Dans la ville de Chicago en 1932 les mafias sont de plus en plus actives cherchant à assoir leur domination tout en agrandissant leur territoire pour évincer leurs ennemis |
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| Une petite commande. | |
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Andréo Piga Garde du corps dévoué et asocial
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| Sujet: Une petite commande. Dim 22 Juin - 20:48 | |
| <==== Staff only Après une petite heure de marche sous la douce neige Andréo avait changé de quartier, le décors lui n’avait que peut évolué la neige rendant toute la ville plus ou moins semblable la neige en plus d’énerver les gens les gênant dans leurs déplacement avait le don de rentre tout le monde agressif. Cela amusait l’italien lui qui n’aimait pas se mêler aux gens de les voir s’engueller pour un oui ou pour un non, même les couples se baladant main dans la main en subissaient la dur loi. Le garde du corps se trouvait désormais devant la porte de l’armurerie tenue par cette certaine Asteria Fuego. *Je vais m’entendre avec elle…* L’italien en doutait grandement il ne s’entendait qu’avec très peu de monde la plus part des gens ne voulant de toute façon l’éviter son attitude n’encourageant personne à venir lui parler. Il Poussa lentement la porte de l’armurerie pour rencontrer cette personne mais surtout récupérer son bien. L’armurerie était plutôt spacieuse ou plutôt disons que c’était une impression, la première chose qui sautait aux yeux était le manque cruel de marchandises. Le comptoir de bois brut sépare l’arrière boutique de la salle pour la clientèle les deux coté n’étant pas des plus encombré et pas des plus classieux non plus. Difficile de croire qu’une jeune femme travaillait ici Andréo s’avança dans la pièce secouant sa veste pour en faire tomber la neige présente sur celle-ci et laissât ses yeux vagabonder sur les quelques marchandises présentes. Si son sabre avait du subir un quelconque mauvais traitement ça aller mal ce passer et c’était pas malheur plus que probable vu l’état des lieux…"Bonjour, Je viens chercher une commande."Andréo s’était exprimé en italien chose des plus normal pour lui, il espérait simplement que la personne en face le parle aussi ce qui semblait normal vu le quartier ou elle avait implantée son affaire. Alors qu’il attendait une réponse il quitta sa veste qu’il déposa sur son bras et de l’autre sortit de sa poche son paquet de cigarette ainsi que son briquet.
Dernière édition par Andréo Piga le Lun 23 Juin - 23:12, édité 1 fois | |
| | | Asteria Fuego Armurière agoraphobe et naive
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| Sujet: Re: Une petite commande. Lun 23 Juin - 22:57 | |
| Asteria était comme à son habitude dans son armurerie, d'ailleurs ce n'était pas bien difficile de la trouver car elle ne la quittait plus, les récents événement qui c'était produit lors de sa dernière tentative de sortit l'avait totalement convaincu de ne plus jamais sortir de son petit havre de paix et ce malgré les recommandations de son père qui l'incitait fortement à découvrir la ville et à rencontrer du monde. Asteria écoutait générallement toujours son père, il l'avait toujours protéger depuis la mort de sa mère mais la c'était une chose qu'elle ne pouvait faire c'était largement au dessus de ses forces et elle ce contentai donc de vivre avec ses armes, elle appréciait particulièrement sa vie au milieu de la poudre, des huiles d'entretien et des armes, la jeune femme voyait en ses armes les plus fidèle copine du monde qui jamais ne la contre disait et la protégeai quand on essayait de la faire sortir de son petit chez soit et après au diable le reste si elle voulait avoir des nouvelles de ce monde de barge qui entourait son doux foyer il lui suffisait de lire un journal comme son petit papa d'amour lui avait appris à lire. Asteria écoutait aussi les conversations qu'entretenaient ses clients et tous relatait des crimes, des meurtres sanglant, des attaque de banque, des bagarres qui leur avaient fait perdre quelques quenottes et même si cela l'intéressait ça la terrifiait aussi pourquoi ne pouvait t'il pas juste parler de champs fleurit et de petit poneys broutant de l'herbe elle ce le demandait. Asteria en repensant à sa ce souvenue qu'elle devait demander quelque chose à son papa, une phrase qu'elle entendait de plus en plus souvent et dont elle n'était pas sur de comprendre la signification, en effet il n'était pas rare pour elle d'entendre ses clients masculins lui demander si elle ne voulait pas laisser ses pétoire pour aller jouer avec un gros calibre dans sa chambre, ses paroles était générallement accompagné d'un geste de la main sur leur entrejambe et d'un sourire, mais ce sourire disparaissait générallement lorsqu'elle répondait le plus simple du monde en émettant son plus beau sourire qu'elle ne trouverait pas de gros calibre dans sa chambre juste un trucs des plus minuscule et sans grand intéret. Asteria était intriguer et elle voulait savoir ce qu'elle disait de mal pour fâcher tous ses clients ainsi où alors peut être devrait t'elle mettre une arme autre qu'un derringuer dans sa chambre pour que les monsieur puissent jouer avec, Asteria ce trémoussa derrière son comptoir toutes contente d'avoir trouver la solution mais elle devrait demander l'autorisation à son papounet de monter un gros calibre dans sa chambre. Ce matin la l'armurière en second du clan Italien était en train d'attendre de quelconque client comme à son habitude mais comme à son habitude elle n'avait pas réussit à tenir plus de deux heures dans ce qui servait de façade à la boutique qui était vraiment pauvre en arme, Asteria était donc aller récupérer un remington 1853 dans la cave et ce malgré ses interdiction dans remonter un à cause des réglementation sur les armes qui régissait la ville. Asteria avait vite prit les mesure des morceaux de bois qui ornait la crosse et commencer à en tailler des identiques dans de la nacre pour venir les fixer dessus à la place. Asteria fut occuper pendant un bon petit moment à cette tache surtout que la passionner avait enchainer par de petit gravure pour les décorer et aujourd'hui elle avait décider de faire une représentation de la mort, ce fut un travail plus hasardeux et de précision et pour sa elle du utiliser sa père de lunette loupe et enfin elle en vit la fin. Ce travail avait fait passer le temps à une vitesse folle et la jeune femme n'avait même pas vu l'heure lui filer filer entre les doigts comme si elle essayait d'attraper de l'eau entre ses petit doigts tous fin, lorsqu'elle laissa enfin son regard ce poser sur la pendule et qu'elle ce rendit compte qu'il était déjà midi passer elle en était toute contente car même si elle n'avait pas vu de client de la matiné elle avait passer quatre belle heure à sculpter cette magnifique crosse et sans être déranger et en plus il lui restait plein de temps pour la peaufiner, c'était une véritable aubaine et l'armurière ce mit à sortir un papier de verre à tous petit grains pour faire disparaitre consciencieusement toutes les petite aspérité restante, au bout de quelque temps elle entendit la clochette du magasin retentir et un homme vétu de noir s'engouffra à l'intérieur du batiment, la première question que ce posa la jeune femme fut de savoir si c'était homme était tout vieux pour avoir les cheveux couleur neige mais à voir son visage sa n'avait pas l'air d'être le cas, cependant son regard impressionnait la gérante du magasin qui n'en voyait rarement des comme ça et la dernière personne qui en affichait un semblabe son papounet lui avait dit de ne jamais l'énerver car il était dangereux donc elle déduisait que l'homme face à elle était dangereux aussi mais que tous ce passerai bien si elle l'énervait pas celui-ci d'ailleurs avait un jolie brin de voie surement parce qu'il s'exprimait en Italien et Asteria ce dépécha de lui répondre dans la même langue affichant un énorme sourire : " Bonjour et bienvenue, il me faut juste l'objet de votre commande et je m'occuperai de vous. " | |
| | | Andréo Piga Garde du corps dévoué et asocial
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| Sujet: Re: Une petite commande. Ven 27 Juin - 12:09 | |
| Andréo n'eut pas le temps de sortir sa cigarette du paquet que la propriétaire, une jeune femme comme on lui avait dit se présenta devant lui, elle semblait avoir toujours était présente dans le fond de l'arrière boutique. Elle était plutôt jeune la vingtaine passée de peu, assez bien habillée, les cheveux mi-longs bien coiffés, de taille moyenne, elle n'avait pas vraiment la tête de l'emploi. La jeune femme s'approcha un large sourire sur le visage comme si la venue de l'italien lui faisait plaisir, pour une raison qu'il ne connaissait pas il fallait bien le dire en général sa présence n'apportait jmais le sourire aux gens. Lz jeune italienne l'accueillit d'une voix enchantée elle prit la parole.
