tout surtout que la il y avait des secret à déterrer et il n'y avait rien de plus délectable que de forcer quelqu'un de ce mettre à nue, à lui faire avouer ses plus obscurs secret, lui faire avouer ses plus grande honte et tous sa après une grande traque verbal et le mieux c'était lorsque a victime ne ce rendait pas compte qu'elle était en présence de son bourreau et qu'elle lui fessait totalement confiance. Julian eut enfin ce qu'il attendait ce "elle" si insignifiant mais pourtant oh combien révélateur et qui semblait mettre complétement mal a l'aise la jeune femme.

Julian n'eut pas le temps de continuer que celle-ci c'était lever comme si on venait de lui bruler le cul et après avoir balbutier quelque mots comme quoi elle allait commander pour eux alors que précédament elle avait affirmer que ce n'était pas nécessaire pour elle de commander une preuve supplémentaire comme quoi il avait fait but et que l'espion avait toucher la une corde des plus sensible concernant la vie de la jeune femme et tandis qu'elle était au comptoir en train de commander il sortit un petit calepin et griffonna rapidement les tendances sexuel de la jeune femme pour le verser à son rapport avant de faire redisparaitre son calepin dans la poche de son pantalon alors que ce fut une Mei au teint livide qui vient reprendre place à table quelque minute plus tard.

La jeune femme à peine installer commença à ce confondre en excuse pour avoir mentit et surtout pour cette fait si facilement fait prendre sur le faite, Julian n'était pourtant nullement gêner des gens lui avait bien plus mentit que sa pour leur propre intéret et ce n'était pas pour de simple petite amourette ou par peur de passer pour un objet de curiosité mais plutot pour s'enrichir ou cacher les preuves de leur trahison alors là il riait intérieurement de voir la jeune femme ainsi perturber pour un truc aussi insignifiant et maintenant au moins il était sur qu'elle sortait avec sa patronne qui était tout à fait capable de l'avoir choisit tout simplement pour son caractère qui était si candide, mais cependant il n'en était par encore tout à fait sur et il devait s'en assurer et ce fut avec un sourire bienfaisant sur le visage qu'il posa sa main sur celle de Mei avant d'une appaissante :

" Qui serai je pour vous juger alors que je ne vous connais que depuis peut de temps, comme je vous l'ai dit chacun est libre d'agir à sa convenance pour diriger sa vie et vous jeter la pierre pour ce que vous faites dans la vie ou dans votre lit serai honteux et indigne d'un gentil homme, mais vous ne devez pas cacher ce que vous vivez sinon cela pourrais être interpreter comme si vous en aviez honte, le regard des autres importe peut t'en que vous faite ce que vous aimez non ? et pour votre moitié je suis sur qu'elle reviendra avec une raison à son absence surtout si elle est comme vous, en amour à part chez les italiens qui sont très rancunier et qui n'hésite pas à disparaitre dans les autres cas tous s'arrange avec du temps et de la patience et le principal est que vous lui soyez rester fidèle, c'est même à mes yeux ce qui est primordial, n'accorder ses faveurs qu'a l'être aimé afin de ne pas le blesser, car si l'on ne pas faire confiance à celui ou celle qu'on aime pour ne pas accepter n'importe qui dans son lit un couple finit toujours par s'effondrer, donc pensez bien à ce que je vous dis et sa se passera bien à moins que ce ne soit une italienne la sa sera plus compliquer. "

Julian plongeait son regard dans celui de l'asiatique toujours en souriant comme si il voulait l'apaiser mais intérieurement il ne voulait pas il voulait lui faire perde encore plus pieds car il devait savoir si c'était sa patronne qui ce trouvait dans son lit ou si alors cette femme avait vraiment un quelconque intérêt pour le clan car pour à part faire un livre intitulé les malheur de Mei il ne voyait pas vraiment que faire avec les informations collecter et surtout il était dans son rôle de gars sympa qui lachait quelque bourde par-ci par là et finalement il retira sa main de sur celle de Mei et dit d'un ton enjoué :

" Il ce fait grand faim que nous avez vous commander de bon ? j'ai hate de meiux connaitre votre cuisine. "

Mei se sentait mal et cela ce voyait sans grande peine, même pour une personne n'ayant pas fait psycho... Julian posa son regard dans celui de la jeune femme tout en lui prenant la main et il se mit à sourire, une sourire chaleureux qui aurait apaiser n'importe quelle âme en peine. puis il commença à parler essayant apparemment de dédramatiser la situation et de rassurer la jeune Mei. Enfin cela ne fonctionna pas vraiment car plus il parlait plus le belle chinoise sombrait dans un gouffre sans fond surtout à l'énoncé de certaines choses. Mei depuis quelques temps avait changée, la jeune femme qu'elle était il y a de cela encore 6 mois avait presque disparue sur de nombreux point indépendante et fière d'elle elle était devenu soumise à ses patrons par la peur et le regard des autres la faisait énormément souffrir, comment Chiodaro allait elle la regarder elle, serait-ce comme avant ou était elle partit ayant apprit sa nouvelle vie.

