Petite visite...

<==== devant la plus haute tour

Pénétrant d'un pas tranquille dans le restaurant, il huma la douce odeur de cuisine qui flottait dans l'air, soupirant un peu, il se sentait déja mieux, retrouvant son calme et son entrain, il entra plus profondément dans la salle en se dirigeant vers une table libre, il était midi passé et son ventre criait famine, il verrait après un bon repas avant de demander si une entrevue était possible avec un responsable pour discuter un peu du restaurant, de sa clientèle, de la qualité de sa cuisine, enfin, le tout pour faire un article quoi !

S'asseyant dans un coin de la salle, un endroit ou il pouvait observer avec un bon angle de vision sans risque d'avoir l'air suspect à tourner la tête dans tout les sens, ouvrant sa veste et passant sa main dans ses cheveux un peu trempés par les flocons de neige qui tombaient dehors, il se décida ensuite à regarder les prix, voyant qu'un déjeuner lui couterait 2$, il reposa le menu en attendant patiemment afin de pouvoir se faire également à cette occasion une idée du service en attendant que quelqu'un vienne lui demander sa commande et, par ailleurs, prenant également le temps d'observer l'état des lieux, la propreté de l'endroit et le type de clientèle qu'elle accueillait en début d'après-midi, un dimanche .

[Edit Li Wei]: Pense a mettre les lien des divers lieu

<==== Son appartement

La journée avait plutôt bien commencé, en dehors d'une petite altercation avec son voisin de droite, altercation dont seul une porte de bois avait subit les conséquences.
Rien de bien méchant.
Elle c'était ensuite préparé pour sortir, elle faisait le service du soir aujourd'hui ce qui lui permettait de flâner dans les belle rue du quartier Italien. Elle aimait l'atmosphère des lieux et s'y sentait terriblement bien.

"Les gros titre: Intervieuw de l'ancien Parrain de la Mafia"

Avait-elle bien entendu ?
Le crieu de rue attirait son attention, il se trouvait près du kiosque à journaux. Elle s'approcha de celui-ci et observa les diverses journaux et magasin qui se trouvait là. Sortant un billet de son sac, elle prit le Chicago Times. Le crieur avait réussi à lui titiller sa curiausité. Reprenant la monnaie que lui devant le vendeur, elle c'était remis en marche vers un des restaurant du quartier Italien, ouvrant à présent la première page de ce journal.

Elle lisait consciencieusement l'article, ne faisait pas entièrement attention à ce qu'elle faisait et à l'endroit où elle marchait. Elle avait cependant évité de bousculer les gens et s'en était plutôt bien sortie. Cependant, pour des soucis pratique, elle se stoppa en route et lu une seconde fois l'article.
Celui-ci l'avait terriblement titiller. Elle n'aimait pas beaucoup ça et la fait de n'avoir qu'un extrait ne rendait pas les choses plus faciles. Un mauvais présentiment, peut-être que sa soif de curiosité lui jouait des tours où peut-être qu'elle était tout simplement parano.
Reprenant sa route, elle réfléchissait intensément sur ce qu'elle venait de lire et ce qui serait le plus intelligent à faire. Elle était intimement persuader que cela pourrait nuire à la famille et surtout au Don...

Arrivée devant le restaurant, elle oublia quelque seconde cette histoire d'article pour humer brièvement l'odeur de la bonne restauration italienne. Celui-ci était presque plein, il y avait une très bonne clientèle et pour cause, la cuisine y était esquise. Bon oké, il suffisait de peu pour satisfaire la petite Mercedes. Elle était une cliente habituée de ce restaurant à vrai dire, même si elle était douée en cuisine, faire la cuisine pour une personne n'avait rien de bien amusant de toute manière.
Observant le menu d'aujourd'hui, elle pénétra dans le restaurant, son appetit qui avait précédemment été coupé par l'article de journal venait à nouveau de réapparaitre même si ces réflexions reprenaient de bon train.

*Faut trouver l'article complet...*

Se décidant enfin à lire le nom de l'autre...Nom qui ne lui était pas inconnu d'ailleurs...

Relevant le nez de l'article, elle salua les employés qui étaient présent avant de jeter un oeil sur la clientèle qui était déjà en ces lieux. Son regard se posa alors sur Francis, Francis Jefferson. Voisin d'en face de son appartement et...Journaliste...
Un sourire se forma sur le doux visage de la fanatique, se dirigeant directement vers Francis qui ne l'avait pas encore remarquée. Elle posa une main sur son épaule gauche et le contourna par derrière vers la droite. Se trouvant à présent assise en face de celui-ci. Elle incline légèrement la tête, sourire amical aux lèvres.