" Bonjour et bienvenue, il me faut juste l'objet de votre commande et je m'occuperai de vous. " [Italien]
En quoi pouvait il bien s'entendre avec elle, pour le moment il ne leur voyait pas un seul point commun. Le garde du corps porta une cigarette à ses lèvres reposant le paquet sur le comptoir avant de passer sa main dans sa veste pour en sortir le porte feuille de cuir où il avait placé la somme qu'on lui avait indiqué pour le rapatriement de son arme, soixante dix dollars. il se saisit des billets et les déposa sur le comptoir avant de replacer celui-ci dans la poche de sa veste.
"Je suis venu chercher mon colis. Un sabre blanc." [Italien]
Pendant qu'il parlait il vérifia que personne n'entre ne voulant pas que celui-ci attire les convoitise u premier venu. Andréo prit son briquet et éclaira le tube entre ses lèvres inspirant doucement, attendant qu'on lui rapporte son bien, enfin après de longue semaines il allait pouvoir à nouveau sentir sa main serrer cette lame, lame qu'il utiliserait pour rappeler à ce grand malin de Gio' qu'il n'avait pas encore décider d'oublier ce qu'il avait subit il y a 11 ans. Depuis ce jour où il avait vu son visage ravagé par le saï de son « compagnon » il n'avait eut l'occasion de se venger directement, c'était peut être la seule chose qui le faisait avancer mise à part sa dévotion envers Don Carissimo, c'était certainement cette même dévotion qui l'avait empêché de s'en prendre directement à Giovano pour le moment ne voulant porter préjudice au Don. Cela faisait presque 30 secondes et il n'avait toujours aucun sabre sous les yeux pire la jeune femme en face de lui ne semblait pas enclin à lui porter sa commande...C'est alors qu'il repensa a cette stupide et inutile phrase codé qu'il aurait du intégrer à la conversation pour signaler qu'il avait accès aux commande spéciales...
Intégrer une phrase dans la conversation en voilà un problème de taille lui qui n'était gère loquasse, autre problème qui se souleva au même instant cette phrase on lui avait donné en anglais, devait il lui aussi la retranscrire en anglais... Mais pour commencer il devait entamer une conversation, cette simple idée lui haussa le coeur, que dire, surtout avec cette phrase. après une minutes il ouvrit la bouche.
" le président fait du bon boulot... Non? "
La phrase en anglais ne resemblait a rien, mal prononcée, avec un très fort accent italien et d'une classe sans nom.... | |
| | | Asteria Fuego Armurière agoraphobe et naive
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| Sujet: Re: Une petite commande. Jeu 10 Juil - 20:00 | |
| La jeune Asteria attendait toujours tous sourire qu'on lui annonce qu'elle était la commande que son client était venu récupérer et étant donner qu'elle ne connaissait pas le moins du monde cet homme elle s'attendait à un petit truc, la commande avait surement prise en compte par son papounet qui avait omis de l'avertir, Asteria s'attendait donc à un truc dérisoire. La jeune femme ce rendit vite compte que sa ne devait pas être le cas lorsque l'inconnu commença à aligner les billets de dix dollars sur le comptoir et ce pour une belle somme. Asteria en arriva donc à la conclusion que cet homme ne venait pas pour une arme du genre d'un Derringer, de toutes façon son expérience lui disait que ce n'était pas un homme à utiliser une arme d'un calibre inférieur à du sept à huit millimètre et voir même plutôt des armes blanche si l'on en jugeait à l'estafilade qui ornait son visage ainsi et surtout à la corne apparente sur sa main gauche au niveau des jointures. Asteria n'avait jamais été tromper par ses intuitions ou plutôt par ses constatations et une fois de plus cela vint à ce vérifier, l'homme émit sa demande celle d'un sabre blanc. C'était une commande on ne peut plus banale pour l'armurière mais voilà il y avait un problème, elle ne connaissait pas cette homme et surtout à aucun moment la phrase clé avait été prononcer et son papounet avait été clair, il lui avait dit de refuser de servir quiconque ne connaitrai pas cette phrase et d'être prêt à ce défendre au cas ou. Asteria posa donc son coude gauche sur le comptoir tandis que son petit menton venait s'appuyer sur son poing et son bras droit donnant l'impression d'être pendant derrière le comptoir. La vérité était tout autre Asteria appliquait tous simplement les instruction de son père qui avait mit au point un système pour ce débarrasser des intrus ou tout simplement des éventuel agresseurs, le système était simple et ce résumait en un calibre douze à canon scier fixer au comptoir et dont le canon pointait en ce moment même vers les jambes de son interlocuteur, une arme au combien dangereuse avec une émotive comme Asteria qui tenait la gâchette mais qui avait éviter pas mal de problème et conduit à la réparation à multiple reprise des planches du comptoir. Asteria resta ainsi à attendre le déluge oui c'est ce qu'on pourrais dire si on ne connaissait pas la maison, oubliant totalement de préciser qu'il ne "vendait" pas ce genre d'article en raison des normes de la ville, bref la jeune femme aurait put rester la pendant des heures à regarder dans le blanc des yeux son client en attendant le code qui avait mis en place. C'était une chose d'ailleurs plutôt déstabilisant quand on y regardait de près, aucune information n'était donner pour apporter une quelconque aide, aucune manière ne signifiait clairement de quitter l'établissement, pas même une invitation claire à y rester juste ce sourire béa et cette bouille sympathique qui ce trouvait de l'autre coté du comptoir. Asteria attendait donc patiemment que son client s'exprime ou qu'il sorte de lui même car l'idée d'avoir à presser la détente et de repeindre un mur de ce liquide rougeâtre qu'elle n'appréciait guère ne l'enchantait guère. Lorsqu'Asteria vit l'homme s'allumer une cigarette pour patienter elle eut l'absurde idée de lui retirer car il était dans son armurerie mais pour sa elle aurait du lâcher son arme elle était donc en proie à un cruel dilemme, faire respecter ses règles ou respecter les consigne de son papounet et au final pour le moment les ordres de son papounet primait sur le reste et donc elle ne bougea pas d'un cils et attendit que la situation évolue et enfin la phrase clé fut dis en anglais avec un accent Italien qui la massacrai mais cela l'importait peut et Asteria put lacher son arme et ce mettre en action. La jeune femme sortit de derrière son comptoir pour ce diriger vers la porte d'entrée de la boutique et au passage elle arracha la clope des lèvres de son client qui ne devait pas ce rendre compte qu'il ce trouvait dans un lieu ou la poudre reignait en maitre incontester et que fumer n'y était pas permis. Asteria ouvrit la porte et balança l'objet du délit sur le trottoir avant de la refermer la porte ainsi que de la verrouiller, Asteria finit en mettant apparant le panneau fermée sur la petit vitre du magasin. La jeune femme ce retourna enfin essayant de prendre une pose de femme vexé et en colère tout en fixant dans les yeux son interlocuteur, elle avait froncer les sourcils, effacer son sourire pour la première fois depuis l'arrivée de son client et mit ses mains serrer sur ses hanches pour tenter de faire plus convaincant même si elle ce contentait de plagier une pause qu'elle avait vu une fois dans son armurerie et elle prit enfin la parole et la déjà que ce n'était guère convaincant sa finit de s'écrouler, le ton était doux et courtois : " Il y a de la poudre ici, allons chercher votre commande. " Asteria indiqua une porte situer au fond de la salle qui donnait accès à la cave de la boutique. | |