Julian sembla ressentir cette tension au centre du coeur de Mei et ses paroles vinrent se poser sur son amante, l'italien était attentionné certes mais les mots qu'il employa ne firent qu'augmenter le doute dans le coeur de la chinoise son amante était bien entendu amoureuse d'elle ce n'était plus à prouver mais d'après Julian les italiennes étaient des plus rancunière, était-ce le cas pour Chio' lui en voulait elle de ne pas l'avoir écoutée lorsqu'elle lui demandée de quitter les perles, la femme de sa vie savait elle ce qui l'attendait si elle restait aux perles, mais comme si cela ne suffisait pas Julian se mit à parler de fidélité. Oui Mei était des plus fidèle elle n'aimait que son amante il n'y avait qu'elle dans son coeur et c'est même pour cela qu'elle supportait tout ce qui lui arrivait en ce moment aux perles. Mais sur le plan charnel Mei n'avait aucun moyen de garder son corps pour la femme de sa vie, elle n'était qu'un pute après tout, une femme qui les autres, hommes comme femmes, prenaient du soir au petit matin pour satisfaire leurs désirs sans que celle-ci n'ait son mot à dire. Les yeux de la chinoise commentèrent à se remplir de larmes, la seule chose que ses clients n'avait pas souillés était sa bouche, c'était la seule chose qu'elle avait pour le moment réussit à garder propre pour sa femme, mais cela suffirait il et combien de temps arriverait elle a empêcher ses clients ou même sa patronne d'en profiter...

Son interlocuteur lâcha alors sa main, main qui était devenue moite montrant le niveau de stress de la belle tatouée, elle en profita pour porter cette même main vers ses yeux pour cacher les larmes naissantes de la vue de tous. Lui souriant à nouveau Julian reprit la parole.

" Il ce fait grand faim que nous avez vous commander de bon ? j'ai hâte de mieux connaître votre cuisine. "

"Je... j'ai laissée au patron le choix du menu... il doit nous apporter diverses choses..."

Mei laissa ses yeux posés sur la table pour ne pas croiser le regard de Julain ne souhaitant pas qu'il se rende compte que les paroles qu'ils avait dites ne faisait qu'aggraver son état psychologique, encore une ou deux phrase comme cela et la jeune femme ne pourrait plus se retenir... Son coeur battait la chamade ce qui devait très certainement se voir au mouvement de sa poitrine celle-ci prête à exploser. La voix tremblante Mei prit la parole essayant de ne pas se montrer trop désespérée chose assez difficile il faut le dire....

"Vous devez avoir raison... Mais si elle m'aime vraiment cela ne devrait pas poser de problème non... C'est important l'amour... ça n'a rien avec avec un petit flirt même si elle est..."

Alors qu'elle finissait sa phrase le patron l'interrompit posant sur la table deux assiettes, l'une contenait divers produits tel que des nems, samussa et autres produits du genre et la deuxième quand à elle était emplit de produits à base de poisson comme des beignets de crevettes.

"Voilà pour commencer je vais vous préparer la suite, Mei régale toi je suis persuadé que ton ami va aimer ça aussi."

Sur ces quelques mots monsieur Ching repartit vers sa cuisine pour continuer de préparer les plats, la chinoise se saisit d'un samussa et commença à la manger en silence attendant la réponse de Julian se demandant si elle ne devrait pas mettre fin à ce dîner dans la seconde pour se rendre immédiatement chez Chiodaro. L'envie ne lui en manquait pas mais pourtant elle se sentait assez mal ne sachant pas si c'était le fait de laisser Julian seul ici ou de se retrouver seule dans l'appartement de son amante...