"Bouh..."

Avait-elle prononcé sans grande conviction, rajoutant un:

"Tu m'invite ? Je meurs de faim !"

Nouveau sourire, regard supliant mais pétillant de malice, elle tenait encore le journal entre ses main. Posant son sac à main non loin d'elle, de manière à éviter un éventuel vole, même si ici...Il y avait très peu de risque.
La minute qui suivit, le visage de Mercedes changea du tout au tout, l'expression taciturne, devant plus sérieuse...

"Et on doit causé..."

Mercedes avait l'art de pouvoir rendre l'atmosphère inquiétante. En même temps, son fanatisme et sa propention pour la mort n'avait rien de très rassurant déjà à la balse.

Cette jeune femme est l'une des serveuse de ce restaurant bien que débutante dans ce métier elle y met tous son coeur pour satisfaire les clients dont elle a la charge, bien que d'origine Italienne elle ne fait partie D'AUCUN CLAN elle est parfaitement neutre ses parents étant mort en servant un parrain mafieux elle sait jurer de ne jamais y mettre les pieds et de ne pas les fréquenter plus que de rigueur donc en les servant dans ce restaurant et c'est tout, d'ailleurs elle utilise un faux prénom qui est Ondina et c'est ainsi qu'elle ce présente aux clients. Ondina est une jeune femme de 21 ans qui est toujours enjouer et souriante, elle prend à coeur son travail et fait en sorte de toujours être polit et souriante lorsqu'elle s'adresse aux clients.



Ondina était arriver au alentour de dix heures pour prendre son service en avance comme à son habitude mais c'était un peut sa marque de fabrique et elle ce dirigea directement dans les vestiaire pour enfiler son tablier qui portait l'emblème du restaurant ainsi que sa jupe noire et son chemisier blanc puis elle partie en salle ou elle prit soin de disposer les condiments et les serviette sur les tables pour le service de midi, jetant aussi un coup d'oeil à la propreter des tables et un coup d'éponge lorsque cela était nécessaire et enfin elle partie en cuisine en attendant les premiers clients ce qui ne fut guère long un hommes venait de pousser la porte de l'établissement et alla prendre place à une table et il fut rejoint ensuite par une jeune qu'il semblait connaitre. Ondina ce saisit de deux menu et attendit quelque instant pour qu'ils ce disent bonjour et toutes les autres politesse d'usage et enfin elle ce dirigea vers eux tout en affichant un beau sourire.

Ondina ne mit que quelque seconde à rejoindre la table du couple et ce positionna juste à coté d'eux restant droite comme un I, elle adressa un bref signe de la tète à chacun d'eux pour leur dire bonjour et elle finit par prendre la parole d'un ton aimable et courtois tout en leur dépliant le menu sur la table face à eux pour qu'il en prennent connaissance :

" Je vous souhaite la bienvenue dans notre établissement Madames et monsieur, je suis Ondina et je serai votre serveuse pendant la durée du repas en espérant que celui-ci sera des plus agréable. "

Ondina ce remit droite et laissa un peut de temps aux clients pour qu'ils prennent connaissance du menu avant de reprendre la parole toujours sur le même ton et en souriant :

" Le menu du jour que vous propose le cuisinier est des spaghetti bolognaise, suivit d'un plateau de fromage et d'une part du dessert de votre choix, si vous désirer une boisson ou un apéritif n'hésiter pas à m'appellé je ferai tout mon possible pour vous contenter. "

Sur ces mots Ondina ce tut et attendit silencieusement d'entendre les désirs gastronomiques des clients.


HRP : c'est court mais je sais pas quoi raconter voilà maintenant le PNJ t'appartient Jeff' sauf si tu réclame une nouvelle intervention.

[ hj: 20 jours d'attente -_- je suis vraiment désolé Jeff ]

- Le ''Mon chéri'' était-il indispensable ? Comme si je n'étais déja pas assez frustré par ma vie sentimentale...