| | | Andréo Piga Garde du corps dévoué et asocial
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| Sujet: Re: Une petite commande. Sam 19 Juil - 14:46 | |
| Aussitôt eut il donné la phrase clé la jeune femme délaissa sa pose pour contourner le comptoir, il semblerait qu'elle n'attendait que cela en fait et malgré la prononciation plus que douteuse elle avait du comprendre ce qu'Andréo avait dit. Asteria passa à ses cotés et saisit rapidement la cigarette des lèvres de l'italien avant de se diriger vers la porte, puis l'ouvrant elle jeta l'objet sur le trottoir avant de refermer. Le balafré n'ouvrit pas la bouche préférant rester silencieux et se contenta d'observer la demoiselle verrouiller l'entrée du magasin et placer une petite pancarte désignant l'endroit comme fermé. Ensuite celle-ci se dirigea vers Andréo et commença une sorte de show bizarre, l'armurière posa ses mains sur ses hanches le regardant avec un regard devant très certainement lui faire peur son sourire ayant disparu de son joli visage. Mais ce fut au moment où elle prit la parole que n'importe qu'elle autre personne que lui se serait mit à se tordre de rire. " Il y a de la poudre ici, allons chercher votre commande. " Sa voix avait été douce et courtoise elle n'aurait pas pu faire mieux pour trancher avec la pose qu'elle essayer de prendre. Cette fille n'avait semble t il aucune crédibilitée en donneuse de leçon et sûrement aussi peu en oratrice puisqu'elle venait de parler à Andréo en anglais langue qu'il ne comprenait aucunement... Apparemment elle n'avait pas apprécier qu'il ne fume devant elle pour une raison qu'il ignorait totalement car c'était bien la première fois qu'une personne lui subtilisé sa cigarette de la sorte, surtout pour la jeter sur le trottoir. Elle lui indiqua le fond de la pièce où se trouvait une porte. Sur le moment il pensa que la jeune femme lui montrait l'endroit où il pourrait à sa guise consommer l'objet si dérangeant pour la jeune femme et porta sa main vers sa poche sortant une nouvelle fois son paquet en se dirigeant vers la porte. puis l'ouvrant il porta le tube mortel à ses lèvres avant de constater qu'il n'y avait là que des escalier menant très certainement à une autre pièces plus basse dans l'édifice. A ce moment il comprit que la jeune femme ne lui avait aucunement indiqué l'endroit ou il allait pouvoir fumer sa cigarette mais plutôt l'endroit où elle devait avoir disposé son précieux bien.
Tournant la tête, la cigarette toujours coincée entre les lèvres il posa son regard sur la jeune italienne , elle ne devait pas s'être rendu compte qu'il ne parlait pas anglais bien que ce détail ne devait pas être difficile à noter vu la qualité de la phrase qu'il avait énoncé peu avant. Le regard de l'homme devait se faire pesant sur la petite brune car Andréo à cause de ce qu'il était et surtout de son passé avait un de ces regards qui ne sont soutenue que rarement et surtout par très peu de personne. On pouvait lire dans celui-ci les diverses épreuves qu'il avait enduré pour accéder au poste de garde du corps et la cicatrice sur sa visage mettait les gens mal à l'aise ceux-ci ne sachant trop s'il pouvait la regarder ou non. Il retira par la suite la cigarette de ses lèvres la replaçant dans le paquet qu'il tenait toujours à la main puis sans un mot lâcha du regard l'armurière et descendit les marches en silence son manteau sur le bras... | |
| | | Asteria Fuego Armurière agoraphobe et naive
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| Sujet: Re: Une petite commande. Dim 17 Aoû - 18:13 | |
| Asteria c'était donc engouffrer dans cet étroit escalier sombre et au fur et à mesure qu'elle progressait dans celui ci plus le bois qui composait les marches craquait sous ses pas, ils finirent par arriver au bas de celui-ci pour attérir dans un corridors mal éclairer et on pouvait constater grâce à la couche de poussière phénoménale qui ornait le sol que le ménage n'était pas fait régulièrement et surtout l'absence d'empreinte était un indice plus que flagrant comme quoi ce chemin n'était guère utiliser. La belle armuriere du clan italien avançait toujours dans un déhancher tous ce qu'il y a de plus normal ses chaussures frappant le sol à chacun de ses pas, le son étant répercuter contre les murs sans cesse et enfin il finir par arriver devant une lourde portes blinder qui ne laissait rien présager de bon si l'on ne connaissait pas l'endroit. la jeune Fuego plongea la main dans son décolter et ce mit à ce contorsionner comme un vers à la recherche d'un quelconque objet, la scène de l'extérieur devait surement sembler bien cocasse mais c'était vraiment pas une gène pour elle et enfin elle finit par en retirer une clé en bronze de taille moyenne à l'embout en étoile qu'elle introduit dans une serrure. La clé produit un cliquetis sonore à trois reprise avant d'être retirer de la serrure pour ce diriger vers la seconde et dernière serrure. Asteria ce tournant ensuite vers son invité lui fit signe de ce retourner en agitant plusieurs fois sa main comme une gamine essayant de chasser ses camarade de jeu pour protéger son secret, une fois que ceci fut chose faite elle finit par introduire entièrement la clé et les cliquetis sonore ce refirent entendre, des bruits sourd et claquant et pour une oreille attentive il aurait été possible d'en dénombrer quatorze. Dénombrer le nombre de cliquetis aurait été inutile cette serrure était à plusieurs facette avec chacun un nombre de tour spécifique et c'était pour cette raison qu'elle avait demander à son client de ce retourner nul ne devait connaitre ce tour de passe passe hormis elle et son papounet d'amour. Asteria fit signe à son inviter d'entrée plus profondément dans le corridors