Julian n'avait glisser que quelque mots au sujet des femmes d'origine Italienne mais sa avait suffit à faire plonger en plus profondément dans le puits du désespoir la jeune femme qui lui fessait face maintenant nul doute que celle avec qui elle partageait son coeur et surement aussi son lit lorsqu'elle le pouvait était sa patronne, Chiodaro l'officier supérieur du renseignement du clan des mafioso Italien, sa c'était ce que Julian appelait une information coup de poing le genre de truc que si sa s'ébruite va entrainer un amoncellement de cadavre et surement réveiller quelque guerre interne au sein de leur clan, ben entendu c'était aussi une information qui valait son pesant d'or, elle pouvait faire passer le pauvre ouvrier des mines de charbon à un multimillionnaire mais hors de question de la vendre cela comportait trop de risque pour sa patronne pour lui comme pour le clan. Julian était arriver à cette conclusion en rassemblant les différent morceau du puzzle qui s'étalait devant lui, tout d'abord une mission de surveillance sur une femme sans grande importance et n'occupant même pas un poste clé au sein de son organisation pour leur être utile et pour preuve la pauvre était maintenant ce qu'on appelait une fille de joie, une fille qui ne dirigeait pas son destins et exécutait docilement les ordres qu'on lui donnait, la bougresse n'avait même pas de client régulier qui pourrait être intéressant d'entendre leur confession sur l'oreiller, bref passons après le cible aimait les femmes tout comme sa patronne mais elle ne l'avait pas vu depuis un certain temps et lorsque l'on comparait les dates sa patronne avait disparut depuis aussi longtemps que l'amante de la belle asiatique ce qui commençait à faire pas mal de coïncidence et c'était pour tisser un dernier lien que le bel italien avait fait cette dernière allusion à propos des italienne et si Mei avait montrer un royal je m'en foutisme c'est que sa tendre et chère n'était pas italienne mais voilà ce n'était pas le cas elle avait montrer des signes plus qu'évident de sombrer dans une mer froide et sans fond que l'on appelle désespoir et maintenant Julian pouvait cesser son enquête car il savait ce qu'il foutait ici, sa patronne avait tout simplement dépêcher son homme le plus loyal pour cette mission au cas ou ce cas de figure ce présente elle pouvait ainsi être sur que son secret ne serai pas éventer au quatre vent, car là nul doute que le nouveau Don ne l'apprécierait pas et la tuerait en exemple pour prouver à tous qu'il ne faut pas avoir de contact avec les clans ennemis si ce n'est pour affaire ou pour les escroquer et sa Julian ne le permettrai pas.

Julian après avoir retirer sa main vit la jeune femme porter la main au visage pour cacher des larmes naissante, nul doute que celui-ci y était aller peut être trop fort avec cette femme qui semblait avoir autant de force d'esprit qu'une feuille de papier il porta donc sa main à la poche extérieur de sa veste et en retira un mouchoir habillement plier de soie rouge qu'il déplia d'un coup sec et tendit à la jeune asiatique sans un mot pour qu'elle sèche ses larmes c'était le moins qu'il puisse faire après tout c'était lui qui l'avait mit dans cet état et enfin le repas leur fut servit, Julian gouta quelque truc vite fait avant de consulter sa montre à gousset en argent et prit un air surpris histoire de ce donner une raison de laisser seul son interlocutrice qui ne lui était d'aucune utilité vu qu'il avait obtenue ce pour quoi il l'avait aborder et surtout il devait vaquer à ses occupation et faire semblant de découvrir une cuisine qu'il ne connaissait que trop bien et n'appréciait guère ne le tentait pas spécialement et la il dit d'un ton désoler :

" L'heure file mademoiselle et je vous prit de m'excusez mais je me doit de prendre congé de votre personne, mes affaires m'attendent et j'ai un rendez-vous de la plus haute importance que je me dois d'honorer son peine de voir une affaire des plus juteuse me passé sous le nez et je vous serai gré de ne pas m'en tenir rigueur de vous laissé ainsi seul mais j'ai passé un moment fort agréable en votre compagnie et j'espère qu'il ce renouvellera un jour peut être viendrais-je me faire masser par vos mains experte à l'occasion si cela ne vous importune pas bien sur et je suis sur que vos peine de coeur ne tarderont pas à ce régler. "

Sur ces mots Julian ce leva et enfila sa veste, puis remis son feutre blanc sur son crane légèrement de travers comme à son habitude et sortit enfin un portefeuille plutot volumineux en cuir de crocodile d'où il sortit trois billet de cent frapper à l'effigie de Benjamin Franklin qu'il posa sur la table pour régler l'addition il savait parfaitement que c'était trop mais bon comparer à ce qu'il possédait c'était une goutte d'eau dans l'océan et en bon ignare de la cuisine oriental il devait aussi en ignorer les prix après avoir ramasser sa mallette il ce dirigea vers la sortie mais avant de sortir il entama une conversation avec le cuisinier parlant de tout et de rien sur sa façon de cuisiner et pendant ce temps la Julian était en train de griffoné des mots sur une feuille vierge de son calepin qu'il finit par arracher et murmura au cuistot :

" Donne ceci à la jeune femme qui était avec moi en lui disant que quelqu'un la déposer pour elle hier soir mais que tu attendais mon départ. "

Julian lui tendit discrètement la feuille avec un billet de cinquante dollars en les fessant glisser sur le comptoir puis il disparut du restaurant.