Un petit éclat de rire ce fit entendre, Mercedes adorait gêné le pauvre Francis, souriant innocemment, elle avait aimer le voir presque rougir face à sa remarque par rapport à son manque indéniable de conversation. C'était sur et certain qu'il était un grand timide et cette idée l'amusait et bien évidemment, tout ce qui amusait Mercedes suffisait pour qu'elle ne s'arrête pas. La mort l'amusait et l'attirait, ce qui la rendait complètement cinglée et entièrement dévouée au clan. Certainement la jeune femme la plus dévouée de ce clan d'ailleurs.

"Roooh mon pauvre petit Francis Jefferson..." Insistant sur le nom et le prénom d'une manière taquine. "J'avais oublié qu'aucune femme ne voulait de toi..."

Petit peste ? Certainement, mais c'était aussi pour cette raison que la plus part des gens appréciaient la jeune Mercedes. Même si elle était à elle toute seule le réincarnation de la folie et de l'étrange...Faisant peur à certain, attirant d'autre.

"Ou devrais-je plutôt dire que tu ne remarque pas les femmes qui veulent de toi ?"

Un sous entendu ? Peut-être que oui, peut-être que non ? Mercedes maniait l'art du sous entendu comme le jongleur maniait ses balles entres ses doigts abile ou tout comme Francis maniait à la perfection l'art des mots dans l'écriture de ses articles de journal. D'ailleurs, elle jeta à nouveau un oeil sur le journal. Observant avec insistance le jeune homme. Il fallait qu'il lui dise ce qu'il en pensait et surtout, elle avait besoin de lui. Il lui fallait l'article en entier et dans les plus bref délais. C'étai tune aubaine d'être tombé sur Francis dans ce restaurant et elle comptait bien en profiter. Mercedes avait plus d'un tour dans son sac pour obtenir ce qu'elle souhaitait, surtout quand il s'agissait du bien être du clan.

"Alors...Cette article ?"

La malice était toujours présente dans la voix de la jeune femme, ainsi que son petit sourire en coin, simple et discret mais présent. Cela lui donnait presque un aire de petite fille auquel on peut tout faire sauf lui faire confiance. Même si Mercedes était du genre à être muette comme une tombe...Ou du moins, tout dépendait du secret mais en général, on ne devait pas trop s'inquièter de la demoiselle.

"Tu crois que tu pourrais me rendre un petit service ?"

Un nouveau petit sourire, elle décroise ses jambes et le recroise, frôlant légèrement le mollet du garçon. Certes, là, ce geste était bourré de sous entendu pour attiré l'attention du jeune homme qui semblait complètement ailleurs.

"Tu aurais pu dire oui sans poser de question..."

''Ben tiens, si je faisait ça avec chaque fille qui m'avait fait les yeux doux, je n'aurais surement même pas survécu à mes parents...'', se dit-il en voyant Mercedes lui faire un clin d'œil avant d'accueillir leur repas, si la jeune femme planta directement sa fourchette dans les spaghettis, Francis ne sembla pas y prêter une grande attention, continuant à fumer sa cigarette lentement .

"Je veux que tu récupère l'article en entier avant qu'il ne soit publié...Je sais pas pour toi mais je préfère m'assurer de son contenu avant..."

Pour lui ? A dire vrai il n'y avait pas trop réfléchit, sa mentalité de sous-fifre attitré ne l'avait jamais poussé à faire beaucoup d'initiatives, c'était surement pour cela qu'il n'était jamais vraiment devenu quelqu'un, ou que ce soit, cependant, si il savait très bien réfléchir par lui même, il faut bien admettre que les responsabilités n'étaient pas ce que le jeune homme appréciait le plus au premier abord, et l'on à beau dire, se laisser guider est toujours plus simple que de faire la guide soi même, même si cela s'apparente un peu trop souvent à se comporter comme le mouton qui va suivre le berger, même si celui-ci glisse dans un ravin...

Ne disant le moindre mot, il hocha les épaules, comme pour signifier ''Je verrais ce que je peux faire'' tout en sachant pertinemment qu'il allait peut-être se retrouver aux premières loges de part sa nouvelle affectation au Chicago Times .

"Ne croit pas que je te laisserai faire ça gratuitement...Dis moi ce que tu veux en échange de ce service et je l'accomplis sans poser de question"

''Hé allez... Maintenant des propositions à la limite du vice... Va falloir que je bavarde un peu avec les autres troufions dans mon genre, savoir si je suis le seul, par ce que la...'', pensa t-il en tirant à nouveau sur sa cigarette, allant déposer d'un vif mais retenu coup d'index la partie consumée dans le cendrier tout en esquissant le sourire du mec qui a compris, histoire de ne pas passer pour un cul béni non plus, soutenant tranquillement le regard de Mercedes en répondant d'un ton aussi calme que son sourire :

- Je ne sait pas... Ce serait un peu idiot de te proposer à diner ensemble alors... Contente toi de ne pas faire de remarque ou d'avoir de préjugés sur moi, et en particulier vis à vis de ce que je vais faire la...