mal éclairer, ne prenant aucun soin pour remettre son tee-shirt comme il faut et encore moins son bustier qui était sensé cacher sa poitrine qui était maintenant à moitié offerte à la vue de son client. La belle italienne était comme sa aucune pudeur elle ne connaissait pas tous ce qui ce raccrochait à tout ce que cela ce rapportait. L'italien quand à lui passa le pas de la porte comme le lui indiquait la gérante de l'établissement, ce fut à ce moment qu'Asteria aperçut très nettement la belle balafre que l'inconnu arborait et sa main partit instinctivement et bien malgré elle. La jeune italienne caressa du bout des doigts dans un simple effleurement la cicatrice de l'homme à la chevelure blanche, cet instant fugitif lui suffit à sentir la peaux rugueuse de la cicatrice en contact avec la sienne et aussitôt sa main repartit de la ou elle était venu tandis que la jeune femme émettait un petit rire enfantin et de ce détourner du regard de cet homme. Asteria tira la lourde porte blinder qui grinçait sur ses gonds, elle c'était pas tromper cette cicatrice avait la même particularité que celle de son papounet si jolie et la texture de la peaux était si différente de la sienne nettement moins douce mais nettement plus plaisante au toucher que la sienne. Ce geste avait été plus fort qu'elle et même si elle ce cachait quelque peut du regard de son client ce n'était pas parce qu'elle avait peur des conséquence de son acte mais juste pour cacher son teint rougissant car après tout elle avait rien fait de mal, juste toucher un peut ce qui était afficher à la vue de tous. Asteria reprit ensuite le chemin qu'elle avait commencer à entreprendre, passant à coté de pièce grillager remplit de plusieurs stock d'arme assez conséquent ou de munition en masse, certain était même avec des portes blinder avec la même serrure en étoile que la porte croiser précédemment et contenait des explosif, tous le couloir était remplit de l'odeur de la poudre et de l'huile d'entretien des armes et malgré le capharnaüm ambiant la jeune femme savait parfaitement ou elle ce dirigeait, comme si elle connaissait l'emplacement de chaque arme ou cartouche entreposer entre ses murs, une preuves qu'elle y passait vraiment sa vie pour réussir à ce déplacer ainsi. Le petit groupe finit par arriver devant la seule porte en bois de tous le couloir et celle-ci fut pousser sans ménagement pour révéler une pièce très bien éclairer et malgré le désordre qui semblait régner celle-ci était parfaitement propre pas la moindre trace de poussière, juste des arme entièrement démonter de tous les types possible et imaginable, ainsi que bon nombre de petit outils de précision. L'armurière ce dirigea vers un table sur laquelle ce trouvait un drap blanc sous lequel ce dessinait la forme d'un objet, le drap fut retirer d'un geste vif révélant la lame qui était la raison de la visite de l'Italien. Le Katana était savamment pincer entre les mâchoire d'acier de deux étaux l'un sur la garde et l'autre à la pointe de la lame, lame qui était complètement blanche après avoir été recouverte de graisse porcine et de magnésite et Asteria prit la parole s'exprimant en Italien et avec son ton habituel : " Voici votre colis malheureusement je n'est pas eut le temps d'en finir l'entretient, sa ne prendra que quelque instanst. " Asteria souriant en attendant la réaction de son client, sachant qu'il apprécierait sans nul doute possible les égard qui avait été fournit pour maintenir son arme au mieux de ses capacité. | |
| | | Andréo Piga Garde du corps dévoué et asocial
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| Sujet: Re: Une petite commande. Mer 20 Aoû - 19:56 | |
| Plus la descente s'amorçait et moins Andréo semblait confiant envers cette jeune femme, elle qui devait avoir son sabre. A chaque pas il se demandait si celui-ci avait du subir un traitement aussi mauvais que ce lieu, la poussière et les toiles d'araignées étaient légion à croire que cet endroit n'était autre qu'une mauvaise blague. Don Carrisimo lui avait conseillé cette armurerie alors pourquoi tout n'était que crasse et abandon ici, restant toujours aussi impassible qu'a son habitude le garde du corps se contenta de suivre la demoiselle en espérant que les craintes qu'il avait n'étaient pas fondées. Après une marche des plus poussiéreuse la brune se stoppa devant une lourde porte en acier, ils devaient être arrivés à destination. Aussitôt sa guide plongea une de ses mains dans son décolleté et commença à se tordre dans des poses toutes plus ridicule et suspecte les unes que les autres, que cherchait elle à faire, cette situation ne fit en aucun cas sourire l'italien qui avait bien d'autre choses à penser qu'à reluquer une gamine aussi mignonne soit elle. Si elle n'avait pas sortie cette clé il se serait sûrement demandé si elle n'était pas une simple paumée et aurait fait demi tour pour trouver le véritable propriétaire de ce lieu.
Une fois la clé introduite dans la serrure cette ci fut tournée à trois reprises émettant des cliquetis bien particuliers et étrangement audible. Alors que la jeune femme allait passer à la deuxième serrures elle se retourna et fit un signe des plus enfantin de la main à l'homme a ses coté pour qu'il prenne la peine de se retourner, ce qu'Andréo fit sans même se faire prier. Une nouvelle série de bruit plus ou moins sourd se fit entendre à nouveau mais en plus grand nombre cette fois-ci, quatorze pour être exact, avant que la jeune femme ne fasse signe à son invité qu'il pouvait avancer. L'homme aux cheveux blanc s'approcha alors mais avant même qu'il ne puise passer la porte entièrement la jeune femme porta sa main sur son visage et plus particulièrement vers sa cicatrice qu'elle toucha du bout des doigts. Surprit d'un tel geste Andréo resta de marbre posant ses yeux vers le visage de la jeune italienne, qui au lieu de prendre peur comme la logique l'aurait voulu se mit a rire doucement comme une gosse qui avait gagnée un pari... Une gosse c'était peut être ce qu'était cette jeune femme, elle semblait se moquer complètement de son attitude ou de ses gestes ce qui pour une personne comme elle n'était pas des plus prudent, malgré tout ce geste peut être anodin avait troublé légèrement le garde du corps froid et asocial, il était très rare qu'une personne ne soit pas dérangé ou mal à l'aise à cause de cette marque sur son visage. Sans aucune parole pour expliquer son geste la jeune femme fini de tirer la lourde porte et s'engouffra dans le passage Andréo l'attrapa par le bras avant qu'elle ne s'éloigne de trop et d'une main agile mais sans aucun geste déplacé replaça le T-Shirt de la jeune femme avant de la relâcher.
