Adam Pierce, Chef remplaçant du service de la communication

Prénom: Adam
Nom: Pierce

Clan: Police

Age: 27 ans
Classe: Le Touche-à-tout
Métier: Chef remplaçant du service de la communication

Orientation sexuelle: Hétérosexuel
Crimes commis: Aucun, si ce n'est être amoureux de Nancy à en mourir


Description physique:

Adam est un jeune homme qui ne le cachons pas est plutôt beau garçon, voir même très beau garçon, il lui est déjà arrivé par ailleurs qu'il soit prit pour un gigolo par une ou deux personnes de la gante féminine allez savoir pourquoi. Avec son mètre soixante-dix pour un poids de soixante deux kilos il a une silhouette parfaitement proportionnée tout en douceur et en non dit. La première des choses qui marque chez le jeune policier doit être son visage car celui-ci reflète toute la personnalité de son porteur tel un miroir. Un visage doux, emplit de sincérité, en le regardant nombre de personnes lui donnerait le bon dieu sans confession et pourrait croire la plus part des paroles qui sorte de sa bouche. Le jeune Adam à de beaux yeux noisettes surmontés par de fin sourcil blonds, entre ses deux yeux se trouve un nez tracé avec un pinceau doux remontant doucement pour pointer de belle façon au centre de son visage. Il a de longs cheveux blonds, fin qui ajoute une touche de douceur supplémentaire à son visage qui d’après certains légèrement androgyne. Son corps quand à lui est plutôt courant, il n’est pas vraiment musclé tout juste dans la moyenne le jeune homme n’a jamais était très sportif mais son organisme lui permet de manger à volonté sans prendre un seul kilo ce qui rend sa femme jalouse bien qu’elle n’est elle-même aucun problème de poids bien au contraire. Petite particularité le jeune homme est pratiquement imberbe, il n'a presque jamais besoin d'utiliser un rasoir tout comme les diverses parties de son corps telles que les bras ou le torse n'arbore que de très petite quantité de poils blonds.

Il porte le plus couramment un costume de bonne facture composé d’une veste noire surmontant une chemise blanche noué par une cravate pourpre et d’un pantalon de toile noir aussi le tout agrémenté par un paire de chaussure de ville. Étant amené à faire de nombreuses déclarations en public ou à se déplacer fréquemment pour son travail il porte presque constamment ce type de vêtements même s'il en a des différents à porté de main. Un oeil attentif pourra aussi apercevoir le gilets pare balles sous sa chemise du moment qu'il sort de chez lui ou du commissariat. Loin d'être paranoïaque il préfère prendre ses précautions pour revoir sa femme et sa fille ailleurs que dans une boite en bois.


Description mentale:

Adam est un jeune homme qui a un grand sens de l'éthique et de la justice. S'il a fait de sa vie une vie de policier c'était tout d'abord à cause de son enfance, lui le fils du coin de la rue à qui on venait consentement demander de commettre de petits larcins dans la boutique de son père. Il appris donc tout jeune a reconnaître le bien du mal ce qui le porta rapidement à développer ce sens de la justice qui se ressent toujours dans les paroles qu'il prononce de nos jours. Il est d'un tempérament calme et posé, il est rare de le voir s'énerver pour un oui ou un non, son sens de la justice le porte a avoir des jugements assez novateur pour son époque bien que partagés par certaines personnes. Sa première ligne de conduite si l'ont peut appeler ça ainsi est d'avoir l'esprit ouvert, il déteste par dessus tout les personnes macho ou ne se forgeant pas leur propre opinion, ce qui à l'époque était monnaie courante. Depuis qu’il a rencontré Nancy le jeune policier sait qu’il a trouvé la femme de sa vie et de nouveaux traits de caractères ont fait leurs apparitions. Tout d’abord il se montre très protecteur envers elle qu’il a soutenu pendant tout leur passage à l’école de police face aux railleries et aux autres actions médisantes de leurs collèges bien qu’il n’ait encore aucune relation avec elle-ci. Ensuite, son travail bien qu’il lui prenne beaucoup de temps ne passe pas avant sa femme Nancy. il s’est découvert un coté romantique et se montre aux petits soins avec sa femme et sa fille les couvrant d’attention.