Tirant une dernière bouffée sur sa cigarette, il vint l'écraser dans le cendrier, ne laissant pas une seconde à la jeune femme pour répondre, il joint alors ses mains, baissant le menton et fermant les yeux, murmurant aussi bas qui lui était permis :

Bénissez nous, Seigneur, bénissez ce repas, ceux qui l'ont préparé, et procurez du pain à ceux qui n'en ont pas ! Ainsi soit-il !

Terminant ce court bénédicité, il prit enfin sa fourchette et les planta dans les spaghettis, amassant un petit ramassis de ceux-ci sur la fourchette, il l'amena à sa bouche, dégustant son premier repas de la journée, ayant prit depuis des années la mauvaise habitude de ne pas manger le matin, c'était peut-être un peu du à cela qu'il était un peu mou dans la matinée et aussi qu'il ne s'épaissis pas trop avec le temps .

Mâchant tranquillement, il regarda Mercedes dans les yeux avant de laisser glisser à nouveau son regard sur le journal, il reprit enfin la parole après avoir avalé sa bouchée :

- Bien, donc il va m'appartenir seul le devoir de rencontrer ce ou cette S.C., ''Qu'elle idée aussi de ne marquer que ses initiales sur ses articles... Premier jour et je vais surement passer pour un con au journal...'', et de la pousser par n'importe quel moyen à me donner ces infos, ça va pas être du gâteau, je n'ai pas pour habitude d'aller demander directement à mes collègues de me raconter leur scoops...

"En tout cas fort à faire aujourd'hui, dire que ce matin je me plaignais de manquer d'activité, j'espère que j'aurais mérité ma place au paradis avec tout ça...", sans un mot de plus, il laissa un blanc pour que Mercedes puisse à son tour s'exprimer, continuant à manger à un rythme plus que tranquille et à la limite qualifiable de "lent", il ne la quittait pas des yeux, oscillant entre une attitude sérieuse qui lui donnait un air de tueur à gage et son attitude habituelle de grand mec sympathique qui ne sait jamais à quoi s'attendre avec la vie, joli contraste ma foi...

Elle observe ses réactions et remarque bien que sa proposition d’échange de bon procédé semble être prit sur un ton un peu trop…Vicieux à son gout. Elle baisse la tête, souris, amusée. Il est vrai qu’elle avait l’art de cultivé les sous entendu et les mal entendu. Continuant de sourire, elle hocha les épaules, le regarda dans les yeux et lui fit comprendre par ce geste qu’elle ne pensait pas forcément qu’a ça…Même si le sous entendu avait été ajustement posé pour le rendre mal à l’aise tout simplement.

- Je ne sait pas... Ce serait un peu idiot de te proposer à diner ensemble alors... Contente toi de ne pas faire de remarque ou d'avoir de préjugés sur moi, et en particulier vis à vis de ce que je vais faire la...

Elle s’apprêtait à lui balancer une petit remarque bien cynique, rien de méchant à vrai dire, quelque chose d’amusant tout au plus lorsqu’elle fut surprise par le fait qu’il joigne les mains. Cet imbécile aurait pu au moins lui prévenir, elle aurait eu un minimum de respect et n’aurait pas commencé son assiette. Mimant donc son geste à défaut d’avoir déjà commencé ses spagetthis, elle restait religieusement silencieuse, attendant la fin de ce très court bénédicité. Mercedes était très croyante il est vrai mais peu pratiquante à vrai dire. Les seuls prières qu’elle adressait était celle du soir éventuellement où lorsqu’elle avait assez de temps pour passer en journée à l’église. Notons qu’elle allait tout de même à la messe quand elle le pouvait. Avec son travail, c’était pas toujours facile.

« Amen… »

Ton sérieux et religieux, c’était ainsi qu’elle avait clot la prière du jeune homme avant de reprendre le cours de leur repas mutuel. Elle lui devait un repas d’ailleurs…Elle qui c’était incrusté ainsi et c’était carrément même invité. En y repensant, elle souriait de nouveau.