La jeune femme repris alors son chemin l'italien lui emboîtant le pas, devant ses yeux un dédale de munitions, d'explosif et de tout types d'arme à feu. La brune avançait rapidement entre les divers étales connaissant apparemment très bien les lieux jusqu'à arriver devant une porte en bois qu'elle poussa fortement pour dévoiler une pièce des plus intéressante. Une salle qui bien que peu rangée était propre, aucune trace de poussière, de nombreuses armes étaient là démontée très certainement en réparation, l'atelier était garni avec de nombreux outils de précision et d'entretien. L'italienne s'approcha d'un drap qu'elle souleva d'un geste rapide avant de prendre la parole.
" Voici votre colis malheureusement je n'ai pas eut le temps d'en finir l'entretien, ça ne prendra que quelques instants. "
Son sabre lame a nue était là devant lui, de quel droit avait elle osée le démonter, depuis qu'il en avait hérité de Federico personne n'avait touché cette arme et encore moins démonté mis à part Andréo lui même. L'homme s'approcha de la lame de son arme repoussant de la main son hôte avec bien moins de délicatesse qu'il avait fait preuve il y a peu mais sans violence gratuite puis prenant la lame délicatement par la soie il la délogea de son emplacement la plaçant entre son pouce et son index. S'asseyant sur une chaise il se saisit alors d'un chiffon doux et le passa lentement sur la lame partant de la soie vers la pointe de la lame pour lui redonner son éclat. L'opération se fit de nombreuses fois pour éliminer toute trace de graisse et de poudre, au fur et à mesure la lame retrouva sa beauté naturel et se retrouva parfaitement propre. L'italien semblait avoir totalement oublié la présence de la brune à ses cotés, se saisissant du fourreau il y fit lentement glisser la lame nue avant de chercher du regard un autre chiffon propre ainsi que de l'huile pour l'entretient. Ressortant la lame du fourreau en prenant toujours autant de précaution passa lentement dans les même mouvements que précédemment le chiffon contenant de l'huile en déposant une fine couche sur la lame pour la protéger des agressions du temps.
L'italien replaça ensuite les divers éléments du sabre sur la lame et fini par faire gliser lentement la lame dans le Tsuka, puis tapotant doucement sur le tsuka avec la paume le sabre tenu à la verticale il fini de l'assembler en fixant la goupille. Tout cela avait était fait dans un silence total que la patronne ne lui pose des questions ou non, puis rangeant l'arme dans son fourreau la laissant glisser lentement il prit enfin la parole en se relevant.
"Un kit d'entretien, un gilet par balle. Combien pour les deux en plus de ce que je vous dois?" [Italien] | |
| | | Asteria Fuego Armurière agoraphobe et naive
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| Sujet: Re: Une petite commande. Mar 2 Sep - 18:21 | |
| La jeune femme venait de passer la porte blinder du couloir de la cave lorsqu'elle vint à ce faire agripper avec une certaine douceur certes mais cela n'empêchait pas que la poigne de son client était plutôt dur, son autre mai ce dirigeant dangereusement vers la poitrine de la naïve jeune femme l'un des endroit à ne surement pas s'approcher et bien que celle-ci ne fut pas le moins du monde effleurer, Asteria sursauta et ce dégagea immédiatement de l'emprise de l'homme à la chevelure neigeuse et ce plaqua contre le mur agrippant d'une main son tee-shirt et portant l'autre main à sa ceinture à la recherche d'une hypothétique arme à feu qui n'était malheureusement pas présente. Asteria effectuait inconsciemment un réflexe de défense et aura dégainer aussi surement et rapidement qu'un crotale attaque un ennemi, c'était pourtant connu de Cesaré nul ne devait la toucher sans l'approbation de son papounet d'amour. Le rire cristallin de la jeune armurière avait disparut aussi rapidement que le tonnerre ce répercutant en écho pour finir par ce perdre dans le dédale de couloir qui ce trouvait dans le sous sol. Asteria avait plutot l'air apeurer maintenant ainsi poser, ses yeux fuyant dans tous les sens sauf en direction du fautif, elle réfléchissait à qu'elle réaction avoir dans un tel moment, incapable de la moindre réaction spontané voilà ce qu'était Asteria, une femme pas assez inculquer dans le domaine de la vie pour prendre des décisions immédiate elle ce contentait de mimer ce qu'elle avait déjà vu ou connue pour réagir, elle devait être sans cesse guider sauf dans un domaine celui des armes et la elle en avait pas. Asteria finit par ce décider à laisser aller, dans son esprit elle était fautive, c'était elle qui avait commencer en effleurant son client, elle aurait du s'abstenir et elle l'avait chercher donc elle ne dit pas un mot et baissa la tète n'osant pas croisé le regard de son client et elle finit donc le chemin tète baisser triste d'avoir commis une erreur son visage émettant de temps à autre une moue de dépit voir boudeuse à certain instant. Asteria pensait retrouver le sourire lorsqu'elle verrait le visage heureux de son client retrouvant son arme parfaitement entretenue et presque remis à neuf mais ce fut nullement le cas et Asteria toute droite qu'elle était attendant des remerciement ou un sourire de gratitude fut bousculer sans ménagement et elle atterri sur les fesses lourdement et la ce fut le drame. Asteria était outrer du comportement de son client, elle qui avait prit soin de dégager les embrun laisser par la mer qui c'était infiltrer durant son voyage, à faire partir chaque petit point de rouille qui c'était sournoisement déposer dessus, elle venait de ce faire bousculer comme une malpropre. Asteria était sur le sol battant des pieds et des mains sur le sol de dépit comme pour attirer l'attention de son client mais rien n'y fessait celui-ci ne s'occupait plus que de son arme et ... et en plus .... et en plus il osait défaire le travail d'Asteria, en plus il continuait la suite du processus sans même la consulter et dans SON armurerie, c'était bien plus que la jeune femme pouvait en supporter, elle ce releva droite comme un I. Asteria avait les bras tendu le long du corps, les poing fermé et tapant du pieds sur le sol en pierre pour tenter d'attirer l'attention du client fautif mais rien n'y fessait, tant pis dans ce genre de cas la elle savait que faire. Asteria ce dirigea vers une des nombreuses table disséminer dans la pièce ou il ce trouvait bon nombre d'arme de point et elle commença à remonter un colt Navy d'une façon rapide et sur qui montrait sa grande expérience dans ce métier, elle savait ou allait chaque pièce et surtout où les trouver sur la table comme si elle s'amusait à apprendre par coeur où elle déposait les pièce mais sans seul une personne complètement accro et qui ne fessait que sa de son temps en était capable et nul n'aurait put penser que sa existait dans cette ville. Asteria ne mit guère de temps à la remettre en un seul morceau et après