But/Rêves: Vivre une vie calme avec sa famille


Histoire:

|Chicago - 10/01/1932|
|Commissariat|

La porte s’ouvrit laissant place à un homme se tenant devant un large bureau, dans un fauteuil qui semblait bien trop large pour lui. Cet homme aux cheveux blond et au visage de pêche avait devant lui sur le bureau parfaitement rangé où se trouvait plusieurs dossiers, sur la droite un porte document contenant divers papiers débordants de la sacoche. Sur la gauche une machine à écrire posée à coté de plusieurs gros livres et au centre du bureau contre la bordure faisant face à la porte une plaque fraîchement posée "Adam Pierce". Le jeune homme se leva à l’arrivée de la jeune femme dans le bureau, il le contourna et serra dans ses bras la personne venant de rentrer dans la pièce. Après une tendre étreinte le jeune homme s’excusa au près de la belle blonde et se dirigea vers son bureau décrochant le téléphone avant de prendre la parole.

Je suis née il y a 27 ans jour pour jour dans le comté de Will, la ville que j’habitais lors de ma naissance ne vous dira rien elle est bien trop petite pour évoquer un quelconque haussement de sourcil ou un petit mot à moins que vous n’aimiez les petits villages perdus. Je vins donc au monde dans la petite maison familiale sur le lit de mes parents, mon père commerçant tenait une épicerie de quartier, lors de ma naissance ce fut lui qui me prit en premier dans ses bras sous le regard exorbité de ma mère et du médecin claquant la porte de la chambre arrivant enfin. Celui-ci était un ami de la famille et cette nuit là il devint bien plus sauvant ma mère d'une hémorragie qui lui aurait très certainement coûtée la vie. Anna, ma mère, bien que sauvée de la mort perdit la chance de donner une nouvelle fois la vie cette nuit là, ce qui explique que je sois fils unique mais finalement ce n'est pas si mal d'être fils unique. Pendant que Carl le médecin de mes parents, sauvait la vie de ma mère, moi, mon père, Johnathan me donnait un nom alors qu'il m'enveloppait dans un linge propre, Adam, Adam Pierce. Ce ne fut qu'une heure plus tard que je m'endormis dans les bras de ma gentille mère qui eut enfin la chance de me prendre au creux de ses seins sa vie n'étant plus en danger.

Ma vie pouvait donc commencer, elle ne fut pas simple pendant de longues années, car il faut bien le dire, je n'avais rien pour moi mis à par mon apparente beauté. Oui déjà tout petit j'étais mignon, charment ou tout autre synonyme qui se rapporte au tirage de joue gentiment offert par les personnes âgées venant à l'épicerie. Ma mère aidait mon père dans le commerce, j'y passa donc toute ma petite enfance car mes parents n'étaient pas des plus riches, ils ne pouvaient se permettre de payer une personne pour me garder. Mis à part la douleur que je ressentais sur mes petites joues rosies après le passage de ces vielles dames, je n'avais pas à me plaindre et d'après mon père j'aimais rester avec eux dans le petit magasin du coin de la rue. En y repensant ce devait être de beaux jours, courir entre les clients et l'unique rayon central, se cacher dans la remise où se trouvait le stock et très certainement y voler un chocolat ou deux de temps à autre. Je resta donc avec eux jusqu'au moment que redoute chaque mère pour son fils, mon premier jours d'école.

Lors de l'attribution des classes je me suis retrouvé dans une avec de nombreux enfants du quartier ce fut donc avec une bonne impression que j'ai commencé ma scolarité, mais cette impression s'estompa au fil du temps pour se transformer en un véritable cauchemar. Après 3 ans de scolarité plutôt réussi, certain de mes camarades de classe avec qui je n'avait aucun affinité et connaissant le travail de mes parents me demandèrent de leur voler de quoi manger, pour grignoter dans la cour de l'école et malgré les refus de ma part leurs demandes continuèrent jours après jour. Je réussi à les ignorer un temps puis un jour on a commencé à m'agresser verbalement devant mes refus successif, c'est connu les enfants sont méchant entre eux et avec mon physique il ne fut pas difficile de m'attaquer sur ce point, le fait que je sois légèrement androgyne leur facilita la tache. Les insultes devinrent monnaie courante avec le temps, « Adam c'est une gonzesse », « Adam il a pas de zizi », « Adam la fillette », « Adam la peureuse ». Je préférais à cette époque ne rien dire et je subis cela pendant toute l'année sans en parler à personne, pensant que l'année d'après ils arrêteraient puisque cela ne me vexais pas, mais ce ne fut pas le cas. L'année qui suivi commença comme la précédente avait fini, mais cette fois-ci 3 brutes ayant marre d'attendre que je craque me frappèrent. Après un mois de ce traitement je craqua et me mit a voler des boites de gâteaux dans la remise pour les donner aux 3 garçons par qui tout avait commencé. Mais une fois de plus je m'étais trompé lourdement sur la nature humaine, au lieu de se contenter de ces gâteaux ils me redemandèrent d'en voler plus, encore plus et d'autres choses aussi.