- Bien, donc il va m'appartenir seul le devoir de rencontrer ce ou cette S.C.,

Elle hocha la tête positivement. S.C. Devait être découverte et au plus vite, cependant…Elle n’appréciait pas réellement le mot « seul », elle souhaitait quand même contribuer à l’enquête. Pas question qu’elle reste les bras croisés à rien faire…Elle avait horreur de ça…

- et de la pousser par n'importe quel moyen à me donner ces infos, ça va pas être du gâteau, je n'ai pas pour habitude d'aller demander directement à mes collègues de me raconter leur scoops...

Machant ce qu’elle avait en bouche, elle posa sa main devant ses lèvres pour indiquer à Fracis qu’elle s’apprêtait à prendre la parole mais avant, elle devait vidé le contenu de sa bouche. Avalant sa bouché de Spagetthis, elle s’essuya délictement les lèvres avec la serviette qui avait été posé à côté de chacune de leur assiette. Maintenant fin prète pour prendre la parole et exposé la manière dont elle voyait les choses.

« Tu pense sérieusement que je vais te laisser t’amusé tout seul ? »

La malice était lisible sur son visage, elle qui aimait le danger, le risque, elle adorait donc faire partie de tous ce qui pouvait l’amener à ressentir un minimum d’adrénaline.

« Il faut effectivement trouvé l’identité de cette ou ce…S.C…Comment ? La, je comptais un peu sur toi…Après tout…T’es le fouille merde… Pour ce qui est de l’article…S.C. n’est peut-être pas obligé de savoir qu’on la lu, il doit bien avoir moyen de se procuré une copie a partir de l’original. Bref, je pense sincèrement que lui demandé gentiment si on peut lire son article en entier avant qu’elle le publie ne soit pas la meilleure des idées… »

Elle reprend une bouche de son assiette, mache, avale, machinallement…

[color=darkseagreen]« Premièrement…Trouvé l’identité du journaliste…Ou peut-être même à la prison… »

Elle esquisse un sourire, une petite idée immergeant dans son esprit…

« On doit signer un gros bouquin quand on va rendre visite à quelqu’un en prison…Si il ou elle n’a pas utilisé de fausse identité, y a peut-être moyen de choper son identité la-bas ? »

Elle a des tas d’idée qui pousse, Mercedes a toujours le idées énormément confuse, rien est en place…Certainement du par la folie qui la gagne un peu plus chaque jour…

« Ou au pire, on pourrait se renseigner auprès de certain flics…Ou d’autre journaliste si on commence nos recherches au Chicago Times…T’en pense quoi ? »

« Tu pense sérieusement que je vais te laisser t’amuser tout seul ? »

"M'amuser ? Plus de doutes maintenant, elle est vraiment folle...", pensa t-il en continuant à manger toujours aussi lentement son plat du jour, ne quittant pas des yeux la jeune femme qui semblait presque enjouée de cette mission qu'elle s'était confiée elle même...

« Il faut effectivement trouvé l’identité de cette ou ce…S.C…Comment ? La, je comptais un peu sur toi…Après tout…T’es le fouille merde… Pour ce qui est de l’article…S.C. n’est peut-être pas obligé de savoir qu’on la lu, il doit bien avoir moyen de se procuré une copie a partir de l’original. Bref, je pense sincèrement que lui demander gentiment si on peut lire son article en entier avant qu’elle le publie ne soit pas la meilleure des idées… »

Préférant rester silencieux à cette remarque qui ne manquait pas d'inutilité, il s'arrêta cependant de manger, laissant machinalement sa main remuer sa fourchette dans son assiette, il eut soudain le regard un peu vide, un moment de distraction dirait-on, le regard fixé sur Mercedes, comme si il faisait un blocage sur ce visage, cependant, son regard redevint tout de suite normal lorsque celle-ci ouvrit à nouveau la bouche pour parler de cette affaire :

« Premièrement…Trouvé l’identité du journaliste…Ou peut-être même à la prison… »

Levant les sourcils à la fin de cette remarque-ci, il n'eut pas le temps de répondre quoi que ce soit que la jeune femme était déjà partie dans son idée, ou, comme l'aurait plus qualifié le jeune homme à cet instant, de délire...