elle ce mit en quête de munition pour charger le barillet ce qui ne fut pas une tache des plus ardue dans un endroit comme celui-ci des munition sa ce trouvait à tous les coins possible et imaginable il suffisait juste de connaître les lieu pour savoir ou trouver celle qui correspondait à son arme du moment et justement la jeune femme savait. Quand tous ceci fut accomplit elle retourna ce planter devant l'italien qui finissait de remonter son sabre en ne mettant qu'UNE goupille le comble de l'horreur il avait oublier celle qui ce trouvait tout au bon du Tsuka et dont l'emplacement était généralement dissimuler par un petit morceaux métallique, bref c'était décider cet homme était un profane qui ne méritait pas son sabre. L'Italien ce décida enfin à poser ses yeux sur la jeune femme pour demander le prix d'un Kit d'entretien et d'un gillet par balle mais l'heure n'était pas au commande, Asteria devait refaire son boulot et elle n'était pas contente et l'homme à la chevelure neigeuse ce retrouva donc à faire la conversation avec un canon de colt. Colt qui émis au même instant le cliquetis caractéristique d'un chien qui s'arme (le percuteur d'un colt sa s'appelle un chien je parle pas de l'animal ) et d'un barrillet qui tourne pour enclencher une balle dans la chambre de tir. Un homme observateur aurait forcément constater que la jeune femme qui tenait l'arme avait déjà presser la détente et retenait le chien à l'aide de son pouce et que toutes tentative de lui prendre son arme comme de la dévier aurait été suicidaire, une astuce pour tenir quelqu'un en joue de prêt et ainsi éviter tous risque que celui-ci prenne l'avantage en empoignant l'arme, une chose que Asteria tenait de son père comme quelque autre astuce. La jeune femme prit enfin la parole dans un italien parfaitement exprimer et toujours avec cette voie enfantine qui ne collait pas à l'ambiance chercher mais l'arme pointer et prète à cracher son plomb et le faite que l'italienne frappait du pied sur le sol rattrapait un temps soit peut le coup : « JE ... NE ... VOUS ... PERMET ... PAS ... DE ... DÉFAIRE ... MON ... TRAVAIL ... SURTOUT ...CHEZ ... MOI ... ET ... POUR ... FAIRE ... DES ... BÊTISES ... C'EST ... MOI ... LA ... PATRONNE ... VOUS ... MÉRITEZ ... PAS ... CE ... SABRE ... ET ... SURTOUT ... SURTOUT ... ON ... NE ... ME ... TOUCHE ... PAS ... rrrhhhhhh« Chaque mots avaient été bien détacher du suivant pour lui montrer à celui la qu'elle n'était pas contente et entre chacun d'eux elle tapait du pied par terre pour finir en fin de phrase à sauter à répétition à pied joint sur le sol en secouant la tète dans tous les sens et en émettant une copie du sifflement du chat en colère. Un acte bien inconscient quand on pointe une arme sur quelqu'un surtout quand celui-ci est prêt à partir, mais le maintient de l'arme était parfait et celle-ci ne tremblait ce ne devait donc pas être une première pour elle. Asteria finit par ce calmer et elle tendit lentement sa main en direction de la garde du sabre et quand elle fut à quelque centimètre de celle-ci d'un geste vif et l'empoigna et sauta en arrière pour la retirer et ce mettre hors de porter de l'homme. La jeune femme reculait le dos vouter jusqu'à atteindre l'autre bout de la pièce pour poser le sabre sur une table, le cliquetis du chien ce fit de nouveau entendre mais cette fois-ci il était ramener et l'arme fut poser sur la table elle aussi. Asteria ressorti un pot de graisse sous la table et un tube de paraffine, son sourire était revenu et maintenant elle reparlait de manière enjouer comme si rien n'était arriver, le principal était la elle avait le sabre. « Une arme blanche sa ce cajole, s'entretient, s'aime, ce respecte, il faut l'écouter et répondre à ses besoin et lorsqu'on lui fait traverser la mer on la met sous vide ou sinon on laisse faire la PERSONNE qui la réceptionne pour qu'il débarrassé l'arme de l'iode qui c'est accumuler au cours du voyage sinon sa bouffe la lame et quand on remonte ce genre d'arme il y a DEUX goupille à remettre et non une seule capitché ? » Asteria parlait en italien bien évidement mais d'un ton très détacher comme si elle récitait une leçon apprit il y a longtemps et qu'elle connaissait par coeur, jetant de nombreux coup d'oeil furtif en direction de son client pour voir ce qu'il fessait et surtout si il s'approchait. Asteria c'était d'ailleurs positionner face à lui et le canon de son colt dans dans sa direction le déplaçant négligemment d'un doigts lorsqu'il bougeait et pour être prêt à réagir si il essayait de reprendre une fois de plus son arme, sans que les soins ne soit finit d'être prodiguer. | |
| | | Andréo Piga Garde du corps dévoué et asocial
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (5/6) Dollars: 30 $ (355 $)
| Sujet: Re: Une petite commande. Mar 9 Sep - 13:52 | |
| Le regard posé sur cette petite italienne Andréo put constater qu'elle avait à présent une arme en main, arme qu'elle avait déjà armée d'après le bruit caractéristique qu'il venait d'entendre. La jeune demoiselle retenant le chien pour que le coup ne parte pas avait de la suite dans les idées à n'en pas douter mais cette manœuvre était très dangereuse car au moindre faux mouvement le coup pouvait partir. C'était une très bonne astuce ainsi que le choix d'une arme plus de judicieuse c'était entre autre une des raisons pour lesquelles Andréo n'aimait pas ces nouvelles armes semi-automatiques avec un bon vieux colt à barillet il n'y avait aucune chance que l'arme ne s'enraille mais aussi la taille du chien était bien plus conséquente ce qui permettait ce genre de manœuvre.
« JE ... NE ... VOUS ... PERMET ... PAS ... DE ... DÉFAIRE ... MON ... TRAVAIL ... SURTOUT ...CHEZ ... MOI ... ET ... POUR ... FAIRE ... DES ... BÊTISES ... C'EST ... MOI ... LA ... PATRONNE ... VOUS ... MÉRITEZ ... PAS ... CE ... SABRE ... ET ... SURTOUT ... SURTOUT ... ON ... NE ... ME ... TOUCHE ... PAS ... rrrhhhhhh«
Une arme dans la main d'une petite sotte cela n'avait rien de prudent et pourtant avec toute cette agitation qui sortait de sa bouche mais aussi de ces gestes le maintient de l'arme n'en soufrait pas. Elle était peut être sotte mais il semblerait qu'elle connaisse sont travail même si les affirmations qu'elle venait de déblatérer étaient toute plus fausse que décaler. Elle était peut entre chez elle mais son travail n'avait jamais était de s'occuper de l'arme de l'italien, Andréo ne n'avait payée que pour la réceptionner et en aucun cas s'en occuper il avait ses habitudes et n'aimait pas que celles-ci soit changées. La jeune brune s'avança vers lui la main en avant s'empoignant de son sabre d'un geste vif la main tenant son colt toujours aussi solide. Andréo resta immobile sachant parfaitement qu'un geste quelconque pouvait gêner Asteria et lui faire endommager la lame de son sabre ce qui n'était pas acceptable. A nouveau a l'autre bout de la pièce la jeune femme prit la parole.