C'est suite à une nouvelle raclée un peu trop appuyer de leur part que j'ai tout avoué à mes parents. Le ventre noué par la peur qu'ils me punissent je leur expliqua tout un soir ne pouvant cacher le marques bleutée sur mon corps. A ma plus grande surprise on ne me puni pas suite à mes paroles, mon père souleva mon t-shirt et appela immédiatement Carl qui arriva dans les dix minutes qui suivirent. J'avais deux cotes cassées d'où la douleur que je ressentais et plusieurs hématomes, mes parents inquiets pour ma santé allèrent voir la police pour que les 3 petites brutes ne puisse plus me battre sans qu'il ne soit puni à leur tour. Ce fut ce jour là où je découvris à quel point la vie était injuste, car ces 3 gamins était des fils de mafieux et donc la police préféra ne rien faire redoutant des représailles. A quoi bon avoir une police si l'on ne pouvait même pas être protégé par celle-ci, à l'époque je ne m'imaginais pas ce que tout cela impliquer car je n’étais qu'un gosse. Devant l'impossibilité de faire stopper les maltraitance dont j'étais la cible mes parents décidèrent de me changer d'école immédiatement, mais l'année ayant déjà bien commencé ce n'était pas possible et donc je fini l'année dans cette classe là. Malgré tous je découvrir une chose importante pendant les mois qui suivirent, mes camarades de classe ayant apprit ce qu'il m'arrivait se mirent à me protéger, fille comme garçon chacun à leur façon.

C'est peut être à partir de ce jour la ou l'envie de devenir policier naquit en moi, je ne sais pas vraiment. Mais la fin de l'année se passa bien, je découvrir qu'il valait mieux parler des choses plutôt que les garder pour soit et de subir en silence et que même les plus petits actes pouvait aider bien qu'a ce moment je n'en avait pas conscience. Je demanda à cette époque à mes parents à ne pas changer d'école, voulant garder au près de moi toutes les personnes à qui je m'étais attaché, ce qu'ils comprirent et acceptèrent. La suite de ma scolarité fut une réussite. Je ne vais pas m'étendre sur mon adolescence qui ne vous passionnera que peu puisque je n'ai pas eut de copine, amante, coup d'un soir ou tout autre relation si vous préférez, non pas que la possibilité d'en avoir une ne soit venu se mêler à ma vie mais plutôt que je n'avais à cette époque trouvé personne me convenant et de toute façon à l'époque comme plus tard dans ma vie les petit flirt ne m'intéressaient pas, moi j'attendais la femme de ma vie. En dehors de mes cours et de mes travaux scolaire j'aidais mes parents à la boutique dès que je le pouvais et je livrais même les personnes un peu âgées ne pouvant se déplacer jusqu'à l'épicerie ce qui me valu le surnom du gamin du coin de la rue. Avec les années une envie avait germé en moi, celle de devenir policier, je ne peux expliquer pourquoi mais j'avais cette envie, peut être que je n'en pouvais plus de voir des personnes se faire agresser pour une poignée de leur maigre salaire, de voir des personnes comme les trois gosses qui m'avaient à une époque maltraités passer au dessus des lois.