« On doit signer un gros bouquin quand on va rendre visite à quelqu’un en prison…Si il ou elle n’a pas utilisé de fausse identité, y a peut-être moyen de choper son identité la-bas ? »

Si, à la phrase précédente, Francis pensait que Mercedes était partie dans un mauvais délire, cette fois-ci, il ne le pensait plus, il en était sur, comme si on allait ouvrir les registres de visites d'un tel prisonnier au premier connard venu et, qui plus est, qui ne respire pas vraiment l'assurance, mais bon, en gentleman, il ne répondit pas tout de suite, préférant manger une nouvelle bouchée de spaghettis en espérant que Mercedes lui sortirait un "Mais non, je déconne !" :

« Ou au pire, on pourrait se renseigner auprès de certain flics…Ou d’autre journaliste si on commence nos recherches au Chicago Times…T’en pense quoi ? »

"Ha ? Cette fois je peux en placer une ? Vraiment ? se dit-il en esquissant un sourire léger, il avala sa bouchée et répondit à Mercedes d'un ton le plus sérieux possible, se disant qu'il faudrait quand même qu'il lui dise qu'il va bosser au Chicago Times dès demain donc qu'il lui sera très aisé de trouver l'identité de ce S.C. à ce moment en discutant avec les journalistes et pigistes qui seront présent :

- Personnellement, je serais pour de passer au Chicago Times pour obtenir son identité, ce sera plus facile et un poil moins suspect que tenter d'aller voir les registres de la prison quand même...

"Je lui dit ? Je lui dit pas ? Je lui dit ? Je lui dit pas ?..., se répéta t-il intérieurement en faisant tourner les spaghettis autour de sa fourchette jusqu'à ce que la masse de pâte ne glisse simplement de celle-ci et revienne à son point d'origine, il reprit une nouvelle fourchette de spaghettis, sortant dans un souffle avant de les mettre en bouche :

- ... Surtout que dès demain, je vais gratter un article chez eux...

Riche idée de prendre une bonne bouchée de nourriture avant de dire un truc qui le ferait rire soi même, fort heureusement, à force d'avoir un humour aussi merdique bas de plafond, l'on peut dire que le jeune homme s'est habitué à se retenir de rires à ses propres blagues en publiques, devenant un as de l'auto dérision grâce à cela .

Enfin, ne laissant pas vraiment le temps à Mercedes de lui faire une remontrance sur le fait qu'il aurait put le dire tout de suite plutôt que de la laisser se surchauffer ses neurones plus soucieux de la partie contaminée par la folie que par celle de la discrétion et de la prudence surchauffer dans sa jolie caboche, il avala sa bouchée en deux temps trois mouvements et repris :

- Bon allez, sérieux, demain je dois la ramener au journal, d'ailleurs c'est pour ça que je suis ici, d'habitude ma petite bouffe en solo en regardant les gamins profiter de leurs cadeaux de Noël à ma fenêtre me suffit mais là, si j'ai envi d'avoir quelque chose à gratter demain et qui me permette de pas me faire jeter dès le premier jour je dois...

Se trouvant brusquement un peu trop parti pour raconter sa vie minable, il eut une seconde de silence puis reprit à nouveau la parole :

- Enfin, demain je vais au Chicago Times, je n'aurais sans doute pas trop de problèmes à fouiner un peu pour trouver qui est ce journaliste, et puisque il... Ou elle,... "La tu t'es fait repérer sale macho !... Doit au moins être pigiste dans le journal, je devrais surement pouvoir avoir un minimum d'information sur lu... Lui ou elle, sauf si c'est encore un de ces foutu pigistes qui envoi ses articles par courrier, mais à ce moment me suffira de voir comment le journal le paye et...

Petite inspiration de la part du timide qui se trouve soudainement des talents d'orateur mais qui pense, une fois de plus, qu'il ferrait mieux de se garder tout les détails et possibilités vis à vis de cette personne qui, si ça se trouve, était un bon journaliste qu'il rencontrerait directement au journal après qu'il ait passé une heure à concocter un plan foireux pour le cas ou ce serait un pigiste .

- Enfin bon, je pourrais m'occuper de ça demain matin... Au fait, qu'entendais tu par "Tu pense sérieusement que je vais te laisser t’amuser tout seul ?" ?

Laissant enfin la parole à la pauvre Mercedes qui, cette fois-ci, devait regretter d'avoir débloqué le timide et réveillé le bavard, il planta une dernière fois sa fourchette dans ses spaghettis pour les amener à sa bouche, se sentant déjà bien assez nourris pour toute la journée, cela ne le dérangeais apparemment pas de laisser encore près d'un quart de son assiette à l'abandon .