Spoiler:

Julian avait fait sa par pure chariter, toucher par les mésaventures de la jeune femme et surtout c'était une façon pour lui de s'excusé de lui en avoir fait baver durant leur entrevu.

Julian passa la main vers la poche extérieure de sa veste pour se saisir d’un mouchoir de soie rouge et le tendit à l’asiatique sans un mot. Mei s’en saisit inclinant la tête avec grâce pour remercier l’italien, après tout il ne connaissait pas tout les problèmes de la jeune femme et ne pouvait se douter. Cela devait paraître bizarre essayer de consoler une personne et ne réussir qu’a la faire pleurer. Après avoir essuyée les premières larmes avec le morceau de tissus pourpre la jeune femme prit a nouveau de quoi se restaurer lorsque son interlocuteur prit la parole après avoir regardé sa montre.

" L'heure file mademoiselle et je vous prit de m'excusez mais je me doit de prendre congé de votre personne, mes affaires m'attendent et j'ai un rendez-vous de la plus haute importance que je me dois d'honorer son peine de voir une affaire des plus juteuse me passé sous le nez et je vous serai gré de ne pas m'en tenir rigueur de vous laissé ainsi seul mais j'ai passé un moment fort agréable en votre compagnie et j'espère qu'il ce renouvellera un jour peut être viendrais-je me faire masser par vos mains experte à l'occasion si cela ne vous importune pas bien sur et je suis sur que vos peine de coeur ne tarderont pas à ce régler. "

Dans le même temps Julain se leva et enfila sa veste puis replaça son chapeau sur sa chevelure blonde puis sortant de sa poche un portefeuille il déposa sur la table 3 billets de 100 dollars. Mei resta bouche bé après ce geste il devait y avoir bien plus de 250 dollars de trop… Se levant pendant qu’il ramassait sa valise la jeune femme s’inclina devant Julian répondant à sa question sur le possible massage aux perles de chine.

"Vous pourrez venir vous faire masser quand vous le souhaitez Julian, demandez Chin Mei à l’accueil des perles, si je suis disponible je me refais un joie de vous masser. Passez plutôt en début d’après-midi vous aurez plus de chance de me trouver disponible…Merci pour le repas mais vous avez laissé bien trop d’argent…"

Mais Julian n’avait apparemment pas relevé la fin de sa phrase laissant les billets sur le centre de la table se dirigeant vers la sortie. La jeune femme se rassit se saisissant d’un autre nem après tout le repas était payé et très largement même autant en profiter même si son interlocuteur n’étais plus là. Son regard alors qu’elle mangeait rester posé sur les billets elle n’avait pas l’habitude de voir autant d’argent devant elle. Peu de temps après Monsieur Ching vint à coté d’elle pour lui remettre un morceau de papier lui disant donc qu’une personne a déposé ce billet hier dans la soirée. Mei remercia le patron et avant de l’ouvrir lui tendit les 3 billets qu’avait laissé Julian.

"Voilà pour le repas… il a laissé tout ça…"

Puis la jeune femme ouvrit le mot.

Spoiler:

Le visage de la chinoise sembla s’illuminer, des nouvelles de son amante elle était revenu et ce mot disait qu’elle pourrait la trouver dans le quartier italien, Mei ne pris même pas la peine de prendre en compte la mise en garde sur son arrivée dans le quartier Italien. Se levant elle attrapa son sac sans même prendre la peine de manger le moindre morceau de plus et se dirigea rapidement vers la porte remerciant le patron pour le repas et s’excusant de ne pas en manger plus, mais celui-ci l’interpella avant qu’elle ne sorte.

"Mei attend tient prend ça, ça t’aidera et puis repasse ce soir, je te préparerais la fin du repas…"

"Merci… Monsieur Ching, je repasserai avec mon amie. Merci encore."

La belle prit le billet de 100 dollars que venait de lui tendre l’homme s’inclinant pour le remercier et sortit en courant du petit restaurant pour se rendre chez Chiodaro la femme de sa vie.

===> Apparetement de Chiodaro