Ma scolarité finie la grande question sur le moment fut que faire, bien que j'en avais déjà mon idée je n'en avais jamais parlé avec mes parents et lorsqu'ils me proposèrent une place dans une entreprise d'un ami à eux je leur expliqua alors pourquoi je ne pouvais accepter. J'avais envie de passer ma licence pour devenir plus tard policier, je leur exposa alors tout ce que je savais sur les études qu'il fallait que j'envisage, une année complète de formation avant de pouvoir passer ma licence, mais ce qui leur posa le plus de problème fut très certainement que je veuille faire tout cela à Chicago. Cette ville était connue et reconnue comme étant la ville du crime et c’était pour cette raison que je voulais faire ma formation là bas. De cette façon je pensais que je serais encore plus à même de régler les problèmes du quartier qui, il faut se l’avouer, n’avaient en fin de compte rien de vraiment important par rapport à tout ce que j’ai rencontré à Chicago. Ce fut donc après une longue discussion que je pus convaincre mes parents de m'envoyer faire la fin de mes études dans cette grande ville. Certes je savais que ce ne serais pas facile d'une part à cause de la distance je ne connaissais personne là bas, mais aussi à cause du maigre salaire de mes parents je ne pouvais me permettre de leur demander de me fournir de l'argent pour l'année. Car même s'ils l'auraient fait sans rien redire je ne voulais pas qu'ils se privent pour moi et j'ai donc pris contact avec les personnes s'étant inscrites à la même formation pour partager une collocation. Un homme plus âgé de moi de deux ans me contacta après que je lui ais laissé un message pour me dire qu'il était en effet intéressé par une collocation, il habitait déjà à Chicago et me proposa alors une chambre dans son apparemment pour se soulager de quelques frais. Après y avoir réfléchi et n'avoir reçu aucune autre réponse j'avais décidé d'accepter.

Ce fut plus tard que je me rendis compte que finalement j'avais fait une belle erreur, cette personne ne correspondait pas du tout à mon style de vie, mais il était trop tard pour changer. Et pourtant je ne vécu qu'un petit mois avec cette personne grâce à une jeune femme. Je fis sa connaissance à l'école de police, elle était la seule femme inscrite dans la formation pour passer la licence et espérer intégrer les forces de police de la ville. Mais la mentalité de notre époque lui value d'être ridiculisée dès le premier jour, les hommes ne pouvant supporter qu'une femme ne prétendre à un poste plutôt masculin un de nos collègue lui avait mit la main aux fesses la plaquant contre un mur de la pièce pour lui montrer qu'elle ne pourrait jamais faire un bon agent de police mais qu'elle devrait plutôt penser à devenir un autre genre de femme avec son joli minois. Sa plaisanterie avait fait rire toutes les personnes présentent et alors qu'il s'apprêtait à passer à un autre acte tout aussi dégradant je m'étais interposé s'appréciant pas ce type de comportement. Cette jeune femme s'appelait Nancy Johnson, je m’installai donc auprès d'elle est rapidement nous fîmes connaissance.

Elle était d'une gentillesse étonnante, aussi nous nous sommes rapidement entendu passant le plus clair de notre temps ensemble lorsque nous étions à l'académie. Pendant ce temps ma vie avec mon colocataire se dégradée de jour en jour. Il ne s'occupait de rien dans l'appartement se contentant de ramener des filles pour s'envoyer en l'air avant de les jeter une fois qu'il avait fini enchaînant conquête sur conquête, il ne se gêné pas pour leur mentir sur tout les sujet qu'il abordait du moment qu'il arrivait à les avoir dans son lit. Ne supportant plus cet homme je m'étais mis à l'époque à rechercher un autre logement c'est à peut près à ce moment là que Nancy me proposa de venir habiter chez elle. Je fus assez surprit sur le moment elle ne me connaissait que depuis peu et je savais qu'elle vivait avec ses parents, cela n'allait il pas les déranger? Mais elle sut me convaincre et j'acceptai donc après avoir rencontré ses parents, ils était gentils, aimable tout comme leur fille. Je leur proposa de payer un loyer, chose qu'ils refusèrent ils ne voulaient pas qu'un ami de leur fille ne paye, surtout que c'était leur fille Nancy qui avait lancée la proposition, Gêné accepta mais à condition d'aider les parents de Nancy dans les taches courante de la maison pour leur rembourser le loyer qu'ils ne voulaient pas recevoir.