« Une arme blanche sa ce cajole, s'entretient, s'aime, ce respecte, il faut l'écouter et répondre à ses besoin et lorsqu'on lui fait traverser la mer on la met sous vide ou sinon on laisse faire la PERSONNE qui la réceptionne pour qu'il débarrassé l'arme de l'iode qui c'est accumuler au cours du voyage sinon sa bouffe la lame et quand on remonte ce genre d'arme il y a DEUX goupille à remettre et non une seule capitché ? »
Andréo n'était pas un grand parleur comme cette femme il détestait même ça, parler pour ne rien dire c'était un peu ce que l'italienne en face de lui était entrain de faire, depuis quand connaissait elle son sabre, une demi journée au mieux, il était avec lui depuis qu'il avait 16 ans. Depuis que Federico lui avait remit avant de partir au front pour ce qu'il avait appelé sa patrie. La jeune femme avait raison sur un point son sabre était comme une personne il fallait en prendre soin, la cajoler mais une personne avait ses petites habitudes comme tout le monde et son sabre aussi, jamais personne d'autre que lui n'en avait prit soin depuis qu'il avait 16 ans et Federico lui avait montré comment faire, s'il n'avait pas remis la deuxième goupille il y avait une bonne raison à cela.
"Je déteste ça, les petites sottes qui se pense plus maligne que les autres, je déteste tout autant leur parler que les écouter... Il m'accompagne depuis plus de 16 ans, 16 ans à me servir et moi à l'écouter, 16 ans d'un duo parfait à travailler main dans la main découpant les personnes qui le mérite. S'il est à nouveau auprès de moi c'est pour en finir avec l'un d'eux, finir ce qui a était commencé il y a des années de cela."[Italien]
Alors qu'il parlait Andréo prit la chaise qu'il retourna pour s'asseoir face au dossier puis ouvrant lentement sa veste il en retira délicatement l'arme de son père qu'il posa sur la table à coté de lui. Ce geste était fait en douceur sans qu'il n'y ait aucune animosité dans le mouvement, les doigts bien en vue sur la crosse pour que la jeune fille puisse voir qu'il ne comptait pas s'en servir. Ensuite il posa sa tête sur ses bras eux même reposant sur le dossier de la chaise laissant apparaître la cicatrice sur son visage de façon flagrante et presque volontaire.
"Je n'aurais pas eut cela à faire il me serait égal de me prendre votre balle dans l'instant mais j'ai encore plusieurs choses à faire ici. Si Don Carissimo m'avait avertit de votre façon de faire je ne serait déplacer moi même en Sicile pour le récupérer même si cela impliquer de le laisser seul pendant de longues semaines contre ma volonté. Remettez cette goupille et je la retirais en partant, passer à nouveau de l'huile sur sa lame et je l'enlèverais de la même façon. Chacun à ses habitudes et lui aussi, les voir changer ne me font gère plaisir surtout lorsqu'une étrangère lui les imposes. Je rétiaire ma question, combien pour une kit d'entretien et un gilet par balle?"[Italien]
Le ton du garde du corps était resté sur le même ton pendant tout son discours, lorsqu'il eut fini l'on pouvait très clairement voir qu'il n'avait pas apprécié le tenir mais qu'il pensait chaque mot prononcé. S'il n'avait pas en tête de se battre une nouvelle fois avec Giovano il se serait très certainement avancé pour reprendre l'arme quitte a recevoir une balle. Mais cette éventualité l'aurait donc handicaper ce qui pour un combat n'avait jamais était prolifique. | |
| | | Asteria Fuego Armurière agoraphobe et naive
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (0/0) Dollars:
| Sujet: Re: Une petite commande. Sam 27 Déc - 23:46 | |
| "Je déteste ça, les petites sottes qui se pense plus maligne que les autres, je déteste tout autant leur parler que les écouter... Il m'accompagne depuis plus de 16 ans, 16 ans à me servir et moi à l'écouter, 16 ans d'un duo parfait à travailler main dans la main découpant les personnes qui le mérite. S'il est à nouveau auprès de moi c'est pour en finir avec l'un d'eux, finir ce qui a était commencé il y a des années de cela."[Italien]
En entendant cette phrase Astéria ne put s’empêcher de tirer la langue en secouant la tète pour finalement poser son arme puis de croiser les bras en fronçant les sourcils pour montrer sa désapprobation. Elle n’était pas une petite sotte d’abord, mais un ange descendu du ciel sur la demande de son papounet et si cette homme voulait passer encore seize longues année avec son arme et bah il devrait l’écouter, quand on reste de sa phrase elle n’en comprenait pas la teneur. Il voulait découper quelqu’un ??? mais qui et il risquait de lui faire du mal en plus avec une tel arme, mais après tous peut être qu’il voulait juste lui faire peur pour qu’elle soit plus sage, comme quand son pôpa la menace de lui mettre une fessé si elle lâche pas son arme pour aller enfin ce coucher. Cet homme était une énigme après tout il ne voulait pas parler ni même l’écouter, c’était bien le premier d’habitude tous le monde lui racontait ses aventure et ce qu’il ce passait en ville mais pas lui, pourtant il était proche du patron de son papounet alors il devait en avoir plein à raconter. Astéria ne dit rien et ne tenta même pas de répliquer parce que le monsieur ne voulait pas l’entendre, elle ce contenta donc de faire son travail en silence même si elle était complètement hypnotiser par les reflets métallique que produisait l’arme qu’Andréo venait de sortir. Des armes elle avait plein certes peut être même assez pour pouvoir en démonter et en remonter toutes sa vie, mais ce n’était jamais assez pour elle. Elle en voulait toujours plus, certaine femme collectionnais les pierres précieuse et bien l’armurière collectionnait les armes pour la même raison, sa brille et c’est éternel si on y fait attention. Elle du faire un effort surhumain pour pas délaisser son travaille pour aller toucher même furtivement l’arme de l’homme, mais à chaque fois qu’elle était sur le point de craquer la voie de son père raisonnait dans sa tète qui lui disait de pas prendre les armes des gens sans leur accord.