Mercedes était à l'affut d'une quelconque réaction, observant Francis diriger sa main vers son paquet de cigarette. Allez savoir pourquoi, Mercedes faisait partie de ses rares femmes qui ne fumaient pas comme un pompier. A vrai dire, elle se servait en nicotine quand la situation l'imposait réellement.

- Mais oui ! Tu pourrais m'aider énormément, mais pour cela, il faudra sans doute que tu "sèche" un peu le boulot... Enfin, imaginons l'hypothèse que cette personne soit effectivement un homme, il sera évident qu'il sera plus enclin à parler en t'ouvrant la porte qu'en me l'ouvrant à moi, surtout avec ma gueule de...

Elle fit une petit moue, reprochant à nouveau à Francis d'être beaucoup trop négatif. Bien sur, il n'avait pas tort, il est vrai que le mot "Confiance" ou "esprit saint" n'était pas encore noter sur son front ce qui allait très certainement posé quelque problème effectivement. Cependant, encore fallait-il que sa soit un homme. Souhaitant reprendre la parole, elle se ravisa en voyant son petit geste, décidant alors de simplement terminé son assiette.

- Bien sur, en ce cas, je pense que tu saura te débrouiller, en revanche, si c'est une femme, cela risque d'être un peu plus embêtant, auquel cas... Je te donnerais bien sur un maximum d'informations au plus vite avant de tenter une approche, de telle façon que si il m'arrive quelque chose, tu puisse t'en charger toute seule ou prévenir quelqu'un... Et... Pour la suite, on verra...

*Et...C'est tout...?*

Pensa-t-elle en le regardant sérieusement, un petit sourire au coin des lèvres illuminant le visage de la jeune femme de cette lueur entre folie et raison. Là, il aurait un peu de mal à convaincre la demoiselle, après tout, elle n'avait qu'une chance sur deux que ça soit un homme et c'était loin d'être des statistiques qui plaisait à la jeune fille. Elle qui n'aimait déjà pas les jeux de hazard, en voilà un auquel elle se serait bien passé. Pas question de rester en second plan, ça, c'était clair et net dans l'esprit de la jeune femme.

- Mais bon, j'ai pas l'habitude de faire des plans moi, si tu as des idées pour les tâches à répartir par la suite, je t'écoute, moi je n'ai pas trop d'idée et je croit que j'ai du attraper la crève dehors...

Elle esquissa un nouveau sourire, espiègle et malicieux, observant Francis droit dans les yeux. Elle donnait cette impression qu'elle s'apprêtait à exploser et à insulter Francis de tout les noms pour oser la mettre de côté alors que sans elle, cette affaire, il y serait très certainement passé à côté. Elle baissa la tête, remit une de ses interminable mèche de cheveux derrière les oreilles et releva ensuite à nouveau les yeux vers ceux de Francis, une lueur étrange au fond de ceux-ci, comme à l'accoutumé.

"Je pense que pour le moment, on va pas s'avancer plus que cela...L'important, c'est de trouvé qui a écrit cet article...On avisera ensuite pour obtenir l'article complet en avant première..."

Elle était sérieuse, pour une fois, elle devait bien se rendre à l'évidence qu'elle n'avait pas le choix que de rester en second plan. Elle ne travaillait pas au Chicago Times, elle pourrait bien évidemment prendre quand même le risque d'aller fouiller les registres des visites de prison mais elle se sentait d'humeur à rester sage...
Cette option, elle l'utiliserait en cas d'extrême urgence...

"Mais ne t'avise pas à faire cavalier seul..."

Le ton de la voix était doux, presque sensuel et une pointe enfantine...Une petite menace, de rien du tout, qui laissait tout de même son pesant quand on observait le regard de la demoiselle.

"Je suis très mauvaise perdante..."

Elle laisse échappé un petit rire avant d'observé par la fenêtre les personnes dehors.

"C'était délicieux..."

Réobservant son assiette à présent vide, elle sourit à présent gentiment à Francis.

Et oui, c’était toujours très difficile de suivre le raisonnement d’une femme, alors je vous laisse imaginé quand cette femme était aussi giffrée que l’était Mercedes, cela devenait presque impossible.

Le regard rivé vers le jeune homme, elle venait de clairement lui faire comprendre qu’il n’était pas question qu’il fasse cavalier seul et tirer toute la gloire. Gardant un regard étrange paradoxalement mélangé avec un sourire tout à fait innocent. La tête légèrement incliné, comme une gamine. Laissant tombé le côté gamine psychotique pour un « c’était délicieux » tout à fait aimable et sympatique.