Les jours passèrent pour devenir des mois, deux exactement, deux mois pour que je ne me rende compte des sentiments qui était née en moi pour Nancy, certain trouverons ça long mais pour moi c'était relativement court. J'avais beau être un beau parleur habituellement et plutôt à l'aise avec les autres personnes je ne savais comment faire pour avouer mes sentiments à la femme qui habitait mes pensée continuellement, comment le prendrait elle, après tout cela faisait maintenant 2 mois que habitais chez elle, allait elle penser que j'avais son invitation pour me rapprocher d'elle et pouvoir la mettre dans mon lit? Et puis ses parents comment allaient ils prendre la chose? Je dois avouer qu'à cette époque j'avais plutôt peur de leur réaction, je ne savais vraiment pas quoi faire, comment parler de tout ça et si elle ne m'aimait pas elle comment cela se passerait il au quotidien. Toute ses questions se bousculaient dans ma tête à m'en faire pleurer par moment. Puis finalement tiraillé entre mes sentiments et ma peur du rejet je lui fis part de tout cela un soir, après avoir dîné et aidé les johnson à ranger la cuisine je pris mon courage à deux mains et j'entra dans la chambre de Nancy après avoir frappé. Mon coeur battait la chamade alors que je m'approchais d'elle, je m'en souviens comme si c'était hier, elle était la assise sur le bord de son lit, ses lunettes sur le bout de son nez, une mèche blonde contre leur monture, à chaque pas mon coeur se serrait, mon malaise devait se voir puisqu'elle ne demanda ce qui n'allait pas. Je lui répondis que la seule chose qui n'allait pas était le fait que je ne savais comment lui dire que je l'aimais et que cela me rendait fou, de pouvoir aimer une personne à ce point ça sans arriver à le lui dire par peur que ce ne soit pas réciproque. Nancy se mit alors à rougir remontant ses lunettes sur son nez fin laissant la mèche de cheveux passer sur son visage et se leva pour se rapprocher. Et elle m'embrassa, en y repensant ce baiser n'était pas des plus adroit bien au contraire, mais ce fut pour moi le meilleur que je n'avais jamais reçu, car il faut l'avouer de mon coté je ne fus pas non plus adroit ce soir là en l'embrasant.

Mes peurs s'envolèrent aussitôt car je savais maintenant qu'elle m'aimait elle aussi et j'appris le lendemain matin qu'elles n'avaient finalement aucun fondement puisque Nancy avait parlée, depuis un moment déjà, de ses sentiments pour moi à sa gentille maman. Les parents de Nancy furent ravis de savoir que les sentiments de sa fille n’étaient pas à sens unique et ils furent heureux que leur fille se soit trouvée un garçon comme moi, chose qui me fit rougir. J'annonça aussi la nouvelle à mes parents, à qui je n'avais pas l'habitude de parler de mes relations sentimentales et eux aussi furent ravis et me demandèrent de leur présenter la jeune fille qui avait pu remporter mon coeur au plus vite. Les mois passèrent les uns après les autres à une telle vitesse que sans même m'en rendre compte nous arrivions à la fin de l'année, notre relation fit beaucoup parler pendant cette année là mais nous n'en avions rien à faire, Nancy bien que sa licence en poche décida de ne pas continuer pour devenir policière et préféra devenir secrétaire mais en restant dans la police tout de même, je la comprenais bien avec une telle mentalité ses journées n'auraient été que peu plaisante... Pour ma part je décidai d'intégrer les forces de l'ordre de Chicago pour ne pas m'éloigner de la tendre Nancy qui me fit la joie d'accepter ma demande en mariage.

Nous sommes rester chez ses parents un moment avant que les premiers salaires ne tombent pour ensuite louer un petit appartement, un vrai chez nous. Environ une année plus tard mon supérieurs vint me voir pour me propose de changer de service, les patrouilles n'étaient d'après lui pas faites pour moi, et il me proposa une mutation au service de la communication, ce qui d'après ces propres mot collerais bien plus a mon style. J'accepta à l'instant car d'une part ce poste était bien plus dans mes cordes comme il me l'avait fait remarquer mais aussi ma femme travaillait dans ce département ce qui avait beaucoup d'importance pour moi. A partir de ce jour là je découvris une toute autre façon de travailler, il en était fini des heures à rallonge, sauf cas exceptionnel bien entendu, ce service me permit d'apprendre nombres de nouvelles choses et l'une d'elle était le cryptage et le décryptage, sans compter la communication à proprement dire bien entendu. Je devins en effet avec le temps une des personnes qui avait la chance de communiquer avec les médias portant la parole des forces de l'ordre vers ceux-ci. Ce n'était en effet pas un travail sans risque mais celui-ci ne plaisait grandement.