"Je n'aurais pas eut cela à faire il me serait égal de me prendre votre balle dans l'instant mais j'ai encore plusieurs choses à faire ici. Si Don Carissimo m'avait avertit de votre façon de faire je ne serait déplacer moi même en Sicile pour le récupérer même si cela impliquer de le laisser seul pendant de longues semaines contre ma volonté. Remettez cette goupille et je la retirais en partant, passer à nouveau de l'huile sur sa lame et je l'enlèverais de la même façon. Chacun à ses habitudes et lui aussi, les voir changer ne me font gère plaisir surtout lorsqu'une étrangère lui les imposes. Je rétiaire ma question, combien pour une kit d'entretien et un gilet par balle?"[Italien]
*Quel vilain il respecte pas mon travail mais Astéria elle est plus maligne que lui d’abord parce que l’arme elle était pas charger, pis de toute façon la goupille n’a pas d’autre possibilité que de rester à sa place si il veut pas ce retrouver avec du petit bois dans la main maintenant que Astéria elle à refait le trou de base.*
« Hihihihihi . . . . HIIHHIIII »
Astéria avait pas put s’empêcher de rire toute seule mais en voyant la mine de l’homme elle s’arrêta et prit un air sérieux pas du tout convaincant, le rire n’était pas loin prêt à resurgir au moindre instant. Elle en avait vu plein des hommes prétendant mieux connaitre son travail qu’elle, mais tous avait finit par entendre raison car elle était trop forte et surtout parce que c’était rigolo de toujours avoir raison quitte à modifier l’arme pour avoir raison. Astéria finit par le sabre refait une nouvelle fois à l’homme et le déposa à coté de son arme à feu et sa main faillit s’en saisir, mais la jeune femme s’en ravisa à la dernière minute et elle ce mit à regarder l’homme et l’arme en alternance avec une petite mine implorante en espérant qu’il la lui donnerait pour qu’elle joue avec. Cependant après quelque instant à voir que l’homme ne réagissait pas à ses supplication muette elle fit une moue boudeuse et retira la langue en lançant en italien :
« Vilain .. . t’es michant de pas prêter »
Astéria ce dirigea ensuite vers la sortie pour regagner le rez de chaussé mais elle s’arrêta une fois dans l’encadrure de la porte pour tourner sa tète afin de répondre à la question qu’il lui avait poser en affichant un sourire quelque peut boudeur de pas pouvoir put jouer avec l’arme :
« Il n’y a pas de gilet par balle pour le moment ici pour un kit d’entretien tu peut te servir c’est un cadeau d’Astéria. Pour la goupille t’es obliger de la laisser de toutes façon As’ elle a refait le trou d’origine pour la mettre donc pas tas pi le choix d’abord nananananère. »[Italien] Astéria repartit ensuite disparaissant de la vue de son client pour finallement revenir en courant et lancer :
« Tu vole rien hein ? As’ elle a fait l’inventaire toutes seule comme une grande alors faut pas prendre sans ma permission. »
Elle repartit enfin ses bruit de pas disparaissant totalement pour finalement refaire demi-tour en marchant sur la pointe des pieds finissant par passer un œil par l’embrassure de la porte et regarder si le vilain ne prenait rien de plus qu’un kit de nettoyage et enfin elle repartit naturellement en chantonnant et sautillant dans le dédalle de couloir. | |
| | | Andréo Piga Garde du corps dévoué et asocial
Feuille de personnage Points de vie: (50/50) Munitions: (5/6) Dollars: 30 $ (355 $)
| Sujet: Re: Une petite commande. Mar 30 Déc - 1:12 | |
| Une gosse... Son attitude confirma les pensées premières de l'homme. Comment une gosse comme elle pouvait être dans les bonnes grâces de Don Carissimo, elle n'avait rien de plaisante contrairement à ce que son patron lui avait laisser croire. Elle modifiait les armes qu'elle recevait sans qu'on le lui demande n'admettant pas qu'elle avait tord par la suite de l'avoir fait, son attitude n'avait rien de professionnelle. Cela faisait des années qu'Andréo s'entrainait avec ce sabre, il avait l'habitude de celui-ci de ses qualités comme ses défauts s'étant habitué à ceux-ci avec le temps et n'ayant aucune envie d'y remédier. Asteria continuait "d'arranger" le sabre sous le regard sévère de l'italien ce qui l'a mettait assez mal à l'aise semble il puisque celle-ci arrêta de lui tirer la langue pour se remettre au travail sur son sabre. Le temps passa lentement, très lentement pour Andréo qui garda les yeux sur la jeune femme qui maltraitée son arme fétiche, certes elle savait ce qu'elle faisait sans aucun doute mais tout cela ne plaisait guère à l'italien.
Une fois qu'elle eut fini Asteria s'approcha du garde du corps déposant l'arme à coté du pistolet qu'il avait sortit peu avant pour montrer à la jeune femme qu'il ne comptait pas s'en servir. Celle-ci semblait tout aussi intéressée par son sabre que par l'arme à feu de son père, lui faisant une petite nue aussi stupide qu'inutile. Comment pouvait elle imaginer que l'asocial allait lui laisser toucher à l'arme de son père après qu'elle ait dégradée le cadeau de Federico... Ne bougeant pas affichant toujours le même regard sévère montrant qu'il n'avait toujours pas accepté les actes d'Asteria, celle-ci se mit alors à bouder lui tirant la langue.« Vilain .. . t’es michant de pas prêter » [Italien]L'italien se leva ne prêtant aucune attention aux brailleries de la jeune femme, ni à son petit jeu de pauvre petite fille vexée. Il en avait déjà vu de nombreuses comme elle toutes plus pénible et blablateuse les unes que les autres pensant qu'elles étaient plus maline ou plus intéressantes les unes que les autres. Andréo n'en avait cure de tout cela c'est ainsi qu'il se saisit de son Remington qu'il replaça dans son étui avant de prendre en main son sabre par le fourreau pour regarder plus en détail ce que la jeune femme avait fait. Celle-ci se dirigea vers la porte qu'ils avaient passés ensemble il y a quelques heures s'arrêtant répondant à son client.« Il n’y a pas de gilet par balle pour le moment ici pour un kit d’entretien tu peut te servir c’est un cadeau d’Astéria. Pour la goupille t’es obliger de la laisser de toutes façon As’ elle a refait le trou d’origine pour la mettre donc pas tas pi le choix d’abord nananananère. »[Italien]Sans un mot Andréo constata les dires de l'italienne, avec le manège qu'elle avait fait sans la dite goupille le Tsuka ne tiendrait plus en place correctement et son sabre en deviendrait inutilisable. Quel plaie cette femme remettre son sabre dans l'état où il était avant qu'elle ne replace cette goupille serait très certainement impossible car seul le temps avait put donner un tel résultat... Alors qu'elle semblait partie Asteria revient en criant.« Tu vole rien hein ? As’ elle a fait l’inventaire toutes seule comme une grande alors faut pas prendre sans ma permission. » [Italien]
"Par ta faute petite sotte Don Carissimo sera moins bien protégé mon arme n'étant plus à ma convenance. Averti moi quand le gilet par balle sera arrivé." [Italien]Pour qui se prenait elle, elle était peut être celle qui tenait cet endroit mais de la à le traiter de voleur. Attrapant son sabre il sortit la lame du fourreau pour l'examiner, mise à part la goupille tout le reste était parfait la méthode de l'italienne n'était pas vraiment la même que la sienne mais le résultat était plutôt bon. Le garde du corps posa le fourreau sur l'une des tables et se lança dans l'exécution d'un des divers Kata dont il avait la connaissance. Les mouvements qu'il enchainait été tous parfaitement fluide chacun aussi net et précis les uns que les autres et pourtant à mi chemin de celui-ci Andréo s'arrêta regardant la lame qu'il avait dans les mains. C'était bel et bien différant à cause de cette femme."Idiote" [Italien]Rangeant l'arme Andréo prit un des kits d'entretien présent dans la pièce vérifiant qu'il était complet avant de le refermer le plaçant dans un des sacs présent puis il enveloppa son sabre dans la toile prévu à cet effet avant de sortir de la pièce. La sortie n'était pas loin quelques couloirs à traverser et il pourrait aller accomplir la tâche que lui avait donné Don Carissimo. Appartement de Violet ===> | |
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