- Je trouve aussi, c'est toujours agréable de pouvoir manger ainsi, de se sentir l'espace d'un repas de retour dans notre bonne vieille Europe... C'est beau la nostalgie, mais il ne faut pas vivre dans le passé, et ça, je n'ai pas encore totalement réussit...

Elle esquissa un petit sourire avant de se lever, s’approchant de Francis, il avait toujours l’art de se pourrir l’esprit de pensée très négative. Certes, Mercedes n’était peut-être pas le meilleur exemple à suivre, même si elle semblait particulièrement heureuse, elle ne restait pas moi une amoureuse de la mort et de la sensation que cela avait produit dans son corps. Sept seconde cliniquement morte…Les sept meilleure secondes de sa vie…

« Je vais pas t’ennuyer plus longtemps. »

Il avait du travail à faire de tout manière et elle, elle avait d’autre chose à faire aussi…Bien que…En fait non, elle n’avait rien du tout à faire à vrai dire. Mais rester ici n’allait pas vraiment faire avancer les choses. Se penchant doucement vers l’oreille du jeune homme, elle murmura une dernière parole.

« Quand tu aura ce qu’on cherche, tu sais où me trouvé »

Après tout, il vivait l’un en face de l’autre…Dans le même immeuble. Elle posa ses lèvres sur la joue de Francis, en guise d’au revoir, saluant la serveuse de tout à l’heure elle sortie à présent du restaurant

[ => Autre part, je sais pas encore où ]

L'italien prit doucement la tasse de café brûlante et la porta sous ses narines humant l'odeur de celui-ci. Puis observant la jeune serveuse il sourit prenant la parole pour répondre à la question qu'elle venait de lui poser.

- C'est juste une... Amie... En revanche, oui, vous pourriez m'aider, je suis journaliste pour le Chicago Times et j'ai pensé à faire un article sur ce beau restaurant, mais je n'ai pas l'habitude d'écrire des articles en me fiant à mon seul jugement...

"Ha, pardon je pensais que vous étiez mariés comme elle vous à appeler... Vous êtes journaliste, un article sur le restaurant, il faudrait peut être en parler avec le patron si vous faites un article sur la qualité du restaurant..."

Et voilà comment passer du coq à l'âne Ondina n'aimait pas vraiment se mêler de ce qui ne la regardait pas et même si elle adorait discuter avec les clients elle n'allait pas empiéter sur leur vie personnelle. C'était donc un journaliste et du Chicago Times en plus, quelle chance de pouvoir discuter avec un des chroniqueur de ce grand journal. Mais pourquoi faire un article sur le restaurant il y en avait de bien plus grand en ville et de bien plus chic surtout. Alors que Francis but une gorgé de café elle fit de même machinalement sans même s'en rendre compte. Et il voulait son avis, elle n'était pas vraiment expérimentée dans ce genre de poste mais elle ferai de son mieux.

- Tout d'abord, cela vous dérangera t-il que je vous cite directement dans l'article ? Si cela ne vous dérange pas, pourrais je alors avoir votre nom ? J'aimerais aussi savoir depuis combien de temps vous travaillez ici .

La jeune femme sembla surprise qu'il commence par ce type de questions elle n'aurait jamais imaginée pouvoir donner son avis pour être ensuite lut par des milliers de personnes. Le sourire du jeune homme semblait rassurant et elle prit alors la parole souriant aussi de plus belle.

"Heu.. ça dépendra pour dire quoi, je m'appelle Ondina, vous pouvez dire que je travaille ici enfin dire que vous avez parlée avec une serveur? Mais je ne pense pas que mon patron serait content si je parle de son restaurant. Je travaille ici depuis peu donc je ne sais pas tout, j'adore être ici, servir les clients, voir le visage réjoui des gens lorsqu'ils voient les plats arriver, on voit qu'ils aimes manger ici. Vous pourriez mettre ça dans votre article non? Dire que les gens aime travailler ici aussi?"

La jeune serveuse bu une autre gorgée du liquide noirâtre, elle semblait vraiment à l'aise en parlant de son travail elle en oublia de reparler de son patron.

"Si vous faites une critique le mieux c'est de demander aux clients vous savez mais les gens aime bien manger ici j'ai l'impression, vous avez aimez avec votre amie? Le chef cuisine très bien."