Il y a deux ans un heureux énervement vint égailler notre vie déjà somptueuse à mon goût, la naissance de notre fille, Madyson. Une petite fille qui me rendit fou de joie, moi comme sa splendide maman Nancy, l'accouchement se passa parfaitement bien. Il n'y eut aucune complication ce qui m'enleva un poids du coeur car il faut bien se l'avouer je redoutais qu'il n'arrive quelque chose à ma douce femme. La venue de Madyson dans notre vie apporta de nombreux changements, mais le plus beau de tous fut que nous soyons parents, que cette petite si belle soit notre enfant, celle que nous allions chérir à tout jamais. Aujourd'hui j'ai même encore du mal à décrire ce moment et ce sentiment qui naquit en moi à cette époque mais peut importe le plus important était que cette petite était la notre. Suite à sa naissance Nancy arrêta de travailler pendant plusieurs mois pour s'occuper d'elle et de notre fille, de mon coté je fis mon possible pour ne pas avoir trop de travail et de cette façon pouvoir rentrer rapidement auprès d'elles chaque soir prendre la relève et laisser à Nancy un peu de répit. Les premiers mois ne furent pas faciles mais rapidement nous prirent le rythme et les petits soucis du quotidien s'oublièrent rapidement devant l'amour que nous portions à Madyson. Cela fait maintenant un an et demi que Nancy à reprit le travail, on viens tout juste de me faire montrer en grade temporairement en attendant qu’il ne soit nommer une autre personne suite à la mort de notre ancien supérieur. J’espère me montrer à la hauteur et qui sait peut être qu’il sera décidé de me laisser à ce poste si je fais du bon travail. Les parents de Nancy ravit de pouvoir passer du temps avec leur petite fille la garde la journée lorsque nous sommes au travail.

L’homme reposa le combiné sur le bureau se retournant vers la secrétaire lui souriant de la même façon qu’au premier jour. Il se rapprocha d’elle et l’embrassa tendrement avant de replacer la mèche de cheveux tombant sur la monture de ses lunettes derrière son oreille d’un geste empli de naturel lui soufflant un, je t’aime, au creux de l’oreille. Puis attrapant sa veste ainsi que le porte documents posé sur le bureau le jeune homme ouvrit la porte du bureau laissant la jeune femme sortir la première puis la suivant il referma la porte, sur celle-ci l’on pouvait lire "Chef du renseignement". Les deux jeune gens prirent la direction du parking l’un contre l’autre tel un beau couple.

Attributs:

Force: 5
Vigueur: 5
Agilité: 5
Intelligence: 6
Volonté: 6
Perception: 6
Charisme: 7
Chance: 5

Dévotion envers le clan: 7

Points de vie: 50

Compétences de classe:

Arme à feu
Connaissance des cryptages
Connaissances des procédures
Éloquence
Persuasion
Sens de l'observation


• Connaissance des cryptages : La personne ayant cette compétence peut traduire divers types de cryptages : le morse, Le chiffrement de César, Le chiffre ADFGVX ainsi que les plus grand code de cryptages connus…

Inventaire: 695/700

Browning GP. 35
Holster
Chargeur arme à feu vide x 3
Boîte de 30 balles pour armes de poing x 2
Gilet pare balles
Porte documents
Nécessaire d'écriture (machine à écrire, rubans, papiers, stylos…)
Nécessaire de Cryptage/décryptage (livres, papiers, stylos…)
Paire de menottes
Plaque de police
Delade D6


Vêtements de rechanges :

• Costume composé d’une veste, d’une chemise, d’une cravate ainsi que un pantalon de toile (ensemble noir, cravate pourpre)


• Costume composé d’une veste, d’une chemise, d’une cravate ainsi que un pantalon de toile (ensemble gris, cravate bleutée)


Vêtements de rechanges :

• Vêtements de sport composé d’un t-shirt et d’un pantalon ample.


• Vêtements courant composé d’une chemise et d’un pantalon

Comment avez vous connu le forum ? Shâo Lin

kikou ^____^

Alors, que dire... pas grand chose.

Personnellement ta fiche me plaît plutôt bien, une petite famille des parents toujours en vie bien que loin, une belle famille et une petite que demander de mieux?

les descriptions sont correctes, comme la répartitions des points et les compétences. Pour la connaissances des cryptages je n'y vois pas de problème mais a savoir que ça me va pas te demander 3 minutes de décripter un texte mais un certain temps à prendre en compte en rp ^^

A Allen de voir s'il a des questions plus en détail sur ton poste dans la police ou non ^^

Voilà o/

Bien, d'habors désolé du retard...

Bon aprés minte réflexion... T'arrive au bon moment mon grand ><'

Personellement els description me vont, les compétances sont justivier, l'histoire se lit bien...
Rien à en redire... La place du chef est expliquer aussi! j'ai pas de question... Et je pense pouvoir te trouver une place dans le rp...

Alors voilà... Je valide ta fiche!
Bienvenue parmis nous!